Les récits de Camille

Mercredi 29 octobre 3 29 /10 /Oct 21:46

Fatigué de ma nuit, je me repose dans mon lit. Mon épouse Rachelle se réveille en pleine forme. Pourtant si mes souvenirs sont bons, elle a profité de tout et de tous. Je ne la connaissais pas si salope. Au début, chez nos amis les François elle se tenait fort bien en femme bourgeoise. 
Il faut dire que Guy François est du gente libertin, sa femme Gaby, le suit dans ses aventures. Comment Rachelle pouvait se retenir alors que je bandais en regardant nos hôtes. Devant nous Guy commençait à caresser son épouse que le laissait faire, qui en rajoutait en posant sa main sur le sexe de son mari. Elle sortait devant nous la bite bandée.
Rachelle se met à penser à un concours de la plus belle pine. Celle sort la mienne avec sa façon particulière qui me fait bander dès le début. Elle entament une conversation avec Gaby :
-Regarde si elle est jolie aussi dure.
-Celle de mon mec est aussi belle. Tu veux la toucher ?
Tu permets que je la prenne à pleine main ?
Branles le un peu si tu veux. -
Et toi tu veux celle de mon mari ?
Pourquoi pas, elle paraît bonne à sucer.
Elles n'en disent pas plus : une masturbe la bite du mari de l'autre qui suce lentement le gland de l'ami. J'ai ma queue dans sa bouche, je sens sa langue lécher, aspirer, bref me faire du bien, plus que le fait ma femme (les circonstances ne sont pas les mêmes). Je regarde la main de ma femme qui tient la pine de Guy, qui l'astique comme elle me fait souvent avant de baiser, pour s'exciter. C'est la première fois que je la vois branler un autre homme, devant moi. 
Les filles discutent de la suite pour conclure :
On les fait jouir, on a la paix un moment, on baise à deux femmes, il s’exciteront, on changera de bonhomme.
Elles tiennent leur programme, au moins pour nous masturber. Nous les hommes pouvons, devons nous mettre nus pour être à l'aise. Je remarque que le bite de l'autre monte un peu plus haut que la mienne. Il l'a aussi grosse : pas de jaloux.
La femme de l'autre nous prend les bites dans leurs mains. Elles font à ça à l'artiste : comme des professionnelles. Je suis le bas ventre tendu, le sexe offert. 
Je regarde la main qui me donne ce plaisir que normalement je me donne seul. Elle me masturbe de façon à faire durer la chose en me caressant les couilles passant une main entre mes cuisses, cherchant le petit trou. Elle le trouve, en oubli ma pine pour mettre son doigt dans mon cul. Elle agit comme je le fais avec une autre fille. Je sens les phalanges s'enfoncer lentement dans mon trou. Elle le ressort pour l'enfoncer à nouveau. Disons qu'elle m'encule totalement quand elle passe trois doigts dans l'anus.
Je ressent un drôle de plaisir nouveau. Ma queue fait des mouvements du bas vers le haut : elle est dure prête à éclater. 
Pour mon copain, ma femme lui fait même régime. C'est drôle de voir sa femme qui branle une même bite, encule le propriétaire de la queue.
Elle arrivent pratiquement en même temps à nous faire juter.
Elles commencent à s'occuper de leur plaisir seulement de leur plaisir. Un fond d'homosexualité fait jour. 
Elles ne s’embarrassent pas de baiser sur la bouche ou autres fariboles. Elles veulent prendre rapidement un plaisir qu'elles ne connaissent pas encore. 
Elles se positionnent en 69 directement les bouches sur le sexe de l'autre. A croire qu'elles ont fait ça toute leur vie. 
Nous les regardons, les bites encore en deuil. Voir des langues lécher un autre con nous réveille. Pourquoi c'est si beau deux femmes qui s'aiment comme les notre ?
Mon épouse est dessous, elle tient sa langue sur le sexe de notre amie,elle lui tient les fesses. J'attends qu’elle aille plus loin dans la déchéance. 
Elle glisse sa main dans la raie des fesses de notre amante. Elle poursuit son œuvre de sexualité. Elle arrête ses doigt quand elle sens le petit trou juste sous son doigt. 
Je distingue ce qu'elle fait : elle masse doucement, elle met longtemps pour entrer un bout de doigt. Elle le met doucement, elle le fait aller et venir. 
Quand elle oubli de masturber le cul, elle passe sa langue sur l'anus. Elle lui lèche le cul moment avant de mettre sa langue doucement, en forçant un peu entièrement dans le cul. Et l'autre femme qui prend son pied, qui jouit plusieurs fois consécutives.
Nous restons isolés, les hommes. J'ai l'idée de prendre sa queue qui bande. Je le branle, il me rend la pareille. Pour lui ce n'est pas assez : il tend sa bite vers ma bouche. 
Moi sucer une bite ? Pourquoi pas : je me met en 69 devant lui.Nous nous suçons chacun en donnant à l'autre un nouveau plaisir. Pour moi le fait d'avoir sa queue dans la bouche et savoir la mienne dans sa gueule m'excite. 
Rachelle se donne à la femme de mon ami. Leur 69 est sérieux, elle se suce tout le sexe sans cesse,
sans tenir compte des orgasmes provoqués. 
Je sais qu'elle jouit plusieurs fois de suite pendant que je décharge dans la bouche d'un homme. Je fini de le faire jouir, je reçois sa décharge dans la bouche : c'est bizarre, salé et gluant. Nous arrêtons là, complètement crevés. 
Les deux femelles continuent longuement leur cunnilingus. D'après Rachelle elle a jouit une bonne douzaine de fois. 
Et maintenant au réveil, elle ne demande qu'une seule chose : ma bite dans son con. Pourquoi pas dans son cul ?

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Dimanche 19 octobre 7 19 /10 /Oct 21:44


Un soir après un arrosage, dans une société de gardiennage, nous avons dû raccompagner chez lui un collègue qui était proche du coma éthylique.

Une fois chez lui à la sortie de l'ascenseur, comme s'il reconnaissait les lieux dans son demi-coma, notre collègue a sorti ses clés. Nous l'avons soutenu jusqu'à la porte de son appartement, Il s'est mis à chercher la serrure du mauvais côté, et nous avons dû l'aider à ouvrir la porte. 

La femme de notre copain, n’était pas encore coucher il était pourtant presque une heure du matin elle était là devant nous en nuisette. Elle ne s'attendait certainement pas à nous voir avec son mari. 

Dans cette tenue, elle était encore plus belle que la première fois que nous l'avions vu. C'était lors d'un arrosage précédent. Elle était venue chercher son mari, avant qu'il ne soit trop ivre. C'était elle qui le conduisait à cette époque suite à une suspension de permis et nous ne comprenions pas comment un homme souvent ivre avait pu séduire une si jolie femme. 

C'était l'été et elle portait une petite robe courte qui nous donnait à tous des envies de grand vent. 

Elle était toute mignonne une poupée pas plus de 30 ans avec de très beaux yeux noirs et tout ce qu'il faut pour occuper un homme. Elle avait les cheveux noirs très courts et un visage qu'on avait envie de prendre entre ses mains pour s'enfoncer dans sa bouche. 

Quand elle est entrée il y a eu un silence. Nous étions une quinzaine. Elle nous a salué avec un sourire radieux et a commencé à nous faire la bise. J'ai vu un copain en profiter pour tenter lui peloter les fesses. Mais elle lui a vite repoussé la main, puis lui a demandé sèchement ou était son mari. 

Ce soir, sa nuisette transparente ne cachait presque rien, et nous avons marqué un temps d'arrêt. Elle a vite compris que nous étions en train de mater ses seins libres sous la nuisette et a fortement rougi. 

- Bonsoir ! Nous te ramenons ton mari. Il avait vraiment trop bu pour qu'on le laisse conduire. Si tu veux, on va le porter jusqu'à la chambre.

Quand nous l'avons suivie dans le couloir, nous avons pu deviner la silhouette d'un string sous sa nuisette. Elle avait vraiment un joli cul, et je ne sais pas si elle l'avait prévu pour son mari mais la chambre éclairée faisait contre- jour avec l'obscurité du salon, rendant sa nuisette encore plus transparente. Sa démarche était gracieuse, mais elle semblait gênée.

Nous sommes entrés dans la chambre. Nous avons déposé son mari sur le lit, retirer ses chaussures et juste desserrer la ceinture de son pantalon. Il semblerait que c'est là que tout a basculé. Mon copain m’a fait un clin d’œil, il s'est collé à elle et l'a poussée contre moi. Elle était sa tête entre nos deux torses. Elle semblait d’abord paniquée, pas pour longtemps, ce n’était qu’un jeu, après et elle riait assez fort. 

- Chut ! Tu sais que si tu fais du bruit tu vas réveiller ton mari. Lui dis-je tout bas.

Mon copain, qui était derrière elle, lui attrapa le menton pour rechercher ses lèvres. Moi, je lui caressais les seins puis descendait jusqu'à sa fente en passant sur le côté du string. D'un doigt je prenais possession d'elle. Elle n'était pas encore humide. Mon collègue l'embrassait maintenant à pleine bouche en lui dénudant les seins que je me mis à lécher. 

- S'il vous plait, pas ici. Pas dans la chambre, il peut se réveiller. Dit-elle dès qu'elle eut retrouvé son souffle. 

Nous sortîmes de la chambre et nous dirigeâmes vers le salon, en abandonnant le mari. Une fois arrivé je m'assis et lui dit :

- Viens là ! Près de moi.

Elle se rapprocha encore un peu effrayée. Je l'attrapai par les hanches et commençait à lui embrasser le ventre, en lui soulevant sa nuisette. Mon copain n'était pas inactif et tout en restant à côté d'elle, il lui pétrissait les seins et l’embrassait. 

Mes doigts avaient retrouvés le chemin de sa chatte, elle commençait à mouiller et j'en profitais pour lui glisser un doigt dans l'anus. Mon copain la fit alors se pencher vers moi. Je défis mon pantalon et lui donnait ma queue à sucer. 

Devant son hésitation je dus lui prendre la tête à deux mains pour lui donner du courage. En même temps, mon copain, l'enfila par derrière et d'après la grimace qu'elle fit quand il s’enfonça, je compris qu'il venait de l'enculer peut-être un peu rapidement sans préparation. 

Sous le coup de l'émotion je jouis dans sa bouche. Elle laissa couler la majeure partie de mon foutre. 

Puis, mon copain la coucha sur le dos sur le canapé et l'enfila de nouveau dans le cul. Au bout de quelques minutes, je m’approchais de nouveau de ses lèvres pour qu'elle me redonne une consistance. 

Mon pote semblait être une vraie machine à baiser. Il la limait en lui tenant les jambes au-dessus des épaules. Moi, je lui branlais le clito pendant qu'elle me suçait. 

- Tu aimes qu'il t'encule ?

- Oui ! Maintenant ça va mais il n'a pas été tendre au début.


- Oui dit mon copain, mais j'ai une grosse queue pour les petites femmes de ton genre.

- Et ton mari, il t'encule souvent ?

Elle me fit signe que non pour ne pas interrompre sa fellation. 

- Laisse-moi une petite place. demandais-je à mon copain. 

- Non ! S'il vous plait, pas les deux en même temps. 

- Allez, laisse nous faire on va y aller doucement.

Elle se leva alors se rassit sur lui comme il le lui avait demandé. Je voyais la bite de mon copain entrer et sortir de son cul, et sa chatte encore ouverte et ruisselante. Alors, Je m'engouffrais dedans. 

