Les récits de Camille

Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 12:54

Je ne vous ai jamais raconté l'histoire de John et des deux soeurs Banks.
Et bien plus qu'un long discours voilà quelques photos prises lors de cette soirée à trois dans la salle de bain de John.



Je suis sur que vous voudriez voir la suite....
Comment se termine cette histoire ?
RDV demain...

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 4 novembre 3 04 /11 /Nov 16:16
Je m'appelle Emma. Je vais vous raconter ma première expérience de sexe en groupe.
Depuis je pratique régulièrement les partouzes.
Je vous raconterais quelques unes de mes expériences au cours d'autres récits.
Mais l'histoire qui nous intéresse se passe il y  a tout juste 5 ans.
Je vivais alors avec mon homme depuis deux ans et nous envisagions de nous marier.
Tout allait pour le mieux dans notre relation.
Du moins c'est ce que je croyais. Jusqu'à cet automne 2004.
J'étais souffrante et je ne suis pas allée au travail ce jour là.
J'ai donc passé la journée à surfer sur internet.
Et tout à fait par hasard, alors que je cherchais une photo que je venais d'enregistrer sur le disque dur, je suis tombé sur un dossier intitulé simplement "X".
Je n'avais aucune idée de ce qu'il contenait. En général je n'utilise pas l'ordinateur. C'est un peu la chasse gardée de mon mari.
Le dossier contenait quelques photos pornographiques. C'est du beau pensais je, un peu décue que mon mari ait du aller regarder d'autres femmes.
Mais bon, combien d'hommes regardent ce genre de photos ?
Je n'allais donc pas lui en tenir rigueur.
Il y avait également un fichier vidéo.
Je l'ouvris.
On y voyait mon mari, nu sur le lit, entrain de se masturber.
J'étais vraiment très surprise.
Je m'installais donc devant cette vidéo, très intéressée par le spectacle.
Pourtant ma joie fut de courte durée puisque 30 secondes plus tard je vis une femme arrivée dans le champs de la caméra.
Elle étais elle aussi entièrement nue et elle se dirigea directement sur la queue de mon mari et elle commenca à le sucer.
Je restais complètement abassourdi par ce que je voyais.
Jamais je n'avais imaginé qu'il puisse me tromper.
Même si cela me faisait mal, j'ai décidé de voir la vidéo en entier.
Je vous passe les détails. Je dirais simplement pour résumer qu'ils ont baiser presque 30 minutes. Mon mari a pris cette femme dans toutes les positions.
Il a commencé par s'occuper de sa chatte avec sa langue. Il était très doué pour faire des cunnilingus. Moi même j'adorais m'abandonner à sa langue experte.
Il l'a ensuite pris en levrette puis sans changer de position, il pris possession de son anus.
Il la pilonna 5 bonnes minutes.
J'étais écoeurée du spectacle.
Je n'avais jamais voulu qu'il me sodomise. Est ce pour cela qu'il est allé voir ailleurs ?
Je fermais cette vidéo sur cette vision affreuse.
J'étais furieuse. Si mon mari avait été là, je l'aurais tué de mes mains.
A la colère, succédèrent les larmes.
Mais quand mon mari rentra, je fis comme si rien ne s'étais passé.
Il arriva vers 17H comme à son habitude. Et il s'installa sur le canapé.
Nous avons bavardé de sa journée . Après manger, nous nous sommes retrouvés dans la chambre, et nous avons baiser comme chaque soir.
Je ne pouvais cependant pas m'arreter de penser à cette femme. Il y a quelques jours, c'est elle qui était à ma place.
Je ne changeais pourtant rien à mon comportement.
J'aurais ma revanche.
et c'est le surlendemain que j'eu l'idée.
Je filais sur l'internet et laissa l'annonce suivante sur un site spécialisé :
"Jeune femme cherche compagnon(s) pour nouvelles expériences"  
Inutile de vous le dire. Dès le lendemain j'avais recu des dizaines de réponses de pervers et autres obsédés du net.
Je selectionnais l'une d'entre elle.
Un certain benjamin qui n'habitait pas trop loin, tout en etant assez loin pour que je ne le rencontre pas dans l'avenir.
Je pris contact directement avec lui, pour lui expliquer ce que je souhaitais exactement. il ne semblait pas être plus surpris que cela, et il se proposa de m'aider à accomplir ma vengence.
Il dit qu'il s'occupait de tout et me donna RDV 10 jours plus tard.
Vous vous demandé surement ce que je lui ai demandé.
Et bien mon idée était de réaliser moi aussi une vidéo dans laquelle je me donnerais à un inconnu.
Je la ferais ensuite parvenir à mon mari avant de le quitter définitivement.
10 jours passèrent et le jour J arriva finalement.
J'étais très impatiente et je regrettais d'avoir donner RDV à un inconnu. Je n'avais jamais fait l'amour à quelqu'un d'autre que mon mari.
Il a été le sul homme de ma vie. Alors se faire prendre par un inconnu... Quelle idée j'avais eu.
Pour m'encourager je visionnais une dernière fois la fameuse vidéo.
Puis je pris la route pour rejoindre Benjamin au point de RdV.
Il m'attendais au Port de Marseilles.
Nous avons fait rapidement connaissance autour d'un verre.
Il était très différent de mon mari. plutot latin, il était petit et assez rablé. Pas vilain garcon, mais pas non plus extraordinairement beau.
Qu'importe. Je ne le reverrais jamais !
Lorsque nous avons fini notre verre il m'invita à le suivre. Il avait réservé une chambre dans un hôtel, à quelques pas de là.
Arrivé dans la chambre, j'ai pu remarquer que Benjamin avait déjà tout préparé.
Il y avait un grand lit au centre de la chambre. Une caméra était positionnée face au lit.
Une boite de préservatifs posée sur la table de nuit.
Je pénétrais dans la chambre, et lorsque Benjamin ferma la porte, lea peur m'envahit.
J'essayais de me rassurer.
Quelques minutes plus tard, quelqu'un frappa à la porte.
Benjamin ouvrit et un homme entra à son tour.
Voyant mon inquiétude, Benjamin m'expliqua que Bob allait filmer.
Je fut à moitié rassurée mais je ne pouvais plus reculer.
Je me rendit dans la salle de bain.
Je pris soin de m'epiler soigneusement. Puis je me pris un bain pour me détendre. Je suis resté très longtemps dans l'eau.
Je savais bien que lorsque je sortirais, j'allais devoir m'abandonner à cet homme.
Je du finalement me resigner à sortir, et j'enfilais mes sous vetements, et passa un peignoir.
