Quinteros
Kara
VICTOIRE : NATASHA NICE
Quinteros
Kara
VICTOIRE : NATASHA NICE
Voici une
nouvelle aventure, mais cette fois, c'est moi qui l'ai faite vivre à ma femme.
Nous
habitions alors Toulouse, et, couple échangiste, nous allions fréquemment passer une soirée dans un sauna libertin.
Le sauna
nous offrait le plaisir de nombreuses installations : sauna bien sûr, mais également hammam, et, ce que nous adorions, un immense jacuzzi, où tout le monde se retrouvait, intégralement nus, bien
entendu.
Ce soir
là, j'avais décidé d'offrir à ma femme son premier gang-bang.
Il faut
dire qu'au sauna, il y avait toute la "matière première" que l'on pouvait souhaiter, et un panel d'étalons à totale disposition, avec le côté appréciable qu'ils étaient loin de posséder ma petite
queue, mais des arsenaux assez impressionnants et largement appréciés des femmes.
A notre
arrivée au sauna, nous avons été accueillis par la jeune femme qui officiait quelquefois à l'accueil, une belle jeune femme brune et mince.
A
l'époque, nous avions 34 ans, ma femme blonde, 1 m 60, 55kg, et un bon 95b, chatte toute blonde (ce n'était pas encore la mode des chattes rasées).
Après
avoir perçu peignoirs et serviettes, nous nous sommes rendus dans une cabine pour nous changer.
Bien
entendu, que ce soit sauna, hammam ou jacuzzi, tout le monde était intégralement nu.
La soirée
débuta.
Les hommes
commençaient à arriver.
Ils
savaient que chaque soir, trois ou quatre couples venaient profiter des installations, et ils savaient pertinemment pour quoi ils venaient…
Au mieux,
ils pourraient baiser les nanas, ou simplement se faire sucer, au pire les mater !
Donc, le
sauna était très prisé de "ces messieurs", qui venaient en outre exposer leurs "services trois pièces".
Ce soir
là, -nous étions en pleine semaine- pas beaucoup de couples.
Un seul
autre couple qui ne resta d'ailleurs pas très longtemps et ne semblait pas trop "motivé".
Après
quelques tours dans l'établissement, comme il était d'usage, les hommes ont commencé à nous remarquer.
Ce qui
fait que certains commençaient à nous suivre dans notre périple.
Je décidai
alors de faire un premier jacuzzi : il fallait leur "montrer la marchandise"…
Après
avoir enlevé nos peignoirs, nous rentrons nus dans le jacuzzi qui était vide.
Très vite,
2 ou 3 hommes viennent nous rejoindre.
En
général, au bout de quelques minutes d'observation, ils se rapprochaient, et tentaient pour commencer de poser la main sur la cuisse de la jeune femme et commençaient à la caresser.
Ce qui se
passa.
Mais, au
bout d'un moment, nous sommes ressortis du jacuzzi : il fallait les "chauffer" un maximum pour ensuite les avoir bien excités pour la baise.
Nous
sommes donc repartis faire un tour et sommes entrés dans le sauna.
Comme vous
l'imaginez, nous avons très vite "eu de la visite".
Cinq ou
six hommes sont venus nous rejoinde.
Ils
pouvaient ainsi mater Sandra, nue.
Les
regards se posaient sur ses seins généreux.
Je lui
susurrai doucement à l'oreille "écartes un peu tes cuisses".
Elle
obéit, dévoilant ainsi son intimité et sa touffe de vraie blonde.
Après 20
minutes de sauna, nous nous sommes levés, ils ont ainsi pu admirer en totalité seins et chatte, puis, lorsque nous sommes sortis, le cul à Sandra.
Douche.
Une fois
rhabillés avons encore fait un tour.
Je décidai
de passer à l'action.
Dans une
salle, il n'y avait pour l'instant qu'un homme qui s'y trouvait, la quarantaine.
Je dénoue
la ceinture du peignoir à Sandra, l'ouvre très largement.
Je dis à
l'homme : "elle est à toi !".
Le mec,
sans doute extrêmement surpris par la soudaineté de "l'offre" (en général les hommes étaient habitués à ce que les couples leur fassent tirer la langue longtemps, quelquefois et souvent pour rien
d'ailleurs), ne sût pas quoi faire !
Il partit
!
La soirée
gang-bang ne commençait pas, c'est le moins que l'on puisse dire, sous les meilleurs auspices…
Je décidai
alors de "lancer" la soirée.
Alors que
les mecs commençaient à arriver dans cette salle, je dis à Sandra, assez haut pour que tout le monde entende "Déshabille toi ! Allez, enlève ça !".
Elle n'eût
que le peignoir à enlever.
"Maintenant,
tu vas me sucer !".
Agenouillée
elle commence la fellation.
J'enlève
également mon peignoir pour être plus à l'aise.
Tandis
qu'elle s'active sur mon membre, les mecs se mettent en arc de cercle pour profiter du spectacle.
Tous
matent.
Un
commence à ouvrir son peignoir et à se branler doucement.
Alors que
Sandra -reine de la fellation- me donnait une belle érection, je décidai de la suite.
"Je vais
te prendre".
"Mets toi
en levrette, allez !!"
Une fois
en position, je la pénètre devant l'assemblée de mecs qui devient plus importante.
Ils sont
une douzaine maintenant.
Je tiens
Sandra par les hanches, tandis que ma queue va et vient dans sa chatte mouillée.
De petits
mouvements, puis j'accélère, ralentit, et ainsi de suite.
Je pelote
quelquefois ses gros seins qui balancent au rythme de la baise.
Elle
gémit, crie.
Voir les
mecs regarder pendant que je la baise, ça m'excite.
J'accélère
le mouvement.
"Tiens !
Tiens…".
Les coups
de boutoir se font plus rapides.
Mon bas
ventre claque contre ses fesses, je la prend à fond.
"Ah…je
vais jouir……"
J'accélère.
Me retire.
Je crie. Elle hurle.
Je sors ma
queue.
J'éjacule.
Le premier jet de sperme arrive sur le haut de ses reins, suivi de six autres, que je dirige sur ses deux fesses…
J'entends
malgré tout un des mec dire "Quel spectacle !!".
Je n'en
peux plus.
Je frappe
ma queue sur ses fesses et lui remets immédiatement dans la chatte.
Encore
quatre ou cinq va et vient et je peux ressortir ma queue qui commence sérieusement à débander.
Elle a du
sperme partout sur les fesses et le dos.
Nous
partons à la douche, suivis des mecs, visiblement très excités.
Ils
regardent Sandra se doucher. Elle se lave les seins, la chatte, se retourne pour se laver le cul et enlever le sperme de ses fesses et de son dos.
Je sens
que la soirée est partie.
Retournons
dans le jacuzzi. Les mecs suivent.
Commencent
à la caresser. Trois sont autour d'elle.
Je sais
que "c'est le moment".
Je la fais
sortir, et l'emmène dans une salle.
Les mecs
arrivent.
Elle n'a
même pas eu le temps de remettre son peignoir. Elle s'allonge nue, sur une couchette.
Les mecs
arrivent pour se faire sucer.
Elle pompe
leurs grosses queues.
Le premier
excité met un préservatif et la pénètre.
Je la
vois, nue, les cuisses écartées, pénétrée par cette grosse queue, une autre queue dans la bouche.
Le mec va
et vient. Je vois la queue entrer et sortir de la chatte.
Il jouit
rapidement.
Un
deuxième prend immédiatement la place.
Et ça
continue.
Ils sont
six à la baiser.
N'en
pouvant plus, je passe en 7ème position et lui en remet un coup sous les yeux d'une quinzaine de mecs.
De
nombreux autres "prétendants" sont là.
Mais il
faut laisser le temps à Sandra de se reposer.
Douche.
Puis
allons boire un verre d'eau.
Elle
enlève son peignoir et nouveau jacuzzi.
Les mecs
affluent.
Visiblement,
à l'accueil, il est signalé aux nouveaux arrivants qu'il y a une salope qui accepte toutes les bites, car tous arrivent directement ici.
Nous
sortons du jacuzzi et le même scénario se reproduit.
Six mecs
la baisent encore.
Nouvelle
douche, et nous faisons le bilan de la soirée.
Sandra a
été baisée par 12 inconnus et 2 fois par moi.
14 baises.
Un beau premier gang bang !
Et Sandra,
pas très portée sur la baise à la chaîne, semble heureuse et satisfaite.
Moi
également, ancien jaloux devenu candauliste, heureux d'avoir vu ma femme s'offrir et baiser avec 12 inconnus.
Quel
moment intense !
Mais notre
soirée n'allait pas s'arrêter là.
Au moment
où après avoir encore un peu profité du sauna et jacuzzi et où nous allions partir (il était près de 2 heures du matin), avons eu la surprise de voir un des hommes qui avait baisé Sandra venir
vers nous et nous indiquer qu'il nous offrait…le champagne !
Très
étonnés car le sauna n'avait pas vocation à vendre de l'alcool, mais aussi qu'un baiseur d'un soir fasse un pareil geste.
Nous
bûment donc le champagne en sa compagnie, et nous n'étions pas encore à la fin de nos surprises puisque la jeune femme de l'accueil nous offrit également une bouteille de champagne de la part de
la direction !
Il faut
dire que la soirée avait bien été "animée" par Sandra, et que nul doute que certains de ces messieurs, et même la jeune femme elle-même, avait sans doute prévenus leurs amis et clients qu'il y
avait une salope de disponible en train de s'offrir !
