Les récits de Camille

Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 17:52

Carla est mon amie depuis plusieurs années. Elle habite à quelques paté de maison de chez moi et nous travaillons souvent ensemble.
Ce jour là je lui rapportais un livre qu'elle m'avait preté.
Je profitais de ma visite pour lui montrer une video de mes dernieres vacances. Malheureusement je n'avais pas nettoyé ma clef usb avant de venir et j'avais laissé des fichiers video X en vue. Carla qui s'y connaissait pas mal en informatique le remarqua et elle me demanda si j'aimais ce genre de film. Elle m'avoua qu'elle n'en avait jamais vu et que cela lui disait bien d'en voir un avec moi.
Je lui proposais donc de se retrouver chez moi le lendemain soir. J'irais au video club en louer un.
Le lendemain je filais vite fait chercher le film avant qu'elle arrive. J'etais exité. Je trouvais Carla vraiment très mignonne mais je n'avais jamais osé entreprendre quelque chose avec elle. Je crois qu'elle m'impressionnait en fait. Je pris donc un film au hasard. Je ne me rappelle pas du titre mais la couverture me paraissait pas mal.
Lorsque j'arrivais à la maison Carla était déjà. Elle était encore plus sexy qu'à l'accoutumé. Elle portait une mini jupe très courte et un haut moulant qui mettait en valeur ses formes.
Nous nous sommes installés dans le salon. J'avais préparé de quoi boire et manger un peu.
Le film commenca.
On voyait un homme se faire chauffer par deux femmes. Après quelques minutes ils étaient tous les trois totalement nues et l'une des femmes commenca à le sucer. Je regardais Carla. Elle était concentrée sur le film. Moi j'étais déjà excité comme jamais. Mon sexe faisait une bosse sur mon jeans. Carla s'en apercut et très simplement elle m'invita à l'enlever. Elle fit de même et nous voilà nus cote à cote. A l'ecran les deux femmes s'occupait maintenant du sexe de l'homme. Je pensais dans ma tete qu'il avait de la chance. Je n'ai pas vu que Carla s'etait approché de moi et qu'elle pris mon sexe dans sa bouche. Elle imitait les actrices à l'écran. Je me mis à l'aise et je la regardais me sucer. D'abord hesitante, elle apprenait visiblement très vite. Elle me caressait les couilles tout en me branlant energiquement puis l'instant d'après elle me sucait goulument puis elle recommencait. Je sentais l'éjaculation arriver. Heureusement les deux actrices arreterent leur petit manège. Leur etalon etait pret a les prendre chacune à leur tour. C'est la brune qui commenca la première. Elle se baissa legèrement pour qu'il la prenne mieux. Il la penetra violemment par derrière.
J'en fit de même avec Carla. Elle poussa un hurlement lorsque je la penetra pour la premiere fois.
J'essayais d'imprimer la même cadence que dans notre film mais j'ai du ralentir pour ne pas exploser en elle.
En tous cas elle semblais apprecier. L'homme passa maintenant sur l'autre femme. Il s'allongea et elle se positionna sur sa queue degoulinante.
Carla s'empala sur la mienne. C'est elle qui menait la danse desormais. J'avais très peur qu'elle aille trop vite. J'essayais de retenir l'éjaculation mais c'étais très dur. Mon sexe était tendu au maximum.
L'homme lui ne semblait pas du tout connaitre les memes problèmes que moi. Il pilonnait la femme qui criait à tout rompre.
Il s'arreta un instant, puis humecta son anus avec sa verge, avant de la sodomiser. La femme ne manifesta aucune autre reaction et ils reprire leur cadence infernale.
-Encule moi me demanda Carla d'un ton imperatif.
Je n'avais jamais sodomiser quelqu'un.
J'avais peur de lui faire mal.
Elle manifesta une certaine impatience. Tant pis pour elle me dis je interieurement tout en la penetrant d'un coup sec. Elle poussa un gemissement lorsque mon sexe prie possession de sa rondelle. La sensation d'avoir le penis a l'etroit me plaisait. Je fis quelques aller et retour doucement pour bien former le passage puis je lui donnais des coups de rein puissant, lui arrachant des cris à chaque penetration. Mes couilles claquaient contre ses fesses.
Quel plaisir de la posseder ainsi. Je ne tardais pas à exploser en elle. Je continuais encore un peu, la faisant jouir à son tour.
L'homme à l'écran continuait sans relache passant de l'une à l'autre.
Depuis ce jour nous regardons régulièrement des films ensembles.
Du moins les débuts...

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 14 mai 3 14 /05 /Mai 13:13

L'histoire dont je vais vous parlé s'est déroulée il y a tout juste 5 ans. A l'époque j'avais 20 ans et je suis parti en vacances en Espagne, à Estartit. Nous étions une trentaine de jeunes dans un centre. C'était un peu l'auberge espagnole. Les nuits étaient longues et chaudes... Il faut dire que la plupart étaitent venus seuls, dans l'espoir de rencontrer quelqu'un, ou à défaut de prendre un peu de bon temps. C'est dans cet atmosphère plus que détendue, que j'ai rencontré une certaine Carole. Par le jeu du hasard je me suis retrouvé dans son groupe. Nous avons très vite sympathisés. Mais je dois bien avouer que je ne suis pas d'un naturel entreprenant. Je n'ai donc pas essayé de l'approcher plus. J'ai laissé les choses suivre leur cours. Pourtant on arrivait bientôt à la fin de notre séjour et rien ne s'était encore passé. Pourtant ce soir là tout a changé. La soirée commenca comme les autres. Dans un bar du centre ou les chupitos se multipliaient. Nous étions déjà bien ivres. L'alcool aidant, les corps se rapprochaient, les mains devenaient de plus en plus baladeuses... Carole m'entraina à l'interieur pour une danse espagnole endiablée. Je sentais ses seins sur mon corps. Je pouvait voir son regard de braise qui ne laissait pas de doute sur ses intentions. D'ailleurs elle m'embrassa sans attendre la fin de la danse. Nous sommes restés un moment avec le groupe avant de leurs fausser compagnie et de nous retrouver seuls sur la plage. Nous nous sommes embrasser encore pluis encore. Nos mains allaient et venait. Je passais l'une d'elle dans son pantalon. puis dans sa culotte. Descendant tout doucement. J'atteint les premiers poils de son pubis. Je n'allais pas plus loin pour l'instant. Je la laissais imaginer la suite. Je sentais d'ailleurs qu'elle mouillait. Elle mourrait d'envie que j'aille plus loin,  que j'introduise mes doigts dans son intimité...  J'étais sur elle et je frottais mon jeans entre ses cuisses. Je lui caressais les seins. Elle prie l'initiative et ota mon pantalon. Mon sexe en erection deformait mon shorty. Elle le retira lui aussi et le libera. Elle me caressa doucement la verge puis les testicules. Elle le prie enfin dans sa bouche et commenca à me sucer. J'étais un peu inquiet que quelqu'un nous surprenne. Elle visiblement ne pensait qu'à me fair du bien. Elle maniait mon sexe avec dextérité. Sa langue habile attestait que c'était une experte en fellation. Sentant l'éjaculation proche je l'interrompis et lui ota son pantalon ainsi que son petit string, completement trempé d'excitation. A peine ma langue efleura son sexe qu'elle gémit de plaisir comme si elle n'attendait que cela. Je la léchais doucement, profondément.Chaque coup de langue arrachait un gémissement. J'étais bien décidé à aller plus loin lorsque des lumières s'approchèrent de nous. Nous avons donc interrompus notre séance de cunnilingus et sommes rentrés, chacun de notre côté. Si cela vous dit je vous raconterais comment je l'ai (enfin) baiser le lendemain... 

Franck

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 29 avril 2 29 /04 /Avr 13:43

Un article très bien écrit présenté sur le blog (http://meganeryan.unblog.fr/2008/03/28/recit-erotique-lenvers-des-corps/) que nous vous recommandons.

Nous nous étions rencontrés deux semaines auparavant.

Nous avions déjà passé quelques nuits mémorables ensemble.

Mais ce soir-là allait être spécial. Pour bien des raisons.

C’était Thaipusam. Festival Hindou où les dévots entrent en transe, se percent la peau de baguettes métalliques, d’anneaux, et de crochets. Le magazine pour lequel je travaille m’avait passé commande de plusieurs clichés permettant d’illustrer cette tradition. Je proposais à, appelons-la Ming, de m’accompagner. À ma grande surprise, elle accepta de suite. L’odeur de l’encens, les hommes et femmes en transe, la chaleur tropicale de l’Asie à

cette époque de l’année, la vision de ces peaux percées, tout cela faisait que l’atmosphère devenait pesante. Ming se collait à moi. Ses yeux éberlués ne laissaient aucune équivoque sur les sentiments qui bataillaient en elle. Au bout de quelques heures, je décidai que nous en avions assez. Je lui proposai de rentrer.Une fois chez moi, Ming me demanda si elle pouvait prendre une douche. Je la vis se déshabiller. Envole le T-shirt. Envole le jean. Je redécouvris alors son corps. Fin, musclé, légèrement bronzé, et tatoué. Le dragon qui ornait son dos me laissait à chaque fois sans voix. La gueule béante était incrustée sur ses épaules, les ailes déployées paraient ses reins, et la queue s’enroulait sur ses hanches et allait finir sa course autour du nombril… Je ne pouvais à chaque fois m’empêcher de détailler les couleurs et les arabesques de cette gravure. Ming le savait et en jouait. Passant les mains dans ses longs cheveux noirs, elle se dirigea vers la salle de bains, non sans me gratifier de l’émouvant spectacle de ses petits seins fermes, enfin libérés de leur carcan. Seulement vêtue de son arachnéenne culotte, elle referma sur elle la porte. Je déchargeai les photos sur le disque dur afin de les envoyer en France. Grâce au décalage horaire, elles seraient prêtes pour la publication du jour.

