Les récits de Camille

Samedi 25 juin 6 25 /06 /Juin 21:19

Cela fait quelques mois que Fred et moi nous donnons du plaisir, ensemble nous expérimentons les positions les plus folles et les endroits les plus insolites et c'est tout naturellement que j'ai proposé de nous rendre dans un ciné porno. Entre nous, je fantasme sur ce lieu depuis pas mal de temps et j'essaie de m'imaginer ce qu'il se passe à l'intérieur. Cette odeur de foutre qui vous monte au nez, ces mecs qui se masturbent devant l'écran en imaginant un tas de trucs pervers...Ça doit être l'endroit idéal pour se faire ramoner de partout. Rien que d'y penser, je mouille comme une folle.

Maman est dans son bain et j'en profite pour faire une pipe magistrale à Fred, on aime cette situation où le risque d'être pris nous excite encore plus!!! Après avoir reçu ma dose de sperme et l'avoir avalée sans en perdre une goutte, je reparle de mon envie de ciné et lui propose d'y aller cette après-midi. Il accepte et me propose d'y inviter quelques collègues sur qui je fantasme depuis un bon moment. Pourquoi pas, plus on est de fous....

Après le déjeuner, je m'enferme dans la salle de bain et me prépare à mon après-midi de plaisirs charnels. Je vérifie mon épilation et j'en profite pour me caresser longuement, mes tétons sont tendus et ont hâte d'être léchés et triturés par des langues et des mains inconnues. Ma chatte et mon cul ne demandent qu'a être fouillés. Devant le miroir, je vois le reflet d'une femme avide de sexe, mes yeux brillent d'excitation et mon corps demande à être possédé.

Pour cette occasion, je choisi des fringues dignes d'une star du X. Petit Tee-shirt court, moulant et transparent et une mini jupe qui dessine bien la fente de mon cul. Le tout, sans sous-vêtements. J'aime beaucoup le résultat, j'ai 173cm pour 63kg, des cheveux noirs bouclés, un cul bien bombé et une poitrine assez généreuse, 90D il ne m'en faut pas plus. Mes tétons ressortent bien du Tee-Shirt, quand à mon cul, ma jupe s'arrête juste à la base de ma chatte, je n'ai qu'à me baisser de quelques centimètres pour offrir mes trous au premier venu. Ainsi vêtue, je rejoins Fred au salon qui m'attend avec 2 de ses collègues. Je leur dis bonjour en fouillant leurs bouches de ma langue gourmande. Je tiens à ce que nous soyons d'emblée dans le bon état d'esprit. Mon beau-père nous signale qu'il est temps d'y aller car la séance va bientôt commencer. J'ai choisi un ciné proche de chez nous, cela me plairait beaucoup si c'est le cas de revoir mes futurs amants au détour d'une rue et de pouvoir profiter de quelques aventures sexuelles imprévues!!!

Nous avons décidés d'un petit jeu, nous allons faire semblant de ne pas nous connaître afin de pimenter notre aventure cinématographique. Je descend de voiture un peu avant eux et me rend au ciné seule. Arrivée sur place, je croise quelques hommes occupés à choisir le film qu'ils iraient voir, pour ma part, mon choix se porte sur un anal hardcore. J'entends les mecs discuter derrière moi et l'un d'eux me glisse un doigt entre les fesses. Je ne dis rien et me dirige vers le guichetier. Je prends mon billet et me dirige dans la salle sans me retourner.
Mes acolytes arrivent quelques minutes plus tard et s'installent une rangée derrière moi. Il doit y avoir une vingtaine de mecs qui une fois la surprise passée me reluquent avidement. Je fais semblant de rien et j'attends que le film commence. Après une courte attente, la salle est plongée dans le noir, le film débute et nous met ''en situation'' trois filles violées et enculées sans ménagements.. Je suis toute excitée. J'écarte les cuisses afin de me caresser plus facilement. Le collègue de Fred assit derrière moi glisse une main sous mon T-shirt et commence à me palper les seins, je regarde autour de moi et des hommes commencent à s'approcher, le pantalon baissé et la queue bien raide. Je suis aux anges. Un mec se met à genoux devant moi et sa langue touche mon clito, je l'accueille en écartant bien les jambes, j'avance mon bassin vers sa bouche et l'invite à continuer. Il est très adroit, il déplace sa langue très lentement le long de ma fente jusqu'à mon fion en insistant sur celui-ci. D'autres gars arrivent à ma hauteur et me présentent leurs chibres bien tendus. J'en gobe le plus possible. Je reconnais celle de Fred dans la foulée et je remarque ses deux collègues qui sont venus près de moi quand aux autres, ce sont de parfait inconnus et j'ai hâte de les gouter dans tout les sens du terme. Je suis nue et à la merci d'une vingtaine de mecs que demander de plus. Je les suce à m'étouffer mais j'en veux plus. Un homme d'âge mur m'invite à m'asseoir sur sa queue, elle est d'une longueur normale mais assez épaisse et je la dirige vers mon fion. J'ai l'habitude d'avoir quelque chose de gros dans le cul et son braquemart entre avec facilité, je me lance dans un galop éfreiné, mon amant me susurre des obscénités toutes plus excitantes les unes que les autres, il regarde les mecs présents autour de lui et les invite à le rejoindre dans mon cul.
Cette salope est capable de prendre 2 queues d'étalon dans le cul en même temps tellement elle est dilatée alors on va lui faire gouter une triple sodomie à cette chienne, (l'idée de me faire prendre par un cheval en rut me plait énormément je devrais essayer). Ma bouche étant fourrée par les queues qui l'envahissent, je ne sais dire mots et mon amant prend donc ca pour un oui. Il me plaque contre lui et ses mains m'écarte les fesses afin que d'autres puissent venir, je sens une autre queue me pénétrer d'un coup sec et je m'étonne d'en éprouver autant de plaisir, ces deux chibres vont et viennent et me fouillent profondément. Le vieux pervers invite un troisième lasquar à entrer. Je ne sais pas comment ils s'y sont pris mais ils sont parvenus à trouver la position adéquate et une troisième queue s'est infiltrée dans mon trou. La douleur que j'ai ressentie lors de cette troisième pénétration s'est vite transformée en jouissance, ma bouche s'acharne à sucer tout ce qui passe et le sperme commence à fuser. J'avale tout avec gourmandise, certains se sont vidé sur mon visage et je sens le foutre dégouliner de partout. Mes trois enculeurs ne tardent pas à me remplir le ventre de leur liquide chaud, ils se retirent et une grosse giclée de sperme me coule le long des fesses. J'imagine l'état de mon trou béant! D'autres ne tardent pas à le remplir de nouveau, un black à la queue énorme me défonce la chatte, nous sommes debout et être prise en sandwich de cette manière me plait beaucoup. Ce mec me soulève afin de faciliter la pénétration des autres. J'embrasse goulument mon magnifique étalon, nos langues se croisent et fouillent nos bouches profondément pendant que Fred et un de ses collègues entre dans mon cul. De nouveau je suis un bac à foutre et j'aime ca. Après m'avoir pilonnée plusieurs minutes, mon black me lache une dose de liqueur phénoménale dans le vagin. Il reste en moi en attendant que ma double sodomie se termine ce qui ne tarde pas. Beau-papa me lâche sa dose et son collègue en fait de même. Ils me libèrent de leur étreinte et me demande de recueillir le foutre qui s'écoule de mes trous et de l'avaler. En bonne petite fille que je suis je m'exécute. Je m'accroupis et mes mains récolte la sève qui s'échappe de mes orifices, je porte mes mains bien remplis à ma bouche et je lèche celles-ci très lentement afin de profiter de la moindre molécule de foutre, tous ses hommes me regardent faire, certains se vident sur mes seins, d'autres m'envoient leur jet dans la bouche. J'en ai tellement que j'ai du mal à avaler mais j'adore être bien remplie et l'odeur du sperme me donne du plaisir. Je décide de me mettre à 4 pattes et de nettoyer toutes ces épées avec mon fourreau bien chaud, ceux qui le désirent me pénètrent de plus belle pendant que ma bouche fait son travail. Après m'être occupée de ma vingtaine d'amants, je retrouve mes fringues et mes acolytes, on s'embrasse et on s'habille rapidement. Le film est fini depuis un petit temps déjà et on doit évacuer les lieux. Je dégouline de partout et mes fringues me collent à la peau, le sperme coule le long de mes jambes et le retour est des plus épique comme vous pouvez l'imaginer mais quel bonheur!!! Je me promets de recommencer cette expérience et je vous la conseille également, c'est le must sans compter le nombre de possibilités de se faire baiser par l'un des amants au détour d'une rue.
Bonne lecture à tous...

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Lundi 16 mai 1 16 /05 /Mai 14:14

Ce scénario écrit à deux est une initiative d’un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d’entraîner l’autre dans son univers, d’exprimer avec ses mots son regard sur la scène.

