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Fatigué de ma nuit, je me repose dans mon lit. Mon épouse
Rachelle se réveille en pleine forme. Pourtant si mes souvenirs sont bons, elle a profité de tout et de tous. Je ne la connaissais pas si salope. Au début, chez nos amis les François elle se
tenait fort bien en femme bourgeoise.
Il faut dire que Guy François est du gente libertin, sa femme
Gaby, le suit dans ses aventures. Comment Rachelle pouvait se retenir alors que je bandais en regardant nos hôtes. Devant nous Guy commençait à caresser son épouse que le laissait faire, qui en
rajoutait en posant sa main sur le sexe de son mari. Elle sortait devant nous la bite bandée.
Rachelle se met à penser à un concours de la plus belle pine.
Celle sort la mienne avec sa façon particulière qui me fait bander dès le début. Elle entament une conversation avec Gaby :
-Regarde si elle est jolie aussi dure.
-Celle de mon mec est aussi belle. Tu veux la
toucher ?
Tu permets que je la prenne à pleine main ?
Branles le un peu si tu veux. -
Et toi tu veux celle de mon mari ?
Pourquoi pas, elle paraît bonne à sucer.
Elles n'en disent pas plus : une masturbe la bite du mari de
l'autre qui suce lentement le gland de l'ami. J'ai ma queue dans sa bouche, je sens sa langue lécher, aspirer, bref me faire du bien, plus que le fait ma femme (les circonstances ne sont pas les
mêmes). Je regarde la main de ma femme qui tient la pine de Guy, qui l'astique comme elle me fait souvent avant de baiser, pour s'exciter. C'est la première fois que je la vois branler un autre
homme, devant moi.
Les filles discutent de la suite pour conclure :
On les fait jouir, on a la paix un moment, on baise à deux
femmes, il s’exciteront, on changera de bonhomme.
Elles tiennent leur programme, au moins pour nous masturber. Nous
les hommes pouvons, devons nous mettre nus pour être à l'aise. Je remarque que le bite de l'autre monte un peu plus haut que la mienne. Il l'a aussi grosse : pas de jaloux.
La femme de l'autre nous prend les bites dans leurs mains. Elles
font à ça à l'artiste : comme des professionnelles. Je suis le bas ventre tendu, le sexe offert.
Je regarde la main qui me donne ce plaisir que normalement je me
donne seul. Elle me masturbe de façon à faire durer la chose en me caressant les couilles passant une main entre mes cuisses, cherchant le petit trou. Elle le trouve, en oubli ma pine pour mettre
son doigt dans mon cul. Elle agit comme je le fais avec une autre fille. Je sens les phalanges s'enfoncer lentement dans mon trou. Elle le ressort pour l'enfoncer à nouveau. Disons qu'elle
m'encule totalement quand elle passe trois doigts dans l'anus.
Je ressent un drôle de plaisir nouveau. Ma queue fait des
mouvements du bas vers le haut : elle est dure prête à éclater.
Pour mon copain, ma femme lui fait même régime. C'est drôle de
voir sa femme qui branle une même bite, encule le propriétaire de la queue.
Elle arrivent pratiquement en même temps à nous faire
juter.
Elles commencent à s'occuper de leur plaisir seulement de leur
plaisir. Un fond d'homosexualité fait jour.
Elles ne s’embarrassent pas de baiser sur la bouche ou autres
fariboles. Elles veulent prendre rapidement un plaisir qu'elles ne connaissent pas encore.
Elles se positionnent en 69 directement les bouches sur le sexe
de l'autre. A croire qu'elles ont fait ça toute leur vie.
Nous les regardons, les bites encore en deuil. Voir des langues
lécher un autre con nous réveille. Pourquoi c'est si beau deux femmes qui s'aiment comme les notre ?
Mon épouse est dessous, elle tient sa langue sur le sexe de notre
amie,elle lui tient les fesses. J'attends qu’elle aille plus loin dans la déchéance.
Elle glisse sa main dans la raie des fesses de notre amante. Elle
poursuit son œuvre de sexualité. Elle arrête ses doigt quand elle sens le petit trou juste sous son doigt.
Je distingue ce qu'elle fait : elle masse doucement, elle
met longtemps pour entrer un bout de doigt. Elle le met doucement, elle le fait aller et venir.
Quand elle oubli de masturber le cul, elle passe sa langue sur
l'anus. Elle lui lèche le cul moment avant de mettre sa langue doucement, en forçant un peu entièrement dans le cul. Et l'autre femme qui prend son pied, qui jouit plusieurs fois
consécutives.
Nous restons isolés, les hommes. J'ai l'idée de prendre sa queue
qui bande. Je le branle, il me rend la pareille. Pour lui ce n'est pas assez : il tend sa bite vers ma bouche.