Arrivée dans la chambre je découvrit Benjamin alongé sur le lit. Deux coupes de champagne à la mains.
Cette attention me rassura et je le rejoint pour trinquer.
Il ne resta pas longtemps inactif. Sentant bien que je faisais tout pour retarder l'échéance, il pris les choses en mains et il commenca par retirer mon peignoir.
Je me laissais faire.
Bob filmait.
Il retira ensuite mon soutien gorge, libérant mes deux seins qu'il embrassa tendrement.
Puis il s'attaqua à mon string.
Il poussa un petit cri de satisfaction en découvrant mon mont de vénus.
ses yeux en disaient long sur ses envie.
Il plongea son visage entre mes cuisses et pris possession de mon sexe avec sa langue.
Je ne pu meme pas imicer le moindre mouvement. La peur me paralisait.
Il me lécha d'abord doucement puis sa langue allait de plus en plus profondément.
Bob se rapprochait pour filmer la scène en plus gros plan.
Je me détendis un peu plus. Il savait comment me faire du bien. Sa langue excitait mon clitoris, faisant naitre le désir en moi.
Je commencais à me laisser aller et j'échappais quelques gémissements.
Cela l'encouragea et il repris de plus bel.
Mon sexe ruisselait.
Je voulu lui rendre le plaisir qu'il me donnait. Je me dégageais de son visage, et retira son pantalon.
Il m'aida à enlever son calecon. Je pu découvrir sa verge, qui me gratifiait d'une magnifique erection. Elle aussi ruisselait de désir.
Mais quelle verge !
Pas très longue, une vingtaine de centimètres, mais son diamètre m'impressionna. Je me demandais meme si mon vagin pourrait accueillir un tel engin.
Je lécha le bout de son gland avant d'engloutir son membre.
J'aimer les fellations. Je m'appliquais à le sucer, regardant à chaque pression de mes lèvres ses réactions. Il aimait cela visiblement.
Je lui caressais aussi les couilles, lui arrachant un râle de plaisir.
Visiblement lui aussi aimait cela.
Bob filmait la scène. Je pu meme remarquer qu'il aimait cela. La bosse de son pantalon en attestait.
Benjamin se releva et pris un préservatif sur la table. Il enfila celui ci sur son sexe en quelques secondes.
Il me pris par les hanches, me mis en position, et se placa derrière moi.
Je sentis son sexe se mettre en place, puis d'un coup de rein solide, il me pénétra.
Je poussais un cri lorsqu'il me penetra. C'était un mélange de plaisir et d'angoisse.
Mais très vite l'angoisse disparue.
Je n'avais jamais connu pareille sensation. Je sentais mon vagin ouvert au maximum pour acceuillir sa grosse verge.
Ce qui me procurais des sensations nouvelles.
Il allait et venais entre mes reins, m'arrachant des cris de jouissance de plus en plus intenses.
Bob fis un plan de mon viage pour montrer le plaisir qu je prenais.
Benjamin ne ralentissait pas, bien au contraire. Il pilonnait ma chatte, me caressant en même temps les seins. De mon coté, je caressais ses couilles avec une mains.
Il s'arreta un instant, me mis sur le dos, releva mes jambes, puis il enfonca à nouveau son engin dans mes entrailles. Il allait encore plus profondement dans cette position.
Le plaisir était décuplé, et je criais sous ses assauts.
Tout en me prenant, il réussit à me caresser avec une mains. Il caressais mon bouton déjà malmené par sa verge, Cela m'excitait encore plus. Puis insinueusement il laissa mon vagin et caressa mon anus.
Je ne le remarquais pas tout de suite. C'est lorsqu'il enfonca un doigt dans mon cul que je compris ces intentions.
Jamais mon mari n'avait pu penetrer cette partie de mon anatomie. Quelle plus belle vengence pourrais je avoir ?
Je décidais donc de ne pas protester. Je dis quand même à Benjamin que j'étais vierge de ce coté là.
Cela fini de l'exciter, et il arreta de me prendre, pour s'occuper de mon anus à part entière. Il enfonca un doigt, puis deux. J'étais à genou, les fesses relevées, et je me laissais faire sans broncher.
Il retira finalement ses doigts et se placa derrière moi une nouvelle fois. Je fermais les yeux, attendant l'issue fatale.
Mais il ne m'encula pas tout de suite, il me penetra à nouveau pour bien lubrifier sa verge avec ma ciprine.
Il lubrifia aussi un peu mon petit trou avec sa langue.
Lorsqu'il fut bien luisant il mis son engin à l'entrée de mon anus, puis il attendit un moment.
Il poussa doucement, entrant centimètre parès centimètres dans mon orifice. Cela me fit un mal de chien. J'hurlais de douleur.
Il eu un peu peur que je me retire, et il donna un ultime coup de rein pour faire rentrer complement sa verge dans mon anus.
Il resta alors quelques secondes ainsi puis il fit quelques mouvements pour elargir le passage.
Petit à petit sa verge dilata mon anus et il pu bientôt aller et venir sans difficultés. La douleur était maintenant partie et je me laissais bien volontier prendre ainsi.
Il retira sa verge pour que Bob filme mon trou béant. Il enfonca alors lentement sa verge dans mon cul puis recommenca à m'enculer de plus en plus fort.
J'avais ma vengence !
Benjamin ne pu bientôt plus se retenir, et il explosa dans un ultime coup de rein.
Et s'effondra à coté de moi.
Bob coupa sa caméra sur un dernier plan de mon anus.
Il pris quelque chose à boire dans le mini bar en attendant que Benjamin reprenne ses esprits.
Je voulu le remercier de son aide. J'entrepris de le sucer. Le pauvre était dans tous ces états. Il ne se fit pas prier et j'eu bientot son sexe dans la bouche.
Je lui demandais s'il voulait aussi m'enculer.
Il enfila un préservatif en guise réponse.
Benjamin pris la caméra à son tour.
Bob se placa directement derrière moi et il enfonca sa bite dans mon anus.
Celui ci avait avaler le gros sexe de Benjamin. La bite de bob , plus fine n'eu aucun mal à y entrer.
Il ne me donna pas autant de plaisir que son accolyte. Enfin pas tant qu'il me sodomisait.
Il me prit ensuite plus traditionnellement, et sa queue me fit à nouveau monter au ciel.
Plus longue que celle de benjamin elle allait bien profondement dans mon vagin.
J'étais entrain de perdre la tête lorsque je sentis une autre queue me pénétrer.
Benjamin venait de se positionner à nouveau dans mon "petit trou",. Le coquain !



