Je m'appelle Patricia, j'ai 44 ans. Je mesure 1m75 pour 66 kg, brune aux yeux verts, les gens disent de moi que je suis une très belle femme. J'ai une poitrine généreuse et ferme et un surperbe
petit cul. Malgré les nombreuses propositions et avances que les hommes me font souvent et malgré le fait que mon mari soit plûtot du genre libertin avec moi (il m'est fidèle et ne m' a jamais
trompé) il était jusqu'à cette aventure le seul homme avec qui j'avais fait l'amour. Il a toujours voulu m'emener dans des clubs échangistes mais les scénarios trés chaud qu'il imagine souvent
agrémenté de gods, vibros ou autres gadgets me suffisait largement. J'aime le sucer, le faire jouir dans ma bouche, mais je n'avale pas son sperme, je le trouve trop amère. Je pratique également
avec lui la sodomie sans problème. Son plus grand fantasme est de me faire l'amour avec un autre homme, le mien, que je ne lui l'ai jamais vraiment avoué est de faire l'amour avec une femme. Je me
masturbe très souvent en pensant à celà. Ma vie séxuelle a vraiment changé l'été dernier. Mon mari été aux états-unis depuis trois semaines et dans la zone pavillonaire ou nous habitons dans la
région de Nevers une entreprise Marseillaise était chargée du ravalement et de l'isolation extérieur. Cinq ouvrier étaient prévus pour notre pavillon durant une bonne semaine. J'ai assez vite
remarqué que l'un d'entre eux trouvé régulièrement des prétextes pour m'aborder et discuter avec moi. Belle homme, 35 ans environ, avec un corps trés musclé et bronzé (métier de force et dans la
chaleur) il était souvent en jean et torse nu. Trés sympatique, vraiment gentil, intérressant, sans ne jamais débiter des banalités, nous avions en quelque sorte sympatisé. Le vendredi soir, vers
19h alors que je m'appretais à passer à table, on sonna à ma porte. C'était lui avec un de ses collègues qui venaient faire le point sur la réalisation des travaux qui venaint de se terminer et
pour controler s'ils étaient conformes au cahier des charges. Je trouvais cela un peu curieux venant de la part d'ouvrier mais je répondis à leurs questions. A la fin de leur questionnaire (qui
n'était pas vraiment professionnel et qui n'étais que prétexte à venir me voir) je leur proposais naturellement de leur offrir l'appéritif, bien entendu ils acceptèrent avec plaisir. Whisky avec
glace pour l'un, martini pour le second et vodka pomme pour moi. Nous étions dans le salon, eux sur le canapé et moi en face dans le fauteuil. Il faisait assez chaud ce soir là et j'étais vétu
d'une petite robe d'été en coton, moulante, assez courte, bien décoleté , sans soutien gorge (l'été je n'en porte que trés rarement) et d'un petit string blanc en dentelle. Ni vulgaire, ni
provocante, juste un peu sexy et trés adapté à ces chaleurs estivales. Après le deuxième verre, j'étais trés légèrement euphorique. J'étais bien en compagnie de ces deux hommes. Je me suis appercu
à ce moment là que le deuxième n'arrêtais pas de regarder avec insistence, soit mes cuisses, soit mon décoleté sans la moindre gêne et qu'il avait l'air d'y prendre un certain plaisir. Cela
provoqua en moi un certain émoi. Lui avait environ trente ans et j'étais assez flatté de le voir mater mes attribus. Mario, le plus vieux remarqua aussi mon trouble. Après trois semaines
d'abstinences et en la présence des ces deux jolis hommes je fut de plus en plus émue et c'est l'érection de la pointe de mes seins qui leur dévoila que j'allais être leur proie. La bosse sur le
pantalon de Steve me le confirma et fit fourmillé mon bas ventre. Je devais reconnaitre que je mouillais malgré moi et que j'étais dans un état second. Ils m'invitèrent à venir m'assoir entre eux
et c'est sans aucunes résistances que je m'éxécuta. Trés délicatement Steve commença à me caresser les cuisses, Mario m'embrassa dans le cou en caressant mes seins. Il posa le haut de ma robe, leur
dévoilant ainsi ma belle poitrine avec les tétons dréssés comme jamais. Deux bouches se mirent à les sucer, les lécher, les mordiller m'arranchant des petits gémissements. Mes cuisses s'écartèrent
d'elles même au moment ou une main se glissa entre elle pour se dirgirer vers ma petite chatte déja toute trempée. Deux doigts experts écartèrent mon string, touchèrent mes grosses lèvres charnues
et s'enfoncèrent dans mon intimité. Ce n'était plus une chatte s'était une fontaine et Steve s'écria:
- Putain comme elle mouille la salope!
