Les récits de Camille

Vendredi 8 août 5 08 /08 /Août 12:43

Vous8 avez été très nombreux à lire notre article intitulé "Première sodomie".
Dommage que vous n'ayez pas laissé vos impressions avec des commentaires.
Mais si on en crois la fréquentation de cet article, vous aimez les belles histoires érotiques.
Surement aussi que la sodomie ne vous laisse pas indifférant.
Pour vous satisfaire, voilà donc un autre récit.
Et puis nous allons ouvrir notre première gallerie photos avec les plus belles photos de sodomie trouvées sur le net.
Cette gallerie sera très régulièrement mise à jour avec les clichés glanés ici ou la.
Une gallerie "Contributions" verra aussi le jour avec la vingtaine de premières photos que l'on a recu.
En espérant que vous enverrez beaucoup d'autres créations personnelles.
Envoyez nous vos photos préférées.

Maélis m’embrasse sur les lèvres passionnément.
Enfin seuls, sans la présence constante de ses colocs, que je déteste.
Il faut se hâter car on n’a pas toute l’après-midi libre, et en plus, ma bite raide ne peut plus attendre.
Je regarde l’horloge pendant que ma copine de la fac mordille doucement les lobes de mes oreilles.
J’adore les petits gémissements qu’elle pousse à chaque fois qu’elle introduit sa langue cochonne dans mes oreilles,
pour les remplir de salive chaude et humide…
Je suis vraiment hors de moi et, complètement fou, je m’agenouille devant elle.
Puis, en retroussant sa jupe, j’écarte les lèvres de sa foune pour pouvoir tripoter son clito avec ma langue, sans aucune contrainte.
« Ahhhhhhhh salaud, que c’est bon, c’est siiiiiiiiiiii booooooooon»
Maélis ferme les yeux et rougit, pendant que je la lèche avec des mouvements très appuyés.
Puis la coquine me prie de sucer son clito, ce que je fais tout de suite, en faisant de mon mieux pour lui procurer du plaisir…

Soudain, quelqu’un ouvre la porte de la chambre, et zut, je reste un moment immobile. C’est une fille, identique à Maélis! ….
Au début je n’y comprends rien mais ensuite, la nouvelle arrivante (teinte en blonde alors que Maélis est brune)
ferme la porte à clé, et me fait signe de ne pas bouger.
Elle se dénude à la vitesse de l’éclair et vient nous rejoindre, le sourire aux lèvres.

 À ma grande surprise, ces sœurs jumelles, ivres de sexe, s’embrassent sur les lèvres en m’encourageant à lécher leurs chattes
l’une épilée et l’autre assez poilue.
 Je n’en crois pas mes yeux et je suis tellement heureux que je reste un moment sans bouger, en les regardant faire.

Tout à coup Chantal fait demi-tour et me prie de lécher son anus.
Je comprends tout de suite ce qu’elle veut et, en me mettant debout, je pénètre son petit trou d’un seul coup,
 après avoir lubrifié ma bite avec sa mouille.

«mmmmmmmmmm encooooooooooore»

Elle semble très excitée. Après quelques minutes de pénétration anale torride,
Chantal me supplie de rester immobile pour pouvoir s’enfourcher elle-même sur ma verge raide,
pendant que Maélis caresse son dos et ses fesses très tendrement.

Ces sœurs jumelles sont super sexy et leurs petits seins durcis sont un régal pour les yeux.
Je me plais à les comparer, pour voir s’ils ont exactement la même taille et ouiiii, ils sont parfaitement identiques!

Chantal crie très fort pendant que je l’encule à gros coups de bite.
Entre-temps, comme si elle voulait décupler mon ardeur, Maélis se place devant nous, pour permettre à sa sœur de lécher sa foune.
Cette image est craquante et je me dis que j’aimerais bien devenir le copain de ces sœurs jumelles et coucher toujours tous les trois.
Nous ferions un trio inséparable car, je vous l’assure, ces sœurs jumelles comblent toutes mes attentes en matière de sexe.
Je me trouve donc capable de leur être fidèle.

«Ah, ah, ah, ah comme çaaa, encore, encore, encoooooooooooooore….»

Chantal ne se contente pas de bouger son cul pour que je la pénètre.
Elle me prie de la soulever dans mes bras pour la sodomiser en sorte qu’elle puisse regarder mon visage.

  Je lui obéis tout de suite, sous le regard extasié de Maélis qui se masturbe très lentement à côté de nous.
Maintenant que le petit trou de Chantal est complètement dilaté, ma bite y rentre comme dans du beurre et la cochonne
s’y est habituée au point de ne plus gémir et de bouger comme si de rien n’était…

Maelys que j'avais un peu oublié revint auprès de nous avec un gode ceinture.
Je n'en avais jamais vu réellement. Son diamètre était énorme. Heureusement que j'avais bien préparé l'anus de Chantal.
Maélis pris ma place et enfonca l'objet jusqu'au bout.
Chantal gémie plus fort encore que tout à l'heure.
Visiblement elle aimait se faire sodomiser. Et Maélis aussi prenait un plaisir particulier à prendre sa soeur.
Elle pilonna l'anus de la pauvre chantal qui hurlait de plaisir à chaque intrusion du gode dans son orifice ruisselant.
Puis elle se tourna vers moi et me dit :
A toi maintenant.
J'allais prendre sa place derrière Chantal lorsque m'interrompis.
Non retourne toi. Je ne compris pas tout de suite.
Une douleur attroce me pris lorsqu'elle m'enfonca le gode dans le cul. Heureusement que celui ci était deja bien lubrifié.



Il rentra un peu plus facilement.
Je failli m'évanouir tant la douleur était intense.
Après quelques minutes et une vingtaine d'aller et retour, mon anus dilaté je commencais à ressentir le plaisir arriver.
Pour la première fois et la seule fois de ma vie je pouvais ressentir ce que j'aimais tant faire subir aux femmes.
Pour la première fois j'étais le dominé. Je me faisais exploser la rondelle comme jamais je n'avais fait subir cela à quelqu'un.
Lorsque Maélis me libéra de son engin, je mis plusieurs minutes avant de récupérer totalement, et je finis notre échange anal en prenant possession de son petit trou.
J'essayais de lui rendre la pareil mais mon sexe n'avait quand meme pas le meme impact que le gros gode ceinture. Chantal vint me rejoindre et bientot Maélis eu deux queues pour la satisfaire.
Elle ne pu resister très longtemps à ce traitement de choc et elle explosa dans un orgasme bruyant en meme temps que je me repandais dans son anus béant.

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 6 août 3 06 /08 /Août 14:00

Je m’appelle Emeline, j’ai 23 ans et j’habite avec mon homme, Marc, sur la région de Montpellier.
J’adore me faire baiser et je pense être devenue une véritable salope.
D’ailleurs j’adore que l’on me le dise lorsque l’on me baise ou qu’on m’encule.
Je n'ai pas toujours été comme cela.
Tout a commencé par un petit jeu avec mon homme.
Marc m’a dit un jour  qu’il voulait me voir me faire baiser par quelqu'un de son choix…
Je fus surprise mais particulièrement excitée par cette idée.
Notre vie de couple continua normalement jusqu'à un soir de décembre dernier, à la visite d’un de ses amis, Laurent,célibataire invétéré.
Marc me glissa à l’oreille.
Tu te souviens notre petit jeu ?
Je veux que tu suces Laurent ce soir. Je veux que tu avale jusqu'à la dernière goutte de sa semance.

J’étais très gênée mais je lui avais promis d’exécuter ce qu’il me dirait de faire.
Je suis allée à la cuisine me servir un grand verre de vin blanc que j’ai bu d’un seul trait, histoire de me donner du courage.
Je ne connaissais pas très bien Laurent et je ne savais pas trop comment m'y prendre.

Sans rien dire je me suis ensuite agenouillée devant Laurent qui regardait la télé dans notre canapé et j’ai commencé à lui caresser
les cuisses avec les 2 mains.
Il a semblé très surpris, comme vous pouvez l’imaginer, et a jeté un regard interrogatif
 à Marc qui lui à dit froidement : « ne soit pas surpris !
Je t’ai déjà dit comme elle aimait se faire baiser…
Et ce soir tu va voir que c’est une véritable pute ! »

Ce n’était pas la première fois qu’il me disait ce genre de chose mais il n’y avait jamais personne d’autre que moi pour entendre
ces insultes. Cela me gênait d’autant plus mais en même temps, m’excitait terriblement. Je sentis mais joues rougir de honte
et ma chatte tremper mon jean.

Laurent baissa alors son pantalon et son slip. Je voyais devant moi la bite de Laurent et
je devais m’exécuter. Je pris donc cette bite que mes caresses n’avaient pas encore sue durcir en bouche.
 Elle se gonfla petit à petit. C’est à ce moment que Marc dit :

J'ai commencé doucement à sucer cette queue étrangère. Puis je me suis alors activée énergiquement en me disant : « Puisque je dois le sucer, je vais lui faire une pipe qu’il n’oubliera jamais »
J’ai alors alterné les sucions sur le gland et les léchouilles sur la hampe de cette bite durcit.
Je l’ai aspirée, je l’ai tétée, je lui ai mangé les couilles et j’ai enchaînée des gorges profondes jusqu’à ce que me viennent
les larmes. Je salivais autant que je mouillais mon jean.
La respiration de Laurent s’accélérait, puis ralentissait, et accélérait de nouveau.

Laurent m’a enlevé mon pull et mes T-shirts car il voulait peloter mes seins qu’il savait généreux
( j’ai beaucoup de mal à cacher mon 95 D) pendant que je le suçais.
Ils ont durcit rapidement sous ses caresses mais aussi à cause du froid de la pièce.



J’ai jeter un œil à ce que faisait Marc et je le vis assis dans le fauteuil un verre de rhum à la main…
J’avais l’impression qu’il regardait un film X sur cinéma frisson comme il a l’habitude de le faire quelques soirs de
la semaine. Je me sentis alors vraiment pour la première fois comme une véritable salope. Cette fois, Marc ne me le disait pas
, je pouvais le lire dans ses yeux.

C’était une sensation étrange mais j’ai commencé à adorer ça et j’ai donc redoublé d’effort jusqu’à ce que Laurent jouisse
 au fond de ma bouche. Laurent qui ne devait pas avoir jouie depuis pas mal de temps avait les couilles bien pleines
et le fait de les lui vider lui a donner des spasmes violents.
Le goût de son sperme était différent de celui de Marc, un peu plus acide et salé, mais j’ai avalé tout ce que je pouvais.
 C’était délicieux cette sensation de ce jus étranger qui coule âpre et chaud le long de ma gorge.

Du sperme c’est échappé malgré moi de mes lèvres et a coulé jusqu’à mon menton. Lorsque j’ai demandé un sopalin,
 Marc m’a répondu : « Je t’ai dit que je voulais que tu avales tout et je sais que tu aimes ça donc… ».
J’ai alors compris qu’il voulait que je ramène à ma bouche le sperme qui avait pu s’échapper de mes lèvres avec mes doigts.
 J’ai fait ce qu’on m’a demandé et pour leur montrer que j’avais bien compris ce qu’ils voulaient de moi,
je me suis même léchée les doigts en gémissant légèrement et en les regardant tour à tour dans les yeux.



La soirée à ensuite reprit un cours plus normal même si je savais maintenant que Laurent ne me verrait plus comme la femme de son ami.
D'ailleurs lorsqu'il est revenu le surlendemain, les choses ne se sont pas arr^té à une simple fellation.
Mais cela je vous le raconterais la prochaine fois.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 22 juillet 2 22 /07 /Juil 13:25

Devant le succès de notre article sur la première sodomie, nous vous proposons un autre récit sur le sujet. Cette fois nous rencontrons deux jeunes espagnols lors de leur nuit de noces...Vous allez adorez !!! Et nous vous proposons aussi quelques illustrations bien choisies pour illustrer cela.



