Histoires de sexe

Dimanche 20 décembre 7 20 /12 /Déc 17:10
Cette histoire s’est passée il y a quelques années. Ma cousine Sylvie était étudiante à l’université. Pour ses vacances d’été, elle avait prévu de partir au Canada trois semaines avec une de ses copines. Malheureusement, celle-ci s’est cassée la jambe dix jours avant le départ. Sylvie était quand même décidée à partir, car cela faisait des mois qu’elle préparait ce voyage. Elle avait fait de nombreux petits jobs pour gagner assez d’argent et elle venait de se faire plaquer par son petit copain. Elle avait envie de partir pour se changer les idées. Elle demanda à d’autres amies mais aucune n’était disponible.

Ses parents un peu inquiets de la voir voyager seule lui proposèrent de partir avec moi. Il faut dire que je connais bien Sylvie. Enfants, nous avons passé toutes nos vacances d’été ensemble à faire les quatre cent coups à la campagne. C’est d’ailleurs avec elle en jouant au docteur que j’ai découvert que les petites filles étaient différentes des garçons. Depuis notre adolescence, nous nous sommes vus moins fréquemment, mais avons gardé de bons contacts.

J’ai donc accepté de partir avec elle. Nous avons découvert la région de Québec et la Gaspésie. Le soir, nous dormions dans des petits motels bon marchés où nous partagions la même chambre en tout bien tout honneur. Nous restions très pudiques, chacun se changeant dans la salle de bain.

Un matin, je me réveillais tout doucement. Sylvie, dans le lit d’à côté, était sur le côté et me tournait le dos. Il faisait assez chaud et elle était recouverte uniquement avec un drap. Il me semblait que sa main droite était en train de s’activer sur son minou. Je ne bougeais pas et ne dis rien.

Le lendemain matin, nous partagions un grand lit car le motel ne disposait plus de chambre à deux lits. Pendant la nuit, j’avais repensé à la situation de la veille et au matin je ne fis pas de bruit en me réveillant. Cette fois j’en étais certain, ma cousine se caressait discrètement à côté de moi. J’observais son petit manège et devinais sa main touchant son sexe. De temps en temps ses jambes bougeaient furtivement pour accentuer les caresses.

A un certain moment, elle dut sentir que je l’observais car elle se retourna et me regarda droit dans les yeux. Elle rougit un peu et m’expliqua que depuis que son copain l’avait quittée, elle n’avait plus de relations sexuelles et qu’elle trouvait du plaisir ainsi à se masturbant. Pendant les deux premières semaines des vacances, elle s’était retenue mais que depuis deux jours, ça lui manquait trop.

Elle me demanda alors : « Et si on se masturbait tous les deux côte à côte ? » J’étais très surpris par sa proposition. Je savais que ma cousine n’était pas une fille coincée mais quand même. Et puis c’était ma cousine ! Mais d’un autre côté, cela faisait plus de quinze jours que je ne m’étais plus vider les couilles alors pourquoi pas une petite branlette. Je lui dis que j’étais d’accord à condition qu’on se mette complètement nus. Elle accepta. J’enlevais mon pyjama et elle retira son t-shirt et sa petite culotte.

Nous nous retrouvions ainsi allongés nus sur le grand lit et je découvris son corps. Elle avait une jolie paire de seins et sa chatte était très poilue. Ma cousine m’observait aussi avec un petit sourire en coin.

« Qu’est-ce qui te fais rire ? » lui demandais-je.
« Tu t’épiles le sexe ? » me répondit-elle

J’expliquais à ma cousine qu’effectivement je m’épilais les couilles, la base de ma queue et que j’enlevais un peu des poils de mon pubis pour des questions d’hygiène et d’esthétisme. Ça la fit marrer, elle qui avait une chatte brune très fournie et elle me fit remarquer que s’étaient généralement les filles qui s’épilaient. Je lui répondis qu’elle ferait d’ailleurs bien d’y penser.