C’est alors que je sentis ses mains sur mes épaules. Elles passèrent rapidement sous mon t-shirt et firent en sorte de m’en débarrasser. Je pouvais sentir la douce fraîcheur de la peau de Ming m’envelopper. Encore baigné du mélange aigre-doux de l’encens, je fis part à Ming de ma volonté de prendre une douche.

— Tu peux y aller, mais je veux te regarder - furent ses mots.


À mon tour, je me dirigeai vers la salle de bains. À mon tour, je me débarrassai de mon jean. À mon tour, je laissai l’eau fraîche me débarrasser des remugles de Thaipusam. Ming, toujours vêtue de sa culotte, me regardait. Appuyée sur le lavabo, elle semblait elle aussi être partie en transe. Sans un mot, je sortis de la douche, me séchai, et enlaçai Ming. Mes mains parcoururent son corps. De ses cheveux, mes doigts caressèrent son doux visage, ses épaules, la naissance de ses seins, descendirent sur son ventre, ses hanches, pour ensuite s’attarder sur la naissance de ses cuisses. Je sentais Ming frémir et s’abandonner graduellement à mes caresses. Mais je voulais son dragon.
Je la retournai alors face au miroir qui dominait le lavabo. Vision dantesque que la douceur de son visage, la volupté de ses seins, reflétés par le miroir, et cette gueule béante qui me faisait maintenant face. J’effleurai les contours du tracé diabolique, sans pouvoir m’empêcher de jouir du paradoxe. Douce comme de la soie, Ming pouvait se révéler être aussi impétueuse que le symbole qui ornait son dos.

J’embrassai chaque parcelle de son corps, laissai mes mains vagabonder sur le moindre point nerveux qui, je le savais, la ferait s’abandonner totalement au plaisir. Je fis alors descendre le dernier rempart qui me séparait de sa totale nudité. Ming ondulait de plaisir, et savait le paroxysme de nos jouissances proche. Je l’emmenai vers le salon et l’allongeai sur la table à manger. Sa nudité offerte, sa totale absence de pudeur, ses seins pointant leurs aréoles, mamelons dressés, son ventre plat, l’inexistence de toute pilosité pubienne, me firent frémir. Je sentis l’excitation me gagner. Je recommençai à parcourir son corps de mes lèvres. Je m’attardai sur sa poitrine, puis descendis vers son mont de Vénus. J’enfouis ma bouche au plus profond des replis de son sexe. L’humidité qui envahit ma bouche trahit le plaisir de Ming. Ses lèvres d’un rose parfait s’ouvrirent sous mes coups de langue. Je jouai avec son clitoris et investis son vagin d’un doigt volontaire. Ming se crispa et fit venir ses hanches à la rencontre de ma bouche. Elle s’empala littéralement sur ma main et sur ma langue, et je sentis son premier orgasme de la soirée la parcourir. Je remontai alors vers son visage et lui fis partager la suave saveur de ses sécrétions.


Sans un mot, Ming me repoussa, s’assit sur la table et empoigna ma verge. Elle se baissa et effleura mon gland avec le bout dardé de sa langue. Elle parcourut ma hampe de ses lèvres, agaçant mes bourses de ses longs ongles effilés. Me dardant un regard de braise, elle lança :

— Je veux que tu jouisses sur moi, en moi, partout. Je veux te boire, te goûter, te sentir.


Et, chose nouvelle, elle dévia sur un langage plus cru.

— Je veux que tu me baises. Je veux sentir ta bite. Ce soir, je suis à toi. Ta chose. Mais tu es aussi la mienne. Moi aussi, je vais te baiser. Fais-moi jouir, et je te ferai jouir.


Était-ce un marché ? Une mise en garde ? Ou bien la simple volonté de partager un moment d’une infinie complicité ?


Ming descendit de la table et me fit asseoir à mon tour. Elle reprit sa fellation. Elle emboucha mon gland, puis fit descendre ses lèvres arrondies sur tout le long de ma verge. C’était la première fois qu’elle embouchait la totalité de mon vit. Sensation exquise que de sentir mon gland buter sur le fond de sa bouche. Elle se libéra de ma verge, et humidifia un de ses doigts. Sa bouche alla alors aguicher mon périnée, puis s’attarda sur mon anus. Un doigt vint la rejoindre. Elle le posa sur mon orifice encore vierge. Je savais ce qui allait suivre. Elle appuya délicatement et je me sentis céder. J’avais maintenant son doigt au plus profond de mon fondement. Peu habitué à ce genre de sensations, je me laissais faire, et sentis un immédiat sentiment de bien-être. Tandis que la bouche de Ming allait et venait sur ma hampe, son doigt explorait des régions encore insondées. Je sentais la jouissance venir.

— Ming, je vais jouir - furent les seuls mots que je parvins à dire.


Elle intensifia alors son jeu de succions et de va-et-vient. Sans plus tarder, j’éjaculai. Elle garda mon sperme en bouche, retira délicatement son doigt de mon anus et vint m’embrasser. Une fois de plus, ce fut une première pour moi. Première fois que je me goûtais. Avec un regard malicieux, Ming me prouva à quel point elle se délectait de cette saveur en avalant ma liqueur. Je la pris dans mes bras, et nous restâmes ainsi enlacés pendant de longues minutes. Mais je n’étais pas rassasié, et je savais que Ming non plus. Je repris donc mes caresses, mais cette fois-ci, je l’allongeai sur le ventre. Je voulais moi aussi lui faire partager de nouveaux plaisirs.


J’embrassai son dragon, et le parcourus sur toute sa longueur. Je parvins alors à ses fesses. Je passai ma langue dans sa raie, et m’attardai sur son anus. Je dardai ma langue et la pénétrai ainsi. Ming soupira et releva les fesses. Une fois de plus, je n’en revenais pas. J’ignorais qu’elle était adepte des plaisirs de Sodome. J’écartai les deux lobes et contemplai l’anneau brun palpitant. Je l’agaçai d’un doigt. Ma langue vint à la rescousse. Humidifié, son anus s’ouvrit et engloba mon doigt. L’étroitesse du conduit me foudroya. Je pouvais sentir les moindres contractions de Ming.

— Encule-moi. Mets ta bite au plus profond de mon cul. Mais ne touche pas à ma chatte.


Sûr de n’avoir pas bien compris, et craignant de l’avoir blessée, je retirai mon doigt et allai lui susurrer mes plus douces excuses. C’est alors que je vis Ming-le-Dragon se réveiller.

— Je veux que tu m’encules. Je veux sentir ta bite dans mon cul. Déchire-moi. Je suis vierge par là, mais je veux tout de toi, je veux tout pour toi. Et surtout, ne touche pas ma chatte. Je veux jouir du cul.


Ainsi soit-il ! Pour une première, c’était une première. Jamais Ming ne m’avait parlé comme ça. Encore sous le coup de la surprise, je ne pus m’empêcher de sourire. Je replongeai avidement entre ses fesses. Ma langue la pénétra, déposant une salive lubrificatrice bienvenue. Je me redressai et posai mon gland sur l’orifice auparavant interdit. Poussant légèrement, je fis pénétrer mon gland. Je fis une pause afin que Ming puisse s’habituer à cette présence, je caressai son dos. C’est alors que Ming se recula d’un seul coup. Elle se retrouva avec la totalité de mon sexe dans l’anus. Je savais qu’elle avait mal. Je savais que je devais la déchirer. Et pourtant, elle reprit ses mouvements. J’empoignai ses hanches afin de la calmer dans son ardeur. L’étroitesse de son cul ne me permettrait pas de tenir longtemps. Mais Ming ne l’entendait pas ainsi.

— Je vais jouir, et je veux que tu jouisses en même temps.


Impérieuse, Ming se lança alors dans une frénétique course à l’orgasme. Son rectum se contractait sur ma verge. Fabuleuse sensation ! Faisant fi de toute retenue, je me lançai à l’assaut de son fondement. Ming se crispa. Son anneau se contracta encore plus autour de ma bite. Je ne ralentis pourtant pas. Je voulais jouir, et surtout, je voulais qu’elle jouisse. Soudain, je la sentis partir. Littéralement, un hurlement surgit de sa bouche. Ming jouissait, et pour la première fois, et comme elle le voulait, elle jouissait grâce à son cul. Il ne m’en fallut pas plus. Je m’épanchai au plus profond de ses fesses. Foudroyant orgasme. Je restais planté, incapable de bouger. Ce fut encore Ming qui prit les devants. Elle s’avança et m’obligea à me retirer. Je pus voir alors son anus ouvert et meurtri. Malgré tout, Ming vint se lover au creux de mon épaule. Je la pris alors dans mes bras, et la portai vers ma chambre, où un lit salvateur nous attendait.