Maria et Alberto s’étaient rencontrés sur la Côte d’Azur, le lieu de villégiature par excellence. Tous deux y passaient d’agréables vacances au bord de la mer, chacun de leur côté. Elle était Valence et lui de Saragosse. Ils avaient passé le reste de leur séjour ensemble et n’avaient cessé de se revoir une fois rentrés en Espagne, malgré la distance qui les séparait. Très vite, ils avaient décidé de se marier, et leurs amis les avaient aidé à tout organiser. La cérémonie avait eu lieu dans un petit village de la région de Valence et une grande fête avait suivi. Maria et Alberto nageaient dans le bonheur. Tout avait été très vite, mais ils étaient tous deux du genre à foncer.

 

Après la fête, Alberto entraîna Maria dans leur nouvelle maison à vive allure. Tous deux étaient très excités, par l’idée d’habiter enfin ensemble bien sûr, mais aussi par l’envie de s’envoyer en l’air. Ils avaient attendu ça toute la soirée et n’avaient cessé de se regarder dans les yeux. Dur de faire bonne figure avec tout ce monde qui voulait les féliciter et leur souhaiter plein de bonheur. Ils s’installèrent dans la chambre et se déshabillèrent rapidement, sans perdre la moindre seconde. Ils éteignirent la lumière et s’allongèrent l’un contre l’autre sous les draps. Alberto se mit à caresser celle qui était désormais sa femme. Mine de rien, ça lui faisait un peu bizarre. C’était la même nana, certes, mais c’était son épouse. Ces considérations lui firent perdre son énergie un petit moment. Maria semblait moins philosophe et prit l’initiative, puisque son jeune mari semblait avoir perdu son inspiration. Elle espérait que de toute manière, il allait se réveiller.

Elle l’embrassa et le laissa lui toucher les fesses et les seins. C’est bien, il s’était repris, ce pauvre Alberto. Alors très vite, elle se tourna sur le côté et il se serra contre elle en se demandant pourquoi elle lui montrait son dos. Il la prit dans ses bras et très vite, elle sentit sa bite devenir bien dure, au contact du bas de son dos. Alberto s’excitait et la tirait contre elle tant qu’il pouvait. Le moment était venu. Maria se tourna, fit son plus beau sourire et lui dit :

- Encule-moi !

 

Le jeune marié fut un peu surpris par cette demande. Il ne trouvait pas ça très romantique pour une lune de miel, mais ne voulut pas la décevoir et s’occupa avec attention de son petit cul. Il lui caressa la chatte et fit mine de la lécher avant de se porter finalement vers son anus. Le contact de la langue suffit pour que Maria se mette à exprimer des signes de plaisir. Qu’il était bon d’avoir un amant obéissant.

 

Alberto lui enfila un doigt dans le cul et entreprit d’élargir l’endroit dans lequel sa grosse queue d’homme du Sud allait bientôt plonger. Maria attendait avec patience tout en caressant la belle chevelure noire de son homme. Rapidement, il enfonça deux doigts puis trois dans l’orifice de Madame. Elle se réjouissait. Comme ça allait être bon !

 

Quand Alberto fut satisfait, il se releva, curieux de savoir dans quelle position sa femme voulait se faire prendre. Celle-ci se mit alors à quatre pattes et Alberto la sodomisa sans trop de problème. Il lui saisit les hanches et se colla à son cul bien ferme. Il se redressa pour faciliter la pénétration et la martela de coups de queue dans l’anus en essayant de guetter sa réaction.



Soudain, Maria le fit stopper, à sa grande surprise. Elle se mit sur le dos et l’invita à continuer ainsi. Rassuré, Alberto la saisit par le cul et la souleva pour pouvoir la prendre. Il tint quelques minutes ainsi. Pour l’aider, elle avait posé ses pieds sur le matelas et lui offrait son bassin qu’il labourait en soufflant. Alors qu’il sentait la sève monter et qu’il donnait de plus belles des coups de reins à sa belle, Alberto sentit la fatigue venir et posa délicatement Maria sur le matelas. Elle se mit de côté et il finit de la sodomiser ainsi, avec une bonne fesse contre son pubis, une main sur son cul et une autre lui caressant la chatte.

 




Epuisé, le fougueux Espagnol se coucha, croyant en avoir fini. C’est là que Maria lui sauta dessus et se mit la bite à peine remise de ses efforts à la bouche. Elle se mit à la sucer avidement, le cul tourné vers le visage de Monsieur. Celui-ci entreprit de lui lécher la chatte pendant qu’elle faisait tourner sa langue autour de sa grosse queue. Finalement, il était ravi de cette première baise en tant que jeunes mariés. Le soixante-neuf l’excitait tout particulièrement. Il avait toujours adoré la chatte de sa femme, aux lèvres fines et aux poils pubiens soignés. En plus, elle avait un goût envoûtant dont se régalait notre ami. Il lécha et relécha tant qu’il put mais malgré tous ses efforts, son énergie et son plaisir, il lâcha sa sauce avant d’avoir pu faire jouir Maria. Elle avala et continua à lui délivrer des bisous sur les parties génitales pendant que lui la léchait toujours. Lorsqu’elle sentit monter le plaisir, elle lui enfonça ses ongles dans les cuisses - ce qui l’excita lui aussi – et elle hurla.

 

Tandis que tous deux reprenaient leur souffle, Alberto se dit qu’ils avaient tout fait sauf baiser de façon traditionnelle et que ça n’allait pas. En bon Espagnol catholique, il devait assurer un minimum de cul bien chrétien lors de sa lune de miel, il est allait du respect des anciens. Il s’allongea donc entre les cuisses de sa femme et se mit à la sauter de la façon la plus banale qui soit, sans que cela ne déplaise pour autant à l’un d’eux. L’éjaculation fut longue à venir et Alberto commençait à suer. Mais surexcité, il réussit encore à prendre sa femme par derrière lorsqu’elle se fut allongée sur le dos. En ce qui les concernait, le mariage semblait donner des ailes. Restait à voir ce que ça allait devenir par la suite.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 12:50

Je vais vous raconter ma première sodomie, même si je ne suis pas très fière de comment ça c'est passé. Ça c'est passé quelques semaines après ma première relation sexuel. J'étais à une soirée, elle était bien, après quelques verres un type m'attira, on arrêtait pas de se matter, puis il me fit signe qu'il montait, peu après je le suivis, une fois en haut on c'est embrassé, je sentais ça queue se gonfler sous son jean, il me caressait les fesses en même temps et je sentais sa main remonté sur ma poitrine, j'étais totalement bourré, je me laissais faire, puis il sortie un de mes seins de sous mon débardeur et se mis à me le lécher, je sentais ça queue se gonfler encore alors je la sortie de son jean et je me mis à genoux devant lui et commença à le sucer, il avait une belle queue, je la tenais d'une main en le branlant un peu , en lui suçant le gland, il posait sa main sur ma tête et accompagné mon mouvement, puis je léchais ça queue sur la longeur avant de la reprendre entièrement en bouche, c'était bon, avoir une si belle queue en bouche à sucer, il bandait toujours plus dure au fur et a mesure que je le suçais, il poussait dés gémissement de plus en plus fort puis rapidement je le fis jouir, son sperme me gicla dans la bouche, le doux liquide chaud me coulait dans la gorge, je continuais à sucer pour ne pas en laisser une goute, puis on se rhabilla et on redescendit avec les autres. Et la trou noir, je me reveilla le lendemain matin dans une des chambres de la maison, j'étais totalement nue dans les bras d'un type qui était aussi la hier soir, j'avais mal à la tête j'avais bien du boir la veille.

 


 

Peu à peu je retrouvais mes esprits mes incapables de me rappeler de ce que j'avais fait la veille, puis je sentis une douleur, j'avais mon petit trou qui me tirait, mais la douleur se transforma en une sensation bizarre de chaleur. Le type avait profité que je sois totalement bourré pour me sodomiser j'en revenais pas, je me levais pour partir, en prenant le drap autour de moi, il se retrouva nue sur le lit ce qui le reveilla, il me pris alors la main pour me retenir, et me dit coucou ma belle, j'étais énervé contre lui et il le compris, alors il me rammena dans ses bras et m'embrassa et la il me fit un gros calin, ce qui me réconforta, il était plutôt sympas comme mec. Petit à petit je sentais ses mains descendre sur mes fesses nues, puis il les carressa en continuant à m'embrasser, puis il m'embrassa dans le coup et descendit sur mes seins pour me mordiller les tétons, j'étais de plus en plus exité et je sentis sa queue se durcir contre mon ventre, je descendis ma main pour le branler pendant qu'il me suçait les seins, je sentie la queue entre mes doigts puis je regarda, elle devait déjà faire 20 cm cela m'exita encore plus je commençais à mouiller et il s'en rendit compte car il approcha sa main et me carressa le clito pendant que je le branlais doucement, puis je descendis le long de son torse pour sucer cette belle queue, j'avais du mal à la prendre en bouche, elle durcissait de plus en plus, je le suçais de plus en plus rapidement, il bandait comme un taureau, ça queue devait faire 25 cm, la plus grosse que je n'avais jamais vue, puis il me releva et m'allongea sur le dos pour me faire un cunni, il m'éxitait de plus en plus à jouer avec sa langue sur mon clito puis il remonta sur moi et me pris comme ça en missionaire, je sentais sa grosse queue faire des vas et viens en moi, je poussais des petits gémissements, c'était trop bon au reveil de se faire baiser comme ça, avec une main il me caressait les seins, puis il redescendit me faire un cunni, j'étais déjà au bord de l'explosion, mais il ne s'arrêta pas sur mon clito et descendit à mon petit trou et le lécha, je me retira et lui dis qu'est ce que tu fais, et la il me répondit, pourtant tu as aimé hier soir, c'est vrai hier soir, mais qu'est ce que j'ai fais, le temps que j'essais de me rappeller il s'était déjà remis à me lécher mon petit trou, ce n'était pas désagréable, c'était même agréable puis il me mis doucement un doigt qui rentra sans problème et la je voulu savoir ce qu'il m'avait fait la veille alors je le laissa faire puis il remonta sur moi et approcha sa grosse queue de l'entrée de mon petit trou, il la rentra comme dans du beurre j'étais encore toute dillaté de la veille et la une explosion de sensations me parcourut, aux moindres mouvements j'étais de plus en plus proche de l'orgasme, qui arriva trés vite, mais je continuais à monter, au fur et à mesure qu'il me sodomisait j'avais de plus en plus de plaisir, puis il me fit relever pour me mettre à 4 pattes, je voyais la taille de cette queue et je n'en revenais pas qu'elle arrivait à rentrer dans mon petit trou.

Une fois à 4 pattes il renfonça sa queue dans mon petit trou et continuait à me sodomiser de plus en plus fort, il en profitait pour me carresser les seins, il y allait de plus en plus fort dans ce petit trou avec cette si grosse queue, j'atteind à nouveau l'orgasme, le plus fort que je n'ai jamais eu et il arriva en même temps, je sentais son sperme chaud gicler contre les parois de mon anus, j'étais au paradis et on tomba tout les deux à la renverse, je venais de me faire sodomiser pour la première fois (que je me rappelle) et j'étais au paradis !

 

http://taniaxx.blogspot.com/2007/08/ma-premire-sodomie.html


Maintenant j'aimerais connaitre vos sentiments sur cette pratique sexuelle. Aimez vous la sodomie ?

Peut etre voulez vous nous faire partager vos expériences ?

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 12:48

A quelques kilomètres de ma maison de bord de mer, dans l’Ouest, nous avons découvert à l’occasion d’une longue ballade une superbe petite plage de naturisme - ou plutôt d’exhibitionnisme, puisque la réelle majorité des occupants sont des hommes seuls qui se tiennent sur les hauteurs ou sur la plage, et des couples qui parfois se laissent aller à des caresses généralement réservées à l’intimité…

Isolée par une bonne vingtaine de minutes de marche à travers les dunes, on distingue d’abord au pied d’une élévation plus importante quelques silhouettes à demi cachées dans les genets et les herbes sauvages : presque exclusivement des hommes seuls ! Cela indique que l’on approche du but, et effectivement, une fois franchie cette dernière dune, on découvre un havre de paix planté de pins maritimes aux formes étonnantes. La plage d’environ deux cent mètres de large est cernée de rochers qui s’avancent dans l’eau. Une véritable crique isolée du monde, et il est aisé de comprendre le choix de ce lieu par des gens qui souhaitent vivre dans la tranquillité leur état de nudité… et certains fantasmes…


Bénédicte et moi, adeptes de l’exhibitionnisme et de sensations hors du commun, avons depuis longtemps vérifié que dans leur grande majorité, les voyeurs sont des gens souvent timides et discrets, et même ceux qui parfois osent se rapprocher ou carrément nous aborder, n’ont jamais fait preuve d’agressivité ; Je suis de toute façon en état de me défendre et de protéger ma compagne.

