Histoires de sexe

Lundi 12 août 1 12 /08 /Août 22:42


                      - Tu aimes embrasser les filles ?
- Voici ce qu’elle me dit quand elle est étalée sur le dos, les jambes ouvertes. Elle est excitante avec ses longs cheveux bruns sa petite touffe de poils sur le pubis et ses seins. Ah ses seins ! A les prendre dans la main pour ne plus les lâcher, avec leurs pointes sombres surmontées de mamelons aussi beaux à voir qu’à sucer.
- Nous nous sommes rencontrés dans un bistro, un soir assez tard : je cherchais moi à boire et à bavarder, elle un homme. Nous nous sommes vite mis ensemble, même si elle était un peu petite. Nous nous sommes embrassés à la sortie du bar. Ses lèvres étaient plus qu’accueillantes.

 

Nos langues ont vite fait connaissance. Je n’avais pas besoin de la forcer pour me suivre dans ma chambre. Je savais ce qu’elle cherchait, j’étais prêt à lui donner ma queue.
- Dans ma chambre d’hôtel de luxe je pouvais lui faire tout, encore plus que je prévoyais. Sacrée Gladys. J’allais l’embrasser encore et la caresser comme j’en avais envie. Elle voulait baiser simplement, vite fait, bien fait. C’était pour moi une première de trouver une fille si chaude, si, empressée. Elle s’est vite déshabillée, est venue contre moi pour encore un baiser, cette fois plus longue que les premiers. Sa langue fouillait ma bouche. J’en bandais.
Mes bras l’entouraient, mes mains caressaient son dos. Je les mettais sur ses fesses. Elle se serrait contre moi, son pubis contre mes cuisses.

J’avais la bite bandée contre son ventre. Mon envie d’elle était des plus fortes.
Je l’ai poussé sur l’autre lit, je suis venu sur elle. Elle écartait les jambes pour m’inviter à la prendre. J’étais dur comme rarement. Je sentais ma queue s’allonger. Il semblait que mes couilles remontaient dans mon ventre. Elle passe un bras sur ma taille, l’autre sur les épaules. Je ne la tiens pas, sauf peut être son cou. Gladys passe ses jambes sur les miennes. Je sens ses cuisses s’ouvrir encore un peu. Sa vulve n’est pas loin de ma pine. Elle va pour me guider, je refuse sa main. Elle le pose sur mes fesses, et moi doucement je glisse en elle.

 

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 Gladys est chaude à l’intérieur. Ma queue coulisse en elle facilement tellement elle est humide. Le gland accompagne en éclaireur la bite. Elle est très agréable à baiser. Nos pubis se séparent pour mieux se retrouver. Je la lui mets à fond. Elle gémit doucement en murmurant des merci de me baiser, j’en avais envie. C’est moi qui devrais le lui dire tellement elle baise bien.
Elle se laisse aller vers l’orgasme. Je la sens jouir. Je vais moi lui donner ma sauce quand elle s’arrange pour que je sorte d’elle. Si je me relève un peu étonné, c’est là qu’elle me demande si j’aime embrasser les filles. Je le lui ai montré pourtant quand nos lèvres étaient jointes.
Non pour elle embrasser veut dire simplement sucer. Bien sur que j’aime sucer une file dans ce qu’elle a de plus secret. J’aime avoir cette sensation de douceur d’un bouton sur ma langue comme, le gout de la cyprine. Elle s’offre ainsi. Je ne vais pas me gêner. Je suis à plat ventre entre ses jambes. Je prends les cuisses pour les mettre sur mes épaules. Gladys se laisse manipuler.


 J’embrasse d’abord les lèvres douces sous les quelques poils. Je dévie un peu vers l’entrée de son vagin. Qu’elle bonne odeur entre dans mes narines. J’en bande toujours. Mon bas ventre commence se frotter contre les draps. Mon nez se bloque contre le haut de sa chatte.

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Enfin ma langue commence le travail de sape pour lui donner ce qu’elle veut. Je la lèche lentement, longuement. Son bas ventre suit son rythme de jouissance en allant et venant vers ma bouche.
Elle murmure des choses incompréhensibles sans doute des oui, encore, je n’en sais plus rien. Elle pousse un cri en partant vers l’infini des amantes. Il ne faut pas qu’elle me fasse trop trainer, j’ai envie moi aussi de me laisser aller vers l’orgasme. Je patiente encore un peu, juste le temps pour elle de jouir encore une fois.


 J’allais me mettre sur elle à nouveau quand elle se retourne sur le ventre. Elle m’entraine à sa suite. Je suis sur le dos, elle sur moi. Elle se penche sur ma queue. Gladys me branle un peu, manière de me tenir dans sa main agile. Elle sait bien branler. Sa main s’agite autour de ma pine. Le prépuce monte et descend. Le gland se découvre pour se recouvrir encore. Je vais lui donner mon jus dans la main si elle continue.


 Gladys fais parti de ses femmes qui savent ce que baiser veut dire tant pour elle que pour le partenaire. Elle se tourne en 69 sa bouche avec ma queue et son con sur ma bouche. Il me semble qu’elle a une meilleure odeur, sans doute sa jouissance. Sa langue lèche le fût de ma colonne avec ardeur, à croire que je suis une friandise. Elle sait que je vais jouir. Elle me lâche en pleine ascension : j’allais lui fournir mon sperme. Elle m’oublie le temps de se retourner. Elle vient me donner ses fesses. Je suis un peu étonné de voir avec quelle vitesse elle me donne son cul, oui son cul !

 

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 Elle aime se faire enculer, comme moi j’aime enculer les filles. C’est beau à la voir, ses fesses, sa raie sur ma queue, ses mouvements lents pour que j’entre. Je vois ma queue pénétrer doucement selon ses vœux Quand je suis bien au fond, elle passe sa main sur son clitoris. Ses mouvements de mains sont rapides. De temps en temps elle entre un ou deux doigts dans son intimité.
Gladys continue ses murmures sans que je sache ce qu’elle dit : des insanités sans doute. Elle accentue ses aller et venues autour de ma queue et là je gicle au fond de ses reins. Je la sens elle aussi jouir longuement.
Elle se relève lentement, se tourne encore pour prendre ma bite dans la bouche. Je m’étonne un peu qu’ellle me suce après que je l’ai enculée. Si elle aime ça, pourquoi l’en priver.

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 Nous nous endormons rompus par ce que nous venons de faire, surtout Gladys. Au petit matin j’entends un drôle de bruit, elle est étendue sur le lit : elle se branle. Je l’ai aidé en léchant le cul encore une dernière fois.
Je ne l’ai plus jamais revu.

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Jeudi 25 juillet 4 25 /07 /Juil 22:25

Salut tous, suite au succès de mes premiers récits, je poursuis en vous racontant toujours une histoire vraie qui comme la précédente a commencé dans le train. Cela date de 3 ans maintenant, je rentrais chez moi et révisais mes partiels dans le train. Je n’avais pas de PC portable à l’époque et je relisais mes notes tellement bien écrites que je devais en faire des fiches plus lisibles. Comme j’avais pas mal de feuilles, je me suis installé sur la grande table avec 4 places autour. Une magnifique beurette vient alors s’installer en face de moi. Elle faisait 28-30 ans (en fait elle n’avait que 27 ans), assez grande, les cheveux brun long et les yeux marron. On était en été donc elle portait une robe débardeur moulante noire, laissant voir ses formes généreuses. Sa peau était encore magnifique et sa poitrine affirmée.

J’avais du mal à me concentrer face à une telle beauté, d’autant qu’elle n’arrêtait de se tortiller les cheveux. Je m’imaginer la prendre en levrette dans les toilettes en lui tirant les cheveux. Après plusieurs minutes, elle me demande « vous corrigez les copies de vos élèves ? ». Je me fais aborder par une magnifique femme plus mature (je n’avais alors que 21 ans) donc comme tout homme dans cette situation je décide courageusement de mentir et de me faire passer pour un prof et reprend la conversation. On discute pendant tout le voyage et je vois bien qu’elle me lance des signes d’intérêt. A l’arrivée, je lui demande son numéro pour sortir un soir.

Nous prenons rendez vous un samedi soir. Je l’invite au restaurant puis en attendant que la boite ouvre de venir boire un verre chez moi. Samiha portait encore une robe noir moulante encore plus sexy. On s’assoit sur le canapé et discute. Durant cette conversation, je m’approche de sa main puis commence à lui caresser. Venant où je voulais en venir, elle s’approche de moi pour m’embrasser. Je lui caresse les cuisses à travers sa robe.

-Je voulais faire ça dès que je t’ai vu dans le train.

Elle ne dit rien et m’embrasse à nouveau en me caressant le cou et la tête de ses douces mains. On se roule tendrement des pelles pendant un long moment rempli de caresses et de douceurs. Je prends alors le risque et lui demander.

 

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-Tu as envie d’y aller ?

-Non, je suis bien ici.

Son sourire coquin était aussi parlant. Je la soulève et l’amène sur le lit où on reprend nos batifolages. Elle se met rapidement sur moi, ce qui me permet de lui soulever sa robe pour découvrir des fesses bien fermes dont la fente était masquée d’un simple string ficelle. Voyant cela, Samiha soulève sa robe pour l’enlever et laisser voir dessous de magnifiques.sous vetements roses

-Tu devrais faire attention avec une aussi belle fille que toi, on a d’avantage envie de l’arracher que de l’admirer.

-Non je vais te faire languir avec et tu vas adorer ça.

-Je n’en doute pas une seule minute.

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On reprend nos doux baisers, mes mains restant fixer sur ses fesses fermes. Samiha se retire alors et me plaque au lit pour commencer à me déboutonner la chemise puis passe ses mains sur mon ventre, avant de s’allonger sur moi en reprenant nos torrides baisers associés à des caresses. Alors que nos langues restent entremêlées, je remonte mes mains sur son corset pour lui retirer. Elle m’aide à l’abaisser pour découvrir ses seins sans le retirer.

- Va-y mon bébé, mes seins sont tout à toi.

Je ne réponds pas et m’empresse sur un de ses tétons. Sa poitrine est très généreuse, un beau 90C, mais ses tétons sont assez gros. C’est un régale à téter et ses gémissements me laissent entendre qu’elle aime ça aussi.

-Ils te plaisent ?

-Autant que ta bouche.

Je lui pelote ses seins alors qu’elle enlève son corset avec difficulté. Je finis par l’aider afin de retourner à ses tétons. Elle s’affale sur moi, posant ses seins sur ma bouche qui les déguste alors que mes mains retournent sur ses fesses. Après quelques minutes, mes doigts rentrent dans son string. Mais elle m’arrête.

-Non, c’est encore trop tôt. Elle commence à déboutonner mon pantalon.

-C’est toi qui a faim ma cochonne. Elle ne répond et m’enlève mon pantalon. Je l’arrête à mon tour.

-Hé, il est trop aussi. Je me redresse pour l’embrasser à nouveau, frottant ses seins contre mon torse. Elle me demande : on peut passer aux choses sérieuses ? Elle enlève mon pantalon. Elle est en string et moi en boxer. Je la soulève pour la plaquer sur le lit.

-Hum, j’aime cette initiative.

 

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Je l’embrasse à nouveau frottant mon boxer contre son string. Ses mains se posent sur mes fesses. Je me penche vers son string que j’écarte pour découvrir sa chatte épilée dans laquelle s’enfonce ma langue sans plus attendre. Après quelques minutes je commence à sentir sa mouille. Je me retire pour lui enfourcher 2 doigts. Elle commence à gesticuler alors que j’accélère. La coquine commence à crier, ce qui me pousse à rentre 4 doigts et à poursuivre. La cochonne crie et mouille comme une diablesse. Ma main est remplie de sa mouille.