Nous nous endormîmes rapidement, et le lendemain, nous pûmes nous rendre compte que ni l’un ni l’autre n’avait bougé. Thaipusam avait à jamais changé notre relation. Ming m’avait dévoilé la face cachée de son appétit sexuel, et je fus bien loin de m’en plaindre…

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 16 avril 3 16 /04 /Avr 13:26

Nous avions décidé d’aller faire un squash.
Comme d’habitude, j’avais enfilé ma tenue de sport : tee-shirt moulant, short court (sans petite culotte) afin d’être à l’aise dans mes déplacements.
A peine sur le cour, j’entendis dans un murmure : « Tu es sexy comme ça, j’ai très envie de toi. »

Nos échanges commencèrent.
Chaque fois que nous nous frôlions, je sentais son excitation grandir.
L’effleurement du tissu de mon short sur mon sexe provoquait des ondes de désir. Je sentais mes lèvres gonfler.
Nous continuions cependant à jouer.
Je sentais mon short s’humidifier à mesure que je renvoyais la balle.

Enfin, un dernier rebond…
J’allais ramasser la petite balle en prenant soin de me baisser dans le champ de vision de mon partenaire de jeu afin qu’il puisse profiter de la vue puis me dirigeais vers le vainqueur afin de l’embrasser.
J’en profitais pour me coller contre lui et je sentis qu’il n’était effectivement pas de marbre. Ma main descendit alors le long de son short jusqu’à effleurer son sexe.

Nous sortîmes du cour laissant ainsi la place aux deux hommes qui attendaient de l’autre côté de la vitre et qui n’avaient rien manqué de nos dernières minutes de présence sur le terrain.

Nous prîmes quelques minutes pour nous désaltérer puis pour nous étirer.
Mon short était maintenant orné d’une auréole mouillée.
Nous nous rendîmes enfin aux vestiaires. Il y avait deux sacs dans celui des hommes. Quant à celui des femmes, il était vide.
C’est là que nous posâmes nos affaires.

Je me suis dévêtue pendant que mon partenaire me regardait.
Ses yeux en disaient long sur son désir.
J’allais sous la douche sans lui laisser le temps de m’approcher.
L’eau était froide et mes seins pointèrent encore plus.
Je frissonnais de désir moi aussi.

Il arriva enfin. Son sexe était érigé, gonflé de sang et d’envie.
Il tendit les mains vers moi. Je fermais les yeux sous ses caresses.
Des frissons me parcouraient de la tête aux pieds.
Une envie d’abandon.
Il vint derrière moi, se coller tout contre moi. Je sentais son sexe. Il me couvrait de petits bisous, me pinçait les seins.
Dans le lointain, des rires, un bruit de porte.
Je profitais de ces moments avec intensité.
Nous risquions d’être découverts mais le danger était excitant.
Ses mains parcourent mon corps, mes mains dans mon dos caressent son sexe. Je bascule ma tête en arrière et nous nous embrassons sauvagement. Nos langues se mélangent.

Alors que nous nous tenons ainsi, je sens ses mains qui viennent jouer avec mon sexe. Pourtant je réalise que ses mains sont déjà très occupées à me titiller les seins.

Surprise, j’ouvre les yeux et mon regard tombe sur la sublime femme qui était à l’accueil. Mon ami la regardait à chaque fois avec gourmandise. Et maintenant le fruit inaccessible se joignait à nous.

Elle est nue.
Elle nous offre le splendide tableau de ses seins ronds en avant, de ses jambes légèrement écartées, de son sexe totalement épilé. Je ne suis pas insensible.
« J’ai fermé la porte à clef, dit-elle simplement en se baissant pour jouer avec mon sexe. »
Je la regarde et la laisse faire.
Je la vois approcher sa bouche de mon sexe. Elle commence avec sa langue de petits ronds savants autour de mon clitoris.

Mon ami s’est un peu reculé.
D’une main, il continue son petit jeu avec mes seins ; de l’autre, il a entrepris de se caresser le sexe. Ses yeux ne nous quittent pas.
Ils expriment de la gourmandise.

C’est alors que je me sens partir.
Une vague intense de plaisir vient me submerger.
Quel plaisir !
J’ouvre les yeux.

La jeune femme a quitté mon sexe pour s’emparer de celui de mon ami comme s’il s’agissait d’une délicieuse friandise. Il faut avouer que ce membre est bien bon, bien dur…

Un coup d’œil à mon ami, un petit signe d’assentiment et je me baisse à mon tour. J’ai très envie de jouer avec le sexe de notre nouvelle camarade de jeux.
D’abord, mes doigts, de façon à découvrir son intimité. Doucement, je tourne, je frotte, je roule. C’est doux, mouillé, chaud.
Je la sens vibrer sous mes caresses et moi, j’aime ça !
Je me baisse un peu plus et approche ma langue de ce fruit qui s’offre. Ma langue joue, écarte, fouille… Mes doigts pincent maintenant le bout de ses seins et de petits gémissements se font entendre.

Elle continue la succion du sexe masculin bien raide devant elle. Je fais durer le plaisir et alors qu’un gémissement significatif m’indique que mon ami vient de jouir dans la bouche de la belle, je donne un dernier coup de langue qui l’emmène dans les profondeurs du plaisir.

Je me relève. Elle m’embrasse goulûment. Nous partageons le sperme qu’elle n’avait pas avalé.
Debout, pudiquement, sans trop oser nous regarder après cette nouvelle expérience, nous prenons notre douche.
Elle se rhabille rapidement.
« A bientôt, dit-elle en refermant la porte derrière elle. »

Nous sommes à nouveau tous les deux.
Mon ami sourit.
« Quand rejouons-nous ? lui dis-je l’œil pétillant. »

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 12:53

Quand Fred perdit une dernière fois, il se rappela les mots de Suzanne : "Tout le monde te saute dessus. Et tu fais ce qu'on te demande, jusqu'à ce que tu nous aies toutes satisfaites." Les quatre filles se rapprochèrent de leur proie ; elles le poussèrent sur le dos. Suzanne vint le chevaucher la première, s'empalant sur sa queue érigée jusqu'à ce qu'il se retrouve jusqu'au fond de sa chaude moiteur. Lorie vint s'asseoir sur son visage, et sa chatte aux boucles blondes et soyeuses obscurcit aussitôt son champ de vision. Il darda sa langue entre ses lèvres, à l'intérieur de son puits aux délices. Dans le même temps, il pouvait sentir des mains caresser la moindre part de son corps nu, et sut ainsi que les autres filles ne restaient pas inactives. Suzanne ahanait de plus en plus vite sur sa bite ; la friction des parois de son vagin le rendait fou de plaisir. Il tendit les mains des deux côtés, trouvant à l'extrémité de chacune un corps chaud et satiné. D'un côté, une cuisse athlétique, avec, plus haut des poiles humides et frisés, où il laissa jouer ses doigts. De l'autre, il trouva une autre main, plus fine et menue que la sienne. Il la serra quelques instants, puis remonta le long d'un bras mince, jusqu'à un sein gros et ferme, qu'il pelota, taquinant le téton érigé.
 
Les filles changèrent de place à tour de rôle, veillant à ne jamais laisser son pénis ou sa langue inoccupés plus de quelques secondes. Il perdit le compte des orgasmes féminins qu'il sentit, ou entendit, et les filles se mélangèrent dans son esprit comme au sein d'un brouillard - il se crut enveloppé par un corps unique de femme, avec quatre vagins, huit mains, quatre bouches et huit seins. Sa bite palpitante était en feu ; il ne comprenait pas, car il aurait dû éjaculer depuis déjà longtemps.

Elise avait maintenant beaucoup plus d'assurance. Elle comptait même bien avoir le dernier mot... Elle se positionna sur le canapé,  les fesses en avant, et de sorte que Fred puisse la voir. Elle n'eu pas à attendre très longtemps. Fred s'extirpa de la mélée, laissant les trois autres femmes se lecher mutuellement et rejoignit Elise. Voir cette femme qu'il voulait tant baiser, soumise, offrant même sa petite rondelle à son penis l'excitait encore plus. Son sexe était énorme et il se positionna à l'entrée de son anus. Il sentait Elise souffler. Un mélange d'impatience et d'apréhension surement. Il la penetra lentement, jusqu'au plus profond d'elle. Elise poussa un  petit cri mais son anus semblait etre habitué à ce genre d'exercice. Fred commenca à la pénétrer de plus en plus fort, et de plus en plus vite. Elise ne retenait plus ses cris et elle hurlait véritablement à chaque coup de rein. Fred la pillona quelques minutes. Mais ce petit trou étroit qui enserrait son sexe le rendait fou. Il sentit la tension familière dans ses testicules, et expulsa un torrent de sperme au fond de ce petit cul. Les autres femmes alerté par son orgasme arretèrent leurs petits jeux et vinrent pour nettoyer son sexe à grands coups de langues...

