Les récits de Camille

Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 12:54
C'est un peu étrange. J'ai toujours aimé les jolies filles mais pourtant je n'ai jamais été attiré par les boites de nuits. J'y suis allé quelques fois mais je me suis toujours senti mal à l'aise. Je préfère conquérir les filles avec un joli sourir ou quelques mots, mais difficile dans le vacarme d'une boite de nuit.
Malgré mon manque d'enthousiasme un vendredi soir ma meilleure amie Elana m'a convaincu de venir avec elle en boite. Lorsque nous sommes arrivés, il y avait une longue file d'attente.
"Ca m'a l'air compromis" lui dis je pour essayer d'echapper à cela.
Elle sourit
"Suis moi juste"
Elle fit un signe au videur et en moins de deux nous voilà à l'intérieur. Il est vrai qu'elle était habituée ici.
Eleana et moi sommes amis depuis longtemps. Il n'y a jamais rien eu entre nous . Nous ne voulions pas gacher notre amitié. Je l'aurais bien baiser car c'était une superbe fille mais je la considérais comme ma soeur.
Peu après Elana m'emmena sur la piste de danse. Nous avons commencé à danser ensemble. Elle dansait très bien et très vite nous étions entouré de mâles en chaleur.... Il faut dire qu'elle balancait son cul comme une vraie salope, même si elle ne l'était pas.

Ce soir elle était habillée avec un short très court et sexy avec un haut noir.  Ses longs cheveux blonds pendaient dans son  dos,

Lorsque la chanson se termina elle me laissa sur la piste pour aller aux toilettes. C'est en la regardant s'éloigner que je remarquais une étrange fille. Elle se rapprocha de moi et commenca à frotter ses fesses sur mon pantalon.

L'érection ne se fit pas attendre très longtemps et on voyait une bosse sur mon pantalon.

Elle s'appelais Alicia. Elle portait une chemise blanche déboutonnée qui laissait voir sa généreuse poitrine. J'ai remarqué ussi qu'elle ne portait pas de culotte sous sa jupe. Après deux ou trois chansons elle était totalement collée à moi. Je la serrais entre mes bras. Mes mains la caressaient. Puis machinalement je passa l'une d'elle sous sa jupe. Elle était trempée d'excitation.

Lorsque mes doigts touchèrent son sexe elle poussa un petit cri étouffé par la musique. Nous avons continué à danser l'un contre l'autre pendant plusieurs minutes. Je n'avais pas arreté de caresser sa chatte humide. Elle se laissait faire. Elle aimait cela. visiblement.

Elana revint mais quand elle me vit elle fit demi tour et je ne l'ai plus revu après.

C'était une vraie amie.

Je sentais qu'Alicia était de plus en plus excitée. Elle ne demandait plus qu'à se faire prendre. Mais la boite était bondée. Je l'emmenais dans un coin de la salle et nous nous sommes assis à côté d'un groupe. J'avais toujours la mains sous sa jupe. Nous faisons mine de rien. Je réussi tout de même à déboutonner mon pantalon et sans que personne ne remarque rien je pénétra Alicia qui étouffa un gémissement. Nous sommes resté comme cela un moment, immobiles. Je sentais coulé un liquide le long de ma verge.

Alicia mouillait d'excitation.

Je fis quelques va et viens. Ma verge glissait dans son vagin tout doucement.

Le DJ changea soudain de registre et le groupe à coté de nous se leva comme un seul homme pour rejoindre la piste. Nous étions maintenant seul. Je me mis en meilleure position et je pu vraiment prendre Alicia. Il fallait faire vite et je la prie très fort. Mon sexe la pilonnait pendant plusieur minutes.

Elle criait de plaisir.

Pourtant nous fûmes intrerrompu par un des jeunes du groupe qui nous surpris.

Il nous dit tout de suite de ne pas faire attention et de continuer comme si de rien était. Jamais je n'avais fait l'amour en étant épié. Cette situation m'excita et je repris mes va set viens de plus belle. Lorsque le groupe revint le jeune homme se leva pour leur dire quelque chose et ils repartirent. Il revint s'asseoir près de nous.

Je prie Alicia pendant encore deux bonnes minutes. Mais je ne pu me retenir plus longtemps. Sentant l'ejaculation arrivée je me retirais de son vagin avant d'exploser. Un jet de sperme jaillit de ma verge rougie par l'effort.

Alicia finit par lécher les quelques gouttes de sperme qui coulaient de mon gland.

Nous restâme encore quelques minutes puis nous savons quitté la boite pour finir la soirée chez elle...

Et la soirée ne faisait que commencer...


 

   
 
 
 
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Mercredi 4 mars 3 04 /03 /Mars 08:04

L’année dernière, ma cousine Alison s’est mariée avec Eric et ce jour-là, un fait immoral mais que je n’oublierai pas s’est déroulé.

Donc ce soir là, la fête bat son plein, on a bien mangé, les boissons n’ont pas manqué ; tout le monde est un peu euphorique. Tout à coup, un invité tombe en dansant et ne peut plus se relever. Rapidement, le marié et des amis s’occupent de lui et l’emmènent à l’hôpital.

Après cet incident, l’ambiance est retombée et petit à petit les invités sont repartis. J’ai repris ma voiture pour rentrer quand sur le chemin, je me suis aperçu que j’avais toujours les clés de voiture et de maison des mariés. Je décide alors de retourner à la salle mais à mon arrivée, il n’y a plus personne. Je décide alors de les déposer chez eux.
Arrivé à la maison, je ne vois pas la voiture d’Eric et me dis qu’ils ne sont pas encore rentrés. Je vais leur faire une surprise et les attendre. J’entre sans faire de bruit, allume et me dirige vers la cuisine. Je m’assieds sur une chaise et ferme les yeux, quand j’entends des bruits venant du salon. Intrigué, j’éteins et m’avance pour découvrir l’origine de ceux-ci. Voyant de la lumière et reconnaissant la voix de ma cousine, j’entre et sans le vouloir, surprends les jeunes mariés en train de faire l’amour. Mais tout de suite, je suis abasourdi car ce n’est pas Eric qui honore ma cousine mais le témoin d’Alison. Surpris dans leur étreinte, ils s’arrêtent et protègent leur intimité de mon regard. Alison un peu ivre veut se justifier mais rien ne peut justifier son attitude. Elle me supplie alors de ne rien dire à Eric ; je suis prêt à accepter mais comme elle se donne à son témoin le soir de son mariage je me dis que se serait peut-être le moment d’en profiter pour obtenir les faveurs de ma cousine.
Il faut dire qu’elle est assez jolie : pas très grande, de beaux cheveux blonds et un corps avec tout ce qu’il faut là où il faut ; de plus avant de connaître Eric, elle avait la réputation de ne jamais refuser une bonne baise.
Bref, sans trop d’espoir, je me lance.
« Je suis d’accord de garder le secret à une condition. »

« Laquelle ? »
« Vous acceptez que je me joigne à vous maintenant ! »

Alison accepte sans trop de difficultés.
» Ok, mais ne reviens pas sur ta décision ! »
Elle me fait signe d’approcher et de m’asseoir près d’elle. Je baisse mon pantalon avant de m’asseoir.
Son témoin a vite fait de remonter sa robe et sa tête entre les jambes de ma cousine, il lui lèche la chatte. Elle s ‘empare de ma verge et lentement commence à la caresser, à tirer la peau en arrière.
« Je crois que j’ai bien fait de tenter ma chance ! »
Le témoin remonte les jambes d’Alison sur le divan et introduit sa verge tendue dans le vagin. Ma cousine se retrouve ainsi couchée sur le côté, une jambe relevée avec son ami derrière la pistonnant. Elle continue à agiter mon sexe le visage au-dessus du gland. Je profite de la situation et appuie sur la tête. Elle comprend ce que je veux et enfourne mon membre dans sa bouche brûlante.
Que c’est bon !
Un peu plus tard, nous inversons nos places et c’est moi qui cette fois me faufile entre les chairs détrempées du vagin de ma belle cousine.