Quant à Bénédicte, je ne vous la présente plus, précisant seulement que "l’air de la mer conjugué au soleil" a sur elle un effet largement similaire à celui du champagne…

Lors de l’une de nos premières visites dans ce lieu paradisiaque, et dans le but de réaliser un de nos fantasmes toujours actifs et à chaque fois comme neuf - Faire discrètement jouir Bénédicte sur une plage en nous sachant observés, et voir un homme se masturber pour elle. Nous y avons fait une extraordinaire rencontre, celle d’un homme charmant avec lequel nous avons vécu une aventure époustouflante et torride que je vous ai déjà raconté.

Et qu’on ne me dise pas qu’un fantasme réalisé est un fantasme mort, car pour nous, chaque situation est unique, comme première, et rien dans son déroulement n’est prémédité ou planifié ; Seule l’intensité du moment me dicte une conduite à laquelle Bénédicte aime se soumettre…

Assez régulièrement, nous nous rendons dans ce petit coin d’Eden, et nous avons constaté que le moment le plus agréable et propice à nos libertinages était le matin ; très peu d’estivants, mais déjà des " voyeurs ", certainement les plus ‘motivés’, ainsi qu’après dix huit heures et le départ du plus grand nombre, alors que l’après-midi, on voit souvent des familles avec enfants, et en tous cas plus de vacanciers, donc moins d’intimité…


Le jeu consiste pour nous à ne pas nous soucier des autres estivants, à choisir un endroit désert – aux autres de s’approcher s’il le souhaitent - comme un renfoncement entre deux dunes, pour nous ménager un minimum d’intimité, propre à laisser Bénédicte s’effeuiller tout naturellement, se débarrasser de dessous fins et très féminins, parfois gardant au début un string n’ayant rien d’un maillot de bain, arachnéen et transparent, ce qui ajoute à l’insolite de la situation et a entretenir notre désir d’abord par de discrètes et furtives caresses, mais en restant malgré tout très sages, laissant intervenir le hasard.


Très rapidement nous constatons quelques mouvements furtifs dans notre dos, parmi la végétation des dunes qui nous surplombent, des passages plus audacieux devant nous, le long du bord de mer, avec des regards qui se tournent vers les jambes fléchies et légèrement ouvertes de Bénédicte allongée sur le dos, puis enfin des allées et venues plus rapprochées à la vue de cette jolie chatte presque totalement épilée qui offre son mont de vénus proéminent et joliment ourlé de lèvres qui, de par la situation, sont déjà gonflées et entrebâillées, quand elles ne sont pas luisantes de la mouille de leur jolie propriétaire.

Bénédicte, les yeux à demi fermés ou masqués par ses lunettes de soleil, n’en savoure pas moins ces regards qu’elle sent sur elle, qui s’additionnent à la caresse du soleil, ma présence à ses cotés et les rapides effleurements de ma main sur ses seins et sa chatte.

Mais assez éclectique dans le choix de nos ‘admirateurs’, nous ne faisons rien pour encourager ceux que nous ne ‘sentons’ pas et nos visites se bornent la plupart du temps à ces caresses prodiguées à l’attention de voyeurs qui se branlent plus ou moins ostensiblement, à un discret orgasme de Bénédicte sous mes doigts, ou une masturbation qu’elle me procure.

Selon son humeur, elle guette discrètement ou encourage ouvertement du regard la masturbation et le jet de sperme dans le sable qui régulièrement accompagne son propre orgasme et salue sa beauté. Une seule fois, en présence d’un voyeur doublement satisfait, nous avons assisté aux ébats discrets d’un autre couple, tandis que je caressais Bénédicte, mais sans donner de suite ni aux uns ni à l’autre. Le pauvre garçon ne savait visiblement plus ou donner de la tète, alors que la présence de chaque couple stimulait l’autre… Et parfois, rarement il est vrai, nos "visites " sont couronnées d’aventures hors du commun, pour peu que l’environnement s’y prête, que Béné et moi soyons au paroxysme de l’excitation et qu’un admirateur inspire confiance à ma compagne ; Indescriptible alchimie qui autorise toutes les audaces…

… / …

Ce jour là, nous sommes installés au pied de la dune, au bas de sa pente, dans un renfoncement qui nous masque les cotés de la plage, visibles seulement par ceux qui s’installeraient en face de nous.

Seul inconvénient : nous ne pouvons voir surgir d’éventuels promeneurs arrivant dans notre dos, mais est-ce vraiment un inconvénient ? Puisque nous nous confions au hasard.

Il est encore tôt, nous n’avons aperçu que sept ou huit estivants, dont deux couples plus âgés, aucun dans notre champ de vision, bien que de temps à autre quelqu’un marche le long de la mer, nous lançant parfois un coup d’œil.

Bénédicte est légèrement relevée, adossée à un monticule de sable que je viens de lui ériger en dossier, et derrière ses lunettes de soleil semble plongée dans un roman qu’elle tient devant son visage, mais dont les pages, curieusement, ne tournent pas vite, en tous cas pas aussi vite que lorsqu’elle lit à la maison.

Les jambes fléchies et légèrement ouvertes, les seins aux tétons durs et saillants un peu affaissés sur son buste, profitant de la caresse du soleil et de la vue sur l’immensité de l’océan, je la sais attentive aux moindres mouvements qui nous entourent, et sa jolie motte bombée ne cache ni l’entrebâillement de ses lèvres, ni l’humidité que le bout de mes doigts rencontrent à chaque effleurement.

Je suis moi-même assis en tailleur, à ses cotés, à la hauteur des ses hanches, ce qui me permet à la fois, en contemplant la mer, de visualiser notre environnement et de laisser glisser discrètement ma main sur elle.Dans notre dos, à une quinzaine de mètres, arrivant du sommet de la dune, je perçois une présence qui s’immobilise, debout, puis s’assied et bouge un peu, semblant s’installer.Rapide vision périphérique, pour ne pas effaroucher le personnage et faire comme si nous n’avions rien remarqué, et je constate qu’un garçon, à priori assez jeune, se tortille, assis sur sa serviette et se déshabille.Le cœur battant plus vite, je glisse furtivement la main entre les cuisses de ma compagne. Elle accueille mon geste rapide en ouvrant, puis refermant ses jambes ; Bien que brève, la manœuvre n’a pu échapper à notre nouvel admirateur, et m’a permis de sentir la nette érection du bouton d’amour de Bénédicte qui, fidèle à notre jeu, ne manifeste aucune autre réaction.


Ma position en tailleur ne peut pas dissimuler vraiment la légère érection qui me chatouille le sexe, et derrière les verres fumés, le coup d’œil de Bénédicte, accompagné d’un léger sourire, m’informe qu’elle l’a remarqué elle aussi.

Je pose négligemment la main sur la hanche de ma compagne, sagement, et nous laissons s’égrainer les minutes. Ces instants d’inaction sont sans doute les plus riches en émotions ; la perception d’une présence qui s’installe et semble vouloir rester, la montée lente de l’excitation, et de l’inéluctabilité de ce qui va suivre…

Mes doigts frémissent sur sa peau douce, glissent parfois jusqu’à sa motte renflée, s’assurent brièvement de l’humidité qui persiste entre les lèvres et de la bonne forme du clitoris dardé comme les tétons au milieu des aréoles sombres.

Nouveau mouvement dans notre dos ; Le garçon se lève, nous contourne en gardant timidement ses distances, courbé en avant, faisant mine de chercher des coquillages dans le sable. Nous pouvons enfin le distinguer ; plutôt beau gosse, brun, cheveux courts, intégralement bronzé, assez grand, environ vingt cinq – vingt huit ans, et arborant un évident début d’érection…

Un simple coup d’œil de Bénédicte – avantage de parfaitement connaître sa compagne - me dit que ce jeune homme est à son goût, qu’en tout cas il ne l’inquiète ni la rebute…

Il ne nous adresse pas un regard, et lentement, nous dépasse, se rapprochant du bord de mer, les yeux rivés au sol, ramassant de ci de là un coquillage, l’examinant, le rejetant ou le gardant dans sa main.

Je feins de ne pas le regarder, et Bénédicte est cachée derrière son livre, mais je distingue nettement le regard qui plonge épisodiquement entre les cuisses ouvertes, sur la fente offerte.

Mes pulsations cardiaques s’intensifient quelque peu.

A quelques mètres de nous, le garçon se fige brusquement et s’accroupit, nous présentant son dos, faisant mine d’examiner le sable. Visiblement un timide, et ce sont ceux qui nous excitent au plus haut point.

Jeu délicieux de feindre de ne pas s’être vus, tout en chacun d’un coté comme de l’autre que chacun sait que sa présence est remarquée…

D’une légère pression des doigts sur l’intérieur de la cuisse de Bénédicte, je l’incite à ouvrir un peu encore la fourche de ses jambes, et elle s’exécute sans manifester la moindre opposition.

Je m’appuie moi-même sur un coude et regarde ma compagne, sans perdre du coin des yeux le garçon.

Toujours accroupi, il risque un coup d’œil, et j’enregistre sur son visage la crispation d’étonnement et d’intérêt devant cette jolie chatte fendue qui s’est soudainement offerte plus encore à ses yeux.

Mon regard qui semble ne pas le voir l’encourage à profiter du spectacle qui lui est offert, et je devine ce qu’il contemple ; la vulve pratiquement imberbe, aux lèvres rondes et pleines, légèrement entrebâillées sur un sillon rose et luisant de foutre, et probablement le clitoris d’une extraordinaire vigueur qui pointe comme une petite bite.

Le regard de Bénédicte, glissant sous ses lunettes et le livre qu’elle tient devant son visage, m’informe qu’elle profite aussi du regard qui l’épie et la mate, puis se fixe dans le mien, et je peux y lire une magnifique émotion.

Je m’astreins toujours à ne pas regarder notre admirateur pour ne pas l’effrayer et lui laisser croire qu’il profite à notre insu de cette intimité, quand soudain je perçois l’écartement lent des genoux de Bénédicte, alors qu’elle murmure, le nez pincé, ses yeux brillants soudés aux miens ;

Là, c’est mieux… Tu crois qu’il voit bien… ?
Les tempes bourdonnantes, incapable de répondre, je me penche sur elle et dépose un baiser sur sa bouche, tandis qu’elle murmure encore ;

Je suis trempée… !
Sans un regard vers le garçon, je glisse très lentement la main le long de son ventre, puis à l’intérieur de sa cuisse, et remonte en effleurant du bout du doigt la fente et le clito ; Elle est effectivement ruisselante et accompagne mon geste d’un haussement du bassin et d’un gémissement de plaisir.

Notre voyeur semble statufié, puis hésite à se relever, et je comprends pourquoi ; En se redressant, il révèle une superbe érection impossible à dissimuler qui traduit bien l’intérêt qu’il porte à ce spectacle. Ce que me confirme aussitôt Bénédicte d’une crispation de sa main sur mon genoux

Hésitant, visiblement ému et crispé, le garçon cherche mon regard, mais volontairement je l’ignore. Il hésite un instant, puis s’éloigne vers le bord de mer, cherchant encore ses coquillages, avançant courbé pour masquer son érection.

Il a l’air timide, ce jeune homme… ! Souris-je à Bénédicte.
Il est plutôt beau gosse… ! Me répond-elle avec un sourire coquin.
Le garçon n’ose visiblement pas traverser la plage jusqu’au bord de l’eau, sans doute par crainte d’exposer son désir si évident qu’il tente de soutenir masquer de sa main, et entame chemin du retour. Il commence par un léger détour, puis sa trajectoire se rapproche de nous afin de regagner sa serviette, et je constate avec amusement qu’il la calcule en vue d’arriver face à Bénédicte pour pouvoir distinguer ce qui l’intéresse.