J’ai ensuite retravaillé le résultat pour redistribuer les rôles, rendre la lecture plus fluide, et l’érotisme plus torride. Bonne lecture …

LUI :

Ce Paris-Bordeaux n'a plus de secret pour moi. Comme d’habitude j’ai évité les heures de pointe et ce soir j’ai la chance de trouver un compartiment vide. Je m'installe près de la fenêtre, dans le sens de la marche, et commence à faire ce que j'aime le plus en ces occasions : écrire.

Au moment où je commence à me détendre j’entends la porte coulisser. Je jette un regard noir vers la personne qui vient me déranger, mais très vite je me ravise et m’adoucit. Elle entre …

ELLE :

Ce voyage m’ennuie. J’angoisse à l’idée d’un trajet dans un compartiment à l'ambiance étouffante, avec des discussions stériles et navrantes, des gamins bruyants, des hommes d'affaires moroses qui pianotent sur leurs portables.

J’attends que tout le monde s’installe et je parcours ensuite les wagons à la recherche d’un havre de paix. Pas simple, mais je trouve un compartiment de huit places qui n’est occupé que par une seule personne, un homme plutôt mignon et non dénué de charme.

Le bruit de la porte coulissante attire son attention et j’aime la manière dont il pose ses yeux sur moi. Son regard me transperce et j’ai envie de lui plaire. J’entre en prenant soin de me mettre en valeur et m’installe près de la fenêtre, face à lui.

LUI :

Elle est élégante et très féminine. Je devine la lisière de ses bas, tenus par de voluptueuses jarretelles, et mon regard plonge dans son magnifique décolleté. Cette femme me plait et je prends plaisirs à laisser vagabonder mes yeux sur son corps.

La nuit tombe doucement et elle regarde le paysage défiler tandis je me laisse envahir par le désir qu’il s’installe peu à peu et que mon imagination fait le reste. Je me vois oser lui donner le texte érotique que je viens d’écrire pour elle. A sa lecture, ses lèvres esquissent tour à tour surprise et satisfaction, puis elle pose la feuille et me lance un magnifique sourire entendu.

Elle se lève, verrouille notre compartiment pendant que mon cœur s’emballe, et d’une démarche envoûtante s’approche pour s'arrêter devant moi, jambes légèrement écartées. Mes mains se posent sur ses cuisses, remontent sous sa jupe, et elle ne bouge pas. J’ouvre la bouche pour dire quelque chose mais immédiatement elle pose un doigt sur mes lèvres, m'intime le silence. Les mots ont été écrits …

ELLE :

Inconsciemment je suis entrée dans le registre de la séduction. Je ne parle pas de drague ouverte mais d'un simple changement de comportement. J'ai pris soin de garder le buste bien droit pour m'asseoir, de croiser les jambes suffisamment haut pour légèrement faire tomber un pan de ma jupe portefeuille.

J'ai envie de le regarder sans en avoir le courage et pour ne pas me trahir je donne l'impression d'être absorbée par le paysage qui défile, l’observe dans le reflet. Quel délice lorsque je le surprends en train de glisser son regard sur mes jambes, sur mes seins. La perception de son désir me donne immédiatement envie d’aller plus loin. « Pourquoi me fait-il autant d'effet ? ».

Progressivement je m’arrange pour en dévoiler un peu plus, très naturellement et sans donner l’air d’y prêter attention. J’aime la connexion sensuelle qui s’installe progressivement entre nous. Je me lève pour attirer son attention et le vois immédiatement réagir pour me suivre du regard. Je n’en demandais pas tant. Je me cambre pour lui offrir une vue imprenable sur mes seins, puis me retourne pour déposer ma valise.

J’imagine son regard sur mes fesses et je prends mon temps, me cambre discrètement un peu plus, me lève sur la pointe des pieds pour hisser mon bagage sur la grille du dessus. Les mains bien relevées au dessus de ma tête, je sens mon inconnu qui se colle derrière moi, pour m’aider. Ses mains rejoignent les miennes sur la valise et tout s’accélère. Je peux nettement sentir la bosse de son sexe contre mes fesses et le moins qu’on puisse dire c’est que je lui fais de l’effet.

Je n’ose plus bouger. Je me fige et j’attends de voir ce qu’il va faire, s’il va oser aller plus loin.

La valise est bien calée et il redescend ses mains doucement en les faisant glisser le long de mes bras. J’ai la respiration coupée et je reste immobile, les bras levés. Je donne l’illusion de vouloir mieux caler la valise mais personne n’est dupe. Sans perdre le contact Il glisse sous mes bras et descend jusqu’à mes hanches : Il sait déjà qu’il a gagné.

LUI :

Comment ai-je trouvé le courage de l’aborder ainsi ? Je sens chez cette femme un magnétisme sexuel qui est en train de me rendre fou. Elle m’excite et elle le sait.

Animé d'une ardeur et d'une audace inhabituelle, je n’hésite plus à la tenir par les hanches et à caler mon sexe contre ses fesses. Sa respiration est maintenant plus forte mais elle semble ne plus vouloir bouger. Doucement je décide de l’entraîner contre la fenêtre pour tester sa réaction … et elle se laisse faire.

Aurai-je pu imaginer une situation si troublante ? Cette superbe femme semble définitivement s’offrir à moi avec indécence. Des envies folles, douces, tendres et sauvages m’envahissent. Envie d'elle, intensément. Envie de sentir le désir monter jusqu'à forcer l’impudeur et l'abandon le plus total. Je veux qu'elle n'obéisse qu'à son plaisir, qu’elle se laisse aller. J’ai la délicieuse sensation que tout est soudain permis et j'entreprends, petit à petit, de l'entraîner dans mes fantasmes.

ELLE :

Je comprends vite ce qu’il attend de moi et je pose mes mains contre la fenêtre, toujours au-dessus de moi. Les siennes sont de moins en moins hésitantes, il prend confiance en lui. Elles commencent à me caresser et je me sens envahie par une excitation que je ne contrôle plus.

La nuit est maintenant totalement tombée et déjà le corail commence à ralentir à l'approche de la petite gare de Bonneval. Doucement je me colle contre la vitre et j’écarte mes mains, paumes ouvertes. Va-t-il comprendre mon désir, mon invitation ?

A priori oui. Ses mains descendent le long de mes cuisses et viennent copieusement se poser sur mes fesses offertes. Je suis en train de perdre le peu de décence qu’il me restait et la chaleur du désir m'envahit un peu plus à chaque seconde. J’ai envie que ses mains ne s’arrêtent pas en si bon chemin, qu’elles repassent par devant pour glisser sous ma jupe et me caresser sans détour. Je veux que mes fesses apprécient de nouveau pleinement toute la qualité de son excitation.

Nous roulons maintenant au pas, le train entre en gare. Nous sommes dans un des wagons de queue et nous seront en bout du quai, mais je redoute son retour à la raison ou l'intervention impromptue d'un inconnu.

«Fermez les rideaux de la porte, je ne bougerais pas ».

J’ai tout juste chuchoté mais Il a entendu. Alors qu'il s'éloigne je regarde le reflet de mon visage. Ce que je peux lire dans mes yeux est particulièrement vicieux, indécent, et lorsque je les ferme je sais qu'ils ne m'apprendront plus rien, je m'offre à lui. Sereine, l’éclairage du quai caresse mes paupières tandis que je m’installe plus stablement contre la vitre, les jambes écartées.
Je me sens prête à céder à toutes ses demandes, sans restriction. Je me projette toutes les scènes possibles et l’incroyable impudeur de certaines. Je me sens prête à les vivre … rien qu'une fois.

LUI :

Je n’ai pas rêvé, ce murmure était bien réel. Je m’exécute et verrouille la porte, fébrile. Je m’imprègne de l’atmosphère torride et empreinte de vice qui règne maintenant dans le compartiment.

Je l’observe de dos, appuyée contre la vitre, et m’attarde sur son magnifique petit cul. Puis lentement je reviens me coller contrer elle. Je pose mes mains sur ses épaules, caresse sa nuque, et descend tout droit jusqu’à son cul cambré que je redessine avec précision.

Le train est maintenant arrêté. Je connais cette petite gare et il est peu probable que nous soyons dérangé. Mon excitation monte un peu plus, mes pensées sont désormais confuses. Je regarde ses mains contre la vitre, ses bras fins et écartés, la cambrure envoûtante de son dos, … sa docilité.

D’un souffle léger, je parcours son cou pendant que mes mains remontent à l’échancrure de son chemisier. Le premier bouton de son décolleté déjà bien ouvert ne résiste pas longtemps, ni le second. Elle ne bouge toujours pas. Devant son inertie j’ouvre délicatement un à un tous les boutons restants tandis que je l’embrasse de mes lèvres humides. Je la respire, recueille son parfum, son odeur. Son chemisier libéré et entrouvert, je sens qu’elle se cambre un peu plus. Peut-être ne veut-elle pas que ses seins soient en contact avec la vitre froide ? Peut-être souhaite-t-elle renforcer le contact de mon sexe entre ses fesses ? Un rapide coup d’œil sur le quai m’indique qu’il n’y a personne, tant mieux.