Ce fut, décidément, une bien longue soirée !

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 4 avril 5 04 /04 /Avr 12:52

- A présent, passons à la deuxième phase du jeu, déclara Suzanne.

Fred la considéra avec attention, impatient de savoir ce qu'elle avait en tête.  
- Jusqu'ici, le perdant se contentait de se déshabiller. Mais dans le cas où l'on perd alors qu'on est déjà complètement nu, que fait-on ?
Ecouter son discours n'empêcha pas Fred de laisser traîner ses yeux un peu partout, sur ses seins ronds aux tétons érigés, sur la zone encore couverte entre ses cuisses, puis à nouveau sur ses seins...
- Je vous propose, si vous perdez, de piocher une nouvelle carte, et de compter vos voisin-voisines dans le sens des aiguilles d'une montre, autant de fois que le chiffre de la carte. Si c'est votre premier gage nu, vous devrez embrasser la personne ainsi désignée pendant toute une minute. Juste un baiser, j'insiste : pas le doit d'enlacer, encore moins de peloter ! Si c'est la seconde fois, la personne a le droit de vous toucher où elle veut avec ses mains, et vous devrez, pendant ce temps, rester passif et immobile. La troisième fois, il ou elle a le droit d'utiliser sa bouche et sa langue sur votre corps. Et si vous perdez une quatrième fois... (elle regarda Fred droit dans les yeux) ...vous prenez votre partenaire et lui faites tout ce qui pourra lui donner du plaisir.
- Et supposons que je perde encore, après ça ? demanda Fred.
Après un bref silence, Suzanne sourit.
- Dans ce cas, tout le monde te saute dessus. Et tu fais ce qu'on te demande, jusqu'à ce que tu nous aies toutes satisfaites.
 
Tout en distribuant les cartes pour la prochaine manche, Fred sentait son excitation grimper en flèche. Il considéra les quatre femmes autour de lui... Jennifer, toute nue et déjà vibrante de désir... Suzanne, vêtue seulement d'un tout petit slip rouge et de son sourire espiègle... Lorie, en string et bustier roses... et Elise, dans sa petite culotte noire, encore un peu intimidée, et visiblement plus jeune et moins expérimentée que ses copines. Il sourit à la jeune fille : comme elle croisait son regard, elle lui rendit un petit sourire très doux, chargé de promesses, avant de rougir et de tourner la tête.
 
Lorie dut enlever son bustier rose. Elle se mit debout face à Fred, et croisa les avant-bras sur sa poitrine. Elle saisit dans chaque main les bretelles délicates du bustier, puis le fit sensuellement glisser au-dessus d'elle avant de l'envoyer à Fred d'un geste enjoué. Ses cheveux blonds volant autour d'elle, elle se rapprocha encore de Fred et, d'un mouvement érotique du bassin, vint lui coller son entrejambe juste sous le nez.
 
Après, ce fut au tour de Fred d'être séparé de son caleçon. Cet honneur échut à Jennifer. Elle mit ses mains dans le boxer, et se saisit fermement du membre viril afin de le libérer de sa prison. Agenouillée, elle abaissa encore le caleçon, caressant de ses seins son érection vibrante, avant de conclure l'opération par un bisou rapide de ses lèvres autour du gland.
- Quel beau morceau ! s'exclama Suzanne, je suis impatiente de mettre la main dessus !
- La main seulement, Suzanne ? la taquina Lorie.
Mais Fred ne les écoutait pas : il regardait Elise, qui paraissait médusée, le regard fixé sur l'entrejambe du garçon, manifestement incapable de détourner les yeux de son phallus. L'expression de son visage était un mélange de désir et d'appréhension.
 
Elle avait toujours le regard rivé au même endroit quand débuta la manche suivante, et ne releva la tête que lorsque Jennifer l'avertit :
- Redescends sur terre, Elise : tu as perdu. C'est l'heure du strip-tease !
Apparemment hésitante, elle commença à retirer sa petite culotte de soie noire, puis changea d'avis et vint jusqu'à Fred. Elle se tint, tremblante, devant lui, sans oser le regarder dans les yeux. Gentiment, il lui saisit les hanches à deux mains, puis tira sur sa culotte avec douceur et délicatesse. Elle était à présent nue devant lui, baignant dans une cascade de longs cheveux noirs. Seule une légère touffe de poils sombres ornait son minou, et laissait bien visibles ses lèvres minces et roses. Toujours sans oser le regarder, elle se baissa d'un geste hésitant pour toucher son pénis, puis retira sa main aussitôt et courut se rasseoir.
 
Fred contrôla son souffle. La peau douce et bronzée d'Elise, sa timidité manifeste, tout cela était irrésistible. Il la lui fallait absolument avant la fin de la nuit ! Mais, pour l'instant, il devait se contenter de regarder, dans l'espoir que les cartes lui apportent l'opportunité voulue.
 
En dépit d'une paire de dix, Suzanne ne put gagner la main ; elle se leva pour retirer sa petite culotte rouge, qu'elle fit glisser sur ses hanches d'un seul mouvement souple, la laissant tomber sur ses chevilles. Sa toison pubienne était brune, mince et soyeuse.
 
Lorie fut la perdante suivante, et elle vint se placer tout contre Fred pour tirer sur la ficelle de son string et le baisser, centimètre par centimètre. Ce faisant, elle promenait sa chatte juste sous le nez du jeune homme, presque à portée de sa langue. L'odeur des jus intimes de la fille envahissait ses narines. Quelle gourgandine ! Elle se tint nue, les cuisses grandes ouvertes, exhibant avec fierté son corps superbe. Elle s'arc-bouta, pressant son bassin contre la figure de Fred, qui se saisit de ses fesses rebondies, avant de plonger sa langue dans la douceur veloutée de sa chatte blonde.
- Ah non ! Pas de ça ! Les plaisirs sont rationnés jusqu'à la fin du jeu, les interrompit Suzanne.
Lorie s'écarta et alla se rasseoir, mais Fred percevait toujours sa respiration rapide, ainsi que le goût de son intimité sur sa langue.
 
Suzanne perdit la manche suivante. - Flûte, s'exclama-t-elle, prenant une carte dans la pile. C'était un deux. Elle compta :
- Fred un, Jennifer deux... Viens, Jennifer.
Les deux filles se penchèrent au-dessus de Fred, joignant leurs lèvres pour un baiser profond. Les deux paires de seins pendaient à quelques centimètres du visage de l'homme, le frôlant parfois. Mais la règle "pas de pelotage" était très claire, aussi tentant fût-il de tendre les mains pour un pelotage double ! Les filles s'écartèrent au bout d'une minute, toutes les deux presque à bout de souffle.
 
 
Au cours de la manche qui suivit, Fred fut le perdant - si on pouvait appeler ça perdre. Il piocha un huit, et compta dans le sens des aiguilles d’une montre pour s'arrêter sur Lorie. Elle se leva et le rejoignit pour un baiser langoureux, son corps pressé contre le sien, dardant sa langue dans sa bouche pour une minute intense. Son érection palpitait, prise en sandwich contre la peau soyeuse de son ventre. Puis ce fut le tour de Suzanne. Elle piocha un dix et, visiblement excitée et impatiente, se mit à compter. C'est alors que son expression changea, elle fronça les sourcils d'un air consterné :
- Mais je reviens au point de départ : moi-même ! Qu'est-ce que je vais faire ?
- Exactement ce que dit la règle, répondit Jennifer : pendant une minute, toucher la personne indiquée par la carte. Vas-y et touche-toi, Suzanne ! Touche-toi là où ça fait le plus de bien !
Suzanne devint pivoine, de toute évidence elle n'avait pas l'habitude de se masturber en public... cependant, quand elle se coucha sur le dos, et qu’elle se mit à caresser doucement son ventre et ses seins, elle ne put dissimuler son plaisir. Fred observa, fasciné, sa main descendre vers ses cuisses, qu'elle écarta pour le laisser admirer sa chatte, avant que ses doigts ne commencent à caresser la partie sensible. Elle laissa échapper un gémissement sourd. Quand le temps fut écoulé, Jennifer dut lui retirer sa main de force.
- Le rationnement des plaisirs, ma chérie, rappela-t-elle. Cela fait partie du jeu.
Après un dernier cri de plaisir et de frustration mêlés, Suzanne se rassit et s'efforça de composer son visage, excité et rougi par cette petite séance.
 
Ensuite, Lorie dut embrasser Suzanne, non sans une ardeur notable, et Jennifer échangea un baiser avec Fred. Cette fois-ci, elle prit soin de respecter les règles et se contenta d'un baiser classique ; cependant, elle ne manqua pas de lui chuchoter quelques mots, pleins de promesses des plaisirs à venir. Pour son second tour de gage, Lorie eut Fred. Celui-ci lui ordonna de lui tourner le dos, et entreprit de presser sa verge contre son postérieur rebondi, les mains tendues pour lui caresser les seins. Il fit descendre une main en direction de son bas-ventre, laissant l'autre jouer avec un mamelon. Le souffle de la jeune femme s'accéléra. Il caressa gentiment ses boucles blondes, poursuivit sa descente, apprécia le contact velouté de l'intérieur de ses cuisses, remonta, écartant ses jambes, frôla ses lèvres, sa moiteur ; avec précaution, il inséra un doigt entre les grandes lèvres, le retira, puis relâcha complètement son étreinte, car Jennifer rappelait que le temps était écoulé..
 