-Regarde ce que tu as fais ma cochonne. Elle prend ma main et suce sa propre mouille.

- Hum petite coquine, tu ne veux pas sucer autre chose. J’enlève mon boxer et m’allonge. Allons viens te faire plaisir. Samiha me surprend en sautant dessus. La coquine devait avoir l’habitude car elle l’avalera intégralement du premier cout. Sa langue parvient à s’enrouleront le long de ma tige. Alors quelle l’avale entièrement, je bloque sa tête. Lèche mes couilles ma cochonne ! La petite ne bronche pas, je suis retire la tête en lui tirant mes cheveux.

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-Tu veux que je te baise ta bouche

- Va-y mon cochon, j’en ai connu des plus grosses.

- Petite insolente tu vas voir.
Je lui plaque la tête contre la couette ;

-Allez enfourche moi ta bite.

-N’hésite pas à me prévenir si j’y vais trop fort.

-Ne t’en fait pas j’ai l’habitude

La cochonne avait bien plus d’expérience que moi, ce qui rendait plus bestial. Je lui fais avaler mon sexe et commence à lui baiser la bouche. Sa tête prisonnière entre mes mains, elle m’est totalement soumise à mon fantasme. Sa langue fait tout ce qu’elle peut à chaque coup de bite. Je n’avais jamais fait ça avec une telle bestialité. Je dois m’arrêter avant de jouir.

On enchaine directement sur un 69. Samiha semble inépuisable. Lors du 69 sur pénètre sa chatte de ma langue, essayant de lui rendre le plaisir donné, mais elle continue vigoureusement à s’attarder sur ma bite. Je finis par lui enlever son string et l’embrasse affectueusement.

-Tu es divine

-Ca ne fait que commencer, laisse moi mettre ta capote. Samiha la place avec la bouche sur mon sexe me faisant plusieurs gâteries en même temps. La belle empale rapidement sa chatte dessus. Je lui laisse prendre du plaisir sur ma bite. La belle sait si prendre et elle aime ça. Elle commence à gémir comme une folle. Je la laisse faire pelotant ses seins. Elle commence à faire claquer ses fesses sur mon corps.

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Après plusieurs minutes, elle me laisse la prendre ne main. Je lui demande de se mettre à 4 pattes pour enfin la prendre en levrette.

-Tu sais que j’en rêve depuis le train

-Je suis toute à toi maintenant

Je lui enfonce mon sexe sans problème dans sa chatte déjà bien dilatée. Je lui agrippe les fesses en même temps. Alors que j’accélère, je commence à lui mettre une fessée. Son gémissement me pousse à continuer. Je lui fais aussi claquer mes couilles puis la prend par les cheveux. Je réalise alors mon fantasme du train. Samiha y ajoute ses cris de plaisirs de plus en plus bruyants.

-Tu aimes ça ?

-Ho oui va y défonce moi.

Ces mots me poussent à être plus bestial. Je lui soulève les jambes et reprend la pénétration intensive. Ses jambes sont collées sur ses épaules, en plus d’être cochonne, Samiha est très souple. Son regard ne cessant de criant laisse transparaitre son plaisir. Pris dans le mouvement, je lui enfonce un doigt dans l’anus, Samiha se laisse faire. Je poursuis avec 2 puis 3 doigts.

-Va y, tu peux y aller.
J’approche mon sexe de son anus. Ce dernier devait avoir l’habitude car je m’y enfonce assez facilement. Son anus se dilate s’en problème et en à peine 1 minute, mon sexe est entièrement rentré.

Je commence le va et vient. Samiha se met à gémir comme une folle, me poussant à accélérer. « Continue c’est bon ». Je reste dedans de longues minutes. Il est très agréable à pénétrer. Je m’allonge à nouveau et Samiha vient à nouveau empaler son anus sur mon sexe. Je la laisse gérer et elle s’empale dessus sans problème ne cessant d’hurler. J’en profite pour lui enfourcher mes doigts dans la chatte, face à l’excitation je lui enfonce ma main entière dedans. Nous continuons sur la sodomie dans plusieurs positions jusqu’à être en sueur. Je finis par éjaculer dedans, Samiha s’empresse alors d’enlever ma capote pour avaler ma semence.

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Je suis totalement sous le charme, nous continuons nos embrassades sous une bonne douche, avant de refaire 2 fois l’amours dans la soirée. Ce fut l'une de mes plus belles aventures avec une fille magnifique, très cochonne et infatigable   

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 20:31

En avait elle rêvé de ce voyage au Mexique ! Anne s’était fait son trip dans sa tête depuis des semaines et des semaines et le jour où ils avaient embarqués elle et son mari, l’excitation se mêlait à l’énervement du voyage. L’itinéraire était près, là dans la poche du sac à dos qu’ils allaient garder comme bagage de cabine. Il y avait bien sur le guide du routard et d’autres guides plus spécifiques qu’elle avait été dénicher à l’aide d’internet. Elle s’était donnée un mal de chien pour que tout soit parfait, pour que ce voyage soit vraiment inoubliable. Il est vrai qu’ils fêtaient leurs dix ans de mariage à cette occasion, il n’était pas question que le périple fut un fiasco. Dans la trousse de secours tout était rangé soigneusement, le minimum vital mais aussi quelques remèdes contre les maux que l’on est susceptible de rencontrer au Mexique. Anne et son mari savaient que la turista sévissait en ces contrées et l’immodium était en bonne place.

Tout, elle avait tout prévu, sauf ce foutu accident idiot parmi les accidents idiots ! Hier en visitant une de ces pyramides pentues elle s’était foulé la cheville en descendant des vieilles pierres disjointes.

Bien sur ils avaient vite réagi, on s’était empressé autour d’Anne, des mexicains compatissants lui avaient mis de la glace sur sa cheville douloureuse. Au début elle s’était crue tirée d’affaire, le mal régressait et ils avaient ainsi rejoint leur hôtel. 

La nuit fut pourtant pénible, le mal revint, sournois il s’insinua en elle et la cheville redevint douloureuse, malgré la glace qu’ils y posèrent, elle enfla et Anne et son mari s’en inquiétèrent vraiment au matin. 

Anne était malheureuse, à cause d’elle le voyage prenait un tour désagréable, leur temps était limité et il faudrait sûrement faire l’impasse sur certaines visites, en tout cas, aujourd’hui il n’était pas question de marcher. 

Il était plutôt question de prendre un avis médical, devant la cheville enflée et douloureuse, plus question de tergiverser.

Le mari d’Anne descendit à la réception de l’hôtel à la première heure pour s’enquérir d’un praticien et remonta les escaliers quatre à quatre en tenant le précieux renseignement entre ses doigts fébriles.

On appela un taxi qui mit un certain temps à apparaître et sous le soleil de plomb de ce début de matinée à travers les rues tortueuses de Campeche il se fraya un chemin improbable au milieu de la foule colorée mexicaine.

C’est dans une rue étroite et sombre qu’il s’arrêta. Le gros homme qui conduisait se tourna vers eux et en essuyant son front leur demanda son du. Le mari d’Anne paya rapidement la course et ils se retrouvèrent tous les deux en face d’une vieille villa au fond d’un jardin pour le moins négligé. L’endroit paraissait peu accueillant, la grille de fer forgé qui fermait le lieu était imposante et rouillée. Seul la plaque de cuivre vissée sur le pilier droit les rassura un peu. Le mari d’Anne pressa la sonnette sous la plaque de cuivre. Il ne se produisit rien de notable, la rumeur de la ville seule leur fit écho. Il faisait chaud, même à l’ombre de cette rue l’atmosphère était poisseuse, l’air plein de relents d’odeurs de cuisine mêlés. Anne à cloche pied sur son pied valide commençait à s’impatienter. Son mari pressa à nouveau la sonnette et ils attendirent encore.

La gâche électrique déverrouilla enfin la lourde grille de fer qui émit un gémissement lugubre. Ils poussèrent la grille et pénétrèrent dans le jardin abandonné à la luxuriance tropicale. En baissant la tête de-ci de là ils parvinrent à un perron qu’Anne franchit difficilement avec l’aide de son époux.

Ils étaient si absorbés qu’ils ne virent pas la femme en haut des marches et butèrent presque contre elle quand ils furent à sa hauteur.

C’était une mexicaine sombre comme la maison, elle devait avoir la cinquantaine s’il était possible de chiffrer avec précision son age compte tenu de l’envergure de la personne. La femme était forte, mamelue et poilue. Un soupçon de duvet couvrait sa lèvre supérieure. 

Elle considérait sévèrement l’équipage qui se présentait à elle, Anne soutenue par son mari.

« Si ? » interrogea elle les fixant sans sympathie particulière.

A force de gestes et à l’aide de son espagnol balbutiant, le mari d’Anne donna un semblant d’explication.

La femme d’un geste les invita à entrer à sa suite.

La villa était aussi sombre à l’intérieur qu’à l’extérieur. Au bout du couloir la femme se retourna pour leur désigner une porte sur la droite. Ils entrèrent dans une salle d’attente qui leur parut surchauffée. Les sièges tout autour de la pièce étaient en piteux état, au centre une table basse branlante soutenait tout un tas de revues mille fois triturées et poisseuses de la transpiration de générations de patients.

Le silence était absolu. Anne et son mari se regardèrent vaguement inquiet.

« Drôle d’endroit » dit il. Anne ne répondit pas préoccupée par son mal.

Ils attendirent, longtemps.

Et puis la porte s’ouvrit enfin sur un personnage qui devait être le toubib à en juger par sa blouse blanche. Enfin, presque blanche.

« Bonzour monsieur dame, qué pouis je faire pour vous ? »

Le petit homme rond qui venait d’entrer aurait pu être jovial. Il frôlait son mètre soixante cinq de haut et presque autant de diamètre. Le crâne dégarnit, sa bouille était toute en rondeur d’où émergeait une bouche qu’on aurait pu dire gourmande si l’on ne l’avait plutôt jugée lippue. Ses petits yeux émergeaient derrière des lunettes qui glissaient inexorablement vers l’extrémité de son nez, rond lui aussi. Des yeux noirs toujours en mouvement qui vous perçaient de leur éclat malsain. Il se frottait les mains l’une contre l’autre sans arrêt pendant que nos deux français lui expliquaient le but de la visite.

« Zé vois, zé vois » dit il enfin, regardant par-dessus ses lunettes.

« Zé vais examiner madame. » et avant que quiconque est pu dire quoi que ce soit, il ajouta :

« Vous monzieur, vous restez là ! » 

La mari d’Anne, interloqué en resta bouche bée mais ne dit rien.

Le petit homme offrit son bras à Anne et ils disparurent de la salle d’attente.

Le silence retomba comme une chape sur les épaules du français, en plein désarroi.

Le cabinet médical valait la visite si l’on ose dire ! Une pièce aussi sombre que les précédentes. Une méchante table servait de bureau au toubib. Dessus un téléphone hors d’age entouré d’une multitude de papiers, un maillet pour vérifier les réflexes, le stéthoscope de l’officiant, quelques stylos, des abaisse langues en vrac dans un haricot émaillé qui perdait son émail, le tout recouvert d’une fine couche de poussière. La poussière, on la voyait aussi dans le rayon de soleil qui avait réussi à pénétrer jusque là.

Le médecin fit le tour de la table et s’assit. Anne, décontenancée restait debout. C’est alors qu’elle perçut un souffle derrière elle. Un gros chien jaune venait tourner autour d’elle en la reniflant. L’animal posa sa truffe sur son pubis et renifla avec force. Anne eut peur et essaya de repousser l’animal. Le docteur entendant le chien grogner releva la tête de ses papiers et dit en souriant « n’avez pas peur, l’est pas méchante. Essayez vous madame. »

Anne se laissa littéralement tomber sur le vieux siège défoncé qu’on lui proposait. Le chien sembla se calmer et alla s’allonger dans un coin.

