Les récits de Camille

Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 20:53

 


Ce weekend, le meilleur ami de ma moitié, Anthony, est de passage dans la région et il
vient dormir à la maison.
Au départ, il devait venir en couple mais célibataire depuis peu, il vient seul.

Pour que vous puissiez l’imaginez, c’est un beau mec d’une vingtaine d’années, assez
grand, les cheveux châtains courts, musclé et avec un regard envoûtant.

Ils s’entendent à merveille avec Julien, mon homme, ils ont vécus pas mal de choses
ensemble étant plus jeunes. Moi je l’ai déjà vu à plusieurs reprises mais c’est la
première fois qu’il vient dormir à la maison.

Comme le temps est magnifique, nous avons décidé de faire un barbecue.

Lorsqu’Anthony arrive, vers 17H, Julien lui fait visiter notre maison et l’installe
dans la chambre d’amis, située à l’étage de notre maison.

Lorsqu’ils redescendent, ils décident de servir l’apéro. Les hommes se servent donc un
whisky et moi une vodka orange.

Anthony nous explique qu’il est vraiment ravi de passer le weekend ici car il a bien
besoin de se changer les idées.

Au bout de quelques verres, je commence à avoir la tête qui tourne un peu, je les
laisse donc continuer l’apéro pour terminer la préparation du repas. Au cours du
repas, l’alcool désinhibant pas mal, Anthony nous confie que s’il a laissé tomber sa
copine, c’est parce que sexuellement ce n’était vraiment pas à la hauteur de ses
attentes.

Après le repas, il fait encore 30° dehors et nous décidons d’aller nous rafraîchir
dans la piscine.

Anthony, qui n’avait pas prévu de short de bain, dit en rigolant à Julien que s’il ne
lui prête pas un maillot, il se baigne à poil. Julien lui répond qu’il n’est pas
chiche de le faire.

Apparemment, c’était mal connaître Anthony. Ni une ni deux, il se déshabille et saute
à l’eau. J’ai juste eu le temps d’apercevoir ses fesses car il ne s’est pas retourné
mais j’avoue que la situation commence à m’émoustiller.

Julien et moi partons enfiler nos maillots de bain dans notre chambre et Julien en
profite pour prendre un caleçon pour Anthony, qu’il lui lance lorsqu’on retourne près
de la piscine.

Anthony enfile donc le caleçon dans l’eau et nous le rejoignons. Les garçons retombent
alors en enfance et s’amusent à qui est le plus fort pour couler l’autre.

Moi je fais des longueurs lorsque tout à coup Julien m’attrape par le pied et m’oblige
à sortir la tête de l’eau. Il essaye alors de me couler mais je lui résiste et Anthony
décide de l’aider et forcément à deux contre moi, je fini par couler. Je me mêle alors
à eux pour me venger, et ce petit jeu dure une bonne demi-heure avant qu’on ne décide
de sortir de l’eau.

Malgré la nuit qui commence à tomber, il fait toujours aussi lourd dehors. Anthony et
Julien restent en maillot de bain pendant que moi je vais me changer pour enfiler un
string et une petite robe légère.

De retour sur la terrasse, j’admire les corps de Julien et de son meilleur ami, tout
en sirotant un énième verre de vodka orange. Cela me fait de l’effet de les voir tous
les deux torses nus et leurs caleçons moulent bien leurs attributs. Sous l’effet de
l’alcool, Anthony nous propose de jouer à action ou vérité. Je suis partante à
condition que les garçons ne m’en fassent pas trop baver. Julien lui aussi est
d’accord.

Anthony se propose de commencer et comme il avait eu l’idée du jeu on n’y voyait pas
d’inconvénient.

Il s’adresse alors à moi et je choisis « Action ». Pas spécialement original il me
ressert une vodka orange et me demande de boire le verre cul sec. Déjà bien imbibée
d’alcool, ce verre aggrave mon état et me rend encore plus euphorique et détendue.

Ensuite c’est à moi de choisir ma « victime » et je prends Julien qui choisit « Action
». Pas très inspirée non plus son gage est de faire une bombe dans la piscine.
D’ailleurs il s’applique tellement, qu’il réussit à nous éclabousser.

Julien s’adresse ensuite à son cousin qui lui aussi demanda « Action ». Julien décide
de le défier au bras de fer. Après une bonne minute d’acharnement, C’est Anthony qui
remporte la victoire. Moi j’avais profité de ce moment pour admirer encore une fois
leurs muscles.

Pour ne pas toujours tourner dans le même sens Anthony s’adresse à Julien. Il choisit
encore une fois « Action ».

Cette fois, le jeu devient très intéressant car Anthony demande à Julien de venir
m’embrasser langoureusement devant lui. Julien s’approche alors de moi et pose ses
lèvres contre les miennes. Sa langue commence à tourner autour de la mienne et sa main
se pose sur ma nuque. Moi je suis sur mon petit nuage. Non seulement, mon mec
m’embrasse comme un dieu et en plus je sais que son meilleur ami n’en perd pas une
miette, ce qui décuple mon plaisir et mon excitation.

Au bout d’une longue minute, Julien arrête son baiser. J’en profite pour regarder
Anthony qui n’est pas resté insensible. J’ai l’impression que la bosse dans son
caleçon à pris du volume. Pour Julien, c’est flagrant, il bande. A cet instant je
meurs d’envie de leur demander de se mettre nus malheureusement ce n’est pas à moi de
jouer.

Julien s’adresse à moi et je dis « Action ». Il me demande de venir le masser jusqu’au
prochain tour. Je me place donc debout derrière lui et commence à lui masser les
épaules.

C’est à moi de jouer et comme Julien se fait masser je demande à Anthony de choisir
une action ou une vérité. Pour changer un peu il prend une vérité.

Beaucoup plus inspirée ma question est simple. Je lui demande si cela l’a excité de
nous regarder nous embrasser.

Sa réponse vient presque aussi rapidement que ma question car il me dit que oui et
même qu’il aurait aimé être à la place de Julien.
Julien, de nature plutôt jalouse et pas très partageur, lui dit gentiment qu’il ne me
prête à personne. Anthony sourit et lui dit qu’il comprend et demande à Julien s’il
peut quand même continuer à nous donner des gages « chaud » à réaliser devant lui, ce
à quoi Julien répond qu’il n’y pas de soucis.

Moi, toujours en plein massage, j’écoute attentivement ce qu’il dit et j’entends aussi
très bien qu’il y aura d’autres gages plus osés et ça me plaît.

Pour faire durer le plaisir de mon massage, Anthony décide de s’adresser à moi. Comme
je suis déjà en pleine action, je choisis une vérité.

Anthony me demande alors de raconter un de mes fantasmes.

Je me lance et avoue à Anthony que mon fantasme est de faire l’amour avec plusieurs
hommes. Je n’ose pas rentrer dans les détails de peur que Julien le prenne mal.

Il sourit et demande à Julien ce qu’il attend pour réaliser mon fantasme. Celui-ci
répond tout simplement qu’il n’est pas excité à l’idée de me voir prendre du plaisir
avec un autre homme que lui.

Anthony n’insiste pas plus et moi je décide d’arrêter mon massage car j’en ai marre
d’être debout et en plus c’est à moi de jouer.

Je choisis mon homme, qui prend à nouveau une action. Cette fois je décide, avec la
complicité d’Anthony, d’aller lui préparer un super cocktail et il devra le boire
avant de pouvoir passer un prochain tour.

On laisse donc Julien sur la terrasse et on commence le mélange de boissons à la salle
à manger. On choisit chacun 5 liquides à mettre dans son verre. Moi je prends : vodka,
liqueur de pomme, Schweppes, huile, vinaigre et Anthony : whisky, coca, lait, jus
d’orange et sirop de menthe.

Et pendant que chacun son tour on remplit le verre, je vois qu’Anthony à les yeux
river sur mon décolleté et vu que je ne porte pas de soutien gorge, il doit même
apercevoir mes tétons qui pointent. Lorsqu’il comprend que je l’ai surpris, il sourit
et me dit que j’ai une très belle poitrine et que tout ça lui a donné très envie de
moi et qu’il va tout faire pour que Julien change d’avis.

Sans dire un mot je passe près de lui et ma main s’égare vers son entrejambe. Je sens
sa queue dure mais je n’insiste pas car Julien n’est pas loin.

Le super cocktail étant terminé, on rejoint Julien, qui commençait à s’impatienter.
Lorsqu’il trempe les lèvres dans son verre, il fait une horrible grimace. Apparemment,
c’est super fort.
Nous on le regarde et c’est finalement cul sec qu’il boit son verre. Fiers de lui on
l’applaudit en le félicitant d’avoir relevé le défi.

Mais tout ça nous a donné soif donc je ressers un verre à tout le monde.

Julien décide alors de se venger sur son meilleur ami. Anthony joue donc le jeu et
choisit une action.
Il annonce alors à Anthony qu’il va devoir se faire épiler une partie de la jambe à la
cire. Il me demande d’aller chercher ce qu’il faut.

Je m’éclipse donc à la salle de bain et reviens avec tout le matériel nécessaire.
Comme Julien ne sait pas trop y faire, c’est moi qui pose la bande de cire sur la
jambe d’Anthony. Même ses jambes sont musclées. Pendant quelques secondes, je me
perds dans mes pensées et m’imagine bien remonter ma main jusqu’à toucher sa queue et
la prendre dans ma bouche.

C’est lorsque Anthony pousse un cri que je reviens à moi. Julien a effectivement tirer
sur la bande et voilà qu’Anthony se retrouve avec un beau rectangle sans poil au
milieu de la jambe.

Je lui passe alors un gant de toilette bien froid sur la jambe pour soulager un peu la
douleur.

A bientôt 22H30, Julien propose de retourner de nous baigner car la chaleur du
barbecue et l’alcool lui ont donné très chaud. Anthony trouve que c’est une excellente
idée. Les hommes sautent donc à l’eau mais moi je dois retourner mettre mon maillot de
bain. Seulement il n’est pas sec donc tout mouillé et tout froid donc je décide de ne
pas me baigner. Mais les hommes sortent de l’eau, m’attrapent et me jettent à l’eau
toute habillée.

Ils sautent ensuite à l’eau pour me rejoindre et dans le feu de l’action, Anthony perd
son caleçon. Comme il fait nuit et que la piscine n’est pas vraiment éclairée, il
décide de ne pas le remettre. Il conseille à Julien de faire la même chose que lui car
c’est très agréable de nager en toute liberté. Julien, plutôt pudique mais
complètement désinhibé, enlève lui aussi son caleçon et le jette sur me bord de la
piscine. Il ne reste plus que moi qui suis habillée. Je décide donc d’enlever au moins
ma robe et je me retrouve en string. Anthony s’exclame alors qu’il n’y a pas de raison
que je sois la seule habillée. Je demande alors à mon homme si je peux enlever ce
dernier rempart à ma nudité, si ça ne le dérange pas et je suis surprise car c’est
lui-même qui se précipite sous l’eau et fait glisser mon string le long de mes
cuisses. Lorsqu’il émerge de l’eau, il jette le string près de ma robe et me sert dans
ses bras en m’embrassant.

Ses mains s’égarent sur mes seins et mes fesses quelques secondes et puis Anthony nous
sépare, disant qu’il ne veut pas tenir la chandelle et que si on continue il ne pourra
pas se retenir de profiter lui aussi de mon corps.

On se coule de nouveau mais la situation dérape plus ou moins car sous l’eau les mains
s’égare, les corps nus se frôlent. Julien profite de moi à chaque fois qu’il me coule
et moi de lui. Je sens sa verge dresser sous l’eau. Anthony lui aussi, très
discrètement effleure un de mes seins, caresse mes fesses. Ma main aussi se perd vers
son bas ventre de temps en temps.

Je n’ai plus qu’une seule envie, c’est qu’ils me baisent tous les deux, j’ai
terriblement envie de sentir leurs deux queues en moi en même temps.

Ensuite la situation se calme, Julien remet son caleçon et sort de l’eau pour nous
ramener nos verres et reviens dans l’eau. On se retrouve donc tous les trois au bord
de l’eau à siroter nos verres en discutant.

Lorsque nos verres sont vides, on décide de sortir de l’eau. Julien sort le premier
suivi pas Anthony qui ne prend même pas la peine de renfiler son caleçon.

Discrètement, j’aperçois enfin sa bite. Son excitation est redescendue car il ne bande
plus mais la situation n’en reste pas moins excitante pour moi.