Je glisse mes doigts sous son chemisier et remonte mes mains pour écarter les pans de son étoffe ouverte. Mes doigts s’approchent de sa poitrine, l’effleurent mais ne la touchent pas. Je découvre dans le reflet de la vitre ses seins qui sortent effrontément de son chemisier et je comprends qu’elle n’ait pas besoin de soutien gorge. Ils sont trop beaux pour être enfermés dans un carcan totalement inutile.

Pour la première fois, mes mains glissent sous ses seins. Je perçois un léger soupir et j’entreprends la découverte de sa poitrine tendue et généreuse, glisse mes mains pour en prendre possession. Apprécie-t-elle mes caresses ? Je me laisse guider par ses soupirs et fais rouler sous mes doigts la pointe de ses seins.

Sa respiration est plus profonde. Elle ondule imperceptiblement du bassin tandis que mes baisers se font plus pressant et mes caresses plus amples. Vient-elle d’émettre un léger gémissement ? J’appuie mon sexe entre ses fesses et la vois se redresser contre la vitre. Que ressent-elle ?

Le train repart lentement. Et si quelqu’un nous surprenait ? Quelle vision aurait-il ? Est-ce raisonnable ? Je ne sais plus, je ne me reconnais plus. Pendant que je scrute le quai qui commence à défiler mes mains remontent sous sa jupe. Nous allons bientôt voir apparaître la gare et j’ai finalement l’impression que cette situation ajoute à mon excitation.

ELLE :

Les gestes de mon inconnu sont maintenant francs. Je n’ai perçu aucune inquiétude quant à mon comportement lorsqu’il a glissé ses doigts dans l’ouverture de mon décolleté et qu’il a commencé à dégrafer mon chemisier. Je suis maintenant seins nus, collée contre la vitre, et une légère secousse annonce le départ du train.

J’ouvre les yeux pour regarder le mouvement latéral du quai et savoir ce qu’il va nous dévoiler, oscille du bassin pour sentir son sexe contre mes fesses. Je le provoque ouvertement, me redresse contre la fenêtre. Je garde les mains écartées pour montrer que je m’offre entièrement à lui, et j’essaie de l’inciter à aller encore plus loin.

LUI :

Mes caresses se font plus aventureuses, plus précises. Je remonte mes mains sous sa jupe et découvre le porte-jarretelles entrevu plus tôt, je visite pleinement et longuement ses fesses et en apprécie la fermeté. Mes doigts glissent le long de ses cuisses pour frôler son sexe mais l’évite habilement. C’est trop tôt, le plaisir de la découverte est trop intense et unique pour me précipiter.

Fébrilement je détache sa jupe pour la laisser glisser le long de ses jambes. Elle me laisse faire, se défait de l’entrave à ses pieds d’un geste franc et sensuel, une jambe après l’autre. Son assurance m’ôte toute hésitation. Je la redresse pour lui retirer son chemisier et le jeter à l’autre bout du compartiment, l’observe ainsi offerte.

Guidés par un désir indescriptible, mes doigts effleurent pour la première fois son entre-cuisses. Je la sens bouger contre moi, à la recherche de ma main. Comment refuser un tel appel ? Mes doigts passent sous la dentelle et mon majeur glisse entre ses lèvres humides, découvre lentement son intimité, s’active. Son souffle se transforme en léger gémissement. Imagine-t-elle à quel point elle m’excite ? A quel point mon sexe étouffe dans un pantalon devenu trop étroit ?

Je continue mes caresses, me laisse guider par ses gémissements, et descends son string le long de ses cuisses pour avoir plus de la latitude dans mes mouvements. Elle ne s’écarte pas de la fenêtre, resserre les jambes pour m’aider dans mon entreprise alors que mon regard est attiré par deux hommes. Ils viennent d’entrer dans notre champ de vision, sur le quai. Ils nous verront forcément. Est-ce qu’elle les a vue ? Veut-elle se montrer à ces hommes avec une telle indécence, nue contre la vitre, obscénement cambrée pendant que je caresse ses fesses, son sexe ?

ELLE :

D’un geste net, il fait tomber mon dernier rempart et m’exhibe les cuisses entravées. Ses mains agissent en conquérantes, elles n’oublient aucune parcelle de mon intimité et mes ondulations doivent laisser peu de place à l’ambiguïté : j’aime ça.

A l’approche de la gare je remarque deux jeunes hommes. Ils sont tournés vers l’avant du train mais ils ne tarderont pas à nous voir. Toujours collée contre la vitre j’attends l’inévitable. J’ai une délicieuse envie de m’afficher avec vice, de sentir en moi les doigts de mon amant pendant que je croiserais le regard de ces deux inconnus. Je veux leur laisser un souvenir, une histoire à raconter, un fantasme pour qu’ils se masturbent en pensant à moi et à ce train. Je veux leur offrir un spectacle d’une poignée de secondes dont ils se souviendront longtemps.

Le premier à me voir interpelle son ami et nos regards se croisent pendant que mon amant, perspicace, glisse deux doigts en moi. Il ne fait aucun doute que le plaisir qu’il me procure peut se lire sur mon visage. Bouches bées, mes inconnus me regarde et d’une main je dégage mes cheveux pour que mon visage soit gravé à jamais dans leurs mémoires, alors que de l’autre je commence à sucer mon majeur en les fixant droit dans les yeux. Je me mets à la place de ces hommes et j’imagine la vision extraordinairement érotique que je leur offre. Malheureusement le quai défile. Je m’aperçois à regret que je vais manquer de temps pour me montrer aussi vicieuse que je le souhaiterais.

Je change d’angle pour mieux exhiber les doigts qui s’activent en moi, jette un dernier regard provocateur, mais ils n’auront pas le temps d’en voir plus, je suis un peu déçue. Ils disparaissent au profit d’un quai vide et d’une gare toute aussi déserte. Seul le chef de gare nous remarque au dernier moment. Il a juste le temps de comprendre ce qu’il vient de voir … ou de rater.

La gare passée, nous longeons de nouveau quelques habitations et je sens qu’il est temps de penser plus activement à mon amant de passage. Je me redresse pour me coller contre son torse et glisse mes mains derrière mon dos pour aller à la rencontre de son sexe. Il nous reste un peu de temps avant l’arrivée, quelques instants de plaisir à donner et à recevoir.

LUI :

Ils nous ont vu. Je décèle dans leur regard ce mélange de surprise, de curiosité, et d’excitation. Un instant, un sentiment de gêne pudique m’envahit, puis je la regarde. Cette situation l’excite. Pendant que mes doigts continuent de pénétrer son sexe, elle joue avec leurs fantasmes, suce son majeur avec sa langue coquine, leur présente son sexe que je doigte avec malice. Quelle impudeur ! Quelle obscénité ! Quelle Vicieuse !

Je la caresse avec gourmandise et envie, l’embrasse dans le creux de sa nuque. Je me délecte à détailler ses seins fermes et imposants, les imagine dans ma bouche tandis que sa main droite caresse maintenant ma queue dans ses moindres détails.

Mes sens et mon esprit ne sont plus guidés que par mon désir de la posséder. J’essaie de rester lucide, de laisser monter doucement l’excitation, et je dois lutter pour ne pas me jeter sur elle et la prendre aussitôt. J’ai envie de sentir sa bouche, de redécouvrir ses yeux. Je la retourne pour plonger dans son regard profond et intense, et j’y découvre le désir, l’offrande, le vice.

Est-elle dans le même état d’excitation que moi ? Qu’aimerait-elle ? Elle me rend fou et je veux qu’elle se libère totalement. J’essaie de découvrir ses désirs les plus érotiques, ses pensées les plus torrides. Je veux qu’elle soit submergée par son plaisir et ses orgasmes.

ELLE :

Je sens son sexe frémir sous mes doigts, l’imagine et le désire en moi. Je veux sentir sa peau contre la mienne et son sexe chaud contre mon ventre. Lorsqu’il me prend par les hanches pour me retourner je le dévore des yeux, bouche entrouverte et offerte. Je mouille mes lèvres avec un regard vicieux et sans qu’il me le demande ou m’y incite, mes mains s’activent pour déboutonner son pantalon.

Je le regarde dans les yeux pendant que les boutons cèdent un à un. Je baisse ensuite son pantalon, son caleçon. Je ne touche pas à son sexe, ne le regarde pas. Je me contente de retirer le string qui m’entrave et le jette à l’entrée du compartiment. Je veux qu’il sache que je n’ai pas peur d’être surprise ainsi, entièrement nue et offerte.

J’ai envie qu’il me guide vers son sexe et qu’il prenne les initiatives, mais à défaut, je m’agenouille seule devant son sexe, sans quitter son regard. La tête relevée je glisse mon visage sous sa magnifique queue et je sors ma langue pour lécher sa hampe. Je veux lui montrer qu’il peut envisager avec moi tous ses fantasmes.

Et ça marche. Enfin il prend ma tête dans ses mains pour me guider. Je glisse son sexe dans ma bouche et referme l’étreinte de mes lèvres, le sens tressaillir contre mon palais et me régale de la sensation que me procure le mouvement de va et vient qu’il commande de ses mains.

