Histoires de sexe

Mercredi 7 avril 3 07 /04 /Avr 18:14

Il y a quelques temps que je discutais avec une jeune femme, sur un site de tchat.
Les débuts avaient été timides, puis décontractés, conviviales.
Assez rapidement un jeu à commencé à voir le jour, celui de se troubler, et le dialogue est devenu plus libertin.
Se voir, oui, nous l'avons évoqués, timidement et avec réserve au début parce que nous étions mariés tous les deux. Elle de son côté, moi du miens. De plus j'étais dans le nord et elle en Provence.
Enfin les conversation se faisant plus précises, plus sensuelles, pour devenir torrides, elle à fini de me proposer d'échanger nos cam.
Je n'en avais pas, mais le soir même je me suis hâté d'aller en chercher une.
Le lendemain nous étions en direct, à nous découvrir enfin visuellement, en cam.
Les jeux se sont poursuivis, de plus en plus torrides. Elle, faisant de moi, selon un jeu qu'elle m'avais proposée, son homme soumis.
Peut-être vous raconterai-je une autre fois le style de jeux et d'ordres qu'elle me donnait.
Mais très vite nous décidons de nous rencontrer, j'ai l'occasion de descendre en Provence pour le travail (une dédicace dans une librairie).

Son adresse en main et les choses étant organisées, me voilà arriver un après midi à la gare d'Avignon.
Pas de cars pour aller chez elle, ils sont en grève. Pas grave j'y vais à pied, c'est à 30mn.

Je suis en sueur après ce long voyage pour rendre visite à son amie.
Le soleil est si fort, si chaud dans cette région de Provence.
J'ai un peu honte, pour ma première visite, j'arrive en sueur.
Je ne me montre pas sous mon meilleurs jours.
Combien fait-il dehors ? 25, 29° ?

Elle sourit en me voyant déboucher le tee-shirt trempé.
En même temps nous sommes un peu intimidés. En cam et en réel ce n'est pas tout a fait le même, bien que...
Elle me propose d’utiliser la salle de bain à l’étage pour une bonne douche : la troisième porte à gauche sur le palier, précise-t-elle.
J'étouffe un petit rire et pour détendre l'atmosphère je marmonne que je ne refuserais pas si elle proposait de l’aider à me doucher !
C’est une belle salle de bain ! Une grande baignoire ronde, un jacuzzi, dans l'angle.
Ce doit être agréable, ces bulles qui vous chatouillent… mais non, je n’aurais pas le temps d’y flemmarder.

J'accroche le sac contenant mes vêtements de rechange, me déshabille et pénètre dans la cabine de douche aux vastes proportions et aux portes transparentes.

Un soupir soulève mes épaules, il ne faut pas rêver, mes faibles moyens ne me permettent pas de m’offrir ce luxe. Raison de plus pour en profiter chez son amie.
J'ouvre l’eau. Brrrr ! Je reçois une violente giclée d’eau froide. Je détourne le pommeau le temps que le thermostat règle la température.
Ouf ! Cela va mieux. La douchette est en position massage. Je vais la modifier quand un souvenir surgit du fond de ma mémoire interrompt mon geste.
Tiens ! Pourquoi pas ? Je promène le jet sur mon corps. La pression de l’eau gratte agréablement l’épiderme. Quelques centimètres plus bas, elle soulève les poils à la base du sexe.
Je me revoit adolescent dans une cabine semblable, non, plus petite…
La première fois où j'ai pris conscience du plaisir sexuel… Comme aujourd’hui, je promenait le jet sur mon corps…

- Alors, on s’amuse tout seul ?

Je détourne le jet, vexé de m’être laissé surprendre.
Elle est entrée dans la salle de bain sans que je m’en aperçoive et a eu le temps de voir par les portes transparentes de la cabine l’occupation de homme que je suis. Occupation encore sage à ce moment là.
Pourquoi ai-je oublié de fermer à clé ? Encore une maladresse en perspective !

Elle se déshabille sans hâte accrochant avec soin ses vêtements au portemanteau.
Je la contemple immobile.
Le jet d’eau, toujours en position de massage, débite en pure perte contre la paroi de la douche.
Mais je ne bouge pas, cloué sur place. Une force plus puissante que ma volonté m’empêche de répondre, de réagir, et c’est sans surprise que je vois la jeune femme entrer dans la cabine et refermer la porte coulissante :

- Tu permets que je me douche avec toi ? Il y a de la place pour deux.


Ce n’est pas une question. Elle attrape la douchette, change le jet en pluie et la fixe sur son support. Elle tourne sous l’averse présentant toutes les parties de son corps. Je n'ai pas fait un mouvement.

- Frotte mon dos s’il te plaît.

Je sors de ma léthargie. M’enduit les mains de gel douche et les passe sur les omoplates de la jeune femme.

- Plus bas, s’il te plaît.

Je descend sur les reins mais n’ose aller plus loin que la naissance des fesses.

- Qu’est-ce que tu as ? T’as peur ? De quoi ? Allez ! Tourne-toi que je te montre.

Elle m'arrache le gel douche. Ses mains balaient le dos, les aisselles, les reins, le postérieur et le haut des cuisses.

Elles reviennent sur les fesses. Celles-ci, dodues, rondes, tendres.
Elle prend plaisir à les recouvrir de mousse, insistant sur la raie.
Je tremble sur mes jambes et m’agrippe au porte-savon pour ne pas tomber.
Ses doigts fins passant entre les jambes, enveloppent, se font doux, tendres.

Je sais que je ne devrais pas laisser la jeune femme agir à sa guise mais suis incapable de l’en empêcher… Comme dans un rêve sous cette caresse délicieuse.
Mes bras plient, je me penche en avant, le front appuyé sur le carrelage de la cabine.
Toute honte bue, je me cambre, fesses proéminentes et jambes écartées, véritable invitation à la caresse.

Elle se pend à mon cou et sent ma verge gonfler, se développer.
Elle se colle, appuie dessus, recherchant inconsciemment un contact étroit.
Mes mains chatouillent les tétons de sa poitrine.
Elles glissent ses mains sur mon ventre, farfouillent dans les poils à la recherche du sexe qu'elle n'a aucun mal à trouver, surgissant de la mousse, fier et arrogant.

La gêne de laisser une femme diriger les opérations m’empêche de réagir, mais le plaisir que j'éprouve est bien visible. J’aime la caresse que la jeune femme me prodigue !

Celle-ci, changeant de tactique, le badigeonne de gel.

Je me retourne interrogateur, veux m'activer aussi, mais elle l'interrompe.

- Ne bouge pas !

Oh ! Cette sensation quand elle me glisse en elle au rythme des coups de reins, d’une pression douce et onctueuse.
Nous gémissons, elle me griffe doucement au rythme du plaisir montant.
Puis soudain en même temps, le gémissement se transforme en râle.
Nous nous agrippons l'un à l'autre, se laissent aller au plaisir.

Elle le regarde, sourit.

- Ça surprend, c'est la première fois qu'une femme dirige hein ? Moi aussi, je ne suis pas aussi rapide d'habitude, je ne me reconnais pas, je me sens honteuse...
Elle rit.

- Bah ! Ce n’est pas grave, tu t’y feras vite.

Moi, je met plusieurs secondes à revenir sur terre, à descendre des sommets où m’a entraîné mon amie, ma muse, ma bien-aimée.

Elle à déjà quitté la douche et m'appelle dans le salon où elle sert à boire.

Rien de tel qu'une bonne douche après le sport pour casser la glace, il faut bien le reconnaître...

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Vendredi 26 février 5 26 /02 /Fév 18:15

Vous croyez que mon histoire est terminée. Et bien détrompez vous.
Le lendemain, Sarah m'a proposé de la filmer entrain de se caresser.
Vous pensez bien que je n'ai pas refusé !
Et c'est cette vidéo que je vous propose maintenant.
J'espère que vous aprécierez. Petite précision, Sarah est au courant que la vidéo est en ligne. C'est même elle qui m'a proposé de la diffuser.
J'attends donc un maximum de commentaire de votre part.
Sarah a encore quelques idées mais si cela n'interesse personne, ces vidéos pourraient ne pas voir le jour.
Et oui l'excitation provient du fait que d'autres regardent...

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 20:00

L'histoire que je vais vous compter s'est produite il y a plusieurs années. C'est en quelque sorte mon premier rapport sexuel...

A l'époque je vivais avec ma mère et mon beau père en provence.

Très régulièrement, la fille de ce dernier qui vivait avec sa mère nous rejoignait durant les vacances scolaires.

C'était justement le cas cet été là. Nous sommes partis à la montagne passer 2 semaines de vacances dans les Alpes.

Mes parents (ma mère et mon beau père) avait loué un appartement à l'Alpes d'Huez.

L'appartement était assez petit, et il n'y avait qu'une seule chambre. Je dormais donc avec Sarah, ma soeur par alliance, dans la chambre et mes parents dormaient dans le canapé clic-clac de la pièce principale.

Je ne vous l'ai pas précisé, mais à cette époque je devais avoir 16 ans et Sarah en avait 17 je crois.

Notre cohabitation s'est assez bien passée. Un jour pourtant alors que la croyais sortie, je suis rentrés dans la chambre sans frappé, et je l'ai surpris à moitiée nue. Je me suis excusé, très géné. Je ne l'avais pas vu très longtemps mais suffisamment pour voir clairement sa poitrine généreuse.

Elle était vraiment jolie.

Les choses en sont restées là.

Sarah ne m'en a pas voulu.

La veille de notre départ, Sarah et mes parents sont sortis faire une balade et j'en ai profité pour rester seul au chalet. Comme tout adolescent j'étais assez dérangé du point de vu hormonal et je m'étais installé dans la chambre pour une petite séance de masturbation.

J'étais très détendu, et je n'ai pas entendu que la porte d'entrée s'ouvrit !

Et comme vous pouvez vous y attendre, Sarah me surpris en flagrant délit !

J'avais le sexe dans les mains et je ne pouvais plus bouger !

"T'inquiète pas pour moi. Tu peux continuer" me dit elle le plus naturellement du monde.

J'hésitais donc un instant. Elle insista pour que je me branle devant elle. Cette situation l'excitait.

Je continuais donc de plus belle. J'avais une erection comme jamais je n'avais eu.

Sarah me regardais attentivement et bientôt elle passa sa mains dans sa culotte et elle commencait elle aussi à se toucher sans toutefois me quitter des yeux.

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Nous étions l'un en face de l'autre, à quelques mètres de distance, entrain de se masturber. La situation était tellement irréelle.

Sarah se mis elle aussi à l'aise et elle enleva pantalon et culotte. Elle pouvait ainsi mieux se caresser la chatte.

C'était la première fois que je voyais le sexe d'une femme. Cela m'excita tellement que je ne pu retenir plus longtemps l'éjaculation. Un jet de sperme jaillit de mon gland dans un grand soupir de jouissance.

Sarah intensifia elle aussi ses caresses et elle me rejoignit dans l'orgasme.


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Quelle soirée ! 