Mais après la rigolade, les choses sérieuses commencèrent. Sylvie se mit à se caresser les seins. Avec sa main gauche, elle pinça son téton puis le roula entre ses doigts. Sa main droite descendit vers son sexe, elle plia les jambes, les écarta et caressa les lèvres de son vagin. J’observais excité, ma bite dans la main, comment ma cousine se donnait du plaisir. La situation était étrange et me procurait un léger malaise, mais l’excitation prit le dessus. Je m’approchais de Sylvie afin de mieux voir ses caresses. Elle lécha son index et dégagea son clito qui sous ses frictions de la main se mit à gonfler. Sylvie introduisit ensuite un doigt dans sa chatte. Ce spectacle me fascinait de plus en plus et mon sexe se mit à durcir.

Ma cousine avait passé la vitesse supérieure. Elle avait maintenant deux doigts en elle et procédait à un pilonnage en règle. C’est alors qu’elle me demanda de la remplacer et d’y mettre deux de mes doigts ce que je fis avec plaisir. Son sexe était chaud et Sylvie commençait à bien mouiller. Elle se mit à onduler dans tous les sens, contractant les muscles de son vagin sur mes doigts qu’elle faisait ainsi aller et venir à l’intérieur de sa chatte et ceci pendant plusieurs minutes. Elle titillait en même temps son clito et finit par jouir.

Je retirais mes deux doigts tout collant et les léchais. J’avais une belle érection et un peu de liquide pré-éjaculatoire coulait de mon sexe. Je pris un mouchoir pour m’essuyer mais Sylvie se redressa et me demanda si elle pouvait toucher ma queue. Elle la prit dans sa main. Sa bouche s’approcha de mon sexe qu’elle décalotta complètement. Sa langue parcourut tous les recoins de mon gland qu’elle nettoya entièrement. Ma queue était dure comme un pieux et je croyais qu’elle allait me faire une petite pipe mais elle s’arrêta.

« Comme ça on aura tous les deux goûté le jus de l’autre » me dit-elle l’œil malicieux. « Maintenant je vais à ton tour te donner du plaisir. »

Sylvie était assise sur le lit et moi debout en face d’elle. Elle prit mon sexe à pleine main et commença à me branler énergiquement. Avec son autre main, elle caressait mes deux boules. Je sentais le plaisir monter en moi. Mes mains exploraient délicatement le corps de ma cousine : ses seins bien fermes, ses cuisses encore gluantes, son pubis velu et doux. J’avais la queue en feu.

« Je veux te voir jouir sur moi » me dit-elle « mais pas sur le visage ».

Elle lâcha ma bite que je pris en main et que j’astiquais frénétiquement. Sylvie me malaxait les fesses. La purée jaillit et mon sperme coula sur ses seins. Ma cousine se massa la poitrine avec ma semence et finit par se lécher le doigt.