Elle était maintenant coincée entre nous deux. Je l’embrassais en lui massant les seins. Je sentais la bite de mon pote en mouvement avec la mienne. Elle commençait à gémir et semblait vraiment apprécier. Je sortis de sa chatte pour lui envoyer mon foutre sur ses seins. Au moment de jouir mon pote, sorti de son cul, la fit mettre à genoux et lui mit tout sur le visage.

Nous avons remis un peu d’ordre dans le salon puis avons fait un petit tour dans la chambre. Le mari n’avait pas bougé d’un poil, il ronflait très fort. 

Un peu plus tard, nous partîmes. Elle nous embrassa en nous remercient d’avoir raccompagné son mari. 

- Rassure-toi on ne laisse jamais les copains. Nous reviendrons de temps en temps te voir.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 7 octobre 2 07 /10 /Oct 21:29

Nous allons chercher Caro à la gare sous le chaud soleil. Lucie est arrivée à midi et nous accompagne. Caro sort du train, habillée très légèrement avec une petite robe à pois assez courte et décolletée. L'immense sourire dont elle me gratifie quand je lui fais la bise et qu'elle s'aperçoit que mon regard plonge dans sur sa poitrine fait monter ma température qui n'avait pas besoin de ça déjà!
On les installe dans la chambre à côté avec leurs bagages. Anne-So est à peine partie leur préparer un petit goûter que ces petites garces commencent à m'allumer un peu en se trémoussant sur le lit, jouant avec leur robe tout en riant… Le ton est donné pour ce début de séjour. La journée se passe au mieux avec un petit apéro sur le coup des 18h, barbecue dans le parc, discussion ensuite à la belle étoile…
Nous finissons par nous coucher et je fais l’amour avec Anne-Sophie en n’oubliant pas que les deux coquines ne sont pas très loin. Voulant un peu à mon tour les allumer et jouer, je m’active tellement qu’Anne-So hurle de plaisir malgré le fait qu’elle essaie désespérément de se contrôler. Une fois épuisés, je ricane en pensant à nos voisines et au spectacle sonore dont elles ont bénéficié.

Le lendemain matin, comme je le pense je suis le premier à me lever.
Je prépare la table pour le petit-déj avec pain, pain grillé, beurre, confiture, lait, etc…
A peine ai-je fini que j’entends Caro arriver et qui ouvre la porte avec un grand sourire. Je la prie de s’installer à table :

- « Mademoiselle est servie. Que souhaiteriez-vous qui ne soit pas sur la table ? » dis-je avec un air serviable.

Et là, du tac-au-tac, sans prévenir :

- « Que tu sois mon esclave sexuel et que tu me lèches pendant que je petit-déjeune » avec un air assez autoritaire et froid.
Je suis assez interloqué par sa demande mais le regard qu’elle me lance me fait plier. Et j’avoue trouver ça très excitant.
Je contourne la table, je relève la nappe et me place entre ses cuisses. Il faut dire qu’il s’agit d’une grande table de ferme avec une nappe qui descend jusqu’au sol, ce qui fait qu’on ne peut me voir si on n’est pas assis à côté de Caro.
Je sens son intimité. Quelle douce odeur, mêlant des senteurs intimes à celle du gel douche aux fruits exotiques. Je veux prendre mon temps mais je sens la main de Caro derrière ma nuque et qui me plaque. Je n’ai d’autres choix que de me mettre en action. Je la lèche avec application, voulant lui donner un maximum de plaisir et pourquoi pas la déconcentrer pendant qu’elle boit son café. C’est vraiment délicieux. Je passe ma langue le long de ses grandes lèvres, ma langue agace son clito et de mes lèvres je le suçote et l’aspire tout en faisant tourner ma langue autour.
Mon pouce commence a doucement la caresser et sans crier gare, je l’enfonce dans son vagin. Je sens un soubresaut parcourir Caro d’un coup qui manque de s’étouffer. Je continue mon œuvre. Elle coule de plus en plus dans ma bouche. Je la sens s’agiter de plus en plus. J’en profite pour lui caresser ses jambes si douces et si fines. Je m’arrête deux secondes pour reprendre mon souffle et je lui branle son clito ce qui la fait sursauter et pousser un petit cri.

- « Qu’est ce qui t’arrive ? C’est de me voir qui te fait sursauter ainsi !? »

Lucie venait d’arriver. Je vois que Caro est tout cramoisie.

- « Euh tu m’as surprise en fait. «

Et disant cela, elle rabat la nappe pour que je ne sois pas visible.

- « Oh, Dés a vraiment pensé à tout ! Quel ange ! Remarque, après le début de nuit qu’il nous a fait endurer, on mérite bien
ça non ? Faudra penser à nous venger ! »

Lucie s’installe à côté de Caroline, sans me toucher pour autant. J’ai bien entendu arrêté toute activité, attendant que cela se calme. De toute manière, Caro m’avait repoussé à l’arrivée de Lucie.
Je sens sa main repasser derrière ma nuque pour m’inviter à reprendre.
D’un coup, j’ai une idée. Les si jolies jambes de Lucie sont juste à portée et je commence à la caresser du bout des doigts. Elle se laisse faire croyant qu’il s’agit de Caro. Je continue à la lécher et mon index et mon majeur rentrent en elle très facilement après mes exercices buccaux précédents. Elle se met à respirer très bruyamment et Lucie soulève la nappe pour me trouver en pleine action, le visage tout barbouillé, ma barbe toute brillante.

- « Et bien dites donc vous deux ! Dès le matin, vous ne vous ennuyez pas !! »

De ma main de libre, je lui fais ouvrir les cuisses et commence à lui caresser l’entrejambe. Elle aussi est nue sous son tee-shirt long qui lui sert de nuisette. Et ainsi débute un ballet où je passe de l’une à l’autre de mes doigts, de mes lèvres, de ma bouche, batifolant, suçotant, caressant tantôt furtivement tantôt sensuellement avec mes deux petites garces qui gémissent et se trémoussent sous mes efforts. Cela dure quelques minutes quand j’entends la porte qui s’ouvre. Mes deux coquines s’arrêtent immédiatement. Moi de même.

- « Vous savez où est Dés les filles ? »

- « Non » répondent-elles toutes deux la bouche en cœur. « Il doit être dehors. »

- « Bon, ce n’est pas grave, je vais prendre ma douche et je reviens prendre mon petit déj’. A toute les filles ! »

Et la voilà repartie. Les filles me préviennent que je peux sortir. Je prends une serviette en papier pour m’essuyer un peu le visage, je vais ensuite à l’évier pour me passer un peu d’eau, et hop ! A table pour manger maintenant… Ni vu ni connu… pour le moment…

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 6 février 4 06 /02 /Fév 22:29


 Depuis notre dernière partie de baise, il me tardait de revoir mes cousines. Malheureusement, je ne voyais pas d’opportunité de les voir avant Noel. Heureusement, une bonne nouvelle m’est arrivée. Il s’agit d’une tante, la mère de Céline, qui m’appelle pour me demander si je pourrais récupérer Céline à la gare et l’emmener à l’hôpital car celle-ci doit faire des examens. Or comme ces parents travaillent, elle doit venir en train jusqu’à ma ville et je m’occuperai d’elle ensuite. Evidement, j’accepte volontiers de m’occuper d’elle. Même si ce n’est pas tout à fait de la même manière dont on parle elle et moi !

Le fameux jour arrive enfin, il est 9h30 quand son train arrive. Lorsqu’elle descend, je la repère immédiatement. Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, elle mesure 1m65 pour 55kg. Elle est brune et elle a de superbes yeux bleus. Elle possède une paire de seins extraordinaire : du 90C. Elle a aussi un joli cul bien rebondi et ferme. Elle porte une jupe qui lui arrive mi cuisse avec des collants et des talons. Dessus elle à un manteau beige qui a du mal à dissimuler son imposante poitrine. Elle s’approche de moi et m’embrasse langoureusement. Nos langues se mêlent alors que je remarque que plusieurs personnes nous regardent. Ils doivent trouver qu’elle est bien jeune par rapport à moi mais ils ne me gâcheront pas mon plaisir. Mais il est temps d’aller à son rendez vous. Nous montons dans la voiture et avant que je démarre, Céline se penche sur moi et ouvre ma braguette. Elle me dit qu’elle est trop en manque de bite et qu’elle veut mon jus avant de partir. Me voila donc au milieu du parking en train de me faire pomper par ma cousine. Elle me suce vraiment très bien. J’en profite pour caresser ses gros seins et sa chatte. Au bout d’un moment je fini par inonder sa jolie bouche pulpeuse. Nous partons pour l’hôpital.

Il est presque 13h quand nous en repartons. Nous allons manger dans une fameuse marque de fast food. Cela me rappelle de bons souvenirs avec ma tante ! Nous nous asseyons face à face, et rapidement je sens son pied se promener sur ma bite. Je sens que ma cousine est vraiment très chaude ! Sous la table, je caresse un peu ses cuisses. Je m’assois à coté d’elle et je passe ma main sous sa jupe. En même temps que je regarde dans son décolleté, j’insère un doigt dans sa chatte. Elle se trémousse de plaisir. Je devais normalement la ramener à la gare en fin d’après midi mais on veut passer la nuit ensemble. Elle appelle alors sa mère pour lui dire qu’elle doit attendre des résultats et qu’elle ne repartira que demain matin. Nous partons et elle me dit qu’elle a besoin d’acheter une nuisette pour dormir.

Nous allons donc en ville et nous allons dans un magasin pour en acheter une. Il y a beaucoup de monde. Elle veut me faire la surprise donc je ne vois pas les nuisettes qu’elle essai. Elle se rend dans la cabine d’essayage et me demande d’entrer pour l’aider au bout d’un moment. Lorsque je rentre, elle est totalement nue. Elle est tellement belle que je bande instantanément. Elle verrouille la porte et se jette sur moi. Nous nous embrassons. Je caresse ses seins, son cul et je titille son trou. Elle me déshabille et se met à genoux devant moi. Elle me suce et avale toute ma bite dans sa petite bouche. Je fini par la redresser et elle s’assoit les cuisses bien ouverte. Je lui fais un bon cunni. Elle doit prendre sur elle pour ne pas couiner trop fort. Je la redresse et la plaque dos à la paroi de la cabine. Puis je plante ma bite dans sa chatte. Elle ne peut s’empêcher de pousser un cri. Je la prends ainsi assez fort. Nous ne mettons même plus de capote. Elle mord mon cou pour ne pas crier. Son dos frappe la paroi et sa chatte et tellement humide que l’on fait pas mal de bruit. Cela fait un bon moment que je la prends et elle atteint l’orgasme. Je fini par jouir moi aussi dans le ventre de ma cousine. On se rhabille rapidement car on entend des gens qui râlent car la cabine est toujours occupée. Je lui ai pris son string pour qu’elle soit la chatte à l’air. Nous sortons l’air de rien même si les gens qui sont la depuis un moment on du comprendre ce qu’il s’est passé dans cette cabine. Pendant qu’elle paie, je remarque du sperme qui coule sur ses bas. Cela m’excite énormément.