Je sentais les deux queues aller et venir l'une après l'autre dans chacun de mes orifices.
Chacun de mes deux etalons voulant montrer qu'il etaient le meilleur amant, ils s'efforcaient de me penetrer du mieux qu'ils pouvaient.
Benjamin pilonnait mon anus par de violent coups de reins. Bob allait lui très loin dans mon vagin. sa queue allait et venait très rapidement.
J'étais ivre de plaisir.
Jamais je n'avais connu pareille jouissance.
Cette nuit reste à jamais dans ma mémoire.
C'est Benjamin qui jouit le premier, suivi de pres par Bob.
Nous nous sommes endormis tous les trois.
Je les ai quitté le lendemain matin, non sans les remercier, et bien entendu après une deuxième séance de sexe à trois. Je crois que j'étais devenue accroc.
Pendant toutes ces années si fidèles, j'avais décidé de me lacher sexuellement.
Caela fait cinq ans. Je ne suis toujours pas rassasièe.
Le lendemain, je fis mon sac, remis la video à mon mari accompagnée d'une lettre, et je partis.
Je ne le revis jamais.
Quant à Benjamin et Bob il nous arrivent de nous rencontrer dans certains clubs.
Je suis toujours heureuse de retrouver les queues qui m'ont donnée tant de plaisir.
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 13:04
C'était Andréa. Elle avait l'air très inquiète. Elle m'expliqua qu'elle avait perdu son chat. Elle avait entendu du bruit dans ma chambre. C'est pour cela qu'elle avait frappée à ma porte. Elle était très génée. Je lui dis que ce n'était rien. Je ne dormais pas. Et je me proposais même de l'aider à retrouver ce petit chat. Nous avons parcouru l'hotel de fond en combles. Pas de trace du chat. Nous étions presque résigner à stopper nos recherches lorsque nous avons entendu du bruit sous le meuble de l'entrée. Un gros buffet en bois. Andréa se baissa pour regarder dessous. Je ne pu m'empecher de regarder les fesses de cette jolie femme lorsqu'elle se baissa. Elle était vraiment jolie. J'allais remonter dans ma chambre mais elle me pria de rester un peu. Elle voulu me remercier d'avoir chercher son chat avec moi. Nous sommes donc allés dans son appartement. Je m'assis sur le canapé. Andréa s'absenta un instant et revint avec une bouteilles d'alcool local. Nous avons parlé ainsi un bon moment. Elle me demanda si j'avais été au carnaval aujourd'hui. Je lui répondis par l'affirmative. Elle me proposa alors de me présenter un petit spectacle. J'ai trouvé l'idée originale Elle s'absenta une dizaine de minutes. Je commencait à m'ennuyer lorsqu'une musique enjouée à base de maracasses et de sifflets commenca à se faire entendre. . Mais ce n'était pas une musique brésilienne. Plutot afriacaine. Et Andréa, d'ordinaire si réservée, fit son entrée dans la pièce. Je n'en cru pas mes yeux. Elle était habillée de la tête aux pieds avec une sorte de fourrure de léopard. Elle dansait aux rythmes de la musique.
Le spectacle devenait de plus en plus chaud. Elle se frottait sur moi. J'avais ces seins à quelques centimètres de mon visage.
Puis elle commenca à se dénuder...
Inutile de vous dire que j'avais le sexe en erection.
Je me voyais déjà prendre cette beauté latine.
J'aimais ce genre de femme. Et dès ma première rencontre avec Andréa à l'accueil, j'ai eu envie d'elle.
Je me laissais faire, curieux de voir jusqu'ou elle allait allé.
Elle étais maintenant presque nue, et elle s'en pris à mon pantalon, puis en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je me retrouvais complètement nu.
Elle poussa un petit cri de satisfaction lorsqu'elle découvrit mon sexe. Il est vrai que j'ai un bel organe. Vingt bons centimètres prets à lui donner du plaisir.
Elle me caressais un moment, prenant soin de ne pas oublier mes couilles.
Elle s'agenouilla et commenca à me sucer.
Elle prie delicatement ma verge dans sa bouche. Et lentement, très lentement elle l' engloutit. Je sentais ces lèvres sur mon sexe. C'était tellement bon. Elle savait y faire.
Elle me sucait comme cela lentement pendant plusieurs minutes. Elle me malaxait les couilles avec son autre mains. J'étais tellement sensible que j'avais du mal à me controler. Sentant bien que je ne pourrais résister très longtemps à ce traitement, elle s'empala sur mon sexe.



A SUIVRE
 
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Lundi 2 novembre 1 02 /11 /Nov 13:41
 Après des études pour devenir vendeuse, j'ai réussi à me dénicher une place dans une charmante petite boutique de vêtements. J'étais dans une ville près de chez moi et le magasin était très bien situé et dirigé par une très charmante dame de dix ans mon aînée.

