Mercredi 19 mai 3 19 /05 /Mai 13:20

Cette histoire s’est passée quand j’avais 16 ans. Je vivais avec ma mère dans une grande maison du nord de la France. Ma mère occupait un poste de secrétaire en mairie. Pour arrondir les fins de mois, elle louait le second étage de la maison à deux étudiantes d’université pour l’année scolaire.
La première s’appelait Christelle, elle avait 23 ans, brune, une chevelure fine qui tombait sur la nuque avec de superbes yeux verts et une taille de mannequin (1m75 environ)
La seconde s’appelait Delphine, 22 ans, brune aussi avec des cheveux plus long qui tombait jusqu’aux épaules, et des yeux noisettes à croquer. Elle était un peu plus petite que Christelle.
La cohabitation se passé bien. Nous ne parlions pas beaucoup ensemble, si c’est pour dire uniquement « Bonjour » ou « Bonsoir » quand on se croisait dans l’escalier.
En avril, pendant les vacances de pâques, ma mère s’est absenté pour une semaine pour passer des vacances avec son nouvel compagnon qui habitait du coté de Rennes, me retrouvant ainsi seul à la maison.
Même si ce n’était pas la première fois, je me réjouissais de passer une semaine tout seul à la maison, pour sortir avec les copains sans couvre-feu.
Le jeudi soir, il était 19h30, je m’apprêter à sortir pour m’acheter un hamburger à la friterie à 5 minutes de la maison. Sur le seuil de la porte, je vis les deux jeunes étudiantes sortir de la voiture de Christelle.

_Bonjour Arnaud, tu es de sortir ce soir ! M’a dit Christelle

_Non, je vais juste acheter un hamburger à la friterie.

Chacun s’apprêter a continuait son chemin de son côté, quand Christelle m’a interpellé en disant :

_Delphine et moi allons manger au Pizza-Paï ce soir, tu veux venir te joindre à nous !

_Je voudrais bien, mais je n’ai pas assez d’argent sur moi.

_Ce n’est pas grave, ne t’occupe pas de ça, Delphine et moi nous te payons le repas.

_ C’est d’accord ! Ai-je dis en bégayant.

_On part dans une demi-heure, vient boire quelque-chose avec nous ! m’a dit Delphine.

Je suis monté avec eux dans leur studio. Elles m’ont fait entrer dans leur chambre, qu’elles avaient bien aménagée. Il y avait 2 lits séparés dans chaque coin de la pièce et un coin salon avec une petite table basse avec deux chauffeuses au milieu de la chambre.
Delphine et moi, on s’est assis sur les chauffeuses. Ensuite, Christelle est arrivée dans la chambre avec les apéritifs : une Margarita pour Delphine un Blue lagoon pour Christelle, et moi juste un coca. Christelle s’est ensuite assise sur le bord de son lit.
Nous avons discuté de tout et de rien. Elles ont demandé quel âge j’avais, si j’avais une copine, dans quelle classe j’étais etc.…
Durant la conversation, je regardais discrètement le décolleté et les cuisses de Christelle, ce qui m’a donné un début d’érection. De belles images gravées dans ma tête pour mes plaisirs solitaires.
Avant de partir, les deux filles se sont changées dans la salle de bain. Quand elles sont ressorties, elles étaient magnifiquement belles.
Christelle était habillée avec un chemisier noir avec un fort décolleté laissant deviner ses seins et une mini-jupe au raz du cul, et des bas noirs
Delphine était habillée de manière un peu moins provocante, mais tout de même avec un joli chemisier blanc et un jean qui lui moulé le cul à merveille.
Nous sommes partis ensuite au Pizza Paï dans la voiture à Christelle. Elle conduisait tandis que j’étais assis à côté d’elle et Delphine à l’arrière.
Pendant le trajet, je jetais des coups d’œil discrets tantôt sur ses seins tantôt sur ses cuisses.
Arrivé à pizza Paï, j’étais très fier d’être avec deux beautés comme eux.
Pendant tout le repas je regardais avec passions les deux créatures de rêve assis avec moi.
Je savais que j’avais une chance de les sauter. Je me disais pour ma première expérience sexuelle avec deux femmes mûres ça devait être géniale. J’étais excité par cette idée, mais j’avais aussi une angoisse de ne pas assurer.
Sur le chemin du retour, je me suis assis à l’arrière avec Delphine, qui posa sa tête sur mon épaule. Timidement je lui ai passé le bras autour de son cou pour la maintenir contre moi.
Arrivé devant la maison, Christelle me demanda si j’avais déjà eu des relations sexuelles avec des filles. J’ai répondu d’un air gêné que non. Les deux filles me proposèrent alors de faire mon éducation avec elles. J’ai accepté sans hésitation, avec une crainte dans ma voix au moment de dire « Oui j’aimerai bien ».
On est monté dans leur chambre. J’avais les jambes qui tremblaient tellement que j’angoissé à l’idée que l’allait prendre ma virginité avec Christelle et Delphine.
Dans la chambre, Christelle s’est jeté sur moi et m’a rouler une pelle phénoménale. Jamais aucunes filles ne m’avaient déjà embrassé comme ça. Nos langues s’entremêlèrent dans nos bouches. En même temps mes mains avaient glissé sur ses fesses et elle sur mes joues. On s’est arrêté quand elle a senti que je bandais comme un âne à travers mon jean. Avec un large sourire elle a regardé au niveau de mon sexe et a dit :