Nous marchons un peu dans la rue et même si il fait assez froid, j’ai envie de la reprendre tout de suite dehors. Nous marchons vers les remparts. Nous trouvons un endroit assez isolé bien qu’il y ai des attractions pour enfants au pied du rempart où nous sommes. Je récupère le sperme qui coule sur ses cuisses avec mes doigts et elle les lèche. Elle se met face au rempart et bombe un peu du cul pour m’exciter. Je me place derrière elle et ouvre mon manteau. J’accroche mon manteau au siens grâce aux boutons. Ainsi, personne ne peut voir ce qu’il se passe sous nos manteaux. Je sors alors ses seins de son décolleté dont tout les médecins ont profité m’a-t-elle dit ! Je les malaxe bien et je sors ma bite. Je me frotte contre son cul. Je sens sa main qui attrape ma bite et qui vient la positionner devant son petit trou. Je m’enfonce alors doucement. Malgré son jeune âge, elle encaisse facilement cette sodomie à sec. Après seulement trois coups, mes couilles claquent déjà sur son cul. Elle couine un peu et l’on peut voir plusieurs mamans en contre bas qui regardent dans notre direction. Mais nous continuons en faisant moins de bruit. Alors que j’encule violement ma cousine sur ce rempart, je vois un vieux qui s’approche de nous. Il s’assoit sur un banc et se branle. Je le dis à Céline qui est toute excitée. Finalement, je jouis dans le cul de ma cousine. Celle-ci récupère son string et le donne à ce vieux monsieur qui hume directement l’odeur de la mouille de ma cousine et qui fini de se branler.

Nous rentrons à mon appartement. Nous matons un film porno enlacé l’un contre l’autre. Au bout d’une heure, je reçois un appel sur Skype. C’est Elina, mon autre cousine avec qui j’aime jouer. Nous arrêtons le film et nous parlons tout les trois. Elina est très déçu de ne pas pouvoir être là. Nous parlons un long moment et Céline me dit qu’elle va me faire ma surprise. Pour qu’Elina ne soit pas trop déçu de ne pas être présente, je lui propose de laisser la webcam allumée. Elle accepte. Céline nous demande de nous mettre nu et part. Je peux alors voir le corps dénudé de ma petite cousine blondinette. Je vois ses jolis petits seins et je remarque qu’elle mouille beaucoup. Lorsqu’elle revient, Céline porte une superbe nuisette à moitié transparente qui met très bien en valeur ses formes. Elle fait alors un strip-tease très chaud et érotique au quel ni moi ni Elina ne perdons une miette. Puis Céline commence à me sucer la bite. Elle lèche mes couilles aussi. Grâce à la webcam, Elina est virtuellement avec nous et elle se branle. Je lui dis d’aller chercher le gode que je lui avais offert. Pendant ce temps, je me branle dans les gros seins de ma cousine. Puis je lui lèche la chatte et j’enfonce des doigts dans son cul. Elina me dit alors de la prendre en levrette. Céline se met donc à quatre pates en face de la webcam et je me mets derrière. Je la culbute et je vois Elina se goder en rythme avec ma bite. Dans l’écran, je me vois aussi en train de sauter Céline et je trouve très excitant de voir ses gros nichons se balancer dans tous les sens. Puis je m’allonge sur le dos. Je pose le pc à coté de ma tête. Céline vient s’empaler sur ma bite. Elle enfonce mon pieu dans son cul. Elle se laisse tomber dessus directement jusqu’au bout en poussant un cri de plaisir énorme. Elle se secoue sur moi et j’attrape ses gros seins dans mes mains. J’entends aussi les gémissements de mon autre cousine et je vois dans l’écran qu’elle se gode le cul très rapidement. Cette dernière jouis assez rapidement. Elle regrette de ne pas pouvoir bouffer mon sperme. Céline se relève alors et me fait mettre à genou devant le pc. Elle me suce un peu. Elina peut voir sa chatte toute humide par la cam. Puis Céline me fais jouir sur la webcam qui est alors recouverte et dit à notre cousine que ce sperme est pour elle !

Elina se déconnecte et nous allons prendre une douche. Sous la douche je bouffe son cul et nous sortons rapidement. Je la balance sur mon lit et tire son cul sur le rebord. Elle est allongée sur le lit, les jambes sur mes épaules. Je la prends sauvagement. Avec mes mains je malaxe ses seins. Elle hurle de bonheur. Puis je la mets sur le coté et je la prends en cuillère. Nous avons un énorme orgasme ensemble. Nous nous endormons ainsi, ma bite dans sa chatte, l’un dans les bras de l’autre. Nous étions tellement fatigués que nous nous sommes réveillés en retard le lendemain. Nous n’avons pas eu le temps de baiser avant qu’elle ne reparte. Nous avons échangé un dernier baiser passionner et j’ai caressé son cul pendant cinq minutes avant qu’elle ne doive monter dans le train.

Le soir, sa mère m’a appelé pour me remercier de s’être bien occuper de ma cousine. Je lui ai répondu que cela avait été un plaisir et que si elle avait encore besoin il ne fallait pas hésiter un seul instant ! En rentrant chez moi, j’ai aussi trouvé la nuisette de ma cousine toute pleine de mouille. Quand je lui ai dit qu’elle l’avait oublié, elle m’a dit qu’elle préfère que sa mère ne trouve pas de nuisette si sexy dans sa chambre et que je n’avais qu’à la garder pour la prochaine fois. J’espère qu’elle reviendra vite !

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 6 septembre 5 06 /09 /Sep 22:25

Il y a quelques déjà temps, j'ai regardé une vidéo sur un site internet qui m'a donnée une superbe idée. L'histoire commence par une séance de massage chez un masseur. Quoi de plus normal si ce n'est qu'à la suite du massage relaxant, le masseur entame un massage plus sensuel et finit par un massage carrément sexuel.

Donc, je me suis dit qu'avec les connaissances que j'ai du massage, puisque j'ai été préparateur physique d'une équipe de rugby, il y a quelques années, je pourrai mettre en pratique cette activité de masseur pour des jeunes femmes qui se sentent quelque peu en manque de forme. Et, pour faire un premier essai j'ai fait appel à ma belle sœur Myrice pour me servir de cobaye.

Mardi en début d'après midi, elle arrive à la maison où, une fois de plus je suis tout seul. Je lui explique en quelques mots le topo. Mais ce que je ne lui dis pas c'est la suite et surtout comment se passe la fin après le massage pour, faire comme dans la vidéo. Car c'est cette partie qui est la intéressante à mes yeux !!! Et, à peine surprise, par mes explications, me dit comme ça.

Mais c'est une bonne idée de proposer des massages relaxant. Tu sais, j'ai mes copines Stéphanie et Marie, que tu connais, qui seront sûrement intéressées.
Tu crois qu'ici, je pourrai avoir une clientèle ?
Bien sûr, il y a plein de jeunes femmes, ici, qui vont se faire masser à Bertoua et même à Yaoundé.
Alors, c'est un bon plan !!!
Oui.
Je te propose un truc. A travers toutes les personnes que tu connais, tu pourrais me trouver des clientes ?
Oui bien sûr. Je connais des filles ici, à Bertoua et, ailleurs aussi !
Alors, je pense qu'on va faire une bonne équipe toi et moi.
Oui. Mais pourquoi, on est pas déjà une bonne équipe ? Tu sais, avec tout ce qu'on a déjà fait ensemble, je crois qu'on peut faire plein de truc encore.
Si, ça c'est vrai. En attendant, on va essayer cette séance de massage. Pour voir comment ça se passe et si la technique est bien la bonne !

Alors, nous rentrons dans le petit salon où j'avais installé une table de massage. Je lui demande de bien vouloir s'installer.

Mets toi à ton aise. Déshabille toi.
Je quitte quoi ?
Et bien, tu te déshabilles entièrement.
Même mon string ?
Oui bien sûr, même ton string. Pour pouvoir te masser le corps entièrement.
D'accord !!!

Myrice ôte ses vêtements et sous vêtements comme je lui ai demandé et s'allonge à plat ventre sur la table de massage.

Pour faire comme les pros, je lui pose sur les fesses un serviette pour les lui couvrir un peu et les maintenir un peu plus au chaud même si la température ambiante est bien au dessus des 28°. Je prends dans le creux de la main une petite quantité d'huile et, je commence à lui enduire le dos. Puis, je commence le massage proprement dit par de lents mouvements souples mais assez précis afin que l'huile pénètre bien dans la peau. En premier, je lui fais les épaules puis, les bras, les trapèzes et la nuque. Puis je descend petit à petit le long de sa colonne vertébrale jusqu'à la taille.

Deuxième étape. Je reprends de l'huile pour lui masser la partie basse. Après lui avoir masser les pieds et les mollets, je remonte vers ses cuisses et j’atteins enfin les superbes fesses de mon cobaye du jour que je masse avec beaucoup d'insistance. Je les malaxe, les pétris dans tous les sens. Et puis, ma main passe délicatement entre ses monticules que sont ses fesses et glisse lentement le long de sa raie et, finit par atteindre sa vulve lisse. Là, ma chère belle sœur, sentant mes doigts passer sur les abords de sa minette me dit.

 

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 Oh, mais c'est comme ça que tu fais un massage toi ?
Et oui ma chère. C'est un massage relaxant et sensuel.
Et, tu vas me masser tout le corps comme ça ?
Oui. Maintenant si tu veux bien te retourner et t'allonger sur le dos, je vais te masser la partie avant.

Ma complice se retourne et, s'allonge à nouveau. Je reprends une dose d'huile que j'étale sur ses épaules, ses seins pour finir par son ventre et recommence le massage. Je remonte vers ses deux superbes obus que je malaxe avec beaucoup de douceur puis, m'attarde quelques instants sur ses tétons qui se redressent instantanément.

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 Dis moi, Monsieur le masseur, c'est vachement bon ce que tu me fais là !!!
Mais, attends ma chère, ce n'est que le début. Tu vas voir la suite !!!
ah Ok. Alors dépêche toi de me montrer. Je suis impatiente de voir !

Je reprends encore un peu d'huile dans ma main et lui enduit les cuisses et enfin le pubis. Je lui ouvre largement les cuisses pour me libérer l'accès à sa vulve que je recouvre d'huile et que je masse avec délicatesse. Mes doigts longent ses grandes lèvres puis, subtilement mon majeur prend la direction de l'entrée de son sexe entre ses petites lèvres qui sont déjà bien chaudes. Je les lui écarte afin que le visiteur puisse se glisser à l'intérieur tout en faisant rouler son clitoris entre les doigts de ma main gauche.
Après ses quelques caresses pratiquées avec attention mais insistance, ma belle sœur s'est mise à soupirer puis, les premiers spasmes apparaissent, son corps se met à osciller. Elle se tortille comme un vers et...

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 Ah cette fois, tu es en train de me faire partir dans les nuages !

 

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 Déjà. Qu'est ce que tu es sensible ?
Tu le sais. Dés que tu me touches mon bouton d'amour, je m'envole.
Et, tu vas à Rio, comme dit la chanson !
Non, je vais pas à Rio. Je reste bien au Cameroun. Mais, avec tes doigts de fées, à chaque fois c'est la même chose. Tu me fais jouir.

Et voilà ma belle sœur encore une fois comblée. Bon, je dois aussi vous dire que le fait de lui masser sa petite chatte m'a fait monter une érection qui est bien visible dans mon jogging.

Myrice s'en apercevant me dit aussitôt.

Mais dis moi, tu bandes ? Viens plus près, je vais m'occuper de ça tout de suite !

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 Donc, je viens me placer devant elle près de sa tête. Elle me défait le cordon du pantalon, sort la bête de sa prison et la fourre aussi sec dans sa bouche, pour me faire une fellation dont elle a le secret.