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 18:08
Bien installée sur ma serviette, la tête posée sur mon sac de sport,
je le regarde bien en face de moi. Ma copine est assise près de
moi. Elle regarde aussi. Le spectacle ne manque pas de sel. je ne
sais pas comment elle fait pour rester immobile en le regardant
faire. Moi j'ai succombée. Mes cuisses bien écartées j'ai déjà mis
mes trois doigts habituels sur mon clitoris et je me caresse. Je suis
nue comme ma copine de toute façon sur ce bout de plage isolé. Il
est venu, ne nous a pas vu au moins au début, a enlevé son slip et
c'est à ce moment là qu'il nous a vu. Est-ce notre nudité ou
simplement une envie subite, je ne saurais le dire. je l'ai vu quand il
se mettait à bander et au bout d'un moment, juste à trois ou quatre
mètres de nous, il a pris en main sa queue et a commencer à se
branler. Mon amie, comme moi en étions un peu scandalisées et
finalement la nature a repris ses droits, nous aussi, nous étions
excitées.
C'est moi qui en le voyant ai commencé. Nous nous regardons,
c'est comme si nous baisions. Je ménage mes mouvements pour
ne pas jouir avant lui.
A ce moment là, mon amie, toujours accroupie passe une main sur
son sexe et chercher aussi son plaisir. Nous nous regardons: c'est
la première fois que nous nous branlons l'une devant l'autre. En
face ce garçon commence à accélérer ses vas et viens. Je vois
son sperme sortir en longues saccades de sa bite. Je ne tiens plus,
je me doigte et je regarde ma copine qui s'est couchée juste à coté
de moi: elle aussi se branle à sa façon, les jambes largement
ouvertes et des doigts sur le clitoris, des doigts de l'autre main sur
le cul qu'elle branle comme si c'était l'entrée de son vagin: il y rentre
aussi ses doigts? je ne sais combien.
En face de nous ce maudit garçon nous regarde toujours. sa queue
se relève et il bande à nouveau: cette fois c'est nous qui faisons le
spectacle coquin. Il ne se branle pas, ou pas encore, je ne sais.
Par contre nous sommes très excitées, tellement excitées que je
pose une main sur la cuisse de mon amie et je caresse en
remontant vers son sexe. Elle ne dit rien: elle me regarde
simplement. Je continue et arrivée à son con, je remplace sa main
droite: je lui caresse le clitoris. Elle tourne la tête vers moi et me dit
que c'est bon. Ma réponse est simplement: branles moi toi aussi.
Nous nous satisfaisons ainsi l'une et l'autre. Il faut dire que je
trouve d'avantage de plaisir à me faire masturber qu'en me le
faisant. Nous avons les lèvres pas loin, comment ne pas échanger
un baiser: nos langues vont et viennent dans les bouches.
Nous avons oublié ce garçon auteur de notre excitation. Nous
jouissons et le voyons toujours là à nous admirer. Il a sa main sur
sa pine et commence une autre branlette. Mon copine toujours très
excitée me dit que finalement nous pourrions lui dire de venir avec
nous: il nous contenterai l'une et l'autre. je ne réfléchis plus: après
tout pourquoi pas: une bite est toujours ce qu'on a fait de mieux
pour baiser.

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C'est mon amie qui en a eu l'idée: c'est elle qui lui demande de
venir nous baiser: ce sont ses propres termes. Il se lève avec
nonchalance et enfin vient entre nous. Nous sommes très excitées,
même si notre mutuelle masturbation nous a un peu calmées.
Dès qu'il est entre nous, nous l'embrassons, mon amie d'abord et
moi ensuite. Nous le caressons: elle lui pelote la poitrine, mes
mains vont rapidement vers sa queue, une belle queue que je vois
déjà dans ma moule. Je la caresse légèrement et me penche pour
la prendre en bouche. Il réagit plus que positivement: il avance son
bas ventre pour que sa bite soit encore plus à ma portée. Son goût
m'étonne un peu: il sent encore le sperme. D'un coté tant mieux:
j'aime ça. Je lui entoure le gland de ma langue et enfourne le plus
possible de sa queue dans la bouche. je vais et viens: il ondule
comme s'il me baisait. J'arrête pour céder la place à ma copine qui
comme moi aime bien le sperme, elle me l'a souvent dit. la place de
la bouche du garçon est libre: si j'en profitais ?
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Je me relève et sans rien dire je vais mettre mes fesses sur son
visage: le message est clair: je veux ta langue pour me faire jouir. Il
s'en acquitte fort bien: la langue explore d'abord tous les recoins de
ma fente du cul jusqu'au clitoris ou elle se fixe: je ne voudrais pas
qu'il arrête. Je voudrais qu'il aille me mettre sa langue sur le cul. Je
bouge pour qu'il comprenne où je veux qu'il me la mette. Il comprend
et enfin me lèche mon anus et rentre même un peu. Et là je jouis
comme une folle.
Mon amie l'emmène à l'orgasme. elle vient partager le sperme avec
moi. Nous échangeons et le sperme et un baiser.
Il commence à être flagada. Pour le moment ce n'est pas très
grave: on peux se passer de lui un moment en nous faisant des
"choses" à deux, nous les filles. Pourtant nous insistons et en le
prenant en bouche, en lui passant des doigts sur son cul nous
arrivons à le faire bander encore plus que la fois d'avant, mon amie
qui est la plus proche de lui l'enjambe et se met elle même la queue
dans son con. je me remets sur sa bouche. Si elle assure les
mouvements de vas et viens, lui a compris ce que j'aime: sa langue
va directement sur et dans mon cul. Il me fait jouir plusieurs fois.
Mon amie jouit également et me cède la place. Elle me remplace
sur la bouche du garçon et se fait sucer. Moi, à mon tour je vais sur
lui et me la met dans le con. Nous nous faisons face, avec mon
amie. Une seule chose manque terriblement: un long baiser sur la
bouche pour jouir bien mieux. C'est facile lorsque nous nous penchons un
peu. Nos lèvres se touchent et nous avons les langues qui
commencent à se connaître. Elle s'aperçoit que ma position lui
permet de venir me branler le clitoris. Elle ne s'en prive pas. je ne
sais ce qui me fait jouir, la queue dans ma moule ou sa main sur le
haut du con.
Finalement le garçon est à bout. il commence à faire nuit. Nous
nous habillons tous. il part de son côté en disant simplement "bye".
Nous ne parlons presque pas au retour. Il faut dire que nous nous
sommes comportées comme des femmes plutôt attirées par le sexe
et en particulier un moment très agréable entre nous quand nous
nous sommes branlées.
En arrivant près de chez elle elle m'invite pour passer un bon
moment: je sais qu'elle va être ce bon moment. A peine arrivées
nous nous embrassons et nous nous caressons. Nous nous
mettons nues et alors commence un grand moment de baise. Si
avant nous ne l'avions jamais fait cette fois nous nous aimons
comme amantes. Nous nous suçons les seins, nos mains se
baladent sur nos corps, nos fesses et enfin nous recommençons
une masturbation commune. Nous en jouissons bien sur. Elle me
demande si j'ai un gode dans mon sac: bien sur je ne m'en sépare
jamais. elle en a un ici. Pas d'hésitation: nous nous mettons en 69,
nous nous suçons pour bien goûter la cyprine de l'autre et enfin
après nous être fait jouir, nous recommençons, cette fois en
baisant l'autre avec les godes.

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Les jours suivants nous allons au même endroit, à la plage: plus de
garçons plus de vrai bite. Alors nous nous contentons seules
comme de véritables lesbiennes, ce que nous ne sommes pas, à la
rigueur bisexuelles peut-être.
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 12:51
Je vais vous raconter une anecdote qui m'ai arrivé la semaine passée. Alors que nous étions entrain de dormir, ma femme et moi, non sans avoir une nouvelle fois gôuter les joies de la chaires, nous avons été interpellé par du bruit à l'extérieur de notre appartement.
Je décidais donc de passer par derrière pour ne pas être repéré. Et surprise, je pris ma voisine en flagrant délit !
Elle était presque nue entrain de se faire lécher la chatte par un homme que je ne connaissais pas. Ce n'était pas son petit copain en tout cas.
Cette situation m'excitait. Je suis donc rentré à la maison pour prendre mon appareil photo, et me voilà entrain de photographier la belle et son amant de minuit....
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L'homme semblait prendre beaucoup de plaisir à faire du bien à Karine (c'était le nom de notre voisine).
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Il baissa maintenant son pantalon, et sorti son membre pour prendre la belle. J'étais très excité de jouer les paparazzi, et je multipliais les clichés.
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Soudain, ma femme qui ne me voyais pas rentrer arriva. Nous avons donc regarder la fin de la scène tous les deux, et en rentrant, nous étions tellement excités que nous revoilà partis dans une partie de sexe torrides.
Le lendemain, en regardant les clichés, j'eu une idée un peu tordue. Et si j'utilisais l'occasion pour faire chanter Karine ? J'avais toujours eu envie de la baiser mais elle m'avait toujours ignoré. Elle se moquait aussi souvent de nous. il est vrai que ma femme n'avait pas sa beauté et je n'étais pas non plus Don Juan.
L'occasion était donc trop belle de lui faire payer... (a suivre)
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 13:10
Samedi me semblait être une sorte de faucheuse pour moi. Une sorte de guillotine sentimentale, ou du moins le fait que j’aurais une épée de Damoclès sur la tête. Car j’étais persuadé qu’il se passerait quelque chose, au moins un baiser.
Les regards de Marie avaient changé. Ils étaient plus fréquents et insistants, plus sensuels aussi. Sa voix était aussi plus douce, féminine, chaleureuse. Ainsi que son comportement.

Devant son frère elle laissait ne rien paraître. Elle était comme d’habitude. Devant sa mère elle se laissait plus aller et me montrait son affection quand même avec une certaine retenue. Je craignais que sa mère soit jalouse et me prive de son corps. A table elle s’asseyait à coté de moi, devant la télé aussi. On parlait beaucoup par sms et au téléphone. Je la faisais beaucoup rire et j’aimais me montrer tendre avec elle. De plus elle était si belle et si bien faite pour son âge. Quand samedi arriva je me fiq beau et présentable. Il faisait beau, une journée rayonnante comme j’aimais. On devait se voir après le lycée. Moi je n’avais pas cours donc je suis allé l’attendre devant le sien.

En me voyant elle a accouru et s'est jetée ans mes bras. Elle me couvrait le visage de bisous, en me serrant fort contre elle. J’étais tout content, et elle aussi. Dans le bus on discutait avec ses copines de classe. On devait se rendre au cinéma. Ses copines m’ont tout de suite demandé si j’étais son petit ami etc. et les allusions coquines dans le bus fusaient. J’étais quand même mal à l’aise, Marie elle, rigolait.

Au cinéma enfin le film commença, dans la queue de file d’attente, elle me racontait sa journée, m’embrassait dans le cou et me tenait la main de temps en temps. Avec ça il était clair que un : Je lui plaisais, et de deux : Que notre relation était presque officielle. Depuis le temps qu’on fricotait ensemble de toute façon à l’abri des regards de sa famille. Elle adorait m’arracher des baisers volés dans la maison. Elle avait le comportement de fille que j’adorais, mignonne et douce.

Le film commença, rapidement elle me prit la main, posa sa tête sur mon épaule. Des trucs de filles quoi. On était au fond, coté droit. Plus le temps passait, plus elle se blottissait contre moi, sa main se posait sur ma cuisse, et je sentais sa poitrine sur mon bras. On se parlait de temps à autre du film, et forcément à force de se regarder de près, se dire des blagues etc, ce qui devait arriver arriva. Nous nous sommes embrassés. Le bonheur total ! La fille qui me plaisait était enfin à moi. Ses lèvres étaient chaudes et en plus de ça, sa lèvre inférieure était très pulpeuse. C’était un délice de l’embrasser. La douceur de ses gestes buccaux et de ses lèvres me fit avoir une érection rapidement. Je caressais son visage d’une main, tandis que l’autre tenait la sienne. Elle me sourie après de longues minutes d’embrassade. Je lui rendais son sourire et me disais que j’étais trop chanceux d’avoir une petite amie si jolie et si idéale.