Elise dut embrasser Suzanne. Visiblement peu enthousiaste, elle refit deux fois le compte. Et se contenta d'un baiser froid, minimal, avec les lèvres closes. Puis elle perdit de nouveau, mais se révéla, cette fois, plus chanceuse dans son gage. Elle et Fred se mirent debout l'un face à l’autre, elle le regarda bravement dans les yeux. Leurs visages se rapprochèrent. Il l'enlaça, lui donna le baiser qu'elle désirait, tout en lui massant le dos, jusqu'à son petit fessier enjôleur, qu'il prit soin de malaxer. Elle s'abandonna à son étreinte, un doux soupir s'échappa de ses lèvres. Elle pressa son corps tout entier contre le sien, remuant doucement les hanches. Il se contenta de la serrer tendrement contre lui, puis, à contrecœur, il s'écarta, et posa les mains sur ses épaules pour admirer son petit corps souple, élégant. Puis il fit descendre ses mains, caressant chaque centimètre de peau bronzée, ses seins, son ventre, le galbe de ses jambes, jusqu'à ses pieds mignons. Quand il eut fini, elle tremblait, mais alla se rasseoir sans proférer un son.
 
Fred, lui-même, avait du mal à contrôler sa respiration, et sa bite était tendue à exploser. Ce jeu était terriblement excitant et, à la fois, monstrueusement frustrant. Cerné par quatre onctueuses filles nues, mais sans pouvoir prendre de plaisir avec elles autrement qu'en rations très restreintes. Il sentait son excitation croître douloureusement, de minute en minute... ce qui ne s'arrangea pas avec la manche suivante, quand Jennifer fut désignée pour être sa "masseuse." Elle lui ordonna de se coucher sur le dos sans bouger, et il retint à grand-peine un hurlement de plaisir quand les mains expertes de la jeune femme caressèrent sa bite et ses couilles. Au tour suivant, les rôles furent inversés : Fred offrit l'habileté de ses mains à Jennifer, caressant sa motte. Il écarta ses lèvres pour titiller son clitoris, et fut récompensé par un gémissement de plaisir. Un doigt, puis deux, se frayèrent un chemin dans cette douceur humide. Elle se tortilla d'aise sous sa caresse, poussant son bassin en direction de ses doigts. Ses halètements et ses contorsions subsistèrent un long moment après qu'il eut terminé.
 
La pauvre Elise se retrouva de nouveau avec Suzanne, ce qui parut la chagriner encore plus que la fois précédente. Mais, avec douceur, Suzanne lui demanda de s'allonger sur le dos, de fermer les yeux et de se détendre. Elle entreprit alors de régaler la chatte d'Elise de petits bisous ; quand elle se mit à utiliser sa langue, léchouillant son clito, Elise ne put se retenir plus longtemps et se répandit en petits miaulements de plaisir. Puis ce fut au tour de Lorie de prodiguer à Suzanne les mêmes faveurs, et cette dernière se révéla bien moins avare en vocalises : ses soupirs et ses cris montaient chaque fois que la langue de Lorie touchait ses points sensibles.
 
"Mon dieu, faites qu'Elise perde encore..." pensa Fred comme la manche suivante débutait. "Alors, je pourrai lui faire l'amour. Cela dit, bien sûr, si Suzanne perd, je pourrai la baiser elle aussi… et si moi je perds, l'une de ces adorables créatures viendra me sucer... plutôt un bon plan, quelle que soit la tournure des évènements ! Si tout se passe bien, je pourrai enfiler ma bite dans chacune d'elle avant la fin du jeu..." Jennifer était la perdante, et Lorie lui adminstra un léchouillage en bonne et due forme. Puis ce fut le tour de Fred : allongé sur le sol, il laissa Suzanne s'installer sur son torse, tandis que les lèvres de la brune s'approchaient de sa bite dressée. Elle entama sa fellation, ses lèvres coulissant le long de son mât, sa langue entamant une danse autour du gland. Sans cesser de le sucer, elle pressa son cul contre son visage, dans une claire invitation à la réciprocité. A voir cette chatte chaude et humide, ces lèvres gonflées et luisantes à quelques centimètres de sa bouche, il n'hésita pas et tendit sa langue. Il n'eut à la lécher que quelques secondes pour qu'elle jouisse violemment, agitée d'un tremblement convulsif, son cri orgasmique à peine étouffé par le phallus qui emplissait sa bouche.
Puis, enfin, vint le moment qu'il attendait : Elise.

 

Quand Elise prit conscience de ce qui allait suivre, elle poussa un léger soupir, s'allongea sur la moquette et ferma les yeux. Il se leva, son phallus fièrement dressé, et prit son temps pour admirer ce magnifique corps gracile, si nu et si vulnérable sur le sol. Avec douceur, il lui écarta les jambes, s'agenouilla et se pencha pour échanger avec elle un doux baiser. Puis il positionna sa bite à l'orée de son saint des saints, et frotta l'extrémité de son gland d'abord contre sa toison, puis entre ses grandes lèvres, de haut en bas. Enfin, quand elle commença à soulever son bassin vers lui, et qu'il sentit sa liqueur d'amour se déverser depuis sa fente, il la pénétra, d'abord avec son gland, puis, d'un seul mouvement, avec toute la longueur de son membre. Elle cria de satisfaction et l'enlaça, tentant de l'attirer plus profondément en elle. Sa chatte enserrait fermement sa bite pendant qu'il entamait de lents mouvements de reins, qu'elle accompagna de ses hanches. Chaque va-et-vient arrachait un gémissement des lèvres de la jeune fille. Quand il accéléra le rythme, ceux-ci gagnèrent en volume et se transformèrent en hurlements de joie et de plaisir, la laissant terrassée par l'orgasme. Il se retira, et elle reposa, pantelante, la poitrine secouée par ses halètements. Regardant autour de lui, Fred vit les trois autres filles qui n’avaient pas perdu une miette du spectacle.
- C'était bien ? demanda Jennifer, une main entre les cuisses. Ne gâche pas tes réserves, on veut notre part nous aussi, dit-elle en désignant sa bite, rendue luisante par les jus intimes d'Elise.
 
Les souhaits de Jennifer furent exaucés au cours de la manche suivante, quand elle "perdit" et que, naturellement, elle prit Fred pour satisfaire son plaisir.
- Prends-moi, baise-moi par derrière !
Elle l'implora, à quatre pattes, les cuisses grandes ouvertes. Entre les monts voluptueux de son cul blanc et rond, sa chatte aux lèvres rougies, béantes, était une invitation qu’il ne pouvait refuser. Il n'hésita pas une seconde, et d'un violent mouvement du bassin, il enfouit son chibre rigide dans cette fente chaude et ruisselante. Jennifer laissa échapper un long et profond cri de joie, pendant qu'il lui pilonnait la chatte avec ardeur. L'excitation de la fille montait sans cesse, sous les assauts répétés que subissait son minou. Il fallut moins d'une minute à Jennifer pour atteindre l'orgasme. Au moins, Fred s'était réservé pour la suite : il restait dans la pièce d'autres trous qui attendaient impatiemment d'être remplis...
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 28 mars 5 28 /03 /Mars 12:39

A ceux qui doutent que les mots peuvent faire plus d'effet que la plus chaude des photos, voilà de quoi leurs prouvé le contraire. Une superbe histoire prise sur un forum. Magnifiquement rédigée.

La jeune femme aux longs cheveux noirs venait de perdre une nouvelle fois. A gestes lents et lascifs, Elise se mit à défaire, de bas en haut, les petits boutons qui fermaient le devant de son chemisier. Chaque bouton ôté faisait s'écarter davantage les pans du tissu, révélant peu à peu le teint bronzé de sa poitrine, ainsi qu’une magnifique paire de seins, qui semblaient prêts à jaillir hors du soutien-gorge de dentelle noire qu’elle portait encore.
   
Fred embrassa d'un regard admiratif les courbes délicates de ses seins arrogants, tandis qu'à sa droite, une fille aux cheveux auburn battait les cartes en vue de la prochaine manche. A priori, ce n'était qu'un strip-poker classique, mais les filles, quand elles l'avaient persuadé de se joindre à elles, n'avaient pas manqué de lui promettre d'intéressantes variantes pour la suite... 
 
