Les récits de Camille

Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 21:09

Je ne pensais jamais vivre une telle journée. Ce matin mon chérie part au travail vers 8 heures après m’avoir bien fait l’amour comme tous les matin, un coup de langue et sa bite dans la chatte, avec deux de mes doigts dans son anus: il aime ça. Je déjeune, fais le peu de ménage et pars faire mes courses dans le quartier. L’épicier, le boulanger, le boucher: toujours des gens avec qui bavarder. Par contre chez le marchande de journaux une découverte. Je savais bien que le commerce devait changer de propriétaire, mais à ce point je ne l’imaginais jamais. La caissière se trouve être une de mes vielles connaissance de lycée, Lydie, avec qui nos relation étaient plus que bonnes puisque nous nous amusions souvent toutes les deux à nous faire plaisir. J’allais l’embrasser quand elle aussi s’approche de moi. Notre bise sur la joue se transforme en un véritable baiser. Heureusement que personne n’est là.
- Tu te souviens d’avant ?
- Oui, c’était agréable.
- Tu as une amie ?
- Non et toi.
- Non, je suis mariée, il me baise bien, je crois être heureuse.
- Comme moi.
- Des fois je pense à nous deux.
- Passe cet après midi, vers 15 heures
Cette invitation je devais l’ignorer. Pourtant elle me donne envie de recommencer encore avec elle, c’était si bon. Et puis je ne tromperai pas mon mari avec une camarade: elle n’a pas de bite. Alors, je vais chez elle, oui, mais si je vais avec elle encore je fais tromper………..
Je réfléchi trop. Je suis mon instinct de femme sensuelle, je lui donnerai du plaisir elle m’en donnera aussi.
J’arrive chez Lydie toute excitée, elle me présente son mari qui tient la boutique, nous montons ans l’appartement où traine encore pas mal de choses en vrac à cause du déménagement. Par contre le séjour est nickel. Nous mettons en route la boite aux souvenirs. Ils sont différents bien sur. J’ai en tête sa langue, elle se souvient de mes doigts. Par contre nous nous souvenons toujours de nos langues. Elle me prend dans ses bras, m’embrasse encore sur la bouche. Je la laisse faire, surtout quand sa bouche est sur mon cou. Elle se souvient encore des mes endroits fragile. Je ne peux que lever la tête pour qu’elle m’embrasse bien. Par contre ma main droite fille sur son dos à la recherche de l’agrafe du soutiens gorge. J’arrive comme avant à libérer sa poitrine. Je passe maintenant mes mains sous son chemisier en dentelle, je peux voir les seins à travers. Je soulève le chemisier pour prendre les pointes dans le bouche. Comme avant Lydie se laisse faire et avance sa poitrine vers ma bouche. Pendant que je m’occupe de sa poitrine elle passe une main sur mes hanches, cherche le passage pour aller vers ma chatte. Je me soulève un peu pour faciliter ses recherches. Elle est rapide pour trouver la chatte. Je n’avais pas mis de dessous. Elle vient vite sur le clitoris. J’écarte bien les jambes pour profiter des caresses: elle branle toujours aussi bien.
Je lui demande de nous lever pour nous mettre nue: je ne crains même pas son mari. Nous sommes vite resserrée, seins à seins, bas ventre contre bas ventre. Nos mains sont occupées à masturber l’autre. Je jouis la première. Ce n’est pas assez: elle jouit à son tour, nous changeons à peine de position. Nous allons plus bas, comme avant nous cherchons l’anus. De là, bien sur nos doigts entrent bien vite dans les culs. C’est meilleur que dans mes souvenirs. Nous ne tenons pas longtemps encore: il me semble qu’elle me caresse le cul mieux que mon mari.
Nous sommes sur le tapis, en 69. Nous retrouvons les odeurs et le gout de nos chattes. Nous jouissons une autre fois, maintenant en ayant deux doigts dans le cul de l’autre. A l’époque nous ignorions de genre de caresse. Le mariage nous a habituée à la sodomie. Nous en faisons profiter l’autre.


Maintenant elle veut que nos clitoris seuls nous fassent jouir. Je sais que ça se fait, même si je n’ai jamais pratiqué cette formule. Nous nous plaçons les jambes écartées l’une contre l’autre, nos entrejambes bien collées. Nous n’arrivons pas à faire ce que nous voulions. Son sexe est sur une de mes fesses, comme le mien. Tant pis nous jouirons quand même. Nous pouvons nous caresser les boutons avec deux doigts. Le plaisir est un peu plus fort que les autres.
J’ai une idée qui me trotte dans la tête depuis que j’ai vu sur un site spécial deux filles nues s’aimer différemment. Je fait assoir Lydie sur le divan, je lui fais écarter les jambes, sans la prévenir, j’entre un puis deux, trois doigts et toute la main. Je fiste une fille pour la première fois. J’enfonce toute ma main jusqu’à mis avant bras.
Elle proteste un peu puis gémit de plus en plus fort jusqu’au moment de son orgasme. Orgasme qui la dévaste tellement il était fort. Je voudrai renouveler l’expérience dans son cul. Je le lui dis, elle refuse d’abord puis accepte quand je l’embrasse sur les seins. Là, je vais plus lentement, je crache souvent sur mes doigts et ma main. Je l’encule comme elle ne l’a jamais été. Je pousse au bout mon raisonnement: elle a aimé dans son con et maintenant dans son cul: je vais lui mettre mes deux mains, une devant l’autre derrière. Quand je commence à entrer dans son vagin elle ne proteste pas, elle commence à manifester son désaccord quad je suis presque toute en elle. Enfin elle commence à gémir de plus en plus fort: avec des oui, oui, baise moi comme ça, encore, encore,, je vais jouir, ne pars pas recommence. Je ne pensais jamais donner tant de plaisir.
J’en voudrais moi aussi. Lydie est d’accord pour me fister, mais demain, chez moi. Elle m’embrasse comme jamais sur la bouche, me touche la chatte, chose qu’elle ne faisait jamais.
Il me tarde qu’elle me fiste à son tour demain

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 6 octobre 4 06 /10 /Oct 21:46

L’imprévu est le sel de l’amour. Avec Henri mon chéri nous sommes partis pour piqueniquer. J’ai préparé les vivres et le boisons. Nous sommes allés à 50 kilomètres dans une foret. Henri installe la couverture où nous allons nous installer, je sors le panier avec le repas : j’ai bien pris un soda pour moi, j’ai oublié le vin. Sans vin, même à petite dose, Henri ne vit pas. Ce n’est pas la quantité (juste un verre) que la qualité qui compte.
Je lui conseille d’aller au dernier village que nous avons traversé pour acheter une bouteille. Il m’écoute pour une fois. Je reste seule à écouter les oiseaux, le bruit de la nature, le vent dans les branches. Avant qu’Henri revienne d’ici ¾ d’heure, je ne sais que faire. Je décide de faire une surprise à mon amant : je le recevrai nue. Je suis sure qu’il me baisera. Cette idée trotte dans ma tête et j’en suis toute excitée, trop sans doute. Je me déshabille, je me sens bien nue dans la nature, c’est sans doute trop pour moi car je sens l’envie dans mon ventre. Quand je suis ainsi je ne connais qu’un seul moyen : me caresser. Je me couche sur la couverture, écarte les cuisses, juste ce qu’il faut pour que ma main y passe, je touche mon entrejambe, je me masturbe un moment pour finir par me doigter. C’est bon ce que je me fais, tellement bon que je me crispe juste avant que j’éclate dans un bel orgasme.