Je demande à Julien d’aller me chercher une serviette et je sors moi aussi de l’eau
avec l’aide de Julien qui s’empresse de m’enrouler dans la serviette.

On décide de poursuivre le jeu à l’intérieur car je commence à avoir froid.

Pendant que les hommes rentrent les boissons et les verres moi je vais me changer. Pas
question de remettre de sous-vêtements, j’enfile juste une petite robe légère, assez
courte.

Lorsque je retourne au salon, je remarque qu’ils m’ont laissé une place entre eux et
ça tombe très bien. Anthony a remis un caleçon sec et Julien a mis une serviette sous
ses fesses. Forcément, lorsque je m’assois, la robe remonte largement sur mes cuisses
et mes fesses touchent carrément le velours rouge de notre canapé. Mon verre est de
nouveau plein et on trinque une nouvelle fois à cette super soirée.

Le jeu peut donc enfin reprendre et c’est à Julien de jouer. Il s’adresse à Anthony
qui choisit de répondre à une vérité.

Julien réfléchit quelques secondes avant de lui demander de s’il a déjà fait un plan à
trois et de le raconter.

Je trouve sa question vraiment très pertinente et j’écoute avec attention la réponse
d’Anthony.

Malheureusement Anthony répond qu’il l’a déjà proposé à plusieurs de ses copines mais
qu’aucune d’entre elles n’ont voulu, ni avec une autre femme, ni avec un autre homme.

Anthony me propose ensuite à moi de choisir une action ou une vérité et je décide de
prendre l’action.

Il se lance alors et me demande de sucer Julien devant lui. Je regarde alors Julien
pour voir sa réaction et surprise il à l’air d’accord. Je me met donc à genoux devant
lui et je fais très doucement descendre son caleçon de bain. Sa queue est au repos
mais je m’empresse de la faire glisser entre mes lèvres pour la faire durcir.

En quelques secondes, le « miracle » se produit et je me retrouve à sucer un membre
bien dur. Très douée en matière de fellation, je le suce à vive allure. Je jette aussi
de temps en temps un coup d’œil à Anthony quand soudain, je vois qu’il a sorti sa
verge et qu’il se masturbe.

Je redouble d’attention pour la queue de mon homme et à un moment donné lorsque je
relève un peu la tête, je vois qu’Anthony s’est rapproché de nous, qu’il est nu avec
sa queue à la main. Je sens aussi quelque chose, une main sûrement, qui me pousse vers
la queue d’Anthony. Mon regard cherche donc celui de Julien et c’est à ce moment là
que je comprends que c’est lui-même qui me pousse à sucer son meilleur ami.

C’est donc surprise et vraiment très excitée que je pose mes lèvres sur le gland
d’Anthony.

 

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Son membre est plus épais mais moins long que celui de Julien. J’accélère le rythme et
passe même carrément d’une bite à l’autre. Julien prend l’initiative de relever ma
robe. Je me retrouve les fesses et la chatte à l’air. Je sens des mains me caresser,
s’insinuer en moi. Par moment, j’ai un ou deux doigts dans mon vagin, ou alors un
doigt dans mon vagin et un autre dans mon anus. Je sens que je suis toute mouillée et
que ma mouille coule le long de mes cuisses. D’ailleurs celui qui s’occupe de mon cul
se sert de ma mouille pour bien lubrifier mon anus.

Julien décide de m’allonger sur le canapé et plonge son visage dans mon intimité. Sa
langue s’occupe de mon clitoris pendant que deux de ses doigts trouvent refuge au fond
de moi. Anthony quant à lui s’installe à hauteur de mon visage, guide sa verge entre
mes lèvres entrouvertes et baise ma bouche. Mon excitation étant à son comble, je
jouis une première fois. Mon corps est parcouru de spasmes pendant quelques secondes.

Les garçons m’aident alors à me relever et Julien me glisse dans l’oreille que
maintenant ils vont me baiser et que j’aurai bientôt deux queues au plus profond de
moi.

Julien me demande alors de me placer à genoux sur le canapé et invite son cousin à
commencer à me baiser.

Antony se place derrière moi, attrape mes hanches et guide sa bite contre ma chatte.
Je suis tellement mouillée qu’il entre avec une grande facilité jusqu’à ce que je
sente ses couilles contre mes lèvres.

Il savoure ce moment. Moi, je cherche mon homme du regard pour voir s’il supporte le
fait que son meilleur ami soit en moi. Apparemment oui car son membre est toujours
raide et dur.
Il vient d’ailleurs se placer devant moi pour que je le suce, ce que je m’empresse de
faire.
Cette fois Anthony baise ma chatte à un rythme effréné et Julien s’amuse à enfoncer sa
tige le plus loin possible dans ma gorge.

Après quelques minutes les garçons décident d’inverser leurs rôles. Anthony se place
donc devant moi et me fait goûter à ma mouille pendant que Julien s’enfonce dans mon
intimité.
Quelques allers retours plus tard, Julien retire sa queue de ma chatte et la place sur
mon anus.

Il s’enfonce sans problème dans mon cul. Antony n’en revient pas de la facilité avec
laquelle Julien s’est enfoncé dans mon cul. Je lui précise donc qu’avec l’habitude, ça
passe tout seul. Julie s’agrippe à mes hanches et m’encule profondément. Il me fait
tellement de bien que je finis par crier de plaisir. Ca doit exciter énormément Antony
qui ne baise même plus ma bouche et qui me regarde prendre mon pied avec mon homme.

Julien dit alors tout haut que je suis prête pour recevoir deux queues en même temps
dans mes orifices.

Julien s’assied dans notre canapé et me demande de venir m’empaler sur son énorme bite
et il dit à Anthony de m’enculer en même temps. Il se place donc derrière moi et pose
son gland contre mon anus qui s’ouvre sous la pression qu’il exerce avec sa verge.
Comme c’est une première pour tous les trois, les débuts sont un peu maladroits. Il
faut une bonne minute pour que chacun trouve sa place et un rythme adapté.
Mais la sensation que je ressens à ce moment là et magique. Se retrouver entre deux
corps d’hommes plein de sueur et se sentir remplie de chaque côté, c’est vraiment le
pied.
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Je sens que les garçons sont cette fois au bord de la jouissance car leurs membres
prennent encore plus de volume dans mes orifices. Moi je ne peux m’empêcher de crier
encore une fois mon plaisir.

Ils jouissent presque simultanément en se figeant dans mes orifices et je sens leur
sperme dégouliner de mon corps.

C’est Julien qui nous ramène les pieds sur terre car on l’écrase un peu. Anthony se
retire donc de mon cul et moi je me relève. On se regarde tous les trois, fascinés par
le plaisir qu’on vient de vivre.

Je file à la salle de bain prendre une petite douche et rejoins les garçons au salon.
Ils sont toujours nus et je regarde leurs queues au repos.

Julien n’étant pas fatigué, il propose de regarder un film. Il choisisse un DVD avec
Anthony et le mette en route.

On se colle tous les trois l’un à l’autre, moi dans les bras de mon homme et les
jambes sur celles d’Anthony.

Après le film, nous sommes tous les trois supers fatigués donc on décide d’aller se
coucher. On fait la bise à Anthony et chacun rejoint sa chambre.

Je me retrouve seule avec Julien qui me serre très fort dans ses bras et vient se
blottir contre moi dans le lit. Il me dit qu’il a finalement adoré cette partie de
jambe en l’air à trois. Je lui réponds que moi aussi j’ai vraiment adoré et que je le
remercie d’avoir cédé à la tentation.

C’est ainsi qu’on s’est endormi.

Le lendemain, je me réveille la première et bizarrement, je suis excitée. Je pars donc
à la recherche de la bite de Julien et commence à le masturber. Il adore que je le
réveille comme ça. Au bout de quelques minutes je ressens l’effet que prodiguent mes
caresses et Julien émerge des bras de Morphée.

Il me demande si je suis excitée et je lui dis qu’il n’a qu’à regarder. Il glisse donc
deux doigts dans ma chatte et remarque très vite que je suis trempée. Il se place donc
sur moi et plonge sa verge dans mon vagin. C’est avec une grande douceur qu’il me fait
l’amour. Il n’arrête pas de m’embrasser et de me dire que je suis la femme de sa vie.

Lorsqu’on se lève, Anthony dort encore. Ce n’est que vers midi qu’il nous rejoint
enfin. Le dimanche après midi, comme il fait beau, nous avons des amis qui viennent
profiter de notre piscine. Les garçons jouent dans l’eau pendant que les filles
bronzent sur la terrasse. Lorsque je croise le regard d’Anthony, je repense à cette
nuit de folie et je crois que lui aussi.

En fin d’après midi, je me retrouve par hasard, seule avec Anthony dans la maison
pendant que les autres sont dehors. Il me dit alors qu’il a vraiment apprécié la
soirée et que Julien a beaucoup de chance d’avoir trouvé une fille aussi ouverte que
moi et que si je n’étais pas la femme de son meilleur ami, il n’hésiterait pas à
essayer de me draguer.

Moi je lui dis simplement que j’ai enfin réalisé mon fantasme et qu’en plus j’ai
vraiment pris beaucoup de plaisir et je le remercie d’avoir réussi à convaincre Julien
de se lancer dans une partie à trois.

Il m’attire alors vers lui et sans avoir le temps de comprendre quelque chose il
m’embrasse. Ses lèvres sont d’une douceur extrême et je me laisse faire. Je sais que
c’est mal mais je n’arrive pas à me détacher de lui. C’est seulement au bout d’une
minute que nous stoppons notre baiser. Anthony me glisse juste à l’oreille que c’est
la seule chose qu’il n’a pas eu de moi hier soir et qu’il n’a pas osé le faire devant
Julien.

On rejoint les autres dehors et je vais me coucher contre Julien qui est allongé sur
un matelas sur notre terrasse.

En fin d’après midi, Anthony doit repartir, Julien va donc l’aider à regrouper ses
affaires et nous l’embrassons bien fort pour lui dire au revoir.

….

Les jours ont passé et Julien et moi sommes toujours autant amoureux. On a reparlé à
tête reposé de cette soirée plusieurs fois et nous ne regrettons vraiment pas cette
soirée. Le plaisir que Julien a ressenti ce soir là a largement dépassé la jalousie
qu’il aurait pu ressentir. Il m’a même avoué être prêt à retenter l’expérience une
prochaine fois avec Anthony.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 21:21