Je lève la tête, et croise mes mains derrière mon dos sans dire un mot, avec un sourire…

LUI :

J’observe ses yeux provocateurs et la manière dont elle joue avec mon désir. Quel bonheur de sentir mon sexe entre ses mains expertes. Je la contemple en train de lécher ma queue. Sa langue est chaude, douce.

A cet instant elle sait que je suis à elle et je sais qu’elle en joue. Je la laisse jouer. Je me laisse aller au plaisir qu’elle me procure, ferme les yeux pour focaliser mes sens sur ses délicieuses caresses. Elle me suce à merveille. Mon sexe enserré par ses lèvres, je sens sa langue jouer avec mon gland et je sais que je ne tiendrais pas longtemps. J’ouvre les yeux mais elle ne me regarde plus. Elle est concentrée sur mon sexe et je dévore des yeux les aller et venu de ma queue dans sa bouche. Elle adore ça, ça se voit.

Mon sexe se tend un peu plus entre ses lèvres. J’imagine qu’elle le sent et qu’elle craint que je jouisse trop tôt. Elle doit savoir qu’aucun homme ne peut résister à sa manière experte et gourmande de le sucer. C’est en tous cas ce que semble indiquer son sourire lorsqu’elle se recule pour mieux observer ma détresse et mon abandon, manifestement satisfaite.

Les mains croisées dans son dos elle affiche effrontément ses seins dressés dans ma direction. Je caresse ses cheveux, ses joues, et glisse sur ses lèvres un doigt qu’elle s’empresse de lécher impudiquement. Mon désir n’a plus de limite, je veux la baiser comme jamais personne ne l’a fait avant.

Je l’invite à se relever lentement, et glisse mon sexe entre ses seins pendant qu’elle se redresse. Elle comprend, prend mes fesses dans ses mains et se plaque contre mon corps.

ELLE :

A sa demande je me relève légèrement et commence à masturber son sexe entre mes seins. Mes cuisses me brûlent et la position est délicate. Je continue un peu mon va et vient mais je dois rapidement me résigner à changer de position, m’installe sur le bord de la banquette.

Je l’invite à revenir entre mes seins et mes mains referment leurs étreintes sur son sexe. J’entame de légers mouvements du torse pour reprendre ma masturbation, cette fois bien décidée à ne m’arrêter qu’une fois qu’il aura joui. Je n’attends pas longtemps, les précédents préliminaires ont eu raison de sa résistance. Après les premiers spasmes annonciateurs, je sens son sperme chaud et abondant jaillir. Ma poitrine reçoit sa semence et je le regarde dans les yeux, fière de moi. Il me fixe et je ne résiste pas à l’envie d’en rajouter, à l’envie de me montrer « salope ». J’écarte largement les jambes pour ne plus rien lui cacher de mon intimité et recueille un peu de son sperme pour le porter à ma bouche, le lécher, le déglutir.

Je souris en le voyant abasourdi, prends ses mains pour les poser sur ma poitrine savamment arrosée, et relève la tête, bouche ouverte, sulfureuse …

LUI :

J’observe mon sexe aller et venir entre ses siens, aller jusqu'à sa bouche ouverte. Elle m’excite trop, je vais craquer. Mon regard lui indique que je n’en peux plus et son sourire m’indique qu’elle le sait, qu’elle m’attend. Tout mon corps se tend et je suis envahie par un orgasme puissant qui arrose copieusement sa poitrine offerte.

Et toujours ce regard… cette position obscène pendant qu’elle porte ses doigts à sa bouche pour goûter ma semence.

C’est maintenant à moi de la fixer et à elle se s’abandonner. Je m’agenouille entre ses cuisses, approche ma bouche de son sexe, et découvre les lèvres ouvertes de ma petite vicieuse. Je l’observe entre ses seins recouverts de mon sperme. Ma langue joue avec son clitoris et son regard se fait moins aguicheur. Ses yeux se ferment, son souffle devient court.

J’étale mon sperme encore chaud sur ses seins pendant que je la lèche avec passion et gourmandise. Je veux qu’elle jouisse dans ma bouche, me laisse guider par ses soupirs. Son bassin imprime de lents mouvements à la recherche de ma langue tandis que mes mains écartent ses cuisses pour que mes inquisitions soient plus profondes.

Je glisse une main pour passer avec vice de son sexe à son anus et je sens son orgasme monter, son clitoris se gonfler. J’entends enfin sa voix claire exprimer son plaisir. Ma petite vicieuse est aussi une jouisseuse…

Lentement je me redresse et m’installe sur la banquette d’en face pour l’observer. Elle reste devant moi avec les cuisses ouvertes, le sexe luisant, et les seins maculés de mon sperme. Elle garde son regard provoquant.

ELLE :

Il me surprend. Alors que je l’allume pour l’inciter à ne penser qu’à son plaisir je le vois penser au mien, s’installer entre mes cuisses ouvertes pour me gâter de sa langue. Il est habile et je me laisse emporter, je ferme les yeux pour mieux apprécier les sensations que sa langue me procure. J’oublie tout pour ne penser qu’à mon plaisir, ne cherche plus à contrôler mes gestes. Je laisse mon corps et mes mains s’exprimer selon l’envie du moment. Mon bassin se soulève pour coller mes lèvres ouvertes contre cette langue diabolique et mes mains finissent d’étaler son sperme sur mes seins.

La fine pellicule de sperme entre mes mains et mes seins rend la caresse divine et je regrette de ne pas pouvoir l’étendre à volonté. Je me laisse envahir par le plaisir, me lance à la rencontre du majeur qui vient se frayer un chemin entre mes fesses. Je sens l’orgasme proche et j’ai envie de le sentir au fond de moi.

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Finalement je jouis sous sa langue, me détend. Son sexe a retrouvé toute sa vigueur mais nous approchons de notre destination et mon envie a été comblée. Je me redresse pour déposer un léger baisé sur sa bouche et recherche ma culotte. Je ne la remets pas. Je me contente de l’utiliser pour m’essuyer devant lui. Puis je retrouve ma jupe et la remet en fermant volontairement un minimum de bouton. Je ne peux m’empêcher de continuer de l’allumer un peu, remets mon chemisier en le laissant lui aussi particulièrement ouvert sur mes seins.

Enfin je prend mon sac et me rapproche dans cette tenue provocante pour déposer dans ses mains ma petite culotte souillée en guise de souvenir. Je l’embrasse une dernière fois, et remonte jusqu’à son oreille : « merci pour ce magnifique voyage. Mon amant va être ravi. Il rêve de m’offrir à plusieurs hommes et grâce à vous ce soir, je vais accepter ….».

Bien sur c’est entièrement faux, mais je ne déteste pas l’idée de le voir fantasmer jusqu’à la fin de ses jours …

La minute suivante j’étais déjà loin …

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 16 avril 6 16 /04 /Avr 13:46