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Il me tarde qu’Henri soit là, il me finirai puisque j’ai besoin de sa bite et devant et derrière, surtout derrière.
Enfin j’entends le bruit du moteur. La voiture s’approche de moi. Il va venir me prendre dans la nature, ce que j’espère depuis notre départ de la maison.

 

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Je me cache juste un peu derrière un arbre. Mauvaise pioche, n’importe qui peu me surprendre. La preuve, une voiture s’arrête bien mais ce n’est pas la notre. En descend un couple : lui grand, musclé, elle normale en taille, blonde et surtout bien faite ( je me trouve moche). Ce couple est étonné de voir la couverture et le panier sans personne autour.
Deux minutes plus tard arrive enfin Henri. Lui est étonné de ne pas me voir. Le couple explique qu’ils n’ont vu personne. Henri remarque mes vêtements sur la couverture. Il comprend ce qu’il se passe. Il m’appelle. Je répond un timide :
- Je suis là !
- Où là ?
- Je me cache, je suis nue !
Sans réfléchir, j’ajoute :
- Je m’ennuyais seule, j’ai voulu me branler en t’attendant.
Le couple se regarde en souriant. Henri commence à mal le prendre, non pas le fait que je me sois donné du plaisir, il sait fort bien que je le fais souvent, surtout devant lui., mais de le dire tout haut.
Il vient me chercher suivi par la femme. Après tout une femme ce n’est pas tragique. Je vais me réfugier vers Henri. La femme me regarde avec des yeux envieux ; je connais ce genre de regard, quand j’étais jeune une femme plus âgée que moi le faisait, juste avant de m’appendre l’amour entre fille.

 

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Cet épisode de ma vie antérieur n’était pas connu d’Henri. Tans pis, il l’apprendra aujourd’hui, après tout ce n’est pas mortel de baiser une fille. En plus elle ne me déplait pas du tout.
Entourée par une jeune femme et mon amoureux, j’arrive toujours nue près de la couverture. L’homme qui accompagne la jeune femme se rince l’œil. Henri voudrai me protéger. De quoi veut il me protéger de l’autre, d’elle ou de moi ?
Je suis capable de ne pas me protéger : je vois que la bite de cet homme enfle dans son pantalon, Henri aussi commence à bander. Quant à la fille je ne sais pas si elle mouille comme moi en ce moment. Je m’allonge sur la couverture, les jambes ouvertes, mon sexe à la disposition de qui le voudra : homme ou femme je m’en fiche. Je me donne simplement.
La première à le comprendre c’est cette jeune femme blonde. Elle vient se déshabiller sur la couverture, se penche sur moi et m’embrasse. Il y a longtemps que ma bouche n’avait pas eu une bouche de femme. Nous nous caressons les seins, le pubis et nous allons très en bas, sur le clitoris. Elle est agile pour me faire avoir ce plaisir particulier qu’ont les femmes entre elles.
Je crois que je lui donne au moins autant de plaisir. Nous jouissons comme deux lesbiennes. Elle se tourne pour que nous puissions faire un 69.
Je ne sais même pas ce que font les hommes, ils se branlent sans doute. Nous, nous suçons les chattes. C’est bon de lécher un sexe de fille, ça a bon gout et les langues ne rencontrent que des choses douces.
La première je lui met un doigt dans l’anus : elle ouvre son cul pour que j’entre facilement. J’ai de la chance, elle aussi m’encule avec deux doigts. Nous partons ensemble.

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Je me tourne pour être contre elle, nous nous caressons les seins et les fesses.
Henri nous regarde faire, il est nu comme l’amant de la blonde. Tous les deux bandent dur. Nous pouvons faire les comparaisons entre les deux bites. Elles sont difficiles à séparer. Aujourd’hui à tout prendre j’aimerai que ce grand bonhomme vienne me baiser. Surtout j’aimerai voir Henri baiser une autre femme. Ca fait parti de mes fantasmes.
C’est bien ce qui se passe : Nous sommes sur le dos quand les hommes viennent nous baiser. Nous écartons les jambes pour nous faire mettre au même endroit dans la chatte.
Il faut reconnaitre que se faire baiser par un homme est aussi agréable qu’avec une femme, c’est seulement l’intérieur des chattes qui sont ramonées. Et c’est bon de se faire limer.
Je vois enfin Henri qui baise. C’est émouvant de voir son plaisir arriver.
Il ne le sait pas encore, je vais moi aussi jouir avec une pine étrangère dans mon ventre : il me baise bien cet animal.
Les deux hommes jouissent dans nos ventres. J’ai encore envie de jouir, mon amante recommence à me branler. C’est bon, nous nous faisons encore jouir.
Les hommes sont en forme rapidement puisqu’ils aiment nous voir baiser entre filles. Henri a envie de mon cul comme le compagnons de mon amante. Je ne veux pas choisir : je leur donne et mon cul et mon con. A eux de choisir le trou qui leur va le mieux. C’est Henri qui le premier vient sur moi, il me tourne, entre sa bite dans le cul et donne le reste. Je me trouve doublement pénétrée. C’est ma première fois. Ce ne sera certainement pas la dernière car je jouis comme une cinglée.
Les hommes sont résistants et ils s’attaquent à l’autre fille qui comme moi ne demande pas mieux. Elle jouit aussi.
L’amusant de la chose est quand les hommes qui bandent encore se serrent les mains comme des complices. Avec l’autre fille nous échangeons un dernier baiser.
Finalement le piquenique est plein de surprises