__Tu m’a l’air bien monté. Delphine et moi, nous avons de la chance, on va bien prendre notre pied.



Delphine m’a ensuite attiré vers elle et a dit :
« Première leçon : la fellation. »
Elle vint contre moi, et m’embrassa, puis je senti sa langue forcer l’entrée de ma bouche, je le laissai entrer, et je senti une douce caresse sur ma langue. Puis, elle s’est assise sur le lit. Elle me regarda :

 

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__ Bon maintenant, je vais enlever ton pantalon. Ne t’inquiète pas, je te guiderai.

Elle me déboutonna mon pantalon, et le fit descendre à mes pieds, puis elle descendit doucement mon boxer, et mon sexe tout tendu se présenta devant elle.
Elle le caressait doucement, cela me plaisait énormément.
Elle avalait doucement mon gland, c’était chaud dans sa bouche, j’ai posé mes mains dans ses cheveux, j’appuyais doucement pour faire rentrer mon sexe dans sa bouche… je la laissai faire, tous ses vas et viens avec sa bouche pulpeuse. Je sentais le plaisir monter en moi.

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Au bout d’un moment, elle s’est retiré pour aller au centre de la chambre, m’a dit de m’approcher et elle s’est remise à me faire une fellation, à genou. Dans le même temps, je lui caressais sa chevelure brune. Elle me regardait avec un regard de chienne comme dans les films porno que je regardais parfois à la télévision. Enfin, elle me proposa une dernière pose… elle s’est couchée sur le lit, et je suis revenu dans sa bouche, J’essayais de résister mais je ne tins pas longtemps. J’ai encore fait quelques vas et viens et j’ai éjaculé dans sa bouche par saccades. Mon excitation était telle que je suis sorti de sa bouche, et mon sperme coula un peu sur son cou et son chemiser. Je cru que c’était fini, mais non.


Cette fois-ci c’est Christelle qui m’attrapa et me dit
« Leçon numéro 2 : le cunnilingus. »
Elle a ouvert son chemisier et ôté son soutien-gorge noir, et elle m’a demandé de s’occuper de ses seins. Elle était assise sur la chauffeuse, et moi j’ai commencé à malaxer ses seins pour finir à les embrasser et à les lécher. Timidement J’ai enlevé sa jupe et son string noir, et j’ai vu pour la première fois de ma vie un sexe de femme. Sa chatte était rasée en « ticket de métro».
Je me levai immédiatement. Elle s’assit à son tour et écarta les jambes. Je m’agenouillai devant elle en détaillant des yeux son corps magnifique ; elle était la perfection même. Me voyant hésitant, elle m’invita à commencer :