Il était tard, la fête s'achevait, il était temps pour lui de rentrer. C'est alors que les quatre filles étaient venues vers lui. A eux cinq, ils étaient les dernières personnes restantes dans la maison, toutes les autres étaient déjà parties. Les jeunes femmes eurent quelques sourires gênés, frottant leurs pieds d'un air embarrassé, avant qu'une grande blonde ne se décide à lui demander s'il voulait bien faire un jeu de cartes avec elles. Fred eut une brève hésitation, se demandant où elles voulaient en venir. En dehors de l'hôtesse des lieux, une petite brune nommée Suzanne, avec une longue chevelure bouclée et de petits seins fermes, il ne connaissait aucune des trois autres. Elles étaient toutes visiblement plus qu'un peu éméchées, et d'humeur taquine. Mais la blonde, percevant son hésitation, s'approcha et, mettant ses bras autour de lui, lui promit un jeu très intéressant et spécial. Le contact de ses seins pointus, frottant contre son torse, ne tarda pas à provoquer un durcissement caractéristique entre ses jambes... qui prit le contrôle de son cerveau : il s'entendit répondre oui.
   
Ils allèrent tous les cinq au salon, puis s'assirent en rond sur la moquette épaisse. Suzanne était à sa gauche et, tenant toujours son rôle d'hôtesse de la soirée, elle sortit un jeu de cartes qu'elle se mit à mélanger. A la droite de Fred se tenait une pulpeuse beauté rousse prénommée Jennifer et, à côté d'elle, Elise, celle aux longs cheveux noirs. Lorie, la blonde enjouée, était assise entre Suzanne et Elise, fermant le cercle. Fred coupa les cartes, puis Suzanne en distribua cinq à chacun, et la partie de poker commença.
   
La jeune femme à la chevelure de jais perdit la première manche, mais cela ne lui coûta qu'une paire de chaussures à talons hauts.
- Ce n'est pas juste, Elise ! se plaignit la blonde. Jennifer et moi sommes pieds nus depuis le début.
- Trop tard, Lorie, répondit Elise d'un air espiègle, il fallait y penser avant. De plus, toi tu portes des bas et moi pas.
- Et toi, Suzanne, qu'est-ce que tu portes sous cette jolie robe ?
Suzanne était vêtue d'une courbe robe rouge qui lui découvrait les épaules, ainsi que de bas noirs à couture apparente.
- Ca, vous le saurez bientôt, répondit-elle. Maintenant revenons au jeu, j'ai envie d'un peu d'action. Allez, Fred, c'est ton tour.
 
Celui-ci battit les cartes, et la partie se poursuivit.. Au cours des manches suivantes, il ne tarda pas à perdre ses chaussettes et sa chemise. Jennifer se proposa pour l'aider à retirer cette dernière ; elle en profita pour caresser malicieusement son torse nu avec le bout des ongles, avant de tirer la chemise le long de ses bras. Il lui rendit obligeamment le même service quand elle perdit sa jupe, et ne manqua pas l'occasion qui lui était offerte de caresser ses fesses à travers sa culotte de dentelle bleue. Elise perdit la main face à Jennifer ; elle dut se mettre debout pour enlever son jean moulant, découvrant un minuscule slip de soie noire. Suzanne perdit la manche qui suivit. Elle troussa sa robe pour révéler une paire de bas auto-fixants, qu'elle roula lentement le long de ses jambes.
 
Puis ce fut de nouveau Elise qui perdit. Fred se força à ne pas regarder de manière trop ostentatoire quand elle dégrafa son chemisier, ses mains fines révélant toujours plus de peau dorée, comme les boutons glissaient sous ses doigts. Son regard inquisiteur n'échappa cependant pas à la jeune femme, et elle lui répondit par un sourire timide, mais encourageant.
 
Au tour suivant, Lorie perdit pour la première fois. Souriante, elle troussa sa minijupe, exhibant une paire de collants blancs et soyeux, qu'elle roula le long de ses jambes fines et bronzées. Ce fut ensuite au tour de Jennifer de montrer ce qui tendait le tissu de son petit haut. Elle prit son temps pour défaire chaque bouton, et quand le dernier fut défai, elle se tourna vers Fred avec un sourire tentateur. Il glissa ses mains sous les pans du chemisier, les referma autour de sa taille, puis les fit remonter lentement, s'arrêtant le temps d'apprécier la courbe de ses seins, à travers la dentelle bleue de son soutien-gorge à balconnet. Il titilla quelques secondes ses tétons à l'aide de ses pouces, et la course de ses mains reprit de plus belle, caressant toute la surface de sa poitrine généreuse, avant de faire glisser le chemisier le long de ses épaules, et enfin de ses bras. Il lui saisit de nouveau la taille, se pencha, embrassa un téton, puis l'autre. Elle ne se déroba pas, ce qui l'encouragea à multiplier baisers et caresses jusqu'à ce qu'il sente s'accélérer la respiration de la jeune femme. Mais Suzanne les interrompit :
- Vous aurez le temps pour ça plus tard ! D'abord, on doit arriver à faire voler ton caleçon, beau gosse !
 
Lorie perdit les deux mains suivantes et dut abandonner son haut et sa minijupe. Elle se retrouva en bustier rose et string assorti. Une paire de trois provoqua un nouvel échec de Jennifer. Elle se glissa jusqu'à Fred, et lui demanda de lui enlever son soutien-gorge de dentelle bleue. Face à elle, Fred dégrafa dans son dos la pièce de lingerie, et la tira jusqu'à lui, les mains par-dessous la dentelle fine, ce qui lui permit d'apprécier, du bout des doigts, la douceur de cette peau féminine. Quand ses mains viriles s'approchèrent de la rotondité de ses seins, elle se dégagea prestement hors de sa portée :
- On touche avec les yeux, Fred - au moins pour l'instant !
D'un mouvement d'épaules, elle fit tomber le soutien-gorge sur le sol. Les yeux de l'homme se retrouvèrent rivés à cette paire de seins libres et arrogants. Le contraste entre ses tétons, longs, roses, durcis, et la pâleur crémeuse de ses nichons était irrésistible. Jennifer les pressa l'un contre l'autre et se pinça les mamelons entre ses doigts.
 
Elle disputa alors une main contre Fred, que celui-ci perdit : c'était à présent au tour de son pantalon de tomber. Uniquement vêtue de sa petite culotte bleue, elle s'agenouilla devant lui, lui ordonna de se mettre debout, et commença à défaire sa ceinture. Elle allait baisser le pantalon quand il sentit plusieurs mains chaudes se glisser sous l'élastique. Lorie s'était mise à côté de Jennifer, et Suzanne derrière lui. Il sentit la poitrine ferme de celle-ci se presser dans son dos, et ses mains palper ses fesses viriles à travers son sous-vêtement.
- Nous aussi on veut s'amuser, dit Lorie en glissant ses doigts dans son caleçon.
Elle taquina du bout des doigts sa bite durcie. Les efforts conjugués de ces trois paires de mains eurent finalement raison de son pantalon, le laissant seulement vêtu d'un boxer tendu à craquer par son érection.
 
Vint le tour de jeu suivant. Chacun montra ses cartes. Suzanne gloussa :
- On dirait que ça y est...
Elle se mit debout, défit la fermeture éclair de sa robe et se tourna vers Fred. Celui-ci, debout à son tour, mit ses mains sur les épaules de la jeune femme, et fit lentement glisser la robe, découvrant de jolis seins ronds et hauts perchés. Elle se tint parfaitement droite, et n'eut qu'un léger frémissement quand elle sentit les lèvres de l'homme se refermer autour de ses mamelons. Il laissa sa bouche accompagner la descente de la robe, caressant de son souffle chaud le ventre peu à peu révélé. Puis il libéra les hanches, le vêtement tomba autour de ses chevilles : elle ne portait dessous qu'un minuscule slip rouge. Fred prit dans ses mains les fesses rondes, qu'il pétrit avec douceur, tout en arrosant de baisers tendres et humides le haut des cuisses. Avec un petit gémissement, Suzanne tendit ses hanches en direction du mâle. Fred vit grossir une petite tache sombre sur le devant de sa culotte, mais il se contenta de relâcher son étreinte et de retourner s'asseoir. Il n'était pas pressé, il savait que les choses viendraient en leur temps.
 
La suite de la partie vit Elise perdre son soutien-gorge, et Fred eut un sifflement appréciateur devant le spectacle de ses gros seins, libérés de leur dentelle noire. Leur blancheur délicate offrait un contraste saisissant avec le bronzage doré qui ornait le reste de son corps. Elise piqua un fard, et se rassit en croisant les bras pour cacher sa poitrine nue.
 