La
dernière surprise vînt de la fin de la soirée.
Alors que
j'étais rhabillé et prêt bien avant Sandra (Ah, les femmes !!), je commençai à trouver le temps un peu long.
Au bout
d'un moment, une demi-heure peut-être, je décide de faire le tour de l'établissement, qui était maintenant proche de la fermeture et quasi désert.
Et quelle
ne fût pas ma surprise, dans le local ou sont entreposés les peignoirs propres et les machines à laver, de voir Sandra, entièrement nue, debout, en galante compagnie avec… la jeune fille de
l'accueil, en train de se "papouiller"…!
Extrêmement
excité, vous vous en doutez, je les laissai tranquilles.
Sandra
sortit quelques minutes après, très en forme.
Voici
notre aventure au sauna libertin de Toulouse qui est une aventure vécue dans les années 90.
Devant sa
machine à laver,Lisa triait son linge.Ses talons hauts accentuaient la cambrure de ses reins.Sentant que le regard d'Eric se posait sur elle,elle ondula des hanches très légèrement,sans avoir
l'air d'y toucher...Elle entendit Eric se lever et se diriger vers elle.Une main chaude se posa sur sa hanche droite et elle sentit la caresse de ses lèvres dans son cou.Un doux frisson la
parcourut.Sentant une douce chaleur l'envahir,elle appuya son fessier sur le bas ventre d'Eric
Sur la
machine, il vit un foulard.Une idée lui traversa l'esprit."Et si..." Il lui noua le foulard autour des yeux. "Qu'est ce que tu fais?" "Laisse toi aller " lui répondit il doucement Dans un souffle
elle répondit "ok",mais elle ne pouvait s'empêcher d'avoir une certaine appréhension.Il la prit par la main et la balada un peu dans la maison,pour arriver dans la pièce principale. Lisa
ressentait un mélange de peur et d'excitation. "enlève ta robe". Elle s'exécuta,révélant son corps potelé mis en valeur par la dentelle noire de ses sous vêtements.Eric profita de la vue quelques
instants, en sentant son excitation monter. Dans le tiroir de la cuisine, Eric alla chercher une bobine de ficelle et des ciseaux.Lisa était de + en + inquiète. Il lui prit les mains doucement et
l'amena près des escaliers. "Lève les bras" Elle s'exécuta et Eric lui lia les mains entre elles puis au à un barreau de l'escalier Elle était maintenant complètement à sa merci.Le souffle de
lisa était plus court et rapide ,maintenant.Elle sentit une main,puis 2 courir sur son corps.Il lui caressait le visage, s'attardant autour de sa bouche. Dans celle ci Eric introduisit doucement
1 doigt. Elle se mit à le lècher puis le sucer doucement. "C'est bien" De son autre main, il lui mallaxait les seins, s'attardant sur les tetons durcis. Elle gémit. "hmm" Il lui dégrafa le
soutien et libéra 2 seins fermes. Il les soupesa puis embrassa les 2 tetons. 16 hours ago Sur une armoire du bureau,il se rappela qu'il y avait un fine baguette de bois dont il se servait de
temps en temps pour remuer le réservoir du poêle à pellets.Il la prit. Lisa sentait sur son corps quelque chose de dur se balader,s'attardant sur le haut de ses cuisses,sur ses seins,dans le bas
de son dos. Eric donna deux grands coups de baguette dans le vide,à côté d'elle.Le sifflement la fit tressaillir "mon dieu mais c'est quoi ?" se dit elle.Son excitation grandissait en même temps
que son appréhension."Clac!" elle sentit une douleur,comme un pincement,sur les fesses."Clac!" "clac" "clac" Elle tressaillit et se tortilla, tentant d'échapper à la baguette. Ce tortillement ne
fit qu'exciter Eric encore plus.Encore un coup,puis 2. "Aiehmmm" Le gémissement de Lisa lui procura une douce chaleur dans le bas ventre. Après ces quelques coups de baguette,les fesses de Lisa
étaient en feu et douloureuses.Elle sentit la main d'eric la caresser doucement à cet endroit. D'être ainsi aveuglée décuplait ses sensations et cette main si douce sur sa peau en feu lui envoya
une onde de plaisir dans tout le corps. Clac! clac! clac! 3 nouveaux coups de baguette la firent encore tressaillir.Eric,fou d'excitation, eu du mal à reprendre son son sang froid. Ces 3 derniers
coups avaient porté à son paroxysme la douleur de Lisa, mais aussi son excitation.Quand elle sentit quelque chose d'humide et chaud se poser sur son sexe à travers sa culotte,elle sentit les
prémisses du plaisir. La tête entre les jambes de Lisa,Eric embrassait son sexe à travers le mince tissu.Lisa soupira fortement en poussant un léger gémissement qui fit comprendre à Eric qu'elle
aimait la caresse.Les hanches de lisa ondulaient au rythme de sa langue.Il passa une main sur ses fesses rougies et de l'autre,il introduisit un doigt dans son sexe. Lisa poussa un gémissement
plus fort et plus aigu que les autres tandis qu'Eric sentait son corps se raidir et tressaillir pendant plusieurs secondes
Eric
détacha Lisa encore toute tremblante et la fit s'installer à 4 pattes sur le fauteuil.Soumise, elle s'exécuta sans discuter. Venant sur le bord du fauteuil,il avait les hanches à hauteur de sa
tête. "ouvre la bouche"Lisa s'exécuta."clac" "bien grand". "oui" Tandis qu'il faisait courir sa baguette sur le corps de Lisa, il caressa du doigt ses lèvres pulpeuses.Il sentit la vibration de
tout son corps. Lisa sentit quelque chose de chaud enter dans sa bouche.Passant sa langue dessus elle sut à quoi s'en tenir...Croyant deviner ce qu'il voulait elle se mit à le sucer. "Clac!"Un
nouveau coup sur ses fesses la détrompa. "fais ce que je te demande" "hmmm"elle acquiesça légèrement,ne pouvant plus parler. Eric avait maintenant son sexe dans la bouche de Lisa et contrôlait
complètement la situation.Il bandait si fort qu'il en avait mal et du faire un effort pour ne pas décharger tout de suite. "donne des petits coups de langue" Elle s'exécuta, sentant le sexe
d'Eric palpiter dans sa "donne des petits coups de langue" Elle s'exécuta, sentant le sexe d'Eric palpiter dans sa bouche.Cette sensation fit remonter son excitation.Eric soupira. "C'est bien
maintenant referme la bouche" Il commença un lent va et vient dans la bouche de Lisa qui se tenait immobile.Eric n'avait jamais éprouvé de sensatio si exquise. "suce moi maintenant!"Elle obéit.
"Clac!" "aspire plus fort!" Elle se mit à le sucer comme il l'espérait, se faisant douce à l'aller et aspirant très fort au retour,faisant jouer sa langue. Eric fit un ultime effort pour ne pas
jouir dans sa bouche et se retira.Il prit quelques secondes pour reprendre son souffle et son self control. Passant, sur le côté gauche de Lisa il fit de nouveau courir sa baguette sur son corps,
donnant de légers coups.Il vint s'installer derrière elle et appuya légèrement sur ses épaules,lui enfonçant la tête dans les coussins.Il lui les mains et les lui attacha dans le dos.Puis il
enleva sa culotte découvrant son sexe bien humide. Lisa, la tête dans le fauteuil et les mains liées dans le dos, sentit 2 légers coups de baguette à l'intérieur de cuisses. "Ecarte un peu" Elle
sentit le sexe d'Eric se frotter le dans sa fente.Hmmm elle aimait cette sensation.Complètement ouverte,elle sentit Eric la pénétrer d'un coup. Eric, voulant profiter au maximum de ces instants,
faisait de lents va et viens,imprimant à ses hanches un mouvement circulaire, explorant chaque recoin du sexe de Lisa.Lisa poussait des petits gémissements ce qui poussa Eric à appuyer ses va et
viens et à la prendre de + en + fort.Plus Eric augmentait la force de sa pénétration plus les gémissements de Lisa augmentaient. Poignant de ses 2 mains dans ses hanches dodues,il la pilonnait
maintenant de toutes ses forces.Lisa,sentant le plaisir l'envahir un peu plus à chaque coup,se mit à crier. Oui Oui Aaaah oui! Eric se retint, juste à temps. Il prit Lisa et la fit se coucher sur
son flanc droit, les mains toujours liées dans son dos.Il laissa sa jambe droite tendue et replia sa jambe gauche à angle droit.Il s'installa,comme à califourchon sur la jambe droite de Lisa et
la pénétra à nouveau. De sa main gauche,il pouvait lui pétrir les seins et de sa main droite il prit sa baguette,donnant des petits coups sur les fesses de Lisa au rythme de ses pénétrations. Ses
couilles frottaient sur le haut de la cuisse de Lisa.Quelle merveilleuse sensation! Prise par ce mélange de douceur, de douleur et de force, Lisa jouit bruyamment. Eric, n'en pouvant plus de
plaisir déchargea en elle.Puis, s'effondra, la couvrant de caresses, l'embrassant tendrement.
Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée. Il s'agit de ma première expérience devant une webcam, et aussi ma première sodomie...
Mais commençons par le début.
J'ai 35 ans et je travaille comme conseillère dans une parfumerie. Je suis mariée depuis huit ans et avec mon compagnon on peut dire que coté cul, c'est plûtot bien. Je dois avouer que je suis encore assez bien foutue pour mon age et je crois que je lui fait toujours autant d'effet. J'aime le laisser à la diète coté sexe pendant une semaine et le chauffer comme il faut. Il a les couilles bien pleines et là il me défonce sauvagement. Qu'est ce qu'il me met...