__ Commence par découvrir mon corps, caresse-moi.

Je m’exécutai ; je posai mes mains dans son cou et du bout des doigts, je glissai jusqu’à ses seins. Je les contournai par l’extérieur pour glisser dessous et remonter sur ses tétons. Ils étaient petits et roses, tendus vers moi. Je jouai avec eux, les titillant avec mes pouces. Puis j’approchai ma bouche de l’un d’eux et je me mis à le sucer goulûment. Un léger frisson la traversa mais elle continuait à me regarder fixement. Après avoir joué avec l’un, je m’occupai de son autre sein. Naturellement, je promenais mon autre main dans son dos en descendant un peu plus à chaque nouveau passage. Puis je descendis ma bouche à son nombril en couvrant son ventre de baisers. Elle se laissait aller sous mes baisers, ferma les yeux et pencha la tête en arrière en se mordant la lèvre inférieure. Voyant cela, je m’enhardis alors et je descendis ma bouche vers son pubis. Elle a passé ses jambes autour de mon cou, et avec ses mains, elle a maintenu ma tête entre ses cuisses. Avec mes doigts, je caressais ses lèvres humides qui s’écartaient maintenant. Ma langue s’affairait sur ce que je pensais être son clitoris. Étant donné les soupirs qu’elle laissa échapper, j’eus la confirmation de toucher son bouton de plaisir. Elle posa ses mains sur ma tête et l’appuya sur son sexe. Je suçai alors ce bout de chair si sensible tout en reprenant ses seins à pleines mains. Au bout de quelques instants, elle descendit ma tête pour que ma langue se retrouve sur ses lèvres. Je me mis à les lécher goulûment de haut en bas, me délectant de la cyprine qui coulait de son organe. Petit à petit, j’entrais un peu plus ma langue dans sa fente. Puis je l’écartai carrément avec les doigts pour atteindre le plus profond que je pouvais. Ses soupirs étaient plus prononcés et elle commençait à pousser aussi des petits cris de jouissance. Je levai la tête une seconde et je la vis en train de se caresser les seins. Sa jouissance apaisée, elle a enlevé ses jambes de mon cou, et elle s’est levée pour fumer une cigarette.
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Delphine s’est déshabillée entièrement pour m’apprendre la leçon 3 : Le soixante-neuf.
Je m’allongeais alors sur le dos, lui laissant l’initiative. Elle ne se fit pas prier, posa un genou de chaque côté de mes épaules et, se baissant, son sexe humide vint s’écraser sur mon visage. L’odeur me donna une sorte d’ivresse, surtout lorsqu’elle entreprit de se balancer d’avant en arrière, ma langue entre ses lèvres, mon nez frottant son clitoris. Continuant ce manège, elle se pencha en avant et je sentis ses cheveux sur mes cuisses et sa langue agacer le bout de mon sexe qu’elle finit par prendre entre ses lèvres et à faire glisser tout doucement. Elle s’écrasa d’un coup sur mon visage, vaincue par un violent orgasme. Mes mains sur ses fesses, ont s’est fait du bien mutuellement, et au bout de quelques secondes j’ai de nouveau joui dans sa gorge. Nous restâmes ainsi de longues minutes, moi respirant son intimité, léchant tout doucement ses lèvres, elle, me gardant dans sa bouche, totalement ramolli, sans bouger. Nous respirions profondément. Nous étions bien. Tout simplement. Il fallut bien bouger car nous nous engourdissions.

On s’est reposé une heure pour reprendre des forces, en buvant un peu.
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Ensuite Christelle m’a pris les mains et m’a attiré sur son lit.
« Pour la 4ème et dernière leçon, tu va me baiser comme une chienne »
Elle s’est allongée sur le bord du lit, elle a écarté les jambes. Elle m’a demandé d’enfoncer un ou plusieurs doigts dans sa fente.
J'obéis et je rentrai mon majeur dans ce trou chaud et humide. Étant donné la douce sensation que j'éprouvais, je m'imaginais le plaisir d'y glisser mon sexe. Elle s'ouvrait au fur et à mesure et j'eus tôt fait d'y glisser trois doigts. Je lui prodiguai un mouvement de va-et-vient avec mes doigts tandis que ma bouche se remit à sucer son clito. Ses soupirs s'accélérèrent alors, ses cris se firent plus nombreux et plus fort ; elle approchait de l'orgasme. Soudain, son vagin se contracta, elle se raidit et poussa un long râle de plaisir. Je continuai mon action sur son sexe brûlant pour l'accompagner dans son orgasme. Au bout de quelques secondes, alors qu'elle reprenait son souffle, elle me félicita :

– Bravo ! Pour quelqu'un qui n'a jamais fait ça, tu t'en es très bien sorti ! Je dois avouer que tu m'as donné beaucoup de plaisir...

