Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 12:48

A quelques kilomètres de ma maison de bord de mer, dans l’Ouest, nous avons découvert à l’occasion d’une longue ballade une superbe petite plage de naturisme - ou plutôt d’exhibitionnisme, puisque la réelle majorité des occupants sont des hommes seuls qui se tiennent sur les hauteurs ou sur la plage, et des couples qui parfois se laissent aller à des caresses généralement réservées à l’intimité…

Isolée par une bonne vingtaine de minutes de marche à travers les dunes, on distingue d’abord au pied d’une élévation plus importante quelques silhouettes à demi cachées dans les genets et les herbes sauvages : presque exclusivement des hommes seuls ! Cela indique que l’on approche du but, et effectivement, une fois franchie cette dernière dune, on découvre un havre de paix planté de pins maritimes aux formes étonnantes. La plage d’environ deux cent mètres de large est cernée de rochers qui s’avancent dans l’eau. Une véritable crique isolée du monde, et il est aisé de comprendre le choix de ce lieu par des gens qui souhaitent vivre dans la tranquillité leur état de nudité… et certains fantasmes…


Bénédicte et moi, adeptes de l’exhibitionnisme et de sensations hors du commun, avons depuis longtemps vérifié que dans leur grande majorité, les voyeurs sont des gens souvent timides et discrets, et même ceux qui parfois osent se rapprocher ou carrément nous aborder, n’ont jamais fait preuve d’agressivité ; Je suis de toute façon en état de me défendre et de protéger ma compagne.

Quant à Bénédicte, je ne vous la présente plus, précisant seulement que "l’air de la mer conjugué au soleil" a sur elle un effet largement similaire à celui du champagne…

Lors de l’une de nos premières visites dans ce lieu paradisiaque, et dans le but de réaliser un de nos fantasmes toujours actifs et à chaque fois comme neuf - Faire discrètement jouir Bénédicte sur une plage en nous sachant observés, et voir un homme se masturber pour elle. Nous y avons fait une extraordinaire rencontre, celle d’un homme charmant avec lequel nous avons vécu une aventure époustouflante et torride que je vous ai déjà raconté.

Et qu’on ne me dise pas qu’un fantasme réalisé est un fantasme mort, car pour nous, chaque situation est unique, comme première, et rien dans son déroulement n’est prémédité ou planifié ; Seule l’intensité du moment me dicte une conduite à laquelle Bénédicte aime se soumettre…

Assez régulièrement, nous nous rendons dans ce petit coin d’Eden, et nous avons constaté que le moment le plus agréable et propice à nos libertinages était le matin ; très peu d’estivants, mais déjà des " voyeurs ", certainement les plus ‘motivés’, ainsi qu’après dix huit heures et le départ du plus grand nombre, alors que l’après-midi, on voit souvent des familles avec enfants, et en tous cas plus de vacanciers, donc moins d’intimité…


Le jeu consiste pour nous à ne pas nous soucier des autres estivants, à choisir un endroit désert – aux autres de s’approcher s’il le souhaitent - comme un renfoncement entre deux dunes, pour nous ménager un minimum d’intimité, propre à laisser Bénédicte s’effeuiller tout naturellement, se débarrasser de dessous fins et très féminins, parfois gardant au début un string n’ayant rien d’un maillot de bain, arachnéen et transparent, ce qui ajoute à l’insolite de la situation et a entretenir notre désir d’abord par de discrètes et furtives caresses, mais en restant malgré tout très sages, laissant intervenir le hasard.


Très rapidement nous constatons quelques mouvements furtifs dans notre dos, parmi la végétation des dunes qui nous surplombent, des passages plus audacieux devant nous, le long du bord de mer, avec des regards qui se tournent vers les jambes fléchies et légèrement ouvertes de Bénédicte allongée sur le dos, puis enfin des allées et venues plus rapprochées à la vue de cette jolie chatte presque totalement épilée qui offre son mont de vénus proéminent et joliment ourlé de lèvres qui, de par la situation, sont déjà gonflées et entrebâillées, quand elles ne sont pas luisantes de la mouille de leur jolie propriétaire.

Bénédicte, les yeux à demi fermés ou masqués par ses lunettes de soleil, n’en savoure pas moins ces regards qu’elle sent sur elle, qui s’additionnent à la caresse du soleil, ma présence à ses cotés et les rapides effleurements de ma main sur ses seins et sa chatte.

Mais assez éclectique dans le choix de nos ‘admirateurs’, nous ne faisons rien pour encourager ceux que nous ne ‘sentons’ pas et nos visites se bornent la plupart du temps à ces caresses prodiguées à l’attention de voyeurs qui se branlent plus ou moins ostensiblement, à un discret orgasme de Bénédicte sous mes doigts, ou une masturbation qu’elle me procure.

Selon son humeur, elle guette discrètement ou encourage ouvertement du regard la masturbation et le jet de sperme dans le sable qui régulièrement accompagne son propre orgasme et salue sa beauté. Une seule fois, en présence d’un voyeur doublement satisfait, nous avons assisté aux ébats discrets d’un autre couple, tandis que je caressais Bénédicte, mais sans donner de suite ni aux uns ni à l’autre. Le pauvre garçon ne savait visiblement plus ou donner de la tète, alors que la présence de chaque couple stimulait l’autre… Et parfois, rarement il est vrai, nos "visites " sont couronnées d’aventures hors du commun, pour peu que l’environnement s’y prête, que Béné et moi soyons au paroxysme de l’excitation et qu’un admirateur inspire confiance à ma compagne ; Indescriptible alchimie qui autorise toutes les audaces…

… / …

Ce jour là, nous sommes installés au pied de la dune, au bas de sa pente, dans un renfoncement qui nous masque les cotés de la plage, visibles seulement par ceux qui s’installeraient en face de nous.

