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A vous de jouer.
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J’aime bien nager pour diverses raisons. D’abord c’est un activité sportive facile à pratiquer en ville, c’est abordable financièrement, nager, un peu comme courir, vide l’esprit et au bout d’un moment on a des décharges d’adrénalines très agréables et puis, revenons à nos moutons, cela me permet d’entretenir mon corps et puis de me montrer en petite tenue.
Enfin c’est le principe parce que le plus souvent je ne reste pas très longtemps visible en maillot et plus grave il y a peu d’hommes intéressants qui fréquentent les piscines, j’y croise des scolaires, des hommes et des femmes d’un certain âge mais bien peu de “beaux males sexes”. L’exception qui confirme la règle s’est passée ce matin. A 10h30, j’étais à la piscine dans mon joli maillot bleu marine et alors que je regagne le bassin j’apperçois le regard d’un brun sportif la trentaine qui se porte sur moi.
Lors de mes 40 minutes de nage, je le croise régulièrement dans nos lignes respectives et lors d’une pause, nous échangeons trois phrases. Une fois bien fatiguée, je vais m’asseoir jambes étendues sur un banc en carrelage pour voir si je l’intéresse. Quelques minutes plus tard, il vient effectivement me rejoindre et s’asseoir à mes cotés. Les maillots de natation ne sont pas très sexy mais ils permettent tout de même de dévoiler l’intérieur de seins lorsqu’ils sont assez volumineux et je fais en sorte de lui offrir ce spectacle.
J’ai les idées claires sur ce que je veux, j’ai fait l’amour la veille au soir, je dois revoir Max en fin de journée chez moi, je ne cherche donc pas à ramener mon nageur à la maison pour un banal missionaire ou une levrette, je veux être prise sur place à la piscine. Alors que je l’allume depuis quelques minutes dans mon maillot une pièce, je propose à mon homme, droit dans les yeux, d’aller dans une cabine en le prenant par la main. Il me suit.
Alors qu’il rentre dans une cabine, je fais un détour pour aller chercher mes affaires dans le casier pour y récupérer des préservatifs. Lorsque je pénètre dans la cabine, je suis bien chaude même si je n’ai encore aucun véritable contact avec mon partenaire. La cabine est vraiment minuscule et entre mes affaires, mon homme et moi, cela s’entrechoque. Après avoir refermé la porte et plus ou pris position, il m’embrasse sur la bouche, enroule sa langue autour de la mienne et passe une main sur mes fesses et l’autre sur un sein. Rapidement il défait les bretelles de mon maillot pour dégager ma poitrine. Mon sexe est trempé et je suis très excitée, pas par mon partenaire, ni même parce qu’il me fait mais par la situation dans cette cabine de piscine municipale. Je me laisse faire quelques instants puis je passe ma main sur le sexe bandé, très bandé de mon partenaire et je le caresse à travers son maillot, puis après avoir dégagé sa queue, directement sur sa peau. Je m’accroupis ensuite le titille du bout de la langue quelques secondes.
Je me redresse alors, le maillot baissé jusqu’à la taille, je me tourne contre le mur au fond de la cabine là où il y a une sorte de banc avec des lattes en bois. Je me cambre lui tendant mes fesses et mon sexe. Il descend alors mon maillot passe une main pour carresser mes fesses pendant qu’il enfile une capote. Je suis ouverte prête à le recevoir et je pense à faire attention aux cris que j’émets. Souvent je pousse un râle au moment de la pénétration puis je redescends en volume pour remonter jusqu’à crier pendant que l’orgasme vient. Mais là pas question, les vestiaires de la piscine résonnent énormément.
Alors que son sexe pénètre ma chatte je parviens à limiter mon râle. Il me lime alors doucement puis monte en régime rapidement. Je jouis vite et il me suit en éjaculant sur mes fesses. Il quitte la cabine pendant que je reprends mes esprits.
Lorsque je sors de la cabine rhabillée, je me demande si on va m’observer en sachant que je viens de faire l’amour, je ne perçois rien de particulier et je retrouve mon partenaire. J’ai eu le
temps de réfléchir à la suite, même s’il m’a fait jouir je n’ai pas envie d’un missionaire dans un lit bien douillet. Je lui propose de venir me sodomiser à la maison. La suite se passe de
commentaire.