Pour ne pas être en reste, du temps qu'elle suce son bâton, je me remets à lui masser ses gros obus (90C+) et, tant bien que mal j'arrive tout de même à atteindre sa vallée des merveilles, dont la sécrétion commence à s'écouler entre ses fesses. Là, je me dis que c'est le moment de passer à l'étape suivante. Mais, c'était comme si, avec Myrice, on s'était téléphoné. Car juste à ce moment là, elle relâche l'emprise et me dit avec beaucoup d'envies.

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 Dis moi, mon masseur préféré, tu ne penses pas que ce serait le moment de venir me visiter ma petite minette ? Elle est toute mouillée !
Et bien, tu vois, c'est ce que je m'apprêtais à faire !

 



 Je lui demande de se mettre sur le bout de la table jambes ouvertes qu'elle relève pour venir les placer sur mes épaules et, je viens présenter ma verge raide à l'entrée de sa vallée des merveilles. C'est vrai qu'elle mouille tellement que l'instrument n'a aucune peine à se retrouver tout au fond de la caverne de ma belle sœur qui me dit aussitôt.

Heum, que c'est bon. Ça faisait longtemps que tu ne me l'avais pas donné, ta banane... !
Et oui, je sais. Mais l'occasion ne s'était pas présentée.
Aller vas y. mets ton marteau niqueur en route que je jouisse.

Ce désir étant comme un ordre, je me mets en action tout de suite et, commence à lui limer sa fente brûlante et dégoulinante de cyprine.
Quelques minutes plus tard la belle Myrice commença à soupirer et, les soupirs, se transformèrent très vite en gémissements et, la suite c'est elle qui vous le dit.

Oh vas y, encore, tu me fais jouir comme une dingue. Elle est bonne ta queue. Qu'est elle me fait du bien !!!
C'est vrai Mimi ?
Oui. Jamais un homme m'a fait m'envoler comme ça. Avec toi, à chaque fois c'est une explosion. C'est que du bonheur !!!
Mais dis moi Mimi, je dois te dire qu'avec toi, je me régale au point que je préfère même faire l'amour avec toi plutôt qu'avec ta sœur.
Chaque fois que tu me fais l'amour, je suis au septième ciel. Tellement je jouis.
Moi aussi. Si tu veux savoir.

 

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 Après ces belles paroles, elle relâche l'étreinte et, je lui demande si elle veux bien changer de position. Elle se met à quatre pattes sur le bord de la table m'offrant ainsi ses fesses que je m'empresse de caresser sans modération et, sans oublier de venir taquiner sa petite rondelle plissée. Vu la quantité d'huile que je lui ai appliquée pendant le massage, elle est bien lubrifiée et là, je pousse même le vice du lui pénétrer avec le doigt.

Là, ma belle sœur se retourne vers moi et me dit.

Attends un peu. Soit pas pressé. Tu y auras droit tout à l'heure.
Ça je sais. Mais tu sais, c'est trop tentant.

Je reprends ma verge en main et, lui présente à l’entrée de sa vallée profonde. Un petit coup de rein et hop, voilà le mandrin totalement immergé dans l'abîme de son volcan. Quelques va et vient suffisent pour qu'à nouveau la belle Myrice entame sa chanson que j'aime écouter tellement elle y met du cœur.
Après un bon quart d'heure d'ajustage, je lui propose de finir par une sodomie. Ce qu'elle accepte, bien sûr, avec enthousiasme. Car depuis que je lui ai fait découvrir, elle aime ça par dessus tout.

Donc, vu qu'elle est déjà dans la bonne position, ce n'est pas compliqué. Je n'ai juste qu'à changer d'orifice. Je me retire de sa fente dégoulinante et sans aucun problème je peux insérer ma verge dans son étroit fourreau.
Là, ma coquine de belle sœur me dit.

Aller mon étalon, chevauche ta pouliche. Envois là dans les étoiles.
Mais oui, ma belle sœur. Je vais t'inviter à un voyage sur la lune, si tu veux même !!!

Là, je recommence à lui pilonner le fion comme d'habitude. J'y met tout mon cœur. Car je sais, par expérience, qu'elle adore quand lui bourre son petit trou. Elle se remet à chantonner sa complainte et, plus je la bouscule, plus elle jouit. Encore un quart d'heure passé à lui défoncer sa rondelle quand, subitement, les spasmes de l'éjaculation se manifestent.
C'est dans une excitation gigantesque que je lui expédie tout au fond de ses organes trois ou quatre saccades de sperme chaud. Je retire ma verge de son étroit fourreau. Je m'approche d'elle. Elle la prend dans la main et, l'enferme dans sa bouche afin d'aspirer les dernières gouttes de ce délicieux breuvage. Pour finir, elle pousse même le vice de se lécher les lèvres et, en me souriant me lance à la figure.

Tu en as pas encore un peu... !
Malheureusement non. Je t'ai tout donné.
Dommage, parce que j'en prendrai bien encore un peu.
Attend. Je vais peut être t'arranger le coup, deux secondes.

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 Je reviens à la source. Je remarque que mon nectar commence à s'écouler de son petit trou. Avec mes doigts, je récupère tout ce que je peux et, lui propose. Elle lèche avec gourmandise le reste de la liqueur que je lui offre. Puis me dit toute réjouit.

Merci mon chéri. Tu es un amour. Je t'adore.
Moi aussi Mimi. Tu sais que je ferai tout ce que je peux pour te satisfaire un maximum.
Bon c'est pas le tout, maintenant que tu m'as bien épuisé, il va falloir que je te laisse. Car je dois me préparer pour partir demain de bonne heure.
Ah et, où vas tu ?
Je vais à Malabo pour mon commerce. Je dois rencontrer un de mes fournissuers.
Tu veux que t'accompagne ?
Merci, c'est gentil. Je pars avec Mamadou, mon chauffeur que tu connais.
Ok. alors avec lui, je suis tranquille. Je sais que tu seras bien protégée. Je vous souhaite un bon voyage.
Merci Régis. On se voit dés mon retour ?
Ok. pas de soucis. Tu viendras te faire masser ?
Oui bien sûr. Comme aujourd'hui ?
Si tu veux. Ce sera avec plaisir.
Pour moi aussi !!!

Myrice vient vers moi, après s'être nettoyée au cabinet de toilette, pour me dire au revoir. Elle me donne un énorme baiser auquel je réponds avec enthousiasme. Une fois qu'elle s'est éloignée, je me précipite, aussi, vers le cabinet de toilette où je vais me prendre une bonne douche.

En conclusion, je crois bien que je vais mettre à profit cet humble savoir sur l'art du massage et, comme ça, j'espère que je ferai du bien à quelques jeunes femmes qui voudront me faire confiance. Tout ce que j'espère c'est que les copines de Myrice, Marie et Stéphanie, vont venir rapidement en attendant d'éventuelles autres clientes à masser... !

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 26 juin 3 26 /06 /Juin 22:10


Nous sommes samedi après-midi et une sortie entre fille se profile… Nous nous ne sommes pas revue depuis une éternité, nous choisissons un bar / restaurant argentin dans Paris et nous y donnons RDV vers 20h00.

Ce soir-là après avoir passée une heure devant ma penderie je choisis de jouer la carte sexy, juste pour le plaisir de me sentir belle. J’enfile une guêpière et des bas noirs, une jolie robe avec un décolleté suffisant pour ne pas être provoquant mais mettant mes jolis seins en valeur.
J’enfile des escarpins à talons hauts et c’est parti.

Bloquée sur le périph, je me laisse aller à repenser à la semaine que je viens de passer et la nuit secrète passée avec mon amant. Un coup de klaxon me sort de ma rêverie et je réalise que je mouille en y ayant juste pensé. Arrivée sur place je repère l’endroit et rejoins les deux filles déjà là. Il fait frais et on décide d’attente à l’intérieur. La déco est typique et l’ambiance incroyable. Une fois tout le monde arrivé et en filles dignes de ce nom, nous passons à table et fêtons cette soirée en commandant un apéro, puis deux. De là où je suis j’ai une vue sur toute la salle, je balaye la salle du regard et je m’arrête sur le visage d’un homme assis au bar qui me regarde droit dans les yeux. Son regard me transperce. Un frisson me parcourt. Je tourne la tête mal à l’aise. Je n’ai qu’une envie c’est de regarder à nouveau s’il me regarde mais je m’efforce de ne pas le faire. On commande les plats et le serveur m’apporte un mojito que je n’ai pas commandé, je m’apprête à lui indiquer qu’il doit se tromper mais il me prend de court et me dis « offert par le Monsieur au bar » et m’indique de qui il s’agit. Je tourne la tête et bien sûr c’est lui ! Je lui souris et le remercie de loin. Ça met la table en ébullition et les filles, déjà très en forme de par l’apéro, décident de poursuivre la soirée en allant danser après le diner. Habituellement je décline mais là j’ai besoin de me défouler alors j’accepte. La fin du diner passe vite, on quitte le restau vers 23h30 et c’est en passant près de la porte que je passe près de lui. Je mets ma timidité de côté et le remercie :


- Bonsoir, merci pour le verre.
- C’est avec plaisir que je vous en offrirai un second…
- c’est gentil mais nous partons…
- je vois ça… - il tente de savoir où nous allons, bien que je sois convaincue qu’il le sache déjà vue le manque de discrétion dont nous avons fait preuve - Mes amis et moi allons également finir la soirée ailleurs peut-être nous reverrons nous…
-Peut-être. Bonne soirée alors.


Je sors le plus vite possible, je tremble de partout, je tiens à peine sur mes jambes. Je suis à la fois déçue et soulagée car je n’aime pas les hommes qui me font perdre le contrôle de moi-même…
Arrivée sur notre lieu de destination, nous entrons et nous lançons à l’assaut de la piste de danse. Après s’être raconté nos péripéties de ces derniers mois on se vide la tête. On chante on danse on boit, certaines se font draguer. Je m’arrête pour aller boire de l’eau quand je sens quelqu’un derrière moi, très près. Mal à l’aise je me retourne et là je m’arrête. Il est là avec ses yeux verts, son jean impeccable et sa chemise bleue.

Il me lance : « Le hasard fait bien les choses… »

Il s’approche de moi et on commence à danser. Il danse bien et m’entraine. Il pose ses mains sur moi et sans que je sache pourquoi je le laisse faire. Il m’embrasse le cou, m’attire contre lui et d’un coup m’embrasse. A cet instant précis je perds le contrôle de tout ce qui va suivre.