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 16:27

Je m'appelle Céline, j'ai 40 ans et je suis mariée à Eric depuis 15 ans.
Nous avons une vie sexuelle que je qualifierais de classique jusqu'à ce jour du mois de juin où notre vie sexuelle a pris un nouveau tournant.
Un soir nous jouions tous les deux à un jeu érotique, jeu que j'ai perdu. A la fin de ce jeu, un gage est donné au perdant : Nous devions nous rendre dans un cinéma où je devrais sucer Eric. Nous n'avions jusque là jamais réalisé ces gages de fin de partie et n'avions pas plus l'intention de le réaliser cette fois. Au cours de cette semaine, nous sommes allés au cinéma à la séance de 18h00 et dans la voiture Eric m'a reparlé de ce gage, me disant qu'il aimerait que nous essayions de le réaliser. On ne peut pas dire que j'étais excitée à cette idée mais je décidais d'accepter.
Une fois dans le cinéma nous nous sommes positionnés sur la dernière rangée. L'obscurité s'est faite et le film a commencé. La salle était peu remplie et nous étions seuls au fond. Très vite Eric a posé sa main sur ma cuisse en m'écartant un peu les cuisses. Sa main est remontée le long de mes cuisses pour venir se poser sur ma culotte. Pendant plusieurs minutes, j'ai senti ses doigts jouer sur ma culotte, ses caresses se faisant de plus en plus précises. Après plusieurs minutes de ce petit jeu que je commençais à trouver très excitant, Eric m'a demandé d'enlever ma culotte. Le plus discrètement possible, j'ai fait glisser ma culotte le long de mes jambes et je l'ai enfouie dans mon sac à main. Les doigts d'Eric se sont de nouveau glissés entre mes cuisses, j'avais écarté un peu plus les jambes et ses doigts se concentraient maintenant sur mon clitoris. La situation était très excitante je dois l'avouer et je me laisser aller à ses caresses. Après plusieurs minutes, Eric a pris ma main et l'a posée sur son jean. Fébrilement je l'ai déboutonné et j'ai sorti son sexe bien raide. Nous nous caressions mutuellement comme deux ados avec la peur de se faire prendre. Eric c'est penché vers moi :
- Et si tu réalisais ton gage...
Je me suis penchée vers lui et ai pris sons sexe en bouche. Je me suis mise à le sucer doucement quand soudain Eric m'a relevée. Un homme situé quelques rangées devant nous s'était levé et se dirigeait vers nous. Nous avions repris des positions normales avant qu'il n'arrive. Il s'est engagé dans notre allée et est venu s'asseoir près de moi sans dire un mot. Après quelques minutes, il c'est penché vers nous et nous a chuchoté qu'il aimerai que nous poursuivions notre petit jeu. Nous n'avons pas répondu, ni l'un ni l'autre faisant mine de nous concentrer sur le film. Quelques minutes se sont encore écoulées et j'ai senti le dos de la main de mon voisin se poser contre ma cuisse. Je ne savais que faire, était-ce volontaire de sa part ? J'ai senti la paume de sa main glisser doucement sur ma cuisses. J'ai bougé sur mon siège pour rompre ce contact et me rapprocher d'Eric. Me voyant me rapprocher de lui, Eric a pris mon attitude pour une invitation et il a posé de nouveau sa main sur mon genou. J'étais à la fois apeurée et excitée. Eric a remonté sa main, relevant ma jupe doucement. Je ne bougeais pas, l'homme à coté de moi n'avait pas reposé sa main sur moi mais je sentais son regard sur mes cuisses. La main d'Eric remontait de plus en plus, j'ai pris sa main et l'ai repoussée mais il en a profité pour prendre la mienne et la glisser dans l'ouverture de son jean. Il s'est penché vers moi et m'a demandé de le caresser. Son sexe était encore dur, je l'ai sorti de son pantalon le plus discrètement possible et j'ai commencé à le masturber. L'homme à coté de moi n'avait pas perdu une miette de ce que je faisais et il a sorti son sexe lui aussi. J'ai regardé Eric qui l'avait vu lui aussi et il m'a juste répondu un petit "Oui". L'homme a pris mon autre main et l'a posé sur son sexe. Je ne sais encore pourquoi mais je n'ai pas reculée au contraire, j'ai enserré son sexe entre mes doigts et me suis mis à le masturber lui aussi. J'avais un sexe dans chaque main et je les masturbait en rythme. L'homme à ma gauche n'a pas tardé à jouir, giclant sa semence sur mes doigts. Je me suis penchée vers mon sac à main pour essuyer mes doigts sur ma culotte dans mon sac et avant que je ne puisse me relever Eric m'avait attiré vers lui, glissant son sexe dans ma bouche pour jouir lui aussi. Prise au dépourvu, j'ai avalé son sperme pour la première fois pour son plus grand plaisir. Une fois fini je me suis redressée et nous sommes restés tous les 3 pour regarder la fin du film, sans dire un mot.
A la fin de la séance, les lumières se sont rallumées Eric et moi nous sommes levés pour sortir, l'homme à coté de moi s'est levé doucement devant moi. Il était plutôt pas mal, un peu plus jeune que nous. Il s'est écarté pour me laisser passer, posant une main sur mes fesses en me disant merci. Alors que je m'avançais dans l'allée, Eric et cet homme étaient restés à leur place échangeant quelques mots. Je suis revenue vers Eric l'informer que j'allais aux toilettes pour lui demander de m'attendre à la sortie.
Une fois un peu rafraichie j'ai retrouvé Eric à la sortie du cinéma pour rejoindre la voiture. Une fois en voiture, sur le chemin du restaurant, nous avons bien évidemment reparlé de ce qui venait de se passer. Eric m'a avoué qu'il avait beaucoup aimé ce qui c'était passé et qu'il avait trouvé très excitant que cet homme vienne se joindre à nous et que je le masturbe. De mon coté je lui ai avoué que j'avais aussi ressenti beaucoup d'excitation même si je me sentais extrêmement gênée... Nous sommes entrés dans le restaurant et avons continué notre discussion le plus discrètement possible. Après quelques minutes nous avions décidés tous les deux de renouveler l'expérience prochainement, mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Eric m'informa que l'homme du cinéma nous avait donnés rendez-vous dans la forêt, que nous pouvions le rejoindre si nous le souhaitions entre 21h30 et 22H00. Après une longue discussion nous avons décidé de nous rendre au rendez-vous. Durant le trajet nous avions convenu que si quelque chose ne me plaisait pas nous partirions immédiatement. Ne sachant comment allait se dérouler cette rencontre, Eric m'avait laissée seule juge de ce que j'accepterais ou je n'accepterais pas tout en me précisant qu'il accepterait tout ce que je voudrais et que me voir faire l'amour avec cet homme l'exciterait terriblement.
Nous sommes arrivés au lieu du rendez-vous. Une voiture était garée. Nous nous sommes garés derrière elle et tout de suite l'homme de tout à l'heure en est descendu. Il est venu vers moi, se penchant à ma vitre se disant ravi de nous revoir. S'adressant à moi, il m'a demandé si j'accepterais de lui dévoiler mes jambes. Eric a ce moment a posé sa main sur mes cuisses et a relevé ma jupe sur mes jambes sans qu'il puisse toutefois voir mon sexe nu sous ma jupe. L'homme a glissé sa main dans la voiture et l'a posée sur ma cuisse. Je n'ai rien dit et l'ai laissé faire. Ses doigts ont bougés doucement sur mes bas, je regardais sa main qui doucement remontait le long de ma cuisse. J'ai écarté très légèrement les cuisses, l'invitant à poursuivre. Sa main a atteint le haut de mes bas pour continuer à glisser sur ma chair jusqu'à atteindre mon sexe nu. Il n'a pas eu l'air surpris du fait que je ne portais pas de culotte et ces doigts se faisaient maintenant de plus en plus précis. Eric a posé une main sur ma cuisse, lui aussi m'invitant à les écarter davantage, ce que j'ai fait. Les doigts de l'homme ont glissés sur mon sexe, s'insinuant peu à peu entre mes grandes lèvres dévoilant mon intimité humide d'excitation. Il m'a caressée quelques minutes, s'attardant sur mon clitoris avant de retirer sa main. Il c'est redressé et a sorti son sexe face à moi. Il a enfilé un préservatif et c'est rapproché un peu plus de la voiture, le sexe tendu vers moi. De nouveau j'ai pris son sexe entre mes doigts. Eric avait plongé sa main entre mes cuisses et me caressait à son tour. Je m'abandonnais aux caresses, caressant le sexe de l'homme à quelques centimètres de ma tête. De plus en plus excitée, je me suis penchée un peu vers lui et ai glissé ma langue sur son gland. Tout en le caressant mes coups de langues étaient de plus en plus répétés jusqu'à ce que je le prenne en bouche pour le sucer. Je me suis mise à le sucer tandis qu'Eric me caressait de ses doigts. Après quelques minutes Eric m'a attirée vers lui pour que le suce lui aussi. Alors que je me penchais pour le prendre en bouche j'ai senti les doigts de l'homme s'enfoncer en moi, il me masturbait pendant que je suçais Eric. Eric avais posé ses mains sur mes fesses pour relever ma jupe, il m'a demandé de me mettre à 4 pattes sur mon siège. Je l'ai fait m'offrant du regard à cet inconnu qui ne cessait de faire aller et venir ses doigts en moi, reprenant le sexe d'Eric dans ma bouche pour le sucer. Eric m'a relevée doucement et m'a chuchoté à l'oreille : "Ouvre lui la porte si tu veux..."
Je me suis retournée et ai déverrouillé la portière, l'homme l'a ouverte et est venu derrière moi. J'ai senti son gland se poser sur ma fente et d'un coup il m'a pénétrée. Il m'a baisée jusqu'à ce que je jouisse, récoltant le sperme d'Eric une seconde fois dans ma bouche. Il c'est retiré et a enlevé son préservatif. Une fois assise, j'ai pris son sexe en main et je l'ai masturbé jusqu'à ce qu'il jouisse sur moi, giclant son sperme sur mon chemisier et ma jupe...
C'était la première fois que je faisais l'amour avec un autre homme et mon mari... Cette expérience restera inoubliable et à renouveler...