Seul inconvénient : nous ne pouvons voir surgir d’éventuels promeneurs arrivant dans notre dos, mais est-ce vraiment un inconvénient ? Puisque nous nous confions au hasard.

Il est encore tôt, nous n’avons aperçu que sept ou huit estivants, dont deux couples plus âgés, aucun dans notre champ de vision, bien que de temps à autre quelqu’un marche le long de la mer, nous lançant parfois un coup d’œil.

Bénédicte est légèrement relevée, adossée à un monticule de sable que je viens de lui ériger en dossier, et derrière ses lunettes de soleil semble plongée dans un roman qu’elle tient devant son visage, mais dont les pages, curieusement, ne tournent pas vite, en tous cas pas aussi vite que lorsqu’elle lit à la maison.

Les jambes fléchies et légèrement ouvertes, les seins aux tétons durs et saillants un peu affaissés sur son buste, profitant de la caresse du soleil et de la vue sur l’immensité de l’océan, je la sais attentive aux moindres mouvements qui nous entourent, et sa jolie motte bombée ne cache ni l’entrebâillement de ses lèvres, ni l’humidité que le bout de mes doigts rencontrent à chaque effleurement.

Je suis moi-même assis en tailleur, à ses cotés, à la hauteur des ses hanches, ce qui me permet à la fois, en contemplant la mer, de visualiser notre environnement et de laisser glisser discrètement ma main sur elle.Dans notre dos, à une quinzaine de mètres, arrivant du sommet de la dune, je perçois une présence qui s’immobilise, debout, puis s’assied et bouge un peu, semblant s’installer.Rapide vision périphérique, pour ne pas effaroucher le personnage et faire comme si nous n’avions rien remarqué, et je constate qu’un garçon, à priori assez jeune, se tortille, assis sur sa serviette et se déshabille.Le cœur battant plus vite, je glisse furtivement la main entre les cuisses de ma compagne. Elle accueille mon geste rapide en ouvrant, puis refermant ses jambes ; Bien que brève, la manœuvre n’a pu échapper à notre nouvel admirateur, et m’a permis de sentir la nette érection du bouton d’amour de Bénédicte qui, fidèle à notre jeu, ne manifeste aucune autre réaction.


Ma position en tailleur ne peut pas dissimuler vraiment la légère érection qui me chatouille le sexe, et derrière les verres fumés, le coup d’œil de Bénédicte, accompagné d’un léger sourire, m’informe qu’elle l’a remarqué elle aussi.

Je pose négligemment la main sur la hanche de ma compagne, sagement, et nous laissons s’égrainer les minutes. Ces instants d’inaction sont sans doute les plus riches en émotions ; la perception d’une présence qui s’installe et semble vouloir rester, la montée lente de l’excitation, et de l’inéluctabilité de ce qui va suivre…

Mes doigts frémissent sur sa peau douce, glissent parfois jusqu’à sa motte renflée, s’assurent brièvement de l’humidité qui persiste entre les lèvres et de la bonne forme du clitoris dardé comme les tétons au milieu des aréoles sombres.

Nouveau mouvement dans notre dos ; Le garçon se lève, nous contourne en gardant timidement ses distances, courbé en avant, faisant mine de chercher des coquillages dans le sable. Nous pouvons enfin le distinguer ; plutôt beau gosse, brun, cheveux courts, intégralement bronzé, assez grand, environ vingt cinq – vingt huit ans, et arborant un évident début d’érection…

Un simple coup d’œil de Bénédicte – avantage de parfaitement connaître sa compagne - me dit que ce jeune homme est à son goût, qu’en tout cas il ne l’inquiète ni la rebute…

Il ne nous adresse pas un regard, et lentement, nous dépasse, se rapprochant du bord de mer, les yeux rivés au sol, ramassant de ci de là un coquillage, l’examinant, le rejetant ou le gardant dans sa main.

Je feins de ne pas le regarder, et Bénédicte est cachée derrière son livre, mais je distingue nettement le regard qui plonge épisodiquement entre les cuisses ouvertes, sur la fente offerte.

Mes pulsations cardiaques s’intensifient quelque peu.

A quelques mètres de nous, le garçon se fige brusquement et s’accroupit, nous présentant son dos, faisant mine d’examiner le sable. Visiblement un timide, et ce sont ceux qui nous excitent au plus haut point.

Jeu délicieux de feindre de ne pas s’être vus, tout en chacun d’un coté comme de l’autre que chacun sait que sa présence est remarquée…

D’une légère pression des doigts sur l’intérieur de la cuisse de Bénédicte, je l’incite à ouvrir un peu encore la fourche de ses jambes, et elle s’exécute sans manifester la moindre opposition.

Je m’appuie moi-même sur un coude et regarde ma compagne, sans perdre du coin des yeux le garçon.

Toujours accroupi, il risque un coup d’œil, et j’enregistre sur son visage la crispation d’étonnement et d’intérêt devant cette jolie chatte fendue qui s’est soudainement offerte plus encore à ses yeux.

Mon regard qui semble ne pas le voir l’encourage à profiter du spectacle qui lui est offert, et je devine ce qu’il contemple ; la vulve pratiquement imberbe, aux lèvres rondes et pleines, légèrement entrebâillées sur un sillon rose et luisant de foutre, et probablement le clitoris d’une extraordinaire vigueur qui pointe comme une petite bite.