Ni elle ni moi ne lui accordons apparemment la moindre attention, ce qui semble l’encourager à se rapprocher nettement de l’axe de l’ouverture des jambes de ma compagne.

Mon cœur bat plus fort à chaque pas du garçon.

Il est maintenant à quelques mètres, face à nous, ne cherchant plus à cacher son sexe à demi raide, et tente une fois encore de sélectionner quelques coquillages, les yeux résolument braqués sur l’objet de sa convoitise dont la propriétaire ne lui dissimule rien…

Son regard croise enfin le mien qui ne peut plus feindre de l’ignorer, et il tente un sourire timide auquel, machiavéliquement, je réponds le plus sérieusement du monde par un simple hochement de tète, posant rapidement un doigt sur mes lèvres, sans chercher à dissimuler ma propre érection.

Il ne peut que comprendre mon geste qui signifie "vous pouvez regarder, mais soyez discret", et, les tempes bourdonnantes d’un délicieux plaisir, je me désintéresse de lui pour reporter mon attention sur le visage de Bénédicte.

Marchant comme un homme un peu ivre, curieusement précédé de son sexe tendu, le garçon regagne sa serviette, en passant très près de Bénédicte, et sans lâcher des yeux l’intimité qu’elle expose, tout en feignant de lire ce livre dont les pages ne tournent plus.

Dès qu’il a regagné sa place, je glisse rapidement la main sur sa jolie chatte, certain d’être bien vu, et plonge les doigts dans sa grotte brûlante et béante. Elle accueille mon geste en écartant franchement les jambes, soulevant sans équivoque son bassin, laissant tomber son livre sur ses seins, rejetant la tète en arrière.

J’ai durant un instant l’impression qu’elle va jouir sous ce simple toucher, et tout aussi soudainement, je retire ma main et me penche pour embrasser la pointe d’un sein, entendant murmurer à mon oreille ;

Ca te plaît de m’exciter et de me faire attendre… ?
Oui, beaucoup… Et toi… ? Lui demandais-je en souriant.
Moi aussi… Continue.. ! Confirme-t-elle en regardant mon sexe bandé.
La discrétion de ce garçon est exemplaire, peut être due à une grande timidité, mais en tout cas très excitante pour nous. Il me semble, d’après notre situation, être le seul témoin de notre jeu, à moins qu’il n’y ai dans les dunes d’autres présences que je n’ai pas remarquées…

Quoi qu’il en soit, tout en restant prudent, je suis bien décidé à le récompenser de sa discrétion, et je sais que Bénédicte attend, comme à l’habitude, que je mène le jeu, sans manifester ni impatience, ni réticence.

Je murmure, pour n’être entendu que d’elle ; " Sur le ventre ! ", et tandis qu’elle se retourne docilement, lançant un regard vers son admirateur, effaçant d’un revers du bras le monticule qui lui servait de dossier pour ne laisser qu’un oreiller qu’elle recouvre de sa serviette, je me redresse sur un coude et descends de quelques centimètres pour me positionner exactement à la hauteur de son bassin.

Elle a laissé son livre, retiré ses lunettes, et pose sa tête sur ses bras repliés, puis ferme les yeux comme si elle voulait maintenant offrir au soleil son dos et ses fesses.

Ses jolies fesses que j’ai sous les yeux et sur lesquelles je pose doucement la main, vérifiant que personne sur la plage ne nous observe.

Discrètement, je glisse les doigts le long du sillon, puis à l’intérieur de la cuisse, tandis qu’elle desserre les jambes pour faciliter ma caresse, et parviens à l’entrée de sa grotte brûlante et ruisselante.

Mon bras et ma main sont totalement immobiles. Seuls mes doigts s’agitent lentement à l’entrée du vagin qui déborde de foutre, tandis qu’elle ouvre très lentement le compas de ses jambes pour m’inciter à m’enfoncer plus avant dans sa vulve béante.

Ses reins s’animent sous mes yeux d’un imperceptible roulis, ses rondeurs se crispent et se relâchent, alors que me parvient un murmure rauque ;

Oh c’est bon.. J’aime ça… Continue… !
Le cœur battant, les tempes bourdonnantes, je me sens flotter dans l’air, et je fais un véritable effort pour me pas regarder le garçon, ne lui manifester aucun signe d’encouragement, mais je ne fais rien non plus ni pour lui cacher mon geste, ni pour dissimuler mon érection qui est au zénith, tout comme la sienne que je le vois du coin de l’œil calotter et décalotter dans un geste lent et régulier.

Le roulis des fesses de Bénédicte est lui aussi parfaitement significatif et gagne maintenant son dos jusqu’aux épaules.

Je sens son souffle s’accélérer lorsque j’investis plus profondément son vagin, et soudain, elle n’hésite pas à trahir son plaisir en creusant le ventre et tendant les fesses, ramenant ses cuisses à l’équerre, dans sa position favorite de " grenouille " , indiquant par-là à son admirateur le plaisir quelle prend à se faire branler par ma main, devant lui.

Je perçois le mouvement qu’il fait pour se redresser, ne perdant pas une miette du spectacle que nous lui offrons, attentif à la montée du plaisir de Bénédicte, qui, les yeux fermés, gémit maintenant sans discontinuer et de façon parfaitement audible pour son admirateur.

Mais visiblement, il n’ose pas bouger, ce que j’apprécie tout particulièrement. Au summum de l’excitation à l’idée qu’il soit bientôt témoin de l’orgasme que je sens monter dans les reins de Bénédicte, je souhaite malgré tout faire durer encore cet instant exceptionnel, et je ralentis mon geste pour la laisser s’apaiser.

Elle entrouvre les yeux et me regarde en souriant, les traits chavirés de désir et de plaisir, et murmure ;

Oh non, continue… ! J’allais jouir… !
Mais je voudrai que ça dure encore… ! Murmurais-je comme une prière.
Tu pourras faire durer tant que tu veux… ! Continue… ! M’implore-t-elle.
Elle n’accorde plus un regard au garçon, ce qui est plutôt inhabituel, et semble concentrée sur son plaisir.

Le cerveau vide, le sang battant aux tempes, au bord du plaisir, je ré investis la grotte brûlante.

Tout le corps de Bénédicte est repris de frisson et d’ondulement, et je me tourne sans équivoque vers notre voyeur, lui adressant un sourire que je tente de faire passer pour un signe de complicité.

Je le découvre plus retourné que je m’y attendais, comme halluciné, fébrile d’excitation, et j’articule doucement, pour qu’il m’entende : " Elle va jouir ".

Est-ce le son de ma voix qui déclenche l’orgasme de Bénédicte, mais elle se tend soudain, soulevant encore son cul, et laisse échapper une longue plainte, tourne son visage vers son admirateur, tandis que je sens ses muqueuses intimes palpiter autour de mes doigts et une décharge de liqueur d’amour m’inonder la main.

Hypnotisé, les yeux fous, le garçon s’astique, se cambre et décharge de longs jets de spermes dans le sable, et j’ai quant à moi un mal fou à retenir une éjaculation que je sens imminente.

A peine les tremblements provoqués par l’orgasme se sont ils apaisés que Bénédicte se retourne, s’allonge sur le dos, ouvre grand ses cuisses et m’intime, impatiente, la voix haletante et rauque :

Continue… ! Fais moi jouir encore.. !
Et au moment ou je m’apprête à réinvestir son coquillage béant, survient des dunes une troupe de baigneurs qui se rendent sur la plage.

Les maudissant, nous cachons nos états, moi sur le ventre, Bénédicte en refermant les jambes.

Heureusement, après nous avoir longés, ils s’éloignent vers la gauche et ont la bonne idée de ne pas s’arrêter avant d’avoir disparu de notre champ de vision.

Et notre sympathique voyeur, dont nous avons détourné quelques instants notre attention, en a profité lui aussi pour changer de place, et venir s’installer du coté de Bénédicte, à seulement quelques mètres de nous, à mi-pente de la dune qui nous abrite, nous surplombant ainsi.

Il m’adresse une demande muette, et je réponds d’un sourire et d’un hochement de tète, posant à nouveau un doigt sur mes lèvres pour lui signifier la discrétion. Il acquiesce fébrilement, les yeux brillants, le sexe toujours bandé, et s’assied, les yeux rivés à Bénédicte qui me fixe intensément.

Je me penche sur ma compagne et pose la main sur son ventre et les lèvres sur son sein. Sans hésitation, totalement soumise et en confiance, elle ouvre grand ses jambes en les laissant bien à plat sur le sol, appelant ma main sur sa chatte tuméfiée et toujours ruisselante.

Aussitôt mes doigts rejoignent son bouton d’amour tendu, décalotté, et son ventre est repris de roulis, tandis qu’elle pose les mains bien à plat sur ses seins et les presse.

Je me redresse de quelques centimètres pour la contempler, et mon regard embrasse du même coup le garçon cramoisi qui se branle à nouveau lentement.

Masturbant doucement son clitoris du bout du doigt, je la laisse flotter quelques minutes sur la crête du plaisir, à la limite de l’orgasme qu’elle sait longtemps contenir, perdant totalement les notions de temps et de situation tant l’excitation qui me transporte est violente.

Elle halète, le visage pincé, les yeux résolument clos et plissés, ondulant du bassin et se pressant les seins, puis soudain me dévisage, le regard noyé de brouillard, et gémit ;

Mets-moi un doigt… ! Fais moi jouir encore… !
Elle décolle les fesses de la serviette sous la poussée de mes doigts dans sa caverne. Je l’investis du plus profond que je peux, écrasant son clitoris contre ma paume, et la masturbe au rythme de ses halètements, attentif à son plaisir.

Je perds les notions de temps et de lieu. Je la sens au bord de l’orgasme. Mais elle lute pour ne pas se laisser emporter, surfe sur la crête du plaisir, les mains crispées sur ses seins, les fesses décollées de la serviette, le dos arqué, les yeux fermés.

Puis soudain elle ferme les jambes, enserrant ma main entre ses cuisses, ouvre les yeux et murmure ;



Doucement… ! C’est trop bon… ! Je veux que ça dure… !
Elle me fixe un instant, et la lubricité que je lis dans ses yeux me chavire, puis d’un mouvement de tète rapide, se tourne vers le voyeur qui, de saisissement, suspend son va et vient.

Fermant les yeux, elle ouvre à nouveau grand le compas de ses jambes et laisse mes doigts reprendre leur ballet. Je la sens si proche d’un nouvel orgasme, son geste prouvant à quel stade d’excitation elle est transportée, que j’interviens brutalement, comme nous aimons tant le faire quand le plaisir est à son paroxysme.

Je me penche à son oreille et murmure ;

Tu me rends fou… ! Je vais te gicler sur les seins… !
Tu aimerais qu’il s’approche pour mieux voir ce que tu me fais… ? Demande-t-elle dans un souffle, certaine de l’effet que ses mots ont sur moi.
Je suis dans un tel état que je m’adresse tout autant à elle qu’a notre voyeur que je veux faire maintenant plus activement participer à notre plaisir ;

Tu as vu comment il a fait cracher sa grosse queue en te regardant te faire branler… ?
Oh oui… ! Feule-t-elle, jetant un nouveau coup d’œil au garçon qui a repris sa masturbation.
Ca t’excite de te faire doigter devant un inconnu… Hein… ?
Oh oui, gros salaud, ça m’excite… ! Râle-t-elle, agitant frénétiquement les reins, se tournant enfin franchement vers son admirateur.
Puis au garçon qui semble totalement halluciné ;

Si vous avez envie de vous approcher pour la regarder de plus près… ! Elle adore voir un mec se branler et cracher son sperme en la regardant jouir… !
Je la sens parcourue d’un immense frisson sous la trivialité de mes propos, et elle geint sans presque articuler, les yeux toujours fixés sur le voyeur qui semble totalement halluciné ;

Oh tu m’excites… ! Je vais jouir… ! Continues, parles encore… !
Le garçon, après avoir jeté un coup d’œil inquiet vers la plage, se traîne à genoux jusqu’à la hauteur de Bénédicte qui vient de fermer les yeux.