Vive la sodomie !
Ce soir elle était habillée avec un short très court et sexy avec un
haut noir. Ses longs cheveux blonds pendaient dans son dos,
Lorsque la chanson se termina elle me laissa sur la piste pour aller
aux toilettes. C'est en la regardant s'éloigner que je remarquais une étrange fille. Elle se rapprocha de moi et commenca à frotter ses fesses sur mon pantalon.
L'érection ne se fit pas attendre très longtemps et on voyait une
bosse sur mon pantalon.
Elle s'appelais Alicia. Elle portait une chemise blanche déboutonnée qui laissait voir sa généreuse poitrine. J'ai remarqué ussi qu'elle ne portait pas de culotte sous sa jupe. Après deux ou trois chansons elle était totalement collée à moi. Je la serrais entre mes bras. Mes mains la caressaient. Puis machinalement je passa l'une d'elle sous sa jupe. Elle était trempée d'excitation.
Lorsque mes doigts touchèrent son sexe elle poussa un petit cri étouffé par la musique. Nous avons continué à danser l'un contre l'autre pendant plusieurs minutes. Je n'avais pas arreté de caresser sa chatte humide. Elle se laissait faire. Elle aimait cela. visiblement.
Elana revint mais quand elle me vit elle fit demi tour et je ne l'ai plus revu après.
C'était une vraie amie.
Je sentais qu'Alicia était de plus en plus excitée. Elle ne demandait plus qu'à se faire prendre. Mais la boite était bondée. Je l'emmenais dans un coin de la salle et nous nous sommes assis à côté d'un groupe. J'avais toujours la mains sous sa jupe. Nous faisons mine de rien. Je réussi tout de même à déboutonner mon pantalon et sans que personne ne remarque rien je pénétra Alicia qui étouffa un gémissement. Nous sommes resté comme cela un moment, immobiles. Je sentais coulé un liquide le long de ma verge.
Alicia mouillait d'excitation.
Je fis quelques va et viens. Ma verge glissait dans son vagin tout doucement.
Le DJ changea soudain de registre et le groupe à coté de nous se leva comme un seul homme pour rejoindre la piste. Nous étions maintenant seul. Je me mis en meilleure position et je pu vraiment prendre Alicia. Il fallait faire vite et je la prie très fort. Mon sexe la pilonnait pendant plusieur minutes.
Elle criait de plaisir.
Pourtant nous fûmes intrerrompu par un des jeunes du groupe qui nous surpris.
Il nous dit tout de suite de ne pas faire attention et de continuer comme si de rien était. Jamais je n'avais fait l'amour en étant épié. Cette situation m'excita et je repris mes va set viens de plus belle. Lorsque le groupe revint le jeune homme se leva pour leur dire quelque chose et ils repartirent. Il revint s'asseoir près de nous.
Je prie Alicia pendant encore deux bonnes minutes. Mais je ne pu me retenir plus longtemps. Sentant l'ejaculation arrivée je me retirais de son vagin avant d'exploser. Un jet de sperme jaillit de ma verge rougie par l'effort.
Alicia finit par lécher les quelques gouttes de sperme qui coulaient de mon gland.
Nous restâme encore quelques minutes puis nous savons quitté la boite
pour finir la soirée chez elle...
Et la soirée ne faisait que commencer...
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L’année dernière, ma cousine Alison s’est mariée avec Eric et ce jour-là, un fait immoral mais que je n’oublierai pas s’est déroulé.
Donc ce soir là, la fête bat son plein, on a bien mangé, les boissons n’ont pas manqué ; tout le monde est un peu euphorique. Tout à coup, un invité tombe en dansant et ne peut plus se relever. Rapidement, le marié et des amis s’occupent de lui et l’emmènent à l’hôpital.
Après cet incident, l’ambiance est retombée et petit à petit les invités sont repartis. J’ai repris ma voiture pour rentrer quand sur le chemin, je me suis
aperçu que j’avais toujours les clés de voiture et de maison des mariés. Je décide alors de retourner à la salle mais à mon arrivée, il n’y a plus personne. Je décide alors de les déposer chez
eux.