Mon nom est Julien et je vais vous raconter l’histoire absolument véridique qu’il m’est arrivé avec ma copine Laura. Laura et moi, ça fait un an que l’on est ensemble. On s’est rencontré à l’université car on est dans la même faculté de droit, on a tous les deux 20 ans et on est un joli petit couple comme on nous le dit souvent. Elle est châtain claire, mesure 1 mètre 68, est assez mince, elle a de joli yeux bleus, de joli petit sein et une jolie paire de fesses. Sur le plan sexuel, on s’est tout de suite entendu, j’étais son premier homme et elle est vite devenue accro au sexe.
Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde. Laura n’aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d’hommes stupides bourrés de testostérone qui supportent une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cœur, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c’est vrai qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours.
Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu’à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d’un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d’un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu’elle était très sexy et que beaucoup d’hommes l’ont regardé.
Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l’enceinte, ce qui mit ma douce moitié d’une humeur plutôt mauvaise. C’est pour cela que quand nous sommes enfin entrés, elle a voulu directement aller s’acheter des cigarettes et s’acheter à boire. Evidemment qu’il y avait de nouveau la queue, c’est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout. Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés.
A côté de nous, il y avait un homme d’une cinquantaine d’année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L’homme semblait déjà avoir un peu bu vu l’enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre. Laura, elle de son côté, avait bu ses 3 bières en à peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment.
Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue. Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c’est à ce moment que je vis l’homme effleurer les fesses de Laura. Il n’a sûrement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu’elle pensait également qu’il n’avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris.
Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l’homme effleurer les fesses de Laura comme si c’était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n’y avait plus de doute, ce n’était pas tout à fait involontaire. J’étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura me regarda et me dit : « on peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses ». Et c’est là que je ne sais pas pourquoi, l’excitation et l’alcool je suppose, mais je lui glissais à l’oreille : « non, reste ! Moi ça m’excite », ces mots sont sortis tout seul de ma bouche comme s’ils s’étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place.
Le match avait repris, toujours avec autant d’ambiance dans le public. Moi, de mon côté, j’avais de la peine à me concentrer sur le match car je n’arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m’imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n’aurais cru que de voir Laura se faire tripoter m’aurait excité et en plus à ce point.
Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraîna un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixais les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés. Sa main entière s’était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s’était alors légèrement déformée sous l’attouchement de cette main étrangère. L’homme qui avait une trentaine d’année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s’était passé et parlait même avec sa fille, qui n’avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d’ailleurs. Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés.
J’observais l’homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L’homme ne savait absolument pas que j’avais remarqué son petit jeu. Je n’en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi.
La première pause s’approchait, il ne restait que quelques minutes. Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j’avais l’impression qu’ils étaient collés, ils n’étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s’approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu. Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l’a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match. Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d’un léger mouvement pour lui signifier cette fois d’une manière certaine son accord. La cloche sonna la pause et l’homme enleva rapidement sa main.
Laura m’embrassa à nouveau et nous décidâmes d’aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s’était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants. « Je bande comme un fou » lui ai-je avoué. « Tu as vu comme il m’a touché le cul » me lança-t-elle d’un air excité, je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta « je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m’excite vraiment. » « Tu sais la situation m’excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c’est moi qui ait voulu ce qui arrive… je t’aime » terminai-je.
Je la pris par la main et l’emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença. Pendant les 10 premières minutes les mains de l’homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J’étais déçu et croyait que le petit jeu était finit. Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris qu'après, voulait dire « tu veux qu’on continue à jouer ? », je le lui rendis. Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l’homme. Celui-ci a réagit tout de suite et, toujours discrètement, commença a caresser la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l’autre côté de l’homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moin de mon côté, je regardais du coin de l’œil pour ne pas me faire repérer. Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et son visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petits mouvements en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir. Les doigts du vieux appuyaient sur l’avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c’est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main.
A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d’excitation me prenait jusqu’au plus profond de mes nerfs. A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n’eus même pas le temps de me demander si ce qu’il se passa plus tard était réellement ce que je voulais.
L’homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvaient les toilettes… J’avais maintenant tout compris à son plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder. J’étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu’allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l’intérieur d’elle ? Est-ce qu’elle jouit ? J’étais bouleversé, mais d’imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu’elle me faisait bander au plus haut point.
Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n’étais plus très attentif au match. La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l’absence de son père.
Je vis Laura revenir, le vieux lui n’était pas encore là. Il revint que quelques minutes après avec deux boissons, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu’il avait fait à ma copine. Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent. Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu’à l’entrée du pantalon de Laura, avec l’autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans son pantalon. Arrivé à l’intérieur, première surprise, Laura n’a plus de string. J’entre alors 2 doigts dans sa petite fente mouillée afin de trouver d’éventuelles traces de pénétration, sa petite chatte est trempée mais il ne me semble pas qu’elle soit assez dilaté pour qu’elle ait été pénétrée. N’en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l’oreille : « tu l’as sucé ? ». Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et son pantalons. Mon index se pose sur son petit trou du cul, je constate qu’il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l’anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l’a été. Mon doigt n’a aucune peine à entrer jusqu’au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu’au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec son sphincter afin de vider son rectum bien rempli. Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s’écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainées blanches qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu’à la dernière goutte le sperme du vieux pervers…
Laura me raconta plus tard que le vieux l’attendait devant les toilettes. Qu’ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l’avait traité de salope et l’avait sauvagement déshabillé. Il l’a ensuite peloté tellement fort qu’elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s’y pas attardé longtemps. « il n’y avait que mon cul qui l’intéressait, il voulait juste m’enculer » m’a-t-elle dit plus tard. Il l’a alors mise à 4 pattes et lui a léché l’anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L’homme l’insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait. Il s’assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s’asseoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m’avoua que l’immense bite du vieux (comme elle l’appelle) eut de la peine à entrer, c’est pour cela qu’il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l’obliger à s’asseoir sur sa bite malgré la douleur qui la traversait. Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l’alcool faisait toujours son effet et l’aida à apprécier cette sodomie. Son anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur son vieux pervers. A ce moment là elle se sentait remplie comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L’homme se contracta et Laura sentit son anus se remplir jusque tout au fond. Jamais elle n’avait connu une telle dose de sperme l’envahir. Le pénis qui était au fond d’elle, lui propulsa une dizaine de jets qui allaient tapisser les parois de son rectum. Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot.

Voila notre histoire, elle s’est passé la semaine dernière. J’ai dit à Laura que pour moi elle pourrait recommencer quand elle le voudrait, elle m’a dit que si l’occasion se représentait, peut être…
Ca fait une semaine que nous faisons l’amour comme jamais, j’aime tellement me savoir cocu, j’aimerais bien avoir des témoignages d’autres hommes ou femmes dans ma situation, n’hésitez pas à m’envoyer vos mails de réactions !!!

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 2 avril 6 02 /04 /Avr 19:06

Cet après-midi là, j'étais dans une petite ville de l'ouest, il faisait beau, mais ce qui me préoccupait le plus, c'était une énorme envie d'uriner.

Je rentrais précipitamment dans un bar, commandait un café et me jetais dans les toilettes aussitôt servi.

Là, j'étais à deux doigts de faire demi-tour: un lavabo douteux près de l'entrée, deux urinoirs dont le premier plein, disposé contre le mur du fond, une porte d'accès aux toilettes assises sur ce même mur. Je me dirigeai vers l'urinoir vide, mais je n'osai m'en approcher à cause du liquide répandu au pied. Prenant mon courage à deux mains, je sortais mon sexe et tentais d'uriner à une quarantaine de centimètres de l'objet. Je dois préciser que quand j'ai la vessie pleine, j'ai une demi érection: une petite douzaine de centimètres de long et une pleine largeur. L'envie était suffisamment forte pour que je puisse uriner "à distance" sans en rajouter.

Concentré sur l'acte, je ne vis pas la porte des toilettes s'ouvrir; j'entendis juste un: "faut pas vous gêner!" décapant. Je jetais un œil de côté et ne pu m'empêcher de rougir. Une jeune femme venait de sortir des toilettes. De là où elle se tenait, elle avait une vue complète sur mon sexe, que je ne tenais que de la main droite.

Je bafouillais des excuses cependant que mon vit, lui, cessait de se vider et semblait vouloir se raidir. Gênant ce décalage entre la tête et le reste!

Mi-fâchée, mi-rigolarde, la jeune femme quitta les toilettes pour le bar.

Quelques instants plus tard, je fis de même, gêné à l'idée de la rencontrer. Je la vis assise à une table, sirotant un thé en lisant un rapport quelconque. Prenant mon courage avec les deux mains déjà entrevues plus tôt, j'allais vers elle pour la prier de m'excuser de la gène que j'avais pu lui occasionner et peut-être pour me justifier. Devant mes excuses toujours aussi bafouillées, elle ne put s'empêcher de s'esclaffer. Je l'invitais à partager une boisson et sa table, ce qu'elle accepta avec le sourire.

Après quelques instants difficiles, au début, nous nous retrouvâmes à échanger sur tout, la ville, la région, nos métiers, les gens. Et de fil en aiguille, nous abordâmes le sujet que vous connaissaient tous. Elle me fit la réflexion qu'à la suite de l'incident des toilettes, elle en savait beaucoup sur moi; je lui rétorquai qu'elle n'en avait vu que peu, et de manière fugace. Elle ne répondit pas, mais sourit.

Vous allez penser que j'ai la vessie petite, mais après quelques instants je décidais de repartir aux toilettes satisfaire un nouveau besoin. Le sol avait été essuyé entretemps et je pu uriner de manière plus classique. Lors je me retournais, je vis ma nouvelle relation là, derrière moi. Elle me fit remarquer que j'avais corrigé ma position. Je lui répondis que c'était grâce à ça que nous nous connaissions. Du tac au tac, elle me dit: "Partiellement, si je vous crois!".

Cette phrase me contracta et me décontracta en même temps. Je m'approchais d'elle et lui proposai de mieux me connaitre. Elle se dirigea vers les toilettes sans répondre, mais laissa la porte entrouverte. Je la suivie et la trouvais assise sur le siège recouvert de son clapet. Je fermai la porte au verrou et sans réfléchir, je sortis mon sexe bandé pour le lui mieux présenter. Elle le regarda, le caressa, l'embrassa et finit par le prendre en bouche. Sa fellation était rapide, un peu brutale, mais je ne demandais pas mieux. Après quelques instants de ce traitement infernal, je la fis se lever de son trône, glissais mes mains sous sa jupe pour descendre sa culotte et la retournais. Là, je caressai son sexe déjà humide tout en la courbant sur le réservoir. Et je la pénétrai presque aussitôt. Mes va et viens déclenchaient des gémissements chez elle, ce qui m'excitait encore plus. Elle se contracta de plaisir assez rapidement. Je sortis alors d'elle, la retournai et pris sa bouche jusqu'à l'extase. J'éjaculai dans sa gorge; elle accepta les premiers jets mais ne pu se retenir de tousser et de faire couler sur son menton et sur sa jupe.

 

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Après m'être rajusté, je sortis bloquer la porte d'entrée pour qu'elle puisse nettoyer les dégâts au lavabo sans être surprise. Nous nous regardions presque furtivement et rigolant de la situation.