                      Je suis pelotonnée dans mon lit au réveil d’une courte nuit. Nous avons fait l’amour à trois pour la première fois. Je suis moulue. C’est de ma faute. Mon époux Paul me fait l’amour comme un dieu, pratiquement tous les jours. Il peut me la mettre devant ou derrière, j’aime. Dans la bouche c’est différent. Je la lui suce par gourmandise. J’aime son sperme.
Un soir en baisant prise dans le délire d’un orgasme j’avouais que je faisais souvent l’amour avec ma copine de toujours, Margot. Il m’a enculé violemment en me demandant de la lui faire connaitre. J’ai joui comme souvent. Le lendemain je devais revoir mon amie. Elle acceptait de venir à la maison.
Paul lui a fait un peu la tête. C’est normal pour un mari trompé de voir celui qui le cocufie. Mais là c’est une fille avec qui je couche. Il nous a demandé de baiser devant lui, comme ça, d’un seul coup de doigt. Les envies ne se commandent pas, elles sont là ou non. Demander ainsi la réponse est négative. La soirée s’est finie, il faisait toujours la gueule. Même au lit je n’avais pas envie de lui faire plaisir. Je l’ai branlé simplement sans lui caresser les couilles.
Il a fallut plusieurs jours pour digérer sa position. Il voulait me voir avec une autre fille. Nous allions lui servir sur un plateau ce qu’il voulait et que désirait maintenant Margot. C’était un peu la vengeance de Margot qui n’avalait toujours pas la position de mon mari.
Sans rien qui soit prévisible, même pour moi, Margot vient nous voir sur le coup de 20 heures 30. Elle porte une tenue de femme très légère, habillée très court, ses seins visibles sous son haut. Elle fait pute comme ce n’est pas possible. Paul n’en revient pas du changement. Elle vient vers moi, m’embrasse sur la bouche. J’en suis gênée de faire ça devant mon mari.
Elle m’oublie pour embrasser Paul sur la bouche aussi. Ce baiser ne dure pas. Elle revient vers moi, commence à me tripoter la poitrine d’une telle façon qu’elle arrive au but : m’exciter. Elle passe sa main sur la braguette de mon jean. J’en sens assez pour être bien mouillée. Je regarde Paul qui de normal devient presque rouge. Ou il va éclater ou céder. Margot me laisse pour s’occuper de mon mari. Elle passe sa main sur la bite de Paul. Et me dit :
- Il a une belle bite ton mari, je la prendrais bien dans le cul.
- Fait gaffe, il baise très bien.
- Tant mieux je le veux ce soir.
Elle s’enhardi jusqu’à sortir la queue de Paul. Il bande bien sur. Elle va jusqu’au bout en le prenant dans la bouche et le branlant. Il la laisse faire. Elle doit être une suceuse formidable. Je le sais quand nous nous faisons des mamours sa langue dans ma chatte est très précieuse. Là elle est partie pour le sucer à fond. Quand il jouit, il la prévient sans qu’elle en tienne compte. Tout son sperme se déverse dans la bouche de MA MAITRESSE.
Elle est assez gentille pour venir me donner une partie de la semence dans ma bouche en m’embrassant. Sans nous concerter, nous tirons la langue pour monter à Paul que nous partageons bien son jus.
Pendant qu’ils s’amusaient ensemble j’ai quitté mon jean et le string pour être à l’aise pour me branler, excitée au possible de voir la queue de mon mari dans la bouche d’une autre fille.
Margot reste à mes cotés me caresse les seins en enlevant mon haut. Je suis nue prête à lui faire tout ce qu’elle veut. Ce qu’elle veut est tout simple, une langue sur sa chatte. Je la déshabille sous les yeux exorbités de mon mari.
Nous commençons à nous caresser, comme si nous étions seules. Paul nous regarde avec attention. Je remarque que je suis plus câlinée que la normale. Margot prends l’ascendant sur moi alors que normalement nous sommes sur un pied d’égalité. Elle va surtout là où elle sait qu’elle me fait jouir à tous les coups. Je crois que c’est la présence de mon mari qui la shoote. Je place à peine un doigt sur son berlingot pour la masturber. Je ne vais pas très vite pour faire durer son plaisir. Elle ne prend pas les mêmes égards avec moi. On dirait qu’elle se débarrasse d’une corvée. Je jouis bien sur tellement elle branle bien.
Paul à force de nous voir commence à bander plus fort qu’avant la fellation. Je voudrais le branler. Il ne veut pas de moi pour le moment, il s’en prend à Margot, ma chérie. Si elle me caresse le cul, elle offre son con à mon mari qui bien sur la baise sur le champ.
J’entends tous ses murmures de plaisir. Elle ne veut pas qu’il jouisse en elle. Alors que Magot me branle toujours, elle me fait mettre penchée en avant, debout, les fesses données à mon Paul. Ainsi après avoir commencé à baiser une fille, avec sa queue encore pleine de cyprine, il vient sans peine dans mon con. Il me fait jouir en moins de deux minutes. Lui est toujours raide, il reste en moi pour reprendre ses va-et-vient. Entre les doigts de Margot et la bite de mon mari, je jouis encore plus vite. Juste au moment où il sort de mon con, j’ai encore une autre jouissance.
Je pensais qu’il allait juter, il n’en a rien, il prend une résistance que je ne lui connaissait pas encore. Margot me laisse un instant pour changer de position sous peine de crampes. Son souffle sur mon visage m’indique que sa bouche vient sur la mienne. Elle a encore le gout de sperme, comme je dois l’avoir aussi. Cette fois sa langue câline devient plus brutale. Elle me fait du bien en agissant ainsi, contrairement à sa douceur habituelle. Je sens ma cyprine couler de plus en plus. J’aimerais être sucée, léchée, mangée, dévorée par une bouche affamée. Que quelqu’un me broute.
C’est la chance qui me sourit : mon mari, enfin s’occupe de ma chatte. Sa tête est entre mes jambes. J’aime quand il me fait un cunnilingus. Il a un peps particulier qui me donne le frisson. J’en jouis encore. J’aurai aimé le sucer en 69. Je sais qu’il aime jouir dans ma bouche et moi j’aime ça. Je le lui demande, il ne veut pas.
Il décide qu’aujourd’hui une seule personne peut lécher ma fente : Margot. Il s’arrête mais il me prend par le cul. Si sa langue y fait un rapide tour de l’anus, sa queue vient bientôt m’enculer. Il s’enfonce rapidement alors que j’aime quand il me sodomise lentement pour que je profite bien de la pénétration. Voyant ce que me fait mon mari, Margot en profite pour venir poser sa langue dans ma salle des fêtes. Il me baise quand elle entre toute se langue, oh, bien sur pas comme une bite. Ca remplace un peu. Elle doit avoir sur elle les couilles qui lui caressent le front. J’arrive avec peine à lui mettre ma main aux fesses. Je passe entre ses globes, j’arrive à mettre deux doigts sur son clitoris. Je la masturbe comme elle aime. J’en fait tellement que je sens ses spasmes d’orgasme.
Je suis sur une fusée d’exploration sexuelle. Entre Eros est Lesbos, je suis bien dans l’aventure spatiale qu’ils me font vivre. Je jouis sans cesses depuis le début de notre union à trois. Je pense qu’ils ont du s’allier pour uniquement mon plaisir. J’en ai presque assez de jouir ainsi. Je ne veux plus être la cible de leur tir croisé. Je ne suis pas Bagdad. Je suis une simple femme égarée.
Je me couche, presque morte de plaisir. Ils sont sur le même lit pour s’aimer encore plusieurs fois. Ils font même un 69 qu’il a refusé que je lui fasse tout à l’heure. Et puis vient le moment où pour de bon, nous baisons en trio. Il nous prend les deux femmes une sur la pine, et l’autre sur sa bouche. J’ai juste la force de me faire mettre. Je monte sur lui les jambes ouvertes, mon con en avant. Je m’enfile seule. Il m’aide beaucoup en bougeant alors que je suis presque immobile. Je vois la chatte de Margot être bouffée par la langue de Paul.
Je jouis rapidement en m’effondrant sur le lit. Je suis vite remplacé par Margot qui quitte la bouche de mon mari pour sa queue. J’assiste au début de leur baise, pas du tout à la fin.
Je ne sais même pas l’heure de mon réveil.
- Bientôt midi, debout fénéante.
- J’ai rêvé pour cette nuit ?
J’ouvre enfin les yeux : il est nu, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Sa queue porte encore des marques de cyprine.
- Tu n’as pas rêvé. Tu t’ai faite faire tout ce qui est possible ou presque avec ta copine Margot et moi, surtout Margot que j’ai aimé baiser. Merci de me l’avoir offerte. Elle revient la semaine prochaine, mais elle te le dira demain quand vous vous ferez l’amour en vous bouffant les chattes.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 09:49

Lorsque j'arrêtais la voiture au niveau du portail, Je regardais l'heure sur la montre
du tableau de bord : 5h 20… Presque immédiatement une lumière se fit dans l'imposte de
l'entrée, la porte s'ouvrit inondant d'une vive lumière jaune le chemin de la cour.
Mireille ne s'était pas rendu compte que nous étions arrivés. La tête renversée sur le
haut du siège du passager, elle souriait aux anges, sa robe noire, fendue, ouverte sur
le haut de ses cuisses à l'intersection desquelles on pouvait apercevoir quelques
poils fins et fauves. On n'avait pas pris le temps de lui remettre son slip, ni son
soutien-gorge du reste, lorsque la Duval, une commerciale de l’entreprise, et moi
l'avons habillée avant de repartir. Dieu que la garce était belle ! Avec ses jambes
fines et longues, ses hanches bien arrondies et moulées par la robe, ses jolis seins
très fermes et hauts sous son décolleté ouvert qui montrait bien leur naissance...
Déjà dans la découpe de lumière une silhouette réprobatrice se détachait en ombre
chinoise. L'homme me paraissait grand dans le rectangle de lumière de la porte. Son
mari, sans doute, qui avait dû passer la nuit à l'attendre...
Je pris le parti de faire descendre Mireille le plus naturellement du monde comme
lorsque l'on ramène une collègue après une journée de travail... J'eu déjà beaucoup de
mal à la faire se lever du siège avant. Elle s'agrippa à moi pour y parvenir,
m'enserrant les épaules au moment où son mari arrivait de l'autre côté et regardait
par la vitre de la porte du chauffeur. Je réussi à la faire mettre debout, à peu près,
le long de la voiture, tandis que j'expliquais à son mari, sans émotion, du moins il
me semblait, que j'avais dû la ramener, ne pouvant pas décemment la laisser conduire
ainsi…
Je tentais d'expliquer ce qui était par trop visible : qu'elle avait un peu bu durant
le repas, et que c'était le dernier verre de champagne qui lui avait été fatal vers 4
heures du matin, lorsque, après avoir dansé des farandoles, la soif lui a fait prendre
" le verre de trop ". Je précisais rapidement que sa voiture était là-bas et je lui
proposais de le conduire tout l'heure pour aller l'y chercher. Il ne répondit pas,
mais à son air je vis que ma version était à peu près crédible.
Pendant ces explications, Mireille toujours appuyée à la voiture, riait fort
en ébauchant des gestes assez désordonnés et qu'elle n'assurait pas jusqu'au bout, ce
qui est un signe d'ébriété caractérisée. Les femmes ivres, ou plutôt entre 2 vins
c’est-à-dire fortement " éméchées ", m’ont toujours beaucoup excité sur le plan
cérébral, sans que je sache au juste pourquoi. Et de voir ou de côtoyer une femme dans
l'état de Mireille, cela me fait toujours fortement bander et me donne envie de faire
avec elle des choses insensées sur le plan sexuel...
Je pris Mireille sous un bras, très fermement et la maintenant ainsi je lui fit faire
le tour de la voiture en direction de la porte d'entrée. Elle titubait, marchait à pas
mal assurés et surtout se déhanchait et partait d'un côté de l'autre au point qu'elle
risquait chaque fois d'échapper à ma poigne et de glisser à terre.... Elle riait très
fort, de façon très saccadée, désordonnée et excessive, avec de brutales variations
dans la voix changeant de niveaux de rire. Comme on pouvait s'y attendre, elle ne
parvint pas directement à franchir les 2 marches du perron. Manquant la première, elle
faillit s'affaler sur la petite terrasse et se rattrapa au poteau du préau de l'entrée
qu'elle saisit à bras le corps et qu'elle étreignait fortement de ses 2 bras. Cette
situation de presque chute, eu pour conséquence de renforcer grandement son hilarité.
Accrochée maintenant au poteau, renversant la tête en arrière et faisant
dangereusement osciller son corps de part et d'autre, elle riait à gorge déployée.
Elle tentait en même temps de donner quelques explications sur son état à son mari qui
était plus médusé et ennuyé qu'en colère.
- " Tu sais mon chéri, j'ai dû boire un peu trop, je te le susss... Je peux te
le faire... Je suis avec... ". Les mots lui venaient mal et elle s'embrouillait
largement dans ses phrases, le débit très incertain et la langue pâteuse.... Ses
cheveux courts et roux foncés en désordre, lui donnaient un air à la fois enfantin et
charmant de femme-enfant.
- " J'ai bu trop d'accord, se reprit-elle entre deux rires appuyés, mais j'ai été très
sage et convenable, tu sais... C'est la valse qui m'a fait tourner la tête... Oh,
lala…, cette valse ! Mais c'est rien, tu sais !... Je suis très contente quand même
de ma soirée..."
Certes, lui ne semblait pas deviner tout ce qu'elle avait pris entre les
cuisses toute la soirée, ni tout ce qu'elle avait tenu entre ses mains fines, ni ce
qui était passé entre les jolies lèvres de sa bouche sensuelle... Je craignais
cependant qu'une fausse parole, dite dans ces conditions très incertaines, ne vienne
donner l'alerte ou mette en éveil le mari. Je parlais pour redire ce que j'avais déjà
dit et surtout pour éviter que ce soit trop Mireille qui explique...
Mais déjà, elle, secouée de rires, agrippée au poteau, lâcha un pet magistral
qui nous atteignit dans le silence froid de l'heure du laitier. Cet événement cocasse
eut pour effet de redoubler ses rires... Elle était presque pliée en deux de rire
autant. Elle lâcha un deuxième pet tout aussi fort que le premier mais qui dura plus
longtemps comme se répercutant en écho sur le fin.... Puis toute une autre série en
chapelet, 5 à 6 accrochés ainsi... Et encore une nouvelle salve plus bruyante et plus
longue, me sembla-t-il. Elle n'en pouvait plus de rire. Je ne craignais qu'une chose :
c'est qu'emportée par le rire et l'ivresse elle ne remonte sa robe à l'occasion de cet
accès de flatulence, et montre son joli cul ce qui aurait immédiatement averti le mari
de l'absence de son slip...
Pliée en deux, les mains enserrant le poteau, les bras tendus, penchée en
avant, le dos incliné et les fesses bien moulées par la robe noire, et malgré son
ivresse, ou à cause d'elle, elle était toujours aussi belle et désirable, enfantine et
touchante, sensuelle... Excitante, et portant si fragile...
Elle était agitée de soubresauts incontrôlables, le souffle coupé par les rires. Et
sous l'effet des rires sans doute, lâchant les derniers pets, elle pissa ainsi,
debout, dans sa robe et le long de ses jambes, qu'elle n'écarta qu'à peine un peu
plus, tant ce n'était pas son problème du moment.... Le liquide chaud arrivait sur le
carrelage avec un léger bruissement et de clapotis de fontaines alpestres et
s'étendait en nappes entre ses pieds. Elle riait de plus belle en disant
- " Voilà que je pisse maintenant !... Qu'est-ce que vous me faites faire là ! Ah !
Mais, vous êtes fou !... Retenez-moi, empêchez-moi !... Ah les salauds !! Regardez-
moi, je suis toute mouillée maintenant !... C'est comme ça que vous me vouliez ?! "
Son mari vint vers elle, plein de compréhension…
- " Voyons, Mireille arrête et tiens-toi tranquille, voyons !… Rentrons d’abord à la
maison aller viens, rentrons !... "
- " Ah non, salauds ! C'est ce que vous vouliez, hein, alors ne m'arrêtez pas !... Je
ne quitte rien et je ne bouge pas ! Dieu que c'est chaud ! C'est bon... " Et disant
cela, elle s'empoigne d'une main la cramouille à travers la robe et se frotte
énergiquement entre les jambes comme pour s'essuyer avec le tissu et s'astiquer
fortement. Son mari un moment interdit, s'approche d'elle vivement et l'empoignant aux
épaules et aux poignets lui dit sans ménagement :
- " Mais enfin Mireille tu es folle ? Te rends-tu compte de ce que tu fais ?
Je t'en prie, tiens-toi un peu ! Ca suffit maintenant !!... " Puis s'adressant à moi :
- " Faites-là entrer, s'il vous plaît… Je vais chercher de quoi nettoyer ça et de quoi
la couvrir."
Il disparaît dans la maison. Mireille qui riait toujours, un peu calmée il est
vrai, me passe les bras autour du cou me disant :
- " Ah mon chéri, j'ai le cul en feu ! J'ai la chatte qui me démange !... Passe-moi ta
main entre les cuisses, vite, j'ai besoin ! Et relevant sa robe devant, elle ajoute :
tiens, regarde ma chatte comme elle gonflée... Touche, elle est toute mouillée
maintenant qu'elle a pissé... Ah la salope !... Elle me démange, elle a très envie
d'être léchée et branlée !... Branle-là, je t'en prie, frotte-là moi fort ! "
Gardant la robe relevée, penchée en avant, elle regardait sa chatte,
s'écartant les lèvres d'une main de l'autre se caressant avec force et rapidité le
bord des petites lèvres, un doigt allant et venant dans la fente. Ce qu'elle se
faisait là, sur son perron à 5h 30 du matin, la faisait frémir de plaisir. Elle se
branlait fortement, me tendait sa langue pour que je lui suce...
Mais déjà j'entendais le mari revenir. Je lui rabaissais prestement le robe, et je mis
dans sa main son slip rouge et noir qu'elle n'avait pas dû avoir le temps de salir de
la soirée, pour faire comme si elle venait de le retirer après avoir pissé dedans.
Puis, la maintenant debout contre mon épaule, je la fis avancer doucement vers
l'entrée. Le mari lui passa un lourd manteau sur les épaules et alla mettre la
serpillière sur la flaque d'urine. Il nous rejoignit en disant :
- " Entrez, j'ai mis un café en route, je vais lui faire prendre un bain et
lui donner un café très fort ". Il l'entraîna vers la salle de bain, elle avait
toujours sa main droite qui pressait fortement son pubis à travers la robe et je suis
à peu près sûr qu'elle continuait à se branler à travers le tissu. Il poussa derrière
lui la porte de la salle de bain, j'entendis qu'il lui quittait sa robe, puis qu’il
faisait couler de l’eau dans la baignoire.
Je me disais pourvu qu'il ne remarque pas les marques sur les hanches et aux épaules
faites sur sa jolie peau fine et fragile de rousse, par ceux dont je fus, qui la
baisant par derrière, surtout en levrette, l'avaient empoignée vigoureusement aux
épaules et aux hanches.