Le regard de Bénédicte, glissant sous ses lunettes et le livre qu’elle tient devant son visage, m’informe qu’elle profite aussi du regard qui l’épie et la mate, puis se fixe dans le mien, et je peux y lire une magnifique émotion.

Je m’astreins toujours à ne pas regarder notre admirateur pour ne pas l’effrayer et lui laisser croire qu’il profite à notre insu de cette intimité, quand soudain je perçois l’écartement lent des genoux de Bénédicte, alors qu’elle murmure, le nez pincé, ses yeux brillants soudés aux miens ;

Là, c’est mieux… Tu crois qu’il voit bien… ?
Les tempes bourdonnantes, incapable de répondre, je me penche sur elle et dépose un baiser sur sa bouche, tandis qu’elle murmure encore ;

Je suis trempée… !
Sans un regard vers le garçon, je glisse très lentement la main le long de son ventre, puis à l’intérieur de sa cuisse, et remonte en effleurant du bout du doigt la fente et le clito ; Elle est effectivement ruisselante et accompagne mon geste d’un haussement du bassin et d’un gémissement de plaisir.

Notre voyeur semble statufié, puis hésite à se relever, et je comprends pourquoi ; En se redressant, il révèle une superbe érection impossible à dissimuler qui traduit bien l’intérêt qu’il porte à ce spectacle. Ce que me confirme aussitôt Bénédicte d’une crispation de sa main sur mon genoux

Hésitant, visiblement ému et crispé, le garçon cherche mon regard, mais volontairement je l’ignore. Il hésite un instant, puis s’éloigne vers le bord de mer, cherchant encore ses coquillages, avançant courbé pour masquer son érection.

Il a l’air timide, ce jeune homme… ! Souris-je à Bénédicte.
Il est plutôt beau gosse… ! Me répond-elle avec un sourire coquin.
Le garçon n’ose visiblement pas traverser la plage jusqu’au bord de l’eau, sans doute par crainte d’exposer son désir si évident qu’il tente de soutenir masquer de sa main, et entame chemin du retour. Il commence par un léger détour, puis sa trajectoire se rapproche de nous afin de regagner sa serviette, et je constate avec amusement qu’il la calcule en vue d’arriver face à Bénédicte pour pouvoir distinguer ce qui l’intéresse.

Ni elle ni moi ne lui accordons apparemment la moindre attention, ce qui semble l’encourager à se rapprocher nettement de l’axe de l’ouverture des jambes de ma compagne.

Mon cœur bat plus fort à chaque pas du garçon.

Il est maintenant à quelques mètres, face à nous, ne cherchant plus à cacher son sexe à demi raide, et tente une fois encore de sélectionner quelques coquillages, les yeux résolument braqués sur l’objet de sa convoitise dont la propriétaire ne lui dissimule rien…

Son regard croise enfin le mien qui ne peut plus feindre de l’ignorer, et il tente un sourire timide auquel, machiavéliquement, je réponds le plus sérieusement du monde par un simple hochement de tète, posant rapidement un doigt sur mes lèvres, sans chercher à dissimuler ma propre érection.

Il ne peut que comprendre mon geste qui signifie "vous pouvez regarder, mais soyez discret", et, les tempes bourdonnantes d’un délicieux plaisir, je me désintéresse de lui pour reporter mon attention sur le visage de Bénédicte.

Marchant comme un homme un peu ivre, curieusement précédé de son sexe tendu, le garçon regagne sa serviette, en passant très près de Bénédicte, et sans lâcher des yeux l’intimité qu’elle expose, tout en feignant de lire ce livre dont les pages ne tournent plus.

Dès qu’il a regagné sa place, je glisse rapidement la main sur sa jolie chatte, certain d’être bien vu, et plonge les doigts dans sa grotte brûlante et béante. Elle accueille mon geste en écartant franchement les jambes, soulevant sans équivoque son bassin, laissant tomber son livre sur ses seins, rejetant la tète en arrière.

J’ai durant un instant l’impression qu’elle va jouir sous ce simple toucher, et tout aussi soudainement, je retire ma main et me penche pour embrasser la pointe d’un sein, entendant murmurer à mon oreille ;

Ca te plaît de m’exciter et de me faire attendre… ?
Oui, beaucoup… Et toi… ? Lui demandais-je en souriant.
Moi aussi… Continue.. ! Confirme-t-elle en regardant mon sexe bandé.
La discrétion de ce garçon est exemplaire, peut être due à une grande timidité, mais en tout cas très excitante pour nous. Il me semble, d’après notre situation, être le seul témoin de notre jeu, à moins qu’il n’y ai dans les dunes d’autres présences que je n’ai pas remarquées…

Quoi qu’il en soit, tout en restant prudent, je suis bien décidé à le récompenser de sa discrétion, et je sais que Bénédicte attend, comme à l’habitude, que je mène le jeu, sans manifester ni impatience, ni réticence.

Je murmure, pour n’être entendu que d’elle ; " Sur le ventre ! ", et tandis qu’elle se retourne docilement, lançant un regard vers son admirateur, effaçant d’un revers du bras le monticule qui lui servait de dossier pour ne laisser qu’un oreiller qu’elle recouvre de sa serviette, je me redresse sur un coude et descends de quelques centimètres pour me positionner exactement à la hauteur de son bassin.