Pour conclure, nous avons repris un café ensemble; elle avait aimé la situation incongrue, pris du plaisir mais souhaitait en rester là. Dommage, j'aurai aimé en savoir plus d'elle. Depuis quinze jours, j'y pense, je ne cesse de la remercier mentalement pour ce superbe moment de plaisir.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 14:25
S’il est un souvenir heureux à me rappeler c’est bien celui de mon dépucelage.
Ce n’est pas si lointain que cela mais quelques années ont depuis passées et j’entretiens toujours une relation épisodique avec ma dépuceleuse…
La charmante dame se prénomme SiuMaï et est d’origine asiatique ;
c’est la seconde épouse de mon oncle.
Lorsque les faits se sont produits elle avait 26 ans (mon oncle 45) et moi quelques bonnes années de moins qu’elle…
Cette année là mes parents avaient décidés de partir en couple pour les vacances
(je n’ai appris que après leur retour qu’il s’était agi de leur premières vacances naturiste)
et ils m’avaient proposé de passer mes vacances chez mon oncle.
A cette époque là il rénovait une ancienne ferme et c’était l’occasion pour moi de l’aider et en même temps de me faire un peu d’argent de poche.
Les premiers jours se passèrent sans trop de problèmes et c’était plaisant de l’aider pour les travaux.
Ensuite un travail de maçonnerie débuta et le travail devint plus pénible…
je n’étais guère habitué aux travaux de force et après 2 jours j’avais tous mes muscles endoloris.
Mon oncle m’accorda quelques jours de repos afin de me remettre et lui en profitas pour s’installer provisoirement sur son chantier
afin d’éviter des trajets inutiles en voiture. Je me retrouvai ainsi seul dans sa maison en compagnie de SiuMaï…
C’était un petit bout de femme haut comme trois pommes et toute fine avec un regard malicieux et des yeux en amande et une chevelure noir-corbeau ;
et une poitrine pas très développée.
Physiquement on avait de la peine à lui donner 26 ans, tout au plus on lui en donnait 18-20 au premier regard.
Après mes deux jours de maçonnerie j’étais un peu cassé de partout et le soir je m’étais retiré rapidement dans ma chambre après le souper pour
m’allonger et me reposer. Le lendemain matin je me réveillai tardivement et courbaturé de partout.
Lorsque je descendis à la cuisine pour prendre mon déjeuner mon oncle était parti pour son absence de quelques jours et SiuMaï
 s’occupait de ses travaux ménagers.
Je me déplaçais aussi bien que un vieux grabataire tandis que mes muscles se réveillaient douloureusement.
SiuMaï constatant mon état me signala qu’il serait peut-être bien que je me fasse masser…
Elle me proposa donc de me faire un massage après le repas de midi et ensuite je pourrais faire une sieste.
J’acceptai sa proposition en n’ayant aucune arrière pensé … mais si j’avais su ce qui allait se passer…
Après le repas de midi elle me demanda d’aller prendre d’abord une douche assez chaude pour me préparer au massage et de ne mettre ensuite
qu’un slip et ensuite de m’allonger sur leur lit pour lui faciliter le massage. Ce qui fut dit fut fait.
Je m’étais allongé sur le ventre et ainsi elle commença à me masser le dos…
La sensation de ses mains malaxant ainsi que la pression qu’elle mettait sur mes muscles endoloris était des plus agréables.
Elle commença par les bras pour ensuite passer aux épaules et au dos en descendant le long de ma colonne
et s’arrêtant au niveau de l’élastique de mon slip… Je ressentais de bien bonnes sensations à me faire ainsi doucement malaxer et
ces sensations agréables commençaient à me donner un début d’érection qui par chance était cachée par ma position ventrale…
Ensuite elle reprit son massage en remontant depuis les chevilles le long des mollets pour ensuite terminer sur les cuisses…
Et tandis que ses mains malaxaient mes cuisses les sensations érotiques pour moi s’accentuèrent et mon sexe s’était complètement raidi…
Quand elle me demanda de me retourner pour me masser le devant des cuisses j’ai eu une longue hésitation et je marmonnai que pour moi c’était
 suffisant et qu’il n’était pas nécessaire de me masser davantage…
Elle comprit très vite ma situation et c’est sans hésiter qu’elle me dit que je ne devais pas penser que c’était mal si j’avais des réactions que je
ne pouvais pas contrôler et que en ce qui la concernait elle n’en était pas choqué. Ce n’était pas le but du massage
de réveiller mes sens érotiques mais que ce serait dommage de ne faire que la moitié du travail…
Elle me rassura en me parlant et je finis par oser faire demi-tour…
Elle reprit son massage donc et s’occupa d’abord de mes bras avant de descendre sur ma poitrine pour s’arrêter à la limite du slip et
reprendre depuis les chevilles pour remonter sur mes cuisses… Je savais que je devais avoir les joues plus que rouge tandis
qu’elle me massait et qu’elle pouvait observer au travers du tissu mon érection… Je n’osais pas la regarder et le silence qui
régnait ajoutait encore une drôle de sensation supplémentaire…
Lorsque qu’elle arriva sur le haut de mes cuisses je sentis qu’elle insistait un peu sur la partie intérieure et remontait
en suivant la courbe du tissu pour glisser sur l’extérieur et redescendre jusqu’aux genoux avant de répéter le mouvement…
Je la senti changer de position et s’asseoir à côté de moi… j’osai enfin ouvrir les yeux et la regarder et elle vit certainement
dans mon regard le trouble qu’elle avait mis dans mes sens… Tandis qu’elle me regardait je senti sa main se poser sur mon sexe
tendu sous le tissu et commencer à le caresser… Je n’osais pas bouger et ses caresses devinrent plus insistantes …
 je la vis se pencher et rapprocher son visage du mien jusqu’au moment ou nos lèvres se touchèrent…
 ce fut un baiser doux qui m’électrisa… et dans le même temps sa main avait glissé dans mon slip pour caresser mon sexe érigé et tout
doucement elle commença un lent mouvement de va et vient…
Elle se recula, sortit sa main et sans un mot me retiras mon slip et ainsi exposa mon sexe à sa vue…
 Je n’osais toujours pas bouger et c’est elle qui sans un mot se mit debout au bord du lit et retiras ses vêtements pour s’exposer
nue à mes yeux… Elle avait deux petits seins bien ronds avec des tétons brun pâle qui pointaient et son pubis était totalement lisse
avec deux petites lèvres roses à peine perceptibles…doucement elle s’allongea à mon côté et recommenças ses caresses…
elle pris mon sexe en main et doucement son visage descendit le long de mon torse avant que je ne ressente ses lèvres s’en saisir et l’absorber…
je ne savait plus ou j’en étais tant les sensations qu’elles me procurait étaient une découverte pour moi…
elle s’en occupa ainsi quelques instants avant de se redresser et venir s’installer à califourchon sur mon bas ventre…
elle saisit mon sexe dressé d’une main et le positionna a l’entrée de sa vulve … pour finalement se laisser glisser dessus
et l’engloutir dans son sexe si humidement chaleureux… elle commença à se mouvoir dessus tout en se caressant
le clitoris d’une main… toutes ces sensations nouvelles pour moi étaient magnifiques et j’avais du mal à retenir
la montée de mon plaisir… tandis qu’elle me chevauchait elle me dit que je n’avais pas à m’inquiéter et que
je pouvais me laisser aller à mon plaisir sans aucun souci (sous entendu pas de risque de grossesse)…
laisser aller qui ne tarda bien longtemps… et je compris à ce moment là toute la différence entre le plaisir solitaire et le sexe à deux…
Durant le reste des vacances elle a continué à m’initier aux choses du sexe chaque fois que l’occasion s’en présentait…

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Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 08:17

Je n'avais aucune idée de ce que Stephane avait prévu. J'avais pour ma part uniquement imaginé l'histoire de la chambre d'hôtel. Nous avons donc choisi de les suivre à distance. Je ne voulais pas qu'il arrive quelque chose à Karine.

Stephane l'avait fait s'habiller avec une minijupe très courte. il lui avait également ordonné de ne rien mettre en dessous. Si bien que lorsqu'elle ne se tenait pas debout, on distinguait très bien le sexe de Karine.

Ils se rendirent dans une discothèque branchée de la ville.

Nous les suivimes à l'intérieur.

L'ambiance était déjà chaude à notre arrivée. Un groupe de gogo-danseuse avaient chauffé la salle et tous les "mâles" était en trance...

Je compris un peu mieux les intentions de Stephane. Et je voyais mal comment Karine allait pouvoir passé inapercue.

Surtout que dès son arrivée, stephane l'ammena danser sur le podium, à la vue de tous...

Et très vite, un regroupement s'organisa autour de Karine.

Tous les hommes non accompagnés de la boite se massait autour d'elle pour assister au spectacle. Karine, consciente de la situation dissimulait assez mal sa gène. Elle qui aimait s'exhibée semblait pour une fois assez pudique. Je trouvais la situation cocace.

Stephane s'éloigna.

Un homme d'une trentaine d'année la rejoint sur le podium.