Je m’entends parler sans reconnaître ma voix ;

Elle a la cramouille gluante de foutre… ! Et vu la façon dont elle bouge son cul, je crois qu’elle ne va pas tarder à prendre encore une fois son pied… !
Elle est belle… ! Annone le garçon la main crispée sur sa queue, se penchant pour reluquer le sexe que je baratte. Elle aime qu’on la regarde jouir… ?
Oh oui, elle aime ça… ! Et moi aussi… ! Quand elle a un doigt dans la chatte, elle devient une véritable salope… ! Et je crois que je vais même la baiser ici tellement elle me fait bander… !
Oui… ! Eructe Bénédicte. Baise-moi… !
Puis soudainement, à ma plus grande satisfaction, elle se tourne vers cet inconnu, avance la main et empaume le sexe tendu. Je suis si troublé que je stoppe un instant mon doigtage.

De l’autre main, elle saisit ma queue raide et murmure en me regardant ;

Continues… ! Fais moi jouir… !
Le garçon lui survole délicatement un sein et son autre main hésitante vient rejoindre la mienne entre les cuisses de Bénédicte, tente d’effleurer sa motte renflée et de toucher son clitoris.

Je dégage ma paume pour lui laisser accès au bouton tendu, enfonçant plus encore deux doigts joints dans son antre brûlant et le pouce à l’entre de son tunnel secret, tandis que de l’autre main, je malaxe un sein, murmurant ;

Une branlée à quatre mains, juste pour toi, ma petite salope… !
Oh oui… ! Hurle-t-elle presque, sans se soucier d’éventuels voisins. Oh je jouis… !
Elle soulève les fesses et s’arqueboutte, les mains crispées sur nos queues, et se met à délirer en nous masturbant frénétiquement ;

Maintenant… ! Oui, maintenant… ! Oh je jouis… ! Je jouis fort… ! Oh les salauds , c’est bon… !
Le garçon, hagard, lui pétrit le sein et astique vigoureusement le bouton tandis que je remue frénétiquement les doigts dans son ventre, presse sa rosette et l’accompagne dans son délire ;

Viens, ma petite salope… ! Viens, prends ton pied… ! Fais cracher nos bites… ! Fais nous gicler sur tes gros seins… ! On va t’en mettre partout… !
Oui… ! Oui… ! Hurle-t-elle presque en se tordant sous un orgasme qui me semble démesurément long, tandis que je perds pratiquement conscience en me vidant dans sa main.
Je distingue comme dans un rêve notre partenaire qui l’éclabousse lui aussi d’une nouvelle giclée de semence, presque à quatre pattes, penché sur elle.

Immobiles, nos mains toujours posées sur elle, nous laissons s’apaiser les battements de nos cœurs, envahis par cette gène diffuse qui accompagne le " retour au réel " après ces instants de folie.

Délicatement, avec un Kleenex, j’essuie sur son ventre et ses seins les traînées blanches de notre plaisir, sous les yeux du garçon qui ne sait visiblement quelle attitude adopter, assis en tailleur, visiblement sonné par son propre plaisir et les instants qu’il vient de vivre.

Bénédicte, immobile elle aussi, les yeux fermés, semble s’être endormie.

Je reprends lentement mes esprits et m’adresse au garçon ;

J’espère que nous ne vous avons pas choqué, mais c’était un de nos fantasmes… La faire jouir sur une plage, devant un inconnu… !
Oh non… ! C’était superbe… ! Murmure-t-il.
C’est pour ça que vous venez sur cette plage… ? Lui demandais-je encore.
Oui… ! Hésite-t-il. Mais c’est la première fois…
Il ne se passe donc jamais rien ici… ? Questionnais-je.
Si, bien sur… Mais généralement, on regarde de loin… ! J’ai vu de loin des couples se caresser, mais je n’avais jamais été si près… Ni participé, ni touché une femme… ! Murmure-t-il timidement, encore mal remis de ses émotions.
Puis s’adressant à Bénédicte qui vient d’ouvrir les yeux et le regarde en souriant ;

Merci… ! Vous êtes très belle… ! Vous m’avez fait un très beau cadeau… !
Vous venez souvent ici ? Lui demande-t-elle tout doucement, la voix encore un peu tremblante.
Oui… A chaque fois que je peux… Mais souvent je n’ose pas m’approcher… !
Sa douceur et sa simplicité me touchent autant qu’elles semblent émouvoir Bénédicte.

La situation est délicieusement surréaliste et excitante, et je n’ai aucune envie de rompre cet instant. Je demande alors au garçon ;

Ce que vous aimez, c’est regarder… ?
Oui… Hésite-t-il. Pouvoir regarder quand les gens savent que je les regarde… !
Vous aimeriez que je lui fasse l’amour devant vous… Que je la prenne… ? Lui proposais-je en reconnaissant à peine ma propre voix, tentant vainement de maîtriser les battements de mon cœur.
Oh oui… ! S’exclame-t-il avec une spontanéité désarmante.
Comment aimeriez vous que je la prenne… ?
Je ne sais pas… ! Murmure-t-il en tremblant.
Bénédicte n’a pas fait un mouvement, mais je la sens fascinée et aussi bouleversée que moi par nos propos. Nous jouons là un morceau qui compte parmi nos favoris ; celui des mots, des mots troublants et excitants, ceux qui créent un climat d’intense oppression et retardent un passage à l’acte inéluctable…

Je poursuis sur ma lancée, lutant pour maîtriser mes émotions ;

Vous aimeriez que je la prenne sur le dos… Ou bien à quatre pattes… ?
Comme ça… Sur le dos… ! Murmure le garçon en s’allongeant aux cotés de Bénédicte.
Ok ! Mais vous surveillez… Vous me prévenez si quelqu’un arrive…
Je bande à nouveau comme un âne, et notre ami affiche lui aussi une magnifique érection.

L’intensité du moment nous procure des ressources insoupçonnées…

Je jette un coup d’œil alentour, mais cela semble être notre jour de chance… Personne ne peut nous voir.

J’enjambe ma compagne qui ouvre les cuisses et m’offre son puits d’amour brûlant dans lequel je me glisse sans effort.

Je sens ses talons se joindre sur mes reins tandis qu’elle exhale un long soupir de satisfaction.

Presque immobile, je me laisse masser par les contractions de ses muscles intimes qu’elle domine parfaitement, régulant elle-même la montée de son plaisir, tandis que mes lèvres se soudent aux siennes.

Je me redresse pour la dominer et la contempler.

Allongé tout contre nous, appuyé sur un coude, le garçon fixe le visage de ma compagne concentrée sur son plaisir, les yeux fermés, le nez pincé.

Je me fais attentif au moindre frémissement qui la parcourt. Je veux lire et sentir chacune de ses sensations avant de la voir jouir à nouveau sous les yeux de cet inconnu.

Discipliné, notre admirateur jette de temps en temps un coup d’œil alentour.

Soudain, Bénédicte tend le bras, saisit la main du garçon, comme pour lui faire partager ce qu’elle ressent, l’unir à notre montée vers la délivrance.

Et je ne peux m’empêcher de reprendre notre jeu avec les mots ;

Tu es brûlante et je te sens bien… !
Moi aussi je te sens bien… ! Murmure-t-elle. C’est bon ce que tu me fais… !
Jetant un nouveau coup d’œil derrière lui, sans lâcher la main qu’il étreint, le garçon se glisse tout contre Bénédicte, colle son sexe contre sa hanche – et la mienne - et se frotte doucement. On dirait qu’il cherche à glisser sa queue entre nos deux ventres soudés.

Béné semble comprendre la demande, abandonne la main du garçon, glisse son bras le long de nos corps et empaume la tige raide, tandis que lui pose ses doigts sur le sein, le palpe, caresse et pince doucement le téton dur.

Oh oui… ! Gémit-elle. Oh je vais jouir encore… ! Pierre ne bouge plus… Laisses moi faire… !
Je me bloque au plus profond de son ventre, tentant de résister à l’extraordinaire massage que me procurent ses muscles intimes, suivant pas à pas la montée de l’orgasme qu’elle appelle et contrôle, fait durer en me broyant les hanches entre ses cuisses.

Je suis un instant partagé entre désir de trivialité et de douceur, et choisit de l’accompagner tendrement, m’adressant au garçon ;

Tu vois comme elle est belle quand elle jouit… !
Oh oui, elle est belle… ! Et elle a l’air d’aimer ça… ! Eructe-t-il, comme brutalement tiré de sa torpeur contemplative.
Oui, elle aime ça… ! Je te garantis qu’elle ne fait pas semblant… ! Si tu sentais comme elle m’écrase la queue avec les muscles de son vagin… ! M’entends-je dire, la voix rauque.
Elle a les seins et les tétons durs comme du béton… ! Ajoute-t-il. Elle va encore prendre son pied… ?
Oh oui, je vais jouir… ! Feule Bénédicte en s’arqueboutant sous moi, me fixant d’un regard halluciné.
Je pourrais la fourrer moi aussi… ? Halète notre ami qui semble avoir dépassé ses inhibitions, se penche sur Bénédicte et aspire entre ses lèvres le téton qu’il tète goulûment en malaxant le sein et en se contorsionnant, frottant sa queue contre nos hanches soudées.
Je ne réponds rien, dominant cette scène surréaliste, concentré sur l’orgasme qui ravage Bénédicte, du visage aux doigts de pieds, au plus profond de sa vulve distendue, et je chancelle sous une nouvelle éjaculation que je déverse en elle.

Un reste de conscience me fait rouler à son coté, et je reste longtemps assommé par ce plaisir brutal qui vient de m’arracher mes dernières forces. Je sens Bénédicte immobile.

Si notre complice n’a pas bougé, nous devons former de loin un groupe de trois estivants quelconques se dorant au soleil, mais je suis trop épuisé pour tenter d’ouvrir un œil et m’en assurer.

Il me semble que nous avons mis longtemps à récupérer nos forces.

Lorsque enfin j’ouvre un œil, ma jolie compagne, appuyée sur un coude, me regarde en souriant.

Eh bien, on dirait que mon petit homme est épuisé… ! Plaisante-t-elle.
Anéanti… ! Confirmais-je.
Petite nature ! Rit-elle. Puis plus doucement : C’était très bon, très fort… !
Je me soulève un peu pour découvrir le garçon béatement allongé sur le dos, à coté de Bénédicte. Il semble dormir, le sexe au repos.

Elle se lève, m’annonçant ;

Vous m’avez mis du sable partout… Je vais me rincer… !
Somptueuse dans sa nudité, son joli petit cul roulant à chaque pas, elle s’éloigne vers la mer, et entre sans hésiter dans l’eau. Je suis incapable de la suivre tant j’ai les jambes coupées.

Le garçon qui l’a suivi du regard me confirme, songeur ;

Elle est vraiment très belle… ! Vous avez beaucoup de chance… ! En plus, une femme qui accepte de faire ça sur une plage, devant quelqu’un, et qui se laisse toucher comme ça, c’est rare… !
Oui, j’ai de la chance !
Vous venez souvent ici ? Vous faites ça souvent ? Demande-t-il avec une pointe d’hésitation.
Rarement… ! Lui mens-je. Nous avions entendu parler de cette plage, mais nous ne sommes pas de la région… !
Alors j’ai peu de chance de vous revoir… ? Déplore-t-il.
En effet… ! Mais je crois que vous avez été gâté, aujourd’hui… !
Je ne suis pas prêt d’oublier… ! Confirme-t-il avec émotion.
Le silence s’installe, ainsi que le garçon que je ne chasse pas, et auquel j’offre une cigarette.