Elle a laissé son livre, retiré ses lunettes, et pose sa tête sur ses bras repliés, puis ferme les yeux comme si elle voulait maintenant offrir au soleil son dos et ses fesses.

Ses jolies fesses que j’ai sous les yeux et sur lesquelles je pose doucement la main, vérifiant que personne sur la plage ne nous observe.

Discrètement, je glisse les doigts le long du sillon, puis à l’intérieur de la cuisse, tandis qu’elle desserre les jambes pour faciliter ma caresse, et parviens à l’entrée de sa grotte brûlante et ruisselante.

Mon bras et ma main sont totalement immobiles. Seuls mes doigts s’agitent lentement à l’entrée du vagin qui déborde de foutre, tandis qu’elle ouvre très lentement le compas de ses jambes pour m’inciter à m’enfoncer plus avant dans sa vulve béante.

Ses reins s’animent sous mes yeux d’un imperceptible roulis, ses rondeurs se crispent et se relâchent, alors que me parvient un murmure rauque ;

Oh c’est bon.. J’aime ça… Continue… !
Le cœur battant, les tempes bourdonnantes, je me sens flotter dans l’air, et je fais un véritable effort pour me pas regarder le garçon, ne lui manifester aucun signe d’encouragement, mais je ne fais rien non plus ni pour lui cacher mon geste, ni pour dissimuler mon érection qui est au zénith, tout comme la sienne que je le vois du coin de l’œil calotter et décalotter dans un geste lent et régulier.

Le roulis des fesses de Bénédicte est lui aussi parfaitement significatif et gagne maintenant son dos jusqu’aux épaules.

Je sens son souffle s’accélérer lorsque j’investis plus profondément son vagin, et soudain, elle n’hésite pas à trahir son plaisir en creusant le ventre et tendant les fesses, ramenant ses cuisses à l’équerre, dans sa position favorite de " grenouille " , indiquant par-là à son admirateur le plaisir quelle prend à se faire branler par ma main, devant lui.

Je perçois le mouvement qu’il fait pour se redresser, ne perdant pas une miette du spectacle que nous lui offrons, attentif à la montée du plaisir de Bénédicte, qui, les yeux fermés, gémit maintenant sans discontinuer et de façon parfaitement audible pour son admirateur.

Mais visiblement, il n’ose pas bouger, ce que j’apprécie tout particulièrement. Au summum de l’excitation à l’idée qu’il soit bientôt témoin de l’orgasme que je sens monter dans les reins de Bénédicte, je souhaite malgré tout faire durer encore cet instant exceptionnel, et je ralentis mon geste pour la laisser s’apaiser.

Elle entrouvre les yeux et me regarde en souriant, les traits chavirés de désir et de plaisir, et murmure ;

Oh non, continue… ! J’allais jouir… !
Mais je voudrai que ça dure encore… ! Murmurais-je comme une prière.
Tu pourras faire durer tant que tu veux… ! Continue… ! M’implore-t-elle.
Elle n’accorde plus un regard au garçon, ce qui est plutôt inhabituel, et semble concentrée sur son plaisir.

Le cerveau vide, le sang battant aux tempes, au bord du plaisir, je ré investis la grotte brûlante.

Tout le corps de Bénédicte est repris de frisson et d’ondulement, et je me tourne sans équivoque vers notre voyeur, lui adressant un sourire que je tente de faire passer pour un signe de complicité.

Je le découvre plus retourné que je m’y attendais, comme halluciné, fébrile d’excitation, et j’articule doucement, pour qu’il m’entende : " Elle va jouir ".

Est-ce le son de ma voix qui déclenche l’orgasme de Bénédicte, mais elle se tend soudain, soulevant encore son cul, et laisse échapper une longue plainte, tourne son visage vers son admirateur, tandis que je sens ses muqueuses intimes palpiter autour de mes doigts et une décharge de liqueur d’amour m’inonder la main.

Hypnotisé, les yeux fous, le garçon s’astique, se cambre et décharge de longs jets de spermes dans le sable, et j’ai quant à moi un mal fou à retenir une éjaculation que je sens imminente.

A peine les tremblements provoqués par l’orgasme se sont ils apaisés que Bénédicte se retourne, s’allonge sur le dos, ouvre grand ses cuisses et m’intime, impatiente, la voix haletante et rauque :

Continue… ! Fais moi jouir encore.. !
Et au moment ou je m’apprête à réinvestir son coquillage béant, survient des dunes une troupe de baigneurs qui se rendent sur la plage.

Les maudissant, nous cachons nos états, moi sur le ventre, Bénédicte en refermant les jambes.

Heureusement, après nous avoir longés, ils s’éloignent vers la gauche et ont la bonne idée de ne pas s’arrêter avant d’avoir disparu de notre champ de vision.

Et notre sympathique voyeur, dont nous avons détourné quelques instants notre attention, en a profité lui aussi pour changer de place, et venir s’installer du coté de Bénédicte, à seulement quelques mètres de nous, à mi-pente de la dune qui nous abrite, nous surplombant ainsi.

Il m’adresse une demande muette, et je réponds d’un sourire et d’un hochement de tète, posant à nouveau un doigt sur mes lèvres pour lui signifier la discrétion. Il acquiesce fébrilement, les yeux brillants, le sexe toujours bandé, et s’assied, les yeux rivés à Bénédicte qui me fixe intensément.

Je me penche sur ma compagne et pose la main sur son ventre et les lèvres sur son sein. Sans hésitation, totalement soumise et en confiance, elle ouvre grand ses jambes en les laissant bien à plat sur le sol, appelant ma main sur sa chatte tuméfiée et toujours ruisselante.