Mais bon…

Apres le film elle proposa qu’on aille chez elle. Je craignais le pire, voir mon autre « petite amie ». Elle me dit que Marc n’était pas là du week-end et que sa mère travaillait tard, donc qu’elle rentrerait pour dîner. Ce qui voulait dire qu’on seraient seuls chez elle pendant une bonne partie de l’après-midi. Je ne pouvais refuser. Donc nous fûmes chez elle. On fila dans sa chambre. Elle mit de la musique, comme par hasard de la guitare acoustique. Le genre de musique bien sentimentale et romantique. Ce que j’aimais dans sa chambre c’est qu’elle était accueillante et douillette, ça sentait bon, il faisait souvent chaud, en gros toujours la bonne ambiance pour se reposer. Ses volets étaient mi-clos, juste assez de lumière rentrait. Sa mezzanine avec son horrible lit en alu était en face de la porte, et en dessous il y avait un matelas, quand elle invitait des copines à dormir.

- Enfin touts les deux ! Elle m’enlaça jovialement et m’embrassa.

Je la serrais contre moi, mêlant le bout de ma langue à la sienne. Elle me rendait fou, avec son odeur et sa tendresse.

- Ferme la porte s’il te plait.
- Dit moi chérie, euh je voulais te parler d’un truc. Elle s’assit sur le matelas et feuilletais un magazine. Je retirais mes chaussures et la rejoignit.
Voilà tu vois, on est ensemble et c’est super mais…ton frère est très jaloux et il risque de faire en sorte qu’on se voit plus si il savait qu’on sort ensemble. Donc ce que j’aimerais c’est que quand on est avec lui, ou même chez toi et qu’il est pas loin , bah qu’on se comporte comme avant tu vois ?
- Oui t’inquiètes, je comprends.
- Et ça serais bien si ta mère aussi n’en savait rien. Elle pourrait le répéter a ton frère indirectement, ou nous mettre un peu dans la merde. Je craignais sa réponse, je sentais mon cœur battre.
- Oui t’inquiètes c’est entre nous, et puis ça sera plus excitant de se cacher !

Soulagé je me laissais aller et l’embrassais pour la remercier. La perte d’équilibre fit que nous tombâmes sur le matelas, moi sur elle comme par hasard en missionnaire. Elle me regardait tendrement et les accords tristes envahissaient la pièce. L’ambiance se prononçait. Ses cheveux étaient éparpillés sur le draps, son visage détendu, la bretelle de son soutien gorge tombée avec celle de son débardeur rose. Sa généreuse poitrine s’étalait. Mes mains étaient posées surs ses hanches. Elle enlaça ses jambes autour des miennes pour me ramener vers sa bouche que je goûtais. Humide et chaude, aussi bien l’état de sa bouche que d’elle même. Rapidement les hauts tombèrent, elle portait un joli petit soutien-gorge. Blanc avec des fleurs, de la dentelle beige tout autour, en coton, simple mais efficace pour moi. Elle rougissait quand je le dégrafai et baissait les yeux sur ma ceinture. Elle profitait de la gêne pour fuir mon regard et défaire ma ceinture.

Son soutien-gorge défait, je le jetai sur le coté et contemplai sa poitrine. Totalement différente de sa mère. Pour commencer elle avait la peau plus mate. Elle avait les seins bien rond tandis que sa mère tombait un peu plus, plus tard j’ai su que c’était du 95 B. Plus petit mais plus ferme. Ses mamelons étaient plus larges et légèrement brun-rosé. Elle semblait déjà pointée. Je me suis mis à les caresser du bout des doigts en la regardant. Elle déboutonnait mon jean avec un petit sourire sur le coté. Je me suis penché pour les embrasser, ils étaient chauds. Je m’amusais à battre ses tétons avec ma langue. Ca la faisait rire et j’en profitai pour les sucer et les malaxer, ils étaient vraiment fermes, quel bonheur. Cela la faisait soupirer. Elle se tortillait un peu en baissant mon jean pour caresser mon caleçon. Ses joues étaient rouges et brûlantes.

- Retire mon jean chéri… Me dit elle dans un halètement.

Je lui obéi, le déboutonnai en embrassant son nombril, je sentais ses abdos se contracter et son souffle s’accélérer. Quand je le retirai je fus surpris. Elle portait un string familier. Il était bleu foncé, et très petit. C’était le même string que portait sa mère mercredi dernier ! Je l’embrassais sans hésiter et retirai son jean en entier.
- Tu t’habilles chic chérie dis donc…
- Euh oui c’est… à ma mère. J’adore lui emprunter ses sous-vêtement. Elle rougit et sourit. Ce string était légèrement trop petit pour elle.

Je l’embrassais plus passionnément et vit qu’il était mouillé. Je me mis entre ses cuisses et commençai à le lécher lentement. Elle se cambra sous ma langue et caressait ma tête. L’idée que sa mère l’avait porté m’excitai encore plus. Elle respirait un peu plus vite et fort ce qui me donna l’envie de le lui retirer. Elle se souleva un peu, je le fis descendre le long de ses jambes. Je me remis en position : A genoux devant son sexe tondue de près. J’avais donc droit à deux choix différents. Ce qui me faisait peur c’est que c’était la première fois que je faisais un cunnilingus donc je ne savais vraiment pas comment faire.

- Léches-moi chéri…

Sans attendre je le fis, je me lançai. Je léchai tout son sexe de bas en haut lentement, mes mains posées sur ses cuisses. Dés que je la léchai, elle se cambra et poussa un gémissement. Elle mouillait énormément, ça glissait beaucoup. Sa mouille était légèrement salée et tiède, c’était pas désagréable à avaler. Elle tenait ma tête à deux mains pour m’empêcher d’arrêter et je continuais de lui administrer mes coups de langue maladroits. Elle gémissait au rythme de mes léchouilles et je décidai de lui enfoncer mon index lentement tout en la regardant.

Elle avait les yeux fermés et se mordait la lèvres. Je la trouvais trop mignonne avec les joues rouges. Je continuais donc mon mouvement en enfonçant un deuxième doigt. Progressivement j’allais un peu plus vite et plus profond au fil des minutes.

- Viens là mon amour, me gémissait t-elle. J’obéis. Elle me tira vers elle et m’embrassa fougueusement. Puis comme j’étais à genoux près d’elle, elle en profita pour caresser mon caleçon et mon sexe qui bandait à mort. Je me rapprochais de son visage pour l’aider.
Sors là, mon cœur…

Je sortis mon sexe de mon caleçon. Rapidement en souriant et poussant un petit gémissement coquin, elle le saisit et me masturba lentement. Elle ne la quitta pas du regard.

- Chéri, une fille t’a déjà sucé ? Elle rougit et baissait les yeux.
- Eh bien oui pourquoi ? Tu aurais voulu être la première ?
- C’est pas ça mais…tu vois moi j’ai jamais fait ça…Ni ça, ni rien d ‘autre avant.
- Tu veux dire que…tu ne t’es jamais masturbé ?
- Doigté non, mais frotté oui sur une peluche.
- Laquelle ?
- Bah là je l’ai pu. C’était un gros nounours que j’avais eu pour mes 13 ans et depuis que j’ai 16 j’utilise un pingouin.
- Et maintenant que tu as eu 18 à peu de temps, tu utilises un garçon. Elle me sourit.
- Approches…

Je m’approchais conquis par sa douceur. Confiant de sa gêne je posais mon sexe sur ses lèvres souriante.

- Ecoutes chérie je m’en fiche si t’es une pro ou non. On est obligé de commencer un jour ou un autre. Donc fais de ton mieux, l’important pour moi c’est que tu prennes autant de plaisir à le faire que moi à recevoir.

Elle me fit un grand sourire et absorba mon gland pour le téter. Pour l’aider, je me penchais au dessus de son visage. Elle me regardait pendant que je sentais sa langue tourner autour de mon gland. Elle commença ensuite a faire de petits mouvements de succions. Puis de plus en plus profond jusqu'à la moitié de mon sexe. Elle me suçait lentement et prenait plaisir de temps en temps à appuyer sur mes fesses quand elle ne les caressait pas. Les bruits de succions m’excitaient terriblement et encore plus quand je la vis avaler la salive en trop. Un bon quart d’heure passait dans cette position peu confortable. Elle la ressortit baveuse de sa bouche essoufflée.

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- Mmmh j’en peux plus. Elle continua à me sourire, je m’allongeais près d’elle et caressais son ventre.
- Tu as aimé alors ?
- Oui, c’est vraiment doux, j’adore. Elle m’enlaça la nuque pour m’embrasser et passa une jambe sur moi.

Pour continuer mes caresses je passais ma main derrière sa cuisse et commence à la doigter avec deux doigts le plus profondément que je pouvais, vu la position. Le bonheur de l’entendre gémir dans ma bouche.

- J’ai trop envie de toi mon cœur, me gémissait t-elle.
Mmmh ! Continue avec tes doigts ! Je la sentais se tortiller et je me suis dit qu’elle était prête.

Il n’était pas question que je couche sans préservatif, pour des questions de sécurité, vis à vis de nous déjà, et surtout que je couchais avec une autre femme ! Elle prit un préservatif dans la petite table de chevet qui était à coté du matelas et me le tendit. Elle caressait mon torse et mes épaules tandis que je luttais à déjà ouvrir l’emballage avec les doigts mouillés et surtout à le dérouler sur mon sexe, moi qui ai eu toujours du mal. Elle rigolait et me demanda si je voulais de l’aide. Finalement je réussis et m’allongeai sur elle. Toujours souriante de désir elle me tenait et me dit tout doucement d’y aller doucement. Elle écartait bien les jambes, elle semblait vraiment me vouloir. Je pointais et frottais mon gland sur son sexe pour l’exciter un peu, puis tout doucement enfonçai mon gland à l’aide de mes doigts, puis quand il fût introduit correctement je poussais sur mes genoux et avançais mon bassin pour la pénétrer. Rapidement elle poussa un long soupir.

- Si je te fais le moindre mal chérie, dis le moi.
- Mmmmh non t’inquiètes chérie, continues, continues.

Elle avait les yeux fermés et la tête en arrière, bouche mi-ouverte. Je commençai donc à enfoncer mon sexe toujours avec précaution jusqu’au fond. Le soucis est que je n’avais jamais dépucelé une fille et ne savais pas quoi faire quand je tomberai sur l’hymen. Rapidement je sentis que quelque chose m’empêchait d’aller plus loin, je suivais donc mon instinct et exerçais une pression constante mais lente sur l’hymen. Dans un petit cri, il craqua. Elle s’agrippa à moi très fort et poussa de petits soupirs. Je continuais ma progression en l’embrassant et caressant ses cheveux pour tenter de la rassurer. Arrivé au fond, je m’arrêtais et ne bougeais plus.
- Oh je t’en prie chéri, doucement !
- Chérie je peux pas aller plus doucement que ça.

Quand elle me fit signe que je pouvais y aller, je commençai donc un long va et vient le plus lent possible. Rapidement elle se décrispa et se laissait faire sans continuellement repousser mon torse. Une vingtaine de minutes plus tard, elle se comportait comme une femme normale et gémissait au rythme de mes coups que j’accélérais progressivement. Elle me regardait de temps en temps et se levait un peu pour voir ce qui se passait. J’adorais voir sa poitrine onduler et tourner sur elle-même à chaque coup de reins. Je pris donc la décision de soulever ses jambes pour les placer sur mes épaules. Quelle position ! Je pris un véritable pied ! Elle gémissait de plus en plus fort durant le câlin. Comme mon sexe faisait de grands va et viens, je vis sur le préservatif qu’il y avait un peu de sang. Heureusement il ne coulait pas.

Nous fîmes l’amour encore pendant une bonne demi-heure en missionnaire et levrette. Et je me confirmais que cette position est magique. Je la tenais doucement par les hanches et exerçait une pénétration profonde tout en en admirant son petit trou brun. Dans cette position et vu le temps passé, je ne pouvais tenir plus longtemps et dans un grand moment bestial où les cris envahissent sa chambre, je me agrippais brusquement à ses hanches, et lâchai plusieurs jets de sperme.