Nous nous regardions heureux d’avoir partagé ce délicieux moment mélange de complicité et d’interdit. Nous n’avons jamais repartagé une telle expérience et n’en avons plus reparlé, mais quelques mois plus tard, Sylvie m’a confié qu’elle s’était épilée le minou.
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Samedi 5 décembre 6 05 /12 /Déc 17:09
Mardi après-midi, il fait un beau soleil à l’extérieur, par contre, on sent l’hiver se rapprocher à grand pas. L’air est frais, mais c’est le genre de journée où un bon jogging le matin suivit d’une douche chaude, fait plaisir. C’est aussi le mardi que mon mari arrive vers quinze heures du travail, et j’ai décidé de lui faire une petite surprise. Je suis chef d’une entreprise et je dois souvent rester tard le soir pour finir la paperasse. Ce qui implique que notre vie sexuelle est plutôt monotone depuis quelques mois. Alors, j’ai délégué du travail aujourd’hui pour pouvoir me préparer. Une surprise ça se prépare ! Je suis étendue sur notre lit en train de lire un recueil de nouvelles érotiques, alors que j’entends l’auto entrer dans le garage. J’ai le cœur qui bat la chamade, toute excitée de l’entendre arriver. Je suis en petite tenue sexy, mais recouverte de ma robe de chambre pour ne pas lui en mettre plein la vue tout de suite. Je l’entends qui monte à l’étage pour,comme à son l’habitude, prendre sa douche. Par contre je sais qu’il la prend toujours la porte ouverte. La salle de bain est la pièce connexe aux deux chambres. Je suis dans l’autre pièce, et je l’aperçois qui commence à faire couler l’eau chaude. Je m’installe à l'encadrement de la porte, et j’attends qu’il pose son regard sur moi. Chose faite, avec son regard intrigué, je détache doucement ma robe de chambre avec douceur et sensualité. Je le sens déjà tout excité et nous avons rien fait encore. Petite tenue sexy, cheveux détachés, tout pour lui plaire. Je m’avance donc près de lui et je lui murmure à l’oreille : « Ce soir, c’est à mon tour de te faire plaisir.» En un instant, son membre devient d’une longueur impressionnante. Je l’avais déjà vue, mais de savoir qu’une phrase peut faire cet effet, je me sens toute excitée plus qu’à l’habitude. Je m’absente le temps qu’il prenne sa douche, pour laisser mijoter mes paroles dans sa tête. Il sort de sa douche, et son membre est très dur, à constater la bosse dans la serviette. J'ai alors retiré ma robe de chambre et je me suis étendue sur le lit. La petite tenue est composé d’une brassière en dentèle rose pâle et noir. Elle arrondie de peu ma petite poitrine, mais la rend éperdument attirante. Suivi d’une petite culotte à la garçonne, toujours du même tissu que la brassière. Je l’invite à se coucher près de moi, il ne dit pas non. Il se couche et s’aperçoit que j’ai le contrôle de la situation, mais il adore quand j’ai ce petit regard coquin, ça l’excite beaucoup. Je m’installe sur lui, en fait je le chevauche, et je sens sa main glissé sous mon slip et me caresse doucement mon clitoris. Ha la la, j’étais déjà tout excité, mais l’à c’est le comble de tout. Il sait comment aborder cette région de mon corps. Alors que je deviens de plus en plus humide, je lui murmure quelques mots sensuels à l’oreille. On sent la frénésie dans l’air et soudain on sonne à la porte. Mon mari tout étonné, veut aller voir qui sait, mais c’est moi qui y vais. Je sais qui c’est puisque j’ai appelé Caroline pour aider à contribuer au fantasme de mon mari. Elle se déshabille sous les yeux étonnés de mon mari, elle y va d’une lenteur pour faire languir celui-ci. Plus elle se dévêtit, plus l’attente de mon mari se fait sentir. Il a toujours voulu un trip à trois et je lui offre. Je commence par embrasser Caroline, elle a des lèvres pulpeuses, qui goûtent très bonne. Je ne peux pas m’empêcher me joindre ma langue à la sienne. Je commence à lui faire des becs dans le cou, puis tranquillement je détache son soutien-gorge. Elle à une magnifique poitrine, des seins refaits, je commence à humecter son mamelon et celui–ci devient immédiatement dur. Par la suite j’ose descendre plus bas, je prends le temps d’enlever sa petite culotte avec douceur sous les yeux émerveillé de mon conjoint. Puis Caroline se couche naturellement sur le lit. Je lui liche les cuisses avec sensualité et le monte jusqu’à son clitoris en passant pas ses lèvres succulentes. Je tourne tranquillement avec ma langue sur son clito et elle se tord de plaisir. Du coin de l’œil, j’observe la réaction de mon mari, tout étonné que je puisse procurer autant de plaisir à une femme. Il a le goût de s’en mêler alors je l’invite, Caroline est déjà très prête à recevoir mon mari. Elle a déjà jouie à l’instant où j’ai regardé mon mari du coin de l’œil. C’était tout simplement bon. Elle goûte bonne. Alors mon mari décide de la chevaucher et d’y aller avec douceur vu qu’elle est déjà sous extase. Il la pénètre avec lenteur comme toutes les femmes aimeraient avoir. Puis il accélère la cadence et y va de plus en plus fort et elle ne s’en plat pas, du moins elle crie de plaisir. Caroline vient facilement et elle éjacule relativement beaucoup, ce que j’adore. Quelques fois quand mon mari rentre tard, je vais cogner chez Caroline et on se fait plaisir. Mais ça il ne le sait pas. C’est à mon tour et Caro adore me regarder jouir, elle y trouve son compte la dedans. Puis mon mari m’enfourche comme il sait le faire. Et quelques minutes plus tard je sais mon mari qui va venir bientôt. Il sait que c’est le moment que je préfère, il attend que je jouisse, et aujourd’hui, Caro me donne envie de jouir encore plus fort. Ça y est l’extase totale, j’arc mon dos et je laisse sortir. Mais ce n’est pas terminé je sens l’envie de celui-ci et au moment de son éjaculation, je me mets à lui faire une dernière fellation pour qu’il vienne. Il crie comme jamais, il se laisse aller et j’avale tout, tout ce que je peux, car il éjacule beaucoup. Caroline se rhabille et je lui dis : « à bientôt!». Moi et mon mari, vu notre exténuement décidons de s’ouvrir une bouteille de vin et d’aller prendre un bon bain…