Encore une main perdante pour Jennifer ; elle se mit debout, les mains sur les hanches, l'index dans l'élastique de sa petite culotte bleue. Elle tourna le dos à Fred, se pencha vers l'avant, et fit glisser la lingerie délicate le long de ses cuisses veloutées, lui dévoilant les charmes de son cul. Quand la culotte eut atteint ses chevilles, elle s'en dégagea, se tint jambes écartées, puis fit courir ses mains à l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à son sexe. Fred vit ses doigts s'agiter dans son entrecuisse, et sentit s'élever son odeur musquée. Jennifer gémit doucement, et son corps se contracta sous la poussée d'un petit orgasme.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 14 mars 5 14 /03 /Mars 13:08

Je vais vous raconter une histoire vraie.
Je me présente. Je m'appelle Franck et j'ai 30 ans. Je connais deux jumelles. Jusque là rien d'extra ordinaire me direz vous. Sauf que j'ai déjà eu des relations avec chacune d'entre elles. Je les connais très bien et je croyais jusqu'à ce fameux jour qu'elles ne le savait pas. C'était bien mal connaitre les liens qui unissent deux soeur, qui plus est nées le meme jour.  Mélissa est la première avec qui j'ai eu une aventure. Elle m'a fait une fellation dans l'ascenceur un soir ou je la raccompagnais. Sa soeur Sandra je l'ai connu quelques temps après. Un jour qu'elle se promenait, j'ai remarqué qu'elle avait omis de mettre une petite culotte et qu'elle essayait de me le montrer. Inutile de vous faire un dessin sur ce qui s'est passé ensuite.
Bref vous l'aurez compris nos deux soeurs ne sont pas farouches.
Ce jour donc, c'est Mélissa qui m'appelle pour m'inviter à passer deux jours dans la maison de leurs parents. J'accepte avec plaisir d'autant que cette belle brune ne me laisse pas indifférent. Lorsque je sonne à la porte c'est Sandra qui m'ouvre. Je suis surpris car je croyais que j'allais passer un WE en tete à tete avec Melissa. Je suis un peu decu car j'avais prevu plein de petites cochonneries...
Je ne me doute pas que mes plans ne sont pas remis en question.
Sandra me salut et met tout de suite les choses au clair :
"J'espère que tu vas bien et que tu es en forme. Il va falloir nous satisfaire toutes les deux !" 
Je la rassure et lui demande où se trouve Mélissa. 
Elle m'indique qu'elle se trouve près de la piscine. J'y vais et je vois cette superbe fille qui fait des longueurs et quand elle m'aperçoit enfin elle me dit :
"AH ! Enfin tu es là mon chéri ! Viens me rejoindre dans l'eau !" Je lui réponds que je n'ai pas de maillot et elle me dit de me mettre à poil et de la rejoindre. Pour me montrer l'exemple, elle sort de l'eau et enlève son maillot deux pièces et retourne à la flotte.
J'enlève tous mes vêtements. Mon sexe est déjà en erection.
En entrant dans l'eau je commence par l'embrasser langoureusement tandis qu'elle me branle doucement. Elle me dit alors :
"Ta bite est bien raide: j'aime vraiment beaucoup çà ! 
Sandra me dit que tu l'as deja fait jouir...  Moi aussi je la fait jouir, mais c'est différent !". 

Là, je suis stupéfait et lui demande :

"Quoi ??? Tu baises avec ta soeur ?!" Elle me réponds que cela fait longtemps qu'elles font çà et qu'elle considère cela un peu comme de la masturbation, car étant jumelles, elles ont l'impression que quand une broutte la chatte de l'autre, c'est comme si c'était la même qui se branlait. 

Après avoir pris un rafraichissement, on passe dans le salon où Sandra me dit qu'elle a une surprise pour moi. Je m'asseois entre les deux cochonnes et Sandra allume la télé et démarre le dvd et un film porno commence. Mélissa me dit :

"Ce film nous a très très excitées toutes les deux : je pense qu'il va te plaire !"

Effectivement le film est super et arrivé à une scène avec 4 gouines, les deux soeurs se lèvent et commencent à se toucher, s'embrasser. Mélissa enlève les vêtements de sa soeur qui se retrouve en soutien-gorges et culotte. Elle lui lèche la chatte à travers son slip bleu, ce que Sandra apprécie, la garce ! Puis elle enlève tout et s'occupe de la rondelle de sa soeur en me disant :

"Puisse qu'elle aime bien se faire défoncer le cul par ta queue, je vais bien lui préparer le trou". Elle lèche férocement le trou du cul de sa soeur qui hurle de plaisir. On inverse les rôles et c'est maintenant Sandra qui dit à sa soeur de s'asseoir au niveau de sa bouche pour qu'elle là lèche. Mélissa ne se fait pas prier et offre sa chatte et son cul à sa soeur lubrique. 
Moi, pendant ce temps je me branle avec les gémissements du dvd et des soeurs pour m'exciter. Sandra demande à Mélissa de se mettre en levrette et lui glisse deux doigts dans la chatte et lui lèche le petit trou. Quelques instants plus tard, elles se mètent en 69 et se bouffe le minou mutuellement et jouisse chacune dans la bouche de l'autre. Quel spectacle : deux fille au corps superbes qui baisent comme çà !!! C'est inimaginables ! Sandra me dit :

"J'espère que cette entrée en matière t'a plus mais ne t'inquiète pas : le meilleur reste à venir !".

On commence par s'embrasser à trois : quel délicieux moment ! Puis Mélissa descend vers mon gland prêt à exploser tellement il est dur et se met à me le lécher. Sandra en profite pour bouffer de nouveau le cul de sa soeur quelques instants avant de venir la rejoindre sur ma queue. Je vis un rêve : deux déesses qui me lèchent la queue en même temps !!! Mélissa enfourne mon dard complètement dans sa bouche tandis que Sandra m'annonce :

"Je vais te faire découvrir un plaisir nouveau". Elle passe alors derrière moi et commence à me lécher le trou du cul. C'est vraiment génial ! Ca surprends un peu mais j'apprécie. Après quelques instants encore, on décide de monter dans leur chambre pour avoir plus de place et de confort. A peine arrivé là-bas, je leur dis de s'allonger et je bouffe ces minous gluants tour à tour. Pendant que je voyage de chatte en chatte, elles en profitent pour se caresser et s'embrasser. 5 minutes plus, je m'approche de Sandra et lui demande de se mettre en levrette et je luis défonce la chatte. Elle hurle de bonheur ! Mélissa passe devant elle, s'allonge et lui donne sa chatte à lècher. Après l'avoir bien rammonnée, j'appel Mélissa et lui demande de s'empaler sur ma queue, ce qu'elle s'empresse de faire. A ce moment, Sandra s'asseoit au niveau de ma bouche et me donne son anus à lécher pendant qu'elle embrasse sa soeur. Cela continue encore quelques instants puis je dis à Sandra :

"le moment est venu pour que je t'encule ! J'espère que Mélissa t'a bien lubrifiée tout à l'heure !" Je m'allonge et ma queue rentre jusqu'au fond de son cul. Elle aime çà et elle en redemande, quelle salope. Un peu fatiguée par tant d'effort, je lui dis de se mettre en levrette et que c'est moi qui vais lui rammoner le cul. J'accèlère la cadence et ses hurlements son de plus ne plus forts. Mélissa s'allonge sous sa soeur et lui bouffe la chatte en lui enfournant deux doigts dans cette caverne détrempée. Sandra subit en quelque sorte une double pénétration, ce qui a pour effet de lui déclencher un orgasme sensationnel. En continuant dans cette position, Sandra se met aussi à lécher sa soeur qui elle aussi joui très fortement.

Sentant que le moment approche pour moi aussi, je me dégage de son cul et je donne ma bite à Mélissa pour qu'elle me suce. Je pensais qu'elle aurait refusée car ma bite sortait du cul de sa soeur mais au contraire, elle m'a dit :

"Je vais voir si le gout du cul de ma soeur est aussi bon sur ta bite que sur mes doigts d'habitude !" Elle me suce royalement et Sandra se sentant un peu délaissé vient elle aussi parcourir ma queue de sa langue. Leur annonçant que je vais jouir, Sandra m'ammène son superbe slip bleu tout lisse et me dit d'éjaculer dedans. Je le prends, l'enroule autour de ma queue, me branle quelques secondes avec et je jouis dedans. Je n'avais jamais autant éjaculé et je sais maintenant ce que veux dire "se vider les couilles", je vous le garantit !
Après leur avoir tendu le slip, elles se jettent dessus comme des assoiffées pour déguster mon sperme. Quand il ne resta plus rien, Sandra pris son slip, le frotta contre son petit trou du cul et sa chatte et le tendit à Mélissa qui lécha de nouveau et l'enfila ensuite. Quelle cochonne !!!

 Cela dura tout le WE. Je ne pourrais meme pas vous dire combien de fois j'ai pu ejaculer. Je suis rentrés chez moi complètement extenué, les couilles me faisaient mal. Mais quel bon WE j'ai passé. 