      Le stage devait s'étirer sur trois semaines en début d'été. Je me faisais un devoir d'être ponctuelle et très aimable avec les clients et clientes. Ma patronne faisait tout pour me mettre à l'aise et faciliter mon stage, j'étais emballée. La première semaine fut consacrée à la découverte des habitudes de la maison. Après une semaine à être à l'écoute de Julie (le prénom de ma patronne), j'étais beaucoup plus à l'aise avec les tâches que je devais effectuer et avec la clientèle du magasin.

      Le mercredi de la deuxième semaine fut spécial pour moi. Lorsque j'avais du temps libre, je me promenais dans le magasin et regardais les vêtements pour moi. J'avais vu une belle jupe noire moulante qui me plaisait beaucoup et faisait ressortir le galbe de mes jambes. Avec une blouse à manches courtes, je me trouvais très attirante. Julie a remarqué mon désir de posséder ces vêtements, me regardant encore les prendre et vérifier les tailles.
- Tu aimes ces vêtements, Karine ?
- Oui, je les trouve très sexy ! Ils devraient beaucoup plaire à mon ami !
- Tu veux les essayer ?
- Avec plaisir !

      Mais des clients sont entrés et j'ai du remettre ma séance d'essayage à plus tard. A la fin de la journée Julie est venu me voir avec dans ses mains les vêtements que je convoitais.
- Tiens, prends le temps de faire l'essayage pendant que je ferme la boutique.

      Je me dirigeai vers la salle d'essayage et lentement me dévêtit pour enfiler la jupe et la blouse. Je me regardais dans le miroir quand j'entendis une voix qui me disait :
- Tu peux sortir, que je vois moi aussi l'effet de ces vêtements sur toi !

      J'ouvris la porte et sortis devant Julie. Elle me regardait des pieds à la tête... L'insistance de son regard me fit rougir, mélange de gêne et de confuse excitation.

      Julie s'approcha et me fit tourner devant elle en faisant des ajustements sur les vêtements, elle me touchait légèrement et tendrement me disant :
- Ca te va très bien, tu es très attirante dans cette tenue.
- Merci, tu es gentille.

      Et Julie de frotter mon corps en plaçant les vêtements... J'étais troublée par ces contacts.
- Tu crois que mon ami va être excité ?
- Pas seulement ton ami ...
- ... ?
- Karine, tu es très jolie. Ton corps est si beau... Tu sais que tu me plais beaucoup ?

      Et, en joignant le geste à la parole, elle s'approche de moi et pose un baiser sur ma joue. Voyant que je ne bougeais pas, elle pose ses lèvres sur les miennes en me serrant contre elle. Une douce sensation m'envahit et je me laisse faire... mieux, je me laisse aller à répondre à ses baisers.
- Tu as déjà fait l'amour avec une femme, Karine ?
- A vrai dire, j'en ai parfois eu envie, mais je ne l'ai jamais fait, non...
- Laisse-toi guider, alors.. Tu verras, je suis sûre que tu va aimer...

        Sans plus de préambule, nos mains se mettent à caresser le corps de l'autre pendant que nos langues se mêlent dans nos bouches. Après quelques instants, Julie commence à détacher ma jupe qui descend le long de mes jambes jusqu'au sol, puis remonte vers mes seins qu'elle caresse, tendrement au début, puis plus fermement. Je ferme les yeux en soupirant d'aise. Elle détache ma blouse et bientôt je me retrouve en sous-vêtements devant elle. Après quelques caresses, elle me demande de la dévêtir elle aussi. Je m'exécute lentement. Très sensuellement, je découvre les formes de Julie qui apprécie mes caresses. Ses seins sont gros et fermes. Je les caresse doucement en les soupesant, tout en frottant mon pubis contre sa cuisse musclée... Rapidement, nous nous retrouvons nues toutes les deux, Julie place ses mains sur mes hanches et descend ses lèvres sur mon buste, embrassant mes seins et tétant mes mamelons. Quelle douceur ! Je sens sa main qui glisse sur mes cuisses, entre mes jambes que j'entrouvre, m'abandonnant à ses caresses. Elle touche enfin mon sexe en feu... je gémis !!!!

      Elle fouille entre mes jambes, me caressant divinement et me pénétrant avec un doigt fouineur, puis deux, les faisant aller en moi comme un pénis. Elle m'étend ensuite sur le tapis du magasin et se place entre mes jambes écartées, me tenant par les cuisses. Elle place sa tête contre ma chatte et commence me lécher le sexe, les lèvres humides, titillant mon clitoris avec la pointe de sa langue. Puis elle enfouit sa langue en moi, fouille dans mon vagin trempé. Je la sens se tortiller en moi. Au bord de l'orgasme, je pousse sa tête de mes mains pour la sentir plus loin en moi...
- Tu es bonne, me dit Julie, délicieuse. Karine, j'aime ton sexe, laisse-moi encore goûter ton jus...

      Elle caresse mes fesses de ses mains, frottant mon anus de son index. Je suis au comble du bonheur. Ma patronne me fait jouir au plus au point... Secouée par une vague de plaisir, je cris mon bonheur !
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Je jouiiiis!!! Oh, que c'est bon ! C'est bon !!!