Quel bonheur de posséder ce corps qui m’était encore interdit, il y a une heure !
D’abord lents, mes mouvements s’accélèrent petit à petit avec l’accroissement du plaisir. Mon plaisir est double : je baise le corps de ma cousine et le fait qu’elle a gardé sa robe de jeune mariée m’excite encore plus ! Nouveau changement et cette fois, le témoin prend Alisson en levrette mais après quelques coups de reins, elle se met à crier. Je la regarde et ne comprends pas le pourquoi de ces cris. Mais en regardant de plus près, je me rends compte qu’il a introduit son membre dans l’anus de ma cousine ; mais bientôt, ses cris se transforment en gémissements et elle recommence à me sucer. C’est alors que le témoin m’interpelle et me propose de la prendre en même temps, « en sandwich ». Ouvert à toute proposition, j’accepte. Il se retire, s’assied sur le divan, invite Alisson à s’asseoir sur son sexe, la pénètre et s’enfonce au fond de l’intestin. Il commence à s’agiter et je vois ce gros sexe aller et venir dans l’anus dilaté ; je n’ai jamais vu ça et je dois dire que cela m’excite. Quand l’anus est habitué à sa présence, il se couche et attire ma cousine vers lui. Je me présente devant Alisson, remonte sa robe blanche, empoigne mon membre, monte sur le divan et introduis celui-ci dans le trou libre. Elle crie de nouveau quand elle sent nos deux sexes en elle, puis petit à petit elle prend plaisir à cette double pénétration et jouit.
Nous changeons de position : je suis assis dans le fauteuil, Alison vient s’empaler sur ma verge tendue tandis que notre ami réinvestit l’anus et continue à l’enculer de plus belle.
Sentant son corps se crisper une nouvelle fois, je sens mon plaisir monter et j’explose dans son corps envoyant ma semence au fond du vagin. le témoin jouit à son tour dans l’intestin.
Je reste encore un moment dans son corps jusqu’à ce que mon sexe diminuant sorte de lui-même. En observant l’entrejambes d’Alison, je vois le sperme sortir de ses deux trous ouverts et attrapant sa petite culotte, elle se précipite vers la salle de bain en tentant d’empêcher le liquide blanchâtre de se répandre sur le parquet. Chacun ayant pris son pied, nous nettoyons nos sexes et remettons de l’ordre dans nos vêtements.
A peine avons-nous le temps de verser un verre de bière qu’Eric arrive. Nous l’avons échappé belle !Un rien plus tôt, et il nous surprenait en pleine action !
Il nous remercie d’avoir tenu compagnie à sa femme jusqu’à son arrivée. Nous saluons Eric, nous embrassons Alison sur la joue et nous nous éclipsons.
Eric n’a jamais su ce qui s’était passé, Alison est devenue fidèle et je garde un excellent souvenir de leur mariage.

(http://erosex.unblog.fr/2008/04/03/textes-et-recits-erotiques-vive-la-mariee/)

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Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 17:35

C’était le début de l’année scolaire et je m’apprêtais à emménager sur le campus de mon université. J’avais eu beaucoup de chance de recevoir une réponse de la fondation de logement car il y avait des listes d’attente de parfois plusieurs années pour pouvoir disposer d’une chambre. Les chambres en question étaient regroupées par 3 ou 4 dans des appartements disposant de cuisine et salle de bain commune. Je me présentai donc sur place le jour convenu, afin de procéder au transfert des clés avec l’ancienne occupante. Je m’étais brièvement entretenu avec elle au téléphone ; elle avait un accent marqué de l’est, elle devait être tchèque ou polonaise. Notre rencontre confirma mon impression ; elle était assez grande, de longs cheveux blonds, des yeux gris verts, des formes discrètes mais néanmoins harmonieuses et devait être à peine plus âgée que moi.

-Bonjour ! Me dit-elle avec un sourire radieux, il va falloir attendre un moment car comme tu vois je n’ai pas encore terminé le nettoyage !

En effet, les concierges étant des gens maniaques. Ceux qui partaient devaient, en plus de nettoyer la chambre, faire le ménage dans tout l’appartement. Ils m’avaient également dit qu’il était interdit d’inviter des personnes extérieures à l’appartement pour dormir, mais là-dessus ils pouvaient toujours rêver…

Mes cours allaient recommencer :

-Je laisse mes affaires ici. Je repasserai vers 18 heures, lui dis-je.

-Ok merci, ça me laissera le temps de terminer ça et de faire mes adieux.

Après deux heures de cours rébarbatifs d’ingénierie des matériaux, j’en attaquai un autre qui nous préparait à réaliser un projet en rapport avec le développement durable. L’un des profs ayant été absent, nous fûmes libérés une heure plus tôt. Je retournai à l’appartement.

La porte n’était pas fermée à clef, mais pourtant on aurait dit que personne n’était là. Mes futurs colocataires, en tout cas, étaient absents. En me rendant du côté des chambres, je trouvai la mienne entrouverte. Des gémissements étranges en provenaient.

Je m’approchai de l’entrebâillement de la porte pour découvrir le mystérieux spectacle : L’ancienne occupante complètement nue était en train de dire adieux aux lieux à sa manière bien personnelle. Allongée sur le lit, elle se caressait tendrement les seins et la chatte tout en prononçant des choses incompréhensibles en tchèque. Par chance, elle ne m’avait pas vu. Elle semblait trop excitée pour s’occuper de ce qui se passait autour, de toute façon. Me déplaçant pour y voir un peu plus, je trouvai une orientation devant la porte où elle-même pouvait difficilement me voir.



Le plaisir semblait la gagner peu à peu. Elle s’était allongée sur le dos et soulevait son bassin tout en enfonçant cette fois ses doigts dans sa chatte ouverte et humide dirigée vers moi tandis qu’elle se suçait l’index de son autre main. Mon érection depuis un moment était trop forte, je ne pus résister à l’envie de l’accompagner dans sa séance masturbatoire, toujours caché derrière la porte. Elle montait et descendait son bassin et les trois doigts qui lui limaient la chatte étaient de plus en plus rapides. La cyprine coulait le long de ses fesses et de son ventre pour terminer sur mon nouveau matelas. Je me dis que cette coquine l’avait très certainement imbibé abondamment pendant toute la durée de son séjour.

Elle se retourna soudain et monta ses fesses aussi hautes qu’il était possible à genoux tandis que l’avant de son corps était allongé. Sa main droite s’agitait toujours fébrilement et elle profita de l’abondance de cyprine pour s’enfiler l’index gauche dans l’anus. Se branlant les deux trous en même temps, elle commençait à gémir rageusement, toujours dans ce que je pensais être du tchèque. De la voir soumise dans cette position me plongea dans un état d’excitation incontrôlable. Après tout pensais-je c’était maintenant ma chambre et mon lit, elle ne pourrait pas m’en vouloir.

Et donc j’entrai discrètement dans la chambre, m’approchai d’elle et lui saisit fermement les deux poignets. Elle poussa d’abord un cri de surprise, mais rapidement elle agita lentement les fesses dans un ronronnement d’invitation. Sans mal, je lui enfilai ma queue tendue à craquer dans sa chatte dilatée à souhait. La sensation d’être dans tant de chaleur et d’humidité était incroyable et me rappelais plus de lointains souvenirs de jungle tropicale que les rues glacées de Prague. Je commençais à la troncher, elle criait d’envie et de contentement comme si ma queue hypertrophiée était soudaine garante de sa survie. Je la lui mettais profondément, lui caressait le dos et la poussant vers le bas d’une main, lui assénant de violentes fessées de l’autre. Son corps, déjà traversé de plaisir bien avant que je revienne des cours, fut rapidement pris de plusieurs orgasmes successifs. Baissant ma garde, je la laissai se relever. Malgré tout cela, elle était toujours plongée dans une sauvagerie surnaturelle, elle me poussa sur le lit et vint s’asseoir à califourchon sur moi. Empoignant mon sexe, elle se l’enfila à nouveau et commença à s’agiter dessus comme une furie en faisant des cercles dans toutes les directions possible. L’accompagnant dans son rythme je lui assenais de violents coup de bite et malgré ses cris, je pouvais presque entendre le bruit de mon bassin qui tapait contre ses fesses et ses cuisses.