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 11:30

A presque 18 ans, j'ai rencontré Régis.

Régis habitait à quelques maisons de celle de mes parents. Il avait 18 ans, était aussi au lycée et nous nous retrouvions entre jeunes, certains soirs de la semaine, sur une petite place aménagée près de la rivière qui traverse notre quartier.

Il n'avait pas de copine, était un peu plus grand que moi et je le trouvais super mignon. Nous discutions pas mal ensemble et j'ai rapidement commencée à fantasmer sur lui pendant mes séances quasi journalières de masturbation. Et un jour, nous nous sommes regardés, nos regards se sont enflammés et nous nous sommes embrassés.
Nous avons flirtés 2 semaines et un jour, je me suis retrouvé chez lui; ses parents étaient partis quelques jours dans la famille.

Je ne savais pas si le grand jour était venu, mais j'avais envie qu'il se passe quelque chose.

Nous nous embrassions depuis un bon moment sur son lit, lorsqu'il m'a très gentiment sussuré de me déshabiller afin de découvrir mon corps. Très lentement en le regardant droit dans les yeux, j'ai retiré mon jean, mon tee-shirt et mes socquettes; il ne restait sur moi que ma petite culotte et mon soutien-gorge Wonderbra. Je lui ai demandé de faire de même.

Une fois déshabillé, une énorme bosse déformait son caleçon. Nous nous sommes couchés face à face et embrassés.
Au bout de quelques minutes, il prit ma main droite et la déposa délicatement sur son sexe. Il venait enfin de dépasser la limite du flirt. Je n'avais pas peur, mais j'étais un peu soucieuse.
Je me suis mis à le caresser très délicatement à travers le tissus et après un petit moment, avec douceur j'ai retiré son caleçon. Est apparu la bête, elle était impréssionnante, tendue à l'extrême. Je l'ai caressée de haut en bas, en n'oubliant pas ses douces couilles et me suis mis à doucement le branler. Il avait l'air d'apprécier, a entendre ses petits grognements.

Il était sur le dos et moi j'étais couchée sur le côté, ma tête sur son épaule. A un moment, il vint me caresser les cheveux et me poussa délicatement la tête vers son ventre. Je me doutait de ce qu'il voulait, mais ne savait pas trop comment m'y prendre... C'était quand même la première fois...

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Ma tête sur son ventre, son sexe était à quelques centimètres de mon visage. Je m'approchais encore pour donner des petits bisous sur le gland. J'ouvris ma bouche pour laisser rentrer un tout petit bout et il poussa encore délicatement ma tête pour faire rentrer sa bête plus loin. Je fus surprise et me mis à tourner ma langue autour de son sexe. Je pris de l'assurance et du plaisir à le voir dans cet état. Mais celà ne dura pas longtemps et il m'annonca qu'il allait jouir et qu'il fallait que j'arrête. La bite posée sur son ventre cracha son jus crêmeux. Ce jour là, je me suis fait dépuceler; mais ce sera pour un prochain récit.

La première fois que j'ai avalé son sperme, c'était quelques jours après. Alors que nous en étions aux préliminaires et que je lui donnais ma bouche, il me prévient qu'il allait bientôt jouir et me demanda de l'avaler. J'ai secouée négativement la tête, mais il a maintenu la position avec sa main dans mes cheveux. Son jouissance s'est répandue d'un coup dans ma bouche; j'ai eu un mouvement de recul, mais ma bouche était pleine, je n'ai pas pensé à recracher et je dus avaler.
Sérieusement, je fus nullement dégoutée et ne regrette pas d'avoir été un peu "forcée" à franchir le pas. C'est l'amour fou et fougueux des débutants. :wink:

Maintenant, il m'arrive toujours de temps en temps d'avoir envie de gouter le jus de mon copain... pour son plus grand plaisir, bien entendu.