Il s'agenouilla entre mes cuisses, me fit relever ma robe sur mon ventre. Il retira mon string et plongea sa tête entre mes cuisses. Il plaqua sa bouche contre mes lèvres, passa sa langue entre
elle et remonta jusqu'a mon clitoris qu'il se mit à sucer. Mario d'une main me carresa un sein et me suca l'autre. J'étais au 7è ciel et je ne résistais pas plus de deux minutes à ce traitement de
choc. J'explosais dans la bouche de Steve. Un orgasme d'une violence terrible et d'une puissance inouïe. Tous les habitants du quartier on dû l'entendre. Il m'a fallu quelques minutes pour
reprendre mon souffle. Et la je me suis étonnée moi même. J'ai eu une énorme envie de voir leurs sexes, de les toucher, de les sucer. Moi qui pensait que je n'arriverai jamais à être une vraie
salope en dehors de mes fantasmes, j'étais entrain d'en devenir une! Je les fis mettre debout sur le tapis du salon et je m'agenouillais devant eux, sans perdre plus de temps je defis les deux
boutons tour à tour et fis glisser les fermetures éclaires puis baissais les deux pantalons, Steve portait un boxer ou je vis la belle bosse de sa queue et Mario un slip classique avec une énorme
proéminence qui se dessinait. Je palpa ces deux bites à travers l'étoffe. Ils baissèrent d'eux même leurs slips et je fut enfin à quelques centimètres de ces sexes qui bandaient. Steve avait
environ le même sexe que celui de mon époux, mais Mario était vraiment doté d'un énorme sexe, 25 cm, peut-être plus et d'une grosseur impressionnante. je commencais par prendre les bourses dans
chacunes de mes mains, les caressant, les malaxant, puis je saisis les bites en les effleurant d'abord, puis en les caressant doucement avant des les branler plus énergiquement. Mes yeux ne
quittaient plus ces deux belles bites. J'étais comme hypnotisée devant ce magnifique spectacle, puis n'y tenant plus je commençais à lécher les membres, les glands tour à tour. C'était vraiment bon
et très très excitant. Je mouillais toujours autant. Je me mis enfin à les sucer tour à tour, sans jamais ne lacher l'autre queue. Je devais faire des gros efforts pour sucer la verge de Mario tant
elle était grosse.
J'entendais les encouragements de mes deux amants:
- oui, vas-y, suces nous bien petite salope, tu aimes ça, hein?
- tu le veux notre foutre dans ta grande bouche de cochonne!
Cela ne faisait que m'exciter d'avantage et je sucais de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Steven céda le premier, j'entendis un rale, je sentis un jet puissant et chaud frapper mon palais. J'ouvris en grand la bouche et me recula de cinq centimètres pour qu'il puisse voir sa semence
innonder ma bouche. il y eu 3 autres jets.
- Avale tout petite salope!!!