      Julie se délecte de mon jus chaud, elle me boit littéralement, lapant comme une chatte entre mes lèvres trempées. Je venais de connaître le bonheur lesbien pour la première fois. Je voulais moi aussi la faire jouir, et j'en eût l'occasion plus tard : pendant le reste de mon stage, elle m'a invité à demeurer chez elle, et nous avons souvent fait l'amour, chaque fois que nous rentrions du magasin. J'ai ainsi pu me perfectionner dans l'art de donner et de recevoir du plaisir entre femmes. Nous utilisions parfois toutes sortes de gadgets appropriés, des godes, des ceintures qui me permettait de la "baiser" comme si j'avais été un homme...
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 30 octobre 5 30 /10 /Oct 17:20
J'adore le Brésil. J'ai découvert ce fabuleux pays il y a 10 ans.
Depuis j'y suis allé 5 fois déjà.
J'aime l'ambiance qui y règne, cette folie qui vous porte. L'histoire dont je vais vous parler a eu lieu lors de mon troisième voyage. Mon premier à Rio, pour le carnaval.
Je m'en souviens comme si c'était hier.
J'étais au milieu d'une foule énorme. Partout autour de moi on chantait, et dansait. La plupart des gens arboraient des déguisements aux couleurs étincelante.
La ville semblait prise dans un tourbillon festif intemporel.
Alors que je profitais pleinement de la fête, mon regard s'arreta sur une superbe femme, au masque rouge. Je la voyais assez mal, mais sa position m'intriguait. Elle était entourée de cinq personnes, elles aussi déguisés.
Je ne compris pas tout de suite ce qu'elles faisaient.
Ce n'est qu'en me rapprochant un peu que je vis ce que j'eu du mal à croire dans un premier temps.
Dans cette foule agitée, à la vue de tous, cette femme se faisait baiser par ces hommes. Elle était tenue par le dos par un individu, deux autres lui maintenait les jambes écartés, et un dernier était entrain de la pénétrer. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir.
Mon regard ne pouvait se détacher. Je voyais l'homme faire des mouvement de bassin, et la femme la bouche ouverte était maintenue par les autres hommes.
Elle pouvait crier, jouir, dans ce brouhaha on ne l'entendait pas.
Même la grand mère, pourtant à 1m ne remarquait rien.
Cela dura 10 bonnes minutes.
Puis porté par la foule je les perdis de vu.
L'après midi continua sans autres faits marquants.
Mais la scène que j'avais vu continuait à hanter mon esprit.
Je rentrais finalement à mon hôtel.
Surprise, la personne à l'accueil n'étais pas la même que les autres jours. Miguel était malade et c'est sa nièce, Andréa qui le remplacait. C'était une très belle jeune femme d'une vingtaine d'année. Elle avait de long cheveux bouclés et un sourir radieux. Sa vu me fit oublier la femme au masque rouge le temps d'un "bonsoir" dans le hall de l'hôtel.
Je pris une douche et me mis rapidement au lit. Les journées au carnaval sont épuisantes.
Je n'arivais pas à m'endormir.
Je revoyais cette femme prise au milieu de la foule. J'avoue que cette situation m' avait vraiment excité.
Mon sexe était en erection et je n'eu d'autre solution que de me soulager pour pouvoir dormir.
J'étais justement entrain de me branler quand j'entendis du bruit dans le couloir. Je laissait donc un petit répis à mon sexe ruisselant. J'étais pourtant presque arrivé à l'orgasme. Ma verge était tendue à son maximum, et mon gland était gonflé par le désir. Encore quelques aller et retour et je pourrait éjaculer et peut etre enfin dormir.
Quelqu'un frappa à ma porte.
Que faire. Je ne pouvais pas aller ouvrir dans cet état.
J'attendis donc un moment.
On refrappa. J'ouvris !


 

 



 
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 29 mai 5 29 /05 /Mai 13:53
Ce matin j'avoue que j'ai du mal à m'asseoir.
Hier soir j'ai eu une petite visite de John. De retour de l'armée, il m'a fait gouter aux joies du plaisir anal. Sa grosse queue m'a pilonné le petit trou pendant de longues minutes. J'avoue que d'abord réticante j'ai plutot apprécié la chose et je serais prête à recommencer plus souvent.
Si cela vous dit de vous amuser avec ma petite rondelle, laissez vos commentaires...

Cam'

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 17:43
Les lumières s’allument automatiquement et je m’assieds sur un fauteuil après avoir appuyé sur le bouton de l’ascenseur. Je suis complètement bourrée et tous les objets de cet énorme hall semblent tourner autour de ma tête. Je ne sais pas de quelle force je me lèverai lorsque l’ascenseur sera là. Voilà le prix d’une soirée trop arrosée et pourtant je ne le regrette pas, car ça faisait longtemps que je ne sortais pas. L’ascenseur est là, et je fais de mon mieux pour me mettre debout et l’atteindre mais je tombe sur les dalles luisantes à deux pas du fauteuil. Je ne peux pas éviter d’éclater de rire car demain tous les voisins vont en parler. J’essaie de me redresser et quand ma main cherche le mur pour s’appuyer contre lui, deux bras anonymes me soulèvent et une voix que je connais très bien me dit : « Madame, vous sentez-vous bien ? » C’est Alain, le portier de mon bâtiment. Heureusement qu’il est là. Il est très sympa et il fait souvent la garde pendant la nuit. Je lui demande de m’aider à monter jusqu’à mon appart car je ne me sens pas très capable d’y parvenir. Il doit penser que je suis une ivrogne mais je m’en fous, je ne veux que mon lit douillet et un bon café pour sortir un peu de cet étourdissement infernal. Il est trop aimable et ses bras forts et musclés me soutiennent dans l’ascenseur. Je n’aurais jamais pu le prendre sans lui. Voilà, on est au sixième étage et il m’aide à parcourir vite le court palier au fond duquel se trouve mon appart. Une fois devant ma porte j’essaie de mettre la clé dans la serrure mais je n’y arrive pas, le trou semble bouger dans tous les sens. Alain rit. Il finit par ouvrir la porte et je laisse échapper un soupir en entrant. Il m’accompagne jusqu’au canapé et me dit d’une voix très tendre. « Ça va mieux ? » Je dis oui avec la tête mais mon corps continue à ne me répondre qu’à moitié. Il semble s’amuser avec mon état. Je lui dis de s’asseoir et l’invite à boire un café. Il rit encore plus fort. Oui c’est évident que je ne suis pas en mesure de le préparer…Il me regarde dans les yeux et j’ai l’impression bizarre qu’il lit dans mes pensées. Après un moment de silence il dit d’aller chercher le café et je le remercie.