Voilà le récit de ma première pipe. C'est clair, c'est un peu long, mais comme j'adore écrire... Bisous à toutes et tous. Trinity

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 08:21

Depuis nos années au secondaire, je rêvais de Florence, une fille plus âgée que moi d’un an au corps déjà bien développé pour ses 16 ans. Elle était menue d’une forte poitrine qui lui donnait une allure plus mûre que les autres filles de la classe. Elle était métissée et portait un regard préoccupé, presque trop sérieux pour son âge. Pourtant Florence n’était pas très brillante en cours, mais était extrêmement motivée car elle craignait plus que tout, les furies de son père, un ministre très sévère qui semblait préférer ses demi-sœurs, plus jeunes, métissées aux corps sveltes, comparé à elle qui était plus ronde. Il arrivait à Florence de pleurer longtemps en classe quand elle recevait une mauvaise note, prévoyant déjà les remontrances de son paternel le soir venu. Ceci dit, sa concentration en cours était donc imperturbable, et parfois, son chemisier légèrement entre ouvert laissait paraître sans qu’elle s’en rende compte, la belle chair claire d’un de ses seins lourds qui se ballottait à l’étroit sous son uniforme. De même, l’air hébétée souhaitant tellement réussir ses cours, elle oubliait parfois le monde autour d’elle et ses jambes entre ouvertes m’offraient à moi, son attentionné voisin, la vue de ses grosses cuisses jaunes qui me perturbaient durant toute l’année scolaire. Il était rare qu’elle bavarde en classe et encore moins qu’elle montre un intérêt particulier pour les garçons. Toutefois, elle portait sur moi ce regard tendre, presque maternel, qui plus tard je le comprendrai, était un signe que je ne la laissais pas indifférente.
Les années passèrent et je perdu de vue la pas très brillante, mais douce et voluptueuse Florence qui je l’appris quelques 10 ans plus tard, eu un enfant d’un premier mariage rapide qui se termina mal. Je revis par un heureux hasard Florence un après-midi chaud à châteaubriant alors que j’avais rendez-vous pour visiter un appartement dans un quartier tranquille de la ville. Elle était devenue commissionnaire en immobilier, et lorsqu’elle m’ouvrit la porte ce jour là pour accueillir son potentiel client à qui elle avait réservé un arsenal de charme pour la vente, je ne pus m’empêcher de reconnaitre tout de suite sous sa blouse juste au corps, cette poitrine qui a si bien bercé mon adolescence. Avec le temps, elle avait encore pris du volume et maintenant retombait un peu car Florence n’était plus une fille mais une femme expérimentée, une mère , avec un large bassin accueillant, des cuisses bien enveloppées dans sa mini-jupe et les épaules un peu arrondies par le poids de toute cette masse de tendresse qu’elle portait maintenant mieux que jamais.
Elle fut aussi surprise que moi, et pris un moment à replacer mon nom et mon visage, car il faut le dire, j’avais mois aussi changé. Je n’étais plus un adolescent, mais un jeune homme soigneux de sa personne, en bonne forme physique se tenant devant elle avec l’envie de rattraper le temps perdu.

Après nos retrouvailles et quelques échanges de souvenirs sur les années passées, elle m’invita à visiter le balcon qui donnait sur un jardin privé où le paysage était le seul voisin, et la tranquillité à plaire à toute personne discrète. C’est là, toujours à parler de tout et de rien en sirotant du vin blanc, qu’elle s’assit sur une chaise relaxante croisant les jambes dans sa jupe, et me plongeant instantanément dans mes souvenirs les plus tendres. Je ne tardât pas à la rejoindre, m’affaissant à mon tour sur la chaise à côté de la sienne. Si Florence était préoccupée dans le temps, elle semblait aujourd’hui, dans cet espace réservé qu’à nous deux, beaucoup plus détendue et même qu’elle prenait un sournois plaisir à prendre les commandes. Elle se mit soudainement à me questionner sur mes regards dévorant d’il y a 10 ans, qu’elle avoua avoir remarqué tout le long qu’on était voisins en classe. Je n’en croyais pas mes oreilles, d’entendre celle que le moindre échec faisait sangloter, me parler avec tant de maîtrise, allant jusqu’à me défier d’avouer mon attirance pour elle, chose que je ne fis pas automatiquement, je le crois, par hésitation. Mais rien ne semblait amuser plus Florence que ma gêne et ma surprise, elle continua donc à me titiller sur ce que j’aimais en elle et lorsque je me levai pour tenter subtilement d’échapper à ce qui devenait un vrai assaut, je fis le plus surpris de sentir et voir se poser sur ma jambe, la cuisse si tendre de ma voisine qui me maintint assis. Elle ne tournait plus autour du pot, elle voulait assumer le désir obsessionnel qu’elle avait créé il y a longtemps en un jeune adolescent que je fus. C’est alors que je compris quels étaient mes choix. Entre me venger de toutes ces soirées passées à bander en pensant à elle et la prendre là en levrette sur ce balcon ou bien l’entrainer doucement dans la pièce semi-meublée qui servait de chambre. Je pencha pour prendre mon temps et savourer chaque centimètre de peau soyeuse qui s’offrait à moi en caressant sa cuisse, remontant parfois lentement près de sa chaude intimité. Le temps me parût être suspendu pendant que Florence qui m’avait maintenant suivi sagement jusqu’à la chambre, se couchait sur le lit m’offrant la vue si rêvée de son entrejambe. On ne parlait quasiment plus et elle avait retroussé sa courte jupe jusqu’à ses hanches, m’invitant à retirer sa culotte en dentelle, que je retira avec soin avant de recevoir son doux parfum sur mon visage. Si je n’avais pas été fan de cunni, je le serai devenu cet après-midi. Sans y mettre de doigt, presque pour ne pas déshonorer la chatte de mes rêves, je déposai des baisers profond au creux de son v, et elle n’était bientôt plus la même, transportée par ce plaisir si longtemps refusé, elle s’abandonnait à ma bouche et mes lèvres contre ses lèvres toutes mouillées. L’entrée en scène de ma langue, lui fit un choc que je pris sur le moment pour un orgasme précoce. En effet, j’étais passé au niveau supérieur en introduisant celle-ci au fond de sa cave avec douceur. Elle n’en pouvait plus et activa ses hanches qui propulsaient maintenant toute sa chatte contre ma bouche et mon nez. A chaque violent coup de rein qu’elle me donnait, je dégustai son jus et elle finit rapidement par jouir, entièrement secouée de spasmes, cherchant à s’agripper malgré elle aux draps pour calmer les décharges que son orgasme lui procurait. Sa chatte pétrifiée par le plaisir foudroyant qu’elle venait de recevoir, tentait maintenant d’échapper à ma langue qui se posait quelques dernières fois sur son clitoris et produisait à chaque fois, une nouvelle décharge à Florence. Elle avait évacué tout le poids de notre excitation d’adolescent dans cet orgasme et se retrouvait blottie dans mes bras, jouissant d’un sentiment de sécurité avant de réaliser à la vue de ma verge bandée sortie mon jeans, que les retrouvailles ne faisait que débuter, elle était maintenant à ma merci.