« Déha billez vous madame » dit le toubib sans la regarder.

Pour une cheville foulée ! Anne ne dit rien mais s’exécuta. Sa petite robe légère vola par-dessus sa tête et elle la posa sur le dossier de la chaise.

« Allonzez vous là bas »

Le docteur désigna un point improbable du cabinet et en tournant le cou, Anne aperçut une table d’examen. Elle frissonna d’effroi en découvrant l’objet. La molesquine de la table, déchirée par endroits, perdait le crin qui la garnissait. De taches par ci par la, disaient brutalement toute la misère qui avait défilé sur la table. 

Elle hésita devant l’objet répugnant. Mais le médecin par-dessus ses lunettes l’incita du geste à rejoindre la table.

Elle fit les trois pas qui la séparaient de la table. Dans son coin le chien releva la tête et jappa. Le toubib lui lança un commandement en espagnol, bref et sec. L’animal se recoucha.

« Allonzez vous petite madame » dit il d’un ton gourmant qui ne rassura pas la française.

Quand elle fut allongée sur la table poisseuse le médecin s’approcha d’elle. Elle vit ses petits yeux briller dans l’ombre.

« Alors vous zètes oune françaisse ? »

« Oui docteur »

« Montrer votre zambe »

Il palpa la jambe endolorie tirant des gémissements à Anne qui se raidissait sous sa palpation rude.

« Mmmm » fut son seul commentaire.

« Ze vais mettre oune bande et vous donner les médicationnes »

Se qui fut dit fut fait, il serra la cheville dans une bande après avoir massé légèrement d’un onguent jaunâtre.

Anne se sentit soulagée et voulue se relever.

« Non non vous restez allonzée »

Elle fut surprise par cet ordre qui n’avait pas lieu d’être.

Le médecin alla prendre son stéthoscope et revint vers la table d’examen. Il écouta attentivement la respiration de la femme. Il sembla à celle-ci qu’il insistait un peu sur son sein mais enfin rien de méchant.

« Mmmm » refit il.

Il alla chercher le brassard pour la tension et le lui passa.

« Mmmm » fit il encore.

Il reposa le brassard et sans dire un mot il glissa ses mains potelées sous le soutien gorge d’Anne qui sursauta.

« Allons restez saze, zé vais vous faire oune examen gynécologique »

« Mais docteur, je vais très bien ! » protesta Anne.

Il la regarda sévèrement,

« Vous savez madame, vous zetes en pays tropical, vous zetes pas habituée au climat, la chaleur peu provoquer des réactionnes et je veux éviter ça à vous. » 

Anne restait abasourdie et médecin commença son examen. Tout alla bien au début, le geste était médical : les doigts bien posés à plat sur le sein en palpait tout le pourtour l’un après l’autre.

Le toubib était au dessus de sa tête et elle ne le voyait pas, juste ses bras poilus et ses mains qui allaient et venaient sur la chair tendre de ses seins. L’examen se prolongeait au-delà du raisonnable, la palpation se faisait insistante quand soudain il lui empoigna les deux seins en même temps et pinça ses tétons entre le pouce et l’index.

Anne sursauta à nouveau, mais la caresse éveilla en elle un soupçon de libido. Les doigts courts et gras du médecin lui massaient gentiment les tétons qui s’érigeaient malgré elle.

Il eut un grognement satisfait et se plaça sur le coté de la table. Sans un mot, elle sentit qu’il prenait l’élastique de son slip et le faisait glisser contre ses cuisses. Anne en avait le souffle coupé. Elle esquissa une protestation aussitôt réprimée par le regard sévère du praticien.

« Ecartez moi plutôt vos zolies cuisses ! » 

Anne ne pouvait se soustraire elle ouvrit timidement les cuisses et le docteur, à deux mains, lui ouvrit plus largement les jambes.

« Ah oune zolie blonde ! zé n’é pas l’habitoude d’examiner oune femme aussi claire qué vous ! » 

Tout en parlant, il avait écarté d’une main les lèvres fermées du sexe d’Anne et de l’autre il avait glissé deux doigts dans son vagin.

Anne fut paniquée ! Il l’examinait sans gants d’examens ! Ses doigts boudinés fouillaient son sexe sans retenue, brutalement, il s’enfonçait en elle pour palper ses profondeurs.

Elle gémit et voulu se soustraire.

« Allons allons, vous zètes douillettes les françaisses ! C’est comme les américaines d’ici, les femmes mexicaines sont plus dures. »

Tout en parlant il fouillait son sexe avec insistance. Anne s’aperçut qu’en plus de ses doigts qui la fouillaient, son pouce insistait sur son clitoris en un massage circulaire très au point.

Elle finit par gémir, vaincue et consentante.

Le médecin en sourit, content de son effet, il continua sa masturbation sur sa patiente tandis que son autre main cherchait la main d’Anne. Il finit par lui prendre le poignet et l’attira à lui, posant les doigts fins de la femme sur sa braguette.

Anne sentant monter en elle l’excitation ne se défendit pas, elle abandonna sa dextre au vieux médecin qui promena les doigts de sa patiente sur son pantalon.

Un moment il abandonna la main d’Anne et défit prestement les boutons de sa braguette. Puis reprenant la main il la glissa par l’ouverture.

Anne sentit le tissu du slip et instinctivement chercha l’ouverture par l’aine. Elle sentit une boule compacte sous ses doigts, elle avait du mal à discerner le sexe des testicules tant ils étaient serrés dans le slip. Elle sentit aussi à quel point il était poilu, sa toison allait de son ventre à ses cuisses. Sous sa caresse le sexe du médecin se déplia et elle eut bientôt en main une verge qui lui parut d’un fort diamètre mais assez courte.

Il continua un moment sa masturbation, Anne l’entendait murmurer mais sans qu’elle ne put comprendre quoi que soit. De temps en temps émergeait un « putta » qu’elle interprétait fort bien, mais le vieil homme faisait preuve d’une telle adresse dans sa caresse qu’elle s’abandonna tout à fait.

Elle perçut vaguement un sifflement et les doigts du toubib l’abandonnèrent, mais presque aussitôt elle sentit qu’une langue la léchait avec insistance. Elle eut conscience que ce n’était pas un léchage habituel, quelque chose de mécanique plutôt, comme une machine à donner des coups de langue. Elle n’y prêta pas trop attention tant le plaisir montait en elle, d’autant plus que les mains du médecin étaient à nouveau sur ses seins et la palpaient doucement, faisant ériger les pointes agacées par les frottements incessants des doigts experts qui les roulaient entre pouce et index.

Un semblant de conscience lui revient et elle tressaillit et voulut se relever d’un bon. Cette langue qui la fouillait c’était celle du chien ! Le grand chien jaune lui léchait la chatte sans ménagement. Mais les mains du praticien la plaquèrent contre la molesquine sale de la table d’examen. 

« Né bouzéz pas pétite madame, Wolf est très doux et très expert »

Wolf !! Ho non pensa-t-elle pas un chien quand même ! Elle se débattit vigoureusement.

« Wolf ! » appela le médecin. La bête grogna et se dressa sur ses pattes. Il avait posé ses pattes antérieures sur la molesquine au niveau des hanches d’Anne. Dressant la tête, terrorisée par ce monstre qui la dominait, elle aperçut son sexe rouge complètement développé et qui menaçait son entre jambe. Elle fut tentée de crier, mais la bête menaçante la terrorisait et elle resta muette.

Vaincue, elle se laissa retomber sur la molesquine et d’un bref sifflement le médecin repris la maîtrise de son animal.

« Vous voyez madame, Wolf est très… heu comment dites vous, oui, très dissuasif ! Vous avez vu comment il est excité, je crois que si je le laissais faire il vous prendrait pour sa femelle. »

Anne était tétanisée de peur, le docteur était –t-il assez fou pour ça ?

« Zé vous propose oune marché : vous allez mastourber mon Wolf et moi pendant ce temps zé fais avec vous ! »

« Quoi !! »

« Zé né crois pas qué vous avez lé choix pétite madame ! »

Il semblait sincèrement navré en plus !

« Vous allez vous mettre à quatre pattes comme les chiennes elles font, vous approchez votre fessier dou bord ici, moi jé mé mets derrière vous et lé chien va venir par dévant, vous pouvez lé prendre le sexe par-dessous. »

Il riait comme d’une bonne blague. Anne se mit comme il lui avait dit. 

Le chien jaune vint aussitôt poser ses pattes de devant sur la molesquine à la hauteur du nez de la française et lui tendit son ventre velu. Elle sentit que le toubib écartait ses fesses et presque au même instant elle perçut un sexe fort coulisser dans son vagin.

Le chien jappa et lui lécha le visage d’un coup de langue rapide, sollicitant sa caresse. Anne tendit la main vers le sexe cramoisi de la bête et se mit à le masturber lentement. L’animal poussa des jappements de satisfaction.

Derrière le toubib aussi grognait de satisfaction, son sexe gros et palpitant allait et venait, écartant à chaque saccade ses chairs délicates. Elle entendait maintenant distinctement les « putta » que lançait le vieil homme qui ahanait derrière elle. 

Le chien montrait de plus en plus d’impatience, il tendait son sexe à Anne de façon obscène, jappait des plaintes mêlées à des aboiements de satisfaction tandis que la main délicatement blanche secouait sa bite rouge veinée de bleu. 

Soudain il eut une plainte aigue et un tressaillement de tout son corps et Anne reçut son sperme clair et chaud sur sa figure. Sa joue en était maculée, elle en avait reçu dans son œil gauche et le foutre de l’animal se mit à couler le long de son visage, sur ses lèvres qu’elle voulut laisser hermétiques et jusque sur la molesquine.
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« Wolf est fougueux et rapide ! » dit le médecin en ahanant sur ses reins.

Le chien sembla se désintéresser momentanément du spectacle, il alla s’allonger dans son coin en léchant son sexe encore raide.

Le toubib ricana tout en continuant ses vas et vient, Anne commençait à se fatiguer de la position et gémissait tant de fatigue que par inconfort.

« Vous voulez changer dé posse ? »

« Ho oui ! »

« Mettez vous sur lou dos ! »

Anne changea de position et le toubib replongea son sexe en elle.

Maintenant elle le voyait et fut horrifiée du spectacle, entre ses cuisses largement ouvertes, un vieux monsieur bedonnant poussait son ventre contre le sien. Cela lui parut contre nature, encore pire que si le chien l’avait prise ! Le vieux bonhomme au sexe sale lui labourait le ventre, fendant son sexe de ses humeurs douteuses, déposant en elle on ne sait quelle vilenie, quels microbes, quelles maladies !

A ce moment elle eut horreur d’elle, horreur de ce type, horreur de tout. Comment avait elle pu se laisser prendre à ce piège affreux dans lequel elle ne se débattait même plus !

« Zé vais zouir ! » Annonça le monstre et Anne voulu se débattre.

« Non pétite madame, sinon z’appelle Wolf, vous allez aller au bout dé cette séance ! »

Anne était pétrifiée de peur d’horreur et de dégoût. Elle fixait son toubib violeur de ses yeux écarquillés de peur. Il ferma les yeux et se laissa aller à des vas et viens de plus en plus rapides, ses mâchoires se crispèrent et il émit encore crescendo deux ou trois « putta » et Anne sentit sa fente de remplir de liqueur chaude tandis que l’autre la secouait vigoureusement. Elle ne jouit même pas tant elle fut dégoûtée d’elle-même.

A ce moment elle fut comme soulagée et s’entendit penser « il vaut mieux ça que le chien ! »

Le docteur se calma lentement, son gros ventre poilu posé sur le ventre d’Anne. 