Pourtant, il y a une chose que nous n'avons jamais fait...
Il n'a jamais eu le droit de prendre possession de mon petit trou !
Il a bien parfois tenté une approche en me caressant l'orifice, puis en introduisant un doigt... mais je ne lui ai jamais laissé aller plus loin...
Cela aura son importance par la suite.
L'histoire qui nous intéresse a eu lieu en 2012. Une nouvelle collègue, Marion, avec qui j'avais sympathisée m'a invité à diner un soir de la semaine. Mon compagnon, Fred n'était pas très content. Il pensait pouvoir regarder le match de foot à la télé...
Il finit par céder et nous voilà chez Marion. Elle était beaucoup plus jeune que nous. Elle avait 27 ans et son copain de l'époque 25.
Je dis de l'époque car depuis elle a changé trois ou quatre fois.
Sebastien c'est son nom était plutot bien foutu. Assez grand, il était très sportif et son physique me plaisait bien.
La soirée s'est finalement très bien passée.
J'ai eu l'impression pourtant que je ne laissais pas Sébastien indifférent.
Il regardais souvent dans ma direction, et Marion l'a remarqué.
On en est resté là.
Quinze jours plus tard, alors que nous étions au travail, Marion me raconta que Sebastien et elle s'étaient enregistrés sur un site de webcam amateur. Le principe était simple. Les "acteurs" fixent un prix pour qu'on les voit baiser et les visiteur payent le prix si ils souhaitent matter...Le site leurs retrocède 60 % des sommes encaissées.
Je trouvais cela assez vulgaire et je ne me voyais pas faire cela. Pourtant quand Marion m'a dit qu'en une soirée ils avaient gagné 60€ en prenant du plaisir, cela me fit réfléchir.
Le soir meme j'en parle à Fred qui sans attendre se connecte au fameux site pour voir cela de plus près.
Marion m'avait dit qu'elle refaisais une séance de webcam ce soir là.
Effectivement, une Marion56 était en ligne. L'accès au "salon" était libre et effectivement c'était bien ma Marion, en sous vêtements, sur son canapé en cuir. Sebastien n'était pas là.
Pour 20€ on pouvait assister à son striptease et pour 50€ elle proposait de se toucher en live.
Fred pris sa CB et paya sur le site les 50€ demandés. Je n'étais pas d'accord mais il avait déjà payé avant que je l'en dissuade.
Quelques minutes plus tard, Marion avait enlever soutien gorge et culotte et les cuisses écartées au maximum elle de doigtait la chatte.
Mon Fred n'en perdait pas une miète. Pourtant après 10 minutes, l'image secoupa et le site réclamait 50€ de plus.
On avait pas compris que c'était 50€ ....pour 10 minutes.
Fred allait a nouveau payer mais cette fois je l'en dissuadais. Une bonne fellation et l'affaire était jouée...
Marion m'avait bien aidée parce que le pauvre bandait déjà comme un taureau avant que je ne touche son gland, qui dégoulinait... Après quelques minutes, et un petit massage de ses boules, il me déchargea tout son sperme dans la bouche !
A suivre
Il me tarde de finir les consultations. Toujours les mêmes
maladies, les mêmes soupirs. Enfin le dernier patient : il va payer pour les autres. A peine assis, il commence à me raconter ses douleurs auxquelles je ne crois pas un moment. Dans la salle
d'examen , couché, nu comme je l'ai demandé il montre tout son sexe. Le stéthoscope pendouille sur ma poitrine. Comme par hasard, je le fait passer sur la queue. Il réagit normalement. Je vais me
le payer. En plus il ne me déplaît pas du tout. Je sais d'avance que mon sexe s'accordera à merveille avec le sien.
Ne bougez pas, je vais faire un test.
Tu parles d'un test avec sa queue. Je fais doucement descendre le
prépuce, le regarde avec attention ; il bande encore plus. Pas mal, il va me faire du bien s'il sait se retenir. Il se retiendra mieux après ce que je vais lui faire.
Je me penche sur lui, caresse à peine la bite, continue vers les
couilles. Je vais jusqu'à passer ma main entre ses cuisses. Je trouve son petit tour. Parfait. Je ne fais rien de particulier je caresse légèrement le cul.Ce malade doit y trouver son compte. Il
n'est pas gay, j'en suis certaine.
J'ai très envie de lui, je vais le faire jouir avant moi pour
mieux en profiter après. Je délaisse la masturbation, trop classique, j'opte pour la fellation. Je lui nettoie juste le bout, malgré les mouvements involontaires de sa queue : il est mignon
avec ce désir refoulé.
Je lèche le corps de la queue. Je ne vais pas jusqu'en haut. Il
sent bon l'homme. Son odeur vient de son cul et ses couilles. Excédent mélange de sexe, de sueur, de sperme séché.
Je m'occupe enfin de mon sexe : je mouille comme si je
sortais d'un bain. Il est temps que je baise.
Je suis dure en le faisant lever, revenir au bureau, se coucher
sur la moquette. Il bande toujours. Au fond de lui il se demande ce qui se passe.
Caresse toi la bite, charogne.
J'insiste, il ne bouge pas;
Branles toi devant moi.
Il est bouché ou quoi. Je lui passe la pointe de la chaussure sur
les couilles. Enfin il réagit. Sa main droite se saisi du bout de la queue. Il commence à se masturber. Je veux le voir cracher son jus. Je veux voir son sperme.
Touches toi les couille aussi. Et le cul.
Un autre coup gentil sur les couilles, il comprend enfin ce que
j'exige. Enfin la main commence la branlette. Je veux qu'il se fasse jouir, couché devant moi. Je l'adore quand il fait aller et venir sa main. Je le vois se tendre : il soulève le pubis,
tend sa bite comme une offrande. Et là, enfin son premier jet puissant de semence. Si je le pouvais je me pencherais pour l'avaler.
Je finit son orgasme. Il n'en est pas quitte. Je le laisse se
lever : il est toujours nu, la bite qui pendouille entre ses cuisses. Il est impuissant pour le moment.
Je suis tout près de lui, je relève ma jupe : je ne porte
pas de culotte. Ma chatte est visible : elle est toute mouillée. Mon seul majeur me donne du plaisir. Ce n'est pas du doigt que je veux tirer mon plaisir : je veux sa
queue.
Je prends tout son attirail dans la main. Je fait avec lui comme
avec un chat ; je le flatte, le caresse, l'effleure. Malgré son étonnement il commence à réagit positivement : il bande à nouveau.Mon dieu qu'un homme est dur à persuader. Je suis une
femme, je lui tripote la queue, j'en ai besoin et il ne comprend pas. Je pince ses tétons : enfin il comprend la suite. Je veux une baise royale, totale. Qu'il agisse en homme, qu'il
m'embrasse que sa langue soit dans ma bouche. J'ai un sexe que je veux qu'il comble.
Enfin il agit, il m'entoure. Je suis presque trop serrée dans ses
bras. Il pense à me dépiauter doucement. Son corps est contre moi, je sens sa queue contre mon ventre : elle est redevenue dure. C'est agréable de sentir un tel engin. Je me frotte contre
lui. Les seins les premiers sentent ses muscles durs. Et ses abdominaux contre mon ventre …..C'est pas du beurre.
Il passe ses deux mains contre mes fesses Pourquoi il les
écarte ? Il passe un doigt dans la raie. Mon Dieu il me fait du bien, j'en veux encore.
Il me fait tomber sur la moquette, à mon tour d'être une proie.
Vue de dessous sa bite est impressionnante. J'écarte les cuisses, je lève les jambes : il voit toute ma fente. Il vient sur moi, il va me baiser. Je sens son poids sur moi. Sa bite est toute
proche. Elle est juste à l'entrée du vagin. Mais qu'il la mette, je n'en peux plus. Il ripe vers le bas. Non c'est pas vrai, il va vers le petit trou.
Je n'aime pas cette façon de faire. Il insiste, même si je dis
non. Non, trop tard il entre doucement très doucement. J'ai à peine mal, il insiste. Il m'encule totalement. Je la sens au fond de mes boyaux. Finalement c'est assez bon, Je commence sentir son
bienfait. Il sort sur le périnée. Il m'excite encore plus. Il me la met là où il faut. Mes muscles vaginaux se resserrent autour de son manche. Il met aussi un doigt, non deux dans le cul. C'est
bon les deux ensemble. J'avais envie qu'il me baise, il le fait.
J'ai oublié de lui faire payer la consultation.
Après avoir passé la journée sur la plage naturiste de St
Germain, il y eut un orage et je n'ai pas pu poursuivre mes séances de bronzage intégral, à mon grand regret.
Heureusement, il y avait une boîte, dont l'ambiance très "chaude"
était réputée aux alentours, et Marion, ma copine, avait appris qu'ils organisaient une soirée "Miss sexy" ce soir-là. Excitée par l’idée, nous avons décidé d'y aller toutes les deux.
Pour l'occasion, je décidais de mettre une robe, au décolleté
parfaitement indécent. Elle se portait normalement avec un fond opaque en dessous mais j'avais préféré m'en passer et oubliais le soutien-gorge !
Sans que nous nous soyons consultées, Marion avait opté pour une
minirobe, tout aussi décolletée.
Nous craignions d'être un peu trop provocantes mais, lorsque nous
sommes arrivées dans la boîte, vers minuit, nous avons vu d'autres filles aussi sexy ; sans parler de la fille du vestiaire !