 

Retour en images sur cette soirée débridée :

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 Pour bien la connaître (j’étais son amant depuis de nombreux mois), je savais que sa
chatte était caractéristique de son état d'excitation. Là, au cours de la soirée,
masturbée, léchée, écartée, branlée, sucée, engodée, enfilée, baisée..., pendant une
bonne partie de la nuit, la chatte était rouge, très ouverte avec les grandes lèvres,
déjà bien épaisses et larges, devenues très turgescentes et gonflées. Ses petites
lèvres d'ordinaire très discrètes, roses et peu marquées chez elle, sont dans ces
moments là très pendantes, faisant saillie entre les grandes lèvres, très ridées et
d'un rose violacé dû à l’afflux de sang. Le clitoris, lui aussi très bandé, était
magnifiquement érectile sous mes pointes de langue, et ce soir là, je m'en étais pas
privé. Quand elle est excitée ainsi et un peu " allumée " par le champagne, son "
clito " fait très nettement sailli hors du capuchon, la hampe très relevée, pointant
très haut, nettement hors des poils qu'il dépasse largement dans ces occasions. Les
poils de rousse, sont eux aussi très caractéristiques : très fins et peu fournis, ils
deviennent sous l'effet des frottements divers, des mouillages, des décharges de bites
ou de cyprine et des léchages variés, soyeux, beaucoup plus souples et bouclés,
rejetés largement sur les côtés des cuisses et du pubis, dégageant bien alors la
fente, le trou du cul et l'entrée du con.... Oui, pas besoin d'être un grand expert,
il faut seulement bien connaître Mireille, pour s'apercevoir qu'elle n'avait pas fait
que boire et danser cette nuit là !...
J'entendais qu'il la douchait et la frictionnait au gant de crin. Ce
traitement, sans doute donné avec attention mais très fermement, la rendait tour à
tour hilare et gémissante... Deux ou trois fois, elle entrecoupa ses rires de chansons
du style de : " Il était un petit navire " et " C'est la danse des canards "... Je
craignais qu'elle n'entonne : " Le curé de Camaret" ou " Jeanneton " chanson de corps
de garde, qui avaient animé une bonne partie de notre soirée. Non pour mes chastes
oreilles, mais parce que cela aurait trop donné le ton de notre équipée nocturne à son
mari. Il faut dire que nos soirées d’entreprise sont toujours très corsées. Nous
sommes une bonne douzaine de collègues hommes et femmes qui s’entendent bien pour
organiser de temps en temps ce genre de soirée, où la baise et la partouse, sous
toutes ses formes, est toujours au rendez-vous…
Je remarquais alors, que Bernard, son mari donc, avait posé la robe du soir de
Mireille à la porte de la salle de bain, dans le couloir, puis avait repoussé la
porte. Je me souvins que vers l’heure du départ, j’avais ramassé sous une table le
slip et le soutien-gorge de la belle Mireille. Il me revint à cet instant que j’avais
gardé sur moi le soutien-gorge. Je le sortis de la poche intérieure de mon veston et
allais rapidement le poser sous la robe, espérant que le mari ne se souviendrait pas
qu'il ne le lui avait pas enlevé...
D'avoir dans la main ce soutien-gorge me fit quelque chose et je me remémorais le
moment où un grand gaillard de mes collègues, qui se tenait dans son dos, lui avait
dégrafé, libérant ses deux très jolis seins dont elle est très fière... Avant de
dissimuler le soutien-gorge sous la robe, je le portais furtivement à mes lèvres. Les
effluves du parfum subtil de Mireille m'enivrèrent un instant, et mes sens
chavirèrent. Je fus violemment transporté deux ou trois heures auparavant : au moment
précis où j'avais mon visage dans son cou et qu'elle, allongée sur moi, son dos sur
mon corps, je la prenais avec vigueur dans sa jolie fente, tandis que la Duval, lui
léchait et lui titillait le clitoris de la pointe de sa langue. Elle avait joui très
fortement à ce moment là, de façon presque obscène, en proférant et criant des mots
crus et très osés comme elle en avait l’habitude, renversant sa tête en arrière vers
moi, me donnant sa bouche et sa langue, m'embrassant fougueusement, agitée de
soubresauts... Les trois autres collègues en face la regardaient jouir et décharger,
empalée sur mon sexe, qu'elle inondait de flots de cyprine qu'elle lâchait sans
regret, les cuisses bien relevées et maintenues haut par la Duval…
La garce aimait tellement être matée dans ces moments là, que souvent la situation
seule suffisait à lui donner des orgasmes... Le visage enfoui dans le soutien gorge,
imprégné de l'odeur merveilleuse de Mireille, je revivais toute la scène... Y compris
le moment où à la fin de la jouissance de Mireille, la Duval, sentant venir mon heure,
sortit prestement ma bite du con ruisselant de la belle rousse, et la déconnant ainsi,
elle lui mit immédiatement trois doigts dans le trou pour remplacer mon engin. Mais
surtout la Duval, se plaçant entre les jambes de Mireille me pris le sexe en bouche,
et le branla avec une légèreté et une sensualité que j’avais rarement vues, puis elle
me suça complètement tout aussi divinement... Je ne fus pas long à partir et à lancer
alentour de longues giclées qui atteignait la Duval, tantôt dans les cheveux, sur le
visage, le cou, les seins, au fur et à mesure de la diminution de la puissance des
jets successifs... Elle reprit le gland en bouche et finit de le pomper en aspirant le
foutre qui s'échappait aux commissures de ses lèvres... Dieu quel pied, ce fut !
J'en étais là de mes pensées et détachant péniblement mon visage de ce tissu
odorant, je me penchais pour glisser le soutien-gorge sous la robe, la porte s'ouvrit
à ce moment là. Bernard, me voyant à demi baissé, le soutien-gorge à la main, me dit :
- " Mais non laissez ! Laissez !, je rangerai tout cela bientôt, ne vous
donnez pas cette peine, et puis, tout est sale, alors par terre où ailleurs, cela n'a
plus d'importance. Venez, elle va prendre un café très fort ".
Mireille était là derrière lui, les cheveux défaits cette fois, dans un
peignoir rouge, très ouvert sur le haut des cuisses et très décolleté sur ces jolis
seins... Elle était un peu calmée, mais moi qui la connaissais bien, je voyais qu'elle
était encore dans les vapeurs de l'ivresse. La soutenant chacun sous un bras nous
l'amenons jusqu'à la cuisine où nous la faisons asseoir au bout de la table.
Le jour pointait par la fenêtre. Nous prîmes ensemble le café. Mireille
semblait un peu abattue, comme assommée sans doute par le bain très chaud. D’ailleurs
malgré le café fort, elle s’endormit rapidement sur le bout de la table de la cuisine,
la tête posée sur son bras. Bernard se releva de sa chaise et me fit signe de lui
prendre les pieds. Il la prit lui-même sous les aisselles et nous allâmes la poser
délicatement, endormie, sur le canapé du salon… Durant ce court trajet le peignoir
s’était ouvert en haut laissant passer un sein magnifique dont le téton était toujours
bien dressé. Le peignoir s’était aussi ouvert en bas et j’aperçus furtivement, pour la
dernière fois de la soirée, la touffe couleur fauve de la belle Mireille, avec au
milieu, la naissance de sa fente…
Il était juste 6 heures du matin quand nous remontâmes dans ma voiture. Comme
convenu, je conduisis Bernard jusqu’à celle de Mireille où nous fûmes 10 minutes plus
tard. Je lui devais bien cela ! Avant de descendre et de prendre congé, il me remercia
vivement :
- " Vraiment merci, me dit-il, heureusement que vous avez été là pour vous
occuper d’elle… Et merci d’avoir veillé sur elle pour qu’il ne lui arrive rien… Je ne
sais comment vous remercier… ". Je n’eu que l’aplomb d’ajouter :
- " Laisser, ce n’est rien… Rien que de très normal ! Vous savez, cela ne m’a
pas coûté… L’essentiel c’est que tout ce soit bien passé…"
Et je ne mentais pas ! Mais non, en disant cela, je ne mentais pas !... Qu’auriez-
vous dit, vous, à ma place… ? 