Il la regardait un brin hébété par la fente boudinée de ses yeux chiasseux. 

« C’était délicieux pétite madame, merci mille fois »

Il la laissa enfin, Anne aussi était bien secouée et mis un moment à réagir sur la molesquine de la table. La raison lui revint vite quand le toubib lui tendit sa petite culotte blanche qui était comme un espoir dans cet univers sombre.

Cependant, elle vit quand même le praticien s’essuyer le front dans son frêle vêtement avant de le lui passer sur le visage et essuyer le sperme laissé par la bête. Un vrai gentleman !

Prestement elle sauta de la table, le chien se leva soudain et vint lui lécher l’entrecuisse avant qu’elle ne puisse esquisser un geste de défense.

Le médecin ricana mais ne rappela pas la bête qui insista fort de sa truffe contre les cuisses d’Anne. Quand elle put se dégager, elle enfila prestement sa culotte et l’a mis à l’envers. Peu importe pensa-t-elle, le principal était d’être couverte.

Elle remit vite sa robe, le médecin griffonnait une ordonnance pendant ce temps. Quand elle fut rhabillée, il lui tendit l’ordonnance en précisant le prix de la consultation en la regardant droit dans les yeux. Le prix était fort élevé mais Anne ne protesta pas, elle paya.Le toubib la raccompagna et en sortant du cabinet, Anne vit une ombre se faufiler vers l’autre bout du couloir, la femme qui les avait accueilli se sauvait en ricanant. Elle avait assisté à tout ! Anne en fut mortifiée.

Elle récupéra son mari vaincu par la chaleur et l’attente, elle ne croisa pas son regard interrogateur, elle baissa le nez et demeura muette jusqu’à la pharmacie. Sa cheville lançait encore des pics de douleur. Dans la rue, elle sentit nettement un écoulement sur sa cuisse et pria pour que celui-ci ne descende pas plus bas que sa robe.

Ils revinrent par les rues bruyantes et brûlantes de la petite ville, Anne traînait la patte et ils finirent par prendre un taxi qui les ramena à l’hôtel.

Mais ils n’étaient au bout de leurs peines ce jour là, en ouvrant la chambre ils s’aperçurent qu’elle avait été visitée, leur vêtements étaient sans dessus dessous, on avait cherché de l’argent, mais heureusement, avec sagesse ils gardaient tout sur eux et les voleurs avaient emportés quelques bijoux fantaisie sans importance, mais aussi leur pharmacie !

« Merde, pensa Anne, ma boite de pilules ! 

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Samedi 12 juin 6 12 /06 /Juin 13:16

Bonjour à tous, fidèles lecteurs de notre site, tout d’abord je me présente je m’appelle Jean Phillipe, j’ai 28 ans et je vis depuis 5 ans avec ma copine qui est devenue mon épouse depuis peu. Avant de rencontrer ma femme j’étais un garçon plutôt coureur de jupon dira t on, je l’ai ensuite rencontré dans la formation que je suivais à l’époque et me suis calmé, si certaine fois l’envie de voir ailleurs était présente je me suis toujours retenu, jusqu’à un certain soir que je vais vous raconter. Donc voilà après 5 ans de relation, ma femme et moi avons décidé de nous marier, bien que je ne sois pas super emballé car je ne vois pas vraiment ce qui changera j’ai accepté. Après avoir fait notre annonce auprès de nos familles respectives je l’ai annoncé aux amis, j’ai un groupe de 5 amis que je connais depuis l’adolescence, qui eux comme toujours ont trouvé un nouveau prétexte pour faire la fête (un seul est en couple et les autres sont célibataires), nous décidons de boire un verre dans un bar. Au fil de la conversation les gars commencent à me parler de l’enterrement de vie de jeune garçon, et oui l’enterrement de vie de jeune garçon… Ils choisissent ainsi une date afin qu’ils l’organisent, encore une fois pas très emballé j’essaye de leur faire comprendre qu’aujourd’hui a 28 ans cela fait un peu ringard mais eux n’ont pas du tout le même avis, je finis par accepter leur offre. En rentrant j’en parle donc à ma femme qui accepte assez vite me faisant relativement confiance. Après 12 jours j’oublie carrément cet enterrement, jusqu’à ce qu’un vendredi après le boulot je vois mes 5 amis qui m’attendent devant ma voiture. - « Allez couille molle on y va, c’est l’heure » me lance mon meilleur ami. -« Mais l’heure de quoi ? » ai-je répondu. -« De ton enterrement !» me lance un autre de mes amis. Je me souviens effectivement que nous avions convenu cette date là. J’appelle donc ma femme pour le lui rappeler et que je ne rentrerais donc pas de suite, elle me répond qu’elle a déjà était avertie par mon meilleur ami. Je monte dans la voiture et nous partons prendre un premier verre dans un bar. Puis nous rendons dans un restaurant assez classe (oui mes amis ne sont pas du genre à me déguiser en lapin et faire des trucs tordus). Après avoir passé la commande je remarque une serveuse de l’autre côté de la salle, son visage me saute aux yeux. Je reconnais directement Cécile, une amie pour qui j’avais craqué lorsque j’avais 20 ans, le problème c’est qu’à l’époque elle en avait que 15. Si un soir nous nous étions assez rapprochés il ne s’était jamais réellement rien passée. Nous nous étions un peu caressés, j’avais surtout profité de ses superbes fesses qui pour son âge étaient déjà magnifiques. Nous avions ensuite plusieurs fois émis l’envie mutuelle de se voir sans jamais y parvenir car à l’époque elle était en internat. J’étais ensuite sortie avec sa sœur ainée quelque temps et l’avais revu et à chaque fois elle me faisait le même effet. Je crois que j’étais sorti avec sa sœur pour la voir elle, bien qu’elles aient une légère ressemblance, c’est Cécile qui attirait toujours l’attention. Une belle métisse, fine avec une bouche en cœur et des lèvres naturelles très pulpeuses qui lui faisaient un sourire dévastateur. Ses yeux vert-marrons ajouter à son charme quelque chose d’unique. Après avoir rompu avec sa sœur je l’avais perdu de vue. Dans le restaurant je ne sais pas si elle me voit, en tout cas elle ne me regarde pas. Le repas se passe plutôt bien mais mes yeux ne font que suivre Cécile, elle est devenue vraiment une créature de rêve. Ses courbes au niveau des hanches et de sa poitrine son fabuleuse et son cul moulé dans le pantalon qu’elle porte est toujours la 8ème merveille du monde, je commence même à bander sous la table. Je décide de me dégourdir les jambes en allant aux toilettes, en sortant après ma commission, je la vois attendre devant la porte et soudain elle me saute au cou. Elle a l’air ravi de me voir. -« Alors devant tes potes on n’ose pas me dire bonjour ? » me lance t elle. Ce n’est pas du tout ça, pensais-je les potes aurait été sur le cul que je connaisse une fille aussi jolie, pensais-je. Ne sachant pas trop quoi dire je lance un simple : -« Je ne t’avais pas vu». -« C’est la première fois que tu viens là ? » dit-elle. - « Oui » répondis-je timidement. « Je fais mon enterrement de vie de jeune garçon avec mes potes ». - « C’est cool ». Après avoir fait l’habituelle discours de courtoisie, nous parlons d’un peu tout et rien, des souvenirs puis nous abordons de ce qu’elle va faire après son service, mes yeux sont rivés sur sa poitrine et sa bouche, ses yeux si pétillant m’envoie une décharge électrique et m’hérisse les poils sur la peau en me donnant la chair de poule. Son cou, son visage tout est magnifique chez elle. -« Mais qu’est ce que tu fous, on t’attend ! » C’est mon meilleur pote, je l’avais carrément oublié. En voyant Cécile il s’arrête net bouche-bée. -« Tu connais mademoiselle ? » renchérit-il. -« Oui, c’est Cécile tu te rappelles ? » lui répondis-je. -« Ah ouais carrément » dit-il. En effet à l’époque nous trainions déjà ensemble et il la connaît de vue. Après un nouvel instant à papoter tous les 3 mon pote me renvoi à la table pour que je puisse manger mon repas qui était servi depuis plusieurs minutes maintenant. Sur les coups de 23h, au moment de partir je m’apprête à dire au revoir à Cécile me ne l’aperçoit pas, je finis par laisser tomber et suivre la troupe qui apparemment m’a préparé une surprise. Nous repartons dans un bar jusqu’à 1 heures du matin ou chaque de nous à eu le temps de payer sa tournée, l’alcool me monte à la tête, mais à ce moment je suis bien loin de m’imaginer que la soirée est encore longue. Nous changeons pour la 4ème fois de lieu, et nous atterrissons dans le bar à striptease du coin. Tu parles d’une idée originale pour un enterrement de vie de jeune garçon. Nous assistons à 3 shows, bien que les filles soient jolies, je n’ai pas de réelles intérêt pour celles- ci je pense à ma femme, puis me revient le souvenir de Cécile. D’un coup de DJ du bar annonce mon enterrement, me voilà désormais sur la scène avec une fille de chaque côté de mes cuisses à se frotter contre moi, l’alcool aidant je finis par entrer dans l’ambiance assez bouillante du moment. Peu de personnes autres que nous, sont là se soir et le bar se transforme vite en un dancefloor, mes potes sont eux aussi montés sur la scène et dansent avec les filles, je suis trop dans l’instant et n’aperçois pas mon meilleur pote partir, au bout d’un moment je remarque quand même qu’il manque à l’appel, lorsqu’il revient c’est accompagné de la ravissante Cécile. Un peu gêné je descends de l’estrade. -« Qu’est ce que tu fais là ? » questionnai-je -« Après que tu te sois assis pour manger, ton pote m’a parlé de la soirée et m’a invité, j’ai fini mon service et je suis venue.» -« Ok, c’est cool de te voir.» Nous partageons quelques danses, mes mains se rappellent au bon souvenir et je commence à lui caresser les fesses. Je me dis qu’elle se laisse un peu faire du fait de l’événement mais je remarque au fur à mesure qu’elle m’agrippe bien fort et ne me lâche pas. -« Viens on va partager un moment où il y a moins de musique ». Nous descendons de l’estrade et nous dirigeons vers les espaces privés ou les stripteaseuses ont habitude d’amener les clients. Je ne peux m’empêcher de la regarder, elle est si belle. Nous parlons encore des souvenirs d’autrefois. Puis sa main se pose sur ma cuisse elle s’approche de moi je crois qu’elle veut m’embrasser, un tas de chose traverse mon esprit, mais en fait je la vois se diriger vers mon oreille et elle me chuchote : -« Et maintenant ? » - « C’est toi que je veux comme cadeau d’enterrement ! » dis-je sur le ton du défi. -«Ah oui c’est un striptease privé qui te plairait ? » Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle est déjà sur la table en train de retirer son haut, j’aperçois un soutien gorge noir en dentelle et je commence déjà à bander, ses atouts maintenant mis en valeur me fige. Elle dégrafe désormais son beau pantalon noir qui lui moule si bien les fesses, en l’enlevant elle laisse apparaître un mini string noir assorti avec son soutien gorge qu’elle vient de retirer sans aucune hésitation, je sens mon sexe dans mon caleçon désormais à son maximum. Elle descend de la table et me fait une lap dance je malaxe ses seins, embrasse son cou, sens son parfum, pose mes mains sur ses fesses tandis qu’elle me donne ses seins en dessert, se frotte contre la bosse à travers mon pantalon, ses va et vient vont me faire exploser, son nez posé contre le mien je sens son souffle tout près de ma bouche celui qui vous excite tellement, se moment tant attendu du premier baiser… Ses lèvres touchent enfin les miennes, je sens sa langue dans ma bouche, je la penche légèrement en arrière et malaxe ses seins je sens sa main défaire le bouton du pantalon, puis sortir ma bite à l’agonie d’avoir été si longtemps dans le caleçon. Elle descend de mes genoux et commence à me masturbait, j’écarte légèrement les cuisses et elle en profite pour se mettre a genoux et commencer une fellation. Sa bouche encadre superbement bien mon gland j’aimerai que le moment dure, sa main bien agrippée à la tige continue ses va et vient, elle décalotte complètement le gland et passe un coup de langue qui m’assassine je suis à l’extase, elle met ensuite tout mon sexe dans sa bouche, je suis au fond de sa gorge, je maintien sa tête avec ma main, je sens que je vais jouir, mon gland est prêt a exploser, sentant que ca venait elle ralentit… puis s’arrête et se relève. Elle retire son string et me laisse admirer son pubis entièrement épilé, elle glisse son string qu’elle a gardé dans la main dans la poche de ma veste. La voilà nue devant moi et même parmi toute les stripteaseuses de la boîte je remarque qu’aucune n’avait son corps. Je m’allonge sur la banquette et elle vient se poser en 69 sur moi. Son minou et juste sous mes yeux, et jamais je n’avait vu une telle merveille, son clitoris un peu gonflé par l’excitation et ressort bien des lèvres. Cécile se remet à l’attaque en s’en prenant à mes couilles qu’elle met une après l’autre dans la bouche. Tout mes muscles se contractent au rythme de sa bouche, je lui rends la pareille en titillant son sexe avec ma langue, j’essaye d’enfoncer le plus profondément ma langue dans son vagin, j’aspire son clitoris, Cécile pendant ce temps s’est remis à me sucer la bite, elle continue ses va et vient incessant telle une machine, elle pompe mon gland, puis descend le long de ma queue avec la langue, j’accentue le rythme en donnant des coup de rein, lorsque je sens que je vais jouir je colle son sexe à ma langue, je sens le sperme traversé le canal de toute ma bite d’une extrémité à l’autre sa bouche reçoit alors ma semence, elle ne se retire pas et avale le long jet. L’alcool s’amenuisant je me sens KO, nous nous ré habillons de manière discrète avant de rejoindre les autres, il ne faut que quelques minutes avant que le DJ annonce la fermeture. Je quitte ma complice avec un sourire coquin qu’elle me rend avec un baiser de loin, j’observe encre une dernière fois les lèvres qui m’ont donné tant de plaisir.

