Dimanche 20 décembre
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17:10
Cette histoire s’est passée il y a quelques années. Ma cousine Sylvie était étudiante à l’université. Pour ses vacances d’été, elle avait prévu de partir au Canada trois semaines avec une de ses
copines. Malheureusement, celle-ci s’est cassée la jambe dix jours avant le départ. Sylvie était quand même décidée à partir, car cela faisait des mois qu’elle préparait ce voyage. Elle avait fait
de nombreux petits jobs pour gagner assez d’argent et elle venait de se faire plaquer par son petit copain. Elle avait envie de partir pour se changer les idées. Elle demanda à d’autres amies mais
aucune n’était disponible.
Ses parents un peu inquiets de la voir voyager seule lui proposèrent de partir avec moi. Il faut dire que je connais bien Sylvie. Enfants, nous avons passé toutes nos vacances d’été ensemble à
faire les quatre cent coups à la campagne. C’est d’ailleurs avec elle en jouant au docteur que j’ai découvert que les petites filles étaient différentes des garçons. Depuis notre adolescence, nous
nous sommes vus moins fréquemment, mais avons gardé de bons contacts.
J’ai donc accepté de partir avec elle. Nous avons découvert la région de Québec et la Gaspésie. Le soir, nous dormions dans des petits motels bon marchés où nous partagions la même chambre en tout
bien tout honneur. Nous restions très pudiques, chacun se changeant dans la salle de bain.
Un matin, je me réveillais tout doucement. Sylvie, dans le lit d’à côté, était sur le côté et me tournait le dos. Il faisait assez chaud et elle était recouverte uniquement avec un drap. Il me
semblait que sa main droite était en train de s’activer sur son minou. Je ne bougeais pas et ne dis rien.
Le lendemain matin, nous partagions un grand lit car le motel ne disposait plus de chambre à deux lits. Pendant la nuit, j’avais repensé à la situation de la veille et au matin je ne fis pas de
bruit en me réveillant. Cette fois j’en étais certain, ma cousine se caressait discrètement à côté de moi. J’observais son petit manège et devinais sa main touchant son sexe. De temps en temps ses
jambes bougeaient furtivement pour accentuer les caresses.
A un certain moment, elle dut sentir que je l’observais car elle se retourna et me regarda droit dans les yeux. Elle rougit un peu et m’expliqua que depuis que son copain l’avait quittée, elle
n’avait plus de relations sexuelles et qu’elle trouvait du plaisir ainsi à se masturbant. Pendant les deux premières semaines des vacances, elle s’était retenue mais que depuis deux jours, ça lui
manquait trop.
Elle me demanda alors : « Et si on se masturbait tous les deux côte à côte ? » J’étais très surpris par sa proposition. Je savais que ma cousine n’était pas une fille coincée mais quand même. Et
puis c’était ma cousine ! Mais d’un autre côté, cela faisait plus de quinze jours que je ne m’étais plus vider les couilles alors pourquoi pas une petite branlette. Je lui dis que j’étais d’accord
à condition qu’on se mette complètement nus. Elle accepta. J’enlevais mon pyjama et elle retira son t-shirt et sa petite culotte.
Nous nous retrouvions ainsi allongés nus sur le grand lit et je découvris son corps. Elle avait une jolie paire de seins et sa chatte était très poilue. Ma cousine m’observait aussi avec un petit
sourire en coin.
« Qu’est-ce qui te fais rire ? » lui demandais-je.
« Tu t’épiles le sexe ? » me répondit-elle
J’expliquais à ma cousine qu’effectivement je m’épilais les couilles, la base de ma queue et que j’enlevais un peu des poils de mon pubis pour des questions d’hygiène et d’esthétisme. Ça la fit
marrer, elle qui avait une chatte brune très fournie et elle me fit remarquer que s’étaient généralement les filles qui s’épilaient. Je lui répondis qu’elle ferait d’ailleurs bien d’y penser.
Mais après la rigolade, les choses sérieuses commencèrent. Sylvie se mit à se caresser les seins. Avec sa main gauche, elle pinça son téton puis le roula entre ses doigts. Sa main droite descendit
vers son sexe, elle plia les jambes, les écarta et caressa les lèvres de son vagin. J’observais excité, ma bite dans la main, comment ma cousine se donnait du plaisir. La situation était étrange et
me procurait un léger malaise, mais l’excitation prit le dessus. Je m’approchais de Sylvie afin de mieux voir ses caresses. Elle lécha son index et dégagea son clito qui sous ses frictions de la
main se mit à gonfler. Sylvie introduisit ensuite un doigt dans sa chatte. Ce spectacle me fascinait de plus en plus et mon sexe se mit à durcir.
Ma cousine avait passé la vitesse supérieure. Elle avait maintenant deux doigts en elle et procédait à un pilonnage en règle. C’est alors qu’elle me demanda de la remplacer et d’y mettre deux de
mes doigts ce que je fis avec plaisir. Son sexe était chaud et Sylvie commençait à bien mouiller. Elle se mit à onduler dans tous les sens, contractant les muscles de son vagin sur mes doigts
qu’elle faisait ainsi aller et venir à l’intérieur de sa chatte et ceci pendant plusieurs minutes. Elle titillait en même temps son clito et finit par jouir.
Je retirais mes deux doigts tout collant et les léchais. J’avais une belle érection et un peu de liquide pré-éjaculatoire coulait de mon sexe. Je pris un mouchoir pour m’essuyer mais Sylvie se
redressa et me demanda si elle pouvait toucher ma queue. Elle la prit dans sa main. Sa bouche s’approcha de mon sexe qu’elle décalotta complètement. Sa langue parcourut tous les recoins de mon
gland qu’elle nettoya entièrement. Ma queue était dure comme un pieux et je croyais qu’elle allait me faire une petite pipe mais elle s’arrêta.
« Comme ça on aura tous les deux goûté le jus de l’autre » me dit-elle l’œil malicieux. « Maintenant je vais à ton tour te donner du plaisir. »
Sylvie était assise sur le lit et moi debout en face d’elle. Elle prit mon sexe à pleine main et commença à me branler énergiquement. Avec son autre main, elle caressait mes deux boules. Je sentais
le plaisir monter en moi. Mes mains exploraient délicatement le corps de ma cousine : ses seins bien fermes, ses cuisses encore gluantes, son pubis velu et doux. J’avais la queue en feu.
« Je veux te voir jouir sur moi » me dit-elle « mais pas sur le visage ».
Elle lâcha ma bite que je pris en main et que j’astiquais frénétiquement. Sylvie me malaxait les fesses. La purée jaillit et mon sperme coula sur ses seins. Ma cousine se massa la poitrine avec ma
semence et finit par se lécher le doigt.
Nous nous regardions heureux d’avoir partagé ce délicieux moment mélange de complicité et d’interdit. Nous n’avons jamais repartagé une telle expérience et n’en avons plus reparlé, mais quelques
mois plus tard, Sylvie m’a confié qu’elle s’était épilée le minou.
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