Partager l'article ! Strip-poker (1/3): A ceux qui doutent que les mots peuvent faire plus d'effet que la plus chaude des photos, voilà de quoi leurs prouvé le ...
A ceux qui doutent que les mots peuvent faire plus d'effet que la plus chaude des photos, voilà de quoi leurs prouvé le contraire. Une superbe histoire prise sur un forum. Magnifiquement
rédigée.
La
jeune femme aux longs cheveux noirs venait de perdre une nouvelle fois. A gestes lents et lascifs, Elise se mit à défaire, de bas en haut, les petits boutons qui fermaient le devant de son
chemisier. Chaque bouton ôté faisait s'écarter davantage les pans du tissu, révélant peu à peu le teint bronzé de sa poitrine, ainsi qu’une magnifique paire de seins, qui semblaient prêts à
jaillir hors du soutien-gorge de dentelle noire qu’elle portait encore.
Fred embrassa d'un regard admiratif les courbes délicates de ses seins arrogants, tandis qu'à sa droite, une fille aux cheveux auburn battait les cartes en vue de la prochaine manche. A priori,
ce n'était qu'un strip-poker classique, mais les filles, quand elles l'avaient persuadé de se joindre à elles, n'avaient pas manqué de lui promettre d'intéressantes variantes pour la
suite...
Il était tard, la fête s'achevait, il était temps pour lui de rentrer. C'est alors que les quatre filles étaient venues vers lui. A eux cinq, ils étaient les dernières personnes restantes dans la
maison, toutes les autres étaient déjà parties. Les jeunes femmes eurent quelques sourires gênés, frottant leurs pieds d'un air embarrassé, avant qu'une grande blonde ne se décide à lui demander
s'il voulait bien faire un jeu de cartes avec elles. Fred eut une brève hésitation, se demandant où elles voulaient en venir. En dehors de l'hôtesse des lieux, une petite brune nommée Suzanne,
avec une longue chevelure bouclée et de petits seins fermes, il ne connaissait aucune des trois autres. Elles étaient toutes visiblement plus qu'un peu éméchées, et d'humeur taquine. Mais la
blonde, percevant son hésitation, s'approcha et, mettant ses bras autour de lui, lui promit un jeu très intéressant et spécial. Le contact de ses seins pointus, frottant contre son torse, ne
tarda pas à provoquer un durcissement caractéristique entre ses jambes... qui prit le contrôle de son cerveau : il s'entendit répondre oui.
Ils allèrent tous les cinq au salon, puis s'assirent en rond sur la moquette épaisse. Suzanne était à sa gauche et, tenant toujours son rôle d'hôtesse de la soirée, elle sortit un jeu de cartes
qu'elle se mit à mélanger. A la droite de Fred se tenait une pulpeuse beauté rousse prénommée Jennifer et, à côté d'elle, Elise, celle aux longs cheveux noirs. Lorie, la blonde enjouée, était
assise entre Suzanne et Elise, fermant le cercle. Fred coupa les cartes, puis Suzanne en distribua cinq à chacun, et la partie de poker commença.
La jeune femme à la chevelure de jais perdit la première manche, mais cela ne lui coûta qu'une paire de chaussures à talons hauts.
- Ce n'est pas juste, Elise ! se plaignit la blonde. Jennifer et moi sommes pieds nus depuis le début.
- Trop tard, Lorie, répondit Elise d'un air espiègle, il fallait y penser avant. De plus, toi tu portes des bas et moi pas.
- Et toi, Suzanne, qu'est-ce que tu portes sous cette jolie robe ?
Suzanne était vêtue d'une courbe robe rouge qui lui découvrait les épaules, ainsi que de bas noirs à couture apparente.
- Ca, vous le saurez bientôt, répondit-elle. Maintenant revenons au jeu, j'ai envie d'un peu d'action. Allez, Fred, c'est ton tour.
Celui-ci battit les cartes, et la partie se poursuivit.. Au cours des manches suivantes, il ne tarda pas à perdre ses chaussettes et sa chemise. Jennifer se proposa pour l'aider à retirer cette
dernière ; elle en profita pour caresser malicieusement son torse nu avec le bout des ongles, avant de tirer la chemise le long de ses bras. Il lui rendit obligeamment le même service quand elle
perdit sa jupe, et ne manqua pas l'occasion qui lui était offerte de caresser ses fesses à travers sa culotte de dentelle bleue. Elise perdit la main face à Jennifer ; elle dut se mettre debout
pour enlever son jean moulant, découvrant un minuscule slip de soie noire. Suzanne perdit la manche qui suivit. Elle troussa sa robe pour révéler une paire de bas auto-fixants, qu'elle roula
lentement le long de ses jambes.
Puis ce fut de nouveau Elise qui perdit. Fred se força à ne pas regarder de manière trop ostentatoire quand elle dégrafa son chemisier, ses mains fines révélant toujours plus de peau dorée, comme
les boutons glissaient sous ses doigts. Son regard inquisiteur n'échappa cependant pas à la jeune femme, et elle lui répondit par un sourire timide, mais encourageant.
Au tour suivant, Lorie perdit pour la première fois. Souriante, elle troussa sa minijupe, exhibant une paire de collants blancs et soyeux, qu'elle roula le long de ses jambes fines et bronzées.