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Epuisé et en sueur, je m’affalai sur elle qui tomba elle aussi sur le matelas. Elle respirait fort, moi aussi. Elle tourna sa tête vers moi pour que nous échangeâmes un baiser passionné. Son visage rouge de sueur me plaisait. Pour rigoler je pris un ton à la Jean Gabin :

- Alors, heureuse ? Elle rigola.
- Trop…je ne te savais pas si physique.
- Eh bien comme tu vois.
- Merci mon ange…
- De quoi donc ?
- M’avoir offert ce moment. Je savais qu’il n’y avait que toi qui aurait pu rendre ma première fois inoubliable.
- Tant que ça ?
- Eh bien oui, la musique, le plaisir, les circonstances, tout…
- C’était magique pour moi aussi.
- C’est ta première fois ?

Je ne su quoi répondre à ce moment, j’avais l’impression que le temps s’arrêtait. Ou je lui disais oui et atteindrais les sommets de son cœur, ou je lui disais que non sans bien-sûr mentionner que ma première fois avec une femme n’était tout simplement qu’avec sa mère.

- Eh bien oui c’est ma première fois. Mais j’ai fait déjà quelques petites choses avant.
- Hé hé je suis la première femme que tu investis alors.
- Au moins on se disputera jamais sur les comparaisons avec les ex.

Nous fîmes un petit câlin des plus romantiques. La musique continuait, et un petit filet de lumière réchauffait mes fesses, il faisait chaud. J’aurais voulu que ce moment ne finissent jamais. Le genre de moment où à l’impression d’être seul au monde . Nous prirent une douche coquine ensemble.

Elle cacha avec soin le préservatif usagé. Nous nous quittâmes. Son frère allait bientôt rentrer et je devais aussi rentrer chez moi. Sur le pas de la porte qui donnait sur la rue, nous n’osions pas nous séparer, et l’éternel dernier bisou de la journée se refit encore et encore.
Fatigué et heureux je rentrais chez moi. Le soir après dîner j’étais dans mon lit à écouter de la musique et me repassait tout ça en tête.

J’avais une relation amoureuse secrète avec la petite sœur de mon meilleur ami, déjà cela me perturbait.
Ensuite j’avais couché avec elle, bon ça encore ça pouvait passer. Et de plus je relativisais mon mensonge car je n’ai couché qu’avec une seule femme avant elle, et donc coté sentiment c’était bien la première fois.
Mais le plus grave c’est que je couchais aussi avec leur mère. Outre la relation d’amant qu’il y avait entre elle et moi, il y avait aussi cette relation que je ne trouvais pas chez Marie.

Catherine m’offrait non seulement un apprentissage sexuel certain, mais aussi une relation sexuelle malsaine qui m’excitait énormément. Et pour finir une relation sentimentale qui ne me déplaisait pas. On pouvait parler de tout librement, on rigolait, sincèrement la différence d’age ne se faisait pas sentir.

Je rêvais donc éveillé, à repenser à mes derniers jours comparant les deux femmes. Marie m’envoya un sms avant que je m’endorme.

« Merci mon amour pour cette merveilleuse après-midi, j’ai hâte qu’on recommence. »

J’avais touché le Jackpot…
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 13:03
Je me souviens que les jours qui ont suivi cette visite au Musée de l’érotisme, Chantal avait été des plus tendre avec moi. J’avais même eu l’impression qu’elle était disposée à me faire plaisir dans la déroute de mes fantasmes. Elle a bien essayé de savoir si je savais. J’ai fait celui qui n’avait rien vu même si à plusieurs reprises je lui ai parlé du Musée et de ce qu’on y avait vu. J’ai même été jusqu’à lui faire savoir que par moments je lui aurai bien fait des cochonneries sur place si j’avait été sûr de ne pas me faire envoyer sur les roses. Cela la faisait rire et à un moment, elle a même été jusqu’à me dire que j’aurais dû, car certaines choses qu’elle avait vues ce jour là, l’avaient troublée. Pour qu’elle m’avoue cela, il fallait vraiment qu’elle culpabilise sur ce qu’elle avait fait et qu’elle veuille se faire pardonner. Je devais plus tard profiter de cet état d’esprit, mais plus encore, j'allais découvrir une nouvelle épouse. Une femme qui était capable de dépasser ses principes bourgeois puis ses tabous pour devenir une véritable accro du sexe sous ses formes les plus perverses. Elle avait honte bien sûr, car elle savait qu'elle était devenue cette salope sans plus aucune volonté. Quand elle sortait de ses histoires je la retrouvais épuisée, abattue. Je la réconfortais et on reprenait notre vie de couple bourgeois et je l’aimais encore plus à chaque fois.
J'avais bien conscience de l'effet d'envoûtement lié à notre copain. René avait un ascendant sur elle qui maintenant me faisait peur, mais ne l'avais-je pas voulu? Ce mélange de sexe et de jalousie me procurait un plaisir sans limites.
Elle avait arrêté sa balade pour René en vue du Musée. Il m'a fallu attendre plusieurs jours pour savoir la suite.
Un soir au lit, elle s'est blottie contre moi et doucement, en me caressant le sexe, elle a repris son histoire.
- " En m'approchant du Musée, mes jambes se sont mises à trembler. J'ai failli m'évanouir. J'allais revoir René et lui raconter que je lui avais obéi à la lettre. Je savais qu'il attendait de moi que je lui raconte tout. J'avais honte et en même temps j'ai senti que je mouillais. Par l'échancrure de mon imper, que j'avais à peine refermé, le vent me caressait le sexe, et cette sensation de froid me faisait du bien.