Nous sommes rentrées dans la salle principale, et le barman nous
a installées à une petite table, entre la piste de danse et une grande estrade. Il nous a précisé que nous pouvions consommer gratuitement, à volonté, si nous acceptions de participer à un
concours de t-shirts mouillés. Les finalistes gagnaient l'entrée gratuite pendant tout l'été.
Sans nous poser plus de questions, nous avons accepté toutes les
deux, et il a noté nos prénoms en nous apportant le cocktail de la maison. C'était délicieux, mais plutôt traitre et... aphrodisiaque !
Pour l'instant, tout était plutôt calme et, tout en sirotant nos
cocktails, nous regardions quelques danseurs et danseuses qui évoluaient sur la piste.
Un peu plus tard dans la soirée, un animateur, Jérémy, monta sur
la scène, et annonça que le concours de t-shirts mouillés allait bientôt commencer. Il invita les participantes à aller se préparer, dans une pièce derrière l'estrade.
Nous étions douze candidates, et on nous remit un ensemble
composé d'un t-shirt et d'une minijupe, dans un tissu blanc très mince. Nous nous sommes toutes déshabillées, ne gardant que nos strings. 2 filles ont gardé leur soutien-gorge et nous avons passé
les tenues blanches.
Nous sommes rentrées sur scène. Jérémy nous demanda de nous
présenter. J'étais la plus jeune, et il décida que je passerais la dernière.
Le concours se déroulait en trois épreuves à l'issue desquelles
les filles qui auraient obtenu le moins de succès seraient éliminées. Pour la première sélection, nous n'avions pas le droit d'enlever de vêtement.
Chacune à notre tour, l'animateur nous arrosait copieusement et
le t-shirt devenait transparent.
Certaines candidates étaient trop timorées.
Marion passa en 10ème position et se tailla un beau succès, avec
une danse très suggestive.
Je passai la dernière, en minaudant un peu pour exagérer mon côté
"petite fille" et je finissais en soulevant mon t-shirt. Je fis exploser l'applaudimètre !
Six candidates ont été éliminées. 6 autres, dont Marion et moi
étions sélectionnées. La deuxième épreuve a commencé. Le règlement prévoyait que, à ce stade, nous pouvions nous mettre seins nus, mais nous devions garder le bas. Je me demandais ce que nous
réservait la finale.
Le présentateur arrosa de nouveau chaque candidate, et Audrey, la
première à se présenter, éclata d'entrée son t-shirt. Marion l'imita peu de temps après.
Deux filles arrivèrent ensuite ensemble sur scène, ce que le
public apprécia d'abord, mais leur prestation, très timide, déçut ensuite.
Quand vint mon tour, je relevai mon t-shirt pour me faire
arroser, et j'avais baissé suffisamment ma minijupe, pour que le public découvre mon string.
Je sentais l'excitation monter dans le bas de mon ventre.
J'enlevai ma jupe, je déchirai mon t-shirt, et je demandai au présentateur de m'arroser encore.
Finalement, nous étions 3 filles retenues pour la dernière
épreuve : Audrey, Marion et moi.
Audrey se présenta en premier, et n'hésita pas à se débarrasser
de sa culotte.
Suivit Marion et je savais qu'elle aimait s'exhiber autant que
moi.
Elle en rajouta, en se caressant sans la moindre pudeur, sous un
tonnerre d'applaudissements et de cris d'encouragement.
Quand Jérémy appela :
« Et maintenant, la toute jeune Michèle !!! Pour un final où je
suis sûr qu'elle va nous dévoiler son superbe corps entièrement nu ! »
J'avais effectivement envie de me foutre à poil.
En un instant, je me retrouvai entièrement nue, je lançai mon
string au hasard, et je me mis à danser, sous les bravos.
A mon tour, je décidai de faire monter les enchères : je
m'agenouillai au bord de l'estrade, offrant une vue en gros plan de mes fesses et de ma chatte humide d’excitation.
Les spectateurs étaient en délire, et le présentateur proposa que
nous poursuivions notre exhibition toutes les trois, afin de nous départager. La proposition fut accueillie par un concert d'applaudissements.
Audrey s'allongea au bord de l'estrade, pour exposer à son tour
son sexe aux regards.
Mais, avec Marion, sans nous consulter, nous avons improvisé un
duo très chaud. Je me suis allongée entre ses jambes, et j'ai commencé à lécher son clito déjà dressé.
Puis nous nous sommes étendues sur l'estrade et Marion a
entrepris de me bouffer la chatte, avant que nous nous retrouvions en 69.
C'était fabuleux, je sentais le plaisir monter en moi, mais
Jérémy interrompit notre exhibition, et fit voter le public.
A l'applaudimètre, nous distancions largement Audrey, mais il fut
impossible de nous départager et nous avons été déclarées gagnantes, ex-æquo.
Nous sommes allées nous rhabiller, mais je n'ai pas récupéré mon
string ce qui ne me gênait pas beaucoup.
Nous sommes retournées dans la salle, sous le regard admiratif
des hommes mais aussi de certaines filles. Le barman nous rapporta deux autres cocktails. En regardant autour de nous, nous avons constaté que la température était montée parmi les clients,
peut-être grâce à notre spectacle.
La tenue de plusieurs femmes devenait encore plus
provocante.
Je décidai de retourner danser, sans cacher l'absence de mon
string perdu.
Très vite, je me suis fait draguer par un mec très séduisant. Il
s'appelait Simon et était âgé d'une trentaine d'années. Il me plaisait, et j'avoue que j'avais vraiment envie de baiser.
Pendant que nous dansions, il n'hésitait pas à me caresser, et à
soulever ma robe.
Je protestais pour la forme et je le laissais m'embrasser et
explorer mon corps.
Marion me prit à part et me glissa à l'oreille :
« Tu es sacrément vernie. Ce type a une réputation de bête de
sexe. Je connais des nanas qui ont couché avec lui, et elles racontent qu'il les a vraiment fait grimper aux rideaux ! Mais, avec lui, il vaut mieux avoir beaucoup de tempérament, et peu de
tabous. »
« Et il est célibataire ? »
« Non, il est avec une fille qui s'appelle Lisa, un vrai canon.
»
« Elle n'est pas là ce soir ? » demandai-je à Marion.
« Non, mais ce n'est pas surprenant, ils sont très libres et,
côté cul, chacun peut faire ce qu'il veut. J'ai une copine qui m'a dit qu'ils partouzaient, et a priori, c'est très chaud ! »
Je retournai danser avec Simon, encore plus excitée, mais le
présentateur revint sur l'estrade, pour annoncer une nouvelle animation.
« Mesdemoiselles ! Pour terminer la soirée en beauté, nous vous
offrons un spectacle de strip-tease... masculin ! Je vous demande d'accueillir chaleureusement la vedette de ce spectacle, j'ai nommé Ken ! »
Ken entra sur scène, salué par une ovation de toutes les filles
présentes.
C'était ce qu'on appelle un beau mec, musclé et bronzé. Il
portait un gilet et un pantalon en cuir et dansa un long moment en prenant des poses suggestives, avant de les enlever.
Toutes les nanas s'étaient regroupées autour de l'estrade et j'en
faisais partie pour regarder au plus près Ken, et elles attendaient impatiemment qu'il enlève son boxer gonflé par une bosse prometteuse. Certaines n'hésitaient pas à caresser sa poitrine, ses
cuisses et ses fesses, mais il se détournait pour faire monter la tension.
Enfin, il s'adressa à une jolie blonde, dont la timidité était
évidente (on se demandait ce qui l'avait amenée dans cette boîte), pour lui demander de baisser son boxer.
Elle refusa en rougissant et, comme j'étais juste à côté, Ken se
tourna vers moi. J'étais nettement moins timide ! Et je découvris une superbe queue à demi dressée, mais déjà très imposante. Mon geste fut salué par des cris stridents, et j'empoignai sans
retenue ce sexe mâle.
Je me mis à le sucer, avec gourmandise. Il avait un goût de
fraise vraiment délicieux. Et le présentateur lança dans le micro :
« Et bien, je vois que la jeune et jolie Michèle veut honorer son
titre de "Miss sexy" pour le plus grand bonheur de Ken »
Marion m'avait rejointe, bien décidée à ne pas me laisser le
monopole de la fellation.
Et tout autour de nous, les filles devenaient
hystériques.
Simon nous rejoignit. Il était déjà nu, et en un instant, ma robe
disparut. Je me retrouvais étendue sur la scène, et les deux hommes commencèrent à me caresser. Les doigts de Simon fouillaient ma chatte trempée, et je commençais à gémir.
Ken m'abandonna, pour s'occuper d'autres spectatrices, Marion
prit sa place, et se mit à jouer avec mon clito. C'est alors que Simon me pénétra.
Autour de nous, un groupe de voyeurs s'était formé. C'était la
première fois que je me faisais baiser en public, et cette pensée fouetta tous mes sens. Je fixais la bite de Simon, qui disparaissait dans ma fente offerte, centimètre par centimètre, et je
goûtais la progression du gland gonflé dans mon ventre. Sans nous désunir, Simon se mit debout, et je me mis à le chevaucher, accrochée à son cou. Je perdais tout contrôle de moi-même, et mes
cris de plaisir couvraient la musique. Je suis du genre bruyante quand je jouis.
Marion m'avait abandonnée à son tour, et je la vis peu après,
sirotant un cocktail, en s'empalant sur un autre type.
J'avais connu un orgasme foudroyant, mais Simon ne comptait pas
en rester là, et je me retrouvais agenouillée, en levrette. Je sentis sa queue explorer le sillon de mon petit cul, et forcer doucement mon anus.
