Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 13:24

Je ne suis pas une fille qu'on drague dans la rue. La nature ne m'a pas vraiment gâtée coté physique. Des fesses un peu grosses, des seins trop petits, un visage banal. Bref à 23 ans, j'avais eu que des aventures sans lendemain, et ma sexualité se résumait bien souvent à des séances de masturbation, le soir, seule dans mon lit.

J'étais d'ailleurs experte en la matière, à force de pratique. Je m'inventais des histoires où j'étais attachée, forcée. J'en voulais à mon corps d'être ingrat, et je ne me privais pas de lui faire sentir. Souvent je passais une corde autour de moi au niveau de la poitrine ou du bas ventre, ou alors, je me donnais quelques coups de martinet. Bref, même si je n'osais me l'avouer, et si je n'allais jamais bien loin dans mes sévices, j'étais un peu maso !

L'été dernier, je devais passer une semaine de congés chez ma mère, divorcée depuis 3 ans, qui habitait un village paumé 100 km au sud de chez moi. Je n'étais pas emballée, mais faute de mieux ça me changerait de la cité ou j'étais.
Au téléphone, quelques jours avant, elle me dit qu'elle avait une petite surprise, mais qu'elle ne me dirait rien avant mon arrivée. Et pour cause, sinon j'y serais pas allée !

La surprise, je n'eu aucun mal à la découvrir en arrivant. Ma mère, qui avait 20 ans de plus que moi, s'était trouvé un Jules, alors que moi, j'en étais bien infoutue. En plus il était plutôt bien. J'étais verte de jalousie et faillie repartir aussitôt. Mais faute de trouver un bon alibi, et devant l'enthousiasme de ma mère pour son nouveau Jules (en fait il s'appelait Luc), je fis semblant de partager son plaisir (même lorsqu'elle me dit : Et toi, toujours pas de petit ami ?).

Bref il était temps que la journée et la semaine se terminent !

Le lendemain matin, elle m'annonça qu'elle allait faire des courses (Luc l'emmenait bien sûr) et me demanda si je me joignais à eux.
-"Euh non, je préfère prendre le soleil sur la terrasse".
- "Comme tu voudras ma chérie, j'en aurais pour 2h00, pas plus". Ce qui dans la bouche de ma mère signifiait au moins 3h00 !

J'attendais leur départ en préparant mes affaires sur la terrasse : chaise longue, jus de fruit, et bouquin que je ne lirais pas ! Car j'avais ma petite idée en tête. La terrasse étant à l'abri de tout, je comptais, non seulement m'y mettre dans la tenue d'Eve, mais aussi m'occuper de mon sexe ! Jamais je n'aurais osé faire du nudisme "en public" mais là je réalisais un petit fantasme. Dès qu'ils furent partis, je récupérais dans mon sac de voyage, ma corde, mon martinet et le plantoir en plastique d'un jeu pour enfant qui me servait de gode !

Cela me fit une drôle de sensation de me déshabiller totalement à l'extérieur. Mais une fois allongée nue dans la chaise longue, je me suis sentie excitée et j'ai commencé à me caresser le corps. Je commence toujours par le haut du corps, laissant mon fantasme prendre le pas sur ma raison. Après je noue la corde, ce jour là autour de ma poitrine, la faisant passer sur mes tétons, en serrant suffisamment pour les sentir prisonniers, écrasés : J'adore !

Ensuite j'écarte un peu les cuisses, permettant à ma main de s'insinuer entre les plis de ma chatte. Rapidement je trouve le clito et me caresse lentement en fantasmant. Il faut dire qu'en général, j'aime faire durer longuement mes séances de plaisir solitaire et j'avais bien l'intention d'en faire de même ce jour là. Cependant mon excitation était plus forte que d'habitude et après un quart d'heure de caresses clitoridiennes, j'avais déjà envie d'autres choses. Je pris donc le martinet et commençais à me corriger : d'abord les seins, puis le ventre, les cuisses et l'intérieur des cuisses; Des fois je me lève pour m'en donner sur les fesses et quand je suis très excitée comme c'était le cas ce jour là je n'hésite pas à m'en donner quelques coup dans la raie ou sur la chatte.