Arrivé à la maison, je ne vois pas la voiture d’Eric et me dis qu’ils ne sont pas encore rentrés. Je vais leur faire une surprise et les attendre. J’entre sans faire de bruit, allume et me dirige
vers la cuisine. Je m’assieds sur une chaise et ferme les yeux, quand j’entends des bruits venant du salon. Intrigué, j’éteins et m’avance pour découvrir l’origine de ceux-ci. Voyant de la
lumière et reconnaissant la voix de ma cousine, j’entre et sans le vouloir, surprends les jeunes mariés en train de faire l’amour. Mais tout de suite, je suis abasourdi car ce n’est pas Eric qui
honore ma cousine mais le témoin d’Alison. Surpris dans leur étreinte, ils s’arrêtent et protègent leur intimité de mon regard. Alison un peu ivre veut se justifier mais rien ne peut justifier
son attitude. Elle me supplie alors de ne rien dire à Eric ; je suis prêt à accepter mais comme elle se donne à son témoin le soir de son mariage je me dis que se serait peut-être le moment d’en
profiter pour obtenir les faveurs de ma cousine.
Il faut dire qu’elle est assez jolie : pas très grande, de beaux cheveux blonds et un corps avec tout ce qu’il faut là où il faut ; de plus avant de connaître Eric, elle avait la réputation de ne
jamais refuser une bonne baise.
Bref, sans trop d’espoir, je me lance.
« Je suis d’accord de garder le secret à une condition. »
« Laquelle ? »
« Vous acceptez que je me joigne à vous maintenant ! »
Alison accepte sans trop de difficultés.
» Ok, mais ne reviens pas sur ta décision ! »
Elle me fait signe d’approcher et de m’asseoir près d’elle. Je baisse mon pantalon avant de m’asseoir.
Son témoin a vite fait de remonter sa robe et sa tête entre les jambes de ma cousine, il lui lèche la chatte. Elle s ‘empare de ma verge et lentement commence à la caresser, à tirer la peau en
arrière.
« Je crois que j’ai bien fait de tenter ma chance ! »
Le témoin remonte les jambes d’Alison sur le divan et introduit sa verge tendue dans le vagin. Ma cousine se retrouve ainsi couchée sur le côté, une jambe relevée avec son ami derrière la
pistonnant. Elle continue à agiter mon sexe le visage au-dessus du gland. Je profite de la situation et appuie sur la tête. Elle comprend ce que je veux et enfourne mon membre dans sa bouche
brûlante.
Que c’est bon !
Un peu plus tard, nous inversons nos places et c’est moi qui cette fois me faufile entre les chairs détrempées du vagin de ma belle cousine.
Quel bonheur de posséder ce corps qui m’était encore interdit, il y a une heure !
D’abord lents, mes mouvements s’accélèrent petit à petit avec l’accroissement du plaisir. Mon plaisir est double : je baise le corps de ma cousine et le fait qu’elle a gardé sa robe de jeune
mariée m’excite encore plus ! Nouveau changement et cette fois, le témoin prend Alisson en levrette mais après quelques coups de reins, elle se met à crier. Je la regarde et ne comprends pas le
pourquoi de ces cris. Mais en regardant de plus près, je me rends compte qu’il a introduit son membre dans l’anus de ma cousine ; mais bientôt, ses cris se transforment en gémissements et elle
recommence à me sucer. C’est alors que le témoin m’interpelle et me propose de la prendre en même temps, « en sandwich ». Ouvert à toute proposition, j’accepte. Il se retire, s’assied sur le
divan, invite Alisson à s’asseoir sur son sexe, la pénètre et s’enfonce au fond de l’intestin. Il commence à s’agiter et je vois ce gros sexe aller et venir dans l’anus dilaté ; je n’ai jamais vu
ça et je dois dire que cela m’excite. Quand l’anus est habitué à sa présence, il se couche et attire ma cousine vers lui. Je me présente devant Alisson, remonte sa robe blanche, empoigne mon
membre, monte sur le divan et introduis celui-ci dans le trou libre. Elle crie de nouveau quand elle sent nos deux sexes en elle, puis petit à petit elle prend plaisir à cette double pénétration
et jouit.