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 22:12


Cet été je suis parti avec des potes dans un camping dans le sud de la France. C’était vraiment un super endroit, avec une super plage et on à vraiment pu s’éclater. Nous étions répartis dans différentes tentes et nous avions évidemment des voisins et des voisines. Nous avions une voisine en particulier qui est visiblement venue seule, mais qui ne dormais jamais toute seule et donc les cris d’extases me donnais du mal à trouver le sommeil. Elle était d’ailleurs superbe : blonde, environ 1m70, des yeux vert, dans les 24 ans.

Un soir, le groupe est parti faire la fête. Nous avons dansé et bien bu, et comme je n’ai pas trop l’habitude, je suis rentrée, vers 2 h du matin, en direction de ma tente, au radar. Une fois à proximité, j’ai entendu le bruit distinctif de ma voisine en pleine action, et je n’ai pu m’empêcher de sourire en me demandant si elle essayait de se taper tous les mecs du camping.

Je m’approchais doucement de sa tente, en restant tant bien que mal dans l’ombre. Je pouvais désormais l’entendre haleter en plus de crier. J’avais envie de voir la tronche de son nouvel étalon et là surprise : elle est toute seule. Elle était nue, les jambes écartées, en train de se caresser le clitoris et de s’enfiler un sextoy dans la chatte. L’objet long et dur de couleur rouge allait et venait dans son sexe au rythme de ses cris. De mon coté, la situation m’excitait beaucoup, et je commençais à me caresser doucement à travers le short.

Elle accéléra la cadence, et se cambra en arrière dans un gémissement sourd, tandis que ça main s’agitait de plus en plus vite sur son clitoris. De mon coté j’avais tombé le short, et je me branlais allégrement devant se spectacle. Mon sexe était déjà bien dur quand je croisai son regard. Je restais paralyser quelques secondes, car j’étais repéré et je ne savais vraiment ni quoi dire ni quoi faire. Mais cela ne sembla pas l’arrêter, car elle continua de plus belle, non sans me faire un clin d’œil et un sourire des plus explicites.

Je ne savais plus quoi faire, car j’avais très envie de la rejoindre, mais en même temps je n’osais pas. Pourtant, elle n’attendait que ça et moi aussi. Mais au moment où je me décidais finalement à y aller, un type sorti d’un buisson et la rejoignit, la bite à la main et la pénétra directement. Elle se laissait faire, en hurlant de plus belle. Je pouvais toujours voir son visage et elle me fit un nouveau clin d’œil. Décidément…

Ils continuèrent ainsi durant environ 20 minutes, en alternant les positions. Elle me faisait régulièrement des clins d’œil, des sourires, mais je ne crois pas que le type c’est rendu compte de ma présence. A la fin, ils se mirent en 69. Elle le suçait goulument, jusqu'à ce qu’il jouisse dans sa bouche. Mais à ce moment précis, c’est moi qu’elle fixait en se délectant et j’ai ressenti un éclair dans mon dos.

Voyant qu’ils avaient terminés, je m’éclipsais discrètement jusqu'à la plage pour prendre un bain de minuit et calmer mes ardeurs par de l’eau bien fraiche. Au bout de 15 minutes de baignade, je suis allé me coucher, la tente voisine de la mienne ne produisant plus aucun bruit.

Le lendemain matin, je me suis réveillé encore tout engourdit de la veille, et surtout encore émoustillé de ce que j’ai vu. Je partage ma tente avec une amie qui dort toujours. Elle a du revenir bien bourrée, car elle ne porte qu’un mini string qui ne cache rien, et j’ai une vision parfaite sur ça généreuse poitrine qui monte et descend au rythme de sa respiration. C’est avec cette merveilleuse vision que je me dirige vers les douches, en notant au passage que la tente voisine est vide.

Une fois sous la douche, il me prend l’envie de me branler. Les images de la veille au soir, et de la poitrine de ma copine se mélangent tandis que mon sexe durcit doucement.
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A ce moment là, ma charmante voisine fait irruption dans la douche, et sans dire un mot, se met à genou pour me sucer. Elle est totalement nue, je peux apercevoir ses seins magnifiques sur lesquels glisse l’eau chaude, ainsi que ça chatte si accueillante, tandis que sa bouche va et vient sur mon sexe. Elle est vraiment douée, c’est super bon et je commence à gémir doucement quand elle donne de petits coups de langue sur le bout de mon gland. Puis elle accélère le rythme, et je peux apercevoir ses doigts s’activer sur son sexe.

Apres 5 (courtes) minutes, elle se relève, et se tourne vers le mur, offerte. Cette fois ci je ne fait pas l’erreur d’hésiter… Je prends mon sexe et le présente vers le siens. Mais avant que j’ai pu entamer le mouvement, elle donne un coup de rein en arrière, et s’empale directement sur mon sexe, qui réagit par une décharge dans tout mon corps.
Je lui ai emboité le pas et j’ai commencé un va et viens rapide. Je la tenais par les hanches, en donnant de puissant coup de rein, et elle criait son plaisir, ce qui avait pour effet de décupler le mien. Je profitais de la position pour lui caresser les seins. Ils étaient si doux et fermes, en plus de l’eau qui leur coulait dessus. Au bout de 10 minutes je n’en pouvais plus, j’allais jouir. Elle le sentit, et se rua sur ma bite, la suçant goulument, avec rapidité, jusqu'à ce que je me libère dans sa bouche dans un râle de plaisir. Je la vis avaler ma semence avec gourmandise. Elle se leva, me fit un ultime clin d’œil, et sortie. Je fini ma douche seule, encore un peu hébété, puis parti rejoindre mon groupe d’amis en me demandant si j’aurais d’autres occasions avec cette charmante jeune fille.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 19:34

- Vous rendez compte Annie ? ça fait six mois que nous sommes mariés, j’ai tout juste vingt ans et cet imbécile vient de me mettre enceinte, je vais avoir le corps déformé a jamais sans compter les heures de jours et de nuits à m’occuper d’un môme - Chérie ce n’est pas entièrement de ma faute, tu n’aurais pas dû oublier ta pilule et surtout il fallait me dire avant que l’on se marie que tu n’aimais pas les enfants ! ne t’inquiète pas je m’occuperais bien de notre enfant - Je l’espère bien ! en tous cas tu n’es pas prêt de poser tes sales pattes sur moi ça me fait horreur ! Voilà la conversation que nous entendons invités chez nos jeunes voisins, a trente trois ans je suis moi-même enceinte de six mois, mon ventre est bien rond je vie une grossesse merveilleuse - Comment faites-vous Annie pour les rapports ? quand je vois votre ventre aussi gros ça me fait peur - Je me porte à merveille, j’aime le sentir bouger, avec mon mari nous avons des rapports très réguliers, il ne rentre que le samedi pendant quelques temps sinon nous le ferions tous les jours, j’adore faire l’amour, encore plus depuis mon état le petit doit m’apporter des hormones mâles !! vous avez tord de priver votre mari de sexe soyez cool le fœtus ne risque rien, le seul inconvénient pour moi c’est que je commence à peiner pour faire certains travaux a la maison en l’absence de Georges - Si ce n’est que ça Lionel peut vous rendre service - Bien sûr Annie avec grand plaisir je suis au chômage en ce moment - Je ne dis pas non alors …. C’est comme ça que Lionel vient tous les matins me demander si j’ai besoin de ses services … il me fait de la peine ce jeune de le savoir privé de sexe pour longtemps, il regarde toujours mon ventre avec envie, nous en avons longuement parlé avec mon mari qui m’a dit – tu devrais donner une bonne leçon a cette conne , je te laisse libre de tes actes ….voilà ce qu’il m’a confié avant de partir pour la semaine ,un matin Lionel vient me rendre visite je suis encore en robe de chambre, je le vois en admiration devant ‘ ma bosse ‘ ça me fais fondre - Lionel ça vous dirait de toucher mon ventre ? ça porte bonheur - Vous êtes gentille Annie, c’est vrai j’aimerais bien …mais …. - Alors approchez …. Il se penche sa main tremblante se pose sur mon vêtement, il caresse lentement - C’est beau … garçon ou fille ? - Nous voulons avoir la surprise ! Vous ne devez pas sentir grand chose par- dessus le tissu attendez Je dénoue la ceinture et écarte les pans sans réfléchir, je suis en slip dessous sans soutient gorge trop tard, il se penche, à nouveau la main douce décrit des cercles de plus en plus grands sur mon ventre, des frissons électrisent mon corps jamais un autre homme que Georges ne m’a touchée a cet endroit - Je crois que l’ai senti bouger ! c’est formidable Sa bouche se colle a mon ventre les doigts effleurent l’élastique de mon slip, instinctivement je me recule - Oh, excusez-moi Annie … - Ce n’est rien c’est ma faute - Vos seins sont magnifiques, au revoir - Merci, a demain Lionel je vous attends pour le café ! Le lendemain il revient j’en doutais un peu, en robe de chambre comme la veille je lui sers un café et comme par ‘ inadvertance ‘ ma ceinture se dénoue, mes seins sont a hauteur de ses yeux, légèrement pendants , je ne bouge plus comme pétrifiée , sa main vient vers un sein , je laisse faire et même je me penche davantage ,sa bouche approche , je ferme les yeux quand mon téton est aspiré, il cherche a faire jaillir du lait, l’autre main caresse mon ventre, je vais défaillir quand mon slip est repoussé vers le bas le bout de ses doigts grattent mon pubis poilu , une lueur de pudeur me ramène a la réalité je me redresse , il se lève pour m’enlacer je ne le repousse pas mais reste les bras ballants - Ooooooohhhhh Annie ! j’ai trop envie …..

 

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Effectivement je sens sa virilité sur moi, c’est moi qui cherche sa braguette ? Je n’en reviens pas, la fermeture baissée je cherche nerveusement le membre de belle forme tendu à craquer, sa main me rend la pareille en passant dans ma culotte, les doigts fouilles mes poils pour écarter ma fente poisseuse, deux doigts s’enfoncent, ma main fait coulisser la peau de sa queue, le gland décalotté frémit au creux de ma main nos bouches s’unissent tandis que nous nous masturbons mutuellement , ma mouille abondante coule entre ses doigts comme si je perdais les eaux son sperme gicle dans ma main, nous restons collés l’un a l’autre très longtemps personne n’ose bouger , c’est lui qui met fin a notre étreinte en s’éclipsant comme un voleur Cette fois je n’espère plus sa visite il doit être trop honteux … j’ai espéré toute la journée il n’es pas venu je ne tiens plus tant pis je téléphone - Allo Annette ? Lionel pourrait il passer demain ? - Il n’est pas venu ce matin ? quel bon a rien celui là ! il viendra demain je vous le promets Le lendemain matin pour ne laisser aucun doutes sur mes intentions j’enfile un déshabillé en dentelle devenu trop étroit, je ne peux pas le fermer, mes seins et ma chatte sont à nu, doucement je caresse mon ventre …il arrive ! - Bonjours Lionel … - Bonjours Annie … excuse moi pour hier - Viens …… Comme une collégienne qui a envie de se faire sauter je l’entraine vers la chambre d’amis, je m’allonge lascivement au milieu du lit - Qu’attends-tu pour me rejoindre ? - Je t’admire… - Fais le de plus prés …vient dire bonjours a ton filleul - Mon filleul ? - Oui avec Georges nous avons décidés que tu serais le parrain ! il sait que tu viens régulièrement, c’est lui qui me l’a demandé, il n’y a pas de raison que tu sois privé de maternité et de sexe a cause d’une femme qui ne comprend rien a la vie Lionel vient a genoux a mon coté, il écarte le vêtement qui ne couvre qu’a moitié mon corps, sa main caresse un sein tandis que sa bouche couvre de mille baiser mon gros ventre - Bonjours toi … - Parle-lui de plus prés …. Il comprend de suite ce que ça veut dire, à poil en deux secondes il vient se positionner entre mes cuisses pour poser sa bouche sur ma chatte, je m’ouvre autant que ma condition me le permet, les lèvres en ventouse aspirent mes sécrétions, un doigt s’y joint précautionneusement, il râle de bonheur et moi je geins de satisfaction Un orgasme violent me submerge, il se redresse un large sourire éclaire son visage - Donne moi ta queue à lécher tu ne peux refuser c’est une envie de femme enceinte ! après tu planteras des cheveux a ton filleul ! - Planter des cheveux ? - Oui ! c’est ce que l’on dit quand on fait l’amour à une femme qui attend un heureux événement ! - Alors il naîtra avec une sacrée toison le tien ! le mien seras chauve …

