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Les trois copines invitées à cette petite fete participent pleinement. Fellation, levrette, ... Les trois rivalisent d'imagination pour donner du plaisir à leurs étalons...
V
C'est l'été : LACHEZ VOUS.
Je ne peux pas croire qu’elle a dit ce qu’elle vient de dire. Je ne lui
connaissais pas ce genre de langage, ni ce genre d’envie. D’un coup de pied, le shorty que j’avais abandonné à la hauteur de sa cheville, vole dans les airs. Elle écarte les cuisses. Je crois
qu’elle veut que je lui fasse un cunni. Je jette un coup d’œil à Jérémie qui lui, a commencé à masser son salami. Quelque chose de plutôt agréable à regarder. Plus petit que je me l’étais
imaginée, mais dans les fantasmes on exagère toujours.
Catherine s’est approchée et elle se l’a foutu dans la bouche. Elle le suce, comme ça, devant moi. Dans quelle sorte d’histoire est-ce que je me suis embarquée. Pourquoi est-ce que j’aime ça, les
regarder faire? Je ne croyais pas que c’était du genre de Catherine. Je ne croyais pas que ce serait mon genre de descendre mon visage vers sa vulve, non plus. Je ne sais pas trop comment je dois
faire, mais j’imagine que je vais trouver. J’ai déjà eu un copain qui adorait regarder ce genre de film. Pourquoi est-ce que je brûle d’envie de lécher sa chatte?
C’est une chance que Catherine ait un si grand lit.
Jérémie est agenouillé d’un côté et il se fait sucer la queue. Catherine est étendu sur le dos, un peu de billet et elle a replié et écarté les cuisses. Et moi, je suis agenouillée devant sa
vulve. Mes bras tiennent ses cuises écarté dans cette position pour le moins exhibitionniste. J’ai d’abord hésité, mais maintenant je fais ce qu’elle m’a demandé : je lui lèche le minou.
Normalement, je n’emploierais pas ce genre de langage, mais dans le feu de l’action, on perd certaine inhibition.
Avec ma main gauche je tiens ses grandes lèvres écarter. Si d’abord, j’y vais délicatement en effleurant du bout des doigts ces petites lèvres, l’odeur, la vue de son petit clitoris, l’apparition
de ce que je crus être de la mouille et le désir hardant qui s’empare de moi me convainc d’attaquer. Je glisse ma langue le long de sa fente. J’essaie de la glisser à l’intérieur de son vagin. Je
vois son ventre se contracter. Je crois qu’elle aime bien. Alors, j’effleure du bout de la langue son clitoris. Je suis encouragée par le petit gémissement qu’elle laisse entendre. Je lèche avec
plus d’intensité. J’aime ça. J’aime le goût de Catherine.
« Ah putain, Mel, c’est bon, continu. »
Je continue. Je redouble d’ardeur. Briser cet interdit, fait battre mon cœur tellement vite. Jérémie ne se fait plus sucer. Il est debout sur le bord du lit et il se dirige derrière moi. Il dit
que j’ai un beau cul. Il avoue même l’avoir toujours aimé. Mes hanches sont tellement larges, avec mes gros nichons, ça le fait bander. Il met d’ailleurs ses mains sur mes hanches et
il les descend le long de mon corps jusqu’à mes seins. Il les saisit avec vigueur. C’est à mon tour de gémir. Je me cambre, un peu. Je crois qu’il va me prendre, comme ça en levrette pendant que
je m’occupe de Cat. Je me brasse un peu les fesses.
Il descend ma culotte. Je sens l’élastique glisser sur mes fesses. Je devine son regard sur mon cul. Il a de la difficulté à passer sous mes genoux. J’aspire une des petites lèvres de Cat qui
gémit doucement. J’éloigne mes genoux pour m’écarter et m’offrir à Jérémie Derrière moi, il glisse quelque chose, un doigt ou son gland, sur ma vulve. C’est fou, les plans à trois, ça me plait de
plus en plus.
La posture de “la balançoire en fête” s’adresse aux heureux propriétaires d’un rocking-chair ou d’une balancelle de jardin comme on en rencontre dans les pays ensoleillés. Pour les autres, une variante appelée simplement “la balançoire” leur permettra d’accéder de manière différente mais néanmoins fort convenable aux plaisirs de la bascule !
Parfois, on a recours à cette position après que la femme se soit assise sur les genoux de son cavalier pour un petit câlin et quelques échanges de baisers. Lorsque l’homme sent monter l’érection, il n’abandonne pas le rocking chair ; il se débarrasse simplement de ses vêtements, ainsi que sa partenaire : les corps des deux amants se retrouvent ainsi dans un contact intime, peau contre peau, prêts à se mêler et se pénétrer. L’homme s’est assis le premier dans le fauteuil ou sur la balançoire.