Bénédicte revient, ruisselante et souriante, naturelle, nous offrant l’autre coté de son anatomie, ses seins aux aréoles sombres qui bougent, son sexe lisse, bombé et si joliment fendu, surmonté d’un fin triangle brun. Et elle reprend sa place entre nous, demandant, faussement ingénue ;

Vous étiez en train de parler de quoi… ?
De toi… ! Réponds-je. Et de t’admirer… !
De vous rincer l’œil… ! Plaisante-t-elle. Vous n’en avez pas assez encore… ?
Tu ferais bander un mort… ! Lui assurais-je
Oh oui, c’est vrai… ! Confirme le garçon dont nous ne connaissons même pas le prénom, visiblement peu désireux de nous quitter.
Et comme sa présence ne semble par déranger Bénédicte, je ne brusque pas son départ, m’étonnant une fois encore du naturel avec lequel elle se comporte, après cette séance plutôt hors normes et torride, mais il est vrai que notre nouveau complice est charmant.

Il nous annonce tristement ;

Je vais vous laisser, maintenant. Cette plage n’aura plus aucun attrait pour moi … ! Je ne pense pas qu’il se reproduise un jour une rencontre si exceptionnelle, surtout si, comme m’a dit votre mari, vous n’êtes pas de la région… !
Hasard des rencontres… ! Philosophe Bénédicte. C’est ce qui fait leur charme… ! Mais ne me dites pas que vous n’avez pas une compagne ?
Oui, bien sur, Répond-il. Mais je ne l’emmènerais jamais ici… Elle n’aime pas… Et de toute façon, elle ne comprendrai pas… Moi j’ai besoin de voir… J’aime ça… Pas elle… ! Vous comprenez que je puisse aimer regarder ? Demande-t-il timidement.
Bien sur… ! Répond Bénédicte. Puisque nous, nous aimons être regardé… Il faut bien qu’il y ai des gens qui aiment voir… !
Je vais m’en aller et vous laisser… ! Répète tristement le garçon. Mais est ce que je peux vous demander une dernière chose… ?
Je vous écoute… Lui répond-elle prudemment.
Il hésite et rougit comme un collégien, et je m’en inquiète un peu, car je sais que c’est ce qui fait craquer Bébé chez un garçon de cet âge.

J’aurai beaucoup aimé aussi voir votre mari vous prendre…mais dans une voiture… A l’arrière…… à quatre pattes… !
Et puis quoi encore… ! S’écrie Bénédicte, faussement choquée, se redressant pour regarder son interlocuteur.
Mais avant, j’aimerai vous sucer… ! Si vous vouliez bien… !
Transporté et réveillé par le culot de ce garçon, je porte la main sur le sexe de ma compagne qui écarte une jambe comme si mon geste allait de soi, et glisse un doigt sur son abricot que je découvre baillant, humide, le clitoris légèrement dardé. Elle est donc bien excitée, comme je l’imaginais, par les propos de notre ami, et je me demande un instant si je ne vais pas donner satisfaction aux demandes si honnêtement exprimées… Au moins à la seconde…Mais décide lâchement de la laisser se débrouiller de la situation, tout en faisant monter la pression du bout du doigt.

Mon geste n’a pas échappé au jeune homme qui, les yeux fixés entre les cuisses de ma compagne, a semble-t-il perdu toute timidité, et je crois décerner une lueur d’espoir dans ses yeux.

Je vous trouve bien gourmand… ! Rit-elle, pas fâchée du tout. Vous avez eu le beurre, et même l’argent du beurre, et vous voulez la crémière en prime… !
Si j’ose pas, j’ai aucune chance… ! Répond-il avec un bon sens et un sourire désarmant.
Sa queue se gonfle à nouveau lentement sans qu’il fasse rien pour s’en cacher, et sous mon doigt, le bouton d’amour de ma compagne me donne la réponse qu’elle ne lui fait pas encore. D’une légère pression, je lui indique mon sentiment. Elle se raidit imperceptiblement et laisse échapper avec un soupir de résignation voulue ;


Si vous vous y mettez tous les deux… !
Nous sommes là typiquement dans ce jeu de situation insolite qui nous excite tant, et comme le garçon lui plaît plutôt, et qu’elle aime dans ces moments là devenir passive et soumise, je lui intime d’une pression du bras de venir se reposer sur mon torse, accentuant légèrement la pression de mon doigt sur son bouton d’amour.

Docile, elle se laisse aller sur moi, ouvrant dans son geste ses jambes face au garçon qui s’aplatit aussitôt dans le sable, plonge le visage vers cette chatte ruisselante et l’embouche.

Je la sens se tendre dans mes bras, son visage cherche le mien, sa bouche se soude à la mienne, tandis que le bras passé derrière nos tètes, elle étreint ma nuque.

Il la suce avec application, car elle se met à onduler sous la caresse. Son regard brûlant de fièvre va de mes yeux à la tète nichée entre ses cuisses, sur laquelle elle pose doucement une main, pour accompagner la caresse.

Longtemps, elle se laisse sucer en ondulant dans mes bras, gémissant doucement, puis soudain repousse le garçon, déclarant ;

C’est très bon, très doux… ! Mais je ne pourrai plus jouir comme ça… !
Il relève son visage barbouillé de foutre, dépose un baiser sur le ventre de son amante, s’assied entre ses jambes qu’elle ne peut refermer et sourit ;

Oui, je comprends… C’était merveilleux… Merci à tous les deux… ! Je voudrai vous laisser mon numéro de portable, si vous aviez envie de m’appeler quand vous reviendrez dans la région…
D’accord ! Confirme Bénédicte avec un délicieux sourire.
Vous accepteriez de faire l’amour devant moi dans votre voiture, un soir… ? Hésite-t-il encore.
Devant tant de candeur, je tranche ;

Ok, jeune homme, vous avez gagné… ! Je reviendrai la baiser devant vous dans la voiture… ! Et si vous avez encore assez de force après l’avoir vu jouir, je vous autoriserai à la baiser à votre tour devant moi… !
Et moi, j’ai mon mot à dire… ? Me demande-t-elle avec une pointe d’ironie.
Sans plus un mot, nous nous habillons, quittons notre complice avec un sourire et prenons le chemin des dunes. Après un long moment de marche silencieuse, désireux de maintenir la pression, je reprends ;

Tu serais prête à lui offrir ce petit plaisir dès ce soir ?
En auras-tu encore la force ? Me répond-elle, moqueuse.
Mais ce soir là, nous n’avons pu faire signe à notre partenaire de quelques instants.

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 24 juin 2 24 /06 /Juin 15:11
Tel un etalon s'apprettant à chevaucher une pouliche offerte à lui, j'avais le sexe tendu à son maximum.
Je regardais ses lèvres engloutir mon penis. Elle passait sa langue sur mes testicules, allant même jusqu'à effleurer mon anus.
Je la contemplais m'avaler jusqu'à la base. Elle se delectait du jus qui coulait de mon pieu. Je resistais du mieux que je pouvais mais devant tant de
frenesie je m'abandonnais à elle et lui offrait ma précieuse semence. Elle se jeta sur mon sexe et le nettoya minutieusement.
Puis d'un baiser langoureux, elle me le fis partager.
Par Franck - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 20 juin 5 20 /06 /Juin 15:58

L'histoire que je vais vous raconter m'est arrivé il y a plusieurs années. Mon copains de l'époque avait un fantasme. Voilà de quoi il s'agissait...

Il me dit un jour qu'il souhaitait faire un petit film porno dans lequel je jouerais. Un ami à lui jouerait le role de mon partenaire.

Bien evidemment je refusais tout net. L'idée qu'un autre homme puisse me toucher me repugnait.

Il insista, m'expliquant que je devais juste faire semblant et qu'il ne se passerait rien.

Je finis par accepter.

Le lendemain, la sonnette de l'entrée retenti. J'étais à moitié deshabillée. J'allais ouvrir. C'était bob un ami de mon copain.

J'étais génée qu'il me voye dans cette tenue. Lui au contraire prie le temps de me regarder. son oeil brillait.

Mon copain arriva avec une camera a la mains. Il nous invita à aller dans la chambre.

Il avait préparé un petit scénario.

Nous devions nous embrasser un peu. Puis Bob devait me deshabiller et me porter dans le lit.

Ca Tourne lanca il !

Bob m'attrappa et m'embrassa fougueusement.

Je me laissais faire.

Puis il me deshabilla comme s'était prévu. Il en profita pour me caresser les seins et il effleura mon sexe.

J'étais humide. J'espérait qu'il ne l'avait pas senti.

Ce n'était qu'un film ! J'avais honte d'etre autant exitée.

je commencais à regretter d'avoir accepter.

Une fois dans le lit, nous commencions à faire semblant de faire l'amour. Je sentais son sexe contre mon ventre.

Bob semblait prendre le rôle très à coeur.

C'est ce que je croyais jusqu'à ce que je sente son sexe me pénétrer. Sa verge était sensiblement plus grosse que celle de mon copain et il remplissait tout mon vagin.

J'allais protester quand il enfouit sa langue dans ma bouche...

Je ne savais trop quoi faire.

Il fit quelques aller retour pour voir ma réaction. Sa verge allait très profondement ce qui me procurait des sensations nouvelles.

Comme je ne protestais pas il augmenta la cadence.

J'étais tetanisé.

Bob était entrain de me baiser devant mon copain et je ne faisais rien pour l'en empecher.

Je sentais ma chatte mouillée comme jamais.

Son sexe allait et venait, me tirant un gemissement à chaque passage.

Ce n'était plus de la simulation.

Mon copain retira le drap tout en continuant à filmer. Il ne semblait pas surpris et encore moins faché. Je compris qu'ils avaient manigancé cela.

Je me détendis et commencait à trouver cela agréable.

Bob me pénétra profondement, envoyant de grands cooups de rein, puis me retourna et me sodomisa. Mon copain se rapprochait pour nous prendre en gros plan. J'adorais la sodomie. Sentir cette grosse queue prendre possession de mon si petit orifice...

Bob arreta un moment puis il me presenta sa queue. Je le sucais comme une on suce une glace. J'étais concentré et je ne vis pas que mon copain avait laissé sa camera sur un pied. Je sentis juste son sexe me penetrer pendant que je sucais Bob.

Après quelques minutes, Bob se lace derrière moi et il me sodomisa une fois de plus. J'avais maintenant deux queues au plus prrofond de moi. Les deux hommes me prenaient ensemble. Leurs couilles s'entrechoquaient. Leurs membres allaient et venaient sans cesse remplissant chacun de mes trous de plaisir. Je ne savais plus ce qui m'arrivait. J'avais perdu la tête et m'abandonnait à eux.

Ils resistèrent le plus longtemps possible. Aucun ne voulait ejaculer.

La scène dura un très long moment.

J'étais presque evanouie tellement je jouissais. C'est Bob qui explosa le premier. Il remplit mon anus de sa semance. Quelques instants plus tard ce fut au tour de mon copain d'éjaculer.

Jamais je n'oublierais ce moment de sexe intense. Je n'ai d'ailleurs jamais connu quelque chose de plus intense sexuellement et je garde précieusement la vidéo é portée de mains...

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 12:38

Je m'appelle Coralie, j'ai eut 18 ans le mois dernier, je suis pas très grande (1m72) et pèse 'que' 59kg. Je suis bisexuelle et je sors d'ailleurs avec ma copine depuis 1 an maintenant (ze t?aime fort ma puce). Je voulais vous raconter une histoire qui s?est passée il y?a 2 ans, qui, je le sais, va sûrement choquer quelques personnes ici… C?était donc l'été de mes 16 ans, je devais passée la journée chez une amie pour qui j?avais toujours eut de l?attirance, Cindy, une fille de presque 1 an plu jeune que moi. Je décidais donc de m?habillée assez… ? sexy ? pour pouvoir éventuellement la convaincre de ? changer de bord ? (j?étais loin de m?imaginée qui elle était réellement, vous aller le lire plus bas).