Aussitôt mes doigts rejoignent son bouton d’amour tendu, décalotté, et son ventre est repris de roulis, tandis qu’elle pose les mains bien à plat sur ses seins et les presse.

Je me redresse de quelques centimètres pour la contempler, et mon regard embrasse du même coup le garçon cramoisi qui se branle à nouveau lentement.

Masturbant doucement son clitoris du bout du doigt, je la laisse flotter quelques minutes sur la crête du plaisir, à la limite de l’orgasme qu’elle sait longtemps contenir, perdant totalement les notions de temps et de situation tant l’excitation qui me transporte est violente.

Elle halète, le visage pincé, les yeux résolument clos et plissés, ondulant du bassin et se pressant les seins, puis soudain me dévisage, le regard noyé de brouillard, et gémit ;

Mets-moi un doigt… ! Fais moi jouir encore… !
Elle décolle les fesses de la serviette sous la poussée de mes doigts dans sa caverne. Je l’investis du plus profond que je peux, écrasant son clitoris contre ma paume, et la masturbe au rythme de ses halètements, attentif à son plaisir.

Je perds les notions de temps et de lieu. Je la sens au bord de l’orgasme. Mais elle lute pour ne pas se laisser emporter, surfe sur la crête du plaisir, les mains crispées sur ses seins, les fesses décollées de la serviette, le dos arqué, les yeux fermés.

Puis soudain elle ferme les jambes, enserrant ma main entre ses cuisses, ouvre les yeux et murmure ;



Doucement… ! C’est trop bon… ! Je veux que ça dure… !
Elle me fixe un instant, et la lubricité que je lis dans ses yeux me chavire, puis d’un mouvement de tète rapide, se tourne vers le voyeur qui, de saisissement, suspend son va et vient.

Fermant les yeux, elle ouvre à nouveau grand le compas de ses jambes et laisse mes doigts reprendre leur ballet. Je la sens si proche d’un nouvel orgasme, son geste prouvant à quel stade d’excitation elle est transportée, que j’interviens brutalement, comme nous aimons tant le faire quand le plaisir est à son paroxysme.

Je me penche à son oreille et murmure ;

Tu me rends fou… ! Je vais te gicler sur les seins… !
Tu aimerais qu’il s’approche pour mieux voir ce que tu me fais… ? Demande-t-elle dans un souffle, certaine de l’effet que ses mots ont sur moi.
Je suis dans un tel état que je m’adresse tout autant à elle qu’a notre voyeur que je veux faire maintenant plus activement participer à notre plaisir ;

Tu as vu comment il a fait cracher sa grosse queue en te regardant te faire branler… ?
Oh oui… ! Feule-t-elle, jetant un nouveau coup d’œil au garçon qui a repris sa masturbation.
Ca t’excite de te faire doigter devant un inconnu… Hein… ?
Oh oui, gros salaud, ça m’excite… ! Râle-t-elle, agitant frénétiquement les reins, se tournant enfin franchement vers son admirateur.
Puis au garçon qui semble totalement halluciné ;

Si vous avez envie de vous approcher pour la regarder de plus près… ! Elle adore voir un mec se branler et cracher son sperme en la regardant jouir… !
Je la sens parcourue d’un immense frisson sous la trivialité de mes propos, et elle geint sans presque articuler, les yeux toujours fixés sur le voyeur qui semble totalement halluciné ;

Oh tu m’excites… ! Je vais jouir… ! Continues, parles encore… !
Le garçon, après avoir jeté un coup d’œil inquiet vers la plage, se traîne à genoux jusqu’à la hauteur de Bénédicte qui vient de fermer les yeux.

Je m’entends parler sans reconnaître ma voix ;

Elle a la cramouille gluante de foutre… ! Et vu la façon dont elle bouge son cul, je crois qu’elle ne va pas tarder à prendre encore une fois son pied… !
Elle est belle… ! Annone le garçon la main crispée sur sa queue, se penchant pour reluquer le sexe que je baratte. Elle aime qu’on la regarde jouir… ?
Oh oui, elle aime ça… ! Et moi aussi… ! Quand elle a un doigt dans la chatte, elle devient une véritable salope… ! Et je crois que je vais même la baiser ici tellement elle me fait bander… !
Oui… ! Eructe Bénédicte. Baise-moi… !
Puis soudainement, à ma plus grande satisfaction, elle se tourne vers cet inconnu, avance la main et empaume le sexe tendu. Je suis si troublé que je stoppe un instant mon doigtage.

De l’autre main, elle saisit ma queue raide et murmure en me regardant ;

Continues… ! Fais moi jouir… !
Le garçon lui survole délicatement un sein et son autre main hésitante vient rejoindre la mienne entre les cuisses de Bénédicte, tente d’effleurer sa motte renflée et de toucher son clitoris.