 

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Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 9 juin 3 09 /06 /Juin 13:34

J'ai assistée à une scène vraiment étonnante. J'étais chez ma tante à Bordeaux en vacance. Un jour j'ai entendu du bruit qui provenait du salon. Je suis descendu pour voir. Et là, j'ai vu une scène qui m'a marqué. sophia (c'est son nom) était le cul en l'air et un homme que je ne connaissait pas était au dessus d'elle et la sodomisait. Il avait un sexe assez imposant et à chaque aller retour ma tante criait. L'homme l'a prie comme cela pendant de longues minutes. Son sexe allait de plus en plus vite. Ma tante qui retenait ses cris perdait un peu la tête et elle criait presque maintenant.

"Oui va y !!!" lancait elle

L'homme finit par ejaculer et s'affalla sur ma tante. Je vis son orifice béant d'ou s'échappait le sperme de l'inconnu.

Je n'avais jamais assisté à une scène pareille et depuis ce jour j'ai toujours voulu être sodomiser à mon tour. Si vous le souhaitez, je peux vous faire part de mon depucelage anal.... Un moment innoubliable dans ma vie de femme qui aime le sexe, et les hommes entreprenant...

 

 

 

 

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Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 19 mai 3 19 /05 /Mai 13:20

Cette histoire s’est passée quand j’avais 16 ans. Je vivais avec ma mère dans une grande maison du nord de la France. Ma mère occupait un poste de secrétaire en mairie. Pour arrondir les fins de mois, elle louait le second étage de la maison à deux étudiantes d’université pour l’année scolaire.
La première s’appelait Christelle, elle avait 23 ans, brune, une chevelure fine qui tombait sur la nuque avec de superbes yeux verts et une taille de mannequin (1m75 environ)
La seconde s’appelait Delphine, 22 ans, brune aussi avec des cheveux plus long qui tombait jusqu’aux épaules, et des yeux noisettes à croquer. Elle était un peu plus petite que Christelle.
La cohabitation se passé bien. Nous ne parlions pas beaucoup ensemble, si c’est pour dire uniquement « Bonjour » ou « Bonsoir » quand on se croisait dans l’escalier.
En avril, pendant les vacances de pâques, ma mère s’est absenté pour une semaine pour passer des vacances avec son nouvel compagnon qui habitait du coté de Rennes, me retrouvant ainsi seul à la maison.
Même si ce n’était pas la première fois, je me réjouissais de passer une semaine tout seul à la maison, pour sortir avec les copains sans couvre-feu.
Le jeudi soir, il était 19h30, je m’apprêter à sortir pour m’acheter un hamburger à la friterie à 5 minutes de la maison. Sur le seuil de la porte, je vis les deux jeunes étudiantes sortir de la voiture de Christelle.

_Bonjour Arnaud, tu es de sortir ce soir ! M’a dit Christelle

_Non, je vais juste acheter un hamburger à la friterie.

Chacun s’apprêter a continuait son chemin de son côté, quand Christelle m’a interpellé en disant :

_Delphine et moi allons manger au Pizza-Paï ce soir, tu veux venir te joindre à nous !

_Je voudrais bien, mais je n’ai pas assez d’argent sur moi.

_Ce n’est pas grave, ne t’occupe pas de ça, Delphine et moi nous te payons le repas.

_ C’est d’accord ! Ai-je dis en bégayant.

_On part dans une demi-heure, vient boire quelque-chose avec nous ! m’a dit Delphine.

Je suis monté avec eux dans leur studio. Elles m’ont fait entrer dans leur chambre, qu’elles avaient bien aménagée. Il y avait 2 lits séparés dans chaque coin de la pièce et un coin salon avec une petite table basse avec deux chauffeuses au milieu de la chambre.
Delphine et moi, on s’est assis sur les chauffeuses. Ensuite, Christelle est arrivée dans la chambre avec les apéritifs : une Margarita pour Delphine un Blue lagoon pour Christelle, et moi juste un coca. Christelle s’est ensuite assise sur le bord de son lit.
Nous avons discuté de tout et de rien. Elles ont demandé quel âge j’avais, si j’avais une copine, dans quelle classe j’étais etc.…
Durant la conversation, je regardais discrètement le décolleté et les cuisses de Christelle, ce qui m’a donné un début d’érection. De belles images gravées dans ma tête pour mes plaisirs solitaires.
Avant de partir, les deux filles se sont changées dans la salle de bain. Quand elles sont ressorties, elles étaient magnifiquement belles.
Christelle était habillée avec un chemisier noir avec un fort décolleté laissant deviner ses seins et une mini-jupe au raz du cul, et des bas noirs
Delphine était habillée de manière un peu moins provocante, mais tout de même avec un joli chemisier blanc et un jean qui lui moulé le cul à merveille.
Nous sommes partis ensuite au Pizza Paï dans la voiture à Christelle. Elle conduisait tandis que j’étais assis à côté d’elle et Delphine à l’arrière.
Pendant le trajet, je jetais des coups d’œil discrets tantôt sur ses seins tantôt sur ses cuisses.
Arrivé à pizza Paï, j’étais très fier d’être avec deux beautés comme eux.
Pendant tout le repas je regardais avec passions les deux créatures de rêve assis avec moi.
Je savais que j’avais une chance de les sauter. Je me disais pour ma première expérience sexuelle avec deux femmes mûres ça devait être géniale. J’étais excité par cette idée, mais j’avais aussi une angoisse de ne pas assurer.
Sur le chemin du retour, je me suis assis à l’arrière avec Delphine, qui posa sa tête sur mon épaule. Timidement je lui ai passé le bras autour de son cou pour la maintenir contre moi.
Arrivé devant la maison, Christelle me demanda si j’avais déjà eu des relations sexuelles avec des filles. J’ai répondu d’un air gêné que non. Les deux filles me proposèrent alors de faire mon éducation avec elles. J’ai accepté sans hésitation, avec une crainte dans ma voix au moment de dire « Oui j’aimerai bien ».
On est monté dans leur chambre. J’avais les jambes qui tremblaient tellement que j’angoissé à l’idée que l’allait prendre ma virginité avec Christelle et Delphine.
Dans la chambre, Christelle s’est jeté sur moi et m’a rouler une pelle phénoménale. Jamais aucunes filles ne m’avaient déjà embrassé comme ça. Nos langues s’entremêlèrent dans nos bouches. En même temps mes mains avaient glissé sur ses fesses et elle sur mes joues. On s’est arrêté quand elle a senti que je bandais comme un âne à travers mon jean. Avec un large sourire elle a regardé au niveau de mon sexe et a dit :

__Tu m’a l’air bien monté. Delphine et moi, nous avons de la chance, on va bien prendre notre pied.



Delphine m’a ensuite attiré vers elle et a dit :
« Première leçon : la fellation. »
Elle vint contre moi, et m’embrassa, puis je senti sa langue forcer l’entrée de ma bouche, je le laissai entrer, et je senti une douce caresse sur ma langue. Puis, elle s’est assise sur le lit. Elle me regarda :

 

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__ Bon maintenant, je vais enlever ton pantalon. Ne t’inquiète pas, je te guiderai.

Elle me déboutonna mon pantalon, et le fit descendre à mes pieds, puis elle descendit doucement mon boxer, et mon sexe tout tendu se présenta devant elle.
Elle le caressait doucement, cela me plaisait énormément.
Elle avalait doucement mon gland, c’était chaud dans sa bouche, j’ai posé mes mains dans ses cheveux, j’appuyais doucement pour faire rentrer mon sexe dans sa bouche… je la laissai faire, tous ses vas et viens avec sa bouche pulpeuse. Je sentais le plaisir monter en moi.

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Au bout d’un moment, elle s’est retiré pour aller au centre de la chambre, m’a dit de m’approcher et elle s’est remise à me faire une fellation, à genou. Dans le même temps, je lui caressais sa chevelure brune. Elle me regardait avec un regard de chienne comme dans les films porno que je regardais parfois à la télévision. Enfin, elle me proposa une dernière pose… elle s’est couchée sur le lit, et je suis revenu dans sa bouche, J’essayais de résister mais je ne tins pas longtemps. J’ai encore fait quelques vas et viens et j’ai éjaculé dans sa bouche par saccades. Mon excitation était telle que je suis sorti de sa bouche, et mon sperme coula un peu sur son cou et son chemiser. Je cru que c’était fini, mais non.