Il faut maintenant que je vous dise que je n'avais pas tout compris aux 'courses de ma mère'. Son Jules (Luc), se contentait juste de l'emmener et de retourner la chercher 2 ou 3 heures plus tard ! Il est donc revenu à la maison, quand j'en étais à ma séance de martinet. En fait je n'ai jamais su exactement à quel moment il était rentré et quand il m'avait vu m'adonner à mes jeux, car je ne l'ai pas entendu revenir.

J'ai donc poursuivi mes jeux de martinet un bon moment puis l'envie de gode s'est fait plus précise et j'ai introduit l'ustensile dans mon con, sans effort tellement j'étais mouillée.

C'est le moment que Luc choisi pour manifester sa présence. Sa voix me fit sursauter, presque tomber de la chaise longue :
- "Je pense que tu vas préférer mon joujou, Hélène" (Ah oui, Hélène, c'est moi !)
Il était juste derrière moi, la bite dressée à l'air, fier de lui. Moi j'étais nue de chez nue, une corde qui m'écrase les seins déjà ridicules en temps normal, et le manche du plantoir qui dépasse entre mes jambes. A ce moment j'aurais voulue disparaître à jamais, ne plus exister; Je suis incapable de me souvenir dans le détail de ce qu'il m'a dit. Ses paroles étaient humiliantes mais me paraissait si vrai que je le laissais dire sans rien avoir à répondre. Il me traitait de grosse cochonne, d'obsédée, me disait qu'il m'avait vu me donner du martinet. "Si ta mère te voyait, ma pauvre Hélène" cette phrase je ne l'ai pas oubliée. Tout en parlant il se rapprochait de moi, tandis que j'étais paralysée par la honte. Il m'a pris la main, je regardais ailleurs mais ne faisait rien pour le repousser. Il posa ma main sur son sexe, tout en continuant à m'humilier et de dire des paroles obscènes. Puis il m'a pelotée. Je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Je savais qu'il allait me prendre, et je n'ai rien fait. Je ne savais pas si j'en avais envie ou non, si c'était l'unique moyen de me sortir de cette situation, si c'était pour me venger de ma mère (moi aussi je me ferais baiser aujourd'hui). Il m'a basculée sur la table, m'a enlevé le plantoir d'entre mes cuisses et y a placé sa queue.

Ses paroles humiliantes m'excitaient à présent. Mon corps tout entier tremblait. Cela faisait près d'un an qu'un mec ne m'avait pas prise et tout le reste devenait sans importance; J'ai jouit bruyamment ce qui a entraîné sa jouissance. Il m'a laissé comme il était venu. J'ai ramassé mes affaires et suis remontée m'enfermer dans ma chambre. Mon corps n'était pas calmé, et je dus me masser mon clito pendant plusieurs minutes pour atteindre l'orgasme libérateur.

Libérateur et cruel : la réalité me sauta au visage. Je m'étais laissée baiser par le mec de ma mère, je me suis donnée en spectacle devant lui, j'ai dévoilé à cet inconnu, mes fantasmes les plus secrets. J'ai chialé en silence pendant une heure avant de finir par aller sous la douche (ma mère allait finir par rentrer !)

Au repas de midi, je craignais le pire mais ma mère ne remarqua pas mes yeux rougis et Luc se comporta de manière naturelle comme s'il ne s'était rien passer ! L'après-midi et la soirée furent également sans problème, et j'eus presque l'impression d'avoir rêver. Mais le soir dans mon lit je repensai à tout ça et de nouveau j'étais honteuse et excitée à la fois. Je m'endormis la main entre les cuisses.

Par Camille - Publié dans : Histoires de sexe
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