Mes copines sont scotchées, je le sais. Je sens leur regard sur moi. Tant pis, je me laisse emporter. Nous avions prévus de dormir chez l’une d’entre nous pas très loin, et au lieu de ça je me retrouve dans un taxi avec un inconnu. On ne va pas loin, 5 minutes de voiture pas plus. Il m’embrasse sans cesse, dans l’ascenseur il me colle à lui et je sens son sexe dur à travers son pantalon. Je me retrouve dans un appartement parisien chic et décoré avec gout. J’enlève mon manteau et aussitôt je me retrouve sur le plan de travail en marbre de cette cuisine américaine à tomber par terre. Ses mains glissent sous ma robe pour y découvrir mes bas et mon string en dentelle fine. Sa bouche se perd sur mes seins, je défais sa chemise et découvre son torse musclé. Il défait alors ma robe et la fait glisser sur mes hanches. Trouvant que cette position n’est pas très pratique je lui demande s’l n’a pas de lit…


Il m’emporte dans une chambre, se débarrasse de ma robe et découvre l’ensemble de mes sous-vêtements. Je détache son pantalon et constate qu’il est très excité. Je le pousse sur le lit et lui ôte son boxer. Je commence alors une fellation délicate afin de savoir s’il apprécie, je comprends vite que oui, alors je m’active plus vite, plus intensément, je le branle, je l’entends gémir et ça m’excite encore plus. Il me débarrasse de mon string et commence à caresser ma chatte après avoir constaté

 

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 mon excitation. Il utilise ma mouille pour me lubrifier l’anus et y entrer doucement. Après 10 bonnes minutes je me retrouve prise à mon propre piège, cet inconnu à bout, se vide dans ma bouche. J’avale donc comme je peux et tente de faire semblant de maitriser… Heureusement il est gratifiant car c’est ensuite à mon tour de jouir… Jamais un cunni n’a été aussi bon. Il me doigte sans arrêter de me lécher le clitoris, il joue avec, il m’emmène au bord de l’orgasme puis s’arrête et recommence. Il remet ses doigts dans mes fesses et l’ensemble me met dans un état second. Quand je finis par hurler « fais-moi jouir » il accède à ma demande, arrête de jouer et je jouis aussi fort que jamais. L’espace d’une seconde je repense à mon amant, mercredi nous avons fait l’amour plusieurs fois, que pensera-t-il de tout ça ? Peu importe je ne lui appartiens pas !

Je chevauche mon inconnu et commence à lui faire l’amour.

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Son sexe en moi est une délivrance. Nous restons un moment dans cette position, je sors de lui et me retourne, il entre en moi dans l’autre sens et c’est très agréable de l’entendre gémir. Je me laisse aller et me caresse en même temps. Il se relève et me prend en levrette avec une vigueur incroyable. Il me tire les cheveux et me force à me relever vers lui afin de pouvoir toucher mes seins, il les malaxe tellement fort que ça fait presque mal. Je me laisse retomber et il continue si fort que je ne sens plus rien.

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C’est tellement bon que j’oublie tout. Il me défonce littéralement la chatte pendant plusieurs minutes encore avant de sortir pour entrer par l’autre trou. Je n’ai pas l’habitude et il le comprend vite, alors il entre doucement guettant mes réactions, il me dit de me caresser en même temps pour ne pas y penser, je m’exécute et en effet ça marche assez bien. Il commence un va-et-vient lent puis plus rapide, je me concentre sur mon clitoris jusqu'à jouir et je le sens m

10031523.jpge remplir le petit trou. Je retombe sur le lit et aperçois un réveil. Il est 3h30 du matin et je suis loin de me coucher…

