Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 12:45

Vers 10h30, Élodie me dit : « J’en ai marre de ce temps ! Si nous allions passer la fin de la journée dans une piscine tropicale ? ». Je lui répondis alors que ça devait être fermé… ! Qui pourrait bien avoir envie d’aller jusque là en pleine semaine par un temps pareil ? Puis, je me dis que ça ne coûtait pas grand chose de téléphoner pour se renseigner. Je fus heureusement surpris d’apprendre que la piscine était bien ouverte mais seulement jusqu’à 18 heures. Nous avions néanmoins largement le temps de nous y rendre et de passer un agréable moment. Lorsque nous sommes arrivés sur place, nous avons été de surprise en surprise… Comme il faisait très calme la Direction avait décidé de convertir les tickets classiques d’une durée de trois heures en accès illimité pour la journée. Il devait y avoir maximum 10 personnes dans le complexe tropical quand nous sommes arrivés. Et plus la journée avançait et moins il y avait de monde. Si bien que vers 16h30, nous nous sommes retrouvés tout seuls dans ce lieu paradisiaque.

Il ne restait en dehors de nous que le « maître-nageur »… une superbe jeune femme aux cheveux brun foncé mi-longs qui

devait avoir approximativement 25 ans et qui était dotée d’une musculature bien dessinée ne dénaturant cependant pas le moins du monde sa silhouette de top-model.

Bien que d’un naturel plutôt timide cette situation unique me donna rapidement envie de profiter, avec ma belle, des différents coins et recoins de ce paradis tropical pour nous faire des câlins de plus en plus torrides. Après s’être cajolés un peu partout, j’ai emmené Élodie dans un petit jacuzzi que j’avais particulièrement apprécié et qui se trouvait à l’écart de tout.

Nous avons repris nos séances de bisous puis j’ai commencé à avoir les mains nettement plus baladeuses. Ma chérie était d’abord un peu gênée que je mette la main dans son soutient-gorge dans ce lieu public où elle pensait pouvoir être surprise à tout moment. Je la rassurai en lui montrant que la seule personne présente ne semblait pas bien méchante et en lui rappelant que nous la trouvions même particulièrement complice et bienveillante la plupart du temps.

Élodie était à la fois intimidée par mes avances en ces lieux publics et surexcitée à l’idée que je m’occupe d’elle en un endroit si idyllique. Je me montrai donc patient et tendre. Laissant au jacuzzi le soin de la porter à ébullition.

Je jetais de temps à autre un regard furtif vers la jolie « maître-nageur » qui me semblait assez amusée devant ce tendre spectacle. Une bonne heure avant la fermeture je constatai qu’elle avait disparu de son poste d’observation, sans doute devait-elle se dire que nous ne risquions pas de nous noyer… !

Je profitai alors de ce moment de totale intimité avec ma belle pour devenir nettement plus entreprenant et descendis alors ma main dans son maillot pour caresser sa douce petite chatte et je constatai qu’elle était bien imprégnée de ses fluides. Il ne me fallut que quelques mouvements pour qu’elle oublie sa timidité et s’abandonne à mes carresses de plus en plus enflammées. Je glissai alors mon majeur en elle pour découvrir une foune largement ouverte et détrempée qui n’attendait qu’une chose : du plaisir !

Je commençai alors une séance de doigtage infernale qui la mena sans pitié vers son premier orgasme « public » … Je bandais comme un fou et je lui montrai en plaçant sa main sur mon sexe qu’elle caressa ainsi de longues minutes. La laissant reprendre un instant ses esprits, je décidai d’enlever mon maillot et le posai sur le rebord du jacuzzi pour qu’Élodie sache clairement que derrière les bulles qui rendaient la surface du jacuzzi presque opaque, j’étais entièrement nu.

Elle rougit un instant puis, je m’installai confortablement dans le bassin offrant mon sexe aux caresses de ma belle. Elle commença par le caresser délicatement puis, je lui suggérai d’y aller un peu plus franchement. Elle commença donc à me masturber dissimulée discrètement sous les bulles du jacuzzi. Elle regardait souvent si la jolie surveillante ne revenait pas et comme il n’y avait personne en vue, je glissai mes mains coquinement jusqu’à son maillot que je lui enlevai sans qu’elle ne s’y oppose.