Moi sucer une bite ? Pourquoi pas : je me met en 69
devant lui.Nous nous suçons chacun en donnant à l'autre un nouveau plaisir. Pour moi le fait d'avoir sa queue dans la bouche et savoir la mienne dans sa gueule m'excite.
Rachelle se donne à la femme de mon ami. Leur 69 est sérieux,
elle se suce tout le sexe sans cesse,
sans tenir compte des orgasmes provoqués.
Je sais qu'elle jouit plusieurs fois de suite pendant que je
décharge dans la bouche d'un homme. Je fini de le faire jouir, je reçois sa décharge dans la bouche : c'est bizarre, salé et gluant. Nous arrêtons là, complètement crevés.
Les deux femelles continuent longuement leur cunnilingus. D'après
Rachelle elle a jouit une bonne douzaine de fois.
Et maintenant au réveil, elle ne demande qu'une seule
chose : ma bite dans son con. Pourquoi pas dans son cul ?
Un soir après un arrosage, dans une société de gardiennage, nous
avons dû raccompagner chez lui un collègue qui était proche du coma éthylique.
Une fois chez lui à la sortie de l'ascenseur, comme s'il
reconnaissait les lieux dans son demi-coma, notre collègue a sorti ses clés. Nous l'avons soutenu jusqu'à la porte de son appartement, Il s'est mis à chercher la serrure du mauvais côté, et nous
avons dû l'aider à ouvrir la porte.
La femme de notre copain, n’était pas encore coucher il était
pourtant presque une heure du matin elle était là devant nous en nuisette. Elle ne s'attendait certainement pas à nous voir avec son mari.
Dans cette tenue, elle était encore plus belle que la première
fois que nous l'avions vu. C'était lors d'un arrosage précédent. Elle était venue chercher son mari, avant qu'il ne soit trop ivre. C'était elle qui le conduisait à cette époque suite à une
suspension de permis et nous ne comprenions pas comment un homme souvent ivre avait pu séduire une si jolie femme.
C'était l'été et elle portait une petite robe courte qui nous
donnait à tous des envies de grand vent.
Elle était toute mignonne une poupée pas plus de 30 ans avec de
très beaux yeux noirs et tout ce qu'il faut pour occuper un homme. Elle avait les cheveux noirs très courts et un visage qu'on avait envie de prendre entre ses mains pour s'enfoncer dans sa
bouche.
Quand elle est entrée il y a eu un silence. Nous étions une
quinzaine. Elle nous a salué avec un sourire radieux et a commencé à nous faire la bise. J'ai vu un copain en profiter pour tenter lui peloter les fesses. Mais elle lui a vite repoussé la main,
puis lui a demandé sèchement ou était son mari.
Ce soir, sa nuisette transparente ne cachait presque rien, et
nous avons marqué un temps d'arrêt. Elle a vite compris que nous étions en train de mater ses seins libres sous la nuisette et a fortement rougi.
- Bonsoir ! Nous te ramenons ton mari. Il avait vraiment trop bu
pour qu'on le laisse conduire. Si tu veux, on va le porter jusqu'à la chambre.
Quand nous l'avons suivie dans le couloir, nous avons pu deviner
la silhouette d'un string sous sa nuisette. Elle avait vraiment un joli cul, et je ne sais pas si elle l'avait prévu pour son mari mais la chambre éclairée faisait contre- jour avec l'obscurité
du salon, rendant sa nuisette encore plus transparente. Sa démarche était gracieuse, mais elle semblait gênée.
Nous sommes entrés dans la chambre. Nous avons déposé son mari
sur le lit, retirer ses chaussures et juste desserrer la ceinture de son pantalon. Il semblerait que c'est là que tout a basculé. Mon copain m’a fait un clin d’œil, il s'est collé à elle et l'a
poussée contre moi. Elle était sa tête entre nos deux torses. Elle semblait d’abord paniquée, pas pour longtemps, ce n’était qu’un jeu, après et elle riait assez fort.
- Chut ! Tu sais que si tu fais du bruit tu vas réveiller ton
mari. Lui dis-je tout bas.
Mon copain, qui était derrière elle, lui attrapa le menton pour
rechercher ses lèvres. Moi, je lui caressais les seins puis descendait jusqu'à sa fente en passant sur le côté du string. D'un doigt je prenais possession d'elle. Elle n'était pas encore humide.
Mon collègue l'embrassait maintenant à pleine bouche en lui dénudant les seins que je me mis à lécher.
- S'il vous plait, pas ici. Pas dans la chambre, il peut se
réveiller. Dit-elle dès qu'elle eut retrouvé son souffle.
Nous sortîmes de la chambre et nous dirigeâmes vers le salon, en
abandonnant le mari. Une fois arrivé je m'assis et lui dit :
- Viens là ! Près de moi.