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 11:00


                      Chantal m’avait particulièrement surpris pendant cette soirée avec le représentant EDF. Je ne voulais pas laisser passer trop de temps avant de voir jusqu’où elle pouvait aller. Je savais qu’il me faudrait anéantir ses principes bourgeois étriqués pour la faire se libérer.
Sur une idée de lecture d’un texte érotique, j’ai voulu faire vivre à Chantal la même aventure. En allant plus loin.
Ma femme aime beaucoup les arabes. A chacun de nos voyages dans le Maghreb, elle a toujours répondu avec chaleur aux dragues un peu grossières parfois des hommes de là bas. Se faire traiter de « gazelle » la faisait sincèrement rire. Moi cela m’excitait, mélange de voyeurisme et de jalousie. Les séances de thé servi assis par terre pour se faire fourguer un tapis, étaient surtout pour moi l’occasion de m’exciter à la voir faire bander de jeunes vendeurs convaincus que la belle étrangère était à deux doigts de succomber à leurs charmes.
Près de chez nous habite un marocain que je trouve très sympa. Je sais que Chantal ne lui ferme jamais la porte quand il vient lui rendre visite. Pourtant, il n’est plus très jeune (50 ans), ni très beau. Je me suis aperçu qu’il ne manquait jamais de mater une partie du corps de Chantal et même qu’elle se laissait regarder avec comme qui dirait de la gentillesse et de la compassion :
- « Le pauvre, si loin de sa femme ». Perverse Chantal !
J’ai donc imaginé l’emmener dans un bar du fin fond de quartier arabe de notre ville. Il y a là, près du port, tout un ensemble de bars, restaurants où la communauté arabe vit modestement mais joyeusement. J’y vais une première fois dîner avec un copain pour mesurer l’ambiance et la fréquentation. Le patron, un algérien d’une soixantaine d’années est très sympathique et ne semble pas trop à cheval sur les principes.
Je n’ai pas de mal à convaincre Chantal d’y aller un soir dîner d’un succulent couscous traditionnel. Je ne lui fais pas du tout part de mes intentions. Je la laisse s’habiller sobre même si d’elle même elle met un chemisier blanc qui laisse voir sous une veste tailleur croisée, par moments, le soutien gorge par transparence. Un simple jean avec des chaussures à talons, complètent son habillement.
Quand le patron, qui ne m’a pas reconnu, nous installe à la table au fond de la salle, Chantal a déjà été repérée par la plupart des clients présents.
Le repas se déroule simplement. Elle fait l’objet de regards mais tout ceci reste discret. Chantal est radieuse, heureuse de se trouver dans cette ambiance méditerranéenne. Fière je crois d’être regardée par des maghrébins. Le patron est avenant, plein de prévenance, et à la fin du repas il nous offre un petit digestif de là-bas. Chantal est un peu pompette et rit facilement. Elle ne fait plus du tout attention à sa veste ouverte qui laisse voir maintenant son chemisier transparent et son soutien gorge blanc. Le patron reste bien longtemps penché sur la table à mater sans vergogne ce que Chantal lui dévoile. L’ambiance est chaude et elle rit de plus en plus fort. Toute la salle maintenant a les yeux braqués sur notre couple. Je reste discret mais je sens ma bite qui me fait mal dans mon pantalon. Je décide de rentrer et en payant l’addition j’entends le patron dire à Chantal qu’elle sera toujours la bienvenue. On quitte le restaurant sous les regards de tous ces hommes dont on devine qu’ils sont déçus de notre départ. Dehors, elle m’avoue qu’elle a terriblement apprécié cette soirée. Je m’en doutais un peu.
Cette soirée m’a terriblement excité et je voulais encore aller plus loin.
Quelques semaines plus tard, je propose une soirée restau à Chantal. Je lui demande si elle a une idée où aller et là je ne suis qu’à moitié surpris quand elle me propose de retourner manger un couscous dans ce même restaurant. Je suis aux anges, inconsciemment elle me tend la perche.
- « Tu leur avais fait de l’effet l’autre soir, dis-je »
- « Je les aime bien, ils sont toujours joyeux »
Je lui demande de s’habiller sexy, plus pour moi que pour les voyeurs. Me connaissant, elle refuse, hésite et se laisse aller à des vêtements stricts mais un peu sexe. Chantal n’est jamais partante d’emblée pour mes fantasmes. A chaque fois elle refuse, j’insiste et même parfois j’utilise des stratagèmes pour arriver à mes fins. Mais je ne suis jamais déçu car une fois dans l’action elle participe pleinement. Il faut simplement la soumettre car elle est peu docile.
Jupe portefeuille fendue sur le côté, évasée, longue, elle arrive juste sous les genoux, veste tailleur boutonnée par deux boutons cachant à peine un chemisier transparent sous lequel elle porte un soutien gorge de la même couleur, comme la première fois. Je sais que c’est une tenue bonne à l’exhibe. Mais elle pense surtout à la convivialité de ces endroits et à me faire plaisir.
En réservant, je me fais reconnaître. Je me lâche :
- « Le couple avec la jeune femme qui aime bien les ambiances chaudes et être regardée ». Il comprend tout de suite.
- « Je te réserve la table au fond face à la salle. C’est un plaisir de vous revoir et profiter de la beauté de ta femme ». Le tutoiement me fait plaisir.
Entrée dans la salle de restaurant. Il y a ce soir là une dizaine de personnes. Essentiellement des hommes. Les femmes sont à la maison. Ils discutent bruyamment et joyeusement. L’entrée de Chantal ne passe pas inaperçue. Une femme d’abord, belle et habillée sexy comme on le voit quand je lui enlève son manteau. Un silence…
Rapidement les conversations reprennent de plus belle mais les regards sont souvent dirigés vers elle. Le patron nous a bien reconnus et il vient rapidement nous placer. Table du fond, face à la salle, tous les deux sur la banquette.
Il ne manque pas de regarder dans l’ouverture de la veste si par hasard, le chemisier était ouvert. Le souvenir de la première fois est tenace. Il s’y prend d’ailleurs à plusieurs reprises ce qui n’échappe pas à Chantal et la fait sourire. Elle est déjà dans le bain. Notre table est exposée face aux autres dans la salle. On est visibles de tous.
Le coucous qu’on nous sert est Royal ! Le vin qui l’accompagne est un peu lourd et visiblement il monte à la tête de Chantal qui est maintenant vraiment gaie. Le patron vient souvent nous voir et à chaque fois il s’arrange pour remplir nos verres. Une bouteille puis deux.
Le dîner se termine vers minuit. Le restaurant est encore plein, bruyant. Soudain, le patron met la musique un peu plus fort. Une jeune femme arabe, la seule, se lève et se met à danser au centre de la salle. Autour, on frappe des mains pour accompagner la danse. L’ambiance est joyeuse. Deux jeunes arabes superbes ont rejoint la danseuse et l’accompagnent dans des mouvements très sensuels. Chantal, de sa place regarde et bas des mains au rythme de la musique. Elle est radieuse.
Une des jeunes s’approche de notre table et l’invitent à les rejoindre. Sans hésiter une seconde, Chantal se lève et se met à danser sous les applaudissements des spectateurs qui petit à petit vont devenir voyeurs. L’atmosphère se charge de sensualité. La jeune arabe, fatiguée regagne sa place laissant Chantal seule danser avec ses deux cavaliers. Elle ondule ses hanches, cambre son ventre en avant, en arrière, elle projette ses fesses, balance ses épaules. Elle secoue sa tête pour faire danser ses cheveux. Ses cavaliers se font de plus en plus proches, à la toucher. Elle rit, les provoque, affrontant leurs ventres, leurs sexes. Autour, on frappe toujours des mains. Un des jeunes s’approche d’elle et en riant, lui enlève sa veste de tailleur. Quand elle se penche, maintenant, secouant ses épaules, son chemisier baille laissant voir son soutien gorge. Les deux jeunes peuvent mater les seins à peine cachés qui ballottent au rythme de la musique. Chantal à cet instant est partie dans son trip de danse. Je la connais, elle ne se rend pas compte de l’effet sexe qu’elle exhale, diffuse. Autour, plus personne maintenant est dupe. Elle s’exhibe.
Chacun mate la femme blanche qui danse sexy. Sa jupe, lâche, flotte au gré de ses mouvements. Par moments, elle s’ouvre sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de la culotte. Sans vraiment s’en rendre compte, comme le ferait une danseuse espagnole, elle attrape le bas de sa jupe et la fait voler, découvrant volontairement cette fois ses cuisses au regard de l’assistance.
D’autres clients se sont levés et entourent la danseuse. Chantal rit, heureuse. Les hommes sont devenus des voyeurs, ils deviennent peloteurs. Chantal toujours tout sourire, les écarte gentiment.
On la fait danser, elle accepte de se montrer petit à petit. Je me lève et relève la jupe pour l’accrocher à sa ceinture et découvrir ses fesses. Elle refuse et la rabat. Toute la salle crie au scandale, alors en riant, elle l’accroche à nouveau mais en plus elle défait un autre bouton de son chemisier, comme pour mieux respirer. A chaque fois qu’elle tourne sur elle même, la jupe dévoile ses jambes et sa culotte blanche soulevant des cris de joies dans l’assemblée.
On la pousse à aller plus loin. Un jeune se détache qui s ‘est mis à danser à côté d’elle lui défait en riant l’autre bouton de son chemisier. Chantal le laisse faire. Il s’ouvre jusqu’à la ceinture, dévoilant son ventre. Elle danse en rythme avec lui, ondulant des hanches et du ventre dans des mouvements de plus en plus sexy. Pour l’accompagner, il lui passe une main à la taille et l’attire à lui. Dans la salle c’est la folie. Les uns crient, simples spectateurs, d’autres se sont levés et entourent en frappant des mains les deux danseurs. La température monte dans la pièce. Chantal a chaud, elle est toute rouge. Tout en dansant, elle dégage le chemisier de sa jupe et l’ouvre complètement. Il vole, la laissant pratiquement en soutien gorge. Je pense qu’elle danse encore dans sa tête même si elle sent bien l’effet qu’elle exhibe. Moi, je suis déjà en érection, tellement mon plan se déroule comme prévu. Le patron s’avance vers elle et en un clin d’œil, il lui enlève le chemisier. Chantal ne proteste pas. Son soutien gorge est pigeonnant, donnant un relief de rêve à ses seins qui ballottent au rythme de la musique arabe. Par moment, une bretelle tombe, dévoilant le côté d’un sein. Chantal la remet plusieurs fois en place. Puis lassée, elle laisse les deux bretelles tomber de ses épaules. Ses épaules nues donnent une vision encore plus sexy de son corps. Elle transpire tant elle se donne en spectacle. Pour elle, si elle danse en soutien gorge, c’est qu’elle a chaud. Le soutien gorge descendu est à la limite des aréoles de ses seins. On regarde, prêts à voir l’interdit.
Voilà plus de quinze minutes qu’elle danse maintenant. Plusieurs de ses cavaliers ont rejoint leur place. Deux l’accompagnent toujours, de plus en plus collants.
Et quand l’un d’eux se met à lui détacher sa jupe, elle refuse et vient me rejoindre complètement hors d’haleine. Le patron nous apporte à boire, de l’eau mais aussi un alcool fort de là-bas. Chantal récupère. Elle remet sa veste oubliant son chemisier abandonné sur une chaise.
Pour beaucoup, le spectacle est fini et la salle se vide en partie. Seuls, les deux jeunes, un vieil homme bedonnant et le patron restent avec nous.
Le patron ferme discrètement le restaurant, comme je le lui ai soufflé, pervers. Il est tard. Il reste les deux jeunes, un vieux et le patron. Il s’approche de nous et nous sert un autre verre. Chantal le boit d’un trait. Elle est un peu partie. L’ambiance, la danse et l’alcool tout pousse à l’abandon. Fatiguée, elle repose sa tête sur mon épaule. Doucement je tire vers le bas son soutien gorge pour dévoiler ses seins. Elle se laisse faire.
Après quelques minutes, elle se lève et demande de la musique. Je suis fou. Elle enlève sa veste de tailleur, remonte son soutien gorge et quand la musique revient elle se remet à danser à nouveau. Mais cette fois, le rythme est plus lent, langoureux. Chantal se fait plus chatte. Ses mouvements ne sont pas pour autant moins sensuels. Elle mime maintenant seule au milieu de la pièce des mouvement d’amour. Je ne la reconnais plus. Très souvent je la vois qui adresse des regards appuyés aux deux jeunes qui la regardent assis à califourchon sur une chaise. Ils lui sourient, complices. Je suis sûr maintenant que c’est pour eux qu’elle danse. Au fond de la salle, le petit vieux se caresse. Le patron lui, a franchi un cap. Il a sorti sa queue et lentement il se caresse les yeux braqués sur la danseuse.
Chantal l’a vu. Très lentement, elle se rapproche de lui, regardant son sexe long mais encore tout mou. Ca y est, je réalise mon fantasme. Ma femme s’exhibe sans retenue à des hommes qu’elle ne connaît pas depuis plus de quelques heures. Elle est prête à aller au bout, je le sais. Mon dieu qu’elle est belle. Soudain, elle dégrafe sa jupe et la fait voler sur une table. Elle danse en slip et soutien gorge. En appui sur ses pieds, elle roule des hanches, puis la taille pour enfin faire ballotter ses seins, les bras tendus vers l’avant. Le petit vieux étire sa queue pour la faire bander mais il n’y arrive pas.. Il ne bande pas mais son plaisir se voit dans ses yeux, rouge de sang. On a l’impression qu’ils vont lui sortir de la tête. Chantal s’approche et tendrement elle lui prend sa bite et la branle doucement. Les deux jeunes se sont levés, un dégrafe le soutien gorge libérant les seins qui étaient déjà pratiquement nus. Par derrière il les caresse et les malaxe sans douceur. Il est excité le bougre. Le second s’est emparé du slip et l’a fait descendre à mi cuisse. A son tour il caresse les fesses qu’il a vues danser tout à l’heure. Sans un mot, il dégage le petit bout de tissus et Chantal lève ses pieds en signe d’accord. Elle est maintenant à poil dans la salle de restaurant.
On passe dans l’arrière salle pour continuer à danser nue, s’exhiber. Elle rit car tous les quatre ont sorti leur bite et se caressent en la regardant. Le petit vieux s’approche d’elle et la touche quand elle passe près de lui. Chacun y va de sa main sur un sein, une cuisse, une fasse. Un des jeunes tente de s’emparer de sa bouche mais à chaque fois, elle s’échappe, perfide.
Et soudain, elle cesse de danser et s’approche du petit vieux. Elle lui prend sa queue dans la main et la caresse un peu. Il a une petite bite surmontée de poils blancs. Il ne bande pas, ses yeux sont rouges et prêts à exploser en matant le corps dénudé de la jeune femme. Elle s‘accroupit devant lui et saisit le gland entre ses doigts. Délicatement elle le décalotte. Il ne doit pas le faire souvent, ni en faire la toilette car une pâte blanche à forte odeur apparaît à la racine du gland juste aux abords de la collerette. Elle le fixe un instant puis, délicatement, presque tendrement elle le nettoie avec ses doigts et petit à petit finit par lui donner la forme d’une queue vigoureuse. Elle le branle d’abord lentement, la crème s’étale maintenant sur la surface du gland tout rouge violacé. Après quelques secondes d’hésitation, elle approche sa bouche et avec sa langue entreprend de débarrasser le gland de cette substance visqueuse, malodorante. Elle le lèche carrément gardant dans sa bouche sa prise. Puis quand il est propre, elle l’introduit dans sa bouche entièrement et le branle avec ses lèvres. On est là tous les trois à la regarder faire, la bite à la main. Le visage du petit vieux est congestionné. Il prend la tête devant lui et l’attire pour s’y introduire profondément. Quand il la sent plantée au fond de sa gorge, il la maintient ainsi jusqu’à ce que la femme le repousse au bord de l’asphyxie. Il lui laisse le temps de reprendre son souffle et d’autorité il plante son dard encore plus au fond de la gorge, ses couilles plaquées sur le visage. Soudain il se cambre, ferme les yeux et dans un rugissement on devine qu’il déverse sa semence dans la gorge violée. Il maintien la tête quelques secondes contre son ventre obligeant Chantal à avaler tout son jus jusqu’à la derrière goutte. Chantal reprend son souffle, sur ses lèvres des gouttes de sperme s’échappent mais on devine qu’elle n’a pas laissé s’échapper une goutte du précieux liquide. Ma femme adore le goût du sperme, et à plusieurs occasions elle m’avait fait part qu’elle avait reconnu des différences de goût, de consistance, de chaleur des différents spermes que je lui avais donné à boire au cours de nos aventures.
En se relevant, elle lui adresse un sourire et lui donne un baiser sur ses lèvres.
Chantal mouille énormément quand elle est très excitée. Ce n’est pas toujours le cas. Ce qui l’excite le plus c’est de se sentir désirée, de s’entendre dire qu’elle est belle et désirable. Quand cela arrive, elle délivre une mouille très odorante, celle qui excite le mâle. Cette sécrétion est tout à fait animale, primaire, foncièrement sexuelle. Ceux qui l’ont bue, car Chantal adore se faire boire, l’ont trouvée avoir un goût très fort, lui aussi en accord avec la jouissance. Accompagnés de ses petits cris, très discrets et en même temps plein de signification, ma femme entraine toujours ses amants dans des jouissances d’exception. La vraie femelle dans ce qu’elle a de plus animale et en même temps sensuelle.
Ses sécrétions abondantes, odorantes provoquent plaisirs fous chez les hommes les plus rustres et les plus sophistiqués ; C’est une bête de sexe qui excite tous les sens au service du plaisir sexuel : odorat, goût, ouïe, vue et enfin toucher. Ce dernier sens est exacerbé par une douceur de peau sans égal. Tout son corps, dans les endroits les plus secrets, offre un contact de peau de rêve. Les poils de son pubis fins et souples incitent, invitent à venir y plonger sa langue, son nez.
Le patron est maintenant bien à prendre son tour. Il s’est approché d’elle par derrière, la relève et la fait se baisser et se cambrer pour lui offrir sa croupe. Il lui écarte les fesses, porte son majeur à sa bouche pour le lubrifier de salive et brutalement il l’introduit dans le petit trou noir devant lui. Chantal sous l’effet brutal de cette sodomie se cabre car elle est étroite de cet orifice. Le patron n’en a cure et il se met rapidement à la doigter de plus en plus vite et nous, on se rend compte que petit à petit Chantal se relâche et s’ouvre à la branlette de son cul. Elle halète de plus en plus vite et pousse un cri quand elle sent la queue du patron s’introduire dans sa chatte toute ruisselante de sécrétions. Deux ou trois allers et retours et le bonhomme se vide dans le ventre de ma chère et tendre. Il l’a baisée.
Repus il se retire et aussitôt un des jeunes qui se sont contentés jusque là de regarder et peloter les seins qui ballottent sous Chantal, se présentent à l’entrée de la grotte. Il récolte du foutre qui s’écoule sur la cuisse et avec son doigt il l’introduit dans le sexe déjà tout luisant. Une deuxième fois, il récolte du sperme mais cette fois il le porte dans la bouche de Chantal qui suce le doigt pour avaler la semence du patron. L’autre jeune se place devant elle et lui plante sa queue énorme dans la bouche et entreprend de se branler à l’intérieur.
Les deux sont tellement excités que rapidement ils jouissent en même temps déversant leur semence l’un dans la bouche, l’autre dans le ventre de Chantal qui se met à pousser ses petits cris caractéristiques de sa jouissance. Elle jouit longuement, hors d’haleine.
Le jeune qui s’est fait sucer, lui glisse un doigt dans la chatte pour récolter, au sortir des lèvres, le sperme abondant qui s ‘échappe du sexe encore brûlant, à peine la dernière goutte échappée du gland cracheur de jute pour lui faire sucer le doigts, lécher et boire la semence de son copain. Il répète plusieurs fois ce geste pour donner à boire à Chantal tout le sperme libéré. Et Chantal déguste, lèche et se nourrit de cette semence. Une dernière fois il recueille du sperme qu’il étale sur les seins nus.
Elle adore ce mélange de sperme qui la souille, la salit et en même temps lui procure un plaisir immense.
Fatiguée, elle s’affale sur une chaise, les hommes qui ont abusé d’elle, prévenants l’aident à se rhabiller et heureux, nous quittons le restaurant

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 28 septembre 5 28 /09 /Sep 22:35


                      Les jours passés ont été très durs. J’éprouve un mélange de fatigue et d’envie de pur sexe, de pur anonymat.