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Vendredi 27 novembre 5 27 /11 /Nov 17:07
Lorsque j’ai fait la connaissance de Véro, elle allait avoir 20 ans dans quelques mois.
C’était lors d’une soirée en plein air où on avait été invités par une amie commune. Elle n’était pas un super canon, mais tout de suite, il y a eu un déclic entre nous et je me suis dit : « je vais la draguer histoire de tirer un coup. » Chose dite chose faite. Elle se laissa draguer et répondit à mes avances. Super ! j’allais pouvoir me la faire. On est sorti ensemble le même soir et j’ai pu lui masser ses gros seins à travers son pull tout en lui donnant baiser sur baiser. Elle me paraissait alors comme une fille facile. Tant pis, il fallait que je la saute. Je lui donnai donc rendez vous pour le lendemain, et elle y fut.
C’est donc dans ma voiture que j’ai pu la peloter après lui avoir défait pull et sous-tif. Elle avait des seins gros et fermes. Elle se laissait faire en me rendant mes baisers. Cette scène fut reconduite pendant quatre ou cinq jours. Jusqu’au jour ou elle vint vêtue d’une jupe. Je me suis dit qu’il fallait à tout prix que je la saute ce jour, ayant toujours un préservatif prêt à l’emploi. Je l’ai conduite dans la maison de ma grand mère, sachant qu’il n’y avait personne. Je lui ai fait visiter les lieux. Une fois dans la chambre, je lui donnai des baisers et, tout en m’asseyant sur le lit, je l’attirai contre moi. Son pull défait tomba à terre et fut rejoint par son sous-tif. Je lui pris la main pour qu’elle la mette sur la bosse de mon pantalon, et je vis qu’elle aussi avait envie mais avait peur de prendre des initiatives. J’aventurai alors ma main sous sa jupe relevée et, d’elle-même elle me facilita le passage en ouvrant les cuisses. Je lui ôtai alors son collant, sa jupe. Elle avait ouvert ma braguette afin de mieux me caresser. Je quittai alors mon pull, mon maillot et mon pantalon et je me retrouvai en slip. Elle semblait terrorisée et n’osait pas regarder mon sexe bandé qui sortait de mon slip.
Ma main s’aventura dans sa culotte que je finis par faire glisser et par enlever. Elle a alors pris sa main pour ce cacher le sexe. La je fus vraiment surpris, car de plus elle me dit : « tu sais, je suis vierge et tu es le premier à me voir ainsi. » Moi qui la croyais fille facile ! Elle vit ma surprise et sortit d’une main mon sexe. Je fis alors glisser mon slip. Je la mis en travers du lit tout en plaçant ses jambes sur mes épaules de façon à ce que son sexe ce retrouve en premier plan et ouvert. Ma queue toute proche commença à toucher son minou. Elle serrait les dents. Ma queue vint buter contre son hymen et elle me dit d’y aller doucement. Je poussai alors, et un « aie » sortit de sa bouche. Elle n’était plus pucelle, ma queue venait de la perforer. Restant immobile un moment, je commençai mes vas et viens dans ce sexe serré, tout neuf. Elle ne disait rien et se laissait faire, immobile. Je n'ai pas été long à gicler en elle n’ayant pas mis la capote. C’est dans ce ventre que personne d’autre que moi avez éjaculé, que je déposais une bonne dose de semence. Elle n’avait pas joui mais semblait heureuse. Il fut temps de se rhabiller et de partir. En chemin elle me dit qu’elle s’était offerte car elle avait peur de rester vierge toute sa vie, elle était timide et peu de garçons s’intéressaient a elle. Les jours qui ont suivi, on les a passés à faire l’amour, et je lui tout appris ; sodomie, fellation… quelques mois plus tard elle est devenue ma femme. Moi qui la trouvais moche et qui voulais juste tirer un coup avec elle !
Elle fut rapidement enceinte de notre premier fils et un jour avec son gros ventre elle me dit : « j’ai ma copine qui est vierge et qui aimerait que tu l’inities. » Elle insistait vraiment et je finis par lui dire oui. Elle invita sa copine qui devint de plus en plus intime avec nous jusqu’au jour où elle coucha chez nous car il était trop tard. Après l’avoir bien excité, c’est ma femme qui a guidé ma queue dans le vagin étroit de Nathalie. Je l’ai dépucelé avec douceur en lui mettant aussi ma semence au fond du ventre. J’ai passé ces derniers mois à lui faire découvrir toutes les joies du sexe. Elle fut une très bonne élève comme sa copine. Il fut ensuite convenu que je pouvais les sauter à tour de rôle, et c’est ainsi que nous avons fait ménage à trois, étant donné qu’elle vient de prendre une chambre à coté de notre appartement. Je regrette un peu qu’elles ne veuillent pas s' "aimer" entre elles.
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 9 septembre 3 09 /09 /Sep 13:55
Il poussa un léger gémissement lorsque ma bouche englouti son penis pour la première fois.
Je le sucais du mieux que je pouvais. Jevoulais qu'il se souvienne de cette fellation toute sa vie.
Il semblait vraiment apprécier mon traitement....
Je l'entendais retenir ses gémissements. Sa queue devenait de plus en plus grosse.
Il sentait que quelque chose allait se passer. Il tenta bien de retirer son sexe de ma bouche mais  je  ne  le  laissais pas faire. Je  comptais  bien  aller  jusqu'au bout.
Soudain il poussa un cri. Son visage se crispa et sa queue explosa dans ma bouche.
Il deversa un tel flot de sperme que ma bouche ne pu tout retenir. J'étais étonnée de la quantité.
Il m'en mis sur tout le visage.
Je mis plusieurs minutes pour dégorger completement sa verge. Je m'appliquais a lecher toute sa semance.
Sam qui n'avait rien perdu de la scène s'approcha de moi et me tendit à son tour son sexe bandé.
Je laissait Paul se remettre de ses émotions et m'occupais de mon copain.
J'aimais le gout de son sexe. Je le sucais presque tous les matins.,,

