Dimanche 19 octobre 7 19 /10 /Oct 21:44


Un soir après un arrosage, dans une société de gardiennage, nous avons dû raccompagner chez lui un collègue qui était proche du coma éthylique.

Une fois chez lui à la sortie de l'ascenseur, comme s'il reconnaissait les lieux dans son demi-coma, notre collègue a sorti ses clés. Nous l'avons soutenu jusqu'à la porte de son appartement, Il s'est mis à chercher la serrure du mauvais côté, et nous avons dû l'aider à ouvrir la porte. 

La femme de notre copain, n’était pas encore coucher il était pourtant presque une heure du matin elle était là devant nous en nuisette. Elle ne s'attendait certainement pas à nous voir avec son mari. 

Dans cette tenue, elle était encore plus belle que la première fois que nous l'avions vu. C'était lors d'un arrosage précédent. Elle était venue chercher son mari, avant qu'il ne soit trop ivre. C'était elle qui le conduisait à cette époque suite à une suspension de permis et nous ne comprenions pas comment un homme souvent ivre avait pu séduire une si jolie femme. 

C'était l'été et elle portait une petite robe courte qui nous donnait à tous des envies de grand vent. 

Elle était toute mignonne une poupée pas plus de 30 ans avec de très beaux yeux noirs et tout ce qu'il faut pour occuper un homme. Elle avait les cheveux noirs très courts et un visage qu'on avait envie de prendre entre ses mains pour s'enfoncer dans sa bouche. 

Quand elle est entrée il y a eu un silence. Nous étions une quinzaine. Elle nous a salué avec un sourire radieux et a commencé à nous faire la bise. J'ai vu un copain en profiter pour tenter lui peloter les fesses. Mais elle lui a vite repoussé la main, puis lui a demandé sèchement ou était son mari. 

Ce soir, sa nuisette transparente ne cachait presque rien, et nous avons marqué un temps d'arrêt. Elle a vite compris que nous étions en train de mater ses seins libres sous la nuisette et a fortement rougi. 

- Bonsoir ! Nous te ramenons ton mari. Il avait vraiment trop bu pour qu'on le laisse conduire. Si tu veux, on va le porter jusqu'à la chambre.

Quand nous l'avons suivie dans le couloir, nous avons pu deviner la silhouette d'un string sous sa nuisette. Elle avait vraiment un joli cul, et je ne sais pas si elle l'avait prévu pour son mari mais la chambre éclairée faisait contre- jour avec l'obscurité du salon, rendant sa nuisette encore plus transparente. Sa démarche était gracieuse, mais elle semblait gênée.

Nous sommes entrés dans la chambre. Nous avons déposé son mari sur le lit, retirer ses chaussures et juste desserrer la ceinture de son pantalon. Il semblerait que c'est là que tout a basculé. Mon copain m’a fait un clin d’œil, il s'est collé à elle et l'a poussée contre moi. Elle était sa tête entre nos deux torses. Elle semblait d’abord paniquée, pas pour longtemps, ce n’était qu’un jeu, après et elle riait assez fort. 

- Chut ! Tu sais que si tu fais du bruit tu vas réveiller ton mari. Lui dis-je tout bas.

Mon copain, qui était derrière elle, lui attrapa le menton pour rechercher ses lèvres. Moi, je lui caressais les seins puis descendait jusqu'à sa fente en passant sur le côté du string. D'un doigt je prenais possession d'elle. Elle n'était pas encore humide. Mon collègue l'embrassait maintenant à pleine bouche en lui dénudant les seins que je me mis à lécher. 

- S'il vous plait, pas ici. Pas dans la chambre, il peut se réveiller. Dit-elle dès qu'elle eut retrouvé son souffle. 

Nous sortîmes de la chambre et nous dirigeâmes vers le salon, en abandonnant le mari. Une fois arrivé je m'assis et lui dit :

- Viens là ! Près de moi.

Elle se rapprocha encore un peu effrayée. Je l'attrapai par les hanches et commençait à lui embrasser le ventre, en lui soulevant sa nuisette. Mon copain n'était pas inactif et tout en restant à côté d'elle, il lui pétrissait les seins et l’embrassait. 

Mes doigts avaient retrouvés le chemin de sa chatte, elle commençait à mouiller et j'en profitais pour lui glisser un doigt dans l'anus. Mon copain la fit alors se pencher vers moi. Je défis mon pantalon et lui donnait ma queue à sucer. 

Devant son hésitation je dus lui prendre la tête à deux mains pour lui donner du courage. En même temps, mon copain, l'enfila par derrière et d'après la grimace qu'elle fit quand il s’enfonça, je compris qu'il venait de l'enculer peut-être un peu rapidement sans préparation. 

Sous le coup de l'émotion je jouis dans sa bouche. Elle laissa couler la majeure partie de mon foutre. 

Puis, mon copain la coucha sur le dos sur le canapé et l'enfila de nouveau dans le cul. Au bout de quelques minutes, je m’approchais de nouveau de ses lèvres pour qu'elle me redonne une consistance. 

Mon pote semblait être une vraie machine à baiser. Il la limait en lui tenant les jambes au-dessus des épaules. Moi, je lui branlais le clito pendant qu'elle me suçait. 

- Tu aimes qu'il t'encule ?

- Oui ! Maintenant ça va mais il n'a pas été tendre au début.


- Oui dit mon copain, mais j'ai une grosse queue pour les petites femmes de ton genre.

- Et ton mari, il t'encule souvent ?

Elle me fit signe que non pour ne pas interrompre sa fellation. 

- Laisse-moi une petite place. demandais-je à mon copain. 

- Non ! S'il vous plait, pas les deux en même temps. 

- Allez, laisse nous faire on va y aller doucement.

Elle se leva alors se rassit sur lui comme il le lui avait demandé. Je voyais la bite de mon copain entrer et sortir de son cul, et sa chatte encore ouverte et ruisselante. Alors, Je m'engouffrais dedans. 

Elle était maintenant coincée entre nous deux. Je l’embrassais en lui massant les seins. Je sentais la bite de mon pote en mouvement avec la mienne. Elle commençait à gémir et semblait vraiment apprécier. Je sortis de sa chatte pour lui envoyer mon foutre sur ses seins. Au moment de jouir mon pote, sorti de son cul, la fit mettre à genoux et lui mit tout sur le visage.

Nous avons remis un peu d’ordre dans le salon puis avons fait un petit tour dans la chambre. Le mari n’avait pas bougé d’un poil, il ronflait très fort. 

Un peu plus tard, nous partîmes. Elle nous embrassa en nous remercient d’avoir raccompagné son mari. 

- Rassure-toi on ne laisse jamais les copains. Nous reviendrons de temps en temps te voir.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
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