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Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 21:55

Je ne peux pas croire qu’elle a dit ce qu’elle vient de dire. Je ne lui connaissais pas ce genre de langage, ni ce genre d’envie. D’un coup de pied, le shorty que j’avais abandonné à la hauteur de sa cheville, vole dans les airs. Elle écarte les cuisses. Je crois qu’elle veut que je lui fasse un cunni. Je jette un coup d’œil à Jérémie qui lui, a commencé à masser son salami. Quelque chose de plutôt agréable à regarder. Plus petit que je me l’étais imaginée, mais dans les fantasmes on exagère toujours.

Catherine s’est approchée et elle se l’a foutu dans la bouche. Elle le suce, comme ça, devant moi. Dans quelle sorte d’histoire est-ce que je me suis embarquée. Pourquoi est-ce que j’aime ça, les regarder faire? Je ne croyais pas que c’était du genre de Catherine. Je ne croyais pas que ce serait mon genre de descendre mon visage vers sa vulve, non plus. Je ne sais pas trop comment je dois faire, mais j’imagine que je vais trouver. J’ai déjà eu un copain qui adorait regarder ce genre de film. Pourquoi est-ce que je brûle d’envie de lécher sa chatte?

C’est une chance que Catherine ait un si grand lit. Jérémie est agenouillé d’un côté et il se fait sucer la queue. Catherine est étendu sur le dos, un peu de billet et elle a replié et écarté les cuisses. Et moi, je suis agenouillée devant sa vulve. Mes bras tiennent ses cuises écarté dans cette position pour le moins exhibitionniste. J’ai d’abord hésité, mais maintenant je fais ce qu’elle m’a demandé : je lui lèche le minou. Normalement, je n’emploierais pas ce genre de langage, mais dans le feu de l’action, on perd certaine inhibition.

Avec ma main gauche je tiens ses grandes lèvres écarter. Si d’abord, j’y vais délicatement en effleurant du bout des doigts ces petites lèvres, l’odeur, la vue de son petit clitoris, l’apparition de ce que je crus être de la mouille et le désir hardant qui s’empare de moi me convainc d’attaquer. Je glisse ma langue le long de sa fente. J’essaie de la glisser à l’intérieur de son vagin. Je vois son ventre se contracter. Je crois qu’elle aime bien. Alors, j’effleure du bout de la langue son clitoris. Je suis encouragée par le petit gémissement qu’elle laisse entendre. Je lèche avec plus d’intensité. J’aime ça. J’aime le goût de Catherine.

« Ah putain, Mel, c’est bon, continu. »

Je continue. Je redouble d’ardeur. Briser cet interdit, fait battre mon cœur tellement vite. Jérémie ne se fait plus sucer. Il est debout sur le bord du lit et il se dirige derrière moi. Il dit que j’ai un beau cul. Il avoue même l’avoir toujours aimé. Mes hanches sont tellement larges, avec mes gros nichons, ça le fait bander.  Il met d’ailleurs ses mains sur mes hanches  et il les descend le long de mon corps jusqu’à mes seins. Il les saisit avec vigueur. C’est à mon tour de gémir. Je me cambre, un peu. Je crois qu’il va me prendre, comme ça en levrette pendant que je m’occupe  de Cat. Je me brasse un peu les fesses.

Il descend ma culotte. Je sens l’élastique glisser sur mes fesses. Je devine son regard sur mon cul. Il a de la difficulté à passer sous mes genoux. J’aspire une des petites lèvres de Cat qui gémit doucement. J’éloigne mes genoux pour m’écarter et m’offrir à Jérémie Derrière moi, il glisse quelque chose, un doigt ou son gland, sur ma vulve. C’est fou, les plans à trois, ça me plait de plus en plus.  

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 21:54

Qu’est-ce que je raconte. Je ne sais rien faire. D’habitude, je m’étend sur le dos et j’attends que ce soit fini. Parfois, c’est bon. J’ai connu un Kévin, il en avait une énorme. Des fellations, j’en ai déjà fait, aussi, mais elle, je lui retirai son shorty et je ne saurais pas quoi faire avec se que j’y trouverais. Les cunnilingus, j’en ai déjà entendu parler, mais c’est tout. Je décide de donner un baiser sur son ventre. Elle a un beau ventre. Je ne sais pas si elle s’épile. Sûrement, une fille comme elle. Elle fait attention à son apparence.

- « Et ben, les filles!
- Tu nous surprends en pleine action, hein! Mel allait justement enlever ma culotte.
- Je… non… je…
- Oh oui, Mélanie, retires y sa culotte. C’est trop cochon.
- Je… eh… »

Apparemment, je n’ai pas le choix. Quand il est arrivé, je me suis roulée sur le côté pour le regarder. Si sa nudité m’a laissé chancelante, sa suggestion m’a rendu bègue. Catherine, elle, elle en a profitée pour soulever les jambes et maintenant elle les bas comme si elle nageait une longueur.

- « Mel, sois pas si stresser.
- Mais oui, Mélanie, ce n’est pas comme si ce serait la première fois qu’on déculotterait Catherine.
- Qu’est-ce que t’insinue.

On ne saura jamais ce qu’il insinuait. Il s’est étendu sur le matelas avec Catherine et moi. Il m’a immobilisé en ne me tenant par le menton et il a joint ses lèvres aux miennes. C’était étrange, parce que Catherine nous regardait. Elle était-là, juste en dessous de notre baiser.  

J’éclate de rire. C’est qu’après m’avoir embrassé, Jérémie a échangé un baiser passionné avec Catherine. Et elle, quand elle a lâché les lèvres de son amoureux, ce fut pour venir me rouler une pelle pour le moins étourdissante. Encore sous le choc, après ce baiser ultra cochon, qu’est-ce qu’il me restait à faire, sinon, retourner coller ma bouche contre celle de Jérémie. Nos trois corps étaient si proches. On a perdu un peu le contrôle. Avoir deux partenaires à embrasser, deux corps à caresser ça peut devenir mêlant, mais ça donne un sacré coup de chaleur.

« Arrête de te moquer, toi, et essaie pas de t’en échapper! T’as promis de m’enlever ma culotte et j’attends encore. »

Je suis contente qu’elle me le redemande. C’est la première fois que je fais ça et j’aurais été déçu que Jérémie, qui la déjà vu, m’enlève la chance de découvrir cette partie de son corps. Je marche à quatre pattes sur le matelas pour que mes mains soient au niveau de ses hanches. J’attrape l’élastique de son shorty. Je tire tranquillement. Le cœur me bat de plus en plus vite à mesure que son bas ventre se découvre. Je savais bien qu’elle serait épilée. C’est beau. Ces petites lèvres dépassent juste un peu des grandes. J’ai envie de toucher… de toucher la vulve de mon amie. J’aurais envie d’effleurer l’endroit du bout des doigts. Juste pour la faire frissonner, juste pour m’habituer à l’idée.