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A genoux devant lui je prends sa bitte en bouche pendant que je malaxe ses couilles d’une dureté prometteuse je n’ai pas longtemps a attendre pour recevoir son foutre généreux sur la langue, en soutenant son regard j’avale la semence en déglutissant lentement - Huuuummmm ! merci mon envie est satisfaite au tour de ma chatte maintenant ! - Heuuuu ? comment ? - Allonge toi derrière moi je peux encore lever la jambe, comme ça mon ventre ne gêne pas ! face à la glace de l’armoire - Génial comme position ! on voit tout, je n’ai jamais pris ma femme ainsi ! - Ne me parle pas d’elle ! Baise-moi Lionel Sa queue tâtonne un instant avant de trouver mon trou pourtant bien ouvert, il savoure la pénétration - Va y, tu peux aller plus fort ça ne risque rien pour le bébé - Tu crois ? je n’ose pas … - Baise moi je te dis ! Lionel se met à me limer sans à-coups, a un rythme régulier, une main passe de mes seins a mon ventre, nos regards ne quittent pas l’image que nous renvois la glace, la queue luisante va et Vient dans mon fourreau gluant - Que c’est bon Annie - Hooo oui, ton gland passe exactement sur mon point G ce qui veux dire que je vais jouir bientôt, excite mon clitoris avec tes doigts ça va me finir - Jouis Annie jouis, je me retiens, dés que tu pars je me lâche dans ton vagin - Ooooooooohhhhhhh que c’est boooooonnnnnnnnnnnnn, je sens ta queue gonfler ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis - OUUUUUUUIIIIIIIIII ! moi aussi !

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TIIIIEEEENNNNNNNNN HAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Son sperme chaud fuse sur mes muqueuses à vif, le bébé donne des coups de pieds comme il le fait à chacun de mes orgasmes, blottie dans ses bras nous reprenons lentement notre souffle apaisés tous deux, un liquide poisseux coule entre mes cuisses la bitte collante et ramollie tombe sur ma cuisse, je crois que nous nous somment endormis …. Lionel vient dire ‘ bonjours ‘ a son futur filleul tous les jours en l’absence de mon mari ravi de faire plaisir a un homme frustré, sa femme n’en revient pas de la bonne humeur de son mari malgré les brimades qu’elle lui impose !!!!

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 22 juin 5 22 /06 /Juin 21:43


Je reviens au studio bien plus tôt que prévu. Je devais arriver demain après midi. Il
n’est maintenant pas loin de 23 heures : j’en avais assez des recommandations
familiales. A 21 ans, bientôt je suis assez grande pour savoir ce que j’ai à faire.
Mes parents voudraient me marier à un « parti » intéressant. Je suis encore en fac,
j’en ai bien pour 5 ou 6 ans encore et on veut me couper de mes études.
Donc j’arrive au studio, j’entre et j’entends des bruits bizarres comme des
gémissements. Pourtant en partant la veille, ma colocataire Aline se portait bien.
Nous ne sommes pas ensemble depuis longtemps je ne sais pas grand-chose sur elle sinon
qu’elle préfère les filles. Elle ne m’a jamais fait de propositions indues : donc je
n’ai pas de problèmes : je sais qu’une nuit elle était avec une fille que je connais
vaguement. Elles ont du faire l’amour : je n’en ai rien entendu.
Par contre aujourd’hui, comme une sotte, je vais dans sa chambre à son secours.

 

 

Et là,
surprise, Aline est nue sur le lit, un gode dans son anus et une main sur sa chatte
qui la masturbe. Je reste surprise. Elle ne se doute de rien, je n’ai pas fait de
bruit, je la regarde se donner du plaisir. Sentant ma culotte mouiller, je reste un
moment à la regarder. C’est excitant de voir une autre personne se masturber. Je ne
peux me retenir, je passe une main sur ma chatte par-dessus le jean.

 

02
J’allais même ouvrir le pantalon pour passer ma main sur mon clitoris, quand elle
ouvre les yeux. Elle ne peut faire autrement que me voir. Je rougis d’abord, prête à
quitter les lieux.
- Viens près de moi, n’ai pas peur.
- J’ai peur de te déranger.
- Tu ne vois pas que tu m’excite à mort.
- Je m’en vais, fini seule.
- Pas question tu as vu le début pas la fin. Reste voir.
Voir quoi, un orgasme auquel je suis étranger ? Curieuse, je reste pour la voir jouir.
En attendant ma main s’est bien placée sur ma chatte. Je peux regarder ce corps
allongé plein de vie, j’examine la position du gode bien enfoncé dans son cul,
bizarre, elle ne le touche pas. Sa main va bien plus vite sur son clitoris, je la vois
crispée quand elle pousse un profond soupir : elle jouit.
Son orgasme aurait pu entrainer le mien. J’ai pu arrêter à temps : il me reste un
creux dans le bas ventre. Cette fois j’allais partir pour finir dans ma chambre, en
solitaire comme toujours. Aline me rappelle :
- Viens avec moi essayer le gode.
- Je préfère le réel au plastique.
- Moi je préfère les filles aux garçons et tu vois je me sers d’un gode pour mon cul
et souvent mon con.
- Je ne connais pas la sodomie.
- Viens je t’apprendrais.
Je ne résiste plus, je m’approche de son lit. Elle me demande de m’assoir près d’elle.
Elle vient tout près de moi, se relève à peine pour être à ma hauteur et m’embrasser
sur la bouche. Je suis surprise par la soudaineté de ce baiser et par la douceur de
ses lèvres. Quand sa langue entre dans ma bouche je ne la repousse pas. Enfin elle me
demande de me mettre nue moi aussi. Comme elle m’a déjà aperçue dans la tenue d’Eve,
en sortant de la douche, je me laisse tenter.
- Tu as de beaux seins, et une belle taille fine.
C’est vrai que je suis fier et de mes seins et de ma taille fine, de guêpe dit-on.
C’est justement par là qu’elle m’attrape. Je trouve ses deux mains m’entourant. Ses
mains sont douces : elle en profite pour caresser mes seins en insistant sur les
tétons qui n’attendaient que ça pour durcir et pointer.

06

Je sens que la fille sait ce
qu’il convient de faire à ses semblables. Je sens une cuisse contre la mienne. J’en
frémis. Pourtant je n’ai jamais touché une fille de ma vie, sauf un jour, il y a très
longtemps pour nous amuser avec une copine, et encore notre seul contact était le bout
des lèvres. J’apprécie sa proximité, je voudrais même qu’elle aille plus loin. C’est
que je ne sais pas comment agir avec une autre. Elle passe sa main sur mes cuisses,
les écarter un peu pour caresser l’intérieur là où la chair est tendre. Elle monte
insensiblement vers ma chatte qui est tendue vers elle.
Enfin je sens des doigts dans ma fente. ? Je ne sais combien elle en a mit. Je sais
qu’elle fouille toute la moule. Je ne connaissais pas sa méthode, je ne la subis pas,
je l’approuve au contraire : c’est plaisant. Ce ne sont que des hors d’œuvre car quand
elle touche mon bouton, je sens le véritable plaisir envahir tout mon corps. Elle me
masturbe bien mieux que je me le fais. J’ai posé ma tête sur son épaule pour mieux
déguster ce qu’elle me fait.
Aline cesse ses préliminaires pour passer à la phase supérieure : elle me doigte
simultanément d’abord avec un doigt, puis deux et enfin trois. Elle me baise comme
avec une bite. Du coup j’en oublie les bien fait d’une véritable. Enfin elle me couche
à ses cotés. Nos bouchent se dévorent comme des cannibales. Je peux lui rendre ses
caresses sur ses seins. Je suis certainement maladroite pourtant je sens ses seins
durcir et ses pointes bander. Si je suis occupée à sa poitrine, elle est revenue sur
la chatte. Cette fois elle me masturbe comme il convient le clito. Elle me fait jouir
donc pour la troisième fois. Aucun de mes amants ne m’a jamais donné tant d’orgasme à
la suite.

09
Je sens sa main redescendre : elle va me doigter encore certainement. Non elle descend
plus bas, sur le périnée où elle ne fait qu’un court séjour : son but, l’anus. Je le
ferme le plus possible pour qu’elle n’y entre surtout pas.
- Calmes toi, tu verras c’est très bon.
- Tu me le jure ?
Aline ne répond que par un baiser plus appuyé. Je me détends comme elle le demande, je
sens son doigts sur le rectum : elle ne fait que le caresser surtout autour. C’est
bon, même très bon. Elle se décide à poser sa pulpe de doigt à l’entrée du cul. Je le
sens à peine entrer. Quand elle l’a mi en entier dans mon ventre elle me le dit. Elle
commence des va et vient bien venus. C’est tellement bon que je me laisse aller à un
autre orgasme.

12
Elle se tourne complètement pour mettre sa tête entre mes jambes, elle me donne son
abricot sur ma bouche. Je ne suis pas sotte, je sais que les filles entre elle font de
nombreux 69. J’ai quand même un choc quand je sens sa langue sur mon petit bout de
chair : elle me fait jouir bien trop vite. Je le lui rends comme je peu, en cherchant
bien avant avec le bout de ma langue quand je me rends compte de son odeur intime,
bien plus forte que la mienne.
Je la fais jouir pour la première fois avec ma langue. Elle reprend le gode en main
pour me l’appliquer dans la chatte. Je jouis très vite au contraire de ce que je
pensais. Je m’essaie à une caresse que je n’ai jamais faite : je pose ma langue sur
son anus. Je resserre ma langue pour la faire entrer. Miracle, elle rentre
facilement : c’est vrai qu’elle pratique seule la sodomie. J’ai encore le privilège de
la faire partir vers le 7° ciel.

08
Quand nous finissons je pense quand nous arrêtons. Il n’en est pas question : elle
veut que je la fiste. Je connais la chose : un de mes copains m’a appris ce que
c’était, j’en avais pas mal joui. Aussi c’est sans appréhension que je le lui fais :
elle est sur le dos, les jambes au compas bien ouvert, ce qui me permet d’admirer sa
chatte. Je pose d’abord un doigt sur l’entrée du vagin, puis j’entre un deuxième, tous
sauf le pouce entrent facilement. Je force juste pour mettre le pouce. Après c’est la
bataille de pénétration : la plus dure et pour moi et pour elle. Si elle gémit à
moitié de douleur et de plaisir, ma main force un peu pour entrer jusqu’au poignet.
Elle gémit comme je ne l’ai jamais entendu. Je sens ses spasmes de jouissance autour
de ma main qui ne cesse de tourner en allant et venant dans son ventre. Quand je sors
d’elle elle est totalement épuisée. Nous nous endormons enlacées.
Le lendemain matin très tôt elle me réveille : je sens qu’elle entre ses doigts dans
mon ventre. Tant mieux si elle me fiste : un prêté pour un rendu.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 8 juin 5 08 /06 /Juin 19:24

Je suis Michèle, 44 ans, petite blonde aux cheveux longs, 1,56 m pour 51 kg, petite poitrine 85A, mariée depuis 24 ans à un mari que j'aime, 2 grands enfants majeurs. Ça s'est passé pour la première fois en février 2011 avec mon dentiste qui a 64 ans, qui est veuf et qui m'a connu toute jeune. Il devait me faire un bridge, j'étais sur le fauteuil de soins, j'avais la bouche fermée sur une pâte pour prendre l'empreinte de ma mâchoire et je devais rester comme ça quelques minutes sans desserrer les dents. J'étais en jupe, il était à coté de moi, j'avais les yeux fermés, la bouche serrée sur une pâte quand, soudain, j'ai senti sa main sur le haut de mon genou puis sa main est remontée sous ma jupe. Je l'ai repoussé mais il m'a dit : « ne bouge pas, laisse-toi faire, tu vas aimer, ça va te détendre… ». J'ai senti sa main se poser sur le haut de ma cuisse et elle a vite atteint ma petite culotte. J'étais émue, je ne voulais pas, j'ai serré mes cuisses pour emprisonner sa main et qu'elle n'aille pas plus loin... Pourtant je dois avouer que cette caresse si douce me procurait du plaisir... Il me dit : « détends-toi, libère ma main, je n'irai pas plus loin. J'ai senti que tu étais très réceptive et je devine que je pourrais te donner du plaisir une autre fois ». Il ôta sa main de dessous ma jupe, me fit ouvrir la bouche et retira l'empreinte, il me dit de me rincer puis je me suis relevée du fauteuil un peu honteuse, j'ai remis un peu d'ordre dans ma tenue. Il me donna rendez-vous pour le mercredi suivant à 19 h 45. Je quittai son cabinet très troublée mais tout de même un peu excitée par ce qui venait de se produire.