Je poussai un cri, où se mélangeaient la surprise, un peu de
douleur, et aussi une nouvelle excitation. Mes rares expériences en matière de sodomie n'avaient pas été concluantes mais, très vite, de nouvelles vagues de plaisir montèrent en moi, tandis que
Simon allait et venait de plus en plus vite dans mon petit trou.
Au bout de quelques minutes, un nouvel orgasme me submergea comme
une lame de fond. Simon, quant à lui, n'avait pas éjaculé, et il se retira.
En me relevant, je vis que, dans la boîte de nuit, la situation
était totalement hors de contrôle.
Ken et Jérémy n'hésitaient d'ailleurs pas à payer de leurs
personnes !
Simon s'allongea, et m'invita à venir surlui. D'une main, je
guidai son gland vers mon petit trou, puis je m'empalai sur sa verge.
Dans cette position, mes jambes largement écartées ne cachaient
rien de ma chatte d'où s'écoulait un filet de cyprine, preuve de mon état d'excitation. Sans que j'en aie conscience, c'était une invitation à une double pénétration, et il ne fallut pas attendre
longtemps pour qu'un deuxième homme y réponde. C'était fabuleux !!
Très vite, mes deux partenaires coordonnèrent leurs coups de
boutoirs, et je perdis toute retenue. D'une voix entrecoupée par des râles suggestifs, je les encourageais, en criant des mots que je n'aurais jamais imaginé pouvoir prononcer en
public.
« Oh oui, allez-y, je sens bien vos bites au fond de moi...
Bourrez-moi le minou, défoncez mon cul... Faites-moi jouir.... Oh oui, plus vite... Oh c'est bon, putain, c'est trop bon, je sens que je vais jouir. »
Le spectacle que nous offrions attirait des spectatrices et des
spectateurs, et une troisième queue se fraya un chemin entre mes lèvres.
D'autres spectateurs se masturbaient en nous regardant, et je fus
emportée, non pas par un, mais par toute une série d'orgasmes. Je n'avais jamais connu ça.
Le premier, l'homme qui me tringlait la chatte jouit sur mon
ventre, le maculant de sperme.
L'homme que je suçais, déchaîné par cette vue, jouit à son tour
dans ma bouche et sur mon visage.
Presque aussitôt, je sentis la queue de Simon coulisser plus
rapidement dans mon petit trou, et il gicla en moi. Quand il se retira, son foutre s'écoula lentement entre mes fesses.
Je soulevai mes fesses pour permettre à Simon de se dégager, et
je restai là, agenouillée, à bout de souffle. Quatre hommes m'entourèrent aussitôt, pour que je les branle et que je les suce. Malgré ma fatigue, je n'ai pas pu les décevoir, et quelques minutes
après, je me retrouvais couverte de sperme.
Totalement épuisée, je me laissai tomber sur la scène, à bout de
souffle, mon corps nu ruisselant de sueur.
La boîte de nuit devait fermer, et quelqu'un m'apporta des
lingettes pour m'essuyer. J'eus quelque difficulté pour récupérer ma robe, et mon string resta introuvable.
Marion me rejoignit et, au vu des cernes sous ses yeux et de son
maquillage dévasté, elle avait passé, elle aussi, une nuit mémorable. Je sortis en même temps que Simon. Le jour commençait à poindre. Il allait sans doute retrouver Lisa, mais avant de me
quitter, il me lança une invitation.
« Je crois que tu aimes particulièrement la plage », me dit-il
avec un sourire plein de sous-entendus.
« Si tu es libre, je passe te chercher lundi après-midi, et je
t'emmène dans une crique fréquentée par des initiés. »
J'acceptai bien entendu
Hier soir avec mes amis, on a décidé de jouer à un strip poker. On en
parlait depuis quelques temps alors on s'est lancé. Je n'étais pas très rassurée mais j'ai voulu essayé car on était un peu tous comme ça, je précise que j'ai 17 ans et que tous les six sauf une,
c'était la première fois pour nous. La fille qui l'avait déjà fait avait 34 ans. Elle avait ramené Patrick, un ami dans son âge à peu près ou un petit peu plus jeune.
Après avoir précisé les règles, on a commencé. A chaque fois que
quelqu'un était plumé, il devait enlever un vêtement pour recaver. Recaver était obligatoire jusqu'à ce qu'il reste plus qu'une personne non nue. Je ne suis pas très douée au poker mais il faut
avouer que j'ai fait preuve de chance et je n'étais pas si mal que cela. Pourtant, j'étais assez tendue. Au fil de la partie, comme je me trouvait dans une position confortable, je me suis
détendue et c'était appréciable de voir les copines se déshabiller. Si bien que quand c'était à mon tour de perdre, j'enlevais mes vêtements sans rechigner puisque je conservais de l'avance sur
les autres. Pourtant, c'est Lucie (la plus âgée qui gérait la partie) qui se débrouillait le mieux.
La partie a pris un tournant quand Cécile a du enlever la culotte qui
lui restait. C'était la première a devoir se montrer nue. Elle ne voulait pas jouer le jeu. C'est alors que Lucie a insisté en lui disant : "Aller, tout a l'heure, c'était Marion qui devait nous
montrer sa poitrine en premier et elle a accepté, tu n'as pas le droit de te désister". Marion en a alors profité pour dire que comme elle avait joué le jeu à fond, elle n'avait pas le choix.
Cécile ne voulait toujours pas mais elle pouvait difficilement s'exprimer car les autres insistaient sans s'arrêter. Prise au jeu, j'ai participé à cela. J'ai même trouver cela amusant car
d'habitude, c'est une fille qui n'a pas peur de mettre des décolletés agressifs. Quand elle avait enlever son sous-tif le coup d'avant, on ne s'était pas étendu dessus car ce n'était pas la
première mais en réalité elle ne voulait pas montrer sa gêne. En plus, elle était juste en face de Patrick. Du coup, Lucie s'est levée et est venue la tenir par les bras en nous demandant
d'enlever sa culotte. Alors que c'est les deux autres qui la tenaient, c'est moi qui ait pris le plaisir de la déshabiller, elle s'était rasée son minou intégralement. Elle se cachait comme elle
pouvait mais comme on jouait sur un tapis par terre c'était compliqué. Le coup d'après, c'est Patrick qui a perdu, il s'est retrouvé en boxer, c'est pas juste pour les garçons car quand ils sont
torse nu, ils n'ont pas de gène. Ensuite, il m'est venu mon tour d'enlever mon sous-tif. Au moment où j'ai perdu, je m'en doutait car j'avais un très mauvais jeu alors dès qu'on a levé les
cartes, j'ai enlever le sous-tif direct pour ne pas qu'on bloque sur moi. Lucie m'a touché un téton rapidement et j'ai fait mine que ça ne me dérangeait pas pour ne pas lui procurer du plaisir.
La partie d'après, j'ai senti qu'il y avait une entente entre Patrick et Lucie car il a beaucoup misé pour faire dépenser les autres et finalement il a tout perdu avec un mauvais jeu, c'est Lucie
qui a tout ramassé. Du coup, il a du enlever son boxer et ne parraissait pas gêné du tout, il bandait même, c'était assez dérangeant. Lucie avait vraiment beaucoup d'argent et elle contrôlait
tout, je n'osais pas la regarder. Dès qu'elle suivait une mise, je me couchais tout de suite. Déjà qu'elle était plus âgée que moi, elle n'avait perdu aucun vêtement, je n'osais rien dire et je
restais le plus discrete possible. Elodie a du enlever son sous-tif à son tour, ça ne dérangeait plus personne. Mais le coup suivant, c'est Marion qui a du enlever sa culotte. Elle la enlever
sans nous regarder et elle s'est immédiatement cachée, elle était toute rouge. Ca fait bizarre de voir sa meilleure copine complètement nue, en plus je connais sa pudeur. Lucie a lancé dit : "Oh
le joli ticket de métro". J'étais omnibulée par le sexe de Patrick, il se mettait à se mastuber discretement, je n'étais pas trop rassurée. En plus, vu le contexte, ça allait être Elodie et moi
qui allaient se retrouvées nues. J'espérais être la dernière. Mon coeur battait très fort. Pourtant, la fois suivante, je ne sais plus ce que j'ai fait mais j'ai tout perdu. J'ai pa d'histoire et
je l'ai enlevé rapidement, au point où on en était, j'avais pas bien le choix. De toute façon, ça sentait la fin, il fallait tenir jusqu'à ce que Elodie soit nue et c'était bon. J'étais arrivée
jusque là avec tout mon honneur car je me suis jamais défilée.