Il sourit et me cligne de l’œil. Je le vois marcher et quelque chose en lui m’allume, je ne sais pas si c’est peut-être ce contact qu’on vient d’avoir ou la sensation de son haleine chaude sur mon cou, tantôt, dans le palier. Je délire au point de l’imaginer en train de profiter de mon état d’ébriété et de me prendre par derrière au milieu d’une sodomie infernale dans l’ascenseur. C’est fou ! Il est dans la cuisine et j’entends le bruit des couverts et de l’eau qu’il a versé dans la théière. J’allume la lampe de ma petite table et éteins la lumière trop forte du plafond. Je déboutonne un peu ma chemise et enlève mon soutien-gorge qui me dérange et serre trop fort mes seins. Ces minutes me semblent éternelles tandis qu’Alain prépare notre café et peu à peu, mon tournis disparaît pour laisser place à une sensation de détente. Je rêve d’Alain et moi en train de pratiquer une sodomie délicieuse sur le canapé. Cette image est de plus en plus chaude et nette, et je commence à caresser mon clito au fur et à mesure qu’il me pénètre dans mes pensées. Mes doigts deviennent un pénis qui lime mon vagin dans une cadence bestiale. Mes seins sont raides et je titille mes tétons avec une frénésie montante, tandis que mon autre main s’enfonce dans mon sexe déjà trempé de mouille. Je ne peux m’empêcher de pousser de petits cris quand j’imagine qu’il me soulève et me fait jouir, assise sur lui, mes jambes bien écartées. Sans le vouloir, je chuchote le mot sodomie, au milieu de mes gémissements, et cela m’excite davantage dans un cercle vicieux de sensations chaque fois plus fortes. La chaleur parcourt tout mon corps et sans me soucier de rien j’enlève ma culotte noire, pour me masturber plus aisément. J’ai déjà oublié cet Alain qui prépare mon café dans la cuisine pour m’occuper de cet autre qui me fait jouir comme une dingue. Mes yeux sont fermés et soudain, je sens un corps qui s’assoit à côté de moi. Je ralentis mes ébats et quelque chose me dit de continuer. C’est bien lui mais il ne parle pas et reste un moment comme ça, muet et sans rien faire. Presque immédiatement l’odeur du café envahit mes narines et tout à coup, un biscuit vient frôler délicatement mes lèvres, à la recherche de mes dents. Je le mords doucement sans ouvrir les yeux. Puis, il descend laissant une trace de salive jusqu’à mon sexe dégoulinant de fluides. Je retire ma main pour laisser ce biscuit coquin tripoter mon clito vigoureusement. Je suis au comble de l’extase et j’écarte un peu plus mes jambes déjà en l’air. Soudain un corps musclé remplit cet espace entre mes jambes et une haleine que je connais déjà me chatouille à l’oreille. Sa verge est déjà sur le point de pénétrer mon sexe mais je la prends et l’enfonce dans mon anus où elle glisse vite et sans douleur à la grande surprise de mon amant. Le canapé saute à chaque envoi d’Alain et j’atteins le septième ciel au milieu de cris de jouissance. Une sodomie mémorable
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 17:23

Je vous ai raconté mon dépucelage avec Allan et je vais vous raconter ma première fellation et sodomie.
Le lendemain je me réveille en super forme et je repense à la soirée. Je me demande si ce n'était pas un rêve, je touche l'intérieur de mes cuisses et je sens quelque chose qui a séché et là je comprend que je n'ai pas rêvé.
Je vais prendre une douche et en sortant de la salle de bain pour aller rejoindre tout le monde sur la terrasse, je croise Allan.
- Bonjour ma petite salope adorée, tu as bien dormie ?
- Euh, oui. Et toi ?
J'étais mal à l'aise, car je réalisais quand même que lui était prêt à continuer.
Il m'embrasse sur la bouche, force mes lèvres avec sa langue. Je voulais le repousser mais il m'attrape les mains et me dit :
- Hier je t'ai donné du plaisir, maintenant à toi de jouer.
Il défait son short et me montre son braquemart, il m'appuie sur la tête et me dit suce.
Je commence par lui embrasser le gland et ensuite je le lèche comme je le ferais avec un esquimau. C'est bon et je mouille. Lui commence à gémir. Après je le mis entièrement dans ma bouche et commence un lent va et vient, j'aspire la fente là ou va sortir son jus et je recommence à le lécher. Il n'en peu plus. Je lui attrape les couilles et les caresses, les suces.
- OHH oui, on croirait que tu as fait ça toute vie. C'est bon, je vais cracher.
Il se met à éjaculer dans ma bouche et je n'apprécie pas vraiment. Je me relève et je vais cracher dans le lavabo. Il me rejoint et me dit :
- Tu t'habitueras et la prochaine fois je t'encule. Maintenant tu es à moi.
Il repart. Moi j'ai aimé la fellation mais pas la fin. Je vais quand même déjeuner. La journée se passe il fait très chaud et je vais me baigner. Marion arrive avec sa mère et me dit qu'elle va aux courses et me demande de venir. Je lui dis non car je veux me reposer. Me voilà toute seule. Je m'allonge sur un transat et je m'endors.
Tout d'un coup, je me réveille avec une drôle de sensation et je vois Allan entre mes jambes en train de me lécher. Je laisse venir le plaisir et il arrive vite. Sa langue rentre dans mon vagin, ses dents mordillent mon clito, et il se mit à l'aspirait.
- Ouh, ahh, oui. C'est pas possible, c'est bon encore oui, j'aime enfonce tes doigts. Viole moi avec ta bouche.
Et quand je lui ai dit enfonce tes doigts, il a commencé à jouer avec mon anus. Il y mettait sa langue, ses lèvres et après il commença à rentrer le bout du doigt.
- Pousse ma chérie et sa rentrera comme dans du beurre.
Je fis ce qu'il dit et en effet sa rentrait bien. Ensuite il me retourna à quatre pattes, m'attrapa par les hanches et me rentra sa bîte dans ma chatte. Il me mettait des coups de boutoirs à m'en faire hurler :
- OUI, OOHH OUI, baise moi, défonce moi. AH j'aime, tu me remplies. Plus fort, plus vite, je vais jouir.
Et à ce moment là, il se retire et commence à forcer le barrage de ma petite corolle.
- Non, continue dans ma chatte, je ne veux pas.
Mais il ne m'écoutait pas. Il appuya sa grosse queue sur mon anus et força le passage. La douleur est tel que je me suis mise à pleurer. Il continua sa pénétration jusqu'à la garde et se retira et recommença. Je ressentais un début de plaisir et plus il faisait de va et vient et plus il avait de la place et je prenais mon pied.
- Humm, je ne pensais pas..., oh oui, que c'était aussi..., ohh, ahh, booonnn. Oui encule moi, j'adore.
Et là j'avais lâché le fauve. Il me pilonna le cul, sans faire de cadeaux et plus il allait fort plus je l'accompagnais dans ses mouvements. Je n'avais pas encore ressentis cette jouissance. L'orgasme arriva et lui il me lâcha sa purée sur mes fesses.
- Super, tu es un dieu du cul.
- Et toi, pas mal, mais j'ai encore des tas de choses à t'apprendre
Je vous raconterais la suite une prochaine fois. Bisous et à bientôt.


Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 15:07
J'ai 20 ans. Cette histoire s'est passée il y a 5 ans j'avais 15 ans et ma copine de l'époque 14 ans. Nous étions en couple depuis 9 mois nous avions perdu notre virginité ensemble d'ailleurs ça c'était bien passé j'en parlerai peut étre dans un autre récit. Nous étions chez ma soeur ce jour là c'était un samedi du mois de Mai il faisait trés chaud et ma soeur possédait une superbe maison avec piscine creusée et jacuzzi. Avec ma chérie nous nous entendions super bien sur sur le point sexuel et amoureux , depuis notre 1ere fois on avait testé plein de choses bref c'était le paradis mais ce jour la nous étions chauds nous avions pas fait l'amour depuis 2 semaines et puis la piscine la chaleur faisait que l'on avait envie de baiser comme des fous. Il y avait personne chez ma soeur pour toute la journée et il y avait aucun vis a vis avec les voisins alors je peux vous dire que dans ma tête ça me trottait de faire l'amour sur la table de jardin. Ma cherie était trés jolie par rapport à moi elle avait les cheveux chatain clair mesurait 1.70 pour 50 kilos pour moi elle était beaucoup trop mince elle avait des petits seins sublimes du 85B et un petit cul bien rond grace a la gym qu'elle faisait. Vu que nous étions seuls dans les parages nous nous sommes jetés dans la piscine tous nus, entre la chaleur exterieure et la température de 21 degrés de la piscine les seins de ma cherie avaient les oréoles qui grossisaient et les tétons qui pointaient et de la voir comme ça m'excitait beaucoup, je commencais a avoir une érection je l'ai donc entrainée sur les marches de la piscine.




Nous nous sommes embrassés pendant un long moment, elle pointait de plus en plus et mo je bandais maintenant a fond alors j ai pris les choses en mains, nous somme montés sur la derniére marche de l'escalier je l'ai d'abord embrassée dans le cou lui ai léché l'oreille et je suis descendu au niveau des seins pour les embrasser, les mordiller, les carésser et puis j'ai fait desendre ma bouche jusqu'a sa chatte en faisant glisser ma langue sur son corps pour atteindre son pubis. Son pubis était partiellement rasé elle avait un ticket de métro composé de poils chatains clairs mais entretenus, bref c'était tout a fait mignon. Quand à sa chatte elle était serrée, on voyait que ses grosse lévres, j'ai donc fait glisser ma langue tous le long de son sexe en titillant son clitoris et en enfoncant ma langue le plus loin possible dans son vagin elle gémissait de plus en plus fort et sa cyprine coulait le long de ma langue puis elle gémissait, elle criait de bonheur et puis d'un coup elle s'est raidie m'a serré les jambes contre ma tête, a mis ses mains dans mes cheveux pour maintenir ma tête au niveau de sa chatte et elle a crié fort, plus qu'a l'habitude. Je suis remonté a son niveau pour l'embrasser, j'avais encore la mouille sur ma figure, nous nous sommes encore et encore embrassés elle a fini par me carrésser mon membre je me suis mis sur la derniere marche, j avais du coup plus que les mollets dans l'eau, elle c'est accroupie et a pris mon sexe dans la bouche tout en me malaxant les couilles, j'éprouvai beaucoup de plaisr a cette superbe pipe, elle me sucait avec beaucoup d'entrain. Je lui fis comprendre en appuyant mes mains sur sa tête, elle me carréssait les fesses, les cuisses, elle me léchait la bite et les couilles et elle descendit sa langue vers mon petit trou j'adorais quand elle me faisait ça, du coup la sauce commencait à monter, je l'ai prevenue en pensant qu'elle allait s'écarter pour éviter d'étre atteinte par mon sperme mais ce fut tout le contraire, elle me reprit en bouche et je lui éjaculai dant la bouche une grande quantité de sperme, elle a sucé jusqu'a la derniere goutte.



Je pensai qu'elle allait tout recracher et non elle a avalé en faisant une tête bizarre. Je lui ai alors demandé pourquoi elle l'avait fait et m'a répondu qu'elle en avait parlé avec sa meilleur amie et qu'elle elle avait aprécié celui de son copain, elle a alors rajouté qu'elle aussi voulait essayer d'avaler, enfin elle fini par dire qu'elle avait aprécié mais que ça faisait quand même bizarre. Nous nous sommes enlacés longtemps et puis j'ai décidé de retouner a sa chatte et de lui brouter le minou une nouvelle fois mais j'ai voulu ajouter une variante vu qu'elle avait essayé un nouveau truc je lui ai dit pourquoi pas moi ai je lui alors demandé si je pouvais la sodomiser avec mes doigts, elle a accepté, je suis donc allé lui lécher la rondelle depuis le temps que je voulais le faire mais n'osais pas le lui demander. Elle a fini par gémir de plaisir et moi je bandai fierement de nouveau, on est descendu de nouveau dans la piscine, je l'ai portée et je l 'ai prise comme ça dans sa chatte toute chaude, on a alors changé de position et elle s'est mise en levrette, j'ai remis mon sexe dans son vagin, le contact de l'eau et de nos deux sexes était trés agréable, j'en ai aussi profité pour remettre des doigts dans son cul, l'eau aidait à rentrer plus facilement dans son cul. Il était devenu bien dilaté maintenant, je lui alors demandé si elle était toujours sure de vouloir se faire enculer, elle a pas répondu mais elle a écarté ses fesses, j'ai alors placé mon gland sur sa rosette et commencé a pousser, mon sexe a fini par rentrer.