J'étais beaucoup trop excitée pour penser à quoi que ce soit et j'avalais toute la quantité de sperme. A ma grande surprise ce fût plûtot agréable, chaud, crémeux, sucré. Mario me demanda de me
mettre à quattre pattes sur le canapé. Je m'excécuta, il se positionna derrière moi, plaça son énorme queue à l'entrée de mon vagin et s'y enfonça avec lenteur. Je poussa un cri de plaisir, il me
remplissait complètement la chatte. A chaque coup de butoir, il m'arrachai un cri de plaisir. Il me baisai à présent avec vigueur me tenant fermement par les hanches. C'était divin. Quand Steve se
positionna devant moi, j'avala directement sa belle queue. Je le pompais à nouveau comme une malade. J'étais entrain de réaliser le fantasme de mon mari, mais sans lui, je me faisais baiser par
deux hommes. L'un me sautais et je sucais l'autre. Mon dieu que c'était bon. Mario cracha entre mes fesses et ses doigts commencèrent le travail en dilitant mon petit anus, je savais que je
n'allais pas non plus échapper à la sodomie. Il se retira de ma chatte trempée, s'allongea sur le tapis du salon et me demanda de venir m'empaler sur lui. Après m'être à nouveau exécutée sans
rechigner, il demanda à Steve de se placer derrière moi pour m'enculer. Quelques minutes après qu'il ce soit introduit lentement et en douceur au plus profond de mon ventre, je me faisait pistonner
avec vigeur par les deux troux. Quel plaisir, quel pied, quel bonheur, énorme. J'hurlais de plaisir, impossible de me contenir, tant les vagues étaient puissantes. Ai-je eu 3 ou 4 nouveaux
orgasmes, je ne sais pas. Je sentais ces deux belles queues aller et venir dans ma petite moule et entre mes fesses. Steve de nouveau se mit à jouir le premier, il se retira et vint encore se
placer devant mon visage. Pour la deuxième fois de la soirée il éjacula dans ma bouche, j'avalai encore son liquide, cela me déclencha un nouvel orgasme.
Les "salopes" fusaient de toute part à ma plus grande joie. Mario qui lui avait deux orgasmes de retard sur Steve et au moins six sur moi me demanda de m'allonger sur la table basse du salon, il
ecarta mes cuisses, plaça mes pieds sur ses larges épaules, s'agenouilla entre mes jambes et plaça son énorme queue à l'entrée de mon anus. Malgré la taille de son pénis et l'etroitesse de mon
petit cul, je ne pouvais lui refuser mes fesses. Malgré le fait que son membre soit enduit de ma mouille et que Steve avait déjà élargi le passage, l'introduction fût lente, longue et un peu
douloureuse. Une fois le membre entièrement dans mon joli petit cul et une fois la brûlure disparu, Mario commença à me pistonner d'abord délicatement, puis plus vite et enfin vigoureusement.
Jamais je n'avais joui aussi fort de ma vie, l'orgasme était constant, permanent, je criais des mots insensés, que j'aurais été incapable de prononcer:
-Oh oui, c'est bon, vas-y, encule moi bien, Je suis votre petite salope, défoncez moi, baisez moi , faites moi jouir, oui encore.
Après au moins 10 mn de ce traitement de rêve, Mario se retira et vint inonder mon visage et ma bouche. Pour la troisième fois de la soirée j'étais entrain d'avaler du sperme...et cette fois-ci
quelle quantité. des jets puissants et longs, lui aussi avec un sperme délicieux. J'ai tout avalé jusqu'à la dernière goutte, même celui que j'avais sur le menton, dans le cou et sur les seins. Je
dois avouer que quelques minutes aprés cette éjaculation dantesque, j'ai eu un gros coup de pompe, j'étais épuisée, vidée, j'avais trop joui mais j'étais tellement heureuse. J'ai dormi comme un
bébé jusqu'au lendemain matin. J'ai téléphoné à mon mari pour lui comter mon aventure en lui promettant de recommencer le plus souvent possible mais en sa compagnie.Depuis nous fréquentons certains
clubs et une fois par mois nous descendons à Salon de Provence ou habite Mario et ou nous retrouvons également Steve. Après le double pénétration, je pratique désormais la double pénétration
agrémenté d'une petite pipe. C'est encore plus jouissif, croyez moi. Je ne me considère pas comme une salope, mais désormais comme une femme libertine qui vit sa sexualité librement et avec
bonheur. Essayez mesdames, c'est divin. Je vous embrasse. Marlène
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