a suivre
 
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 9 septembre 3 09 /09 /Sep 13:50
L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulé l'année dernière.
Mon ami de l'époque avait invité un collègue de travail à manger.
Alors qu'il était presque 19H, Sam, mon petit copain s'apercu qu'il n'avait rien à boire.
l fila au supermarché situé à quelques kilomètre pour acheter quelques bouteille. Pendant ce temps je prie une douche.
J'étais à peine sortie que la sonnette retentie.
Je m'habillais en vitesse pour aller ouvrir.
C'étais le collègue de mon copain.
Il était très grand, mince et très élégant. Il fut très surpris et géné de me voir dans cette tenue.
Sa timidité m'amusa et je profitais de l'occasion pour m'amuser un peu. Tout en l'invitant à entrer, je fis en sorte qu'il puisse voir
que je ne portais pas de culotte. J'avais juste passé un pantalon à la va vite.
Il le remarqua puisque son visage pris une couleur rouge....
C'est à ce moment là que revins Sam avec deux bouteilles de vin.
Je comptais les laisser pour finir de me préparer mais Sam insista pour que je reste avec eux.
On prie l'apéritif et l'atmosphère était très détendue.
Paul, le collègue de Sam venait d'arriver dans la région. Il était célibataire depuis de longues années. Je fus très surpris car il était plutot beau garcon.
Sa timidité devait l'handicaper énormément.
Je préparais le rpas dans la cuisine lorsque Sam vint me voir.
Il m'expliqua que son copain était encore vierge et il me proposa de lui faire connaitre les joies du sexe à trois.
J'étais très réticente. Je n'avais pas l'habitude de donner mon sexe au premier venu.
Il le compris et n'insista pas.
La soirée continua.
Paul semblait beaucoup apprécier le repas.
Nous avions vider les deux bouteilles et Sam du descendre à la cave en chercher d'autres.
J'étais dans un état d'ivresse avancé.
Sam nous proposa de faire une pause et de retourner un moment au salon.
Il sortit un jeu de dé et nous proposa de jouer un peu. Il y avait deux dés.
L'un représentait des actions et l'autre des parties du corps.
Chacun devais executer ce que les dés indiquaient.
Sam commenca.
Il tira le premier dé : Celui ci indiquait "caresser".
Le second dé indiquait "sexe"
Il plongea donc sa mains dans mon pantalon et atteint directement mon sexe. Par de petits mouvement il le caresssait délicatement.
J'étais très excitée et aussi un peu géné que Sam nous regarde. Lui aussi n'étais pas à l'aise.
Sam retira sa mains et dit :
--"a toi Paul !"
Sam lanca les dés.
"Pincer" et "Fesses"
Paul fut rassurer de ce tirage et il me pinca les fesses à travers le jean.
Puis se fut mon tour.
"Sucer" et "Sexe"
Je m'approchais de Sam pour le sucer lorsque celui ci me proposa de sucer notre invité.
Celui ci n'osa pas protester mais il étais pétrifié.
Je ne protestais pas.
En quelques secondes Paul se retrouva san pantalon.
La bosse dans son calecon indiquait qu'il n'étais pas si réticent.
Je lui baissais le calecon etlibérais sa queue en erection.
Une bien belle queue. 15 bons cm prèt à se faire engloutir par ma bouche experte.
Je rassurais un peu Paul tout en approcha ma bouche de sa verge....
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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Mercredi 11 mars 3 11 /03 /Mars 08:07