Cette fois-ci c’est Christelle qui m’attrapa et me dit
« Leçon numéro 2 : le cunnilingus. »
Elle a ouvert son chemisier et ôté son soutien-gorge noir, et elle m’a demandé de s’occuper de ses seins. Elle était assise sur la chauffeuse, et moi j’ai commencé à malaxer ses seins pour finir à les embrasser et à les lécher. Timidement J’ai enlevé sa jupe et son string noir, et j’ai vu pour la première fois de ma vie un sexe de femme. Sa chatte était rasée en « ticket de métro».
Je me levai immédiatement. Elle s’assit à son tour et écarta les jambes. Je m’agenouillai devant elle en détaillant des yeux son corps magnifique ; elle était la perfection même. Me voyant hésitant, elle m’invita à commencer :

__ Commence par découvrir mon corps, caresse-moi.

Je m’exécutai ; je posai mes mains dans son cou et du bout des doigts, je glissai jusqu’à ses seins. Je les contournai par l’extérieur pour glisser dessous et remonter sur ses tétons. Ils étaient petits et roses, tendus vers moi. Je jouai avec eux, les titillant avec mes pouces. Puis j’approchai ma bouche de l’un d’eux et je me mis à le sucer goulûment. Un léger frisson la traversa mais elle continuait à me regarder fixement. Après avoir joué avec l’un, je m’occupai de son autre sein. Naturellement, je promenais mon autre main dans son dos en descendant un peu plus à chaque nouveau passage. Puis je descendis ma bouche à son nombril en couvrant son ventre de baisers. Elle se laissait aller sous mes baisers, ferma les yeux et pencha la tête en arrière en se mordant la lèvre inférieure. Voyant cela, je m’enhardis alors et je descendis ma bouche vers son pubis. Elle a passé ses jambes autour de mon cou, et avec ses mains, elle a maintenu ma tête entre ses cuisses. Avec mes doigts, je caressais ses lèvres humides qui s’écartaient maintenant. Ma langue s’affairait sur ce que je pensais être son clitoris. Étant donné les soupirs qu’elle laissa échapper, j’eus la confirmation de toucher son bouton de plaisir. Elle posa ses mains sur ma tête et l’appuya sur son sexe. Je suçai alors ce bout de chair si sensible tout en reprenant ses seins à pleines mains. Au bout de quelques instants, elle descendit ma tête pour que ma langue se retrouve sur ses lèvres. Je me mis à les lécher goulûment de haut en bas, me délectant de la cyprine qui coulait de son organe. Petit à petit, j’entrais un peu plus ma langue dans sa fente. Puis je l’écartai carrément avec les doigts pour atteindre le plus profond que je pouvais. Ses soupirs étaient plus prononcés et elle commençait à pousser aussi des petits cris de jouissance. Je levai la tête une seconde et je la vis en train de se caresser les seins. Sa jouissance apaisée, elle a enlevé ses jambes de mon cou, et elle s’est levée pour fumer une cigarette.
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Delphine s’est déshabillée entièrement pour m’apprendre la leçon 3 : Le soixante-neuf.
Je m’allongeais alors sur le dos, lui laissant l’initiative. Elle ne se fit pas prier, posa un genou de chaque côté de mes épaules et, se baissant, son sexe humide vint s’écraser sur mon visage. L’odeur me donna une sorte d’ivresse, surtout lorsqu’elle entreprit de se balancer d’avant en arrière, ma langue entre ses lèvres, mon nez frottant son clitoris. Continuant ce manège, elle se pencha en avant et je sentis ses cheveux sur mes cuisses et sa langue agacer le bout de mon sexe qu’elle finit par prendre entre ses lèvres et à faire glisser tout doucement. Elle s’écrasa d’un coup sur mon visage, vaincue par un violent orgasme. Mes mains sur ses fesses, ont s’est fait du bien mutuellement, et au bout de quelques secondes j’ai de nouveau joui dans sa gorge. Nous restâmes ainsi de longues minutes, moi respirant son intimité, léchant tout doucement ses lèvres, elle, me gardant dans sa bouche, totalement ramolli, sans bouger. Nous respirions profondément. Nous étions bien. Tout simplement. Il fallut bien bouger car nous nous engourdissions.

On s’est reposé une heure pour reprendre des forces, en buvant un peu.
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Ensuite Christelle m’a pris les mains et m’a attiré sur son lit.
« Pour la 4ème et dernière leçon, tu va me baiser comme une chienne »
Elle s’est allongée sur le bord du lit, elle a écarté les jambes. Elle m’a demandé d’enfoncer un ou plusieurs doigts dans sa fente.
J'obéis et je rentrai mon majeur dans ce trou chaud et humide. Étant donné la douce sensation que j'éprouvais, je m'imaginais le plaisir d'y glisser mon sexe. Elle s'ouvrait au fur et à mesure et j'eus tôt fait d'y glisser trois doigts. Je lui prodiguai un mouvement de va-et-vient avec mes doigts tandis que ma bouche se remit à sucer son clito. Ses soupirs s'accélérèrent alors, ses cris se firent plus nombreux et plus fort ; elle approchait de l'orgasme. Soudain, son vagin se contracta, elle se raidit et poussa un long râle de plaisir. Je continuai mon action sur son sexe brûlant pour l'accompagner dans son orgasme. Au bout de quelques secondes, alors qu'elle reprenait son souffle, elle me félicita :

– Bravo ! Pour quelqu'un qui n'a jamais fait ça, tu t'en es très bien sorti ! Je dois avouer que tu m'as donné beaucoup de plaisir...

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– Merci. C'était aussi très agréable pour moi de voir que je vous faisais du bien.

J'étais toujours accroupi sur le bord du lit devant elle, mais je m'étais redressé un peu et elle pouvait voir ma queue qui avait repris de la vigueur.

– Je vois que tu es toujours d'attaque... Une telle vigueur ne doit pas être perdue.

En voyant ses yeux pétiller, j’ai compris ce qu'elle voulait dire. J'allais enfin faire l'amour à une femme. Le stress se mit à m'envahir. Elle s'en rendit compte et me rassura :

– Nous allons faire l'amour ensemble et je suis sûre que tu vas me donner beaucoup de plaisir...

Cette phrase résonne encore dans ma tête...
Je ne sus quoi répondre, la laissant prendre toutes les initiatives. Je vins me positionner devant elle et quand elle me tendit ses lèvres, je me mis à l'embrasser passionnément. J'étais collé contre elle et je sentais mon gland contre son sexe humide. Mais je ne voulais rien précipiter, je me contentais de la caresser. Elle en faisait de même, appuyant souvent sur mes fesses pour augmenter la pression de mon sexe sur sa chatte. Ce petit jeu dura quelques minutes et ma queue était dure comme du bois. C'est elle qui décida de la suite.

– Allez, il est temps que tu deviennes un homme maintenant.

Elle prit ma bite dans sa main et colla mon gland sur l'entrée de son vagin.

__Maintenant saute-moi !

J’ai me suis enfoncé d’un coup dans son ventre. Je n'eus aucune difficulté à rentrer en elle. Quelle agréable sensation que de sentir ma queue dans son vagin ! J'entamai un va-et-vient très lent pour découvrir à mon rythme ces sensations nouvelles et cela ne semblait pas lui déplaire. Puis je pris confiance en moi et j'accélérai peu à peu le rythme. Ce faisant, elle m'enserra de ses jambes. J'avais une vue imprenable sur ses seins et je ne me privais pas de les caresser et les embrasser. Avec ses jambes, elle imposait son rythme et moi je me laissais guider.
Je la tenais par la taille tandis que Christelle passa ses mains sur mes fesses, et ses jambes sur mes épaules. Les spasmes de son vagin se sont faits plus violents. C’était comme si elle aspirait mon sexe pour le garder au fond de son ventre. J’aurais voulu que ça dure plus longtemps, mais ça n’était plus possible. J’ai lâché de longues salves dans son vagin serré. Elle a pressé mes bourses, comme pour les vider entièrement. Elle a joui alors que jaillissaient mes dernières giclées.
Elle m'embrassa longuement.

– Tu as aimé ?

– C'était fabuleux. Je n'ai jamais rien senti d'aussi fort. Je ne trouve pas les mots pour le décrire.

– Tant mieux. La première fois, ça reste toujours inoubliable.

_Ça oui, je ne suis pas près d'oublier ça !



« Leçon numéro 5 : la sodomie »
Delphine s’est mise à quatre pattes sur la moquette. Christelle m’a dit :

__ Arnaud, Delphine veut que tu la sodomise !
À ces mots, mon visage s’illumina ; non seulement, je venais de coucher avec une femme mure, mais en plus, j’allais enculer sa copine.
Delphine fouilla dans son sac à main pour sorti un tube. Je devinai rapidement qu’il s’agissait de lubrifiant. Elle se mit à quatre pattes devant moi et me tendit le tube.

__Vas-y, n’hésite pas à lubrifier.
— Je dois t’avouer que c’est la première fois que je vais sodomiser une fille.
— Il faut bien un début à tout.
— En fait, j’ai peur de te faire mal.
— Tant que tu fais ce que je te demande, ça se passera très bien.

Tout en parlant, elle commença à se titiller l’anus avec un doigt. Je mis du gel sur mon index et l’étalai sur son orifice. Petit à petit, je rentrai un doigt dans son anus et cela ne fut pas pour lui déplaire. Elle n’éprouvait pas un plaisir intense, mais semblait satisfaite. Elle me demanda de glisser un deuxième doigt pour bien dilater son anus. Je pris ma bite en main, et la mit à l’entrée de son cul. Malgré le gel, ma queue ne voulut pas rentrer de suite. Je sentais mon gland appuyer sur son anus, mais je ne la pénétrais pas. Elle prit ma bite fermement, l’appliqua bien sur son orifice et réussit à se l’enfiler. Au moment de la pénétration, elle poussa un soupir où se mêlaient plaisir et douleur. Une fois mon sexe complètement entré, je m’arrêtai quelques secondes, afin que Delphine puisse s’habituer à cette nouvelle présence.

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— Ça va ? Tu n’as pas mal ?
— Ça va aller. C’est normal que j’aie un peu mal au début tant que ce n’est pas assez dilaté.
Je la pris par la taille serrant ses hanches. Puis je caressai ses seins à pleines mains. J’accélérais doucement le rythme, et je sentais ma bite rentrer plus profondément en elle, jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Bien que son anus se soit dilaté, je sentais ses muscles contractés autour de ma queue. J’appréciais beaucoup d’avoir ma queue si serrée et, à l’entendre, elle semblait aussi se régaler de ma bite. Elle se mit rapidement à gémir et de plus en plus fort. Elle appréciait vraiment ça, la petite coquine ! Moi aussi je prenais mon pied à fourrer son petit cul, mais elle, semblait vraiment être au septième ciel. Si bien qu’elle eut un orgasme très violent alors que je ne m’y attendais pas. Elle cria, tout son corps se mit à trembler et son anus se resserra autour de ma queue. J’éjaculai alors dans un grand râle de plaisir. Je sentis mon sperme se rependre dans son anus. Lorsque je retirai ma bite de son cul, du sperme coulait en dehors de son trou.
Christelle s’est approchée de moi, et m’a demandé.
— Tu as aimé ?
— C’était fabuleux. Je n’ai jamais rien senti d’aussi fort. Je ne trouve pas les mots pour le décrire.
— Tant mieux. La première fois, ça reste toujours inoubliable.
— Ça oui, je ne suis pas près d’oublier ça ! Je peux vous posez une question ?
— Oui, bien sûr.
— Est-ce que vous, vous avez aimé ?
— Tu t’es bien débrouillé pour une première fois…
— Enfin, je voudrais savoir si vous avez joui…
— Quand tu m’as fais ton cunni, oui, j’ai eu un orgasme.
— Oui, mais après, quand nous avons fait l’amour ?
— Non, quand tu m’as pénétrée, je n’ai pas atteint l’orgasme. Mais j’ai quand même pris du plaisir. Tu sais une fille, ce n’est pas comme un mec, ça ne jouit pas à coup sûr. Et il n’y a pas que la pénétration qui compte pour une femme, c’est l’ensemble de l’acte. C’est pour ça qu’il ne faut pas négliger les préliminaires. Mais je ne me fais pas de souci pour toi, tu vas vite apprendre.

Pour finir le spectacle les deux filles ont tenu à me montrer comment deux filles faisaient l’amour ensemble. Christelle s’est allongée par terre et Delphine est venue se placé au-dessus d’elle pour se retrouvé dans un 69 langoureux. J’hallucinais sur ce spectacle que m’offrais les deux filles. Leur langue respective en train de lécher la vulve de l’autre fille, m’ont fait plaisir à regarder. Au bout d’un moment, je me suis approché d’eux et j’ai embrassé en même les fesses de Delphine, et Christelle sur la bouche.