J ai donc mis une tite jupe noir légèrement et mon dos nu noir aussi, que je porte évidemment sans soutien gorge et qui met donc ma poitrine assez grosse pour mon age (90C à l?époque) (et avec mon ventre plat, ça la met encore plus en valeur). Mes petites chaussures noires a lanières grimpantes (jusque mi tibia). Je me rendis donc chez Cindy, évitant au maximum les gens dans la rue, car je sentais déjà les regards obscènes de pas mal de jeunes mecs de mon age. J?arrivais chez mon amie donc au bout de 20 minutes de marche, et je fut deja surprise (à ma grande joie) lorsqu?elle m?accueillis en serviette de bain, prétextant un manque de temps pour se préparer.
Elle avait un corps parfais, avec une poitrine assez importante comme la mienne, un ventre plat également et de plus elle était toute bronzée déjà grace à ses origines italiennes.
Elle me proposa de m?asseoire dans le canapé le tps qu?elle s?habillerais. J?accepta sans probleme, m?installant sur le sofa et j?alluma la télé pour patientée, et son chien , un trop beau labrador s?installa également à mes côtés. 15 minutes plus tard, elle revint habillée, superbe, avec un pantacourt taille basse , un debardeur blanc et des buffalo aux pieds. Je ne put me retenir de rougir, elle était trop belle (bien plus que moi ? ) . elle me proposa à boire, j?accepta volontiers car il faisait horriblement chaud. Elle s?assis près de moi, tout en me disant qu?elle venait d?oublier qu?elle devait laver son chien aujourd?hui car son odeur était accentuée par la chaleur. Je lui dis qu?il n?y avait pas de probleme si je pouvais l?aider, mais seulement apres avoir bu ce verre de jus d?orange car j?avais vraiment trop soif.
Une fois fini, elle appela krips (le chien) qui ne vint pas tout de suite, sachant très certainement qu?il allait avoir droit a un bon bain, ce que les chiens n?aiment pas trop en général. Après quelques rapports de force avec le labrador on finit quand meme par le mettre dans la baignoire. Je devait le tenir, pendant que Cindy, elle, faisais couler l?eau à la bonne température. Une fois la baignoire remplie, la séance de frottage et de lavage commença. C?est après quelques minutes de ce shampooing énergétique, que l?on vit toutes deux en meme temps, le sexe de Krips grossir énormément. On se regarda toutes les deux en rigolant. Cindy n?hésitait pas à passer sa main dessus pour bien le nettoyer aussi.C?était vraiment très gros, et le chien avait l?air d?apprécier beaucoup nos caresses. Une fois rincer, on l?essuya énergiquement et il courut aussitôt finir se sécher sur le canapé. Cindy nettoya la baignoire… penchée comme elle était , je pouvait voir ses superbes seins balotter dans son débardeur, et je ne me rendis meme pas compte que un de mes seins , lui , était sortit de mon dos-nu pendant que moi-même je m?étais penchée. Cindy me le fit alors remarqué, je rougis de honte, et à ma plu grande surprise, elle s?approcha de moi, me regarda dans les yeux et me dit :
? ce n?est pas grave, tu as une superbe poitrine ? et à ce moment-là, elle pris mon sein dans ses mains et me l?a remit en place. J?étais toute rouge, moi la fille qui d?habitude adore me faire plottée, je ne savais plu ou me mettre… elle me troubla, je ne la savais pas comme ca.
On regagna alors le salon après s?etre bien entendu lavées les mains.
La chaleur était étouffante dans le salon, alors elle prétexta cette chaleur pour otée son debardeur, laissant apparaître son soutien-gorge et ses magnifiques seins. Elle me dit alors :
? tu sais,tu peux faire pareil, ne te gene pas….
J?en crevait d?envie, mais pour faire ma tite fille toute sage je dis :
- oui mais moi je n?ai pas de soutif en dessous, je suis seins nus après
- mais pas de problème ma puce, attend on est entre nous, je sais ce que c?est une poitrine quand meme…
alors a mon plus grand étonnement, elle ota le noeud arriere de mon dos nu, et celui-ci tomba tout doucement le long de mon corps, laissant apparaître ma poitrine face à elle

- et bah !!! je ne regrette pas de t?avoir otée ton dos nu, tu es superbe ma puce.
- Merci c?est gentil, tu es superbe aussi… je pense que tu es au courant que je suis bi, et j?espere que ca te derange pas de me voir ainsi …
- Pas du tout me repondit-elle, moi aussi il faut que je t?avoue que j?ai une forte attirance pour les filles.
Alors, je ne pu m?empêchée de l?embrassée sur la bouche
Elle n?hésita pas à participée a ce baiser, et surtout a mettre sa main sur mon sein et commença à me plottée….je gémis tout doucement, c?était trop bon
Alors qu?on le croyais déjà en train de dormir, le labrador sauta sur le canapé près de nous, et on eut vite fait de voir que son sexe était toujours aussi gros que tout à l?heure, voir même encore plus. Cindy rigola et me dit :
- bah lui en tout cas il a la forme. Tu as vu son sexe… ??? c?est énorme ! tu crois que c?est comme celui d?un mec ?
- Je sais pas du tout… j?ai jamais goutée lui dis-je en rigolant
C?est alors qu?elle me dit :
- chiche ?
- chiche de quoi ?????
- bah de goutée !
JE fut énormément surprise de sa question. Il est vrai que pour ma part, même si je suis plus attirée par les filles en général, j?ai un péché-mignon avec les mecs, c?est la fellation, et surtout l?éjaculation. J?adore le sperme, en avoir partout, en avaler…
Je répondis :

- euh… bah… et toi ?
- bah je sais pas, répondit elle, si tu oses, j?oses aussi ; on pourrait déjà toucher son sexe pour voir non ?
J?hésita mais finie par acquiescée.
C?est alors qu?elle prit sa main et enroula le sexe de Krips, et commenca des va et viens, comme on fait pour masturber un homme.
Le chien qui était tout fou au début, eut vite fait de se calmer, savourant certainement cet instant
- waaaah il grossit encore, me dit-elle, vas-y, touche
alors je pris ma main et fit de meme qu?elle. En effet, c?etait gros et tres chaud.
- tu crois qu?il aime aussi la fellation un chien ?
Je fut super surprise de sa reponse…
- je sais pas, ca doit avoir un gout bizarre….
Sans hésitation, alors que j?avais encore la main sur le sexe de l?animal, elle approcha sa bouche de son sexe et y posa les lèvres. J?ota ma main illico, qu?elle remplaca sans attendre par sa bouche. Je voyais sa bouche remplie du sexe de Krips, je savais plus quoi faire.
Elle gémissais tout doucement , elle avait l?air d?aimée beaucoup
Elle ota sa bouche et me dit :
- HUMMMMM c?est super boooon. Ca n?a rien a voir avec les mecs. ohhhh essaye !!!
J?hésita longuement… puis, je donna mon accord, mais je preférais avant qu?on se mette par terre, car ce n?étais pas confortable sur le sofa et surtout pas pratique.
Elle descendit le labrador et je me mit à 4 pattes, la tête sous le chien, et apres quelques secondes encore d?hésitation, je finit enfin par faire glisser le sexe de l?animal dans ma bouche. Elle fut vite remplie, son sexe était très gros. Je commenca alors à le sucer, faisant des va et viens avec ma bouche. Cindy elle, se mis sous moi et me plotta fort tout en les léchant également.
C?était trop bon…. Comme une petite salope, je sucais le chien, et la vision de me voire ainsi offerte et soumise m?excitait d?avantage…
Elle me dit alors :
- Attend, ote toi, je vais essayée un truc
J'obeis. Elle allongea le Labrador par terre, le sexe tendu vers le haut…
- j'ai trop envie de me faire prendre dit-elle
Elle mis sa main a la bouche, lubrifia son sexe et s?empala presque d?un coup sur le chien. JE savais plus quoi dire ou faire… mais mon instinct lesbienne me fis aussitôt m?occupée de ses seins sublimes qui balottaient dans l?air. Elle faisait des mouvement de va et viens sur son sexe, engloutissant entièrement celui-ci.
Au bout de 5 minutes, elle se retira, se mis à 4 pattes. Le chien se redressa, se mis debout et d?un coup, s?étala sur Cindy, les pattes en avant, et la pris sans ménagement. Cindy hurlais de plaisir :
- oh ouiiiii c?est trop bon… waf waf je suis une chienne.. oh ouiiiii il me baise a fond
J?étais sur-excitée de la voir ainsi offerte. Je crevais d?envie d?essayée moi aussi.
- à moi, à moi lui dis-je.
Elle me regarda en souriant, je cru qu'elle ne voulait pas et préferais jouir de suite. Mais il n'en fut pas ainsi, elle repoussa le chien, et je me mit aussitôt à 4 pattes. Mon sexe dégoulinait de mouille, j'étais trop excitée ; le chien n'eut aucun mal a venir sur moi à mon tour et a me pénétrer d'un coup. Je hurlai de bonheur. Son sexe était dur et chaud, il n'arrétais pas de me sauter. Le chien continua de me faire jouir plusieurs minutes. Je voulut me relever mais il m'obligea à rester ainsi. Son sexe me faisait un bien fou. Cindy revint vers nous avec un godemichet. Je ne compris pas tout de suite ce qu'elle voulait faire. Elle l'enfonca dans le derrière du Labrador qui étonné me lacha enfin. Je epris mes instants quelques minutes puis je poursuivit ma fellation de notre ami à poils. Il semblait apprécier ce que Cindy lui faisait. D'ailleurs il ne resista pas plus longtemps à ce traitement de choc et il deversa un flot de sperme dans ma bouche. Cela reste une expérience inoubliable pour moi et chaque fois que je revois le chien, je repense à ce moment.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 13:41

Je conduis ma voiture sur un chemin de campagne pourri, que la pluie d’hier a rendu vraiment impossible à parcourir. En fait, c’est un raccourci pour arriver chez mon cousin Marc, qui vient d’acheter une ferme qu’il pense aménager et transformer en manoir touristique.

  Il fait déjà nuit et même si j’ai envie de revenir en arrière pour prendre la route, je ne tiens aucunement à parcourir de nouveau ce chemin en sens inverse. Donc, je continue en avant. Il fait froid et je mets le chauffage au max.

  Je mets la radio et monte les vitres pour réchauffer l’intérieur de ma voiture. Tout est tranquille pour l’instant. J’espère que la ferme de Marc n’est pas trop loin.

  Soudain, je vois une grosse voiture qui bloque le chemin. Je klaxonne mais le chauffeur ne descend pas. Bordel!

  Juste au moment où je vais ouvrir ma portière pour descendre, une jolie femme s’approche de ma vitre et me sourit.

  «Bonjour, je suis en panne, pouvez-vous m’aider?»

  Elle est très belle, et porte une robe d’été qui moule ses courbes à merveille. Je trouve qu’elle a froid et l’invite à monter dans ma voiture, car je ne m’y connais pas en bagnoles et réparer sa voiture aurait été impossible pour moi.
«Montez, je vais vous reconduire en ville!» Ça y est, je laisse tomber ma visite à la sacrée ferme de mon cousin. Je lui envoie un sms pour lui dire que je ne serais finalement pas au rendez-vous ce soir. 
 Je veux me concentrer sur cette nana très mignonne que le destin a bien voulu mettre (littéralement) sur mon chemin. Elle monte sur le siège avant et je réalise qu’elle est raidie de froid. 
 Elle sourit toujours et me pose des questions tout le temps. J’ai l’impression qu’elle est nerveuse et que cela la pousse à parler sans cesse. Je ne peux m’empêcher de rire aux éclats…
«Qu’avez-vous?» me demande-t-elle d’un ton coquin.
«Rien, ça va mieux maintenant?» et, sans le vouloir, j’appuie ma main droite sur ses genoux pour la réconforter. À ma grande surprise elle rougit et, loin de s’inhiber, continue à rigoler.
Ah j’aimerais bien que cette autostoppeuse soit folle de bite et me suce dans la voiture! On pourrait pas mal s’éclater, en plein milieu de la campagne, sans que personne ne nous dérange.
Le feeling entre nous est évident et, à un moment donné, j’arrête ma voiture et la prends par la main. Je me dis que c’est maintenant ou jamais et, sans crier gare, je l’embrasse sur les lèvres, d’abord très doucement.
Louane (car elle s’appelle comme ça) est très chaude et, au fur et à mesure que je l’embrasse, elle gémit et me prie de ne pas lâcher prise.
Tout à coup, ses mains palpent mon entrejambe et sortent mon pénis, qu’elle se met à sucer avec une voracité inouïe, comme pour me remercier de l’avoir aidé. Finalement, cette autostoppeuse était folle de bite, comme je l’avais bien imaginé.
Pendant qu’elle astique mon dard avec des va-et-vient très vigoureux, je retrousse sa robe pour masser sa chatte, toute épilée, qui dégouline de mouille.
J’enfile trois doigts dans sa foune d’un seul coup, et la coquine laisse échapper un petit cri de plaisir, qui m’encourage à la doigter bien à fond.
«Ouiiii, ahhhhh, c’est si bon!» Louane écarte ses jambes pour faciliter les choses et je fais de mon mieux pour combler son sexe en feu, qu’elle a si généreusement mis à ma disposition.
Ensuite, ma belle autostoppeuse folle de bite, me prie de rester un moment sans bouger. Elle enlève sa robe et s’assied sur moi, en sorte que ma verge, raide comme un pieu, glisse bien au fond de sa foufoune, ce qu’elle approuve avec des gémissements incroyables.