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– Merci. C'était aussi très agréable pour moi de voir que je vous faisais du bien.

J'étais toujours accroupi sur le bord du lit devant elle, mais je m'étais redressé un peu et elle pouvait voir ma queue qui avait repris de la vigueur.

– Je vois que tu es toujours d'attaque... Une telle vigueur ne doit pas être perdue.

En voyant ses yeux pétiller, j’ai compris ce qu'elle voulait dire. J'allais enfin faire l'amour à une femme. Le stress se mit à m'envahir. Elle s'en rendit compte et me rassura :

– Nous allons faire l'amour ensemble et je suis sûre que tu vas me donner beaucoup de plaisir...

Cette phrase résonne encore dans ma tête...
Je ne sus quoi répondre, la laissant prendre toutes les initiatives. Je vins me positionner devant elle et quand elle me tendit ses lèvres, je me mis à l'embrasser passionnément. J'étais collé contre elle et je sentais mon gland contre son sexe humide. Mais je ne voulais rien précipiter, je me contentais de la caresser. Elle en faisait de même, appuyant souvent sur mes fesses pour augmenter la pression de mon sexe sur sa chatte. Ce petit jeu dura quelques minutes et ma queue était dure comme du bois. C'est elle qui décida de la suite.

– Allez, il est temps que tu deviennes un homme maintenant.

Elle prit ma bite dans sa main et colla mon gland sur l'entrée de son vagin.

__Maintenant saute-moi !

J’ai me suis enfoncé d’un coup dans son ventre. Je n'eus aucune difficulté à rentrer en elle. Quelle agréable sensation que de sentir ma queue dans son vagin ! J'entamai un va-et-vient très lent pour découvrir à mon rythme ces sensations nouvelles et cela ne semblait pas lui déplaire. Puis je pris confiance en moi et j'accélérai peu à peu le rythme. Ce faisant, elle m'enserra de ses jambes. J'avais une vue imprenable sur ses seins et je ne me privais pas de les caresser et les embrasser. Avec ses jambes, elle imposait son rythme et moi je me laissais guider.
Je la tenais par la taille tandis que Christelle passa ses mains sur mes fesses, et ses jambes sur mes épaules. Les spasmes de son vagin se sont faits plus violents. C’était comme si elle aspirait mon sexe pour le garder au fond de son ventre. J’aurais voulu que ça dure plus longtemps, mais ça n’était plus possible. J’ai lâché de longues salves dans son vagin serré. Elle a pressé mes bourses, comme pour les vider entièrement. Elle a joui alors que jaillissaient mes dernières giclées.
Elle m'embrassa longuement.

– Tu as aimé ?

– C'était fabuleux. Je n'ai jamais rien senti d'aussi fort. Je ne trouve pas les mots pour le décrire.

– Tant mieux. La première fois, ça reste toujours inoubliable.

_Ça oui, je ne suis pas près d'oublier ça !



« Leçon numéro 5 : la sodomie »
Delphine s’est mise à quatre pattes sur la moquette. Christelle m’a dit :

__ Arnaud, Delphine veut que tu la sodomise !
À ces mots, mon visage s’illumina ; non seulement, je venais de coucher avec une femme mure, mais en plus, j’allais enculer sa copine.
Delphine fouilla dans son sac à main pour sorti un tube. Je devinai rapidement qu’il s’agissait de lubrifiant. Elle se mit à quatre pattes devant moi et me tendit le tube.

__Vas-y, n’hésite pas à lubrifier.
— Je dois t’avouer que c’est la première fois que je vais sodomiser une fille.
— Il faut bien un début à tout.
— En fait, j’ai peur de te faire mal.
— Tant que tu fais ce que je te demande, ça se passera très bien.