Il y eut tout à-coup un cri plus fort que les autres et elle retomba sur moi, extenuée. Je pensais cette fois l’avoir achevée, mais à ma grande surprise elle se leva peu après, m’empoigna à nouveau le sexe et le pris goulûment dans sa bouche tout en m’offrant sa chatte luisante. Je la léchai avec plaisir, la pénétrant avec ma langue ce qui rendit la chiennasse encore plus folle. Elle me pompait de plus en plus vite, avec tant d’ardeur et de gourmandise que je ne pus plus tenir bien longtemps. J’explosais soudain dans sa bouche, dans de grandes giclées saccadées, et elle avalait le tout avec avidité. Elle continua ainsi en me branlant pour en tirer tout ce qu’elle pouvait, je fus pris de soubresauts de plaisir et lui donnai les dernières fessées.

Quand le calme fut revenu, elle se leva, retrouvant son calme et son sourire :

-Voilà, je te confie la chambre. Prends-en bien soin !

Elle prit son sac et ses dernières affaires puis s’en alla. Le transfert s’était plutôt bien passé…

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Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 17:37

Le soleil est bas dans le ciel, se reflétant à la surface du lac, dont la couleur de feu rend cette fin de journée encore plus lourde, plus chaude, plus moite…Elle termine sa course le long de la berge car le manque d'air l'empêche de continuer son entraînement et à bout de souffle, elle se jette par terre, se permettant de récupérer, laissant ses doigts jouer dans le sable fin…Les yeux fermés, elle laisse l'air entrer dans ses poumons, remplissant sa poitrine qui se soulève puis retombe au rythme de sa respiration.
Son bien être en même temps qu'un peu de fatigue ont le dessus et, lentement, la voilà qui glisse dans un sommeil rempli de délicieuses sensations. Etait-ce l'effet de sa chemise humide qui lui colle à la peau et qui laisse apparaître ses seins ronds et fermes? Est-ce l'eau qui suinte de sa peau bronzée et satinée qui lui donne l'envie d'être touchée?…
Sa main, en tout cas quitte le sable, pour venir parcourir son buste, passant de son ventre et remontant vers ces seins qui ne demandent qu'à être frôlé puisque la réaction de ses tétons ne se fait pas attendre. Dressés, insolents, ils languissent de caresses plus prononcées qu'elle n'hésite pas à leur prodiguer… Sa respiration devient plus intense, preuve que son corps réclame la poursuite de ses investigations. Les doigts d'une main triturant les mamelons sensibles, l'autre main glisse sur son ventre, caressant doucement l'intérieur des cuisses, pour venir enfin se poser sur son entrecuisse chaud et frémissant… Quelques soupirs de bien-être et la main remonte vers le ventre pour se frayer un passage sous la ceinture du pantalon. La main tremblante descend inexorablement vers le mont de vénus…c'est bien là que tout se passe car ses reins se cambrent au contact de ses doigts qui lentement caressent
un endroit gonflé d'envie et chaud dont l'ouverture mouillée invite à y pénétrer. Un doigt tâte le petit bouton qui la fait frémir l'incitant ainsi à le glisser d'avantage à l'intérieur. Ce lieu est une oasis de douceur libérant un liquide bouillant de désir, espace de non retour, qu'on ne peut quitter qu'en ayant assouvi sa soif de plaisir…

Son corps en émoi se tortille, le bassin suivant le rythme des doigts dans un mouvement de va et vient qui se fait de plus en plus rapide. Dans une respiration courte et saccadée, plus rien n'existe si ce n'est cet intense désir qui la brûle, qui l'excite, qui l'enflamme… Elle retient pourtant ce moment de libération, désirant prolonger l'intensité de son désir, cet irrésistible moment d'extase qui fait qu'elle se sent belle et désirable. Elle joue de son souffle pour retenir encore quelques instants son envie de tout lâcher permettant ainsi à ce moment d'être encore plus puissant, plus explosif…Elle fait de la corde raide, entre la vie et la mort, son corps ne répond plus, son esprit la quitte, elle cambre les reins, sa tête se renverse vers l'arrière et dans un dernier souffle, ses doigts devenus experts explorent une dernière fois le lieu sacré, gorgé d'amour. Dans un cri de plaisir, étouffé par son souffle court et bruyant, elle lâche prise, délivrant le feu qui la brûle, savourant le courant qui traverse son ventre et libérant une source de jouvence qui inonde sa main fatiguée…
 
Etendue dans le sable, elle récupère, se délectant de cette extase, ses doigts reviennent goûter la douceur du sable…Elle sourit…
 
Le soleil n'est plus qu'un arc à l'horizon. Le lac doré l'appelle, elle laisse tomber ses vêtements à ses pieds et lentement, entre dans l'eau pure, s'immergeant totalement…pour renforcer encore le contraste entre cet instant d'intense chaleur et celui-ci, de profonde fraîcheur…


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Mardi 9 décembre 2 09 /12 /Déc 13:29


L'obscurité c'était emparé de l'endroit, aidé des nuages qui interdisaient aux rares rayons de lunes de pouvoir éclairer la plage d'une douce lueur bleuté. Le vent soufflait legerement, soulevant quelques grains de sables et sifflant dans les branches des rares arbres qui bordaient ce petit coin de paradis. Je restais quelques secondes à contempler l'océan, interdis, subjugué par cette beauté qui venait de me sauter au visage. Tout à coup je découvrais un endroit vierge de toute chose, à mille lieues de ce que que j'avais connus quelques heures auparavent, pourtant c'était bien la même plage, simplement, libérée de tout ces touristes qui venait fouler de leurs pied ce sable si doux et si pâle. La nuit, tout semble différent, tout semble plus magique et c'est après vingt-cinq ans que je m'en rends compte...
Soudain, sans que je ne leur en ai donner l'ordre, mes jambes vacillent, puis commencent à se soulever, m'emportant inexorablement vers ce paradis que j'ai l'impression de violé. Le vent caresse doucement mon visage et une douce odeur iode emplit mes narines, je me sens bien, heureux et libéré de tout tracas. Puis, recouvrant peu à peu le sifflement du vent, je percois un leger  bruissement, comme une feuille que l'on froisse ; les vagues s'échouent majestueusement sur le sable, inlassablement. Et je reste là, à contempler ce que la nature à de plus beau à offrir à l'un de ses fils, j'ai l'impression de rever, peut-etre suis-je en train de rever... Oubliant les chaussures que je porte au pied je me dirige vers l'océan qui m'attire tel le chant d'une sirène, et finit par avoir de l'eau jusqu'au genoux, ce n'est pas grave, je ne sens même pas la tiedeur de l'eau au contact de ma peau, je susi trop absorbé par ce tableau aux milles reflets.
Soudain, un bruit vint perturber ma contemplation, je tournais ma tête legerement, mes jmabes ne voulant répondre à mes ordres et découvrit l'origine du bruit, quelqu'un venait de plonger à une dizaine de mètres de la...



Cet incident fit apparaître une lueur de lucidité dans mes pensées, quelqu'un venait de violer mon paradis, mon jardin secret, mon bonheur, je me tournais donc, completement cette fois, pour faire face à l'agresseur et je découvris sur la plage un petit tas de taches multicolores sur le sable blanc, des vetements. Je m'approchais, mon bonheur s'était legerement estompé et la sensation d'être le seul être huain à pouvoir profiter de ce spectacle sur cette terre c'était completement évanoui. Le bruit se répéta, une fois, et encore une autre, il fallait que je chasse cette intrus. Je fis volte face et découvrit une petite tache sombre dans l'océan, quelqu'un s'évertuait dans l'eau, mon eau. Le contour de cette silouhette se fit plus net à mesure que je revenais à la réalité. Puis, comme si elle avait remarqué ma présence, l'ombre s'érreta comme pour me fixer et se fit une voix de femme qui s'adressa à moi.
« Bonjour ... »
J'eue envie de lui demander ce qu'elle faisait là, pourquoi avait elle violer ma plage, mais je me retins, un éclair de lucidité avait de nouveau traversé mon esprit.
« Bon.. bonjour »
Je ne savais pas si je revais, peut-etre etait-ce le fruit de mon imagination, je m'etais peut etre endormi dans ma contemplation tout à l'heure.
« Vous aussi vous profiter de cet instant de répit pour venir admirer l'Océan ? » Me demanda la voix qui se voulait douce et chaleureuse.
« C'est à dire que... c'est la première fois que je viens, et je dois dire que ce que j'y est decouvert ma vraiment surpris »
La silhouette rit de bon coeur et se rapprocha de moi, se transformant peu à peu en un corps de femme.
« Cela surprend la première fois, les gens ne savent pas ce qu'ils perdent, et c'est tant mieux pour les gens comme nous... »
Elle s'approchait encore, de facon que je puisse deviner maintenant la couleur de ses cheveux, un brun prononcé. Soudain elle se devoila, à la faveur d'un rayon de lune qui parvint à percer les nuages, la vision de son corps me subjugua, elle était jeune et mince, son corps finement musclé laissait entrevoir une sculpture parfaite, des formes harmonieuses, peut-etre une sirène...
Arrivé à environ un mètre de moi, elle me tendit la main, comme pour m'inviter et murmura simplement,
« Vous venez ? »


