Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 13:41

Je conduis ma voiture sur un chemin de campagne pourri, que la pluie d’hier a rendu vraiment impossible à parcourir. En fait, c’est un raccourci pour arriver chez mon cousin Marc, qui vient d’acheter une ferme qu’il pense aménager et transformer en manoir touristique.

  Il fait déjà nuit et même si j’ai envie de revenir en arrière pour prendre la route, je ne tiens aucunement à parcourir de nouveau ce chemin en sens inverse. Donc, je continue en avant. Il fait froid et je mets le chauffage au max.

  Je mets la radio et monte les vitres pour réchauffer l’intérieur de ma voiture. Tout est tranquille pour l’instant. J’espère que la ferme de Marc n’est pas trop loin.

  Soudain, je vois une grosse voiture qui bloque le chemin. Je klaxonne mais le chauffeur ne descend pas. Bordel!

  Juste au moment où je vais ouvrir ma portière pour descendre, une jolie femme s’approche de ma vitre et me sourit.

  «Bonjour, je suis en panne, pouvez-vous m’aider?»

  Elle est très belle, et porte une robe d’été qui moule ses courbes à merveille. Je trouve qu’elle a froid et l’invite à monter dans ma voiture, car je ne m’y connais pas en bagnoles et réparer sa voiture aurait été impossible pour moi.
«Montez, je vais vous reconduire en ville!» Ça y est, je laisse tomber ma visite à la sacrée ferme de mon cousin. Je lui envoie un sms pour lui dire que je ne serais finalement pas au rendez-vous ce soir. 
 Je veux me concentrer sur cette nana très mignonne que le destin a bien voulu mettre (littéralement) sur mon chemin. Elle monte sur le siège avant et je réalise qu’elle est raidie de froid. 
 Elle sourit toujours et me pose des questions tout le temps. J’ai l’impression qu’elle est nerveuse et que cela la pousse à parler sans cesse. Je ne peux m’empêcher de rire aux éclats…
«Qu’avez-vous?» me demande-t-elle d’un ton coquin.
«Rien, ça va mieux maintenant?» et, sans le vouloir, j’appuie ma main droite sur ses genoux pour la réconforter. À ma grande surprise elle rougit et, loin de s’inhiber, continue à rigoler.
Ah j’aimerais bien que cette autostoppeuse soit folle de bite et me suce dans la voiture! On pourrait pas mal s’éclater, en plein milieu de la campagne, sans que personne ne nous dérange.
Le feeling entre nous est évident et, à un moment donné, j’arrête ma voiture et la prends par la main. Je me dis que c’est maintenant ou jamais et, sans crier gare, je l’embrasse sur les lèvres, d’abord très doucement.
Louane (car elle s’appelle comme ça) est très chaude et, au fur et à mesure que je l’embrasse, elle gémit et me prie de ne pas lâcher prise.
Tout à coup, ses mains palpent mon entrejambe et sortent mon pénis, qu’elle se met à sucer avec une voracité inouïe, comme pour me remercier de l’avoir aidé. Finalement, cette autostoppeuse était folle de bite, comme je l’avais bien imaginé.
Pendant qu’elle astique mon dard avec des va-et-vient très vigoureux, je retrousse sa robe pour masser sa chatte, toute épilée, qui dégouline de mouille.
J’enfile trois doigts dans sa foune d’un seul coup, et la coquine laisse échapper un petit cri de plaisir, qui m’encourage à la doigter bien à fond.
«Ouiiii, ahhhhh, c’est si bon!» Louane écarte ses jambes pour faciliter les choses et je fais de mon mieux pour combler son sexe en feu, qu’elle a si généreusement mis à ma disposition.
Ensuite, ma belle autostoppeuse folle de bite, me prie de rester un moment sans bouger. Elle enlève sa robe et s’assied sur moi, en sorte que ma verge, raide comme un pieu, glisse bien au fond de sa foufoune, ce qu’elle approuve avec des gémissements incroyables.

  Je me laisse faire et cette magnifique brune se tord de plaisir, au milieu de mouvements de plus en plus saccadés. Elle se lève jusqu’au plafond de la voiture pour retomber après, et s’enfourcher elle-même, sur mon sexe.
La tension sexuelle entre nous est vraiment insupportable et je prie cette autostoppeuse folle de bite de me sucer encore une fois, pour me faire jouir. Sans rien dire, elle hoche de la tête, comme en disant : «j’aime bien ça» et, sans plus de manières, se met de nouveau à la besogne.
«Ahhhhhh» je suis au comble de l’extase et, en fermant les yeux j’atteins un orgasme bruyant qui me secoue très violemment. En rouvrant les yeux, je vois Louane, la gueule pleine de foutre, qui me sourit très lascivement.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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