«  Très bien, maintenant, mange moi. »


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Samedi 16 juillet 6 16 /07 /Juil 21:53

Catherine pose une main sur un de mes seins. Elle fait un cercle avec son majeur autour de mon mamelon. « C’est vrai qu’ils sont beaux. Mélanie, tu veux bien dégrafer mon soutien-gorge? » Elle se retourne. J’ai les mains qui tremblent.

Je m’y reprends par trois fois pour dégrafer son soutien-gorge. Je n’ai jamais été aussi nerveuse pour enlever un des miens. Et puis, il y a Jérémie qui me distrait. Il est en train d’assouvir tous les désirs qu’il n’a jamais eu pour ma poitrine. Il en pince un si fort que la douleur me fait gémir doucement. Ses mains chaudes pétrissent sans réserve. Mes pointes ont durci et allongé. Maintenant, c’est sa langue qui tournoi autour de mon aréole. Et sa main, sa main s’est glissée dans ma fourche. Catherine s’est retournée vers nous. Je ne suis plus capable de détacher mes yeux de ses petits seins.
« Allez, vous venez? On serait mieux dans ma chambre. À moins que vous teniez à faire ça devant le feu. Allez viens, Mel, il va faire bien assez chaud dans mon lit! »

Elle me tire par le bras. Je me sens les jambes faibles. Je crois que je vais m’évanouir. Lui, il est superbe. Elle, c’est une fille. Et moi, moi, je ne savais pas que j’étais ce genre de fille. Le genre de fille qui en pince pour un couple d’ami. On entre dans sa chambre et elle se précipite sur le matelas. Je reste debout, toujours captivé par ses seins. Ce qu’ils sont beaux : conique, ferme, avec un petit mamelon tout rond et les pointes bien dures.  Elle sourit. Elle dit qu’elle sait bien que c’est étrange. Elle non plus, elle n’avait jamais pensé qu’on pourrait faire ça ensemble. Mais, c’était avant que Jérémie le suggère. Depuis, c’est étrange, elle ne me voit plus de la même façon. Elle sait que je suis la fille parfaite avec qui essayer ça. Juste assez discrète.

Je ne sais pas où est Jérémie. Je m’allonge près de Catherine. Sur le côté, tous près d’elle. J’ose glisser tout doucement un doigt sur un de ses seins. Elle ne sourit, plus. Elle met une main dans mes cheveux, derrière ma tête et me force d’un coup sec à approcher ma bouche contre la sienne. Ça y est, on s’embrasse. Sa langue se fraye un chemin entre mes lèvres. Je ne fais rien pour résister. Sa langue est douce, comme la peau de son mamelon sur lequel ma main repose toujours.

Je ne sais pas ce qui me prend. Je monte sur elle. Enfin, je pivote au-dessus d’elle. Nos lèvres ne se sont pas séparées et notre baiser continu. Je sens les petites pointes en érection de sa poitrine grafigner la mienne. Je sens ses mains sur mes fesses. Je ne savais pas que je serais tant attiré par elle.

Oui, j’ai toujours admiré Catherine. Au secondaire, elle avait plein d’amies. Elle faisait partie de la troupe de théâtre et du conseil étudiant. Avec les garçons, elle était super populaire. Je me rappelle, cette année, au premier cours de philo, quand elle est entrée dans le local. Elle m’a aperçu et elle m’a souri. Elle est venue s’asseoir à côté de moi et elle m’a demandé : « Tu venais avec nous à Charlemagne, toi, non? » J’ai hoché la tête. Je ne pouvais pas croire qu’elle me parlait, à moi. En baissant les yeux, je lui dis que oui, que j’étais de Kirkland, moi aussi. Au début, on était juste coéquipière en philo et puis on est tombé dans le même cours de français. Je crois qu’on est devenue des amies. Maintenant, j’ai envie qu’on devienne amantes. Jamais j’aurais cru qu’elle était bi. Je ne savais même pas que je l’étais.

J’ai toujours trouvé qu’elle avait de beaux yeux. Ils sont gris ou plutôt pers. Pourtant, ça me gêne un peu de les voir de si près. Alors, je m’esquive en descendant vers son ventre. Je m’arrête à la hauteur de ses seins. Je ne peux pas croire que je vais poser mes lèvres sur ces petits mamelons. J’en ai envie. J’ai de drôle d’envie ce soir. Où est-ce qu’est passé Jérémie. C’est avec lui que j’étais supposée baiser.

- « Ah! Mélanie.
- Pardon, je ne voulais pas.
- Mais non, continue.
- T’es certaine?
- Comme tu faisais. Je trouvais ça très plaisant.
- Jérémie, il est…
- Partie chercher les condoms dans son blouson. Allez, profites-en, tu m’as juste pour toi. »

Ah! Il est parti chercher les condoms dans son blouson. C’est bien qu’il se protège. Moi, perso, je prends la pilule et puis, ce n’est pas comme si je coucherais avec tout plein de garçons. Le préservatif, c’est ce que ça prend de nos jours. Surtout si on… Oh! Elle attire ma tête vers son nichon. Elle veut que je continue. J’y vais plus goulûment. Toute ma bouche sur son mamelon. Elle aime bien, enfin je crois. Je n’ai plus l’impression qu’elle le fait juste pour plaire à Jérémie. Au début, j’avoue que c’est ce que j’ai pensé. Je descends vers son nombril. Je vais lui montrer ce que je sais faire.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 8 juillet 5 08 /07 /Juil 21:51

Je n’ai pas le temps de déboutonner mon jeans, qu’il arrive dans mon dos. Évidemment, il pose ses mains sur ma poitrine. 95E, ça intrigue. Bien sûr que ça les intéresse toujours, m’assure-t-il, entre deux baisers dans mon cou, je suis tellement sexy. Il a toujours fantasmé sur mes gros nichons, avoue-t-il sans gêne. Je ne peux pas dire que c’est déplaisant. Ses mains sont chaudes, ses caresses efficaces. À travers la dentelle de mon soutif, il pince mes mamelons en pétrissant mes seins. Je me retourne vers lui. J’ai toujours rêvé de lui rouler une pelle. Mon cœur bat comme si c’était ma première fois. Qu’est-ce que je raconte, à trois, c’est la première fois. Qu’est-ce que ma famille penserait de moi?

Oh! Je sais que c’est elle qui a mis sa main sur ma hanche. La caresse est trop douce pour être celle d’un homme. Dans mon dos, elle glisse sa main jusqu’à ma taille. Je suis trop grosse. Qu’est-ce qu’elle va penser de moi ? Que j’ai un gros cul graisseux? Eux, ils sont tellement beaux; le couple parfait. Je ne comprends pas ce qu’ils peuvent bien me trouver. Seulement, aussi difficile à croire que ça puisse l’être, c’est bien moi qu’ils ont choisi pour être en sandwich entre eux. Je sens le souffle chaud de Catherine dans mon cou. C’est elle, maintenant, qui a ses mains sur mes seins. Jérémie descend la fermeture éclaire de mon jeans. Il descend mon pantalon en glissant ses jointures le long de mes cuisses.  Ça y est, on va le faire, on va baiser, tous les trois, ensembles.