Devant mon immobilité, mon inconnue me pris la main, sa peau était douce et je ressentais la chaleur de sa paume rechauffé la mienne, le rêve se prolongeait. Nous marchions en direction de l'océan, et je ne me soucia pas une seule secondes des vetements que je portais, ils n'avaient pas d'importance et c'est à peine si je me rendais compte de leur présence. Soudain, quelquechose de froid et humide me tira de mes pensées ; l'eau me montait jusqu'aux genoux et je m'arretais un instant, pour prendre le temps de savourer ce moment unique. Mon inconnue se retourna, surprise que je ne la suive pas et c'est seulement à cet instant qu'elle remarqua mes vetements, elle sourit, un sourire magnifique, baigné de douceur et de malice, puis se rapprocha de moi avant de poser ses mains sur mon torse mais je ne sentis pas le contact de sa paume comme quelques secondes auparavent, c'était comme si un obstacle s'était dressé entre elle moi. La silhouette rit à nouveau et je sentis ma chemise glisser le long de mon torse, ca y est, plus aucun obstacle ne se dressait entre ma peau et la sienne et je tendis les bras pour la serrer contre moi. Trop tard, elle avait prefere se livrer à la mer et m'adressa un signe depuis l'eau qui la recouvrait maintenant jusqu'à la taille.
« Viens, tu as peur ? » Me demanda elle de sa voix toujours plus douce, et la, pour la première fois, je souris à mon tour : tant pis si ce n'était qu'une rêve ou une illusion, je me sentais bien, et je me devais d'en profiter. Alors, mes jambes se mirent à courir et je plongea à quelques mètres d'elle, l'éclaboussant abondament.
« Hey ! Tricheur ! »
Elle me rendit la pareil en m'envoyant des gerbes d'eau, nous étions là, au milieu du Paradis à nous eclabousser comme deux enfants, mais l'important n'était pas la, l'important était que je vivais la plus belle experience de ma vie. Mon inconnue entama quelques brasses vers le large et mes bras s'agitèrent pour que je la rejoigne jusqu'à un endroit où les flots me recouvrait jusqu'aux épaules, elle, ne semblait pas toucher le fond et vint s'accrocher à moi, pretextant une soudaine crampe. Elle passa un bras derrière ma nuque, m'arrachant un frisson, puis je sentis son autre bras se coller à ma hanche, un contact d'une infini douceur, comme si un ange venait de m'effleurer.
C'est à ce moment que la lune daigna nous delivrer un autre de ses rayons et je pus enfin apercevoir celle qui se pelotonnait contre moi : de grands yeux verts, un visage d'ange et un sourire, un sourire des plus majestueux, un sourire qui me fit chavirer. Je n'avais jamais penser que le coeur d'un homme pouvait être si facilement bousculer par un si petit détail. Je la pressai un peu plus contre moi et je sentais maintenant tout son corps contre le mien, c'était comme si nous ne faisions qu'un, comme si nous avions fusionner ici, maintenant, je pouvais même entendre les battements de son coeur...

Cette instant magique me semble pouvoir durée une éternité et pourtant, déjà elle tente de se défaire de mon étreinte, mes bras cèdent et je découvre maintenant entièrement ma belle inconnue dont je ne connais toujours pas le nom, et tant mieux, nous n'avons échangé que quelques paroles depuis notre rencontre et je ne m'en plains pas : ce que nous vivons est trop intense pour pouvoir être transcrit en mots et ce ne serait que gâcher cet instant de magie que d'entamer une discussion. Ca y est, je la vois, et elle est encore plus parfaite que je me l'imaginais, bien sur, étant donné l'obscurité je ne perçois pas bien les détails mais ce que j'entrevois me suffit ; une taille fine, entourant un ventre mince et finement musclé, surplombant lui même de belle hanches élargies mais néanmoins parfaitement proportionnée au reste de son corps, je ne peux voir que le début de longues jambes fines à travers l'eau qui pourtant est d'une clarté étonnante mais mon imagination complète cette vision. Sa poitrine est généreusement rebondis et je ne peine a deviner sa forme malgré le morceau de tissus qui la sépare de moi. Je remonte doucement mon regard et découvre un cou finement taillé, dans lequel j'ai envie de me complaire, de l'embrasser, de le caresser, ma tête ne m'obéit plus et c'est à l'assaut de ce merveilleux cou que ma bouche se jette, goûtant avec délice à la peau de mon inconnue. Ma bouche goûte, explore, s'attarde et parvient finalement à de fines épaules à la peau encore plus douce. Je lève la tête vers mon inconnue, elle me sourit de nouveau, toujours ce sourire d'ange qui me fait littéralement fondre, je ne peux résister à cet appel, ma bouche s'élance lentement vers la sienne et nous nous étreignons dans un baiser merveilleux, où se mêlent toutes les sensations, et duquel s'écoule en moi un bonheur immense, comme si j'avais découvert un trésor encore plus magnifique que ce paradis lui même...


Notre baiser dure encore et encore, je m'évade, je m'envole, je veux que jamais ce baiser ne s'arrête, qu'il dure infiniment. Mon inconnue se serre un peu plus fort contre moi comme si elle voulait que notre fusion soit encore plus intense, et mes bras la sert encore un peu plus, notre respiration devient plus difficile mais cela n'avait guère d'importance, peu importe nos corps, seul cette sensation de bien être et d'unité comptait vraiment. J'atteignais un bonheur inégalé mais déjà son étreinte se desserrait et ses lèvres quittaient les miennes. Je ne comprenais pas mais son regard m'intima de ne pas me poser de question, que tout allait bien et qu'elle aussi avait ressentit ce bonheur intense. Je ne pus me détourner de ses yeux, je me perdais dans ce vert d'émeraude mais un geste soudain me tira de ma rêverie, ma belle inconnue ne m'enlassait plus, mes yeux baissèrent alors et je découvris dans la semi-obscurité ses seins magnifiques, tels que je les avais imaginé : parfaitement proportionnés à son corps d'ange, une forme me rappelant vaguement un fruit rond et pulpeux à la fois. Une fois de plus je ne pu résister, mes bras la soulevèrent délicatement et je plongea mon visage dans sa merveilleuse poitrine avec laquelle jouaient les reflets de l'océan, comme pour mettre encore plus en valeur sa sirène. Sa peau douce caressa mon visage et ma bouche couvrit ses seins magnifiques de milles tendres baisers. Je sentais mon coeur battant à tout rompre dans ma poitrine, et c'est avec tout autant de délicatesse que je ramena ma douce inconnue prêt de mon visage pour l'emporter a nouveau dans un baiser d'une tendresse infinie.