Je vais m'étendre dans le hammam pour laisser des mains d'inconnus venir sur moi ? Encore plus anonyme.

Les glory holes ? C’est mon fantasme absolu. Côté actif bien sûr. Mettre mon sexe devant un trou à disposition d’hommes qui viendraient le lécher.

La première fois que j’en ai vus, je suis longuement restée à les regarder, fascinée, me représentant tout le plaisir que je pourrais y trouver. Mais leur configuration est faite pour l’anatomie masculine. Même si dans les deux saunas que je fréquente le plus, ils sont très larges, entre 20 et 30 cm de diamètre. Et culturellement, ils ne sont pas destinés aux femmes non plus. Je l’ai tenté avec Niko et un couple proche, mais je les connaissais, donc il fallait beaucoup d’imagination pour rattraper le fantasme. Et le scénario des inconnus sous la table et derrière le rideau que nous avons réalisé au réveillon en était proche, mais je connaissais également les complices qui y étaient cachés, même si du fait de leur nombre il était difficile de savoir qui était qui. Et puis nous étions aussi dans la convivialité, ce qui limitait le jeu.

Je vais le faire.

Je prends la direction du sauna et de ses trous magiques.

Sur la route, je suis très nerveuse. Je vais à la rencontre de l’inconnu comme jamais. Et j’y vais seule, sans complices pour m’accompagner dans cette nouveauté, ce qui est finalement assez rare. Fatiguée, stressée, excitée, j’arrive déjà au sauna au bord de l’explosion.

L’établissement comporte des petites cabines pour ceux qui souhaitent s’offrir aux caresses manuelles et buccales. J’ai remarqué que leur taille et les pratiques en cette matière font qu’une seule personne à la fois y rentre, même si elles comportent plusieurs trous. Je pense que personne ne tentera de m’y rejoindre et que ceux que ma présence attirera comprendront que le jeu est pour eux de l’autre côté de la cloison.

Derrière la paroi percée, une pièce un peu plus grande, complètement obscure, pour ceux qui souhaitent prodiguer des caresses.

Je laisse mon paréo à l’entrée de la cabine, sur le sol, pour faire comprendre aux personnes qui passeront devant qu’une femme y est. Il n’y a pas de code dans ce domaine, alors j’improvise.

Je me tiens à faible distance d’un des trous. J’entends déjà des chuchotements. J’imagine la surprise de ces hommes et leur excitation. Un sexe de femme, là, devant leurs yeux, dans des circonstances aussi imprévues. Juste un sexe. Trempé. Je n’ai aucun doute sur leur désir potentiel.

Ces hommes que je devine ne sont sans doute pas tous à mon goût physiquement mais je me concentre pour évacuer cette pensée et ne me représenter que leur désir et le contact qu’ils appellent.

Je m’approche lentement. Ils pourraient me toucher en passant la main, mais il me semble avoir compris que ceux qui sont de ce côté-là de la cloison n'ont pas le droit de la franchir. Une main visible, c’est déjà presque une personne, ce n’est plus de l’inconnu. Ils attendent que le contact soit possible à travers le trou.

Je me masturbe légèrement, pour leur montrer ce que je souhaite. Je ne veux pas de pénétration. Et je m’approche encore en fermant les yeux. Immédiatement, une bouche, ouverte, qui me happe, dévore mon clito. Je me recule un peu, je voudrais qu’elle soit un peu moins entreprenante pour commencer. Je m’avance à nouveau. Et je crois que c’est une autre bouche cette fois. Le trou est très large et je peux discerner leurs lèvres mais l’obscurité m’empêche de les identifier. Et puis je ne dois pas penser à cela. Je dois juste me laisser aller. Je me colle au trou pour leur rendre l’action plus confortable. Niko m’avait dit que c’était assez pénible sinon. Et je ne les vois plus du tout. Cette bouche entoure tout mon sexe dans de lents mouvements de succion. Elle bouge, juste ce qu’il faut pour que mon corps en réclame davantage. Je caresse la pointe de mes seins. J’entends de nouveau des chuchotements. Peut-être que je vais changer de partenaire ? Non. Il continue, se fait de plus en plus pressant.

Je m’écarte à nouveau, pour bien montrer à tous ces hommes mon sexe luisant, les devinant fous de désir, certainement en train de se masturber en me regardant. Je veux qu’ils en profitent tous.

 

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Et je me recolle au trou, comme pour passer à travers. Une bouche vient s’y reposer et cette fois aspire mon clito, le suce régulièrement. Je continue à caresser mes seins. Je me cambre autant qu’il est possible pour demeurer au plus près de cette bouche. J’accompagne le cuni de petits mouvements de reins. Je voudrais savourer encore longuement la réalisation de ce fantasme que j’ai tant attendue. Mais l’excitation est telle que je me laisse aller. Et je jouis en violentes saccades qui m’écartent de la cloison.

J’entends des gémissements de l’autre côté et je comprends que de nombreux hommes ont su profiter de cette séance particulière à leur façon. Je reste un moment dans cette cabine, à planer, dans un coin, pour qu’ils ne me voient ni ne me sollicitent plus.

Et je sors. J’en vois sortir de la cabine d’à côté. Ils viennent vers moi mais je les remercie en souriant. J’ai besoin d’un rafraichissement et je vais au bar.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 28 septembre 5 28 /09 /Sep 21:19

Protagoniste :
Moi : 24 ans, travaillant en 3*8
Ma copine Camille: 24 ans aussi
Ma belle sœur Marie : 19 ans étudiante.

Pendant ces vacances, Marie avait décidé de passer une semaine chez nous avec l’accord de ma copine. Comme Camille et moi n’étions pas la pendant la journée (ma copine revenait vers 18h30 et moi vers 15h), ma belle sœur passait la matinée seule jusqu’à mon retour. Elle était plutôt sexy (encore aujourd’hui), 1m70, blonde aux yeux bleu, fine avec une belle poitrine qui me semblait bien ferme.

Vers le milieu de ça semaine de vacance, je l’ai retrouvé en T-shirt long (arrivant à mi-cuisse) allongé sur le canapé en train de regarder la télé. Son T-shirt était légèrement transparent et je pouvais deviner sa poitrine en dessous sans soutient gorges pour la tenir. Sous l’effet de surprise, elle se leva d’un coup et me dit : «Tiens, tu es déjà là?» et me fit la bise. Elle me dit qu’elle s’ennuyait un peu toute seule et qu’elle était contente que je rentre car il n’y avait rien à la télé. En m’installant sur le canapé, je lui proposai d’aller regarder dans le meuble télé pour choisir un DVD.

Elle ouvrit donc le meuble et s’accroupit pour regarder le choix de DVD qui s’offrait à elle, son T-shirt moulant ses magnifiques fesses en laissant deviner l’absence de culotte. Devant ce spectacle, je sentis mon sexe durcir lentement. Elle décida de regarder Scrubs, et après avoir démarré la série, s’installa sur le canapé. Au bout de quelques minutes elle prit ses aises et posa se tête sur mes cuisses en me disant : «ça ne te dérange pas ?». Malgré l’excitation montante je lui répondis que non, mais elle ne mit pas longtemps à ce rendre compte que j’étais de plus en plus à l’étroit dans mon jean. Elle tourna la tête pour me regarder et me demanda si c’était elle qui me faisait cet effet, se redressa légèrement et regarda mon entre-jambe. Je ne savais pas trop quoi répondre, et balbutia quelques mots n’ayant pas grand sens maintenant que j’y pense. Elle se leva du canapé et en pensant qu’elle allait s’installer ailleurs, je lui dis : «Désolé, reste sur le canapé, je vais m’assoir autre part si tu veux», mais elle ne répondit pas à ma proposition, me tourna le dos juste assez pour me montrer ses fesses tout en continuant de me regarder, et en soulevant l’arrière de son T-shirt, laissant apparaitre son magnifique derrière rebondit, me demanda si c’était ça qui m’excitait. «Tu as des fesses magnifique».

Ces mots étaient sortis tous seul de ma bouche, sans réfléchir. Marie se mis à genoux sur le canapé et commença à déboutonner mon jean. D’après elle, il valait mieux diminuer cette pression exercée sur mon sexe. En faisant descendre mon jean, elle remarqua mon boxer déformé par ma verge toute dur. Elle ne dit rien et repris sa position, allongée sur le canapé, la tête sur mes cuisses. Je ne savais plus trop quoi faire, et mon sexe devenait si dur que je croyais qu’il allait transpercer mon boxer. Marie se caressa les cheveux, se mis sur le ventre, toujours en regardant la télé. Son visage à quelques centimètres de ma verge, elle posa sa main sur l’intérieur de la cuisse et commença à me caresser. J’avais des contractions de plaisir dans les jambes, il était impossible que Marie ne se rende pas compte de mon état d’excitation. Elle remonta le long de ma jambe et commença à me caresser la verge sensuellement à travers mon boxer. Je ne savais plus trop quoi faire et resta sans bouger. Elle alla chercher mon sexe pour le faire sortir. Elle me regarda et me dit : «Tu as l’air d’aimer ça dis moi. J’aimerais bien essayer un truc que j’ai jamais fait, mais je sais pas si je peux te demander.» Je lui répondis qu’elle pouvait toujours demander, que ça ne coutait rien. Elle continua donc sa demande : «En fait j’ai jamais fait de fellation, et j’aimerais bien essayer si tu me caresse en même temps, pour continuer de m’exciter. Tu es d’accord ?»

N’en croyant pas mes oreilles, je restais bouche bé. Remarquant cela, elle commença à dire «Si ça te choque, laisse tomber, on oublie, désolé», mais je lui répondis que non, j’étais OK et mis ma main sur ses fesses. Elle descendit sur l’intérieur de sa cuisse et s’approcha de son clitoris. Sa vulve était toute humide. L’absence de poils était agréable et je me disais que je pourrais bien la lécher si elle le voulait bien. Marie me retira mon boxer et mis une sur mes testicules et de l’autres me touchait le pénis sans me le tenir. Elle commença à le lécher à partir de la base jusqu’au gland comme si s’était une glace. Après quelque va et vient, elle mit mon gland dans sa bouche. L’excitation grandissante, je lui caressai le clitoris plus vigoureusement, sentant son liquide vaginal de plus en plus abondant couler sur ma main. Plus je la caressais, plus elle était excitée et plus elle enfonçait mon sexe profondément dans sa bouche. Sentant sa vulve s’écarter, ne demandant qu’à être pénétrée, je lui enfonçai un doigt profondément tout en laissant le reste de ma main collé à son pubis et son clitoris. Elle sortit mon pénis de sa bouche et cria que s’était bon et continua à me sucer. Pendant que je faisais des va et vient avec mon doigt, elle faisait le tour de mon gland avec sa langue et calait la vitesse de se va et vient sur les miens. Comprenant cela, j’accélérais les miens pour qu’elle me suce plus rapidement. Le résultat escompté ne se fit pas attendre longtemps, elle me suçait de plus rapidement et je sentais l’excitation monter.