Elodie ne semblait pas vouloir perdre comme ça. Je n'ai pas voulu lui
demander de se laisser perdre pour ne pas montrer ma gène. Les autres étaient peut-être pareils. Marion a une nouvelle fois perdue. Sur le coup, elle a dit : "De toute manière, j'ai plus rien à
enlever alors on continue". Et Lucie lui a dit : "Ah ben il y a un gage alors". Elle s'est approchée d'elle et elle s'est mise à lui caresser le corps. Lucie a dit : "Laisse toi faire et après
c'est bon". Elle lui pelottait ses seins et après, quand elle est descendue sur sa chatte, j'ai arrêté de regarder. Je crois bien qu'elle lui a mise un doigt, ce n'était pas long mais elle l'a
fait. Cécile l'a regardait faire et elle prenait du plaisir à voir Marion se faire humiliée. Je ne comprend pas qu'elle se soit laissée faire à ce point. Après Lucie a redistribué les cartes et
personne parlait. Je ne pouvais regarder personne. Je ne pensais même plus qu'il fallait qu'Elodie perdre mais je pensais uniquement qu'il ne fallait pas que moi je sois plumée. Marion a de
nouveau tout perdu. Comme c'est Patrick qui lui avait tout pris, il s'est levé et dit : "Bon cette fois, c'est à moi". Lucie a dit : "Cool, c'est une pipe alors". Marion ne bougeait pas et
Patrick a approché son sexe près de sa bouche. Elle le pris avec une main et a donné un coup de langue. Là, j'étais obligé de regarder tellement ça me scotchais. Ensuite, sans réfléchir, elle
faisait des va et vient et elle a arrêté. Elle avait mis la barre très haut. On a repris le jeu, même Lucie n'avait rien dit. Il me restait plus beaucoup de jetons et j'ai perdu. Patrick s'est
levé et a dit : "Bon ben maintenant c'est la pénétration". J'étais comme un objet, je ne pouvais pas faire marche arrière, je lui ai demandé de mettre une capote et Lucie m'a répondu : "Ne
t'inquiète pas, je le connais". J'avais aucune solution. Il m'a mouillé mon intimité en trempant son doigt dans mon verre d'eau et après il est venu sur moi. Je ne pouvais pas résister et j'ai
attendu que ça passe. Il y allait franco en la sortant et en la remettant.
C'était interminable, il a du le faire pendant au moins 15 secondes.
Quand il a finit, j'étais toute tremblante mais j'avais de la fierté car je m'étais pas opposé, je ne me suis pas défilée comme Cécile pour une culotte. On a repris le jeu et Patrick a dit :
"Normalement, la prochaine fois, y'en a une qui avale". J'ai cru que je ne verrai jamais la fin. Par chance, c'est Elodie qui a perdu. Elle a enlevé sa culotte presque gênée de faire que cela. On
s'est regardé et Lucie a dit : "Bon, ben c'est finit".
On s'est rhahillée. Lucie m'a demandé si ça été, je disais que oui.
Ensuite, je suis partie avec Marion. Elle m'a demandé si j'avais aimé la soirée, je lui ai dit : "Ouais ça va et toi". Elle m'a dit : "Pareil". Je suis rentrée chez moi et je repense à tout ça.
Je n'ai pas dormi. J'ai l'impression d'avoir donné mon corps au premier inconnu, je ne pensais pas mes amies faire tout ça, surtout Marion. Peut-être qu'elle le voulait pas. J'espère que personne
n'a pris de photo ou de vidéo. Il Faudrait tirer un trait la dessus et penser à autre chose.
Je devrais revoir Marion et Cécile lundi au lycée puis Elodie
mercredi. Que pensez-vous que je fasse ?
C'était en plein été au bord de la mer... J'étais parti seul dans
le petit appart de mes parents pour quelques jours de vacances... C'est là que je fis connaissance de mes voisins belges venus découvrir le pays.
Nous avions sympathisé à la plage, et ils me prièrent de venir un
soir pour l'apéro, leur séjour touchant à sa fin.
Il y avait Arnaud et Corinne ... et aussi Karine une amie du
couple qui partageait le studio.
L'accueil était très convivial puisque Karine et Corinne
déambulaient "seins nus" dans l'appartement, avec un short en jean - nullement gênées - puisqu'elles pratiquaient le topless sur la plage !
Corinne avait de petits seins bien pointus alors que Karine
arborait sans complexe une poitrine lourde et généreuse ...
L'alcool aidant ... très vite l'atmosphère devint un peu coquine
et je ne pouvais m'empêcher de mater le cul bien rebondi de Karine souligné par son jean ... même que je commençais à bander ... ce qui est gênant lorsqu'on est en boxer de bain
!!
Arnaud qui avait remarqué mes regards insistants profita d'un
moment où nous étions seuls pour m'avouer que si je voulais en profiter il n'y voyait aucun problème ... Les deux filles étaient bi et il les baisait toutes les deux !!!!
Il m'avoua même que Karine "en pinçait" pour moi ...
Lorsque les deux filles revinrent sur le balcon elles prirent une
pause très sexy en nous demandant si leurs culs nous plaisaient ...
Arnaud répondit par l'affirmative en leur demandant d'ôter leurs
shorts .. ce qu'elles firent sans complexe et même davantage puisqu'elles n'avaient pas de culotte dessous
...
La moule à l'air, Karine vint ensuite s'asseoir à mes côtés alors
que Corinne rejoignait son mec sur la banquette. Amusées par la situation elles nous demandèrent, à notre tour, de nous mettre à poil ... Arnaud s'exécuta rapidement, habitué à la nudité face à
ses deux coquines.
Son sexe était totalement rasé ... avec les couilles bien lisses
... Complexe idiot de mec qui participe à sa première partouze, je m'attendais à ce qu'il exhibe un gros calibre ... et bien non, sa queue, bien qu'encore molle, était assez fine avec un gland
déjà découvert.
Ma gêne ne fut que passagère car Karine prit vite la situation en
mains (si l'on peut dire !) et je me retrouvais à mon tour la bite à l'air ... et avec tous ses poils !!
Nous eûmes droit, Arnaud et moi, à une petite fellation d'accueil
pour nous mettre en appétit ... les deux filles changeant de queue tour à tour. Karine suçait admirablement bien ... aspirant ma queue jusqu'aux couilles ... tandis que Corinne se contentait le
plus souvent de petits coups de langue sur le gland qu'elles avaient décalotté.
Tandis que nous arborions tous les deux une belle érection ...
elles décidèrent de passer aux choses sérieuses !!!!!!!!
Nos charmantes hôtesses nous mettent les capotes et ensuite ce
fut une magnifique soirée ... et même la nuit ...
Karine et Corinne nous offrirent un 69 des plus hard, c'est
toujours excitant de voir deux filles s'embrasser, se caresser les seins et se brouter le minou sans retenue ...
Nous les avons prises dans toutes les positions en s'accordant
des pauses pour recharger nos batteries mises à mal ...
Je n'avais jamais pratiqué la double avant cette soirée et je dois reconnaître que j'aimerais bien le refaire !!
En fait cela s'est fait tout naturellement ... Karine était
assise sur moi en me tournant le dos, les cuisses relevées au dessus des miennes.
C'est elle qui prit l'initiative de sortir ma queue de sa chatte
bien humide pour la présenter à l'entrée de son petit orifice ... Mouillée comme elle l'était je n'ai eu aucun mal à introduire mon gland ... puis à l'enculer progressivement.
J'ai très vite compris qu'elle aimait ça la coquine et qu'elle y
prenait vraiment du plaisir ... Arnaud nous matait tandis que Corinne était en train de le sucer pour qu'il remette le couvert ... Visiblement ce spectacle semblait lui redonner une certaine
vigueur ... et quand il vint présenter sa bite à sa chatte, Karine ne refusa pas une telle proposition !
C'est vrai que cela fait une impression bizarre de sentir l'autre
bite tout près de la sienne ... mais sans contact direct.
Arnaud se mit à la limer avec entrain, cherchant avant tout à
retrouver une bonne érection ... Le plus excitant était de sentir, à chaque coup de rein, ses couilles venir effleurer les miennes !!
Je reconnais tout de même que dans cette position mes mouvements
étaient assez limités ... ce qui n'empêcha pas Karine de prendre un plaisir non contenu !
Pour Corinne ce fut différent ... elle était assise sur moi à
califourchon (donc plus pratique) tandis qu'Arnaud la sodomisait.
Moins portée sur "le cul" que sa copine elle n'avait pas voulu
tester ma bite plus épaisse redoutant d'avoir mal.
Ensuite je me suis réveillé au petit matin ... sur le lit aux
côtés de Karine et Corinne.
Arnaud dormait à poings fermés sur la banquette du salon
...
J'étais bien naze ... et avec l'alcool, j'avais un peu mal à la
tête ... et la bite bien raplapla ... ce qui n'empêcha pas mes deux créatures d'un soir de vouloir encore jouer avec !!!
Karine trouvait mon "escargot" trop mignon tandis que Corinne
caressait mes couilles pendantes et dégonflées !!
Doucement elles entreprirent mutuellement de me masturber
...
Elles s'amusaient à me décalotter le gland, puis à le recouvrir à
nouveau ... mais pas la moindre érection !!
Ensuite elle me tétèrent à tour de rôle ... jusqu'à ce que
l'escargot daigne sortir un peu de sa coquille ...
Ces deux langues qui m'astiquaient la queue finirent par arriver
à leur fin ... et je ne sais pas comment j'ai trouvé encore l'énergie nécessaire mais au bout de vingt minutes ... je bandais à nouveau !
Un peu mollement mais l'érection était là ... et les deux
coquines parvinrent à m'arracher une dernière jouissance presque à sec car c'est le cas de le dire j'avais vraiment les couilles vides !!