Je ne pouvais détacher mon regard de son visage si doux, si parfait, si angélique. A quelques centimètres de nous flottait les restes du maillot de bain qu'elle portait mais ce n'était pas son corps qui me fascinait le plus, c'était ce sourire, toujours ce sourire, il semblait vouloir dire tant de choses, exprimer tant de sentiments. Je resta là quelques instant à l'admirer, tout simplement, sans aucune gêne ni retenue tandis qu'un désir des plus intenses montait en moi, je la désirais, plus que tout autre femme au monde, c'était elle que je voulais pour l'éternité et nulle autre. Elle dut saisir le fond de mes pensées car elle me serra à nouveau contre elle et de nouveau une vague de bien-être m'envahit. Mes mains partirent en exploration le long de son dos, j'y découvris une peau toujours plus douce, qui glissait agréablement sous mes doigts, arrachant à ma belle quelques frissons. Soudain, une vague idée me traversa l'esprit, je me demanda qu'est ce que je faisais là, à étreindre une inconnue dont je ne connaissais même pas le nom mais cette pensée s'en alla au bout de quelques secondes, remplacé par se bonheur intense qui était désormais omniprésent. Tandis que mes mains continuaient leur exploration je sentais celle de mon inconnue caresser doucement mon dos, en de gestes lents qui me fit frémir dès les premiers instants. Je devina alors sous mes doigts le début de ses fesses qui semblaient généreuses, mais pas trop, juste comme il fallait, dans les parfaites proportions de son corps d'ange. Je ne pus retenir un soupir d'excitation et la belle que j'avais dans les bras rit de nouveau, d'un rire franc et chaleureux, comme il semblait lui être coutume. Je réalisa alors que l'intégralité de son maillot avait disparu, je ne saurait dire quand mais tout cela n'avait pas d'importance et mes doigts continuaient leur exploration arrachant de multiples frissons à mon inconnue. Celle que je découvrais ne me semblait pas humaine et l'idée que ce devait être une sirène ou un ange ne quittaient plus mon esprit ; elle était trop parfaite, je ne pouvais l'imaginer dans la vie de tous les jours, elle ne semblait pas y avoir sa place, je la voyais plutôt comme une sirène des mythologies, destiné à séduire les hommes, et à ce moment elle y parvenait complètement. Mes mains continuaient de glissé le long de son corps et je découvris du bout des doigts les jambes que j'avais deviné à travers l'eau tout à l'heure. Je ne m'étais pas trompé elles semblaient fines et légèrement musclés tout en restant d'une douceur extraordinaire, tout en cette être exprimait la perfection et la douceur. Nous restâmes quelques minutes encore à nous découvrir du bout de nos doigts, inlassablement, comme si le temps avait perdu tout de son importance, de toute façon, au Paradis, le temps n'existe pas.

Finalement nous cessâmes de nous caresser au bout d'un moment et, après nous être éperdu dans un ultime baiser ma belle inconnue me désigna la plage du menton. Je ne sus pas tout de suite ce qu'elle voulait dire, peut-être voulait-elle rentré, mais non, elle ne pouvait pas, pas maintenant et ce fut quand elle m'embrassa de nouveau que je compris que je n'y étais pas du tout. Je passa ma main sous ses genoux tandis qu'elle passait ses bras autour de mes épaules et nous nous rendîmes sur la plage, moi la portant, et elle tendrement pelotonné contre moi. Nul serviette ne nous attendait et c'est couvert de sable que nous nous retrouvions, moi sur le dos et ma belle couché sur le coté, reposant sa tête sur mon épaule et m'enlassant de ses bras. Nous gisions nus sur la plage mais cette idée ne me choquait guère : nous étions seuls au Paradis, pourquoi prendraient on la peine d'être pudique? Nous restâmes allonger l'un contre l'autre, profitant de l'instant présent, goûtant au plaisir d'être ensemble tout simplement. Quelques étoiles réussissaient à percer les épais nuage et je pu distinguer l'étoile Polaire, trouvaille que je partageai avec mon inconnue, sans mot dire, juste en la désignant du doigt, et nous nous comprimes, comme par magie. Puis ma belle se mit à remuer, sans doute avait elle les membres un peu engourdis, je la libérait donc de mon étreinte et elle vint délicatement s'allonger contre moi. De cette façon, je pu sentir la moindre parcelle de peau ; de ses fines jambes jusqu'à ses seins parfaits. Elle me saisit le visage avec ses deux mains et nos regards se perdirent l'un dans l'autre ; nous en avions tous les deux envie, nous le désirions plus que tout au monde mais il ne fallait surtout pas abréger ce doux moment d'innocence ou nos corps se cherchent, se découvrent, s'explorent. Pourtant, je ne pu résister d'avantage, mes mains saisirent délicatement ma belle inconnue par les bras et avec force et délicatesse je la soulevais, et l'allongea à coté de moi, son dos reposant contre le sable fin. Je découvris alors pour la seconde fois son corps magnifique et proportionné à la perfection. Je l'examina sous tous les angles et ne réussis point à y trouver de défauts. Je me résignais et m'élança a ma prochaine quête : la couvrir de milles baisers, goûter chaque parcelle de son corps, la savourer tout entière. Sans même me regarder elle comprend mon intention et se détend, prête à recevoir mon offrande de baisers.


Le contact de mes lèvres contre sa peau était d'une infinie douceur, comme si j'embrassais de la soie. Je descendis le long de son cou pour atteindre le haut de ses épaules, ce qui la fit une nouvelle fois frissonner, puis je descendis, lentement, continuant ma quête de baisers et arriva en haut de sa poitrine. Sa peau était brûlante et mes baisers suivaient le rythme de sa respiration qui se fit légèrement plus haletante, sa poitrine se soulevait légèrement, au gré de son souffle et je décida de ne pas me laisse troubler d'avantage, repartant dans mon exploration. Ma bouche entra en contact avec de la peau légèrement plus douce – si c'était possible – et donnait l'impression de doucement amortir mes baisers : je découvrais ses seins magnifiques. Mon attention se porta sur cette mince parcelle de son corps pendant de nombreux instants, elle avait une poitrine des plus parfaite, comme si elle avait été volé à un ange. Mes lèvres brûlaient, enflammant mes joues à leur tour et une goutte de sueur ne put s'empêcher de perler dans mon dos tandis que ma belle inconnue lâcha un soupir de contentement sous l'assaut de mes baisers. Je décida alors de ne m'attarder plus longtemps et descendis encore le long de son corps. Puis, ma bouche me fit goûter son nombril qui trônait sur son ventre merveilleusement plat et finement musclé. Je relevais la tête et vit mon inconnue me sourire comme jamais et, une fois n'est pas coutume, je ne pus résister a cet appel me jetant contre ses lèvres. Je sentis alors sa main courir sur mon ventre, m'arrachant frissons sur frissons tandis que je goûtait son baiser. Elle s'arrêta sur mon bas ventre et commença à parcourir mon intimité, me caressant avec attention de ses doigts de fées. Je sentis le désir monter en moi comme une flèche fend l'air tandis que ma belle continuait ses caresses. Jamais je n'avait sentis pareil plaisir, et tandis que s'accroissait celui-ci je sentais ma retenue s'amoindrir de plus en plus, je ne pourrais bientôt plus résister. Je décida alors de prendre les devants en découvrant moi aussi son intimité de mes doigts brûlants d'impatience...

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 16 août 6 16 /08 /Août 16:31
Vous semblez être amateur d'histoires de triolisme.
En voilà une qui devrait vous plaire une fois de plus. A se demander ce que vous trouvez de plus excitant que de prendre une femme à plusieurs...

Ce soir là, nous recevions Yannick, un ami de longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé que de coutume.

Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine. Celui de mon épouse étant plus qu' avantageux (95D), je le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, Olivia se mit à rougir, gênée. Yannick, répliqua qu'elle ne devait surtout pas en avoir honte et qu'il m'enviait de pouvoir faire l'amour à une femme avec d'aussi jolies seins.

A cet instant, étant placé juste à coté d'elle, je déposais un baiser dans son cou. L'alcool aidant et ayant ma petite idée derrière la tête, je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier, ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face d'elle. Très excité par la situation, je continuai mes caresses et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant ce spectacle, Yannick n'en croyait pas ses yeux et ne savait trop quoi faire.

Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d'habitude très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter devant un autre homme. Les petits soupirs qu'elle poussait prouvaient d'ailleurs le désir qui montait en elle. Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et en peu de temps je libérais sa poitrine devant les yeux de Yannick, ravi du spectacle et commençant à se douter de la fin de la soirée que j'envisageais. La respiration d'Olivia s'était faite haletante et ses tétons pointaient comme jamais : Je me mis à les sucer à tour de rôle.