Je guettais la moindre réaction négative, dans ce cas j'aurais arreté tout de suite mais c'était pas le cas, j'ai donc continué, elle apréciait et moi aussi. J'ai fini par rentrer ma bite entiérement, j'ai entrepis de faire des vas et vient, elle prenait manifestement du plaisir elle criai et elle a fini par se contracter les parois de son anus. Dans un dernier vas et vient j'ai dechargé et joui une nouvelle Nous sommes restés lontemps comme ça et mon sexe rapetissait dans son cul, j'ai fini par me retirer et j ai pu comptempler son anus dilaté, on est alors sortsi de la piscine et on s'est enroulés dans les serviettes chauffées par le soleil. Je l'ai embrassé en lui disant que je l'aimais et je l'ai remerciée de son cadeau, elle a souri, nous nous sommes allongés sur les transats.. La journée c'est trés bien passée et c'était que le début , on s'est quittés avec déchirement mais je me rapelerais toujours de cette fabuleuse journée, on se revoit de temps en temps mais on ne reviendra jamais sur le passé
Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 17:16

J’aime bien nager pour diverses raisons. D’abord c’est un activité sportive facile à pratiquer en ville, c’est abordable financièrement, nager, un peu comme courir, vide l’esprit et au bout d’un moment on a des décharges d’adrénalines très agréables et puis, revenons à nos moutons, cela me permet d’entretenir mon corps et puis de me montrer en petite tenue.

Enfin c’est le principe parce que le plus souvent je ne reste pas très longtemps visible en maillot et plus grave il y a peu d’hommes intéressants qui fréquentent les piscines, j’y croise des scolaires, des hommes et des femmes d’un certain âge mais bien peu de “beaux males sexes”. L’exception qui confirme la règle s’est passée ce matin. A 10h30, j’étais à la piscine dans mon joli maillot bleu marine et alors que je regagne le bassin j’apperçois le regard d’un brun sportif la trentaine qui se porte sur moi.

Lors de mes 40 minutes de nage, je le croise régulièrement dans nos lignes respectives et lors d’une pause, nous échangeons trois phrases. Une fois bien fatiguée, je vais m’asseoir jambes étendues sur un banc en carrelage pour voir si je l’intéresse. Quelques minutes plus tard, il vient effectivement me rejoindre et s’asseoir à mes cotés. Les maillots de natation ne sont pas très sexy mais ils permettent tout de même de dévoiler l’intérieur de seins lorsqu’ils sont assez volumineux et je fais en sorte de lui offrir ce spectacle.

J’ai les idées claires sur ce que je veux, j’ai fait l’amour la veille au soir, je dois revoir Max en fin de journée chez moi, je ne cherche donc pas à ramener mon nageur à la maison pour un banal missionaire ou une levrette, je veux être prise sur place à la piscine. Alors que je l’allume depuis quelques minutes dans mon maillot une pièce, je propose à mon homme, droit dans les yeux, d’aller dans une cabine en le prenant par la main. Il me suit.

Alors qu’il rentre dans une cabine, je fais un détour pour aller chercher mes affaires dans le casier pour y récupérer des préservatifs. Lorsque je pénètre dans la cabine, je suis bien chaude même si je n’ai encore aucun véritable contact avec mon partenaire. La cabine est vraiment minuscule et entre mes affaires, mon homme et moi, cela s’entrechoque. Après avoir refermé la porte et plus ou pris position, il m’embrasse sur la bouche, enroule sa langue autour de la mienne et passe une main sur mes fesses et l’autre sur un sein. Rapidement il défait les bretelles de mon maillot pour dégager ma poitrine. Mon sexe est trempé et je suis très excitée, pas par mon partenaire, ni même parce qu’il me fait mais par la situation dans cette cabine de piscine municipale. Je me laisse faire quelques instants puis je passe ma main sur le sexe bandé, très bandé de mon partenaire et je le caresse à travers son maillot, puis après avoir dégagé sa queue, directement sur sa peau. Je m’accroupis ensuite le titille du bout de la langue quelques secondes.

Je me redresse alors, le maillot baissé jusqu’à la taille, je me tourne contre le mur au fond de la cabine là où il y a une sorte de banc avec des lattes en bois. Je me cambre lui tendant mes fesses et mon sexe. Il descend alors mon maillot passe une main pour carresser mes fesses pendant qu’il enfile une capote. Je suis ouverte prête à le recevoir et je pense à faire attention aux cris que j’émets. Souvent je pousse un râle au moment de la pénétration puis je redescends en volume pour remonter jusqu’à crier pendant que l’orgasme vient. Mais là pas question, les vestiaires de la piscine résonnent énormément.

Alors que son sexe pénètre ma chatte je parviens à limiter mon râle. Il me lime alors doucement puis monte en régime rapidement. Je jouis vite et il me suit en éjaculant sur mes fesses. Il quitte la cabine pendant que je reprends mes esprits.

Lorsque je sors de la cabine rhabillée, je me demande si on va m’observer en sachant que je viens de faire l’amour, je ne perçois rien de particulier et je retrouve mon partenaire. J’ai eu le temps de réfléchir à la suite, même s’il m’a fait jouir je n’ai pas envie d’un missionaire dans un lit bien douillet. Je lui propose de venir me sodomiser à la maison. La suite se passe de commentaire.




Vive la sodomie !

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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