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Le Musée était éclairé mais visiblement fermé. Je me suis approchée de la porte vitrée. L’homme qui était au guichet lors de notre première visite est tout de suite venu à ma rencontre pour m’ouvrir la porte. Pas de René. Je ne sais comment dire mais il me trouble aussi cet homme ; il est moche, sans cheveux mais il est très sympa. Quand il me regarde il me déshabille des yeux. Tu sais comment je n’aime pas cela et pourtant quand lui me regarde, je trouve cela plaisant et même je ne fais rien pour me dérober. Je suis sûre que tu ne reconnaîtrais pas ta femme ! Une allumeuse ! Enfin presque. Une salope certainement. J’ai honte mais je ne peux résister.
Il restait encore quelques visiteurs attardés ce soir là au Musée. A la caisse une nana. Le gars m’a d’emblée traitée comme une reine. Il m’a entraînée dans le Musée pour une visite commentée. Il ne m’a pas proposé d’enlever mon imper. Drôle non ?
Au deuxième étage, l’exposition avait complètement changé. Tout l’étage était encombré de mannequins qui montraient de femmes attachées. Elles étaient toutes très belles. Deux personnes se promenaient parmi les modèles et cela faisait un peu drôle. Gérard, c’est comme ça qu’il s‘appelle, s’est arrêté devant une poupée à la grosse poitrine enserrée dans un assemblage incompréhensibles de cordes. Son visage montrait une certaine douleur. Quand il m’a demandé ce que j’en pensais, je lui ai avoué qu’auparavant cela me révoltait, mais ce soir, je trouvais cela très beau. Il a insisté en me demandant si cela me faisait quelque chose. Comme je ne répondais pas il a précisé sa pensée et en fait, il voulait savoir si cela m’excitait. J’étais troublée, surtout que je me suis sentie rougir comme il me regardait droit dans les yeux. Comme il a vu mon trouble, il n’a pas insisté et j’étais soulagée de ne pas avoir à avouer que cette femme attachée m’excitait ! Je suis sûr qu’il avait tout deviné. D’ailleurs pour poursuivre la visite, il m’a prise par l’épaule comme pour me protéger de mes démons. Je devais comprendre plus tard son comportement à ce moment de la visite.
Tu sais Arsène, je ne comprenais rien. Tout ce que je ressentais m’était inconnu. Tu n’as jamais su me parler ainsi. Gérard n’est pas très beau mais il est sympa et inspire une certitude concernant le sexe qui m’a tout de suite rassurée quand je l’ai vu la premières fois. Ne te fâche pas mais je me sentais bien auprès de lui et je me laissais aller à mes réactions.
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On est redescendus à l’accueil vers 11 heures. René était là enfin avec deux autres types. Un jeune et un autre assez âgé avec un fort accent allemand. Mes jambes tremblent. Il me regarde à peine, me méprise même. Je souffre, je jouis presque. J’ai compris qu’il s’agissait d’un industriel qui venait pour affaires. M’avait-il vendue pour son propre compte cette fois ? L’autre était un d’un artiste qui exposait au Musée ».
Chantal me disait cela simplement, mais j’avais deviné qu’il s’agissait de l’inconnu qui l’avait attachée quelques semaines auparavant. Elle mentait bien et un accès de jalousie m’a envahi mélangé à une honte pour l’excitation que cela me procurait. Elle continue sa narration, sans complexes.
- « Les deux nouveaux venus m’ont saluée avec beaucoup de déférence. Un peu trop à mon goût. Je m’étais mise dans une situation qui maintenant me plaisait moins. Autant faire la belle devant Gérard et René me branchait et même me troublait, autant plaire à ces deux là, et surtout le gros allemand, m’amusait moins. Nous avons pris l’apéritif qu’on nous a servi dans une salle isolée du sous-sol. Le gros industriel ne cessait de me regarder avec insistance. Il lorgnait même dans le décolleté de l’imperméable pour essayer de saisir un peu de mes éventuels sous vêtements. J’étais énervée et cela n’a pas échappé à René. Il s’est approché de moi en me servant un autre verre de whisky. J’en étais à mon troisième et je me sentais déjà un peu partie. J’étais déçue, car René aurait dû savoir que je lui étais suffisamment soumise pour ne plus avoir à me saouler pour lui obéir.
Je réalisais que je devais avoir les joues rouges et je me sentais en chaleur. Gérard restait près de moi et cela me rassurait. Il riait beaucoup et je pense que lui aussi était un peu gris. J’étais seule femme parmi quatre mecs et avec une résistance et une aptitude à analyser la situation bien diminuée. René remplit encore mon verre. Il voulait assurer son « coup ». Il me regardait à peine et je cherchais son regard pour lui faire savoir que j’étais d’accord pour tout… Soumise, docile, obéissante tant je l’aimais. Comme je ne me sentais pas bien, je l’ai bu d’une traite le verre en le fixant droit dans les yeux pour le provoquer et me donner des forces.
A partir de ce moment là je ne me suis plus sentie capable de réagir à quoi que ce soit ; j’étais bien lucide pour me rendre compte de ce qui se passait mais j’étais incapable d’agir.
Soudain, j’ai senti que René me prenait par la taille pour me conduire dos contre le mur sur lequel je me suis appuyée. J’ai senti ses mains délacer la ceinture qui fermait mon imperméable. J’ai bien essayé de le retenir quand il s’est ouvert mais René m’a pris les mains et me les a passées dans les dos. Je me sentais bien et j’ai gardé de moi-même mes mains dans le dos. Les deux hommes regardaient, debout, leur verre à la main un mètre devant moi. Je n’ai pas bougé. J’ai tressailli quand René m’a embrassée dans le cou et je me suis même entendue rire bêtement. Il me plaisait et j’aimais qu’il m’embrasse. Je l’ai laissé faire. J’ai vu dans un coin de la pièce que Gérard avait prit une caméra et nous filmait ; je n’en étais pas bien sûre mais là aussi je n’ai rien dit. Lui aussi je l’aime bien et il pouvait faire ce qu’il voulait. Quand René a écarté les pans de l’imperméable pour mieux m’exhiber aux autres, j’ai senti un frisson parcourir mon corps ; je perdais pied. Puis sa main s’est emparée de mes seins qu’il a fait ballotter, danser. Il les a caressés un moment et fait rouler la pointe. Puis il les a giflés. A plusieurs reprises jusqu’à les faire rougir. J’ai eu mal même si les claques n’étaient pas très violentes. Je l’ai entendu dire aux autres que ma peau était douce et que mes tétons réagissaient vite. Je devenais folle. Et c’est vrai je me sentais les jambes tremblantes et tout excitée au bout des seins dont la peau me brûlait. J’haletais sous sa caresse. C’est moi qui me suis tournée vers lui pour l’inviter à me sucer la poitrine. Puis comme une automate, je me suis entendue lui demander de m’embrasser. Et quand il a approché ses lèvres des miennes, je me suis précipitée dessus pour lui voler un baiser. Pendant ce temps les deux autres s’étaient approchés pour mieux voir et sentir la femme. René soudain m’a relâchée et s’est éloigné pour laisser la place aux deux autres. C’était la livraison !
Ils ont commencé à me toucher. J’ai voulu les repousser mais René m’a demandé d’être sage avec eux et de les laisser me toucher. J’ai baissé les bras et j’ai senti leurs mains s’emparer de mes seins, de mes fesses, de mes cuisses. J’ai vu René s’éloigner encore plus pour laisser le gros prendre sa place à mes côtés, je n’ai rien dit, mais je me suis mise à pleurer, doucement parce qu’il s’était éloigné. Le gros allemand a commencé par me sucer le bout des seins à son tour. Sa langue était râpeuse et sa salive abondante. J’étais dégoûtée au début mais très vite j’ai senti le plaisir s’emparer de moi. Même lui m’excitait ! Je lui ai pris la tête pour l’appuyer fortement sur ma poitrine. Il a glissé une main entre mes cuisses a lissée les poils de mon pubis pour les écarter et trouver l’entrée de ma vulve.
J’ai voulu résister mais là encore j’ai entendu René me dire au loin de me laisser faire, j’ai obéi. Je mouillais et impossible de cacher mon excitation. L’autre homme s’est aussi approché de moi ; il m’a enlevé l’imperméable. J’étais nue dans cette pièce, avec mes seuls bas et mas chaussures, à la merci de mecs avides de sexe ; et moi plus je me sentais salie, plus je sentais mon excitation grandir. J’ai entendu l’allemand dire à René que je mouillais comme une fontaine et qu’il voulait me baiser. Une salope de pute a-t-il ajouté avec un accent.
A ces mots je me suis dégagée. Je ne voulais pas me faire baiser par ce gros porc. Si René s’était présenté j’aurais accepté. Mais pas ce vieillard libidineux.
René s’est approché, il m’a pris dans ses bras, m’a caressée la nuque et les cheveux pour me calmer et doucement il m’a dit d’être gentille, qu’il attendait de moi d’être docile. Ce monsieur représentait gros pour lui et qu’ensuite je serais entièrement à lui.
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Ces mots m’ont calmée, René caressait mon dos. On s’est approché d’une table et là, il m’a retournée et m’a fait poser ma tête sur mes mains devant moi. Il m’a fait reculer les pieds et me cambrer pour faire ressortir ma croupe. Je l’ai entendu s’adresser à l’allemand en lui montrant mon cul et combien il était beau et rond ; j’ai senti qu’il écartait mes fesses pour exhiber mon petit trou et en même temps il me disait des mots doux pour me calmer et me soumettre : « calme toi, sois gentille, laisse-toi faire ». Et moi je n’avais qu’une seule envie, lui faire plaisir. Alors il m’a demandé d’ouvrir moi même mon cul pour le montrer aux deux autres ; après une hésitation, j’ai passé mes mains derrière moi et j’ai écarté mes fesses. C’est alors que j’ai senti un doigt qui me pénétrait et me fouillait le sexe. René m’a encore demandé de me laisser faire. Maintenant il savait que j’accepterais tout, s’il me le demandait. Je le confortais que j’étais devenue son esclave, comme il me l’avait crié lors de notre première rencontre au moment même où il déchargeait sa semence sur mes seins et mon visage.
Le jeune artiste s’était approché à son tour et je sentais sa bite tout près de mon visage. Il se branlait presque sur ma joue. J’entendais derrière moi le vieux qui disait : « je vais te baiser ma petite salope ; je vais te faire jouir ». Et ces mots me faisaient mouiller. Quand j’ai senti son gland à l’entrée de mon ventre, je ne l’ai pas refusé, au contraire, j’ai fait reculer légèrement mes fesses pour l’aider à me pénétrer. Je mouillais, Arsène tellement j’étais excitée. Les vapeurs d’alcool s’étaient dissipées et dans la salle régnait une forte odeur de sexe, de mouille et de sueur. L’homme derrière moi s’est mis me limer avec force, longtemps ; il prenait son temps le salaud. Il a commencé par des coups lents puis il a accéléré progressivement. Les autres regardaient.
Pendant ce temps René m’a fait descendre la tête jusqu’à sa braguette et m’a présenté sa queue qu’il avait sortie auparavant. Je l’ai engloutie entièrement dans ma bouche et me suis mise à la sucer sans hésiter. Je prenais un plaisir fou de me sentir baisée et sucer en même temps cette bite que j’aimais déjà. L’autre mec, le plus jeune me pelotait les seins et frottait sa bite sur mes bouts durcis.
Soudain, l’allemand s’est mis à râler et accélérer son va et vient. Je l’ai entendu crier qu’il allait lâcher la « purée » et d’un seul coup, j’ai senti les giclées de sperme chaud envahir mon ventre. Il était très chaud et abondant. J’avais l’impression qu’il ne s’arrêterait pas de me remplir. Ce signal a également amené René à la jouissance et par longues saccades il s’est déversé dans ma bouche. J’ai avalé jusqu’à la dernière goutte sa semence salée : je l’aimais d’amour à cette seconde. Le troisième homme, lui, a éjaculé sur mes seins et le sperme chaud s’est étalé sur ma poitrine et mon ventre. J’étais crevée.
René m’a prise dans ses bras et m’a allongée sur une table basse ; il a ouvert largement mes cuisses pour y recueillir le sperme qui s’en échappait. Il a pris un mouchoir et a essuyé les souillures de semence. Il ne cessait de répéter que j’étais bonne et qu’il m’aimait. C’est à ce moment que j’ai revu Gérard qui me filmait au fond de la pièce. J’ai eu un peu peur mais je n’ai rien dit. Le gros bandait à nouveau et il revenait me caresser les seins. Il a passé une main sous mes fesses pour les malaxer sans douceur. J’ai eu un sursaut quand il a fait pénétrer un doigt dans mon cul. Il s’est empressé de crier que j’étais étroite en cet endroit et qu’il aimerait y aller voir. Je refusais d’abord, comme je n’avais pas souvent été prise par là, mais René encore a insisté. Il m’a fait mettre à quatre pattes sur la table basse, s’est placé derrière moi et m’a ouvert les fesses pour montrer mon petit trou. La lumière violente qui venait du plafond devait bien éclairer cet endroit d’habitude caché. Là, il m’a demandé de pousser pour ouvris la corolle ; je l’ai fait et j’ai senti mon trou s’ouvrir. Un doigt s’est vite introduit dedans. A l’entrée d’abord, puis au fond. Au début j’avais un peu mal mais bientôt, le plaisir m’a envahi ; je trouvais du plaisir à me faire branler le cul. Mélange de honte et de plaisir.
Puis, il a enlevé son doigt et j’ai senti un jet de salive qui se posait sur mon trou, puis le doigt qui l’étalait pour lubrifier l’entrée. J’aimais soudaine toute cette saloperie. Et quand l’allemand a pointé sa bite à l’entrée de mon anus, là encore je ne l’ai pas refusé et je suis allé à sa rencontre. Il a eu du mal à entrer au début et j’avais très mal. J’ai crié et l’homme a retiré son membre. René s’est enduit le doigt de salive et doucement il a commencé à écarter les chairs de l’anus. Il a pris un gode que je n’ai pas vu venir et il l’a introduit doucement entre mes reins et s’est mis à me masturber le cul. Les deux autres étaient penchés sur moi et mataient. Ce faisant il me demandait si cela me donnait du plaisir. Sans hésiter je disais oui, alors il enfonçait encore plus profond son objet. A un moment je l’ai entendu dire à l’allemand que j’étais prête, que mon cul était assez dilaté et ouvert. Alors l’autre a pointé son gland et d’un coup de reins il s’est introduit dans moi sans aucune résistance à la place de du gode. Toute la colonne de chair m’a pénétrée sans douleur. Quand il a commencé à limer, j’ai senti comme une chaleur violente envahir mon corps et la jouissance est venue d’un seul coup, forte comme jamais je ne l’avais ressentie. Je sentais bien son gland buter contre les parois de mon ventre. Je me sentais souillée, salie mais heureuse. Pendant que le gros me besognait, René me maintenait et m’embrassait avec douceur et l’autre se branlait encore sur mes seins en regardant. J’ai joui par le cul en me faisant enculer. Jamais j’aurai pu imaginer me laisser aller si loin dans la débauche. A peine quelques secondes après moi, le gros a déchargé dans mon cul et j’ai encore nettement senti les giclées de sperme envahir mes reins. Il a vite quitté sa place quand la dernière goutte s’est échappée de son gland et avant que j’ai le temps de souffler, l’autre homme s’est mis en place derrière moi, encouragé par René. D’un seul coup il m’a pénétrée à son tour. Il a commencé des vas et viens très rapides. Je me laissais faire, sans plaisir cette fois. J’étais un ventre servant à assouvir le plaisir de cet homme inconnu de moi quelques heures avant. Heureusement très vite il a joui et m’a remplie à son tour de son sperme.
Après cet épisode, je me suis réfugiée dans les bras de René, fatiguée mais comblée. En même temps je prenait la mesure de ce qui venait de se passer. Les deux hommes nous ont quittés. Je me suis rhabillée. Il était deux heures du marin. Je m’étais faite baiser pendant plus de deux heures par deux inconnus. Voilà.
Ensuite René et Gérard m’ont félicités sur ma beauté et la sensualité. Gérard m’a avoué qu’il avait tout filmé. René m’a promis de me revoir, il attendait encore plus de moi ! C’est tout ce que j’espérais à cette minute ».
Quand Chantal eut terminé de parler, un grand silence s’est installé dans le lit. Je me suis mis à réfléchir. Chantal restait silencieuse. Ma bite dans sa main était dure et me faisait mal. Elle prenait la mesure de l’effet de sa conduite sur moi.
Elle venait tout bonnement de m’avouer qu’elle m’avait trompé sans vergogne. En plus d’avoir pris son pied, elle s’était amourachée d’un mec, un gigolo qui ne devait pas trop s’encombrer de scrupules. Mais je bandais ! Et ma bite me faisait mal. Jalousie, honte, excitation, douleur, tout cela se mêlait dans ma tête.
Je devais reconnaître qu’elle avait été franche pour tout m’avouer. Elle risquait gros ou bien elle se foutait maintenant de moi.
Les jours à venir devaient permettre d’éclaircir l’avenir de notre couple.
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Vendredi 5 février 5 05 /02 /Fév 15:33
Je pense qu'il faut que nous vous racontions ce qui nous est arrivé récemment.
Nous avons toujours eu, ma belle et moi, le fantasme de la pluralité masculine ; elle adore être dominée et moi, de l'imaginer au contact avec d'autre hommes m'a toujours beaucoup excité.
Bien souvent quand nous sommes de sortie, nous jouons : elle allume les mecs et moi je la regarde en souriant, toujours amusé de constater le pouvoir qu'elle a sur les hommes.
Le weekend dernier, nous sommes allés en boite avec des potes voir un Dj qu'on adore. La soirée se passe tranquille, super ambiance, alcool, pétards... Etc.
Nous étions bien éméchés tous les deux ! Ma belle portait une robe moulante blanche très courte au travers de laquelle on devinait son string ; De retour des toilettes à un moment dans la soirée, celle-ci passe sans s'arrêter et me colle juste dans la main... Son string ! Elle continue son chemin et se poste à quelques mètres devant moi en me lançant un regard aguicheur. Je ris et lève mon verre en la regardant de loin, restant accolé au bar ; On devinait alors aisément qu'elle ne portait plus de dessous.
Quelques instant plus tard, une bande de trois mecs se poste derrière elle, écoutant la musique ; en les observant, je remarque au bout de quelques instants que l'un fait un signe à son pote en désignant le cul bien rond de ma chérie qui se trémousse juste devant lui ; ils se tapent dans la main en se marrant et le deuxième commence à se rapprocher doucement du dos de ma danseuse première classe, jusqu'à l'effleurer. Elle, bien-sur, capte de suite le petit jeu et se retourne en me jetant un bref coup d'œil ; Ce genre de choses étant usuel en boite, elle continue de danser en le chauffant un peu. Le mec s'enhardit et, à ma grande surprise, pose la main sur ses fesses ; Je me doutais un peu de sa réaction : elle se retourne, le scrute d'un air hautain et ne relève pas, d'ailleurs moi non-plus ; Les femmes savent très bien se dépêtrer de ce genre de situation sans aide si elles en ont envie.
Seulement, le mec a du prendre ça pour une invitation et la saisit maintenant par la taille, collé contre elle. Je suis alors partagé entre l'envie de lui ôter la vie et, tout de même, de laisser faire ; j'opte pour la deuxième solution, la vodka m'enhardissant quelque peu. Elle continuait périodiquement à se mettre de coté afin de me voir et de vérifier si son petit manège me plaisait.
Après quelques minutes de danse, je remarque que ses deux potes se sont déplacés et sont maintenant de chaque coté ; Je me doutais de ce qui allait se passer mais je laissais faire commençant à fantasmer sur la situation. Les deux se rapprochent encore et commencent à la toucher aussi : Le ventre, puis les fesses, s'assurant du bout des doigts quelle ne porte rien dessous.
Voir mon amoureuse se faire ainsi peloter comme une vulgaire salope ne me rendait bizarrement même pas jaloux ; La connaissant, je savais que cela devait commencer à l'exciter aussi, sachant que mon regard était constamment posé sur elle. En tout cas, le pelotage devenait de plus en plus méthodique et en me déplaçant un peu sur le coté, je vis que celui qui dansait avec elle avait passé la main dans le décolleté de sa robe, lui caressant allègrement sa poitrine libre de soutien-gorge ; Je décidai alors de la rejoindre, les choses s'accélérant tout de même pas mal ; J'arrivai donc détendu, un verre à la main que je lui offris.
Les gars furent un peu surpris, mais ne savaient pas qui j'étais ; Je me retins d'intervenir, ce qui les encouragea à recommencer leur plan quelques minutes plus tard ; je me rendis compte que je bandais nettement et que mon pantalon me serrait ! Quelque chose m'empêchait de m'annoncer en tant que petit ami, ayant peur de tout stopper. En baissant les yeux, je vis que cette cochonne massait la bosse au niveau de la braguette du danseur, puis passait à celle de son pote... Et ainsi de suite ; elle me regardait droit dans les yeux, comme pour me dire "arrête tout si tu veux" ; Mais je n'en avais plus envie ! Le comble, c'est que l'un des mecs me fit un clin d'œil en la regardant, genre "sacrée salope celle là !". Se décalant, elle passa à ma queue, qu'elle massa aussi au travers de mon pantalon. Un des mecs était passé devant elle et en lui tournant le dos, et commençait de remonter sa main sous sa robe, atteignant directement sa chatte. Les gens autour de nous commençaient à remarquer la situation, d'autant plus que sa petite main agile était à présent dans le caleçon de l'un d'eux. Le danseur lui parla à l'oreille et lui lécha dans la foulée ; ma chatte se retourna, toujours encombrée des trois paires de mains qui l'exploraient et vint me voir ; ils proposaient de passer boire un verre à leur voiture, apparemment copieusement fournie de bouteilles d'alcool diverses. Nous n'avons pas hésité et avons acquiescé.
Nous arrivâmes quelques instants plus tard sur le parking, les oreilles bourdonnantes. Ils ne la lâchaient plus ! Ils étaient visiblement très excités et avaient envie d'aller plus loin ; j'appris sur la route qu'ils étaient espagnols, langue que je connais suffisamment peu pour nous amener à discuter en Anglais.
Arrivés à leur voiture, nous leur expliquâmes que nous étions en couple, même si apparemment, ils l'avaient tous trois déjà deviné. Je discutais avec l'un des mecs, l'autre versait des verres et le danseur était accolé contre la voiture, la main fourrée entre les jambes de ma belle ; elle ne décollait pas son regard du mien, et je pouvais lire le trouble dans ses yeux ; je voyais aussi que l'alcool la désinhibait, la rendait plus sûre d'elle.
Ce qui devait arriver arriva : le danseur sortit sa queue (de belle taille le salaud) afin de se faire branler. Elle s'en saisit à pleine main et le masturba vigoureusement ; à ce moment la, je ne sais pas ce qu'il me prit, mais je m'approchai d'elle et relevai d'un cou sa robe jusqu'au nombril, exposant ainsi son sexe épilé à la vue de tous ; Je crus qu'elle allait jouir de surprise tant cela l'excita.
L'enchainement des mains parcourant son corps reprit de plus belle : l'un explorait sa chatte de plusieurs doigts avides, l'autre s'attelait à assouplir son petit trou. Le danseur essaya de l'embrasser mais elle se détourna ; cela me fit terriblement plaisir, car elle me prouvait ainsi d'un simple geste que c'était toujours "notre" histoire, purement sexuelle ; elle les prévint d'ailleurs que personne ne la pénètrerait. Je me penchai et l'embrassai longuement, jusqu'au vertige ; un beau baiser ; chargé d'amour.
Elle me fit un clin d'œil, s'abaissa et sortit les deux autres queues pour les masturber ; plus rien n'existait alentours ! Elle était accroupie jambes écartées, le sexe à l'air avec deux verges au niveau du visage. Le danseur lui, continuait de doigter sa petite chatte ; il en retira ses doigts et lui fourra dans la bouche en lâchant quelque-chose en espagnol à ses amis. Ils rirent tous les trois avant de me traduire "cette meuf est vraiment une chienne !" Je ne pouvais qu'acquiescer, me demandant comment j'aurais réagi si je m'étais trouvé à leur place...
Elle me fit alors craquer : Toute souriante de cette inattendue considération, elle enfonça une des deux queues au fond de sa gorge, jusqu'à s'étrangler. D'autres personnes s'étaient arrêtées - d'ailleurs plusieurs filles curieuses également - et suivaient la situation avec autant d'intérêt que d'étonnement.
Je sortis tout de même mon sexe, mais en restant toujours de coté ; spectateur. Mon bas-ventre était bouillonnant d'excitation.
Visiblement, notre danseur intrépide n'en pouvait plus ; il lâcha un peu sa chatte pour se relever et s'astiquer frénétiquement devant son visage ; elle me regarda pour demander la permission, prit sa bite en bouche et l'amena à l'orgasme ; il émit un râle sourd et se vida plus que raisonnablement dans la bouche de ma "chaude moitié" ; le travail de doigt entrepris par l'un des compères porta apparemment ses fruits car elle jouit au même moment, laissant échapper un flot de sperme épais de ses lèvres, en déglutissant difficilement le reste.
Fatiguée ? Pensez- vous ! Elle passa instantanément à la queue d'à coté, puis à l'autre, se les passant ainsi à coups de langue. Elle semblait en transe ! Le second ne fut pas long à venir et lui gicla de longs traits de semence au travers du visage ; il la prit par les cheveux et lui fit nettoyer sa queue ; de la sueur perlait de partout sur le visage. Le dernier fut un peu plus long : il déboutonna le haut de sa robe afin de sortir ses seins et s'enfonça à nouveau dans sa bouche, jouant avec son bassin afin de lui faire avaler sa queue le plus profondément possible, puis la sortit de nouveau afin de lui enfoncer ses couilles dans la bouche ; il jouit la bite contre son front, laissant le tout couler doucement sur son visage.
Ma belle se releva, visiblement encore avide de sexe, car elle ne se recouvrit même pas ; elle était maculée de sperme : il y en avait partout sur son visage, ses cheveux, sa belle robe... Nos discutâmes quelques minutes ; ils voulurent nous donner leur mail mais nous déclinâmes l'offre, n'y trouvant aucun intérêt. En me retournant, je vis qu'en autre mec s'était approché et commençait à peloter ma cochonne qui était en train de se revêtir. Nous décidâmes donc de partir au plus vite.
Quelques mètres plus loin, elle me regarda et me lança : "Cap ?" mais "De quoi ?". Cette sacrée petite perverse visiblement chauffée à blanc me proposa.........De retourner dans la boite sans se nettoyer ! La pensée de la voir à l'intérieur encore maculée du jus de ces inconnus sous le regard des autres m'excita de plus belle. Elle laissa son décolleté largement ouvert et nous retournâmes à l'intérieur ; il était à peine 5 heures et la boite ne fermait que deux heures plus tard.
L'effet ne se fit pas attendre : les mecs ne la lâchaient pas du regard, se demandant si ce qu'ils voyaient était bien ce qu'ils pensaient être : les coulées qui allaient maintenant jusque ses seins ne laissaient pas beaucoup de doute sur leur origine...
Cette fois la, nous restâmes à deux à danser :
_ Au bout de cinq minutes, j'avais à nouveau relevé sa robe, découvrant son petit cul de moitié.
_ Au bout de quinze minutes un bon groupe d'hommes s'était agglutiné autour de nous, attendant sans doute une ouverture.
_ Au bout de vingt, un nouveau loustic commençait à la coller.
Je n'en croyais pas mes yeux : nous qu'y n'avions jamais abordé réellement la possibilité d'un tel plan, nous retrouvions au beau milieu de la foule, assaillis de tous cotés, ma belle affichant sur elle comme un trophée le plaisir de ces trois hommes. Cette pensée m'a fait me rendre compte de la valeur de notre complicité, de l'importance de la connaissance de l'autre, car l'alcool aidant, nous aurions facilement pu dépasser des limites mal fixées, mal comprises.
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Nous avons eu envie de nous retrouver à deux ; nous avions d'ailleurs totalement oublié nos amis !
Nous sommes donc repartis à notre voiture, bien décidés à "Se finir ça à deux".
Nous nous sommes installés à l'arrière, sur la banquette ; sa robe a disparu et elle s'est retrouvé entièrement nue ; j'aime beaucoup la voir ainsi nue alors que je n'ai même pas retiré un seul vêtement. Je lui ai profondément léché la chatte ; elle était trempée comme jamais. En me relevant, j'ai vu un, puis deux visages à la fenêtre qui nous regardaient ; je reconnus notre inconnu qui avait tenté de se faufiler après les trois espagnols lorsque nous étions encore à leur voiture. Nous nous sommes regardés : "rebelote?"
Elle s'est mise face à la fenêtre, porte fermée, afin de se masturber face à eux, les jambes largement écartées. Rapidement, j'abaissai suffisamment la fenêtre afin qu'ils puissent l'aider à se toucher.
Je sortis de la voiture, m'allumai une cigarette et fit le tour afin de leur parler. Ceux ci étaient français cette fois ; je leur demandai si ce qu'ils voyaient leur plaisait ; il me répondirent que oui ; Puis je leur proposai de la toucher à leur tour. Vu leurs têtes, je ne pensais pas qu'ils allaient refuser.
Je fis signe à ma chérie qui s'empressa d'ouvrir la portière afin de s'assoir les jambes à l'extérieur ; elle était à peine installée que le plus jeune des deux plongea la tête entre ses jambes. L'autre, qui devait bien avoir la cinquantaine bien pesée, plutôt bedonnant, se mit à lui toucher les seins en se masturbant ; je pouvais sentir que son sexe dégageait une forte odeur d'urine et n'était visiblement pas très propre, le dépôt blanc maculant son prépuce étant plutôt important. Je pensais qu'elle allait refuser sa verge en bouche, se bornant à le masturber, mais il n'en fut rien : elle la prit et la nettoya consciencieusement, aspirant le gland violet entre ses lèvres pincées, nettoyant le frein du bout de sa langue fine. Bizarrement, c'est sans doute au mec le moins attirant de tous à qui elle a pratiqué la meilleure fellation.
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Celui qui s'affairait sur sa chatte se releva mais cette fois ci, elle le finit rapidement à la main, dirigeant la semence sur ses seins. Le cinquantenaire ne cessait de marmonner, la traitant de "petite pute", de "garage à bites". Il n'avait toujours pas joui ; je voyais sur le visage de ma chérie l'envie de faire durer encore un peu cette expérience qui ne se reproduirait peut-être jamais.
Et pour la dernière fois de la soirée, elle prit une initiative dont je ne l'aurais crue capable : le plus vieux avait fait une pause, ne pouvant apparemment jouir sans uriner au préalable ; elle se leva de la voiture, passa devant lui qui s'était posté à quelques mètres et lui demanda..... De lui uriner dessus ! C'est une pratique que nous avions déjà essayé, mais dans l'intimité de notre salle de bain ; la, elle passait des étapes à la volée !
Elle m'expliqua plus tard que le sentiment d'avoir été utilisée, voire souillée et bien-sur dominée, avait été l'élément déclencheur de cette situation ; La connaissant, je ne m'inquiétais pas pour elle, l'ayant toujours admirée pour sa capacité à assumer ses propres perversions, comme des éléments fondateurs de sa personnalité.
Elle se posta à genoux à ses pieds, le fixant comme si tout dépendait de lui. Il fallut quelques instants à l'homme pour digérer cette proposition pour le moins inattendue ; Le plus jeune me fixait comme si il était évident que j'allais bondir pour tout arrêter. Je n'en fis rien.
Le vieux ne tarda à se rasséréner, se décalotta et commença à se lâcher sur elle ; Partout. Dans ses yeux, ses cheveux... Son urine très foncée laissait un halo plus sombre sur sa peau pale. Son aplomb m'impressionnait.
Elle se tourna légèrement et me fixa d'un air de défiance ; Je me serais cru dans Sexus d'Henry Miller. Plus rien ne pouvait m'étonner ; je me rallumai une nouvelle cigarette et commençai lentement à extraire ma queue pour me toucher ; Je vis le plus jeune se positionner et commencer lui aussi à l'asperger d'urine ; Elle affrontait le jet bouche grande ouverte, toujours entièrement nue.
J'avais tout de même l'appréhension de tomber sur une bande de mecs stupides avec qui la situation aurait pu dégénérer ; Pourtant, je ne pouvais me détacher de son regard brouillé qui traduisait l'intense état d'excitation dans lequel elle se trouvait ; Ce fut presque avec soulagement que je vis que derrière nous, nos amis espagnols nous avaient retrouvés. Je ne sais pas depuis combien de temps ils étaient la, mais à en croire leurs mines hallucinées, cela faisait suffisamment longtemps !
"Do you wanna use her ?" Cette phrase était presque sortie naturellement ; je me faisais l'effet d'un maître dominateur dans son donjon ; c'était pourtant bien elle qui gérait la situation, qui déterminait les règles.
Notre ami danseur n'a pas hésité longtemps : il s'est avancé et après un court instant de réflexion a "ouvert les vannes".
Ma belle dégageait une incroyable impression de sensualité ; elle se caressait le corps en recevant cet improbable breuvage comme une offrande, laissant déborder lorsque sa bouche était pleine, mais aussi - je l'ai su plus tard - en en avalant une bonne partie. J'avais l'impression que paradoxalement, elle inspirait le respect à ces hommes qui la souillaient à tour de rôle.
Il fallut que je motive un peu les deux Espagnols restants, cette pratique les laissant apparemment dubitatifs ; Je leur promis donc une autre pipe, leur faisant comprendre que leur plaisir m'importait peu, mais que je souhaitais lui donner ce qu'elle voulait ; Il n'y avait qu'elle d'importante ; Ces hommes n'étaient que les pions d'un jeu dont je découvrais moi aussi les règles.
Le suivant n'avait pas du aller aux toilettes de la soirée et l'arrosa longtemps, suivi de son ami, qui fut beaucoup plus modeste. Elle gémissait doucement en se touchant le clitoris, les jambes et les genoux souillés de terre, sa vulve ouverte collectant les jets d'urine ; Le vieux la tripotait frénétiquement insinuant ses doigts partout ou il pouvait, continuant son monologue d'insanités. Il se releva d'un coup et jouit enfin dans sa bouche qu'il maintenait ouverte, y enfonçant à nouveau son pieu. Il s'essuya dans ses cheveux et partit sans un mot.
Je vis alors de loin que la boite fermait, ce qui voulait dire parking bondé dans les instants qui venaient ; Tant pis pour la fellation promotionnelle des espagnols.
J'aidai ma belle à se relever et sans même remettre sa robe, nous partîmes de suite, peu désireux de rejoindre nos amis.
Nous ne pûmes nous empêcher de stopper quelques kilomètres plus loin, à une pompe à essence déserte. Je ressentais plus que jamais le besoin de la dominer à mon tour. Je la fis sortir de la voiture et sans plus de préparatifs m'enfonçait dans son anus encore souple des attouchements précédents. Le fait qu'elle soit ainsi poisseuse me plaisait. Il ne me fallut que quelque va-et-viens pour me vider longuement, secoué de spasmes violents.
Nous nous embrassâmes à nouveau, échangeant sans un mot un long regard équivoque et reprîmes la route.
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Vendredi 5 février 5 05 /02 /Fév 13:01
Je m'appelle Patricia, j'ai 44 ans. Je mesure 1m75 pour 66 kg, brune aux yeux verts, les gens disent de moi que je suis une très belle femme. J'ai une poitrine généreuse et ferme et un surperbe petit cul. Malgré les nombreuses propositions et avances que les hommes me font souvent et malgré le fait que mon mari soit plûtot du genre libertin avec moi (il m'est fidèle et ne m' a jamais trompé) il était jusqu'à cette aventure le seul homme avec qui j'avais fait l'amour. Il a toujours voulu m'emener dans des clubs échangistes mais les scénarios trés chaud qu'il imagine souvent agrémenté de gods, vibros ou autres gadgets me suffisait largement. J'aime le sucer, le faire jouir dans ma bouche, mais je n'avale pas son sperme, je le trouve trop amère. Je pratique également avec lui la sodomie sans problème. Son plus grand fantasme est de me faire l'amour avec un autre homme, le mien, que je ne lui l'ai jamais vraiment avoué est de faire l'amour avec une femme. Je me masturbe très souvent en pensant à celà. Ma vie séxuelle a vraiment changé l'été dernier. Mon mari été aux états-unis depuis trois semaines et dans la zone pavillonaire ou nous habitons dans la région de Nevers une entreprise Marseillaise était chargée du ravalement et de l'isolation extérieur. Cinq ouvrier étaient prévus pour notre pavillon durant une bonne semaine. J'ai assez vite remarqué que l'un d'entre eux trouvé régulièrement des prétextes pour m'aborder et discuter avec moi. Belle homme, 35 ans environ, avec un corps trés musclé et bronzé (métier de force et dans la chaleur) il était souvent en jean et torse nu. Trés sympatique, vraiment gentil, intérressant, sans ne jamais débiter des banalités, nous avions en quelque sorte sympatisé. Le vendredi soir, vers 19h alors que je m'appretais à passer à table, on sonna à ma porte. C'était lui avec un de ses collègues qui venaient faire le point sur la réalisation des travaux qui venaint de se terminer et pour controler s'ils étaient conformes au cahier des charges. Je trouvais cela un peu curieux venant de la part d'ouvrier mais je répondis à leurs questions. A la fin de leur questionnaire (qui n'était pas vraiment professionnel et qui n'étais que prétexte à venir me voir) je leur proposais naturellement de leur offrir l'appéritif, bien entendu ils acceptèrent avec plaisir. Whisky avec glace pour l'un, martini pour le second et vodka pomme pour moi. Nous étions dans le salon, eux sur le canapé et moi en face dans le fauteuil. Il faisait assez chaud ce soir là et j'étais vétu d'une petite robe d'été en coton, moulante, assez courte, bien décoleté , sans soutien gorge (l'été je n'en porte que trés rarement) et d'un petit string blanc en dentelle. Ni vulgaire, ni provocante, juste un peu sexy et trés adapté à ces chaleurs estivales. Après le deuxième verre, j'étais trés légèrement euphorique. J'étais bien en compagnie de ces deux hommes. Je me suis appercu à ce moment là que le deuxième n'arrêtais pas de regarder avec insistence, soit mes cuisses, soit mon décoleté sans la moindre gêne et qu'il avait l'air d'y prendre un certain plaisir. Cela provoqua en moi un certain émoi. Lui avait environ trente ans et j'étais assez flatté de le voir mater mes attribus. Mario, le plus vieux remarqua aussi mon trouble. Après trois semaines d'abstinences et en la présence des ces deux jolis hommes je fut de plus en plus émue et c'est l'érection de la pointe de mes seins qui leur dévoila que j'allais être leur proie. La bosse sur le pantalon de Steve me le confirma et fit fourmillé mon bas ventre. Je devais reconnaitre que je mouillais malgré moi et que j'étais dans un état second. Ils m'invitèrent à venir m'assoir entre eux et c'est sans aucunes résistances que je m'éxécuta. Trés délicatement Steve commença à me caresser les cuisses, Mario m'embrassa dans le cou en caressant mes seins. Il posa le haut de ma robe, leur dévoilant ainsi ma belle poitrine avec les tétons dréssés comme jamais. Deux bouches se mirent à les sucer, les lécher, les mordiller m'arranchant des petits gémissements. Mes cuisses s'écartèrent d'elles même au moment ou une main se glissa entre elle pour se dirgirer vers ma petite chatte déja toute trempée. Deux doigts experts écartèrent mon string, touchèrent mes grosses lèvres charnues et s'enfoncèrent dans mon intimité. Ce n'était plus une chatte s'était une fontaine et Steve s'écria:

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- Putain comme elle mouille la salope!
Il s'agenouilla entre mes cuisses, me fit relever ma robe sur mon ventre. Il retira mon string et plongea sa tête entre mes cuisses. Il plaqua sa bouche contre mes lèvres, passa sa langue entre elle et remonta jusqu'a mon clitoris qu'il se mit à sucer. Mario d'une main me carresa un sein et me suca l'autre. J'étais au 7è ciel et je ne résistais pas plus de deux minutes à ce traitement de choc. J'explosais dans la bouche de Steve. Un orgasme d'une violence terrible et d'une puissance inouïe. Tous les habitants du quartier on dû l'entendre. Il m'a fallu quelques minutes pour reprendre mon souffle. Et la je me suis étonnée moi même. J'ai eu une énorme envie de voir leurs sexes, de les toucher, de les sucer. Moi qui pensait que je n'arriverai jamais à être une vraie salope en dehors de mes fantasmes, j'étais entrain d'en devenir une! Je les fis mettre debout sur le tapis du salon et je m'agenouillais devant eux, sans perdre plus de temps je defis les deux boutons tour à tour et fis glisser les fermetures éclaires puis baissais les deux pantalons, Steve portait un boxer ou je vis la belle bosse de sa queue et Mario un slip classique avec une énorme proéminence qui se dessinait. Je palpa ces deux bites à travers l'étoffe. Ils baissèrent d'eux même leurs slips et je fut enfin à quelques centimètres de ces sexes qui bandaient. Steve avait environ le même sexe que celui de mon époux, mais Mario était vraiment doté d'un énorme sexe, 25 cm, peut-être plus et d'une grosseur impressionnante. je commencais par prendre les bourses dans chacunes de mes mains, les caressant, les malaxant, puis je saisis les bites en les effleurant d'abord, puis en les caressant doucement avant des les branler plus énergiquement. Mes yeux ne quittaient plus ces deux belles bites. J'étais comme hypnotisée devant ce magnifique spectacle, puis n'y tenant plus je commençais à lécher les membres, les glands tour à tour. C'était vraiment bon et très très excitant. Je mouillais toujours autant. Je me mis enfin à les sucer tour à tour, sans jamais ne lacher l'autre queue. Je devais faire des gros efforts pour sucer la verge de Mario tant elle était grosse.
J'entendais les encouragements de mes deux amants:
- oui, vas-y, suces nous bien petite salope, tu aimes ça, hein?