Elle se rapprocha encore un peu effrayée. Je l'attrapai par les
hanches et commençait à lui embrasser le ventre, en lui soulevant sa nuisette. Mon copain n'était pas inactif et tout en restant à côté d'elle, il lui pétrissait les seins et
l’embrassait.
Mes doigts avaient retrouvés le chemin de sa chatte, elle
commençait à mouiller et j'en profitais pour lui glisser un doigt dans l'anus. Mon copain la fit alors se pencher vers moi. Je défis mon pantalon et lui donnait ma queue à sucer.
Devant son hésitation je dus lui prendre la tête à deux mains
pour lui donner du courage. En même temps, mon copain, l'enfila par derrière et d'après la grimace qu'elle fit quand il s’enfonça, je compris qu'il venait de l'enculer peut-être un peu rapidement
sans préparation.
Sous le coup de l'émotion je jouis dans sa bouche. Elle laissa
couler la majeure partie de mon foutre.
Puis, mon copain la coucha sur le dos sur le canapé et l'enfila
de nouveau dans le cul. Au bout de quelques minutes, je m’approchais de nouveau de ses lèvres pour qu'elle me redonne une consistance.
Mon pote semblait être une vraie machine à baiser. Il la limait
en lui tenant les jambes au-dessus des épaules. Moi, je lui branlais le clito pendant qu'elle me suçait.
- Tu aimes qu'il t'encule ?
- Oui ! Maintenant ça va mais il n'a pas été tendre au
début.
- Oui dit mon copain, mais j'ai une grosse queue pour les petites
femmes de ton genre.
- Et ton mari, il t'encule souvent ?
Elle me fit signe que non pour ne pas interrompre sa
fellation.
- Laisse-moi une petite place. demandais-je à mon
copain.
- Non ! S'il vous plait, pas les deux en même
temps.
- Allez, laisse nous faire on va y aller doucement.
Elle se leva alors se rassit sur lui comme il le lui avait
demandé. Je voyais la bite de mon copain entrer et sortir de son cul, et sa chatte encore ouverte et ruisselante. Alors, Je m'engouffrais dedans.
Elle était maintenant coincée entre nous deux. Je l’embrassais en
lui massant les seins. Je sentais la bite de mon pote en mouvement avec la mienne. Elle commençait à gémir et semblait vraiment apprécier. Je sortis de sa chatte pour lui envoyer mon foutre sur
ses seins. Au moment de jouir mon pote, sorti de son cul, la fit mettre à genoux et lui mit tout sur le visage.
Nous avons remis un peu d’ordre dans le salon puis avons fait un
petit tour dans la chambre. Le mari n’avait pas bougé d’un poil, il ronflait très fort.
Un peu plus tard, nous partîmes. Elle nous embrassa en nous
remercient d’avoir raccompagné son mari.
- Rassure-toi on ne laisse jamais les copains. Nous reviendrons
de temps en temps te voir.
Petite lecon de séduction, ou comment prendre une salope par tous les trous...
D'abord vous vous immissez dans sa culotte. Vous caressé son bouton pour l'humidifier. Vous pouvez y mettre un doigt puis un deuxième...
Il est temps de lui oter sa culotte...
Sa chatte mouillée vous tente ?
Alors n'hésitez pas et léchez son sexe dégoulinant. Elle ferme les yeux et gémit. C'est déjà gagné.
Donnez lui du plaisir. Prenez le temps.
A vous de prendre du plaisir. Empalez la sur votre sexe.
Et prenez la dans toutes les positions...
C'était bon ?
Nous allons chercher Caro à la gare sous le chaud soleil. Lucie
est arrivée à midi et nous accompagne. Caro sort du train, habillée très légèrement avec une petite robe à pois assez courte et décolletée. L'immense sourire dont elle me gratifie quand je lui
fais la bise et qu'elle s'aperçoit que mon regard plonge dans sur sa poitrine fait monter ma température qui n'avait pas besoin de ça déjà!
On les installe dans la chambre à côté avec leurs bagages.
Anne-So est à peine partie leur préparer un petit goûter que ces petites garces commencent à m'allumer un peu en se trémoussant sur le lit, jouant avec leur robe tout en riant… Le ton est donné
pour ce début de séjour. La journée se passe au mieux avec un petit apéro sur le coup des 18h, barbecue dans le parc, discussion ensuite à la belle étoile…
Nous finissons par nous coucher et je fais l’amour avec
Anne-Sophie en n’oubliant pas que les deux coquines ne sont pas très loin. Voulant un peu à mon tour les allumer et jouer, je m’active tellement qu’Anne-So hurle de plaisir malgré le fait qu’elle
essaie désespérément de se contrôler. Une fois épuisés, je ricane en pensant à nos voisines et au spectacle sonore dont elles ont bénéficié.
