Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 17:35

C’était le début de l’année scolaire et je m’apprêtais à emménager sur le campus de mon université. J’avais eu beaucoup de chance de recevoir une réponse de la fondation de logement car il y avait des listes d’attente de parfois plusieurs années pour pouvoir disposer d’une chambre. Les chambres en question étaient regroupées par 3 ou 4 dans des appartements disposant de cuisine et salle de bain commune. Je me présentai donc sur place le jour convenu, afin de procéder au transfert des clés avec l’ancienne occupante. Je m’étais brièvement entretenu avec elle au téléphone ; elle avait un accent marqué de l’est, elle devait être tchèque ou polonaise. Notre rencontre confirma mon impression ; elle était assez grande, de longs cheveux blonds, des yeux gris verts, des formes discrètes mais néanmoins harmonieuses et devait être à peine plus âgée que moi.

-Bonjour ! Me dit-elle avec un sourire radieux, il va falloir attendre un moment car comme tu vois je n’ai pas encore terminé le nettoyage !

En effet, les concierges étant des gens maniaques. Ceux qui partaient devaient, en plus de nettoyer la chambre, faire le ménage dans tout l’appartement. Ils m’avaient également dit qu’il était interdit d’inviter des personnes extérieures à l’appartement pour dormir, mais là-dessus ils pouvaient toujours rêver…

Mes cours allaient recommencer :

-Je laisse mes affaires ici. Je repasserai vers 18 heures, lui dis-je.

-Ok merci, ça me laissera le temps de terminer ça et de faire mes adieux.

Après deux heures de cours rébarbatifs d’ingénierie des matériaux, j’en attaquai un autre qui nous préparait à réaliser un projet en rapport avec le développement durable. L’un des profs ayant été absent, nous fûmes libérés une heure plus tôt. Je retournai à l’appartement.

La porte n’était pas fermée à clef, mais pourtant on aurait dit que personne n’était là. Mes futurs colocataires, en tout cas, étaient absents. En me rendant du côté des chambres, je trouvai la mienne entrouverte. Des gémissements étranges en provenaient.

Je m’approchai de l’entrebâillement de la porte pour découvrir le mystérieux spectacle : L’ancienne occupante complètement nue était en train de dire adieux aux lieux à sa manière bien personnelle. Allongée sur le lit, elle se caressait tendrement les seins et la chatte tout en prononçant des choses incompréhensibles en tchèque. Par chance, elle ne m’avait pas vu. Elle semblait trop excitée pour s’occuper de ce qui se passait autour, de toute façon. Me déplaçant pour y voir un peu plus, je trouvai une orientation devant la porte où elle-même pouvait difficilement me voir.



Le plaisir semblait la gagner peu à peu. Elle s’était allongée sur le dos et soulevait son bassin tout en enfonçant cette fois ses doigts dans sa chatte ouverte et humide dirigée vers moi tandis qu’elle se suçait l’index de son autre main. Mon érection depuis un moment était trop forte, je ne pus résister à l’envie de l’accompagner dans sa séance masturbatoire, toujours caché derrière la porte. Elle montait et descendait son bassin et les trois doigts qui lui limaient la chatte étaient de plus en plus rapides. La cyprine coulait le long de ses fesses et de son ventre pour terminer sur mon nouveau matelas. Je me dis que cette coquine l’avait très certainement imbibé abondamment pendant toute la durée de son séjour.

Elle se retourna soudain et monta ses fesses aussi hautes qu’il était possible à genoux tandis que l’avant de son corps était allongé. Sa main droite s’agitait toujours fébrilement et elle profita de l’abondance de cyprine pour s’enfiler l’index gauche dans l’anus. Se branlant les deux trous en même temps, elle commençait à gémir rageusement, toujours dans ce que je pensais être du tchèque. De la voir soumise dans cette position me plongea dans un état d’excitation incontrôlable. Après tout pensais-je c’était maintenant ma chambre et mon lit, elle ne pourrait pas m’en vouloir.

Et donc j’entrai discrètement dans la chambre, m’approchai d’elle et lui saisit fermement les deux poignets. Elle poussa d’abord un cri de surprise, mais rapidement elle agita lentement les fesses dans un ronronnement d’invitation. Sans mal, je lui enfilai ma queue tendue à craquer dans sa chatte dilatée à souhait. La sensation d’être dans tant de chaleur et d’humidité était incroyable et me rappelais plus de lointains souvenirs de jungle tropicale que les rues glacées de Prague. Je commençais à la troncher, elle criait d’envie et de contentement comme si ma queue hypertrophiée était soudaine garante de sa survie. Je la lui mettais profondément, lui caressait le dos et la poussant vers le bas d’une main, lui assénant de violentes fessées de l’autre. Son corps, déjà traversé de plaisir bien avant que je revienne des cours, fut rapidement pris de plusieurs orgasmes successifs. Baissant ma garde, je la laissai se relever. Malgré tout cela, elle était toujours plongée dans une sauvagerie surnaturelle, elle me poussa sur le lit et vint s’asseoir à califourchon sur moi. Empoignant mon sexe, elle se l’enfila à nouveau et commença à s’agiter dessus comme une furie en faisant des cercles dans toutes les directions possible. L’accompagnant dans son rythme je lui assenais de violents coup de bite et malgré ses cris, je pouvais presque entendre le bruit de mon bassin qui tapait contre ses fesses et ses cuisses.

Il y eut tout à-coup un cri plus fort que les autres et elle retomba sur moi, extenuée. Je pensais cette fois l’avoir achevée, mais à ma grande surprise elle se leva peu après, m’empoigna à nouveau le sexe et le pris goulûment dans sa bouche tout en m’offrant sa chatte luisante. Je la léchai avec plaisir, la pénétrant avec ma langue ce qui rendit la chiennasse encore plus folle. Elle me pompait de plus en plus vite, avec tant d’ardeur et de gourmandise que je ne pus plus tenir bien longtemps. J’explosais soudain dans sa bouche, dans de grandes giclées saccadées, et elle avalait le tout avec avidité. Elle continua ainsi en me branlant pour en tirer tout ce qu’elle pouvait, je fus pris de soubresauts de plaisir et lui donnai les dernières fessées.

Quand le calme fut revenu, elle se leva, retrouvant son calme et son sourire :

-Voilà, je te confie la chambre. Prends-en bien soin !

Elle prit son sac et ses dernières affaires puis s’en alla. Le transfert s’était plutôt bien passé…

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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