Par Franck - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 28 février 4 28 /02 /Fév 13:43
Claire et son mari Franck étaient mariés depuis presqu'un an maintenant.
Ils aimaient tous les deux beaucoup le sexe et adoraient par dessus tout découvrir de nouvelles expériences.
Claire avait donc rapporter des menottes. Elle avait proposé à Franck un petit jeu.
Celui ci avait accepté sans hésité et il s'était laissé attacher aux barreaux du lit.
Claire commencait tout juste à s'amuser un peu avec son sexe que la sonnette d'entrée retentit.
Elle laissa donc Franck attaché et descendit ouvrir.
C'était Marie sa meilleure amie. Elle lui ouvrit et elle l'invita à boire un café.
Les deux jeunes femmes entamèrent la discussion.
Au bout de quelques minutes, Marie demanda ou etait passé Franck.
Claire, qui connaissait Marie depuis très longtemp hesita un instant puis l'invita à monter avec elle.
Les deux femmes avaient passé toute leur scolarité ensemble, et elles se racontaient toutes leurs aventures.
A une époque elles avaient même eu le même petit copain.
Claire n'avais donc pas peur de montrer ce qu'elle faisait avec Franck.
Marie fut d'abord très surprise de voir Franck attaché au lit puis elle sourit.
Franck lui se trouva très géné d'être dans cette situation. Il perdit même son erection.
Claire proposa à Marie de se joindre à eux.
Marie accepta volontier.
Elle s'approcha de Franck et carressa ses bourses lentement avant de prendre son penis à la mains.
Celui ci retrouva d'un coup toute sa vigueur. L'idée qu'une étrangère lui prenne le sexe l'exitait beaucoup.
Marie branla Franck un moment. Ce dernier semblait maintenant aprécier la situation.
Pendant ce temps, Claire avait enlevé ses vetements et elle s'etait accroupis sur
le visage de son mari pour une petite seance de cunilingus.
Franck pas habitué de ce genre de situation était sur le pont de jouir.
Mais Marie s'en appercu. Elle avait pas mal d'experience et avait vu que les testicules de Franck allaient se relacher.
Elle arreta tout net la fellation qu'elle venait de commencer.
"Voyons Franck. Petit egoiste. Tu ne va pas déjà jouir. Nous n'avons meme pas vraiment commencé"
Elle descendit et remonta avec des glacons. Elle les posa sur le sexe de Franck. Celui ci rala mais il ne pouvait rien faire de plus.
Comme prévu son erection retomba.
Les filles le laissère avec les glacons quelques minutes. Lorsqu'elles revinrent Marie avait une ficelle à la mains.
Elle expliqua à Claire qu'elle avait apris cela lors d'une soirée échangiste. Elle utilisait la ficelle pour retenir les couilles de Franck.
Ne pouvant remonter, celles ci empechait toute ejaculation.
Les deux femmes pourraient donc s'amuser avec leur "jouet" sans craindre une ejaculation precoce.
Par contre, avec ce stratagème, le sang circulait moins bien, et
il fallait retirer la ficelle au bout de trente minutes. Largement de quoi s'amuser un peu !
Marie attacha donc les couilles de Franck. Le fait de serrer et de couper un peu le sang fit gagner à Franck plusieurs cm d'erection.
Jamais Claire n'avait vu son sexe aussi gros.
Les filles se remirent au travail. Marie avec sa fellation.
Claire pour un cunnilingus.
Après quelques minutes, elles inversèrent les roles.
Mais les deux femmes n'avait qu'une envie. S'empaler sur le sexe demesurement gros de Franck. Claire proposa donc à Marie d'essayer la première.
Celle ci s'executa et elle enfonca la queue de Franck dans son vagin. Franck semblait apprecier de penetrer une nouvelle partenaire.
D'autant que Marie etait une femme vraiment attirante. Marie se dechainait sur le sexe de Franck. Elle bougeait dans tous les sens.
Franck gemissait. Il aurait temps aimé etre libéré et jouir en elle. Sa queue allait et venait dans la chatte humide de Marie.
Claire ne perdait pas une miette du spectacle.
Elle se caressait pour rester excitée.
Après quinze bonnes minutes, Marie dit que Franck était à point. Elle se retira et enleva la ficelle.
C'est Claire qui se positionna sur Franck. Elle n'eu pas le temps de s'amuser trop longtemps. Franck ne put se retenir plus longtemps.
Son sexe explosa. Claire sentait le sperme gicler comme rarement. Franck cria de bonheur.
Claire referma ces levress pour garder la semance de Franck en elle avant de se placer sur sa tete de de lui vider cela dans la bouche.
Marie pendant ce temps lui lecha le sexe.
Franck fut bientôt libéré.
Depuis ce jour, Marie revient régulièrement pour aider Claire à s'occuper de son mari.
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 21 février 4 21 /02 /Fév 14:47
La langue de Steve lechait tout doucement le sexe d'Elisabeth. Elle fermait les yeux et se laissait faire en savourant chaque coup de langue.
Cette drnière allait au plus profond de son intimité pour ressortait pour s'occupait de ses grandes levres, avant de retourner voir à l'intérieur.
Elisabeth subissait ce traitement depuis 10 minutes. Depuis que ne voyant pas revenir leurs compères
ils avait regagné la suite que les deux hommes avaient louer pour la nuit.
Mais revenons à nos moutons.
Sa chatte était de plus en plus humide. Un peu à cause de la salive de Steve mais surtout mouillée d'excitation.
Steve mordillait de temps en temps cet abricot tellement appetissant. Il l'avait remarqué hier.
Il avait eu l'occasion de passer sa langue dans le sexe de'Elisabeth et il avais aimé ce gout etonnant.
Comme si il y avait eu du miel.
Elisabeth se releva et elle retira le pantalon de Steve puis baissa son calecon. Elle prie son sexe dans les mains et lui malaxa longuement les couilles avant de commencer à le sucer. Steve se laissa d'abord faire puis après une petite contorsion il atteint lui aussi le sexe de la jeune femme. Leur partie de 69 dura vingt bonnes minutes. Chacun essayant de faire jouir l'autre. Lorsque la langue de Steve augmentait la cadence, Elisabeth le sucait plus fort que jamais. Et vis et versa. Tout deux gemissait en même temps, mais aucun ne voulais arrêter.
C'est à ce moment que choisirent Helen et Sam pour entrer. Sam dont l'erection n'etais pas encore retombée prie Helen par la mains et l'attira aussi sur le lit XL de la chambre.
Sam et Helen se joignire à leurs camarades pour une partie de cunnilingus-fellation inedite.. 
Steve continuait à lecher Elisabeth qui changea son sexe pour celui de Sam. Sam s'occupait d'Helen qui elle même prie le sexe degoulinant de Steve dans la bouche. Et chacune des 4 langues commencaient son travail. 
C'est Steve qui craqua le premier.
Deja bien emoussé par le traitement que venait de lui faire Elisabeth pendant 20 minutes,
il n'avais pas resister très longtemps aux coup de langue d'Helen.
Dans un grand rale son sexe explosa litterallement dans la bouche d'Helen qui ne voulais pas en prerdre une goutte.
Elle avala tout, lechant le sexe de Steve jusqu'à ce qu'il n'en reste rien.
Steve, après un tel orgasme s'eloigna un peu pour reprendre ses esprits.
Helen rejoignit Elisabeth qui n'avait pas laché le sexe de Sam.
Les deux femmes sucait son sexe bandé au maximum chacune leur tour.
Sam apreciait.
Puis il reprit la direction des opérations. Il allongea Helen sur le dos, et s'engouffra entre ses jambes.
Il commenca à la lecher. Elisabeth presenta elle aussi sa chatte a la bouche d'Helen pour une
nouvelle seance de cunnilingus collectif.
Sam se releva et presenta son sexe à l'entrée de l'orifice cette fois.
Il penetra de nouveau Helen.
Apres 10 minutes Helen jouissait abondamment sous l'action des deux autres. Mais les choses n'allait pas en rester là.
Sam se retirait pour laisser les deux femmes se lecher mutuellement. Sam les regardait en se masturbant
d'une mains pour ne rien perdre de l'erection.
Il se placa ensuite derrière la tête d'Elisabeth qui etait tres occupé à butiner sa partenaire.
Helen ne vit rien. Quand soudain une douleur effroyable l'arreta net. sam venait de prendre possession de son anus.
La douleur etaitinsoutenable pour Helen. Mais elle ne pouvait pas se degager de l'emprise d'elisabeth.
Sam fit quelques aller et retour. Helen ne distingait plus la douleur et le plaisir qui lui procurait cette queue dans son orifice dilaté.
Sam y allait maintenant avec toute son energie. Il pillonait la jeune Helen qui criait maintenant de plaisir.
Elisabeth laissa sa place à Steve qui avait retrouvé son energie et arborait de nouveau une très belle erection.
Steve pris Helen par l'autre orifice. Helen ne savait ou donner la tete. Les deux black la prenaient par tous les trous.
Elle criait. Jamais elle n'avait jouie comme cela.
Ce fut au tour de Sam d'ejaculer. Il sorti son penis de l'anus d'Helen et cria :
"Ca vient !"
Elisabeth se precipita pour le sucer et recueillir sa semence dans la bouche.
Steve lui retrouna une nouvelle fois Helen et la sodomisa à son tour. Helen ne protesta pas. Elle aimait ca.
Il faut bien dire aussi que son anus était largement ouvert maintenant.
Helen épuisée par tant de jouissance abandonna ses dernières forces dans un dernier orgasme anal.
Lorsque Steve la laissa pour sodomiser Elisabeth qui voulait avoir sa part du gateau, Helen resta completement inerte.
Les deux rescapés continiuèreent ainsi encore un bon moment. Steve explora une nouvelle fois toutes possibilités
qu'offrait le corps de sa compagne. Comme la veille tout y passa : levrette, cunni, sodomie, 69, ...
Sam les rejoignit peu après et dans un dernier effort ils unirent leurs forces pour faire jouir Elisabeth par une double
pénétration anale..
Tous s'endormirent après cette soirée inoubliable.
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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