 

Le mercredi suivant j'étais à l'heure à son rendez-vous, je fus surprise que ce soit lui qui vienne m'ouvrir, son assistante était partie. Il me fit entrer dans son cabinet m’aida à retirer mon manteau et aussitôt me prit dans ses bras et posa ses lèvres sur les miennes, la tête me tournait, mes jambes tremblaient et, sans m'en rendre bien compte, je répondis à son baiser. Ses lèvres étaient fraîches, j'entrouvris les miennes et sa langue pénétra ma bouche pour se mêler à la mienne ...

Nous étions debout, face à face, collés l'un contre l'autre, bouches soudées. Il me serrait fort…

 

Petit à petit j'ai senti sa main droite remonter sous ma jupe, caresser mes cuisses puis mes fesses par dessus ma petite culotte qu’il a écarté ensuite pour passer un doigt dessous et me caresser plus intimement, et tout en me laissant embrasser par cet homme, j'ai alors écarté les jambes pour lui faciliter l'accès à mon intimité déjà humide de plaisir. Son étreinte s'est desserrée, il s'est mis à genoux devant moi, a mis sa tête sous ma jupe, fait descendre ma culotte sur mes genoux et il a posé sa bouche sur ma vulve. Je sentais sa langue fouiller ma petite chatte trempée qui s'ouvrait, je tenais sa tête tout contre mon ventre qui s'offrait à cette caresse si douce et si intime.

 

Après quelques minutes, il s’est relevé, a mis son fauteuil en position allongée et m'a invitée à m’allonger sur le dos. Il a relevé ma jupe sur mon ventre et a ôté ma culotte. Sa tête est revenue entre mes cuisses ouvertes pour lécher ma petite chatte, sa langue écartait mes petites lèvres, pénétrait mon vagin, suçait mon petit clito. Il avait placé ses mains sous mes fesses, je sentais son index qui tentait de pénétrer mon anus, mon plaisir montait… et, pour la première fois, un homme autre que mon mari, m'a fait jouir violemment.

 

J'avais envie de le sentir en moi et je lui ai demandé de me prendre. Il a hésité en me disant qu'il n'avait pas de préservatif pour se protéger, je l'ai alors rassuré en lui disant que j'avais été fidèle toute ma vie, que j'étais arrivée vierge au mariage, que je n'avais jamais connu d'autres hommes que mon mari en moi. Il s'est alors déshabillé et lorsque j'ai vu son sexe j'ai pris peur, il était deux fois plus large que celui de mon mari... Il s'est allongé sur moi, je sentais ce sexe énorme contre mon ventre, il m'a de nouveau embrassée à pleine bouche tout en faisant glisser doucement son sexe entre les lèvres de ma petite chatte sans me pénétrer. Il m'a dit « J'ai peur de te faire mal, tu es si étroite… »

 

Je lui ai répondu : « Prenez-moi !… Venez en moi !... Faites-moi l‘amour… J‘ai tant envie de sentir votre sexe dans ma petite chatte... Voyez comme je suis mouillée... Venez… Venez !... Prenez-moi !… Prenez-moi vite !… J’ai tant envie de vous !…». Il m'a dit « Détends-toi ma petite chérie… J’ai très envie de toi aussi… Tu es si belle, si jeune, je vais te prendre… je vais te faire l’Amour… Tu vas jouir et je jouirai en toi… J'irais très doucement pour que tu n’ais pas mal et que tu ais du plaisir… ». C'est moi qui ai guidé son sexe à l'entrée de ma vulve... Son gland écartait les lèvres de ma petite chatte, j'étais tellement mouillée qu'il réussit à le faire pénétrer dans mon vagin, puis il n'a plus bougé pour que je m'habitue. Il a repris ma bouche, sa langue jouait avec la mienne, au bout d'un moment j'ai attrapé ses fesses pour le retenir en moi et j'ai soulevé mon bassin pour le faire entrer plus loin dans mon ventre... J'ai senti sa verge énorme me pénétrer peu à peu, m'envahir, prendre possession de mon ventre, les parois de mon vagin s'écartaient pour lui céder le passage, c'était comme s'il pénétrait tout mon corps, comme s'il me possédait toute entière. Lorsqu’il a été tout au fond de moi, j'en ai eu le souffle coupé ! Il est resté quelques instants sans bouger puis a commencé ses va-et-vient d'abord doucement puis de plus en plus vite.

 

J'étais tant excitée de le sentir, si gros, si fort, si dur en moi, dans ma petite chatte, que j'ai joui très vite en hurlant mon plaisir ! Il a joui presque en même temps que moi en criant aussi : « Je jouis ! Je jouis dans ton ventre ma petite chérie ! Oh oui je jouis en toi mon amour !... » il se vidait dans mon ventre, je sentais les soubresauts de son sexe à chaque éjaculation, je n'étais plus moi même, je n'avais jamais ressenti un tel plaisir… Un tel bonheur en faisant l'amour avec mon mari ! Lorsque son sexe est devenu plus petit et plus mou, il s'est retiré de ma petite chatte et a repris ma bouche pour m'embrasser profondément, puis il m'a tendu une serviette pour m'essuyer, je me suis relevée, il m'a prise dans ses bras pour me câliner, m'embrasser et me caresser encore. J'avais les jambes toutes tremblantes. Il m'a demandé s'il pouvait gardait ma petite culotte parfumée de mon odeur intime, je lui ai répondu en souriant : « Oui mais il faudra me la rendre… ». Il était 21h30, je me suis rhabillée pour rentrer chez moi, fesses nues, il m'a donné rendez-vous pour la semaine suivante à la même heure, nous nous sommes encore embrassés et il m'a caressée une dernière fois très intimement en passant sa main entre mes cuisses, sous ma jupe son doigt m’a pénétrée une dernière fois, et je suis partie.

 

En marchant, pour regagner ma voiture, je sentais le sperme de René s'écouler le long de mes cuisses, dans ma voiture j'ai dû m'essuyer avec un kleenex. Lorsque je suis arrivée chez moi, mon mari était là, il avait préparé le repas et mis la table, les enfants étaient dans leur chambre. J'avais honte de ce que je venais de faire, pourtant j'ai embrassé mon mari comme d'habitude pour lui dire bonjour, j'avais peur qu'il passe sa main sous ma jupe comme il le fait parfois, mais j'y ai échappé cette fois-ci... Je suis allée dans la chambre pour m'essuyer et mettre une culotte, mais je n'ai pas pu me laver pour ne pas attirer l'attention de mon mari. Tout au long du repas j'avais l'impression de sentir le sexe de mon amant en moi et je sentais son sperme finir de s'écouler dans le fond de ma culotte.

 

J'ai été très troublée pendant plusieurs jours de ce que j'avais fait avec cet homme qui avait l'âge de mon père, mais je suis tout de même allée à son rendez-vous le mercredi suivant et me suis de nouveau offerte à lui. Depuis ce jour, je refais l'amour avec René parfois l’après-midi chez lui, cet homme me donne toujours autant de plaisir, il me fait jouir souvent plusieurs fois de suite et lui, jouit en moi. Il aimerait essayer de me prendre par derrière mais je ne veux pas, son sexe est si large que j'ai peur qu’il me blesse et de souffrir atrocement.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Dimanche 22 avril 7 22 /04 /Avr 21:55

Travaillant dans un métier de service, cela faisait 4 années maintenant que j’avais
rejoint une agence en Ile de France.
Je passais mes semaines à Paris et je rejoignais mon épouse le W.E. en province.
Les premières années, les retrouvailles de fin de semaine étaient autant d’occasion de
partager des moments de tendresse et d’intimité relativement torrides avec ma femme,
mais au fil du temps la fatigue accumulée au cours des voyages émoussa un peu le
désir.
Ayant dû faire face à un départ dans son équipe, ma directrice commerciale recruta en
mutation, Judith pour l’assister en début d’année 2011.
Ma directrice commerciale partit en congé maternité au milieu de l’été et c’est tout
naturellement à cette jolie blonde, qui avait déjà travaillé dans une autre filiale
du groupe, que je demandais d’assurer l’intérim.
Elle rejoint le Comité de Direction et au fur et à mesure où le temps s’écoulait, les
Monsieur furent remplacés par mon Prénom et une certaine proximité s’installa.
Elle ne rentrait jamais dans mon bureau pour me saluer, sans appuyer son bonjour d’un
sourire gourmand et sans abandonner ma main avec un mouvement de retrait qui
ressemblait quasiment à une caresse et elle ne me croisait jamais dans certains
couloirs exigus de l’agence sans appuyer ostensiblement sa poitrine sur la partie de
mon corps en contact à ce moment là.
Alors que j’avais la tête accaparée par les objectifs à réaliser, je ne répondais pas
à ces quasis avances et elle décida de passer à la vitesse supérieure.
La fin d’année s’était clôturée admirablement et le budget avait été atteint, je
décidais d’emmener mon Comité de Direction pour un Séminaire de lancement de la
nouvelle année et nous nous retrouvâmes tous dans un hôtel 4* équipé d’un Spa, et je
pensais ainsi que cette équipe de 8 personnes pourrait allier travail et plaisir
pendant ces 4 journées de réunion……je ne croyais pas si bien faire.
Après une première journée à faire le bilan de l’année écoulée, nous prîmes un dîner
convivial et nous nous quittâmes pour une nuit réparatrice.
Alors que je m’apprêtais à entrer dans ma chambre, un message apparut sur l’écran de
mon portable :
-« Je suis chaude aussi à l’intérieur, voulez-vous en profiter ?………Judith »
Regardant un peu gêné autour de moi, je répondis :
- « Il faut voir…je suis bien tenté »
Immédiatement la réponse fusa
- « J’arrive, quel numéro votre chambre ? »
- …..« 368 ! »
Deux minutes, à peine et Judith écrasait à nouveau sa généreuse poitrine sur ma
cravate, s’emparait de ma bouche et dégrafait aussi bien sa jupe que mon pantalon.
J’étais bouche bée, et alors qu’elle retirait tous ses vêtements, il ne resta plus
qu’un soutien-gorge et qu’un string parfait qui me fit, une fois enlevé, découvrir un
sexe de blonde, ce que je n’avais jamais eu l’occasion d’admirer auparavant.
Ces petites lèvres roses parfaitement dessinées, encadrées d’une jolie touffe de poils
dans lesquels je passais la main, furent rapidement délaissées au profit des deux
bombes qu’elle fît apparaître quand je fis sauter la fermeture de son soutien gorge.
Je commençais toutefois par masser avec le pouce la zone, où son petit bouton
commençait à grossir, et incérait deux puis trois doigts dans une grotte aussi
lubrifiée que désireuse d’être visitée.
Elle me fit allonger sur le lit, s’installa tête bêche sur moi, plaquant son sexe sur
ma bouche et englobant le mien avec un appétit d’experte tout en massant mes
testicules et en imprimant des va et vient gourmand sur ma bite dressée et prête à
rendre l’âme à tout moment. Je ne réalisais pas ce qui m’arrivait, mais cela
m’arrivait !
Je pris pour ma part ces deux magnifiques fesses dans mes deux mains et écartant ces
deux globes bien fermes, je me mis à masser doucement, avec le majeur légèrement
lubrifié, ce petit anneau qui s’entrouvrait peu à peu et qu’elle ne défendait à priori
absolument pas.
Jugeant que mon érection lui convenait, elle stoppa les réjouissances et se
retournant, elle me dit sans détour :
« Je vais t’épuiser et tu ne pourras plus te passer de moi »
Ce positionnant quasiment assise sur moi, comme si elle allait uriner, elle s’empara
de mon sexe dressé et me chevaucha comme une diablesse.
Je sentais sa chatte tout lubrifiée taper contre mon ventre et j’entendais ces petits
bruits de succion que le frottement de nos deux organes produisait.
Qu’il était doux de se faire baiser, qu’elle était douce malgré sa fougue.
Après 2 minutes dans cette position, je sentis son sexe se contracter et elle partit
dans un orgasme tout en soubresauts qui semblait sincère.
Etonnamment, je n’avais pas joui, mais j’avais la bite toute dressée et je décidais de
reprendre « la main » et de continuer là ou mon majeur avait commencé la découverte.
Je la repositionnai lentement sur le dos, l’approchai au bord du lit et soulevai ces
chambres tout en les écartant.
Je découvris ce petit anus qui avait été une fois dilaté et positionnait ma bite au
bord du précipice.