J’entendis un léger bruit à côté de nous mais je ne dis rien à Élodie, pendant que je l’embrassais tendrement je regardai par-dessus son épaule au travers des feuillages exotiques et constatai que la belle naïade veillait toujours sur nous mais de manière nettement moins professionnelle… ! Je restai très discret pour qu’aucune des deux ne se rende compte de ce que j’avais capté et décidai de profiter de cet assentiment tacite.

Je suggérai alors à Élodie de venir « s’asseoir » sur mes genoux. Après une courte hésitation, elle se leva et vint s’empaler sur mon dard dur comme de la pierre. Nous commençâmes alors de doux va-et-vient qui devinrent rapidement plus vigoureux. Après quelques minutes, de plaisir intense, où je commençais à me consumer dans ce jacuzzi bouillonnant, je la relevai et l’installai confortablement appuyée sur les bords du jacuzzi pour continuer à la prendre en levrette offrant ainsi à notre observatrice indiscrète une vue impressionnante sur les mouvements de mon sexe entrant et sortant de la foune de ma bien-aimée.

 Nous montâmes alors tous les deux vers l’extase et lorsque le moment de jouir s’annonça pour moi je me retirai et lui balançai un gros jet de sperme chaud sur son merveilleux petit cul tout luisant de sueur. Je regardai alors en direction de la jolie « maître-nageur » et je constatai avec une certaine fierté que son maillot portait clairement une tache humide à l’entre-jambe. Elle me fit un clin d’œil puis s’éclipsa sur la pointe des pieds.

Nous profitâmes encore quelques minutes de ce lieu magique en nous câlinant tendrement entièrement nus dans ce grand jacuzzi. Puis, je demandai à ma chérie si nous pouvions aller prendre une bonne douche pour éliminer toute cette sueur accumulée.

A mesure que nous approchions des douches nous entendions de plus en plus clairement de petits gémissements venant de la douche des femmes. Élodie était intriguée mais n’osait pas aller voir. M’attendant à trouver la monitrice en train de se toucher, je n’avais qu’une envie, mater ce joli corps du mieux que je pouvais sans pour autant abandonner ma chérie après ce merveilleux moment que nous venions de passer.

Je fus aussi surpris qu’elle de découvrir la scène. En fait, notre belle naïade n’était pas en train de se toucher mais bien de se faire brouter le minou par un vaillant homme bien musclé qu’elle appelait son chéri. Nous restâmes discrètement à les observer cachés derrière le grand mur qui isolait les douches des vestiaires.

Elle lui demanda alors de la prendre sous la douche, là debout, sans plus attendre. Le vaillant gaillard mit la jeune femme face au mur, bascula son torse bien en avant, appuya les mains de celle-ci bien à plat sur le carrelage, écarta ses belles jambes puis la pénétra par derrière sans se faire prier d’avantage.

Son sexe n’était pas très long mais il était d’une grosseur sans commune mesure. Malgré la foune détrempée de sa copine il du manœuvrer délicatement pour s’enfoncer en elle sans lui faire mal. Après dix bonnes minutes de plaisir intense, il retira son sexe de sa foune pour l’enfoncer dans son cul. Cette créature de rêve ne semblait pas étonnée, elle semblait même ravie que son homme se décide enfin à la sodomiser.

Élodie et moi étions ébahis de la voir prendre son pied de la sorte alors que nous étions convaincus qu’un pareil membre ne pouvait que lui faire mal. Après quelques minutes de ce plaisir extrême l’homme se retira et elle s’agenouilla pour recevoir un gros jet de sperme chaud sur le visage et dans la bouche. Elle s’en délecta sous les yeux ravis de son amant puis ils se plongèrent tous les deux sous la douche pour se rafraîchir.

 Profitant du bruit de l’eau, nous nous sommes dirigés vers la zone des hommes pour prendre enfin cette bonne douche tant attendue. Je m’apprêtais à demander à Élodie une petite pipe vite fait pour me soulager avant de quitter cet endroit déjà chargé de souvenirs lorsque notre jolie « maîtresse-nageuse » est apparue à l’entrée de la douche sans avoir pris le soin de remettre son maillot.

Elle nous dit : « Faites à votre aise, j’ai fermé le bâtiment… nous avons toute la nuit devant nous… ! »

Par Camille - Publié dans : Vos contributions
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Commentaires

le pluriel de tropical c'est tropicaux... "ébats tropicaux"
mais bon texte quand-même :-)
commentaire n° :1 posté par : amarylia le: 05/09/2009 à 15h06

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