Je sentais Yannick partagé entre la gêne et l'excitation et je lançais "Ce serait dommage d'avoir deux bouches et deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ?". La réponse de mon épouse me stupéfia : " Et surtout deux bonnes queues."

Je fis alors lever Olivia et la conduisit vers le canapé en faisant signe à Yannick de nous rejoindre. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs. Yannick s'en donnait à coeur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons. De ma main libre, je commençais à lui caresser l'intérieur des cuisses tout en soulevant sa jupe. Sa culotte en dentelle était déjà humide et en l'écartant, je découvrais une chatte toute poisseuse d'excitation dans laquelle j'introduisis deux doigts.

Comme si c'étais le signal du départ, elle commença à masser nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant plus largement les cuisses. Yannick s'agenouilla alors devant elle, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement, ne lui laissant que ses collants et escarpins vernis. « Faites moi jouir » nous dit alors Olivia, d'une voix tellement excitée que j'eu du mal à la reconnaître.

Ne se le faisant pas dire deux fois, Yannick enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses seins tout en l'embrassant dans le cou. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin que Yannick puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Je remarquais qu'il en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou. «Montre-lui ton cul» lui ordonnais-je alors, tout en sortant ma queue de mon pantalon.

Yannick m'avait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de l'admirer dans cette posture. Se mettant à quatre pattes et se cambrant au maximum, Olivia présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans l'anus. Dans le même temps, je me glissais sous mon épouse, en position de 69, et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus d'amour me dégoulinait littéralement dans la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment. Jamais elle ne m'avait si bien sucé, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.

Ma queue fut bientôt rejointe par celle de Yannick qui s'était enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland violacé par le désir. Mon épouse se mit alors à nous sucer à tour de rôle puis se cantonna à la bite de Yannick, me faisant ainsi comprendre qu'il serait peut être temps de me servir de la mienne. Je me plaçais donc derrière elle et commençais à l'enfiler lentement, faisant pénétrer ma verge centimètre après centimètre.

Alors qu'une demi-heure auparavant nous discutions autour d'un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus, en train de faire tous l'amour sur le canapé, les gros seins de ma femme se balançant au rythme soutenu de mes coups.

Jamais je n'avais connu son sexe aussi trempé. J'avais l'impression d'enfiler une fontaine et mon sexe en ressortait tout brillant de mouille. A chacun de mes va et vient, un bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de mes couilles claquants contre ses fesses.

Olivia se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos. Aussitôt, elle vint s'empaler sur ma queue tout en continuant à sucer la verge de Yannick. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que je m'empressais de peloter. Placé comme je l'étais, je ne pouvais pas en rater une miette et je voyais distinctement le sexe de mon ami Yannick aller et venir dans la bouche de ma femme. La voir se conduire comme la dernière des salopes m'excitait énormément et je devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.

Instinctivement, je me mis à lui caresser le trou du cul qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de Yannick. En effet, c'est sans grand effort que je put faire pénétrer un doigt, puis un deuxième, encouragé par Olivia qui me demandait de l'élargir en des termes peu raffinés et que je n'avais pas l'habitude d'entendre de sa bouche. Soudain, entre deux gémissements de plaisir, Olivia s'exclama « Je vous veux tous les deux en même temps, prenez-moi par les deux trous ».

Comprenant son désir, Yannick, vint présenter son sexe à l'entrée de son anus déjà dilaté. Lorsqu'il la pénétra, sans difficultés, je sentis distinctement sa queue aller et venir à travers les parois de son vagin. Olivia n'était plus qu'un objet sexuel entre nos mains, et nous la remplissions ainsi alternativement à tour de rôle. Elle était en nage, déchaînée. Prise en sandwich, pilonnée en rythme par nos queues, elle eut deux orgasmes successifs.

Brusquement, Yannick se retira, se leva et vint présenter son sexe devant la bouche d'Olivia. A ma grande surprise, elle entreprit immédiatement de sucer ce sexe qui sortait pourtant à peine de son cul. Très excité par ce que je voyais, je laissais tomber sa chatte et pris la place de mon ami afin de l'enculer à mon tour. Son anus ressemblait à un cratère béant et je n'eu aucun mal à m'y enfoncer jusqu'à la garde. Yannick se plaça alors sous elle et se mit à lui bouffer la chatte pendant que continuais mon va-et-vient dans le cul de ma femme. C'est à ce moment là qu'elle eut son troisième et dernier orgasme.

En quelques secondes, Yannick jouit à son tour et déversa une giclée de sperme dans la bouche d'Olivia qui en recracha une partie qui dégoulina sur le canapé. Quant à mon tour je dis que j'allais venir, elle me dit « Viens, je veux boire ton jus ».

Ce n'était plus ma femme que j'avais en face de moi, c'était une belle salope, avide de sexe et qui en redemandait. Je lui enfilais donc ma verge dans la bouche sans ménagement et au moment de jouir, je lui maintint la tête pour qu'elle n'en recrache pas une goutte. « Avale, salope...ma petite salope à moi », dis-je en balançant mon foutre au fond de sa gorge.

Jamais je n'aurai osé me conduire de la sorte avec elle avant ce soir là mais il était évident qu'elle prenait un grand plaisir à se faire ainsi avilir par deux hommes en même temps. De plus, j'avoue que ce changement qui s'opérait chez elle n'était pas pour me déplaire, me dévoilant des horizons nouveaux.

Elle qui avait toujours refusé de participer à un trio, pourtant mon plus grand fantasme, venait d'être particulièrement gâtée pour une première. Son sourire encore tout barbouillé de sperme était pour moi la plus belle des récompenses ainsi que la promesse de futurs alléchants.
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Samedi 16 août 6 16 /08 /Août 12:57
J'ai rencontré une jeune femme vraiment adorable. Elle s'appelle Lisa et elle travaille pas très loin de chez moi.
J'ai sympathisé avec elle et je suis devenue un peu sa confidente.
L'autre jour, alors que nous parlions des mecs, elle m'avoua qu'elle était seule depuis très longtemps.
Sa dernière expérience avait été un fiasco.
J'appris plein de chose sur sa vie intime, et l'une de ses paroles m'a donné une idée.
Elle m'a avoué qu'elle n'avait jamais pratiqué la fellation.
J'avais mon défis pour Marc.
J'allais le preter à cette pauvre Lisa le temps d'une soirée.
Elle allait pouvoir enfin connaitre le gout du sperme. En prime elle aurait une queue pour elle toute seule (enfin presque...) toute la soirée.
Il me restait plus qu'à organiser cela.
Je ne dis bien sur rien à Marc.
Lisa arriva chez nous vers 20H. Elle était très bien habillée et portait une mini jupe très sexy.
Elle était vraiment très belle.
Je ne comprenait d'ailleurs pas comment elle pouvait etre encore seule.
Marc est à l'étage.
Nous étions occupés si tu vois ce que je veux dire.
Mais viens avec moi. Je vais te montrer.
Lorsque nous sommes entrés dans la chambre, Lisa vit Marc attaché au lit. Il ralait après moi mais il se calma lorsqu'il vit Lisa.
D'ailleurs son sexe fit exactement le contraire et d'abord mou il prie de la vigueur lorsque Lisa et moi sommes arrivées.
Lisa était un peu génée puis elle se détendi.
Je retournait un moment auprès de Marc pour le sucer un petit peu. Il fallait bien que je me fasse pardonné de l'avoir laissé.
Puis je feins d'avoir quelque chose à faire pour quitter la pièce. En partant je dis de la facon la plus naturelle possible :
Ne le laisse pas refroidir !
Je fis semblant de partir mais je regardait pas le juda de la porte.
Lisa ne savait pas trop quoi faire.
Marc bandais comme un fou. Lisa finit par s'approcher de lui etsaisit mon membre et commença à le masser très
doucement.
Une chose en entraînant une autre, elle finit par l’enfoncer bien au fond de sa bouche, d’abord timidement et puis avec des
mouvements de plus en plus appuyés.
Ça y est, cette coquine avait franchi le pas.
Elle s’en prenait au sexe de Marc avec une gourmandise incroyable et je n’en croyais pas mes yeux en la voyant sucer ma verge