Je dégage ma paume pour lui laisser accès au bouton tendu, enfonçant plus encore deux doigts joints dans son antre brûlant et le pouce à l’entre de son tunnel secret, tandis que de l’autre main, je malaxe un sein, murmurant ;

Une branlée à quatre mains, juste pour toi, ma petite salope… !
Oh oui… ! Hurle-t-elle presque, sans se soucier d’éventuels voisins. Oh je jouis… !
Elle soulève les fesses et s’arqueboutte, les mains crispées sur nos queues, et se met à délirer en nous masturbant frénétiquement ;

Maintenant… ! Oui, maintenant… ! Oh je jouis… ! Je jouis fort… ! Oh les salauds , c’est bon… !
Le garçon, hagard, lui pétrit le sein et astique vigoureusement le bouton tandis que je remue frénétiquement les doigts dans son ventre, presse sa rosette et l’accompagne dans son délire ;

Viens, ma petite salope… ! Viens, prends ton pied… ! Fais cracher nos bites… ! Fais nous gicler sur tes gros seins… ! On va t’en mettre partout… !
Oui… ! Oui… ! Hurle-t-elle presque en se tordant sous un orgasme qui me semble démesurément long, tandis que je perds pratiquement conscience en me vidant dans sa main.
Je distingue comme dans un rêve notre partenaire qui l’éclabousse lui aussi d’une nouvelle giclée de semence, presque à quatre pattes, penché sur elle.

Immobiles, nos mains toujours posées sur elle, nous laissons s’apaiser les battements de nos cœurs, envahis par cette gène diffuse qui accompagne le " retour au réel " après ces instants de folie.

Délicatement, avec un Kleenex, j’essuie sur son ventre et ses seins les traînées blanches de notre plaisir, sous les yeux du garçon qui ne sait visiblement quelle attitude adopter, assis en tailleur, visiblement sonné par son propre plaisir et les instants qu’il vient de vivre.

Bénédicte, immobile elle aussi, les yeux fermés, semble s’être endormie.

Je reprends lentement mes esprits et m’adresse au garçon ;

J’espère que nous ne vous avons pas choqué, mais c’était un de nos fantasmes… La faire jouir sur une plage, devant un inconnu… !
Oh non… ! C’était superbe… ! Murmure-t-il.
C’est pour ça que vous venez sur cette plage… ? Lui demandais-je encore.
Oui… ! Hésite-t-il. Mais c’est la première fois…
Il ne se passe donc jamais rien ici… ? Questionnais-je.
Si, bien sur… Mais généralement, on regarde de loin… ! J’ai vu de loin des couples se caresser, mais je n’avais jamais été si près… Ni participé, ni touché une femme… ! Murmure-t-il timidement, encore mal remis de ses émotions.
Puis s’adressant à Bénédicte qui vient d’ouvrir les yeux et le regarde en souriant ;

Merci… ! Vous êtes très belle… ! Vous m’avez fait un très beau cadeau… !
Vous venez souvent ici ? Lui demande-t-elle tout doucement, la voix encore un peu tremblante.
Oui… A chaque fois que je peux… Mais souvent je n’ose pas m’approcher… !
Sa douceur et sa simplicité me touchent autant qu’elles semblent émouvoir Bénédicte.

La situation est délicieusement surréaliste et excitante, et je n’ai aucune envie de rompre cet instant. Je demande alors au garçon ;

Ce que vous aimez, c’est regarder… ?
Oui… Hésite-t-il. Pouvoir regarder quand les gens savent que je les regarde… !
Vous aimeriez que je lui fasse l’amour devant vous… Que je la prenne… ? Lui proposais-je en reconnaissant à peine ma propre voix, tentant vainement de maîtriser les battements de mon cœur.
Oh oui… ! S’exclame-t-il avec une spontanéité désarmante.
Comment aimeriez vous que je la prenne… ?
Je ne sais pas… ! Murmure-t-il en tremblant.
Bénédicte n’a pas fait un mouvement, mais je la sens fascinée et aussi bouleversée que moi par nos propos. Nous jouons là un morceau qui compte parmi nos favoris ; celui des mots, des mots troublants et excitants, ceux qui créent un climat d’intense oppression et retardent un passage à l’acte inéluctable…

Je poursuis sur ma lancée, lutant pour maîtriser mes émotions ;

Vous aimeriez que je la prenne sur le dos… Ou bien à quatre pattes… ?
Comme ça… Sur le dos… ! Murmure le garçon en s’allongeant aux cotés de Bénédicte.
Ok ! Mais vous surveillez… Vous me prévenez si quelqu’un arrive…
Je bande à nouveau comme un âne, et notre ami affiche lui aussi une magnifique érection.

L’intensité du moment nous procure des ressources insoupçonnées…

Je jette un coup d’œil alentour, mais cela semble être notre jour de chance… Personne ne peut nous voir.

J’enjambe ma compagne qui ouvre les cuisses et m’offre son puits d’amour brûlant dans lequel je me glisse sans effort.

Je sens ses talons se joindre sur mes reins tandis qu’elle exhale un long soupir de satisfaction.

Presque immobile, je me laisse masser par les contractions de ses muscles intimes qu’elle domine parfaitement, régulant elle-même la montée de son plaisir, tandis que mes lèvres se soudent aux siennes.

Je me redresse pour la dominer et la contempler.

Allongé tout contre nous, appuyé sur un coude, le garçon fixe le visage de ma compagne concentrée sur son plaisir, les yeux fermés, le nez pincé.

Je me fais attentif au moindre frémissement qui la parcourt. Je veux lire et sentir chacune de ses sensations avant de la voir jouir à nouveau sous les yeux de cet inconnu.

Discipliné, notre admirateur jette de temps en temps un coup d’œil alentour.

Soudain, Bénédicte tend le bras, saisit la main du garçon, comme pour lui faire partager ce qu’elle ressent, l’unir à notre montée vers la délivrance.