Il dansait face à elle et  il se rapprochait de plus en plus, effleurant petit à petit Karine. Ses mains prirent sa taille et se baladaient sur tout son corps. Il passa une première fois la mains sur son sexe et il sourit en sentant que Karine avait la chatte mouillée d’excitation. Peu de temps après, il recommenca mais cette fois il laissa sa mains plus longtemps entre ses cuisses. Il lui caressa le sexe quelques secondes avant de changer de position pour que cela ne se voit pas. Il s’approcha de l’oreille de Karine et lui glissa quelques mots, puis tous deux descendirent du podium et allèrent pun peu é l’écart pour prendre un verre.

Mais femme et moi nous sommes rapprochés également, pour voir ce qui allait se passer.

Karine était assise sur les genous de l’homme au podium, et ils avaient visiblement sauté les présentations. Leurs langues s’enroulaient dans une étreinte langoureuse pendant que la mains du jeune homme avait repris sa mains entre les cuisses de Karine. Cette dernière se laissait allé aux caresses de cet inconnu et elle écartait maintenant les jambes sans retenue.

Ils étaient dans un angle, à l’abri des regards.

Aussi personne ne remarqua l’homme se mettre à genou et commencer un cunnilingus. Karine était presque allongée et la tête de l’inconnu se prerdait entre ses cuisses. Karine la tête en arrière avait la bouchhe grande ouverte et retenait  ses gémissements.

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Après dix minutes, l’homme se releva, et cette fois c’est Karine qui disparu de mon champs de vision. J’imaginais bien ce qu’elle faisait. Vu l’état d’apaisement qui se lisait sur le visage de l’inconnu, il était évident que Karine le sucait. Et la fellation dura un bon moment. Karine finit pas  relever la tête et elle s’essuya rapidement la bouche.

Ils se levèrent et sortirent de la discothèque…

 

 

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 13:16

J'avais une idée pour m'amuser un peu avec Karine. Je ne voulais pas la baiser par respect pour ma femme et parce que cela aurait donné trop ^'importance à cette petite garce. Par contre je connaissais pas mal de monde à qui cela n'aurait pas déplu !
Je passais donc quelques coup de fils et l'affaire était organisée.
J'écrivis donc une lettre à Karine (anonyme évidemment). Je lui dit que j'avais des photos assez comprométentes et que j'envisageais de les montrer à son copain. Elle pouvait néanmoins les récupérer si elle acceptait de me retrouver dans une chambre d'hôtel situé à quelques kilomètres de notre domicile. Elle devait y être le surlendemain soir à 20H pile !
Si elle ne se présentait pas au RDV, les photos seraient divulguées.
(...)
Une heure avant l'heure, nous sommes arrivés dans la chambre, et nous nous sommes cachés dans la grande armoire qui se trouvait en face du lit.
ma femme était avec moi et nous pouvions voir le lit à travers le verrou de l'armoire. C'est d'ici que nous assisterions à la lecon de sexe qu'allait recevoir Karine...
Peu de temps après notre arrivée, Stephane arriva à son tour. C'était un de mes potes. Il était biensur au courant et c'est lui qui allait ouvrir le bal !
Je lui donnais les dernières recommandations et me cacha dans l'armoire. 
Nous n' attendions plus que Karine !
Et elle finit par arriver !
Elle frappa à la porte. Stephane lui ouvrit !
Elle poussa un petit cri de frayeur au moment ou Stephane ferma la porte à clefs !
Elle regrettais déjà dêtre là.
Elle réclama aussitot les photos à Stephane. Celui ci lui dit qu'elle les aurait dès le lendemain matin. jusqu'à ce moment elle devait faire tout ce qu'il voulait. Elle protesta mais elle ne pouvait pas trop faire autrement.
stephane lui ordonna de mettre des vêtements plus apropriés et il lui indiqua la salle de bains. Elle ressortie habillée tout de cuir. J'avais trouvé cet ensemble dans notre sexe shop. Karine semblait moyennement apprécier le cuir !
Stephane s'allongea sur le lit.
Viens me sucer maintenant !
Karine pris d'un moment de panique commenca à pleurer.
Stephane ne lui laissa pas le temps de s'appitoyer sur son sort, et il positionna sa tête au dessus de sa queue en erection.
Suce maintenant et tais toi.
Karine secha ses larmes, et pris le sexe de Stephane. Elle le porta à sa bouche et commenca à le sucer.
Elle le suca pendant 15 bonnes minutes, puis Stephane jugea que c'était suffisant. Il la prit par la hanche, lui retira son string de cuir et il l'empala sur son sexe.
Karine gémit lorsque la grosse queue de Stephane pris possession de son vagin.
Il la baisa ainsi plusieurs bonnes minutes puis il changèrent de position. il prie Karine en levrette. Il pouvait la prendre ainsi plus violemment. Son sexe allait en venait dans sa chatte baveuse. Karine gémissait de plaisir.
Ses couilles claquaent à chaque va et vient !
Il allait passer à sa petite rondelle lorsque la porte s'ouvrit. Karine reprit ses esprits et tenta de se dégager. Mais Stephane la tenais fermement et il continuais de la baiser sans menagement.
c'était Fred le frère de Stephane.
Il se déshabilla et presenta sa queue à Karine qui l'engloutit aussitot. Les deux frères se relayaient. Tantot il se faisait sucer par karine, et tantot il la prenait en levrette. Stephane lui demanda alors: 
Et si on te sodomisait maintenant ?
Karine protesta mais Fred était déjà devant l'entrée de son petit cul.
Il mouilla un peu son anus pour faciliter le passage et il sodomisa Karine qui poussa un cris de douleur.
Elle était prise en sandwich entre les deux hommes. stephane allongé sous elle pilonnait son vagin, et Fred lui s'occupait de sa rondelle. Les deux queues allaient et venaient. La première sortait à peine de la chatte béante de Karine que l'autre prenait déjà position dans son anus.

0010.jpg
Karine criait de plaisir sans discontinuer.
C'est Stephane qui craqua le premier et il éjacula dans la chatte de la jeune femme.
Fred continua donc seul à la prendre. Il s'était mis derrière elle et il la pénétrait dans un trou puis dans l'autre. il finit lui aussi par éjaculer alors qu'il prenait une nouvelle fois possession de son anus .
Karine eu l'air soulagé. Elle allait enfin pouvoir rentrer.
Enfin c'est ce qu'elle croyait mais Stephane lui hota tout espoir en lui ordonnant d'aller se laver.
--Va te laver cochonne !
On sort maintenant !
Karine résignée, alla dans la salle de bain se doucher.

(a suivre)

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 26 janvier 2 26 /01 /Jan 12:34
Nous sommes partis en vacances au Cap d'Agde l'été dernier. Nous avions loué un grand appartement, très bien situé avec une vue imprenable sur la plage.
Pour diminuer les frais nous avons choisi de partir avec un couple d'amis : Marie Laure et Fredéric.
C'étais de bons amis mais nous n'avions jamais passé plusieurs jours avec eux.
Nous étions un peu inquiets au début mais après deux jours, nous étions totalement rassurés et nos vacances se passait à merveille.
Claire, ma femme était partie acheter du pain pour le pique nique du midi. Je sortais péniblement du lit, et e dirigea directement dans la salle de bain. Je ne vis pas que Marie Laure était déjà là. Je rentrais et tomba nez à nez avec elle, dans son plus soimple appareil. J'étais très géné et troublé. Je fis demi tour après m'etre excusé et retournait dans ma chambre.
La journée continua sans autre anecdote. Je ne pouvais m'empecher de repenser à l'épisode de la salle de bains. Je repensais à la chatte toute rasée de Marie Laure. J'avais honte.
Le soir, Fredéric me prit à part et me dit qu'il avait quelques choses à me dire. Je cru d'abord que Marie Laure lui avait parlé de cela. En fait c'était tout à fait autre chose. Enfin pas tant que cela.
Il me dit que Marie Laure fêtait son anniversaire ce soir. Il voulait lui préparer une petite surprise.
Il voulait assouvir un de ses fantasmes...
il me dit qu'elle avait toujours voulu etre prise par deux hommes. Et comme je ne la laissais pas indifférent, il avait pensé à moi...
Je fus très surpris de cette demande. Et je ne savais pas trop quoi dire vis à vis de Claire. Il comprit mes rétissances et il me dit qu'il avait déjà parlé de cela à Claire. Elle était d'accord. A condition toutefois qu'elle puisse elle aussi participer à la fête...
Ca promet pensais je !
Frederic me dit qu'il s'occupait de tous.
Nous n'avions qu'à être prets à 20H...
A 20H précise, nous étions tous les deux fin pret pour cette soirée initiatique. Frederic et ML nous attendaient. Nous avons une seule voiture. Le repas était délicieux et nous avons passé une agréable soirée. Nous avons parlé de nos journées respectives, des vacances, etc.
Mais à aucun moment l'anniversaire de Marie Laure n'a été évoqué.
Je voyais qu'elle était décue.
Et encore plus lorsquue nous étions sur le chemin du retour.
Une fois de retour à l'appartement, Frederic sortie une bouteille d'alcool et nous avons continué la discussion au salon. A mesure que l'heure avancait, nous étions de plus en plus joyeux. La discussion devenait de plus en plus libéreé. ML me dit qu'elle avait vu que j'avais regardé son sexe épilé. Elle commenca à prendre ma main et à la glisser sous sa robe. Claire complètement ivre riait à plein poumon.
Je fus surpris de constater que ML ne portait rien en dessous de sa robe, et que visiblement elle était pour le moins excitée... sa chatte était très humide.
Je ne retirais pas ma mains et caressa sa jolie chatte un long moment.
Je lancait un regard complice à Frederic pour lui dire de s'occuper de Claire.
Il ne se fit pas prié, et il attrappa Claire par la taille, l'assis sur ces genous, et en deux temps trois mouvement lui retira tous ces vêtements. Puis il l'allongea sur le canapé, les cuisses écartées.
il s'agenouilla et commenca à lui titiller la chatte avec sa langue.
Je regardait un homme lécher ma femme et j'aimais cela !!!
Claire était complètement ailleurs. Elle se laissait faire, et gémissait de plaisir. Je suis sur qu'elle ne savait meme pas que quelqu'un la léchait.
Cela excita aussi Marie Laure qui se dégagea de ma mains, et baissa mon pantalon. Elle sorti mon sexe de mon calecon et commenca une fellation.