Agenouillé devant moi, Jérémie me soulève une jambe. C’est pour me débarrasser complètement de mon jeans et ça me fait sourire. Il me caresse les mollets. Personne ne s’est jamais attardé à cette partie de mon anatomie. Il glisse ses doigts vers le creux de mon genou. Ça me détend. Je me sens moins nerveuse. Je suis toujours trop nerveuse. Il me regarde directement dans les yeux. Je baisse les miens, je ne supporte pas les regards trop insistants. Surtout ceux des jolis garçons. Il enlève ma chaussette et caresse mes orteils. En plus d’être beau comme un dieu, monsieur sait comment faire craquer les filles. J’ai chaud et  j’ai le souffle court. Je mouille, comme disent certains.

Catherine s’est dégagée, elle a retiré ses vêtements pendant qu’il me déchaussait. Elle a défait sa queue de cheval et maintenant, elle retire l’élastique qui retient la mienne. J’aventure une main dans ses cheveux. J’ai toujours jalousé sa chevelure. Ses cheveux ne sont pas roux, mais ils sont trop foncés pour être blond. Ils ondulent un peu en descendant jusqu’au milieu de son dos. Les miens sont bruns, raide et mi-court. Elle approche son visage du mien pour me donner un bisou sur la joue.

« Je ne croyais pas que tu dirais oui. Je croyais, cette semaine, qu’on t’avait traumatisé. T’es certaine que t’en a envie? »

J’hoche la tête de haut en bas. Je ne suis pas capable de parler. J’ai la gorge trop sèche. Parce que devant moi, Jérémie à retiré son t-shirt. On dirait qu’il sort d’un magazine de fitness. Pectoraux, abdominaux, biceps ou triceps, il aurait pu servir de modèle dans un dictionnaire médicale. J’ai envie de coller mon visage contre sa poitrine. Je voudrais connaître le goût de sa peau, l’odeur de son corps. Je voudrais qu’il me pousse sur le sofa. Qu’il m’écarte les cuisses et qu’il me pilonne avec sa queue.

Avec son index elle fait pivoter mon visage vers le sien. « Est-ce que t’as déjà embrassé une fille, toi, Mélanie ? » Je n’ai pas le temps de répondre. Elle colle ses lèvres sur les miennes. C’est une fille. C’est Catherine, mon amie. C’est étrange, mais c’est doux. Mon cœur palpite, car mon amie Catherine, une fille, joue avec ma lèvre inférieure. Elle la suce, elle l’étire, elle la caresse avec volupté. Lui, il profite que je sois distraite pour dégrafer mon soutien-gorge. Je ne peux m’empêcher un petit gémissement, quand tirant vers le haut, il fait glisser l’armature sur le dessous de mes seins, sur les pointes en érections de mes mamelons et que, ayant atteint les limites de la physique, mes seins répondissent, libéré de leur gaine de dentelle.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 21:50

Je suis chez Catherine pour faire un travail de français. L’atmosphère était déjà tendue, mais depuis que Jérémie, son copain, est arrivé, je n’ai vraiment plus la tête à la littérature. C’est que, mardi de cette semaine, Catherine et moi, on s’était loué un film allemand qu’on regardait sur la super télé de ses parents, quand lui, il est arrivé. Les films étrangers, ce n’est pas vraiment son truc, alors j’ai été surprise quand il s’est assis avec nous. Je l’ai été encore plus quand il a demandé à Catherine si elle m’en avait parlé. De quoi est-ce que Catherine pouvait me parler qui l’intéresserait lui? Curieuse, j’ai voulu le savoir. Surtout que, plus j’insistais et plus Catherine rougissait. Ils avaient eu une idée, ils ne savaient pas trop ce que j’en penserais, c’était plutôt embarrassant… Comme elle tournait au tour du pot, il l’interrompit et me dit avec une franchise qui me prit de court, qu’ils avaient envie de faire ça à trois, avec moi. Je ne savais plus quoi dire.

Il faut comprendre que Jérémie me plaie énormément. Souvent j’ai été jalouse que Catherine lui ait mis le grappin déçu, mais bon, c’est certain qu’elle est plus belle que moi. Pas besoin d’être lesbienne pour savoir qu’elle est canon. Elle est super grande, on dirait que ses jambes ne se termineront jamais. Elle a des petites fesses bombées, une taille de guêpe, les petits seins parfaits et ses longs cheveux blonds vénitiens font craquer tous les garçons. Moi, je suis petite, j’ai un gros cul et des gros nichons. Ils ont toujours le regard braqué sur mes seins; Jérémie comme les autres. Jamais j’aurais joué dans le dos d’une amie, mais je m’étais imaginée qu’une fois qu’ils auraient rompu, je pourrais peut-être espérer. Après tout, c’est un homme. Il est grand et assez baraqué. Dans mes fantasmes je suis toute petite dans ses bras. Il me pousse sur le lit. Je suis emprisonnée sous son corps massif. Il me pénètre à grand coup de reins. Et je le jure, avant mardi, je n’avais jamais vu Catherine avec nous dans le lit!

Parce que mardi soir, je leur ai dit que j’y réfléchirais. Et même si au début l’idée me dégoûtait un peu, maintenant, j’aurais peut-être envie d’essayer. Enfin, j’en meurs d’envie. On est en 2011, non? Tout le monde baise avec n’importe qui. J’aimerais ça, me faire prendre par Jérémie. J’aimerais ça, voir Catherine se faire baiser et l’attendre gémir. J’aimerais ça, connaître l’effet que ça fait d’avoir le clitoris léché par une fille. Juste à y penser, le coton de ma culotte en est tout détrempé. Il faudrait que je me décomplexe, un peu.

Je referme Le Père Goriot. C’est inutile, je ne suis pas capable de me concentrer. Je me lève et je vais leur dire. Oui, j’ai pris une décision, j’ai envie d’accepter. Seulement, une fois debout, je n’ai plus la force de parler. Alors, je m’avance vers le milieu de la pièce. On est au sous-sol, chez Catherine. Ses parents sont partis pour le week-end. Jérémie a allumé un feu dans le foyer et maintenant il joue au billard. Quand je me retourne, Catherine me dévisage étrangement. Je ne sais pas si elle a deviné. Toute la semaine, ça été plutôt étrange entre nous deux.  D’une voix fluette que je ne me connais pas, je réussis à articuler un : « si ça vous intéresse toujours » avant de passer mon pull par-dessus ma tête. Catherine reste de marbre, mais derrière moi, j’entends Jérémie lâcher sa queue sur la table.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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