 

    03-copie-3.jpg

De mon autre main qui lui caressait la tête et les seins a travers son T-shirt, je lui fis signe d’arrêter pour le moment et de se redresser. Une fois à genoux a côté de moi, je lui retirais son T-Shirt, laissant enfin apparaitre ses magnifiques seins. Comme je m’y attendais, ses seins étaient ronds et ferme. Un bon 90B, pas trop petit mais pas trop gros. Je me mis à lui lécher les seins tout en lui caressant la vulve. Sa main me caressait le sexe, nous étions allongés cote à cote sur le canapé.

Instinctivement, je me mis en position 69 et commença à lui faire un cuni, enfonçant de temps en temps ma langue à l’intérieur de son vagin. Elle remit mon sexe dans sa bouche et me suça vigoureusement. Quand je sentis l’excitation être à son paroxysme, je lui dit que j’allais éjaculer et que si elle voulait elle pouvait finir a la main, même si intérieurement j’espérais lui éjaculer partout sur le visage et dans la bouche. En ralentissant ses va et vient, elle descendit du canapé en me redressant pour que je sois assis normalement.

Elle se plaça entre mes jambes et alors que je pensais qu’elle allait me branler, elle recommença à me sucer. Au bout de quelques instants je sentis un puissant jet partir. En laissant échapper un râle, je sentis que je lui remplissais la bouche de mon foutre. Une fois la dernière contraction de ma verge arrivée je la ressortis de sa bouche et pencha la tête de Marie en arrière. Je lui dis : «Ouvre la bouche que je te vois un peu avec mon foutre dedans». Elle s’exécutât et je découvris mon foutre lui remplissant la bouche. La voir comme ça m’excitait beaucoup. Je lui dis qu’elle pouvait sois recracher, sois avaler. Elle referma la bouche et avala tout mon foutre. Elle me répondit : «Ce est pas mauvais, et j’ai bien aimé te sucer. Camille à bien de la chance.» Je lui répondis qu’il ne fallait pas lui en parler mais que moi aussi j’avais adoré ses seins et son sexe épilé.

Il était déjà 16h30, je proposai à Marie d’aller prendre une douche si elle voulait, et que moi aussi j’allais aller me laver. On alla dans la salle de bain tous les deux, nu, elle entra dans la douche et me dit que pour aller plus vite je pouvais la rejoindre. On prit notre douche ensemble rapidement sans rien faire de plus. De temps en temps nous refaisons quelques trucs ensemble, mais cette première fois a été l’une des choses les plus excitantes que j’ai fait, peut être à cause de l’interdit.
Dites moi ce que vous pensé de mon histoire, je vous en écrirais surement d’autres.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 30 août 4 30 /08 /Août 12:02

Partis sous cette chaleur d'aout pour la piscine municipale, nous traversons le
parking à grandes enjambées.
Mon regard ne lâche pas les longues jambes de Laure auxquelles sa jupette rose donne
une sensualité folle.
Je repense à cette nuit, à nos ébats et je sens déjà que l'excitation renait. J’ai
adoré ouvrir les yeux dans la nuit moite, la regarder dormir à plat ventre, le drap
sur le côté. J’ai passé ma main le long de son dos, de ses reins puis de ses fesses,
elle n’a pas bougé. En prenant son bras je l’ai incitée à se retourner sur le dos.
Elle s’est donc retrouvée offerte à ma vue impudique. J’ai observé ses petits seins
avec un regard sadique voire même méchant. J’aurai bien aimé qu’ils soient un peu plus
gros mais ils sont très sensibles alors je m’en contente, me suis-je dis. Et oui un
goujat quand j’y repense. Bref, n’y tenant plus, je me suis installé entre ses jambes
et l’ai réveillé en venant en elle. Ca n’a pas été exceptionnel, ca n’a pas été
acrobatique et ca a été rapide mais intense, inattendu et donc génial. Pas un mot,
juste du sexe avant de retomber l’un près de l’autre dans le sommeil.
Ce souvenir m’émoustille et si nous n'étions pas au milieu d'un parking en pleine
après midi, je l'aurai attirée à moi en soulevant sa jupe pour m’immiscer entre ses
cuisses sans enlever son string et retrouver ces moments quick-sex qu’on affectionne
tant.

La piscine est là, je suis déjà en sueur tellement il fait chaud. Nous entrons, la
caissière a la vingtaine, de longs cheveux bruns en chignon avec quelques anglaises
qui courent le long de son visage. Sous
Son t-shirt estampillé « piscine des saules » je distingue la trace de son maillot de
bain et le galbe de sa poitrine. Y a-t-il des mecs qui la branchent ? me dis-je. C’est
certain mais y en a-t-il qui sont capable de l’entrainer dans un cagibi ? Là tout de
suite ? Le fantasme de tout homme, je crois ... Et peut-être bien de toute femme
également. Qui me dit qu’elle n’attend pas que quelqu’un ose, elle doit se dire que
s’est impossible et qu’elle ne sait même pas si elle oserait dire oui.
Je reviens à la réalité en espérant que ma copine n’a pas remarqué cette digression.
Mais elle finit par nous connaitre les mecs... Enfin, bref, nous payons et entrons.

Vestiaires communs, ca j’aime bien. De petites cabines, écouter les gens qui passent à
côté, c’est un peu la même sensation qu’être nu derrière ses volets... Nous pénétrons
à l’intérieur. Elle pose le sac, retire son haut, sa jupe. Je commence à faire pareil
mais c’est elle qui descend mon caleçon. Elle s’agenouille, prend mon sexe à travers
le tissu du maillot de bain, un boxer. Il durcit tout de suite. J’adore ces
initiatives qui transforment la vie en une partie de sexe géante et où l’on sent le
désir de l’autre pour soi. Elle écarte l’élastique de quelques centimètres afin de
libérer mon gland pour l’engloutir une seconde dans ses lèvres. Puis elle se relève et
me dit : « on y va ? ». Ca y est je n’en peux plus ! Avec mes délires salaces sur le
parking et à la caisse, j’étais déjà un peu excité, là ce sadisme de sa part est un
comble.
Je sors de la cabine pas très fier avec ma demi-érection qui se voit pas mal. Mais
elle marche devant moi et les regards que nous croisons vont naturellement plus vers
elle. La froideur de la douche m’aide à retrouver une morphologie plus normale. Nous
arrivons dans le bassin et partons pour quelques longueurs, Laure sort du bassin un
instant. Je sens encore la sensation de ses lèvres sur moi, on devrait repartir à
l’appartement immédiatement !

Mes idées se dispersent dans l’eau et l’effort me ramène à la réalité. Dans la ligne
d’eau adjacente, une fille nage, je détourne le regard mais il est déjà temps de faire
demi-tour. Je recherche des yeux cette silhouette trop vite aperçue mais personne.
Arrêtée en bout de ligne, je dois attendre un aller retour de plus pour constater que
son maillot une pièce semble abriter une très jolie paire de seins et que son corps
doit être assez ferme et élancé. Je m’imaginerai très bien dévorer son sexe dont la
forme se dessine sur le lycra. Nouvel aller retour. Elle chahute avec quelqu’un, je la
trouve sexy. J’aperçois ma copine qui revient. Il faut que je me calme, je ne sais pas
si c’est l’été, les maillots, la moiteur mais je désire tout le monde, lol. La séance
se termine, nous quittons le bassin. En allant chercher le gel douche et les
serviettes aux vestiaires, je croise la fille de la ligne d’eau. Il suffirait d’un mot
peut-être... Il ne viendra pas.
Je rejoins Laure dans la cabine de douche. Nous nous déshabillons en même temps, en
observant l’autre et en sentant nos corps s’échauffer. Juste derrière la fine paroi,
des enfants jouent dans les douches, des personnes reviennent du bassin en discutant.
Je la regarde et lui dit : « finis ...». Elle se baisse et se lance dans une pipe
mémorable. Partant du bas de mon sexe, sa langue le remonte jusqu’au sommet lentement
avant de m’engloutir violemment. Ses mains prennent mes bourses et la base de mon
sexe, elle me branle et me suce en variant de rythme. Je regarde ce spectacle, je
prends ses cheveux par moments pour lui imposer mon tempo, pour reprendre la main. Des
mots crus me viennent à l’esprit, je regarde son corps nu en lui promettant de ne pas
l’épargner. Nous nous regardant fixement, elle semble me dire : « j’t’aurai, t’es en
mon pouvoir, c’est moi qui contrôle, je te tiens », moi je pense : « t’es douée,
t’aime ca, sal.pe ». Mais pas au sens insulte, au sens « compliment » si on peut dire
ainsi car faut bien se l’avouer : qu’y a-t-il de mieux qu’une femme qui adore le sexe
et qui nous en fait profiter ?
Des conversations totalement banales nous parviennent, nous rigolons : s’ils savaient
! Je lui prends le bras et la relève. Elle se retourne, s’appuie sur le carrelage.
Mon sexe pénètre en elle. Nous n’osons y aller trop fort car le bruit caractéristique
nous compromettrait trop vite. Nous discutons même comme si nous prenions une douche
normale, ca nous amuse beaucoup et nous trompons l’ennemi... J’attrape le gel douche.
Elle s’amuse à serrer très fort son vagin pour me faire craquer. En représailles
j’attrape ses hanches comme je peux avec le flacon de gel douche dans les mains.
J’impose un rythme fort avec des mouvements très amples. Bingo ! Elle se mort les
lèvres pour s’empêcher de gémir. Je relâche un peu, et lui glisse à l’oreille : « tu
fais moins la maline, hein ». Je verse du gel douche dans son dos. Le parfum nous
enivre et les caresses deviennent aériennes. Profitant que je suis occupé, elle donne
de grands coups de reins vers l’arrière. Des éclairs de plaisir me transportent,
j’observe ma bite disparaitre dans sa chatte à chaque mouvement. Puis on entend : «
hey, que faites-vous la dedans ! ». Silence, on ne bouge plus, ce n’est pas possible,
on nous a surpris, la honte ! On ne bouge toujours pas, je suis toujours en elle mais
le temps est suspendu, cette seconde dure une heure ! Puis encore : « Sortez tout de
suite de là !». On n’ose y croire ! Ce n’est pas vrai !
Un bruit vient nous délivrer, un loquet s’est ouvert et on entend un couple sortir et
se faire sermonner ! L’adrénaline redescend brusquement et la peur laisse place à une
excitation sans précédent lorsqu’on réalise ce qu’il se passe et qu’on se sent l’un en
l’autre. Laure se remet à boucher le long de moi, elle me lance des regards pervers
par-dessus mon épaule. L’engueulade se poursuit dehors et je la défonce littéralement.
Ses lèvres doivent être rouges de douleur tellement elle doit les mordre pour éviter
de crier l’intensité de nos ébats. Ramenant du gel douche entre ses fesses, je me
retire de son ventre et présente mon gland à son petit trou. Elle me regarde en me
disant non de la tête mais oui du regard. C’est de la folie, on craque complètement.
Sa chair s’écarte doucement, je prends le temps pour la laisser s’ouvrir à moi, je me
retire après avoir mis le gland, puis après le premier centimètre mais alors que je
vais me retirer une troisième fois, Laure pousse de tout son corps et se retrouve
empalée sur moi. Je retiens un râle soudain et manque de jouir immédiatement. Sentant
la fin si proche, je glisse ma main gauche entre ses cuisse et prend possession de son
sexe. Ma main droite se glisse vers son visage et un doigt vient se faire sucer. Je la
possède entièrement. Je sens ses jambes trembler, mes doigts brulent en elle, je jouis
à mon tour en oubliant le monde et le temps.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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