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- tu le veux notre foutre dans ta grande bouche de cochonne!
Cela ne faisait que m'exciter d'avantage et je sucais de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Steven céda le premier, j'entendis un rale, je sentis un jet puissant et chaud frapper mon palais. J'ouvris en grand la bouche et me recula de cinq centimètres pour qu'il puisse voir sa semence innonder ma bouche. il y eu 3 autres jets.
- Avale tout petite salope!!!
J'étais beaucoup trop excitée pour penser à quoi que ce soit et j'avalais toute la quantité de sperme. A ma grande surprise ce fût plûtot agréable, chaud, crémeux, sucré. Mario me demanda de me mettre à quattre pattes sur le canapé. Je m'excécuta, il se positionna derrière moi, plaça son énorme queue à l'entrée de mon vagin et s'y enfonça avec lenteur. Je poussa un cri de plaisir, il me remplissait complètement la chatte. A chaque coup de butoir, il m'arrachai un cri de plaisir. Il me baisai à présent avec vigueur me tenant fermement par les hanches. C'était divin. Quand Steve se positionna devant moi, j'avala directement sa belle queue. Je le pompais à nouveau comme une malade. J'étais entrain de réaliser le fantasme de mon mari, mais sans lui, je me faisais baiser par deux hommes. L'un me sautais et je sucais l'autre. Mon dieu que c'était bon. Mario cracha entre mes fesses et ses doigts commencèrent le travail en dilitant mon petit anus, je savais que je n'allais pas non plus échapper à la sodomie. Il se retira de ma chatte trempée, s'allongea sur le tapis du salon et me demanda de venir m'empaler sur lui. Après m'être à nouveau exécutée sans rechigner, il demanda à Steve de se placer derrière moi pour m'enculer. Quelques minutes après qu'il ce soit introduit lentement et en douceur au plus profond de mon ventre, je me faisait pistonner avec vigeur par les deux troux. Quel plaisir, quel pied, quel bonheur, énorme. J'hurlais de plaisir, impossible de me contenir, tant les vagues étaient puissantes. Ai-je eu 3 ou 4 nouveaux orgasmes, je ne sais pas. Je sentais ces deux belles queues aller et venir dans ma petite moule et entre mes fesses. Steve de nouveau se mit à jouir le premier, il se retira et vint encore se placer devant mon visage. Pour la deuxième fois de la soirée il éjacula dans ma bouche, j'avalai encore son liquide, cela me déclencha un nouvel orgasme.
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Les "salopes" fusaient de toute part à ma plus grande joie. Mario qui lui avait deux orgasmes de retard sur Steve et au moins six sur moi me demanda de m'allonger sur la table basse du salon, il ecarta mes cuisses, plaça mes pieds sur ses larges épaules, s'agenouilla entre mes jambes et plaça son énorme queue à l'entrée de mon anus. Malgré la taille de son pénis et l'etroitesse de mon petit cul, je ne pouvais lui refuser mes fesses. Malgré le fait que son membre soit enduit de ma mouille et que Steve avait déjà élargi le passage, l'introduction fût lente, longue et un peu douloureuse. Une fois le membre entièrement dans mon joli petit cul et une fois la brûlure disparu, Mario commença à me pistonner d'abord délicatement, puis plus vite et enfin vigoureusement. Jamais je n'avais joui aussi fort de ma vie, l'orgasme était constant, permanent, je criais des mots insensés, que j'aurais été incapable de prononcer:
-Oh oui, c'est bon, vas-y, encule moi bien, Je suis votre petite salope, défoncez moi, baisez moi , faites moi jouir, oui encore.
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Après au moins 10 mn de ce traitement de rêve, Mario se retira et vint inonder mon visage et ma bouche. Pour la troisième fois de la soirée j'étais entrain d'avaler du sperme...et cette fois-ci quelle quantité. des jets puissants et longs, lui aussi avec un sperme délicieux. J'ai tout avalé jusqu'à la dernière goutte, même celui que j'avais sur le menton, dans le cou et sur les seins. Je dois avouer que quelques minutes aprés cette éjaculation dantesque, j'ai eu un gros coup de pompe, j'étais épuisée, vidée, j'avais trop joui mais j'étais tellement heureuse. J'ai dormi comme un bébé jusqu'au lendemain matin. J'ai téléphoné à mon mari pour lui comter mon aventure en lui promettant de recommencer le plus souvent possible mais en sa compagnie.Depuis nous fréquentons certains clubs et une fois par mois nous descendons à Salon de Provence ou habite Mario et ou nous retrouvons également Steve. Après le double pénétration, je pratique désormais la double pénétration agrémenté d'une petite pipe. C'est encore plus jouissif, croyez moi. Je ne me considère pas comme une salope, mais désormais comme une femme libertine qui vit sa sexualité librement et avec bonheur. Essayez mesdames, c'est divin. Je vous embrasse. Marlène
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 14:35