Nous allons à la campagne, j’avais dit à Bruno, mon ami officiel,
que j’étais débordée de travail et que je travaillais samedi toute la journée. Nous faisons la route, je suis habillée classique, jupe noir plissée ( Didier adore les jupes plissées et les jupes
portefeuille : meilleure accessibilité) chemisier, bas, veste, manteau. Je me fais caresser pendant le trajet et jouis comme il se doit en bonne salope que je suis. Nous entrons dans le garage
avec la voiture et descendons. Nous passons par un petit couloir qui longe les garages, Didier essaie d’allumer la lumière sans succès, et dit « il faut que je remplace l’ampoule » je marche
devant à la lueur de l’éclairage de la porte automatique du garage, ouvre la porte d’une autre pièce qui nous permet de prendre l’escalier, il fait noir, en appuyant sur un autre bouton la
lumière ne vient pas, Didier « décidément » je marche à petits pas car je ne connais pas bien les lieux, Didier me dit « tout droit ma chérie, j’ai avancé d’un mètre, je sens une grosse main
venir sur mon épaule, une autre me pousser dans le dos, il y a plusieurs hommes. Je suis emmenée de force dans une direction que je ne connais pas, j’ai peur, j’entends comme des coups assenés à
Didier et « toi tu montes avec nous, tu vas nous montrer ce qu’il y a en haut ». Il fait noir, je suis emmenée dans une autre pièce, encadrée par deux hommes qui me tiennent par le bras en me
portant à moitié. Ils me poussent dans une autre pièce, très peu éclairée, je tombe à terre. Je suis relevée et assise sur une chaise, je crie « laissez-nous, prenez tout ce que vous voulez, mais
ne nous faites pas de mal. Ils m’attachent les mains derrière le dos puis sur la chaise et ensuite me bâillonnent. Je suis en face de 2 hommes cagoulés. L’un d’eux me dit « tiens-toi tranquille,
on s’occupera de toi après si on ne trouve pas ce qu’on cherche ». Ils sortent et m’enferment dans cette pièce froide et très très peu éclairée. Je peux entendre des bruits sourds au dessus,
comme quelque chose qui tombe ou quelqu’un. Il y a beaucoup de bruits à l’étage. Je suis terrorisée. Je me demande ce qu’il se passe : des cambrioleurs que l’on a dérangés. J’espère qu’ils ne
s’en prennent pas à Didier ou qu’il ne résiste pas trop. Le temps me semble très long. Je les entends marcher, faire du bruit. Je perçois des pas qui se rapprochent de l’endroit où je suis. La
porte s’ouvre d’un coup, je sursaute. Ils entrent à trois dans la pièce et tournent autour de moi, celui qui parle depuis le début me dit « on attend les 2 autres pour savoir ce qu’on va faire de
toi. On s’est déjà occupé de ton mec » J’ai peur, je me demande ce qu’ils ont fait à Didier avec tous les bruits que j’ai pu entendre. Les 3 autres descendent et les rejoignent en disant à
l’oreille de celui qui est devant moi et qui vient de me parler des mots à l’oreille que je ne peux percevoir. Ce dernier dit « là-haut ,on a tout vu, il n’y a plus rien d’intéressant » un autre
lui parle de nouveau à voix basse lui disant « qu’est ce qu’on fait d’elle » Celui qui s’adresse à moi « on la laisse ici », Ils parlent entre eux et reviennent vers moi. Le même dit « qu’est ce
tu veux qu’on en fasse » un autre « on pourrait s’indemniser pour le déplacement » ; lui reprenant « oui c’est une bonne idée ». Ils tournèrent autour de moi en me regardant comme une proie. L’un
d’eux sort un couteau, dont la lame jaillit automatiquement, il s’approche de moi, me passe la lame froide sur le cou, descend sur mon chemisier, me le remonte en faisant sauter les boutons un
par un jusqu’en haut. Je suis terrifiée, j’essaie de crier mais je suis bâillonnée. Celui qui parle depuis le début dit « tu as raison, ça aurait été dommage de ne pas en profiter » Je sais à ce
moment que je vais y passer. Il passe ensuite son couteau entre ma peau et le devant de mon soutien gorge et le coupe. J’ai les seins qui tombent « regardez cette paires de petits seins, j’espère
que ton mec s’en occupe ».Il coupe ensuite le lien qui me maintenait sur la chaise, me prend par le bras et me jette pour me mettre à plat ventre sur la petite table, j’essaie de crier mais je
suis bâillonnée , je me débats , ma jupe est levée, je sens des doigts qui me fouille des deux cotés, il retire ses doigt en disant « salope tu es bien ouverte, t’as baisé comme une pute y a pas
longtemps, des 2 cotés en plus » un autre lui répond « comme ça on va lui faire une totale c’est encore mieux » il m’écarte les fesses et les lèvres en disant « regardez les trous sont bien
ouverts » il me crache sur le cul en me serrant et m’écartant les fesses « en plus elle a le cul qui boit »il étale la salive avec ses doigts qui glissent dans mes trous. J’entends « elle est
prête la salope elle va prendre » Je suis débâillonnée, une grosse bite se présente à l’entrée de mon vagin et entre d’un coup, je crie encore plus fort, il tape au fond de moi, je me fais
pilonner, labourer par des sexes énormes à la chaine, j’essaie de mettre mes mains attachées derrière pour limiter la pénétration, il me les saisit et me les maintient dans le dos. Je finis par
avoir des orgasmes en me faisant violer, une première. Ils disent « regarde la salope elle aime ça, elle jouit » un autre « les putes comme ça c’est des grosses bites bien dures qu’il leur faut »
celui qui me parle depuis le début me prend par les cheveux en me disant « c’est bon salope des grosses bites » je me prends une claque sur la figure car je ne réponds pas. Il me prend la
mâchoire entre ses doigt et me dit « dit que c’est bon les grosses bites »
je réponds « oui c’est bon »
Un matelas est mis à même le sol, il me relève, j’ai les jambes
tremblantes, mon chemisier pend arraché, mon soutien gorge aussi, je reçois des claques sur mes seins et mon cul, j’ai mal. L’un d’eux dit « tu n’as encore rien vu, maintenant on va te défoncer
»il me pousse et je tombe sur le matelas, un homme s’allonge, me lève les jambes et me pénètre vaginalement, il me défonce sans aucun ménagement les autres disent « vas-y ,donnes lui à cette
salope »il est allongé sur moi, il est de taille imposante. Ensuite nous nous retournons, il me ceinture, je sens des doigts me fouiller le cul, je reçois plusieurs crachats, Je vais être
défoncée en double par des bites énormes. Une se présente à l’entrée de mon petit trou, à la surface du gland, je sais qu’elle est très large. Il entre, j’ai beau crier « non non », il pousse et
entre complètement; ils me martèlent.
Je me fais prendre de la sorte à la chaine, cela me parait une
éternité, le pire est que je jouis. Je suis libérée de cette position, moitié nue sur le matelas, un homme s’allonge, me retourne et me sodomise. Il m’assoit sur lui sa bite longue et large est
complètement en moi. Il me maintient assise avec ses bras dans le dos. Les autres se présentent dans ma chatte et ma bouche en disant « on va te terminer » Ils me prennent par les cheveux et
enfoncent leurs grosses bites de force dans ma bouche. Je me fais besogner de tous les cotés. Ils me libèrent, mettent à genoux, je suis en face 5 hommes qui se branlent pour m’arroser. Je reçois
des giclées de spermes sur le visage et dans la bouche. Ils me détachent les mains et partent en disant « c’est bon comme extra une pute ». Je suis complètement vidée, recouverte de sperme.
J’essaie de retrouver mes esprits et assez d’énergie pour monter et aller voir Didier, dont je ne sais dans quel état il est avec tout ce que j’ai entendu comme bruit. Je m’essuie la figure avec
la manche de ma veste, j’en ai partout. Je monte l’escalier et voit de la lumière dans l’entrée, la cuisine et le salon. Je regarde partout et j’arrive dans le salon, stupéfaction. Didier est
assis sur le canapé et train de lire le journal. Moi « tu n’as rien mon chéri ? » Didier « non » Moi « mais ils ne t’ont rien fait » Didier « non, c’était un scénario pour te violer, je viens de
recevoir un sms pour me dire que tu as jouis, j’ai même une bande sonore » Moi « mais pourquoi tu m’as fait ça, j’ai eu très peur »
Didier « tu as jouis, je t’ai entendue en live, tu gueulais comme
une chienne » . Moi « mais quand même j’aurais pu être traumatisée, faire un malaise, tu aurais pu me prévenir » Didier « je savais que l’effet de surprise et de peur passés, tu aurais du
plaisir. Te prévenir ça n’aurait eu aucun sens »
Moi « comment pouvais-tu connaitre mes réactions dans une
situation pareille » Didier « j’ai pu t’observer lorsque nous allons en soirée et lorsque tu fais l’amour avec plusieurs hommes alors que tu ne t’y attendais pas »
En me douchant, je lui en veux mais quel pied. Le mélange de peur
et d’excitation. Nous dinons ensuite, je suis en peignoir et je passe la nuit à faire l’amour. Lorsque je me lève j’ai un peu mal partout surtout au cul, qui a pris des gabarits exceptionnels.
Didier m’avouera que c’était Sylvain, Harry, deux potes et Claude. Avec lui je ne m’ennuie jamais aussi bien dans la vie qu’au lit.
Après ce mardi exceptionnel, je me suis remise de mes émotions. C'était un moment unique.
Une journée piscine qui se déroulait à merveille, jusqu'au moment où mes pulsions ont recommencé.
Cette fois-ci, je pense que je suis allé un peu loin, mais j'y ai pris beaucoup de plaisir. Tout d'abord, nous avons fait un triolisme, mot que j'ai appris de la bouche de Sonia, mais comme nous
étions dans un endroit public, mais un surveillant nous a pris en flagrant délit. Mathieu s'occupait de moi et de ma meilleure amie, la jouissance était proche. Mais pour éviter tout problème mon
bel amant n'a pas eu d'autres idées que d'inviter le monsieur à nous rejoindre.