Nous changeons de position : je suis assis dans le fauteuil, Alison vient s’empaler sur ma verge tendue tandis que notre ami réinvestit l’anus et continue à l’enculer de plus belle.
Sentant son corps se crisper une nouvelle fois, je sens mon plaisir monter et j’explose dans son corps envoyant ma semence au fond du vagin. le témoin jouit à son tour dans l’intestin.
Je reste encore un moment dans son corps jusqu’à ce que mon sexe diminuant sorte de lui-même. En observant l’entrejambes d’Alison, je vois le sperme sortir de ses deux trous ouverts et attrapant
sa petite culotte, elle se précipite vers la salle de bain en tentant d’empêcher le liquide blanchâtre de se répandre sur le parquet. Chacun ayant pris son pied, nous nettoyons nos sexes et
remettons de l’ordre dans nos vêtements.
A peine avons-nous le temps de verser un verre de bière qu’Eric arrive. Nous l’avons échappé belle !Un rien plus tôt, et il nous surprenait en pleine action !
Il nous remercie d’avoir tenu compagnie à sa femme jusqu’à son arrivée. Nous saluons Eric, nous embrassons Alison sur la joue et nous nous éclipsons.
Eric n’a jamais su ce qui s’était passé, Alison est devenue fidèle et je garde un excellent souvenir de leur mariage.
(http://erosex.unblog.fr/2008/04/03/textes-et-recits-erotiques-vive-la-mariee/)
C’était le début de l’année scolaire et je m’apprêtais à emménager sur le campus de mon université. J’avais eu beaucoup de chance de recevoir une réponse de la fondation de logement car il y avait des listes d’attente de parfois plusieurs années pour pouvoir disposer d’une chambre. Les chambres en question étaient regroupées par 3 ou 4 dans des appartements disposant de cuisine et salle de bain commune. Je me présentai donc sur place le jour convenu, afin de procéder au transfert des clés avec l’ancienne occupante. Je m’étais brièvement entretenu avec elle au téléphone ; elle avait un accent marqué de l’est, elle devait être tchèque ou polonaise. Notre rencontre confirma mon impression ; elle était assez grande, de longs cheveux blonds, des yeux gris verts, des formes discrètes mais néanmoins harmonieuses et devait être à peine plus âgée que moi.
-Bonjour ! Me dit-elle avec un sourire radieux, il va falloir attendre un moment car comme tu vois je n’ai pas encore terminé le nettoyage !
En effet, les concierges étant des gens maniaques. Ceux qui partaient devaient, en plus de nettoyer la chambre, faire le ménage dans tout l’appartement. Ils m’avaient également dit qu’il était interdit d’inviter des personnes extérieures à l’appartement pour dormir, mais là-dessus ils pouvaient toujours rêver…
Mes cours allaient recommencer :
-Je laisse mes affaires ici. Je repasserai vers 18 heures, lui dis-je.
-Ok merci, ça me laissera le temps de terminer ça et de faire mes adieux.
Après deux heures de cours rébarbatifs d’ingénierie des matériaux, j’en attaquai un autre qui nous préparait à réaliser un projet en rapport avec le développement durable. L’un des profs ayant été absent, nous fûmes libérés une heure plus tôt. Je retournai à l’appartement.
La porte n’était pas fermée à clef, mais pourtant on aurait dit que personne n’était là. Mes futurs colocataires, en tout cas, étaient absents. En me rendant du côté des chambres, je trouvai la mienne entrouverte. Des gémissements étranges en provenaient.
Je m’approchai de l’entrebâillement de la porte pour découvrir le mystérieux spectacle : L’ancienne occupante complètement nue était en train de dire adieux aux lieux à sa manière bien
personnelle. Allongée sur le lit, elle se caressait tendrement les seins et la chatte tout en prononçant des choses incompréhensibles en tchèque. Par chance, elle ne m’avait pas vu. Elle semblait
trop excitée pour s’occuper de ce qui se passait autour, de toute façon. Me déplaçant pour y voir un peu plus, je trouvai une orientation devant la porte où elle-même pouvait difficilement me
voir.