Ce fut ensuite au tour de Jennifer de montrer ce qui tendait le tissu de son petit haut. Elle prit son temps pour défaire chaque bouton, et quand le dernier fut défai, elle se tourna vers Fred
avec un sourire tentateur. Il glissa ses mains sous les pans du chemisier, les referma autour de sa taille, puis les fit remonter lentement, s'arrêtant le temps d'apprécier la courbe de ses
seins, à travers la dentelle bleue de son soutien-gorge à balconnet. Il titilla quelques secondes ses tétons à l'aide de ses pouces, et la course de ses mains reprit de plus belle, caressant
toute la surface de sa poitrine généreuse, avant de faire glisser le chemisier le long de ses épaules, et enfin de ses bras. Il lui saisit de nouveau la taille, se pencha, embrassa un téton, puis
l'autre. Elle ne se déroba pas, ce qui l'encouragea à multiplier baisers et caresses jusqu'à ce qu'il sente s'accélérer la respiration de la jeune femme. Mais Suzanne les interrompit :
- Vous aurez le temps pour ça plus tard ! D'abord, on doit arriver à faire voler ton caleçon, beau gosse !
Lorie perdit les deux mains suivantes et dut abandonner son haut et sa minijupe. Elle se retrouva en bustier rose et string assorti. Une paire de trois provoqua un nouvel échec de Jennifer. Elle
se glissa jusqu'à Fred, et lui demanda de lui enlever son soutien-gorge de dentelle bleue. Face à elle, Fred dégrafa dans son dos la pièce de lingerie, et la tira jusqu'à lui, les mains
par-dessous la dentelle fine, ce qui lui permit d'apprécier, du bout des doigts, la douceur de cette peau féminine. Quand ses mains viriles s'approchèrent de la rotondité de ses seins, elle se
dégagea prestement hors de sa portée :
- On touche avec les yeux, Fred - au moins pour l'instant !
D'un mouvement d'épaules, elle fit tomber le soutien-gorge sur le sol. Les yeux de l'homme se retrouvèrent rivés à cette paire de seins libres et arrogants. Le contraste entre ses tétons, longs,
roses, durcis, et la pâleur crémeuse de ses nichons était irrésistible. Jennifer les pressa l'un contre l'autre et se pinça les mamelons entre ses doigts.
Elle disputa alors une main contre Fred, que celui-ci perdit : c'était à présent au tour de son pantalon de tomber. Uniquement vêtue de sa petite culotte bleue, elle s'agenouilla devant lui, lui
ordonna de se mettre debout, et commença à défaire sa ceinture. Elle allait baisser le pantalon quand il sentit plusieurs mains chaudes se glisser sous l'élastique. Lorie s'était mise à côté de
Jennifer, et Suzanne derrière lui. Il sentit la poitrine ferme de celle-ci se presser dans son dos, et ses mains palper ses fesses viriles à travers son sous-vêtement.
- Nous aussi on veut s'amuser, dit Lorie en glissant ses doigts dans son caleçon.
Elle taquina du bout des doigts sa bite durcie. Les efforts conjugués de ces trois paires de mains eurent finalement raison de son pantalon, le laissant seulement vêtu d'un boxer tendu à craquer
par son érection.
Vint le tour de jeu suivant. Chacun montra ses cartes. Suzanne gloussa :
- On dirait que ça y est...
Elle se mit debout, défit la fermeture éclair de sa robe et se tourna vers Fred. Celui-ci, debout à son tour, mit ses mains sur les épaules de la jeune femme, et fit lentement glisser la robe,
découvrant de jolis seins ronds et hauts perchés. Elle se tint parfaitement droite, et n'eut qu'un léger frémissement quand elle sentit les lèvres de l'homme se refermer autour de ses mamelons.
Il laissa sa bouche accompagner la descente de la robe, caressant de son souffle chaud le ventre peu à peu révélé. Puis il libéra les hanches, le vêtement tomba autour de ses chevilles : elle ne
portait dessous qu'un minuscule slip rouge. Fred prit dans ses mains les fesses rondes, qu'il pétrit avec douceur, tout en arrosant de baisers tendres et humides le haut des cuisses. Avec un
petit gémissement, Suzanne tendit ses hanches en direction du mâle. Fred vit grossir une petite tache sombre sur le devant de sa culotte, mais il se contenta de relâcher son étreinte et de
retourner s'asseoir. Il n'était pas pressé, il savait que les choses viendraient en leur temps.
La suite de la partie vit Elise perdre son soutien-gorge, et Fred eut un sifflement appréciateur devant le spectacle de ses gros seins, libérés de leur dentelle noire. Leur blancheur délicate
offrait un contraste saisissant avec le bronzage doré qui ornait le reste de son corps. Elise piqua un fard, et se rassit en croisant les bras pour cacher sa poitrine nue.
Encore une main perdante pour Jennifer ; elle se mit debout, les mains sur les hanches, l'index dans l'élastique de sa petite culotte bleue. Elle tourna le dos à Fred, se pencha vers l'avant, et
fit glisser la lingerie délicate le long de ses cuisses veloutées, lui dévoilant les charmes de son cul. Quand la culotte eut atteint ses chevilles, elle s'en dégagea, se tint jambes écartées,
puis fit courir ses mains à l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à son sexe. Fred vit ses doigts s'agiter dans son entrecuisse, et sentit s'élever son odeur musquée. Jennifer gémit doucement, et son
corps se contracta sous la poussée d'un petit orgasme.
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|
Derniers Commentaires