à gros coups de langue, comme une vraie salope, ivre de sexe.
Je ne reconnaissais plus la fille timide et prude du supermarché dans la peau de cette chaudasse,
 qui se plaisait à trouver mille et une façons de s’occuper d’un membre.
C’était sa toute première fois mais on dirait qu’elle s’y était entraînée depuis longtemps, pour développer cette technique
si incroyable qui me faisait entrevoir un coin des cieux.
Finalement, voyant que Marc allait exploser face à ses coups de langue je reapparu.
Lisa s'arreta lorsqu'elle m'aprecu.
Marc semblait vouloir continuer mais je lui dit qu'aujourd'hui les femmes avaient le pouvoir.
Ce soir c'est elles qui s'occupait de lui. Et il n'oublierai jamais cela... (A suivre)
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 13:32



J'avais 20 ans, je venais de finir mes études et j'allais bientôt partir pour un stage à l'étranger. J'étais célibataire depuis peu et j'avais rencontré un mois auparavant un beau black. J'avais totalement craqué pour lui mais je n'avais pas osé prendre son numéro. Je le pensais en couple et il avait 10 ans de plus que moi plus un bébé. je me suis dit que c'était mieux de laisser tomber.

Un mois après cette rencontre, je tombe sur lui par hasard en ville, il était en voiture et moi à pieds, on s'est salué et il m'a demandé mon numéro pour qu'on puisse aller boire un verre le soir.

Le soir après mon cours de danse nous nous sommes donc filer rendez-vous pour aller prendre un verre. Surprise pour moi : il n'était pas seul mais avec un ami.

Ils me proposent tous les deux d'aller prendre un verre dans un café et puis pourquoi pas sortir en boîte. Je dis oui pour le verre, pour sortir on verra.

On se retrouve donc dans un café quelconque à boire un verre tous les trois et à discuter de tout et rien. Les verres commencent à défiler mais vu que je venais directement de mon cours de sport et que je n'avais pas manger je n'avais pas trop envie de boire de l'alcool. Les deux gars quant à eux avaient décidés de me faire boire. Ma commande de coca s'est vite transformée en blanc coca et ma tête ne tarde pas à tourner. L'heure avance aussi, et lorsque les gars me proposent d'aller en boîte, vu la quantité d'alcool que j'ai bu, j'accepte, mais à la condition que je puisse rentrer chez moi me changer. Nous voici donc en voiture direction mon appart.

On y restera une bonne heure à boire encore, et à manger un petit bout pour moi. J'essaie des tas de tenue, j'essaie de provoquer. Ca fait trop longtemps que je suis célibat et je vois l'occasion de me taper un gars ce soir. J'opte finalement pour une mini-jupe en cuir, et un top noir totalement dos-nu. Ils ont adorés mais rien ne se passe ...

C'est alors que l'ami de mon beau chevallier décide d'aller aux toilettes. Il n'en fallait pas plus à mon beau chevallier pour m'attrapper par le bras, me mettre sur ces genoux, et m'embrasser sauvagement. Je suis aux anges, un mois que j'en rêvais. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises!

On sort donc en boîte et c'est de plus en plus chaud entre nous deux. On ne se décolle pas, les mains se font de plus en plus balladeuses et c'est vrai que ça devient limite pour les autres clients. On décide donc d'aller s'envoyer en l'air dans la voiture ... et là c'est l'extase. L'alcool aidant on baise comme des bêtes, il me fait vibrer.

on rejoint ensuite son ami qui était resté à la boîte et fait la tête .

Il est 6h du mat, je dois commencer le baby sitting à 8h du mat, j'ai mal à la tête, mais on décide d'aller chez mon chevallier pour se reposer une petite heure. Durant le temps du trajet on ne cesse de s'embrasser et je pousserais même le vice jusqu'à le sucer alors même que son ami est dans la voiture.

Arrivé à son appart, on se déshabille tous les trois, et là plutôt d'une heure de repos je me retrouve vite entrainée dans une heure de baise à trois plus qu'intense. J'avais jamais expérimenté un truc pareil, c'était génial. Pour commencer mon chevallier et moi avons fait l'amour devant son ami, qui ne sait pas gêné pour nous regarder et puis il nous a rejoint. Je me suis fait dans la même nuit ma première pénétration anale et ma première double, je peux vous dire que c'est inoubliable. Deux beaux blacks pour moi seule, c'était doux et en même temps hard, pas possible de se débiner ou de dire non mais en même temps c'était doux, difficile à expliquer.

Quand son ami nous à rejoint, mon ami s'est levé pour aller chercher un verre à boire. L'ami s'est alors allongé à côté de moi dans le lit et s'est mis à me caresser la chatte. Puis tout doucement à me lècher. Mon chevallier nous a rejoint et s'est allongé de l'autre côté et après m'avoir murmuré de doux mots aux oreilles et m'avoir embrassé tendrement, il m'a donné sa belle bite à sucer. J'étais comme sur un nuage, prête à tout. Ensuite son ami m'a doucement pénétrée pendant que je continuais à sucer mon chevallier. Les deux m'ont ensuite demander de me mettre à 4 pattes, je n'avais jamais testé la pénétration anale et je n'avais donc pas très envie. Je gémis non, mais sans succès, ils m'ont tous les deux retournés et mon chevallier m'a d'en coup pénétrée en m'empêchant de parler. Au début j'ai détesté, mais rapidement j'en ai redemandé. Son ami l'a alors relayé, sa bite était plus grosse, et mon chevallier s'est glissé en dessous de moi pour me reprendre en pénétration vaginale.Je ne regrettais absolument pas ce que j'étais en train de vivre.

Nous n'avons pas été plus loin sur ce jour-là. Après m'avoir bien ramonée les deux se sont retirés. J'ai de nouveau sucé mon chevallier pendant que son ami terminait le travail pour éjaculer sur mes fesses. Magnigique!


Ensuite, j'ai regardé l'heure et j'ai vu que je devais être au boulot 20 minutes plus tard! J'étais à une heure de bus de là, mais mon doux prince m'a raccompagné et à fait toute la journée de baby sitting avec moi.

Nous avons continuer notre relation jusqu'à mon départ deux mois plus tard, sans autre histoire à plusieurs! ça été notre seule fois à plusieurs, nous nous sommes aussi revu après mon retour de stage mais au bout d'un mois ça n'allait plus entre nous.

Je l'ai revu en décembre, et bien que je suis maintenant casée, je n'ai pas pu résister à une après-midi dans les bois avec lui, c'était toujours aussi intense!




Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 12:57
Deux jours après la fameuse fellation, Laurent est revenu chez nous. Marc lui avait demandé de passer pour lui apporter quelque chose.
Mais la veritable raison était qu'il n'avait pas renoncer à son idée.
Il voulait que quelqu'un me baise devant lui. Je savais que ce soir j'allait y passer...
Et j'en mourrait d'envie.
Laurent me salua chaleureusement. Il me devisagea du regard comme si il imaginait mon corps sous mes vetements.
Nous nous sommes installés dans le salon.
Marc était impatient de voir son ami me prendre. Il me demanda de sucer notre invité.
Je m'agenouillais et deboutonna son pantalon. Je commenca donc à le sucer.
J'avais encore en memoire le gout de son sperme.
Il me laissa faire et continait a discuter avec Marc comme si de rien etait.
Marc s'approcha de moi et souleva ma jupe, puis il mis sa mains dans ma culotte.
"Tu mouille salope !"



Il me deshabilla completement et me pris en levrette alors que je continuais a sucer Laurent.
J'étais aux anges avec toutes ces queues. Après quelques minutes, ils intervertir les roles.
Laurent laissa sa place à Marc sur le canapé et il se placa derrière moi.
Il avait du mal à trouver l'entrée... A moins que.
Le cochon choisit le petit trou. Il m'enfonca sa queue dans l'anus.
Je lachais un gemissement en sentant sa queue prendre possession de ma rondelle. Marc vit bien que j'aimais cela.