Mon chéri et moi avons décidé d’aller au cinéma ce matin. C’est quelque chose d’anodin bien sur mais nous avons tous les deux une idée bien précise en tête en partant… Car la salle obscure nous donne quelques idées malicieuses qu’il y a longtemps que nous voulons réaliser. Nous partons donc pour la séance de 11h, nous espérons comme ça qu’il n’y aura pas trop de monde, enfin c’est surtout moi qui l’espère car monsieur, ça le dérange un peu moins… Arrivés devant le ciné nous choisissons un film qui n’a pas trop de succès pour éviter un peu la foule et réaliser ainsi quelques uns de nos fantasmes cachés… Billets en mains nous nous dirigeons vers la salle main dans la main en laissant nos esprits voguer à ce qui allait peut être se passer une fois dans l’obscurité. Nous nous installons à l’arrière de la salle et patatra…. malheureusement pour moi deux filles arrivent et s’installent juste devant nous… Mes idées coquines s’éloignent… Tant pis. Je n’ai plus qu’à me farcir ce navet!!!! La lumière s’éteint, le film commence. Au bout de quelques instants mes petites envies me reprennent … Mais en même temps, de savoir que ses filles peuvent nous voir me dérange un peu. .. Si elles s’étaient installées deux rangs en dessous ça ne m’aurait pas du tout embêté mais là… En plus je vois bien que mon chéri n’attend que le moment où je vais enfin poser ma main sur sa cuisse, et ailleurs aussi bien entendu… et je dois avouer que j’en ai très envie… Le film traîne en longueur… et ces filles qui n’arrêtent pas de se parler!!! Et de se fait elles peuvent voir se qui se passe derrière... Après plusieurs hésitations je me suis dis aller tant pis… il fait noir… elles ont l’air captivées... Je tente le diable… Ma main s’aventurent sur sa cuisse…. Je le sens tressaillir car il connaît mes réticences s’il y a des gens autours de nous… Ma main s’approche des boutons de son pantalon… elle les défait un par un et surprise… mon homme est déjà tout émoustillé… quel coquin! Je commence à caresser son sexe tout tendu sous son boxer, j’aime le sentir tout dur sous ma main… Mais j’en veux plus… alors je libère sa queue de ce boxer qui devenait trop serré…et le voilà, devant moi, gonflé de désir et je n’ai qu’une envie, c’est de le prendre dans la bouche!!! Je le regarde…je sens son regard fixé sur ma bouche… et j’oublie où je suis, j’oublie ces filles qui peuvent me voir à tout moment… j’ai qu’un désir, prendre cette queue au fond de ma bouche. Je m’approche d’elle… je lèche d’abord son gland gonflé…je sens alors la main de mon chéri se crisper et c’est plutôt bon signe… Je fais glisser ma langue le long de sa bite… hum quel délice, j’aime la sentir sous ma langue… mais la lécher ne me suffit pas et je la prends dans ma bouche… j’aime tellement sucer cette belle queue… elle est parfaite pour les pipes… bien grosse comme je les aime… Et là soudain je perçois un mouvement devant nous, je me relève rapidement en espérant qu’elles n’aient rien vu. Mon copain a toujours sa bite dressée et je sais que si jamais elles m’ont vu ça l’exciterai beaucoup.. Et je me rends compte que la situation m’excite moi aussi… bien plus que je ne l’aurai imaginée au départ, car je sens que mon string devient humide… Alors plus rien ne m’arrête, je me jette à nouveau sur cette queue qui n’attend que çà. Je le reprends dans ma bouche et je la suce, je la déguste, je la bouffe toute entière, je la veux au plus profond de ma bouche.

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J’ai toujours aimé sucer et là je me régale, plus rien ne compte à part cette bite qui s’offre à moi… J’alterne entre ma bouche et ma main. Je la branle, je la suce, je descends lécher ses boules... Je suis comme folle!! Et j’entends des petits gémissements que mon chéri essaye de taire mais il n’y arrive pas. Je sais que les demoiselles peuvent nous voir… nous entendre… mais sa n’en devient que plus excitant... Et je continue à rendre fou mon homme, car j’ai une envie bien précise qui se fait de plus en plus présente dans mon esprit… je continue la séance de torture, je sais que mon copain va bientôt atteindre le point de non retour et j’espère bien le surprendre car il ne doit pas se douter de ce qui l’attend… Sa queue va et vient entre ma bouche et ma main… mon string devient de plus en plus mouillé, et je sens cette bite prête à explosée… Mais là je sens une main m’arrêter. Je lance un regard interrogateur à mon copain et il me dit de ne pas continuer car il ne va plus tarder à jouir… Parfait… c’est ce que j’attends depuis un moment… Sans plus attendre je le reprends en bouche et je le suce de plus en plus vite, je veux le faire jouir, ici dans cette salle de ciné, devant ce film pourri... Il me laisse faire, je sens sa respiration s’accélérer, ses gémissements s’intensifient, ses ongles s’enfoncent sur mon bras… Ca m’excite de le mettre dans cet état là. Je sens sa queue se contracter….et enfin il jouit… enfin il se libère dans ma bouche! Je sens un premier jet inonder ma gorge…je jouis presque tellement j’adore ça. Et c’est à ce moment là qu’une des filles se retourne légèrement… mais c’est trop tard je ne peux pas arrêter maintenant! Si je retire sa queue de ma bouche je vais mettre du sperme partout! Et je n’aime pas le gâchis!!! Alors je commence à avaler….sans me soucier des regards….tant pis si elle nous a vu! Un autre jet vient remplir ma bouche…je sens couler son sperme tout chaud au fond de ma gorge, et j’avale tout…j’aime tellement avaler… et pour ne pas laisser sa bite pleine de sperme je lèche jusqu’à la dernière goutte… Puis je pose un dernier baiser sur son sexe…je me relève sur mon siège discrètement…mon chéri se rhabille…nos regards se croisent…je glisse ma main dans la sienne. A ce moment l’une des filles se retournent et nous regarde… je ne sais pas si elle se doute de quelque chose… mais si elle s’était retourné 20s avant…

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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