Alicia habitait un joli appartement dans le centre ville. Le salon était spacieux et recouvert d'un beau parquet. Son canapé blanc tronait au milieu de la pièce.
Elle me proposa de prendre un verre pendant qu'elle allait se doucher.
Elle avait encore du sperme sur le bas du ventre.
Je m'installais tranquillement avec un whisky.
Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. J'ai du m'assoupir un peu car c'est Alicia qui m'a réveillé en déboutonnant mon pantalon. Visiblement elle n'en avait pas fini avec mon sexe. Elle s'agenouilla et prit mon sexe dans sa bouche. Celui ci dès les premiers coups de langue se durcit dans sa bouche. Tout en me sucant elle massait mes bourses avec sa mains.
C'était très bon. Je me laissait faire.
Elle s'arreta un instant pour enlever me pantalon et mon calecon. Tu sera mieux comme cela me dit elle.
Elle repris sa fellation. Cette fois elle caressait mon anius avec sa mains. C'était une snsation nouvelle pour moi. Je dois dire que c'était agréable. Elle m'avoua qu'elle adorait cela.
Après quelques minutes, alors que je ne m'y attendais pas elle mis un doigt dans le cul. Je fus très surpris mais je la laissais faire.



Elle me demanda si je voulais qu'elle me sodomise ?
Je dois bien avouer que je suis resté un peu surpris de cette demande. J'ai cru d'abord qu'elle plaisantait. Mais lorsqu'elle est revenu équipé d'un gode ceinture, je commencais à paniquer un peu. Je n'imaginais pas qu'on puisse mettre un tel engin dans mon anus.
D'un autre côté je ne voulais pas paraitre géné et je ne protesta pas.
Elle pris un lubrifiant dans la commode et caressa bien mon petit trou. Puis tranquillement elle s'installa derrière moi et placa l'engin à l'entrée de mon orifice. Tu vas voitr me dit elle. Tu n'oubliera jamais cette expérience.
Elle attendit encore queques instants histoire de bien me montrer que c'est elle qui dirigeait puis elle me pénétra. Elle le fit tout doucement pour laisser à mon anus le temps de se dilater. Elle le fit très progressivement mais après quelques vas et viens la totalité du gode eétait dans mon anus. 15 bon centimètres.
Au début je ressentis une douleur intense mais après dix minutes je ne savais plus trop quoi penser. La douleur se mélangait avec le plaisir. Elle me sodomisa comme cela pendant un long moment.
Je ne pouvais rien faire d'autre que la laisser me prendre. Lorsqu'elle eu assez joué avec son jouet elle se retira et elle dit simplement :
-"A toi maintenant"
(a suivre)
Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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