Avant le coït, la dame peut s’agenouiller au pied de l’homme et se livrer alors à quelques lècheries, succions ou absorption du pénis. Elle aura soin d’effectuer son ouvrage au rythme de la bascule, le pénis entrant et sortant de sa bouche, en même temps que son amant se balance : grâce à elle, la verge se raidit et se gonfle davantage, se préparant à l’envahir de plaisir ainsi que son amant.
Celui-ci relève alors la femme, en la saisissant sous les aisselles ; il peut effleurer subtilement de ses doigts mouillés de salive le clitoris et les petites lèvres de sa compagne ou, si l’un ou l’autre préfère, s’emparer de son pubis à pleine main et le stimuler vigoureusement, afin de la préparer, elle aussi, à la jouissance sexuelle.
Lorsque les deux amants ont tous deux atteint un haut degré d’excitation, l’homme écarte légèrement les jambes, les pieds reposant au sol, et glisse ses fesses au bord du siège ; son buste et sa tête sont penchés en arrière, les épaules en contact avec le dossier, ses avant-bras reposent sur les bras du fauteuil.
Une fellation "amateur" qui n'a qu'amateur que le nom. Car la brune en connait un rayon et elle malmène cette belle grosse queue pendant 10 minutes. J'en connais qui n'aurait pas tenu 5 minutes avec ce traitement.
Elle finit par se faire prendre.
Qu’est-ce que je raconte. Je ne sais rien faire.
D’habitude, je m’étend sur le dos et j’attends que ce soit fini. Parfois, c’est bon. J’ai connu un Kévin, il en avait une énorme. Des fellations, j’en ai déjà fait, aussi, mais elle, je lui
retirai son shorty et je ne saurais pas quoi faire avec se que j’y trouverais. Les cunnilingus, j’en ai déjà entendu parler, mais c’est tout. Je décide de donner un baiser sur son ventre. Elle a
un beau ventre. Je ne sais pas si elle s’épile. Sûrement, une fille comme elle. Elle fait attention à son apparence.
- « Et ben, les filles!
- Tu nous surprends en pleine action, hein! Mel allait justement enlever ma culotte.
- Je… non… je…
- Oh oui, Mélanie, retires y sa culotte. C’est trop cochon.
- Je… eh… »
Apparemment, je n’ai pas le choix. Quand il est arrivé, je me suis roulée sur le côté pour le regarder. Si sa nudité m’a laissé chancelante, sa suggestion m’a rendu bègue. Catherine, elle, elle
en a profitée pour soulever les jambes et maintenant elle les bas comme si elle nageait une longueur.
- « Mel, sois pas si stresser.
- Mais oui, Mélanie, ce n’est pas comme si ce serait la première fois qu’on déculotterait Catherine.
- Qu’est-ce que t’insinue.
On ne saura jamais ce qu’il insinuait. Il s’est étendu sur le matelas avec Catherine et moi. Il m’a immobilisé en ne me tenant par le menton et il a joint ses lèvres aux miennes. C’était étrange,
parce que Catherine nous regardait. Elle était-là, juste en dessous de notre baiser.
J’éclate de rire. C’est qu’après m’avoir embrassé, Jérémie a échangé un baiser passionné avec Catherine. Et elle, quand elle a lâché les lèvres de son amoureux, ce fut pour venir me rouler une
pelle pour le moins étourdissante. Encore sous le choc, après ce baiser ultra cochon, qu’est-ce qu’il me restait à faire, sinon, retourner coller ma bouche contre celle de Jérémie. Nos trois
corps étaient si proches. On a perdu un peu le contrôle. Avoir deux partenaires à embrasser, deux corps à caresser ça peut devenir mêlant, mais ça donne un sacré coup de chaleur.
« Arrête de te moquer, toi, et essaie pas de t’en échapper! T’as promis de m’enlever ma culotte et j’attends encore. »
Je suis contente qu’elle me le redemande. C’est la première fois que je fais ça et j’aurais été déçu que Jérémie, qui la déjà vu, m’enlève la chance de découvrir cette partie de son corps. Je
marche à quatre pattes sur le matelas pour que mes mains soient au niveau de ses hanches. J’attrape l’élastique de son shorty. Je tire tranquillement. Le cœur me bat de plus en plus vite à mesure
que son bas ventre se découvre. Je savais bien qu’elle serait épilée. C’est beau. Ces petites lèvres dépassent juste un peu des grandes. J’ai envie de toucher… de toucher la vulve de mon amie.
J’aurais envie d’effleurer l’endroit du bout des doigts. Juste pour la faire frissonner, juste pour m’habituer à l’idée.
« Très bien, maintenant, mange moi. »
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