  Je me laisse faire et cette magnifique brune se tord de plaisir, au milieu de mouvements de plus en plus saccadés. Elle se lève jusqu’au plafond de la voiture pour retomber après, et s’enfourcher elle-même, sur mon sexe.
La tension sexuelle entre nous est vraiment insupportable et je prie cette autostoppeuse folle de bite de me sucer encore une fois, pour me faire jouir. Sans rien dire, elle hoche de la tête, comme en disant : «j’aime bien ça» et, sans plus de manières, se met de nouveau à la besogne.
«Ahhhhhh» je suis au comble de l’extase et, en fermant les yeux j’atteins un orgasme bruyant qui me secoue très violemment. En rouvrant les yeux, je vois Louane, la gueule pleine de foutre, qui me sourit très lascivement.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 23 mai 5 23 /05 /Mai 13:32

Par une belle journée de début de printemps, je me rendais chez mon ami Paolo qui habitait dans le quartier espagnol de Genève pour travailler sur un projet pour l’école. Tout en humant l’odeur du jasmin, je me frayais un chemin dans ces rues étroites. J’étais déjà venu quelques fois ; Paolo vivait dans un de ces vieux immeubles avec une lourde porte en fonte rouillée. Regardant les noms sur l’interphone nouvellement installé, je jetai un timide coup d’œil sur le nom des gens qui vivaient dans l’appartement d’à côté au sixième étage ; c’était la demeure de Melissa, une véritable bombe latine… Elle fréquentait le même établissement scolaire que nous mais je ne lui avais jamais parlé, je me contentais de la regarder passer ; ses longues jambes descendant de sa jupe et son cul qui se déplaçait au rythme de sa démarche chaloupée me rendaient fou, il arrivait que je doive aller me passer la tête sous le robinet d’eau froide avant de pouvoir suivre mes cours de manière convenable. En outre parfois je l’entendais quand elle délirait avec ses copines ; elle avait un rire clair et sonore presque indécent qui montrait qu’elle adorait exprimer ses émotions.. .Quand j’ai appris qu’elle vivait la porte en face de chez Paolo j’ai halluciné, il ne m’en avait jamais parlé le con. En plus il se la jouait genre «ouais je la connais, et alors ? » style il s’en foutait complètement. Pas possible, à mon avis c’est parce qu’il n’était arrivé à rien avec elle qu’il faisait le gars détaché, ou alors il devait être homosexuel…

Nous travaillâmes toute l’après midi sur cette recherche de mathématiques complètement inutile imposée par notre professeur M. Fleuri qui en tant que rare survivant de l’époque disco (sa coupe façon Jackson five était quand même bien dégarnie depuis le temps) enseignait d’une manière des plus funky. J’avais énormément de mal à me concentrer en pensant que derrière le mur de la cuisine se trouvait la plus chaude des filles de l’école qui à l’instant même était peut être nue et s’en allait prendre une douche… Heureusement Paolo était un grand travailleur et pour ma part j’avais parfois des éclairs d’intelligence, nous parvînmes finalement à terminer le rapport avant la nuit. J’aurais aimé aller boire un verre en ville pour fêter ça mais il prétextait avoir d’autres travaux à terminer. Je lui dis qu’il finirait par se tuer à être aussi appliqué pour des choses qui n’en valaient pas tant la peine que ça mais devant sa volonté je finis par lâcher prise, dommage mais je trouverais bien quelqu’un d’autre pour m’accompagner.

-Tu n’as qu’à y aller avec Melissa ! Me dit-il pour me narguer. Peut-être que tu vas la croiser en descendant !

-Ferme-là ! Lui dis-je énervé, tout en espérant qu’il ait raison.

Je quittai donc mon ami, il ferma la porte et je me retournai pour soudain me noyer dans un regard bleu comme l’océan ; Melissa venait juste de sortir de chez elle.

-Euuuuuuhh…. salut….

Je fus tellement surpris que je dus vraiment avoir l’air du dernier des imbéciles, immobile, la langue pendante.

A ma surprise elle me fit un grand sourire qui illumina son visage légèrement bronzé, ses cheveux fins aux reflets d’or flottaient au dessus de son décolleté plongeant.

-Salut Juan !

Mon Dieu, elle connaissait mon nom ! Je fus parcouru d’un frisson, mon cœur battait la chamade. Assez maladroitement j’ouvris la grille de l’ascenseur et les vieilles portes en bois pour la laisser passer.

-Merci !

Elle passa devant moi d’une manière des plus indécentes. Les effluves de son parfum vinrent me chatouiller les narines.

Dans l’ascenseur j’étais tellement tendu que je n’osais plus respirer. Je sentais l’érection me gagner je tentais de lutter contre en pensant à autre chose mais impossible, la sexualité qui émanait d’elle était impossible à masquer. Je ne respirais plus et forcement mon cœur finit par s’arrêter.

-Oh non, qu’est ce qui se passe ?

Là je me rendis compte que c’est l’ascenseur en fait qui venait de se bloquer brusquement. Seul la lumière du jour filtrait en haut par la seule vitre de la cabine.

-Ça doit être une panne de courant ! Dis-je et étrangement je me sentais moins tendu, quelque part en la voyant paniquer pour si peu je sentais que je reprenais le contrôle de la situation.

Mais ça ne dura pas longtemps, appuyant sur le bouton d’alarme je me dis que j’étais le plus grand abruti de la terre de ne pas avoir attendu un peu. Je me sentis encore plus bête en me rendant compte que ledit bouton ne fonctionnait évidemment pas.

-Qu’est-ce qu’on fait ? Me demanda-t-elle d’un air désespéré.

Mais je me rendis compte que cette détresse était feinte. Elle était devant moi, regardant la porte, faisant mine de vouloir que je la rassure. Sans trop réfléchir je m’approchais de son dos et lui enserrait la taille d’une main. Je me dis que quand ma seconde main qui s’approchait maintenant de sa cuisse la frôlerait elle se déciderait à me donner enfin la gifle que je méritais, tel ne fut pas le cas. Mes doigts remontèrent lentement le long de sa peau jusqu’à soulever sa jupe et quand ils entrèrent en contact avec le bord de sa petite culotte, elle prit une grande respiration involontaire tout en offrant son cou à mes lèvres. Tout en la léchant je passait délicatement la tranche de ma main entre ses cuisses, je sentais son string de coton rose s’humecter peu à peu. Mon excitation depuis que j’avais croisé son regard était trop forte et ne me demandant plus comment un tel miracle était en train de m’arriver je la mordis tout en lui empoignant la fesse. Elle se retourna et, s’appuyant contre la paroi, Melissa me tira vers elle pour m’embrasser sauvagement. Elle me caressa le sexe à travers le pantalon qui à force devenait vraiment trop étroit. Je descendis à nouveau vers son cou pour gentiment continuer vers on décolleté. Elle ne semblait pas avoir de soutien gorge, j’eus confirmation en lui enlevant son haut léger de soie, libérant ses seins généreux. Surexcité je les goûtai, les léchai d’abord pour me mettre à les manger littéralement, m’aidant de mes mains, je m’immergeais entre eux et j’aurai pu m’y blottir ainsi longtemps si le désir ne me pressait vers d’autres horizons. Je les léchai entièrement pour converger vers les tétons, tournant autour et les mordillant. Elle respirait très fortement et quand je lui enlevai sa petite culotte avec mes dents pour aborder son intimité elle se mit à gémir sans aucun complexe vis à vis des gens qui auraient pu se trouver dans l’allée. M’amusant de ma langue avec son clitoris je caressai ses lèvres gonflées du bout des doigts y pénétrant petit à petit. Elle avait remonté une jambe et passait ses ongles dans mes cheveux tout en levant la tête au ciel. Elle criait presque maintenant que mes doigts avaient pénétré son vagin. Avec ma langue je me mis à l’explorer de façon rythmée, descendant et remontant, faisant des détours sur ses cuisses ou ses fesses. Elle commençait à trembler, à ne plus contrôler son plaisir. Elle me repoussa alors contre l’autre mur et tout en m’immobilisant descendit vers ma ceinture. Le courant n’était toujours pas revenu, je nageais en plein rêve. A genoux devant moi elle ouvrit mon pantalon et en tira mon sexe tendu, commença à le branler. Elle me donnait juste quelques coups de langues pour me faire languir et quand je cru devenir fou elle se décida à me prendre dans sa bouche chaude et humide, goulûment, et à me sucer entre ses lèvres pulpeuses. Je passai ma main dans ses longs cheveux électriques, l’accompagnant dans ses allées et venues tandis qu’elle me pompait ardemment. Ce fût vraiment trop bon et arrivant au stade où je risquais de craquer prématurément si je la laissais faire encore je la tirai à mon tour vers moi et la retournai contre la paroi. Elle inclina sa croupe chaude, j’y laissai filer mes doigts un instant avant de remonter sa jupe et ne pouvant guère plus patienter je la pénétrai sans mal jusqu’au fond de son vagin accueillant. Je sentis un soulagement qui repoussa la sensation que j’avais depuis le début à savoir une explosion imminente pour maintenant goûter au plaisir ultime d’aller et venir à l’intérieur de Melissa et de transformer mon désir en son plaisir. J’agrippais ses seins et me mis à la baiser avec ardeur, rebondissant gaiement sur ses fesses fermes. La cage en bois grinçait, tanguait, je crus vaguement percevoir des voix de personnes extérieures mais je n’entendis très vite autre chose que la coquine en transe dont la cyprine me coulait le long des cuisses. Ses cris me plongeaient dans une profonde extase, nous montions tous deux vers les sommets de l’orgasme. J’embrassait tantôt sa nuque, tantôt sa bouche quand elle se tournait et me regardait de ses yeux de chienne possédée par le plaisir. J’observai la cambrure de son dos jusqu’aux fesses qu’elle m’avait confiées, je n’aurais jamais pensé qu’elle pu désirer ainsi mes caresses et jouir à ce point de mon corps. Au sommet de mon exaltation je finis par jouir moi-même, par remplir cette fille et son corps parfait de tout le désir qu’elle m’avait fait monter ; perdant le contrôle un instant je poussais un cri rauque que j’eus moi-même du mal à percevoir entre les gémissements de Melissa…

Sans crier gare l’ascenseur se remit en marche et fit céder mes jambes chancelantes ; je tombais et emportait la coquine avec moi. Alors que nous tremblions encore sous l’effet de l’orgasme nous fûmes forcés de nous réveiller comme sous l’effet d’une douche froide ; jamais je ne me rhabillai aussi vite. Heureusement ces vieux ascenseurs étaient très lents et nous fûmes presque présentables quand nous atteignîmes le rez de chaussé. Dans un état d’euphorie nous saluâmes une vieille qui venait d’entrer dans l’allée et qui heureusement n’avait donc rien entendu avant de sortir précipitamment. Nous nous dîmes au revoir de manière distraite tout en s’éloignant rapidement avant d’être découverts. Pour moi cela ne posait pas tant de problèmes mais elle vivait quand même là.

Je restai dans cet état de béatitude tout la journée et les jours qui suivirent. C’était le week-end passé. J’ai hâte de la revoir ; je me demande quelle sera sa réaction. Je vous tiendrai au courant.


Un récit tiré du site http://www.recit-erotique.fr/

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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