Le lendemain matin, comme je le pense je suis le premier à me
lever.
Je prépare la table pour le petit-déj avec pain, pain grillé,
beurre, confiture, lait, etc…
A peine ai-je fini que j’entends Caro arriver et qui ouvre la
porte avec un grand sourire. Je la prie de s’installer à table :
- « Mademoiselle est servie. Que souhaiteriez-vous qui ne soit
pas sur la table ? » dis-je avec un air serviable.
Et là, du tac-au-tac, sans prévenir :
- « Que tu sois mon esclave sexuel et que tu me lèches pendant
que je petit-déjeune » avec un air assez autoritaire et froid.
Je suis assez interloqué par sa demande mais le regard qu’elle me
lance me fait plier. Et j’avoue trouver ça très excitant.
Je contourne la table, je relève la nappe et me place entre ses
cuisses. Il faut dire qu’il s’agit d’une grande table de ferme avec une nappe qui descend jusqu’au sol, ce qui fait qu’on ne peut me voir si on n’est pas assis à côté de Caro.
Je sens son intimité. Quelle douce odeur, mêlant des senteurs
intimes à celle du gel douche aux fruits exotiques. Je veux prendre mon temps mais je sens la main de Caro derrière ma nuque et qui me plaque. Je n’ai d’autres choix que de me mettre en action.
Je la lèche avec application, voulant lui donner un maximum de plaisir et pourquoi pas la déconcentrer pendant qu’elle boit son café. C’est vraiment délicieux. Je passe ma langue le long de ses
grandes lèvres, ma langue agace son clito et de mes lèvres je le suçote et l’aspire tout en faisant tourner ma langue autour.
Mon pouce commence a doucement la caresser et sans crier gare, je
l’enfonce dans son vagin. Je sens un soubresaut parcourir Caro d’un coup qui manque de s’étouffer. Je continue mon œuvre. Elle coule de plus en plus dans ma bouche. Je la sens s’agiter de plus en
plus. J’en profite pour lui caresser ses jambes si douces et si fines. Je m’arrête deux secondes pour reprendre mon souffle et je lui branle son clito ce qui la fait sursauter et pousser un petit
cri.
- « Qu’est ce qui t’arrive ? C’est de me voir qui te fait
sursauter ainsi !? »
Lucie venait d’arriver. Je vois que Caro est tout
cramoisie.
- « Euh tu m’as surprise en fait. «
Et disant cela, elle rabat la nappe pour que je ne sois pas
visible.
- « Oh, Dés a vraiment pensé à tout ! Quel ange ! Remarque, après
le début de nuit qu’il nous a fait endurer, on mérite bien
ça non ? Faudra penser à nous venger ! »
Lucie s’installe à côté de Caroline, sans me toucher pour autant.
J’ai bien entendu arrêté toute activité, attendant que cela se calme. De toute manière, Caro m’avait repoussé à l’arrivée de Lucie.
Je sens sa main repasser derrière ma nuque pour m’inviter à
reprendre.
D’un coup, j’ai une idée. Les si jolies jambes de Lucie sont
juste à portée et je commence à la caresser du bout des doigts. Elle se laisse faire croyant qu’il s’agit de Caro. Je continue à la lécher et mon index et mon majeur rentrent en elle très
facilement après mes exercices buccaux précédents. Elle se met à respirer très bruyamment et Lucie soulève la nappe pour me trouver en pleine action, le visage tout barbouillé, ma barbe toute
brillante.
- « Et bien dites donc vous deux ! Dès le matin, vous ne vous
ennuyez pas !! »
De ma main de libre, je lui fais ouvrir les cuisses et commence à
lui caresser l’entrejambe. Elle aussi est nue sous son tee-shirt long qui lui sert de nuisette. Et ainsi débute un ballet où je passe de l’une à l’autre de mes doigts, de mes lèvres, de ma
bouche, batifolant, suçotant, caressant tantôt furtivement tantôt sensuellement avec mes deux petites garces qui gémissent et se trémoussent sous mes efforts. Cela dure quelques minutes quand
j’entends la porte qui s’ouvre. Mes deux coquines s’arrêtent immédiatement. Moi de même.
- « Vous savez où est Dés les filles ? »
- « Non » répondent-elles toutes deux la bouche en cœur. « Il
doit être dehors. »
- « Bon, ce n’est pas grave, je vais prendre ma douche et je
reviens prendre mon petit déj’. A toute les filles ! »
Et la voilà repartie. Les filles me préviennent que je peux
sortir. Je prends une serviette en papier pour m’essuyer un peu le visage, je vais ensuite à l’évier pour me passer un peu d’eau, et hop ! A table pour manger maintenant… Ni vu ni connu… pour le
moment…
Janvier 2025 | ||||||||||
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