Nous avons fini la nuit en installant les deux matelas de leur lit par terre. Installé entre Christelle et Delphine, j’ai passé la plus belle nuit de ma vie jusque qu’à ce moment là.
Le lendemain matin au moment de se quitter je leur ai dit :

— Je ne sais comment vous remercier pour cette nuit.
— En ne parlant de cela à personne. Et en n’essayant pas de vouloir recommencer avec nous. Nous avons passé un moment très fort, mais il n’y aura pas de lendemain. On ne veut pas que nos copains soit au courant de cette histoire.
D’accord, je vous le promets.
Je me rhabillai rapidement et je quittai leur chambre. Je les regardai nue une dernière fois avec leur déhanché habituel, si sensuel.
Plus d’une fois, je me suis masturbé en pensant à elles. Je ne suis pas près d’oublier ces femmes.

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Lundi 17 mai 1 17 /05 /Mai 13:27

Il y a des souvenirs qui ne s'effacent jamais.......

Je venais juste de passer mes 18ans, et tous les jours, en ce mois de juillet je prenais le train pour Carcassonne, afin d'y prendre mes leçons de code. Une séance le matin, et une autre l'après-midi, et durant la pause, je flânais en ville dans les rues ombragées ou les parcs rafraichissants.

Son premier sourire, c'est en levant les yeux de mon livre que je l'ai vu, un sourire plein de tendresse, juste un petit déplacement de ses lèvres, et des yeux qui pétillent, d'ailleurs, je me suis retourné comme s'il ne m'était pas destiné, cherchant un homme qui aurait été derrière moi. Je repris ma lecture, troublé, mais c'est comme si je sentais son regard sur moi, à moins que je ne l'espère plus que de le sentir. Mes yeux quittent alors les mots sur la page, lentement je tourne la
tête vers elle, et à nouveau, un sourire qui fait battre à mon coeur la chamade. Elle lit aussi, ou plutôt, elle a un livre posé sur ses genoux. Commence alors entre nous ce petit jeu de regards, mais le sien est beaucoup plus "franc" que le mien, elle me fixe, m'invitant certainement à me lever pour aller lui parler, mais je suis paralysé; mes 18ans me pèsent, ses 45ans (entre 40 et 50) lui confèrent une assurance que je n'ai pas encore avec les femmes. J'ai bien sur une copine, de mon age
avec qui les après-midi champêtres sont très coquins, mais là, je me demande quoi faire, comment le faire, je doute.........

Elle se lève, range son livre, ajuste son sac, et d'un pas décidé et léger se dirige vers moi -mon dieu!-, passe prés sans s'arrêter prés de moi, et continue son chemin........ c'est comme si son passage s'était fait au ralenti, comme dans un film, quelques pas encore, et sans ralentir sa marche, elle jette un regard sur ma personne.......

Cette fois, je fonce, je me lève et lui emboite le pas, oui, je fonce, mais pas bien loin, je ne fais que la suivre sans savoir ou le destin va nous mener. Apres le jeu des regards, c'est celui du chasseur qui suit sa proie, même si je me demande à cet instant qui est réellement la proie.

Un croisement, elle marque un temps d'arret........ et moi j'arrive presque à sa hauteur..... elle se retourne vers moi, et c'est elle qui m'aborde en me demandant une chose presque incompréhensible, je comprends quelques brides de mots, en anglais. A ce moment, on regrette de ne pas avoir été plus attentif durant les cours d'anglais, mais à force de geste, de mots simples, nous arrivons à nous comprendre, il ne me reste qu'à la conduire à un bureau de poste pour qu'elle poste son courrier.

Je passe sur l'épisode de la poste, ou durant de longues minutes je me suis demandé si les sourires n'étaient au final destinés qu'à lui rendre service, mais en sortant elle m'invite à partager un verre à la terrasse d'un café.
-une verre de vin blanc et un coca
je garde en souvenir, et la commande, et le regard du serveur sur nous, comme si lui, avait déjà compris!

Il faut avouer que c'était une belle femme; dans sa robe légère d'été on devinait des formes génereuses, une poitrine opulente qui bougeait au moindre mouvement....... mais ce qui me troublait le plus, c'était sa peau blanche, qui tranchait avec les filles du sud.

Le temps passait, trop vite, et l'heure de mon rendez-vous à l'auto école approchait, je tentais de lui expliquer, et au moment de partir, je me suis demandé si elle avait tout compris. Je la quittais à la terrasse, et c'est elle qui me déposa une petite bise sur la joue. Un dernier regard, de longues minutes à regretter de ne pas être resté, et j'étais déjà assis devant les images du code de la route, ce jour là, je fis une multitude d'erreurs, j'étais ailleurs, j'étais perdu dans mes pensées, dans mes doutes et mes convictions.

A 17h, j'étais assis sur un banc, sur le quai presque isolé de la gare. Le train arriva quelques minutes aprés. Je me lève et lorsque je me retourne, je la vois, là, à une dizaine de mètres de moi.
c'est incroyable, inimaginable, nous marchons l'un vers l'autre, trés vite, et c'est elle qui la première prend mon visage dans ses mains avant de m'embrasser furieusement.... un baiser d'une rare intensité qui efface l'erreur de l'avoir laissé seule cet après midi. Le monde n'existe plus, c'est comme si nous étions seuls, entre deux baisers j'entends, comme irréel "i want to make love with you"

Je la prends par la main, et l'entraine dans le train, dans le premier compartiment situé juste derrière la locomotive, j'ouvre la porte, ferme les rideaux alors que le train s'emballe déjà. Nos bouches se retrouvent, elle mord mes lèvres, me serre si fort contre elle, jamais je n'ai connu cela..... sa main descend sur moi, tâte mon sexe par dessus mon pantalon....... elle en gémit lorsqu'elle découvre combien je suis dur pour elle..... alors, calmement, elle descend ma fermeture éclair, ouvre le bouton, et libère enfin mon sexe...... Je suis à elle, ne sachant que faire, que
dire, pourtant elle me parle mais je ne comprends rien, alors, par geste elle me guide, que dis-je, elle guide ma main entre ses cuisses. Reprenant alors un rôle un peu plus actif, je remonte sa robe, et découvre son sexe, nu, déjà mouillé, si mouillé........ elle s'assied sur le rebord du siège et écarte impudique les cuisses..... Mes mains la touchent, mes doigts la pénètrent, la fouille tant
c'est intense, ma bouche l'aspire, la dévore sans retenue, elle gémit, se trémousse, râle, et plaque fort ma tète entre ses cuisses....

La porte du compartiment s'ouvre, je me relève d'un bond pour apercevoir le contrôleur, mais celui ci à déja refermé la porte.......

Elle avance ses mains sur mon sexe, et commence à lentement le masturber, je lui fais comprendre que j'aimerai que sa bouche me donne du plaisir, mais elle s'y refuse, par contre, ses mains expertes me
donnent un plaisir fou, j'ai sorti un de ses seins de sa robe, et je crois que c'est sa vue qui m'a fait me tendre d'un coup et me liberer de ma semence......... je me souviens d'une chose, c'est "ohhhh my god!"

Durant les minutes qui suivirent, alors que le train filait à vive allure sur Toulouse, je suis devenu homme, en m'occupant de son plaisir, de ma bouche et de mes doigts, mais quel bonheur de la voir se tortiller sous mes caresses, de voir son bonheur au travers de sa jouissance............

Nous nous sommes quittés sur le quai à Toulouse, elle me donna 100 francs pour que je puisse reprendre le train en sens inverse vu que je n'étais pas descendu à mon arrêt, elle me demanda mon nom et mon adresse......

Je suis arrivé un peu en retard chez mes parents, et deux ou trois mois après, je reçu une carte de New york, une autre d'Helsinki..... puis plus rien....... aujourd'hui encore, elle est présente en moi, comme un rêve, pourtant, ce fut une réalité........

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Lundi 10 mai 1 10 /05 /Mai 13:05

Bonjour,
Je ne sais par où commencer tellement cela me gêne encore . J'ai 40 ans ,
mariée depuis 19 ans à un homme que j'aime de tout mon coeur ... Pourtant,
en vieillissant mes envies, mes besoins sont devenus plus forts, plus
présent... A l'inverses mon mari se montre plus calme, plus rangé, au point
qu'il m'arrive depuis pas mal de temps de fantasmer sur tel ou tel truc
bien hard, me mettant en scène pour une partie de jambes en l'air
complètement folle .
Cela faisait quelques temps que "X",un homme de dix ans mon aîné me
taquinait en me parlant de ses exploits, ses conquêtes et autres ... Je me
disais depuis tous ce temps qu'il n'était qu'un vicieux cherchant à se
soulager au prêt de femmes mariées ou non , juste pour afficher leurs noms
à son tableau de chasse! Je ne l'appréciais franchement pas mais j'étais
contrainte de le supporter vue qu'il faisait partie de mes contacts
professionnels.
A plusieurs reprises il venait régulièrement pour le travail
dans mon bureau et une fois le coté pro. en place il me posait un tas de
questions plutôt du genre personnelles. Quelques temps avant les faits , il
avait forcement remarqué mon mal être , mon désarroi que je dissimulais
bien mal j'en conviens . Le fait était que l'abstinence de mon mari me
troublait énormément... Je me posais un tas de questions et surtout j'avais
des envies grandissantes m'excitant au moindre petit fait me rappelant mon
manque . C'est un jeudi matin qu' "X" est passé me voir me trouvant
terriblement séduisante comme à son habitude. J'ai rigolé plus que
d'ordinaire sous les questions osées qui pleuvaient ... J'ai du le mettre
en confiance sans même me rendre compte. Que m'a t'il pris d'accepter son
invitation à prendre un verre le lendemain soir ? J'étais en manque ,
certes, mais de là à accepter l'invitation de se type qui ne me plaisait en
rien si ce n'est son humour et sa curiosité... Mon mari travaillait jusque
tard le soir le vendredi et je lui inventais une sombre histoire de dossier
en retard pour justifier mon écart d'horaire du lendemain. La situation
m'excitait à vrai dire et dans un soucis de ne pas faire de bêtises le soir
même je tentais une énième approche de mon chéri au lit. J'essuyais un
revers de plus prétextant la fatigue . Le lendemain, pour être franche ,
j'étais très excitée à l'idée de me faire draguer par cet homme qui même
s'il ne me plaisait pas , avait des propos plutôt osés , un regard très
perçant et toujours indiscret. Bref, pour le plaisir, pour le jeu de
séduction j'avais enfilé une petite robe noire en portefeuille sous
laquelle je m'étais orné les cuisses de superbes bas noirs ... Sans
franchement penser aller plus loin avec cet homme je vous assure mais pour
le plaisir d'être désirée, complimentée , regardée comme la femme parfaite que
je ne suis pas loin s'en faut.