Et je ne peux m’empêcher de reprendre notre jeu avec les mots ;

Tu es brûlante et je te sens bien… !
Moi aussi je te sens bien… ! Murmure-t-elle. C’est bon ce que tu me fais… !
Jetant un nouveau coup d’œil derrière lui, sans lâcher la main qu’il étreint, le garçon se glisse tout contre Bénédicte, colle son sexe contre sa hanche – et la mienne - et se frotte doucement. On dirait qu’il cherche à glisser sa queue entre nos deux ventres soudés.

Béné semble comprendre la demande, abandonne la main du garçon, glisse son bras le long de nos corps et empaume la tige raide, tandis que lui pose ses doigts sur le sein, le palpe, caresse et pince doucement le téton dur.

Oh oui… ! Gémit-elle. Oh je vais jouir encore… ! Pierre ne bouge plus… Laisses moi faire… !
Je me bloque au plus profond de son ventre, tentant de résister à l’extraordinaire massage que me procurent ses muscles intimes, suivant pas à pas la montée de l’orgasme qu’elle appelle et contrôle, fait durer en me broyant les hanches entre ses cuisses.

Je suis un instant partagé entre désir de trivialité et de douceur, et choisit de l’accompagner tendrement, m’adressant au garçon ;

Tu vois comme elle est belle quand elle jouit… !
Oh oui, elle est belle… ! Et elle a l’air d’aimer ça… ! Eructe-t-il, comme brutalement tiré de sa torpeur contemplative.
Oui, elle aime ça… ! Je te garantis qu’elle ne fait pas semblant… ! Si tu sentais comme elle m’écrase la queue avec les muscles de son vagin… ! M’entends-je dire, la voix rauque.
Elle a les seins et les tétons durs comme du béton… ! Ajoute-t-il. Elle va encore prendre son pied… ?
Oh oui, je vais jouir… ! Feule Bénédicte en s’arqueboutant sous moi, me fixant d’un regard halluciné.
Je pourrais la fourrer moi aussi… ? Halète notre ami qui semble avoir dépassé ses inhibitions, se penche sur Bénédicte et aspire entre ses lèvres le téton qu’il tète goulûment en malaxant le sein et en se contorsionnant, frottant sa queue contre nos hanches soudées.
Je ne réponds rien, dominant cette scène surréaliste, concentré sur l’orgasme qui ravage Bénédicte, du visage aux doigts de pieds, au plus profond de sa vulve distendue, et je chancelle sous une nouvelle éjaculation que je déverse en elle.

Un reste de conscience me fait rouler à son coté, et je reste longtemps assommé par ce plaisir brutal qui vient de m’arracher mes dernières forces. Je sens Bénédicte immobile.

Si notre complice n’a pas bougé, nous devons former de loin un groupe de trois estivants quelconques se dorant au soleil, mais je suis trop épuisé pour tenter d’ouvrir un œil et m’en assurer.

Il me semble que nous avons mis longtemps à récupérer nos forces.

Lorsque enfin j’ouvre un œil, ma jolie compagne, appuyée sur un coude, me regarde en souriant.

Eh bien, on dirait que mon petit homme est épuisé… ! Plaisante-t-elle.
Anéanti… ! Confirmais-je.
Petite nature ! Rit-elle. Puis plus doucement : C’était très bon, très fort… !
Je me soulève un peu pour découvrir le garçon béatement allongé sur le dos, à coté de Bénédicte. Il semble dormir, le sexe au repos.

Elle se lève, m’annonçant ;

Vous m’avez mis du sable partout… Je vais me rincer… !
Somptueuse dans sa nudité, son joli petit cul roulant à chaque pas, elle s’éloigne vers la mer, et entre sans hésiter dans l’eau. Je suis incapable de la suivre tant j’ai les jambes coupées.

Le garçon qui l’a suivi du regard me confirme, songeur ;

Elle est vraiment très belle… ! Vous avez beaucoup de chance… ! En plus, une femme qui accepte de faire ça sur une plage, devant quelqu’un, et qui se laisse toucher comme ça, c’est rare… !
Oui, j’ai de la chance !
Vous venez souvent ici ? Vous faites ça souvent ? Demande-t-il avec une pointe d’hésitation.
Rarement… ! Lui mens-je. Nous avions entendu parler de cette plage, mais nous ne sommes pas de la région… !
Alors j’ai peu de chance de vous revoir… ? Déplore-t-il.
En effet… ! Mais je crois que vous avez été gâté, aujourd’hui… !
Je ne suis pas prêt d’oublier… ! Confirme-t-il avec émotion.
Le silence s’installe, ainsi que le garçon que je ne chasse pas, et auquel j’offre une cigarette.

Bénédicte revient, ruisselante et souriante, naturelle, nous offrant l’autre coté de son anatomie, ses seins aux aréoles sombres qui bougent, son sexe lisse, bombé et si joliment fendu, surmonté d’un fin triangle brun. Et elle reprend sa place entre nous, demandant, faussement ingénue ;

Vous étiez en train de parler de quoi… ?
De toi… ! Réponds-je. Et de t’admirer… !
De vous rincer l’œil… ! Plaisante-t-elle. Vous n’en avez pas assez encore… ?
Tu ferais bander un mort… ! Lui assurais-je
Oh oui, c’est vrai… ! Confirme le garçon dont nous ne connaissons même pas le prénom, visiblement peu désireux de nous quitter.
Et comme sa présence ne semble par déranger Bénédicte, je ne brusque pas son départ, m’étonnant une fois encore du naturel avec lequel elle se comporte, après cette séance plutôt hors normes et torride, mais il est vrai que notre nouveau complice est charmant.