Il n'a pas refusé et a participé à cette partie de jambes en l'air. J'ai eu deux orgasmes durant cette période. Puis à la fin, nous avons rejoint notre groupe et nous sommes rentrés à la
résidence universitaire. Ma meilleure amie a dormi avec moi et m'a parlé d'une fête pour vendredi. Étant donner que la rentrée va se faire une semaine après, il était préférable de la faire
maintenant.
Comme ça, nous aurons de temps de nous reposer avec le début d'un marathon scolaire de quatre trimestres. Il est onze heures, nous y sommes, on est vendredi. Comme par habitude, Sonia vient
frapper à ma porte. Je l'invite à boire un café, puis elle m'explique le déroulement de cette fameuse fête. Une salle en sous-sol se situe dans la résidence et celle-ci est généralement utilisée
pour faire des soirées étudiantes ou d'anniversaire. Ma meilleure amie m'explique qu'il y aura des tenues haïtiennes. Les garçons auront des shorts à fleur et les filles seront habillées comme
des vahinés. J'accepte son choix, nous nous séparons jusqu'en début de soirée afin de nous reposer afin d'être en pleine forme. Après avoir bu un peu de lait, je décide de faire une sieste.
Je me réveille à dix-huit heures. Je me douche, puis j'entends toquer à la porte. Je vois Maeva et Florine qui m'apportent ma tenue. Elle est très simple, un soutien-gorge et une jupe en
fleur ainsi qu'une culotte en dentelle rouge. Les filles sont déjà prêtes. Je me prépare, puis je les suis en direction de la salle. Mathieu, Valentin, Sonia, et Johanna sont présentes. Je
m'aperçois que le style vestimentaire a été respecté par tout le monde. Une musique tahitienne laisse échapper quelques ondes de détente, la salle est décorée avec des fleurs au mur, il y a aussi
un canapé et des fauteuils. Sur une table, il y a des bouteilles d'alcool et de jus de fruit. Ma meilleure amie vient vers moi avec un verre de punch, un mélange de rhum avec du jus d'orange.
Tout le monde est servi, et nous trinquons à la future année scolaire. Le breuvage est un peu fort, mais très bon. Johanna et Maeva improvisent une danse tahitienne, leur complicité est
remarquable. Florine et Valentin sont déjà sur le canapé, il s'embrasse à en perdre le souffle. Puis Mathieu se lève et nous propose de participer à un jeu. Celui de la bouteille, un classique du
collège. Tout le monde accepte. Nous nous asseyons en rond, mais avec les jupes courtes, les garçons ne manquent pas de regarder les culottes par dessous. Au premier tour, Valentin tombe face à
face avec Sonia, ils se font un bref bisou sur la bouche. La bouteille tourne à nouveau, c'est à mon tour, et le goulot est tombé sur Maeva, je l'embrasse tendrement et ainsi de suite. Un peu
lassée par ce jeu, Johanna propose de jouer au poker. Je ne sais pas y jouer, nous faisons donc un tour sans gage, puis nous buvons un autre verre de punch. La partie officielle va commencer.
Sauf qu'au lieu de parier de l'argent, nous allons le faire avec nos vêtements, avec les tenues tahitiennes la partie ne risque pas de durer une éternité. Florine perd la première manche,
elle enlève son collier de fleur. Valentin a son tour échoue, il enlève sa chemise et ainsi de suite après quelques parties, nous sommes tous en sous-vêtement. J'ai l'impression que les choses
sérieuses vont commencer. Sonia perd à son tour, c'est la première à se retrouver avec les seins nus. Maeva la suit à la seconde partie. Les filles ont toute la poitrine à l'air et les garçons se
retrouvent complètement nus. N'ayant qu'un short pour protéger leur intimité, ils avaient pris un risque sur cette partie de poker. Puis tour à tour, les filles et moi-même, nous retrouvons le
minou à l'air. Johanna qui avait lancé l'idée de ce jeu, propose une nouvelle règle. Cette fois-ci, le perdant devra faire une caresse sur une partie intime sur le corps d'un des partenaires.
Celui qui gagnera choisira le gage. La première a gagné, c'est Florine, après quelques instants d'hésitation, elle propose à Sonia, de lécher le clitoris de Maeva pendant une minute chronomètre
en main. La jeune fille écarte les cuisses sans opposition, ma meilleure amie glisse sa tête entre ses jambes et joue avec son petit bouton magique. Maeva commence à gémir, mais le temps est
terminé. Sonia se rassoit. Événement ! Pour une fois, je gagne une partie. La bande me regard l'air dubitatif. Je choisis Mathieu, et lui demande de caresser Johanna pendant soixante secondes. Il
y met tout son cœur dans la pratique, et la demoiselle monte rapidement dans les tours. Le temps est terminé, chacun reprend sa place. Maintenant, c'est Valentin qui gagne. Il me sélectionne et
me demande de faire une fellation à Mathieu.
Je me mets à quatre pattes pour saisir le membre de mon bel amant, je le prends en bouche. Au même moment, Johanna ne tenant plus commence à lécher Maeva. Le fil de la partie est perdu.
Florine avale de son côté le membre de Valentin et Sonia regarde le spectacle en se touchant la vulve et en se mordant la lèvre. Sur qui va-t-elle se jeter ? J'ai toujours le membre de Mathieu
entre les lèvres. Mes fesses sont à l'air et je sens une main puis deux se poser dessus.
Je n'y prête pas attention dans un premier temps, mais je perçois de douces caresses autour de mon puits d'amour. Je relève la tête quelques secondes. Je vois Maeva et Johanna prête à
dévorer mon intimité. Les deux filles se relayent, leur cunnilingus me procure beaucoup de plaisir. Je suis aux anges et je sens que je ne vais pas tarder à envoyer mes premiers jets de mouille.
Effectivement, au bout de quelques minutes, je sens des contractions dans le bas de mon ventre et je jouis. Je relève un peu la tête, je vois Florine à cheval sur Valentin, elle prend beaucoup de
plaisir et Sonia se fait lécher par la demoiselle dans le même temps.
Le spectacle visuel m'émoustille. À mon tour de me faire chevaucher par mon bel amant. Il s'allonge un peu sur le dos, son membre est droit comme un piquet et je m'empale dessus comme une
affamée. Je fais plusieurs allers-retours à la fois lents et rapides. Maeva et Johanna continuent de me caresser dans le même temps. Tout y passe, mes seins, ma vulve, et même mon petit trou. Je
monte de plus en plus dans les tours, je crois que je vais jouir une deuxième fois, j'en ai les jambes qui tremblent. Valentin a changé de partenaire, il ne se fait pas prier pour besogner Sonia.
Elle gémit beaucoup. Les deux lesbiennes se masturbent entre elle et ont même invité Florine à participer. Le trio est magnifique, Maeva à la tête entre les cuisses de Florine qui lèche à son
tour la fente de Johanna.
Ce spectacle est magnifique. Maintenant, je suis en levrette, Mathieu continue de me besogner, et comme lors de notre dernière partie de jambes en l'air, tente de me mettre un doigt dans mon anus. Cette fois-ci, je ne conteste pas, il a l'air expert en la matière. Il en profite pour appeler Sonia, elle va me faire un cunnilingus pour bien me préparer. Valentin de son côté, à retrouver Florine en charmante compagnie. Et surprise, il à droit à une série de fellations de la part des trois filles.
Maeva se permet même une réflexion du genre, entre une en plastique et une en vrai je ne vois pas la différence. De mon côté, Sonia m'a bien préparé. Mathieu tente de me pénétrer, au début
la douleur est intense, mais après quelques allers-retours, c'est un plaisir énorme qui m'envahit le corps. La décharge électrique est puissante. Mes fesses claquent et la jouissance arrive comme
un boulet de canon. J'envoie encore des jets de mouille sur les cuisses de mon partenaire.
Mon bel amant me dit qu'il a une surprise encore plus grosse. Il invite Valentin à le rejoindre. Je serais assise sur le pieu de Mathieu pendant que le copain de Florine sera dans mon cul.
Le jeune homme arrive avec un sexe imposant. Il se présente à mon orifice, me pénètre petit à petit, puis je découvre ce qu'ils appellent la double pénétration. Au bout de quelques minutes,
leurs membres grossissent de plus en plus et explosent en moi. Je jouis plus que de raison.
Je m'écroule dans les bras de Mathieu, je suis épuisée. Les filles viennent me nettoyer, ce n'est pas une ni deux, mais quatre langues qui me parcourent la vulve à la recherche du sperme
qui m'a inondé. Cette activité ne manque pas de me faire vaciller. La petite bande se met autour de moi, et me félicite pour mon intégration. Mathieu se lève, il fait un petit discours me
souhaite bonne chance dans mes études et dans ma vie de couple avec Romain. Tout ce qui s'est passé pendant cette semaine restera un secret me dit-il, et nous continueront de vivre comme une
bande de copains. Il est une heure du matin, nous nous rhabillons, nous rangeons et nettoyons la salle puis nous partons dans nos chambres pour dormir. Mon bel amant souhaite dormir avec moi.
Je ne peux pas lui refuser cette invitation. Pendant la nuit, je repense à cette partie de jambes en l'air. J'ai beaucoup moins de remords que d'habitude, mais je ne peux m'empêcher de
penser à Romain. Je garderais ces souvenirs dans un coin de ma tête. Dans une semaine, il y a la rentrée et le retour de mon compagnon officiel. J'espère que mes pulsions se seront calmées et
j'espère aussi que mes soirées seront un peu moins agitées. Je suis tout de même-là pour avoir un avenir professionnel.
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