Bref , le soir venu j'étais dans mes petits souliers le rejoignant dans le
parking souterrain de la boite. Nous avons laissé ma voiture sur place pour
ne pas risqué d'être vus. Un verre puis deux dans un café pas très loin .
Un moment très agréable au fond, emplis de compliments, de regards et de
confessions ... J'ai été jusqu'à lui avouer les difficultés de mon couple ,
le manque de piment ...etc . Il me rétorquait simplement que je devais
profiter de ma jeunesse, de ma beauté qui n'est que de passage ...
une heure trente a discuter , a subir ses regards de braise sur mon corps à
la moindre occasion . Oups , je cachais mon excitation rougissant plus
d'une fois devant ses avances . Vers vingt heure "X" m'a raccompagnée à ma
voiture dans le parking très gentiment . Il faisait bien sombre déjà , nous
nous sommes fait la bise dans sa voiture , je l'ai remercié pour ce moment
sympa passé en sa compagnie avant de filer à mon véhicule. Là je ne l'ai
pas vu arriver ... "X" m'a rejoins montant coté passager . J'ai ris en lui
demandant ce qu'il faisait.... Il m'a répondu qu'il ne pouvait me laisser
partir ainsi tout en me saisissant la nuque, m'attirant à lui . Je n'ai pas
pu, pas su le repousser , nos langues se sont nouées dans un long baiser
fougueux ! Une main s'est enfuie dans l'ouverture de ma robe me fouillant
l'entre cuisses. Je n'ai eu aucune réaction de refus , j'ai même plus ou
moins écarté les cuisses lui cédant le passage en ronronnant de plaisir. Je
lui ai dis que nous étions fous mais tout en pressant la main sur son sexe
qui déformait déjà son pantalon. En quelques secondes je me tortillais de
plaisir sous l'action de ses doigts entre mes cuisses qui déjà me
fouillaient ! Je l'entends encore me dire ;
" ce n'est que sexuel ma chérie! tu en veux je le sais ....donne toi ! laisse toi aller !"
J'ai perdu la tête ondulant des hanches malgré le peu d'espace. Je me suis
retrouvée sa queue en main , le masturbant comme une folle . L'instant était
plutôt bestial, mais tellement bon et chaud . Je me suis retrouvée les
hanches entre les deux sièges guidée par ses mains puissantes . La robe sur
les hanches , le string écarté , il frottait son gland sur ma vulve trempée
et gonflée de désir . Je me déhanchais de plus belle me surprenant même a
lui demander de me prendre fort. Je fus servie ; "X" m'a pénétré d'un coup
sec se ruant en moi comme jamais . Ses doigts enfoncés dans mes hanches il
m'emplissait de bonheur, je rugissais sous ses coups de reins , de grands
claquements sur mes fesses me faisaient bondir en avant .

 Je hurlais de plaisir grognant des "encore" confus et étouffé ...

13-copie-1.jpg

De longs spasmes m'ont
transpercés . Une jouissance comme je ne l'attendait plus . Il s'est
ensuite retiré comprenant que j'avais eu un orgasme monstrueux et m'a
éjaculé sur les fesses me souillant d'une énorme coulée de sperme bouillant
.... J'étais plus que confuse cherchant a m'essuyer les fesses au papier
éponge sans souiller la voiture . "X" m'a gentimment aidé avant de me
rassurer en me disant que cela resterait entre nous mais qu'il avait adoré
ce moment de folie ...
Je suis rentrée chez moi juste avant mon époux , juste le temps de me
changer et cacher les preuves de mon méfait... Honteuse , j'ai eu peine à
soutenir le regard de mon mari qui evidemment ne savait rien ....
Cela ne s'est pas arrêté là mais je garde la suite pour un prochain récit
suivant les comentaires que je recevrais de celui ci ! Honteuse je le suis
encore ... Pourtant j'espere que d'écrire ici m'aidera .
Ps : j'ai gardé le meme pseudo mais changé d'adresse la premiere n'etant
plus valide ...

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 13:24

Je ne suis pas une fille qu'on drague dans la rue. La nature ne m'a pas vraiment gâtée coté physique. Des fesses un peu grosses, des seins trop petits, un visage banal. Bref à 23 ans, j'avais eu que des aventures sans lendemain, et ma sexualité se résumait bien souvent à des séances de masturbation, le soir, seule dans mon lit.

J'étais d'ailleurs experte en la matière, à force de pratique. Je m'inventais des histoires où j'étais attachée, forcée. J'en voulais à mon corps d'être ingrat, et je ne me privais pas de lui faire sentir. Souvent je passais une corde autour de moi au niveau de la poitrine ou du bas ventre, ou alors, je me donnais quelques coups de martinet. Bref, même si je n'osais me l'avouer, et si je n'allais jamais bien loin dans mes sévices, j'étais un peu maso !

L'été dernier, je devais passer une semaine de congés chez ma mère, divorcée depuis 3 ans, qui habitait un village paumé 100 km au sud de chez moi. Je n'étais pas emballée, mais faute de mieux ça me changerait de la cité ou j'étais.
Au téléphone, quelques jours avant, elle me dit qu'elle avait une petite surprise, mais qu'elle ne me dirait rien avant mon arrivée. Et pour cause, sinon j'y serais pas allée !

La surprise, je n'eu aucun mal à la découvrir en arrivant. Ma mère, qui avait 20 ans de plus que moi, s'était trouvé un Jules, alors que moi, j'en étais bien infoutue. En plus il était plutôt bien. J'étais verte de jalousie et faillie repartir aussitôt. Mais faute de trouver un bon alibi, et devant l'enthousiasme de ma mère pour son nouveau Jules (en fait il s'appelait Luc), je fis semblant de partager son plaisir (même lorsqu'elle me dit : Et toi, toujours pas de petit ami ?).

Bref il était temps que la journée et la semaine se terminent !

Le lendemain matin, elle m'annonça qu'elle allait faire des courses (Luc l'emmenait bien sûr) et me demanda si je me joignais à eux.
-"Euh non, je préfère prendre le soleil sur la terrasse".
- "Comme tu voudras ma chérie, j'en aurais pour 2h00, pas plus". Ce qui dans la bouche de ma mère signifiait au moins 3h00 !

J'attendais leur départ en préparant mes affaires sur la terrasse : chaise longue, jus de fruit, et bouquin que je ne lirais pas ! Car j'avais ma petite idée en tête. La terrasse étant à l'abri de tout, je comptais, non seulement m'y mettre dans la tenue d'Eve, mais aussi m'occuper de mon sexe ! Jamais je n'aurais osé faire du nudisme "en public" mais là je réalisais un petit fantasme. Dès qu'ils furent partis, je récupérais dans mon sac de voyage, ma corde, mon martinet et le plantoir en plastique d'un jeu pour enfant qui me servait de gode !

Cela me fit une drôle de sensation de me déshabiller totalement à l'extérieur. Mais une fois allongée nue dans la chaise longue, je me suis sentie excitée et j'ai commencé à me caresser le corps. Je commence toujours par le haut du corps, laissant mon fantasme prendre le pas sur ma raison. Après je noue la corde, ce jour là autour de ma poitrine, la faisant passer sur mes tétons, en serrant suffisamment pour les sentir prisonniers, écrasés : J'adore !

Ensuite j'écarte un peu les cuisses, permettant à ma main de s'insinuer entre les plis de ma chatte. Rapidement je trouve le clito et me caresse lentement en fantasmant. Il faut dire qu'en général, j'aime faire durer longuement mes séances de plaisir solitaire et j'avais bien l'intention d'en faire de même ce jour là. Cependant mon excitation était plus forte que d'habitude et après un quart d'heure de caresses clitoridiennes, j'avais déjà envie d'autres choses. Je pris donc le martinet et commençais à me corriger : d'abord les seins, puis le ventre, les cuisses et l'intérieur des cuisses; Des fois je me lève pour m'en donner sur les fesses et quand je suis très excitée comme c'était le cas ce jour là je n'hésite pas à m'en donner quelques coup dans la raie ou sur la chatte.

Il faut maintenant que je vous dise que je n'avais pas tout compris aux 'courses de ma mère'. Son Jules (Luc), se contentait juste de l'emmener et de retourner la chercher 2 ou 3 heures plus tard ! Il est donc revenu à la maison, quand j'en étais à ma séance de martinet. En fait je n'ai jamais su exactement à quel moment il était rentré et quand il m'avait vu m'adonner à mes jeux, car je ne l'ai pas entendu revenir.

J'ai donc poursuivi mes jeux de martinet un bon moment puis l'envie de gode s'est fait plus précise et j'ai introduit l'ustensile dans mon con, sans effort tellement j'étais mouillée.

C'est le moment que Luc choisi pour manifester sa présence. Sa voix me fit sursauter, presque tomber de la chaise longue :
- "Je pense que tu vas préférer mon joujou, Hélène" (Ah oui, Hélène, c'est moi !)
Il était juste derrière moi, la bite dressée à l'air, fier de lui. Moi j'étais nue de chez nue, une corde qui m'écrase les seins déjà ridicules en temps normal, et le manche du plantoir qui dépasse entre mes jambes. A ce moment j'aurais voulue disparaître à jamais, ne plus exister; Je suis incapable de me souvenir dans le détail de ce qu'il m'a dit. Ses paroles étaient humiliantes mais me paraissait si vrai que je le laissais dire sans rien avoir à répondre. Il me traitait de grosse cochonne, d'obsédée, me disait qu'il m'avait vu me donner du martinet. "Si ta mère te voyait, ma pauvre Hélène" cette phrase je ne l'ai pas oubliée. Tout en parlant il se rapprochait de moi, tandis que j'étais paralysée par la honte. Il m'a pris la main, je regardais ailleurs mais ne faisait rien pour le repousser. Il posa ma main sur son sexe, tout en continuant à m'humilier et de dire des paroles obscènes. Puis il m'a pelotée. Je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Je savais qu'il allait me prendre, et je n'ai rien fait. Je ne savais pas si j'en avais envie ou non, si c'était l'unique moyen de me sortir de cette situation, si c'était pour me venger de ma mère (moi aussi je me ferais baiser aujourd'hui). Il m'a basculée sur la table, m'a enlevé le plantoir d'entre mes cuisses et y a placé sa queue.

Ses paroles humiliantes m'excitaient à présent. Mon corps tout entier tremblait. Cela faisait près d'un an qu'un mec ne m'avait pas prise et tout le reste devenait sans importance; J'ai jouit bruyamment ce qui a entraîné sa jouissance. Il m'a laissé comme il était venu. J'ai ramassé mes affaires et suis remontée m'enfermer dans ma chambre. Mon corps n'était pas calmé, et je dus me masser mon clito pendant plusieurs minutes pour atteindre l'orgasme libérateur.

Libérateur et cruel : la réalité me sauta au visage. Je m'étais laissée baiser par le mec de ma mère, je me suis donnée en spectacle devant lui, j'ai dévoilé à cet inconnu, mes fantasmes les plus secrets. J'ai chialé en silence pendant une heure avant de finir par aller sous la douche (ma mère allait finir par rentrer !)

Au repas de midi, je craignais le pire mais ma mère ne remarqua pas mes yeux rougis et Luc se comporta de manière naturelle comme s'il ne s'était rien passer ! L'après-midi et la soirée furent également sans problème, et j'eus presque l'impression d'avoir rêver. Mais le soir dans mon lit je repensai à tout ça et de nouveau j'étais honteuse et excitée à la fois. Je m'endormis la main entre les cuisses.

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Lundi 12 avril 1 12 /04 /Avr 13:34

Nouveauté sur votre blog....

Je vous raconte une histoire, enfin le débutr d'une histoire...

La suite c'est vous qui la racontez.

Les meilleures seront publiés.

N'oubliez pas non plus de trouver une illustation à votre histoire...

Et envoyez le tout à histerotique@yahoo.fr

 

ALLEZ voici le début de mon histoire....

 

 

- Oouuuaaaah !... Matéo... Mathias... Vous êtes venus. C'est super !...
- Bon anniversaire, Etienne !...
 
Ils ont dit çà tous les deux en choeur, avec du sourire plein la voix. Pourtant, ces deux-là ne sont pas faciles à dérider, d'habitude !...  
Cela fait chaud au coeur d'avoir de nouveaux copains... Tellement bien !...
 
- Tiens !... Ton cadeau !...
 
Etienne se retourne pour voir... Derrière lui,  il y a une fille. Elle est super jolie. Elle ne tient aucun paquet entre les mains. Elle semble attendre...  
Etienne ne comprend pas. Il lance un regard interrogatif vers Matéo...
 
- Etienne, je te présente Phaenna... Belle, hein ?... C'est ton cadeau... Bon anniversaire !...

 

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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