Tout en parlant, elle commença à se titiller l’anus avec un doigt. Je mis du gel sur mon index et l’étalai sur son orifice. Petit à petit, je rentrai un doigt dans son anus et cela ne fut pas pour lui déplaire. Elle n’éprouvait pas un plaisir intense, mais semblait satisfaite. Elle me demanda de glisser un deuxième doigt pour bien dilater son anus. Je pris ma bite en main, et la mit à l’entrée de son cul. Malgré le gel, ma queue ne voulut pas rentrer de suite. Je sentais mon gland appuyer sur son anus, mais je ne la pénétrais pas. Elle prit ma bite fermement, l’appliqua bien sur son orifice et réussit à se l’enfiler. Au moment de la pénétration, elle poussa un soupir où se mêlaient plaisir et douleur. Une fois mon sexe complètement entré, je m’arrêtai quelques secondes, afin que Delphine puisse s’habituer à cette nouvelle présence.

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— Ça va ? Tu n’as pas mal ?
— Ça va aller. C’est normal que j’aie un peu mal au début tant que ce n’est pas assez dilaté.
Je la pris par la taille serrant ses hanches. Puis je caressai ses seins à pleines mains. J’accélérais doucement le rythme, et je sentais ma bite rentrer plus profondément en elle, jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Bien que son anus se soit dilaté, je sentais ses muscles contractés autour de ma queue. J’appréciais beaucoup d’avoir ma queue si serrée et, à l’entendre, elle semblait aussi se régaler de ma bite. Elle se mit rapidement à gémir et de plus en plus fort. Elle appréciait vraiment ça, la petite coquine ! Moi aussi je prenais mon pied à fourrer son petit cul, mais elle, semblait vraiment être au septième ciel. Si bien qu’elle eut un orgasme très violent alors que je ne m’y attendais pas. Elle cria, tout son corps se mit à trembler et son anus se resserra autour de ma queue. J’éjaculai alors dans un grand râle de plaisir. Je sentis mon sperme se rependre dans son anus. Lorsque je retirai ma bite de son cul, du sperme coulait en dehors de son trou.
Christelle s’est approchée de moi, et m’a demandé.
— Tu as aimé ?
— C’était fabuleux. Je n’ai jamais rien senti d’aussi fort. Je ne trouve pas les mots pour le décrire.
— Tant mieux. La première fois, ça reste toujours inoubliable.
— Ça oui, je ne suis pas près d’oublier ça ! Je peux vous posez une question ?
— Oui, bien sûr.
— Est-ce que vous, vous avez aimé ?
— Tu t’es bien débrouillé pour une première fois…
— Enfin, je voudrais savoir si vous avez joui…
— Quand tu m’as fais ton cunni, oui, j’ai eu un orgasme.
— Oui, mais après, quand nous avons fait l’amour ?
— Non, quand tu m’as pénétrée, je n’ai pas atteint l’orgasme. Mais j’ai quand même pris du plaisir. Tu sais une fille, ce n’est pas comme un mec, ça ne jouit pas à coup sûr. Et il n’y a pas que la pénétration qui compte pour une femme, c’est l’ensemble de l’acte. C’est pour ça qu’il ne faut pas négliger les préliminaires. Mais je ne me fais pas de souci pour toi, tu vas vite apprendre.

Pour finir le spectacle les deux filles ont tenu à me montrer comment deux filles faisaient l’amour ensemble. Christelle s’est allongée par terre et Delphine est venue se placé au-dessus d’elle pour se retrouvé dans un 69 langoureux. J’hallucinais sur ce spectacle que m’offrais les deux filles. Leur langue respective en train de lécher la vulve de l’autre fille, m’ont fait plaisir à regarder. Au bout d’un moment, je me suis approché d’eux et j’ai embrassé en même les fesses de Delphine, et Christelle sur la bouche.

Nous avons fini la nuit en installant les deux matelas de leur lit par terre. Installé entre Christelle et Delphine, j’ai passé la plus belle nuit de ma vie jusque qu’à ce moment là.
Le lendemain matin au moment de se quitter je leur ai dit :

— Je ne sais comment vous remercier pour cette nuit.
— En ne parlant de cela à personne. Et en n’essayant pas de vouloir recommencer avec nous. Nous avons passé un moment très fort, mais il n’y aura pas de lendemain. On ne veut pas que nos copains soit au courant de cette histoire.
D’accord, je vous le promets.
Je me rhabillai rapidement et je quittai leur chambre. Je les regardai nue une dernière fois avec leur déhanché habituel, si sensuel.
Plus d’une fois, je me suis masturbé en pensant à elles. Je ne suis pas près d’oublier ces femmes.

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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