Le plaisir semblait la gagner peu à peu. Elle s’était allongée sur le dos et soulevait son bassin tout en enfonçant cette fois ses doigts dans sa chatte ouverte et humide dirigée vers moi tandis
qu’elle se suçait l’index de son autre main. Mon érection depuis un moment était trop forte, je ne pus résister à l’envie de l’accompagner dans sa séance masturbatoire, toujours caché derrière la
porte. Elle montait et descendait son bassin et les trois doigts qui lui limaient la chatte étaient de plus en plus rapides. La cyprine coulait le long de ses fesses et de son ventre pour
terminer sur mon nouveau matelas. Je me dis que cette coquine l’avait très certainement imbibé abondamment pendant toute la durée de son séjour.
Elle se retourna soudain et monta ses fesses aussi hautes qu’il était possible à genoux tandis que l’avant de son corps était allongé. Sa main droite s’agitait toujours fébrilement et elle profita de l’abondance de cyprine pour s’enfiler l’index gauche dans l’anus. Se branlant les deux trous en même temps, elle commençait à gémir rageusement, toujours dans ce que je pensais être du tchèque. De la voir soumise dans cette position me plongea dans un état d’excitation incontrôlable. Après tout pensais-je c’était maintenant ma chambre et mon lit, elle ne pourrait pas m’en vouloir.
Et donc j’entrai discrètement dans la chambre, m’approchai d’elle et lui saisit fermement les deux poignets. Elle poussa d’abord un cri de surprise, mais rapidement elle agita lentement les fesses dans un ronronnement d’invitation. Sans mal, je lui enfilai ma queue tendue à craquer dans sa chatte dilatée à souhait. La sensation d’être dans tant de chaleur et d’humidité était incroyable et me rappelais plus de lointains souvenirs de jungle tropicale que les rues glacées de Prague. Je commençais à la troncher, elle criait d’envie et de contentement comme si ma queue hypertrophiée était soudaine garante de sa survie. Je la lui mettais profondément, lui caressait le dos et la poussant vers le bas d’une main, lui assénant de violentes fessées de l’autre. Son corps, déjà traversé de plaisir bien avant que je revienne des cours, fut rapidement pris de plusieurs orgasmes successifs. Baissant ma garde, je la laissai se relever. Malgré tout cela, elle était toujours plongée dans une sauvagerie surnaturelle, elle me poussa sur le lit et vint s’asseoir à califourchon sur moi. Empoignant mon sexe, elle se l’enfila à nouveau et commença à s’agiter dessus comme une furie en faisant des cercles dans toutes les directions possible. L’accompagnant dans son rythme je lui assenais de violents coup de bite et malgré ses cris, je pouvais presque entendre le bruit de mon bassin qui tapait contre ses fesses et ses cuisses.
Il y eut tout à-coup un cri plus fort que les autres et elle retomba sur moi, extenuée. Je pensais cette fois l’avoir achevée, mais à ma grande surprise elle se leva peu après, m’empoigna à nouveau le sexe et le pris goulûment dans sa bouche tout en m’offrant sa chatte luisante. Je la léchai avec plaisir, la pénétrant avec ma langue ce qui rendit la chiennasse encore plus folle. Elle me pompait de plus en plus vite, avec tant d’ardeur et de gourmandise que je ne pus plus tenir bien longtemps. J’explosais soudain dans sa bouche, dans de grandes giclées saccadées, et elle avalait le tout avec avidité. Elle continua ainsi en me branlant pour en tirer tout ce qu’elle pouvait, je fus pris de soubresauts de plaisir et lui donnai les dernières fessées.
Quand le calme fut revenu, elle se leva, retrouvant son calme et son sourire :
-Voilà, je te confie la chambre. Prends-en bien soin !
Elle prit son sac et ses dernières affaires puis s’en alla. Le transfert s’était plutôt bien passé…
Encore plus chaud. Une belle blonde se fait prendre dans toutes les positions. Du sexe, du très bon sexe !
Janvier 2025 | ||||||||||
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