004

Elle sucait remarquablement bien. Elle allait lentement mais aspirait mon sexe au maximum tout en caressant mes boules. Elle alternait des phases lentes et d'autre plus rapides. sa bouche relayait ses mains. Mon sexe ne tiendrait pas longtemps avec un traitement pareil...
Je profitais d'un moment de répis pour inverser les roles. Je pris possession de son vagin ruisselant. Ma langue allait profondement en elle. Elle semblait aimer cela.
Les deux femmes était cote à cote et Frederic et moi redoublions d'effort pour faire jouir la femme de l'autre. 
Elles gémissaient sous nos langues virevoltantes. J'introduisis un doigt dans l'anus de ML. Cela eut pour effet de la faire crier.
Frederic fit de meme avec Claire.
Leurs chattes dégoulinaient de cyprines.
Elles étaient grandes ouvertes.
C'est Fred qui le premier enfonca son sexe dans la chatte suppliante de Claire.
Il avait un sacré engin !
Et Claire semblait aimer cela. Elle gémissait à chaque coup de rein de Frederic. Ses couille claquaientt sur son postérieur.
Il la maintenait les jambes en l'air pour que son sexe aille profondément.

017
Il allait assez lentement mais ses coup de rein était très puissants.
Il voulait que Claire sente que c'est lui qui dominait.
Je le regardais dominer Claire. Elle était entièrement à sa merci.
je ne délaissais pour autant par ML, et continuait à jouer avec son anus, de plus en plus dilaté.
Je finis même par retirer mes doigts et placa mon sexe à l'entrée de sa rondelle. Elle semblait un peu anxieuse d'être sodomiser. Elle essaya meme de se dégager mais je la maintenais fermement.
J'enfoncais lentement mon sexe dans son cul.
Centimètre après centimètres pour ne pas lui faire mal. Lorsque je fus bien au fond, je restais ainsi en donnant de tout petis mouvement.
Petit à petit elle se détendie et je pu augmenter l'amplitude et la puissance de mes aller et venus.
Les deux femmes semblaient prendre beaucoup de plaisir. Chacune d'une manière différente. Claire laissait clairement éclater des cris alors que ML essayait de contenir sa jouissance mais elle avait de plus en plus de mal et elle gémissait de plus en plus fort. D'autant que je la pilonnais maintenant. Ma queue allait et venait dans son cul dilaté. Elle criait de bonheur.
-"defonce moi !"
-"plus fort"
Franck retira son membre de Claire et la pria de venir s'occuper de moi pendant qu'il allait chercher quelque chose.
Je laissais donc ML reprendre ses esprits, et m'allongeait sur le canapé.

025

Les deux femmes s'agenouillèrent cote à cote et me sucaient la queue rougie par la séance de sodomie.
Elles étaient déchainées et dévoraient litteralement mon sexe.
Claire prit l'initiative et elle s'empala sur moi. Elle se déhanchait comme une diablesse en gémissant. pendant ce temps, ML s'était positionné au niveau de ma tête de sorte que je puisse la lécher.
je pouvais enfin dévorer cette belle chatte rasée que j'avais vu l'autre jour.
Ma langue allait profondément.
Sa chatte dégoulinait.
Que c'était bon !!!
Frederic revint avec une boite en plastique d'ou il retira une sorte de gode.
Il humidifia l'anus de claire, qui était toujours empalée sur mon sexe, puis il lui introduit l'objet dans l'orifice.
Claire semblait aimer.
Il sortie ensuite des menottes et des cordes, et il la prie par la mains et l'attacha, mains et pieds liés.
Il sortie enfin un vibromasseur, qu'il introduisit dans sa chatte.
Claire était sa prisonnière. Il mis le vibromasseur à mi-vitesse. Claire gémissait de plaisir. Puis Fred s'exclama.
Il est temps qu'on s'occupe de toi ma chérie... C'est ton anniversaire ou non ?
Nous avons donc laissé claire et ses sexe toys et nous voilà sur ML.
Franck, s'allongea sur le dos, tandis que je positionnait ML sur son sexe.
Il la prie un bon moment.
Je les regardait en me masturbant.
Puis Fred m'invita à les rejoindre.
Il me dit qu'il y avait encore de la place. Je me positionnait derrière eux, et mon sexe retrouvait l'anus de ML.
Elle avait maintenant deux queuess en elle.

031.jpg
Nos queues allaienet et venaient de manière désordonnées dans ses deux orifices. Elle ne savait meme plus à quel moment gémir  tellement nos sexe la pénétrait encore et encore.
Elle perdait complètement pied.
Fred explosa le premier dans sa chatte, et il se retira. Je continuaus de plus belle, et à mon tour j'éjaculais dans son anus. ML s'écroula en pleurs tellement ce fut bon.
Alors que je reprenais des forces, Frederic avait déjà repris de la vigueur et il repris Claire en mains. Il lui ota le gode de son anus et il la sodomisa. Il augmenta également la cadence du vibromasseur qu'elle avait toujours en elle. En quelques secondes, Claire jouit comme jamais je ne l'avais vu jouir. Elle criait.
Frederic la sodomisa pendant dix minutes avant qu'elle le suplie d'arreter, ce qu'il fit non sans lui décharger dans le cul le peu de semence qu'il lui restait.
Voilà comment nos vacances ont pris une tournure inattendue.
Depuis nous nous retrouvont souvent pour des soirées toujours chaudes !!!
 

 

 
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 21 janvier 4 21 /01 /Jan 13:30
Cela faisait plusieurs jours que Laura était partie chez sa soeur en vacances. Je commencais à trouver le temps long. Je sentais mes couilles bien pleines et j'avais plusieurs fois pensé me les vider manuellement histoire de me soulager.
Pourtant je ne l'avais pas fait et je ne le regrette pas.
Ce jour là, Elsa, la meilleure amie de Laura m'appella pour nous proposer de venir piquer une tête chez elle. Elle avait une somptueuse villa et surtout une piscine. Par ces chaleurs d'été, c'est un luxe qu'on aimerais tous avoir.
Je lui dit donc que Laura était absente mais que je viendrais quand même.
A 14H, je sonnais à sa porte. Elle me recu comme toujours très chaleureusement. Après avoir discuter un moment, et pris un rafraichissement nous voilà tous les deux dans l'eau.
Elsa avait un très beau maillot turquoise, qui mettait bien en avant ses deux seins lourds.
c'était une très belle femme.
Son charme ne me laissait pas indifférent, et mon sexe en erection venait traillir ce sentiment. Un peu géné je ne pu faire autrement que me jeter à l'eau. Mais Elsa l'avait remarqué. Elle commenca à me parler de Laura. Ou etait elle ?
Estt ce qu'elle me manquait ? etc
Je finis par lui avouer que son absence commencait à me peser.
Elle me proposa d'arranger dela.
Je refusais tout net à ses avances. Je n'avais jamais trompé Laura. Et je n'avais nullement l'intention de la faire lui dis je.
Elle précisa que ce n'étais nullement son intention, mais qu'une petite pipe entre amis s'était différents...
Je n'avais jamais vu la chose de cette manière. Mais après tout, Laura n'en saurait jamais rien.
Je sortis de l'eau en guise d'approbation. Elsa s'approcha de moi, et ota mon calecon de bains, laissant apparaitre ma verge en erection.
fellation-amatrice-8
Elle pris mon sexe dans sa mains et après quelques caresses, elle l'englouti completement. Elle me suca dix bonnes minutes, et enfin j'explosais dans sa bouche pourson plus grand contentement. Elle me nettoya le gland jusqu'à la dernière goutte de sperme.
Quel soulagement !!!
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 12 novembre 4 12 /11 /Nov 13:01









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