Il nous annonce tristement ;

Je vais vous laisser, maintenant. Cette plage n’aura plus aucun attrait pour moi … ! Je ne pense pas qu’il se reproduise un jour une rencontre si exceptionnelle, surtout si, comme m’a dit votre mari, vous n’êtes pas de la région… !
Hasard des rencontres… ! Philosophe Bénédicte. C’est ce qui fait leur charme… ! Mais ne me dites pas que vous n’avez pas une compagne ?
Oui, bien sur, Répond-il. Mais je ne l’emmènerais jamais ici… Elle n’aime pas… Et de toute façon, elle ne comprendrai pas… Moi j’ai besoin de voir… J’aime ça… Pas elle… ! Vous comprenez que je puisse aimer regarder ? Demande-t-il timidement.
Bien sur… ! Répond Bénédicte. Puisque nous, nous aimons être regardé… Il faut bien qu’il y ai des gens qui aiment voir… !
Je vais m’en aller et vous laisser… ! Répète tristement le garçon. Mais est ce que je peux vous demander une dernière chose… ?
Je vous écoute… Lui répond-elle prudemment.
Il hésite et rougit comme un collégien, et je m’en inquiète un peu, car je sais que c’est ce qui fait craquer Bébé chez un garçon de cet âge.

J’aurai beaucoup aimé aussi voir votre mari vous prendre…mais dans une voiture… A l’arrière…… à quatre pattes… !
Et puis quoi encore… ! S’écrie Bénédicte, faussement choquée, se redressant pour regarder son interlocuteur.
Mais avant, j’aimerai vous sucer… ! Si vous vouliez bien… !
Transporté et réveillé par le culot de ce garçon, je porte la main sur le sexe de ma compagne qui écarte une jambe comme si mon geste allait de soi, et glisse un doigt sur son abricot que je découvre baillant, humide, le clitoris légèrement dardé. Elle est donc bien excitée, comme je l’imaginais, par les propos de notre ami, et je me demande un instant si je ne vais pas donner satisfaction aux demandes si honnêtement exprimées… Au moins à la seconde…Mais décide lâchement de la laisser se débrouiller de la situation, tout en faisant monter la pression du bout du doigt.

Mon geste n’a pas échappé au jeune homme qui, les yeux fixés entre les cuisses de ma compagne, a semble-t-il perdu toute timidité, et je crois décerner une lueur d’espoir dans ses yeux.

Je vous trouve bien gourmand… ! Rit-elle, pas fâchée du tout. Vous avez eu le beurre, et même l’argent du beurre, et vous voulez la crémière en prime… !
Si j’ose pas, j’ai aucune chance… ! Répond-il avec un bon sens et un sourire désarmant.
Sa queue se gonfle à nouveau lentement sans qu’il fasse rien pour s’en cacher, et sous mon doigt, le bouton d’amour de ma compagne me donne la réponse qu’elle ne lui fait pas encore. D’une légère pression, je lui indique mon sentiment. Elle se raidit imperceptiblement et laisse échapper avec un soupir de résignation voulue ;


Si vous vous y mettez tous les deux… !
Nous sommes là typiquement dans ce jeu de situation insolite qui nous excite tant, et comme le garçon lui plaît plutôt, et qu’elle aime dans ces moments là devenir passive et soumise, je lui intime d’une pression du bras de venir se reposer sur mon torse, accentuant légèrement la pression de mon doigt sur son bouton d’amour.

Docile, elle se laisse aller sur moi, ouvrant dans son geste ses jambes face au garçon qui s’aplatit aussitôt dans le sable, plonge le visage vers cette chatte ruisselante et l’embouche.

Je la sens se tendre dans mes bras, son visage cherche le mien, sa bouche se soude à la mienne, tandis que le bras passé derrière nos tètes, elle étreint ma nuque.

Il la suce avec application, car elle se met à onduler sous la caresse. Son regard brûlant de fièvre va de mes yeux à la tète nichée entre ses cuisses, sur laquelle elle pose doucement une main, pour accompagner la caresse.

Longtemps, elle se laisse sucer en ondulant dans mes bras, gémissant doucement, puis soudain repousse le garçon, déclarant ;

C’est très bon, très doux… ! Mais je ne pourrai plus jouir comme ça… !
Il relève son visage barbouillé de foutre, dépose un baiser sur le ventre de son amante, s’assied entre ses jambes qu’elle ne peut refermer et sourit ;

Oui, je comprends… C’était merveilleux… Merci à tous les deux… ! Je voudrai vous laisser mon numéro de portable, si vous aviez envie de m’appeler quand vous reviendrez dans la région…
D’accord ! Confirme Bénédicte avec un délicieux sourire.
Vous accepteriez de faire l’amour devant moi dans votre voiture, un soir… ? Hésite-t-il encore.
Devant tant de candeur, je tranche ;

Ok, jeune homme, vous avez gagné… ! Je reviendrai la baiser devant vous dans la voiture… ! Et si vous avez encore assez de force après l’avoir vu jouir, je vous autoriserai à la baiser à votre tour devant moi… !
Et moi, j’ai mon mot à dire… ? Me demande-t-elle avec une pointe d’ironie.
Sans plus un mot, nous nous habillons, quittons notre complice avec un sourire et prenons le chemin des dunes. Après un long moment de marche silencieuse, désireux de maintenir la pression, je reprends ;

Tu serais prête à lui offrir ce petit plaisir dès ce soir ?
En auras-tu encore la force ? Me répond-elle, moqueuse.
Mais ce soir là, nous n’avons pu faire signe à notre partenaire de quelques instants.

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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