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Qu’il fut doux de rentrer entre ses fesses et qu’il fut agréable d’imprimer des
mouvements réguliers en tapant en ses cuisses à chaque fois que mon sexe s’enfonçait
entièrement.
Elle râlait et j’accompagnais ses râles en faisant se dresser entre mes doigts ce gros
clitoris qui sortait légèrement de son logement comme s’il voulait prouver qu’il
pouvait rivaliser avec ma bite.
Comme je m’apprêtai à jouir, je sentis à nouveau cette petite contraction qui
annonçait chez elle un orgasme imminent, et je parti en premier, en laissant s’écouler
de longs jets de sperme dans son conduit anal, ce qui déclencha semble-t-il chez elle,
une deuxième vague de plaisir sans limites.
J’étais fourbu, elle avait un sourire carnassier….elle souhaitait que la nuit soit
longue, je n’étais pas sûr de pouvoir suivre, mais les images de notre dernière
étreinte laissait augurer de jeux d’adultes qui pouvaient être très intéressants….et
de vrais découvertes pour moi.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 21:29

 

L’idée de nous resservir un verre nous vient au même moment. Nos mains entrent en contact sur la bouteille. Nos regards se croisent et nous sourions tous deux comme des enfants devant un magasin de bonbons. Bon sang, ce sourire ! Mon cœur bat comme jamais. Impossible qu’elle ne l’entende pas. Je n’ai plus qu’un seul désir, ses lèvres, là, tout de suite.
« Alors tu me donnes ton verre ? » je n’ai pas vu sa bouche s’ouvrir, perdu dans le bleu de ses yeux. Sa voix me ramène brusquement à la réalité, m’arrachant brutalement au plus doux des rêves.
« Oui, oui bien sûr. » Elle me ressert avec application puis fait de même pour son verre.
« Tu le trouves bon le vin ? »
« Oui, j’aime beaucoup quand il est fruité. »
Nous devons être amusants à regarder. Deux adultes célibataires, qui de toute évidence se plaisent, mais incapables l’un comme l’autre de faire le premier pas. Un silence chargé de tension s’installe, elle le brise la première :
« Tu veux regarder un film ? »
« Euh oui, pourquoi pas. »
« Quel genre ? Comédie, action, science fiction ? »
« Un truc qui te plaît. »
« Ok alors je choisis Will Hunting.»
« Ah oui j’adore. » Ce qui était vrai. Encore une fois on avait les mêmes goûts.
Le film avance, nous ne faisons pas de commentaires. La tension n’est pas vraiment redescendue depuis toute à l’heure. Elle me lance des coups d’œil furtifs de temps à autre. Je fais mine d’être absorbé par l’histoire mais impossible de me concentrer sur le film avec Sophie sur le même canapé. Quand le générique de fin tombe, je ne sais pas trop quoi faire. J’ai envie de rester, de l’embrasser maintenant, de lui faire l’amour toute la nuit et que l’on s’endorme nus, lovés ensembles. Mais si elle ne veut pas ? Si elle trouve que je vais trop vite ? Si jamais je gâche tout ? Peut être vaut-il mieux y aller plus doucement…
J’attrape mon manteau.
« Bon, je vais y aller. »
« Ok. On se refait ça dans pas longtemps ? »
« Oui bien sûr, merci j’ai passé une très bonne soirée. »
J’ouvre la porte, je me retourne vers elle.
« Rentre bien. »
Elle s’avance pour me faire la bise, un sourire empreint d’une légère tristesse sur le visage. Je l’embrasse près des lèvres, il semble quelle aie eu la même idée. Nos bouches s’effleurent à peine, mais c’est comme un signal. Nos lèvres se joignent enfin dans un premier baiser passionné. Je l’attire contre moi, une main au creux de ses reins. Elle passe ses bras autour de mon cou. Je ne sais plu depuis combien de temps nous nous embrassons, la notion de durée me quitte. Collés l’un à l’autre, plus rien n’a d’importance à nos yeux excepté cette étreinte.
Puis elle m’emmène doucement vers sa chambre, sans décoller ses lèvres. Et c’est dans une valse sensuelle mais quelque peu maladroite que nous gagnons son lit. Je glisse sur un magasine et l’entraîne avec moi dans ma chute sur le matelas. Nous éclatons de rire tous les deux, puis reprenons nos ébats de plus belle. Je caresse tout son corps, ses jambes, son ventre, ses seins. Je glisse une main sous son pull. Elle m’enlève le mien. Bientôt nous ne sommes plus qu’en sous vêtements, étroitement enlacés en une étreinte de pur bonheur. Je l’embrasse dans le cou, m’enivrant de la délicieuse odeur de sa peau, je sens sa respiration dans mon oreille. Elle revient vers ma bouche, titille ma langue avec la sienne et me mordille tendrement les lèvres avant d’éloigner son visage et de me contempler avec un sourire coquin. Mon excitation redouble d’intensité, si c’est possible.
Elle ôte son soutien gorge et attire ma main contre son sein gauche, je sens son cœur battre à toute vitesse. Mes doigts glissent le long de sa peau si douce et si parfaite, pendant que je couvre sa poitrine de baisers. Ses mains passent sur mon ventre, se rapprochent de mon boxer, glissent sous l’élastique et entament un lent va et vient. Une vague de plaisir me submerge. Je retourne vers sa bouche l’embrasser passionnément comme pour la remercier de cette nouvelle caresse. C’est au tour de mes doigts de passer la barrière de sa culotte et de s’aventurer dans son intimité.

 

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 Je suis maladroit, cela fait longtemps que je n’ai pas pratiqué. Mais elle semble apprécier. Sa respiration s’accélère, elle ne peut retenir quelques cris de plaisir. J’abandonne sa bouche, je descends son corps avec ma langue en m’arrêtant brièvement sur ses seins puis sur son nombril, et me retrouve finalement entre ses jambes. Je saisis sa culotte et la tire lentement le long de ses cuisses. Je n’ai jamais assisté à plus beau spectacle. Le coton glissant doucement sur la courbure de ses fesses, le rouge qui lui monte aux joues, son souffle saccadé soulevant sa poitrine. J’ai du mal à croire ce que je suis en train de vivre : Sophie est là, devant moi, entièrement nue et offerte. Elle se redresse, inquiète tout à coup :
« T’as ce qu’il faut ? »
« Oui, je reviens tout de suite, ne bouge pas, ne t’envole pas. »
« Je n’en n’ai pas l’intention » dit elle en me lançant un autre de ses sourires coquins.
Je cours dans le salon fouiller mon manteau, me maudissant intérieurement de ne pas y avoir pensé avant, rien de tel pour tuer l’excitation. C’est avec soulagement que je sens l’emballage sous mes doigts dans une poche intérieure. Je reviens vite dans la chambre et la trouve sous les draps, tout sourire.
« T’as trouvé ?»
Je brandis la capote en guise de réponse.
« Alors viens ! »
A peine l’ai-je rejointe sous la couette qu’elle baisse mon boxer et me prend dans sa bouche.

 

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Elle lève vers moi ses grands yeux bleus pendant qu’elle m’aspire en elle. Après quelques minutes de ce traitement divin, je suis au bord de la jouissance. Heureusement elle me donne un instant de répit et revient m’embrasser fougueusement, se mettant à califourchon sur moi. Elle attrape le préservatif, l’ouvre et me l’enfile prestement. Puis elle cale ses deux mains sur mon cou, et me fait rentrer en elle.
C’est elle qui mène le jeu, elle monte et descend dans un rythme de plus en plus rapide, des gouttes de sueur perlent sur son front. Nous ne nous quittons pas des yeux, je me perds une fois de plus dans le bleu de ses iris. Son regard est intense, empli de tendresse et de désir. Je la fait basculer sur le côté, elle s’allonge sur le dos et je me place au dessus. Je m’insère à nouveau en elle et reprend les va et vient en couvrant son cou de baisers. Je sens son excitation monter, sa respiration s’accélère et ses cris sont de plus en plus bruyants. J’augmente le rythme, stimulé par son excitation croissante. Ses mains agrippent mes fesses, et me tirent avec force, me faisant entrer encore plus profondément en elle. Finalement, Sophie prend mon visage entre ses mains et m’embrasse passionnément, avant d’éclater dans un sublime orgasme. Et j’explose avec elle.
Je me laisse tomber sur le côté, elle pose sa tête sur mon torse, ses cheveux me chatouillent agréablement. Nous restons silencieux pendant plusieurs minutes, savourant encore ce qui vient de se passer. Je me rends compte qu’il n’y a nul endroit au monde où je préférerais être. Pour la première fois depuis une éternité je sais ce que je veux : vivre avec elle, pour toujours.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 26 octobre 3 26 /10 /Oct 20:52

Je m'appelle Claire et je vais vous faire partager le dépucelage de ma meilleure amie Choralie avec mon frère. Je connais Choralie depuis le début de l'année. Elle a 19 ans et c'est une très belle métisse. Un jour elle m'a avoué qu'elle était encore vierge. Pour son anniversaire, ses 19 ans, j'ai organisé son dépucelage.

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 J'ai parlé de cela à mon frère et il a accepté de s'en occuper. Il faut dire que Choralie ne le laissait pas indifférent. Un jour de septembre, Choralie et moi nous sommes rendus chez lui. Il avait installé un appareil photo. C'est grace à lui que vous avez ces photos aujourd'hui.

Choralie était à la fois excitée et très stressé par cette expérience.

Je l'ai encouragé et guidé un peu.

--Baise son pantalon, et prends son sexe dans ta mains

Mon frère ne tarda pas à bander comme un taureau.

.

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Il alla s'allonger sur le lit.. Choralie le suivi et prie timidement son sexe dans sa bouche. C'était nouveau pour elle.

En plus, elle ne connaissait que très peu Julien.

 

 

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Elle prie assez vite de l'assurance et semblait aimer le gout du sexe. Je l'aurais bien aidé mais je voulais qu'elle profite pleinement de ce moment. En plus j'ai déjà eu l'occasion de sucer mon frère.

J'ai également eu la chance de brouter Choralie quelques jours plus tard...

ebony-slut-10.jpg

Choralie sucait allégrement Julien, si bien que j'ai eu peur qu'il lache la sauce plus tot que prévu.

J'ai donc dit à Choralie que le moment était arrivé. Elle s'allongea sur le dos, les cuisse écartées pour accueillir le jeune homme. Choralie poussa un gémissement lorsque son sexe entra dans son vagin. ebony-slut-12.jpg

Julien la pénétra doucement pendant plusieurs minutes, puis il s'allongea derrière elle pour la prendre en levrette. Il pouvait ainsi la pénétrer plus facilement tout en lui caressant les seins.  Je me suis ra.pproché pour voir son sexe aller et venir dans Choralie. Le préservatif luisait. Il faut dire que sa chatte était très mouillé et elle gémissait.

 

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Elle se mit ensuite à califourchon sur lui. Elle avait vu cette position dans un magasine, habituellement réservé aux hommes. Elle en avait un dans son casier de l'internat. Elle pouvait enfin passer du reve à la réalité.

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Julien sentant l'éjaculation se retira, ota son préservatif et offrit sa semance à Choralie.

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J'était heureuse. Cette initiation était un réussite, et Choralie et Julien ont depuis découvert d'autres positions...

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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