Il degagea sa queue de ma bouche et il pris possession de ma chatte.
J'avais une queue dans chaques orifices. C'étais la première fois que j'avais le droit à une double pénétration.
Et je dois bien avouer que cela me plaisait énormement.
Sentir ces deux queues aller et venir sans cesse, ces couille claquer contre mes fesses.
D'abord Laurent et sa grosse queue qui pilonnait mon anus avec application.
Et la queue plus petite mais aussi plus vigoureuse de marc qui s'occupait de ma chatte...
J'en perdait la tête.
Les deux compères continuèrent à me donner du plaisir un bon moment. Aucun d'eux ne voulant céder.
C'est Laurent qui craqua le premier. Il explosa en moi dans un rale intense.
Je sentais un flot de sperme envahir mon anus et couler
entre mes fesses.
Il resta un moment en moi à reprendre ses esprits.
Puis ce fut Marc qui pris possession de mon anus dilaté.
Il rentra sans problème et repris le travail de Laurent.
Après moins de deux minutes il jouit à son tour.
Voilà donc comment j'ai tenu parole et réalisé le fantasme de Marc.
La prochaine fois je vous raconterais la suite de cette aventure.
En effet, c'était maintenant mon tour de décider qui il baiserait et surtout ou...
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Dimanche 10 août 7 10 /08 /Août 13:21

J’étais venu passer quelques jours à Tokyo chez un ami américain qui s’y était installé depuis quelques années. Il avait épousé une charmante jeune femme japonaise et je dois avouer qu’elle me faisait bien envie. Mais bon, c’était sa femme et il y avait suffisamment de quoi chasser ailleurs. Le problème, c’est que seul dans cet univers complètement inconnu pour moi qu’était le Japon, j’étais un peu perdu. Aussi étais-je sans cesse collé aux basques de mes hôtes.

 

Un soir, mon ami m’expliqua qu’il devait accompagner son épouse à une soirée au sein de la famille de celle-ci, et qu’il ne pouvait pas trop me prendre avec. J’étais un peu ennuyé et lui demandai ce que je pourrais faire pendant ce temps. Il réfléchit un instant, puis il prit un air mystérieux et m’indiqua une adresse au dos d’une de ses cartes de visite. Il me la tendit et me murmura :

-Va là. Crois-moi, tu vas passer une bonne soirée. Mais tu gardes ça pour toi.

Puis sa femme, qui pendant ce temps s’était préparée pour la soirée, revient et tous deux quittèrent l’appartement. J’hésitais un peu, puis craignant de m’ennuyer à mourir, je pris un taxi et lui indiquai l’adresse.

 

Le taxi me laissa dans une petite rue, et je ne voyais pas la moindre enseigne. Je redemandai au chauffeur si c’était bien là, et il m’indiqua une petite porte discrète en riant. L’entrée était bien modeste, mais je m’y hasardai néanmoins. Je frappai à la porte. Personne ne vint m’ouvrir. Je poussai sur la poignée et me retrouvai dans un petit hall d’entrée. J’étais maintenant devant une autre porte, et je me demandais ce que je faisais là. Alors que j’allais revenir sur mes pas, un petit homme grisonnant vint à ma rencontre et me pria de le suivre. Je pénétrai alors dans un local qui paraissait beaucoup plus accueillant, richement meublé avec une lumière rouge tamisée qui donnait à l’endroit une touche mystérieuse.

 

Je suivis l’homme d’un pas lent, en contemplant la déco, et il m’emmena jusqu’à une petite pièce. Il m’invita à y entrer et referma la porte derrière moi. Un peu étonné, je jetai un œil à ma seule issue de secours, puis, je décidai de me retourner pour voir ce qui m’attendait. Ô surprise, une jeune Japonaise était étendue sur un tapis de bambou, et elle était totalement nue. Je m’approchai. Son corps était recouvert de divers sushis et à côté d’elle, je pouvais trouver diverses sauces et des baguettes.

 

J’étais un peu gêné par cette situation. J’évitai le regard de la jeune femme. Elle semblait très jeune, mais j’ai toujours eu de la peine à donner un âge précis aux Asiatiques. Ce qui est sûr, c’est qu’elle était très mignonne, fine, des jolis petits seins bien fermes. Je me suis donc assis devant elle. Elle ne bougeait pas. J’ai dû me concentrer sur son ventre pour être certain qu’elle respirait. J’ai alors pris les baguettes et me suis mis timidement à manger les sushis qui recouvraient son corps. C’était à la fois jouissif et gênant. Tout en mâchant, je pensais à mon ami et me posais des questions à son sujet. Venait-il encore ici de temps en temps ? Avait-il rencontré son épouse dans ce lieu un peu louche ?

 

J’admirais également la peau blanche de la jeune femme. Je mourrais d’envie d’y goûter mais j’imaginais que je n’avais pas le droit de la toucher. C’était un peu de la torture… Mais au fond, je n’en savais rien. Cet endroit était-il seulement un restaurant ou plutôt un bordel déguisé ? J’avais intérêt à me montrer sage, car je ne connaissais pas grand-chose aux coutumes locales et ne voulais pas avoir d’ennuis. Rapidement, j’avais avalé presque tous les sushis et le corps dévêtu de la jeune femme s’offrait à moi. Il régnait dans la salle un silence oppressant que seule ma façon de manger un peu bruyante pouvait briser.

 

Ce qui restait se trouvait autour et sur le pubis de la demoiselle qui ne bronchait toujours pas. Je pris du temps pour les avaler et les savourai comme il se doit. Puis il me prit l’envie d’essuyer les traces qui restaient sur la peau claire de ma table humaine. Celles-ci se trouvaient près de son minou et ce qui devait arriver arriva. N’ayant plus de serviette, je me mis à lécher ce qui restait, sans la moindre intention déplacée bien sûr, mais envoûté par le parfum que dégageait son sexe, je ne pus m’empêcher de dévier sur celui-ci.

 

Ma langue se heurta à la toison dense et bien soignée qui protégeait l’entrée de son vagin, mais cette défense était bien futile devant mon ardeur soudaine. Je m’attendais à tout moment à une résistance de la jeune fille. Je m’étais déjà préparé à lui faire mes excuses, à lui dire que j’étais navré, etc. Au lieu de ça, elle pressa fermement sur ma tête et se mit à geindre. Je compris qu’une folle partie de baise venait de démarrer et que j’allais enfin savoir si tout ce qu’on disait sur le sang chaud des Japonaises était exact.

 

La direction indiquée était bien entendu le clitoris. Je ne me fis pas prier pour appliquer ma langue exercée à cet endroit stratégique. Déjà, les cris se faisaient pressants. La jeune femme paraissait super chaude et je ne voulait pas que le moment soit trop court. Il me parut donc indiqué de m’attarder également à son vagin, ce qui allait se révéler utile pour la suite. Je laissai volontairement couler de la salive sur l’orifice puis utilisai mon muscle buccal pour que le liquide soit exploité au mieux. Le vagin était prêt à l’emploi, mais je me devais de finir le travail que j’avais entrepris auparavant et remontai sur le clitoris que j’achevai assez vite, malgré quelques aller-retour vers le vagin – juste pour le plaisir de son goût – tant la demoiselle était réceptive.

 

Quel délicieux dessert j’avais eu là. Ma table humaine semblait complètement à plat, elle reprenait son souffle, jambes écartées. Quel homme normalement constitué serait resté inactif dans une telle situation. N’ayant pas de préservatif sur moi (ô rage), je me mis à me branler au-dessus d’elle. Elle me regarda d’un air curieux puis se releva. Bien élevée comme elle était, elle avait décidé de m’aider. Le simple contact de ma queue avec sa bouche me fit fondre, mais il fallait que je fasse bonne figure et profite au maximum de cette beauté. Ainsi, je me retins d’éjaculer tant que ce fut humainement possible, tout en caressant ses magnifiques cheveux noirs. Lorsqu’elle sentit que je n’en pouvais plus, elle me laissa sortir ma bite de sa bouche et lui envoyer mon jus sur le cou. Puis il fut temps pour moi de m’en aller, vite, comme si j’avais rêvé. Je repassai, gêné, vers le petit homme. Il me communiqua la note et à la vue du total, je compris alors que la séance de jambes en l’air devait être prévue dès le départ.

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