Laissez vos commentaires

Pour que nous proposions un contenu qui vous plaise, pensez à nous laisser des commentaires sur ce que vous aimez ou se que vous voudriez voir. Cela nous donnera plus de motivation.
A vous de jouer.

Mardi 10 juillet 2 10 /07 /Juil 09:49

Lorsque j'arrêtais la voiture au niveau du portail, Je regardais l'heure sur la montre
du tableau de bord : 5h 20… Presque immédiatement une lumière se fit dans l'imposte de
l'entrée, la porte s'ouvrit inondant d'une vive lumière jaune le chemin de la cour.
Mireille ne s'était pas rendu compte que nous étions arrivés. La tête renversée sur le
haut du siège du passager, elle souriait aux anges, sa robe noire, fendue, ouverte sur
le haut de ses cuisses à l'intersection desquelles on pouvait apercevoir quelques
poils fins et fauves. On n'avait pas pris le temps de lui remettre son slip, ni son
soutien-gorge du reste, lorsque la Duval, une commerciale de l’entreprise, et moi
l'avons habillée avant de repartir. Dieu que la garce était belle ! Avec ses jambes
fines et longues, ses hanches bien arrondies et moulées par la robe, ses jolis seins
très fermes et hauts sous son décolleté ouvert qui montrait bien leur naissance...
Déjà dans la découpe de lumière une silhouette réprobatrice se détachait en ombre
chinoise. L'homme me paraissait grand dans le rectangle de lumière de la porte. Son
mari, sans doute, qui avait dû passer la nuit à l'attendre...
Je pris le parti de faire descendre Mireille le plus naturellement du monde comme
lorsque l'on ramène une collègue après une journée de travail... J'eu déjà beaucoup de
mal à la faire se lever du siège avant. Elle s'agrippa à moi pour y parvenir,
m'enserrant les épaules au moment où son mari arrivait de l'autre côté et regardait
par la vitre de la porte du chauffeur. Je réussi à la faire mettre debout, à peu près,
le long de la voiture, tandis que j'expliquais à son mari, sans émotion, du moins il
me semblait, que j'avais dû la ramener, ne pouvant pas décemment la laisser conduire
ainsi…
Je tentais d'expliquer ce qui était par trop visible : qu'elle avait un peu bu durant
le repas, et que c'était le dernier verre de champagne qui lui avait été fatal vers 4
heures du matin, lorsque, après avoir dansé des farandoles, la soif lui a fait prendre
" le verre de trop ". Je précisais rapidement que sa voiture était là-bas et je lui
proposais de le conduire tout l'heure pour aller l'y chercher. Il ne répondit pas,
mais à son air je vis que ma version était à peu près crédible.
Pendant ces explications, Mireille toujours appuyée à la voiture, riait fort
en ébauchant des gestes assez désordonnés et qu'elle n'assurait pas jusqu'au bout, ce
qui est un signe d'ébriété caractérisée. Les femmes ivres, ou plutôt entre 2 vins
c’est-à-dire fortement " éméchées ", m’ont toujours beaucoup excité sur le plan
cérébral, sans que je sache au juste pourquoi. Et de voir ou de côtoyer une femme dans
l'état de Mireille, cela me fait toujours fortement bander et me donne envie de faire
avec elle des choses insensées sur le plan sexuel...
Je pris Mireille sous un bras, très fermement et la maintenant ainsi je lui fit faire
le tour de la voiture en direction de la porte d'entrée. Elle titubait, marchait à pas
mal assurés et surtout se déhanchait et partait d'un côté de l'autre au point qu'elle
risquait chaque fois d'échapper à ma poigne et de glisser à terre.... Elle riait très
fort, de façon très saccadée, désordonnée et excessive, avec de brutales variations
dans la voix changeant de niveaux de rire. Comme on pouvait s'y attendre, elle ne
parvint pas directement à franchir les 2 marches du perron. Manquant la première, elle
faillit s'affaler sur la petite terrasse et se rattrapa au poteau du préau de l'entrée
qu'elle saisit à bras le corps et qu'elle étreignait fortement de ses 2 bras. Cette
situation de presque chute, eu pour conséquence de renforcer grandement son hilarité.
Accrochée maintenant au poteau, renversant la tête en arrière et faisant
dangereusement osciller son corps de part et d'autre, elle riait à gorge déployée.
Elle tentait en même temps de donner quelques explications sur son état à son mari qui
était plus médusé et ennuyé qu'en colère.
- " Tu sais mon chéri, j'ai dû boire un peu trop, je te le susss... Je peux te
le faire... Je suis avec... ". Les mots lui venaient mal et elle s'embrouillait
largement dans ses phrases, le débit très incertain et la langue pâteuse.... Ses
cheveux courts et roux foncés en désordre, lui donnaient un air à la fois enfantin et
charmant de femme-enfant.
- " J'ai bu trop d'accord, se reprit-elle entre deux rires appuyés, mais j'ai été très
sage et convenable, tu sais... C'est la valse qui m'a fait tourner la tête... Oh,
lala…, cette valse ! Mais c'est rien, tu sais !... Je suis très contente quand même
de ma soirée..."
Certes, lui ne semblait pas deviner tout ce qu'elle avait pris entre les
cuisses toute la soirée, ni tout ce qu'elle avait tenu entre ses mains fines, ni ce
qui était passé entre les jolies lèvres de sa bouche sensuelle... Je craignais
cependant qu'une fausse parole, dite dans ces conditions très incertaines, ne vienne
donner l'alerte ou mette en éveil le mari. Je parlais pour redire ce que j'avais déjà
dit et surtout pour éviter que ce soit trop Mireille qui explique...
Mais déjà, elle, secouée de rires, agrippée au poteau, lâcha un pet magistral
qui nous atteignit dans le silence froid de l'heure du laitier. Cet événement cocasse
eut pour effet de redoubler ses rires... Elle était presque pliée en deux de rire
autant. Elle lâcha un deuxième pet tout aussi fort que le premier mais qui dura plus
longtemps comme se répercutant en écho sur le fin.... Puis toute une autre série en
chapelet, 5 à 6 accrochés ainsi... Et encore une nouvelle salve plus bruyante et plus
longue, me sembla-t-il. Elle n'en pouvait plus de rire. Je ne craignais qu'une chose :
c'est qu'emportée par le rire et l'ivresse elle ne remonte sa robe à l'occasion de cet
accès de flatulence, et montre son joli cul ce qui aurait immédiatement averti le mari
de l'absence de son slip...
Pliée en deux, les mains enserrant le poteau, les bras tendus, penchée en
avant, le dos incliné et les fesses bien moulées par la robe noire, et malgré son
ivresse, ou à cause d'elle, elle était toujours aussi belle et désirable, enfantine et
touchante, sensuelle... Excitante, et portant si fragile...
Elle était agitée de soubresauts incontrôlables, le souffle coupé par les rires. Et
sous l'effet des rires sans doute, lâchant les derniers pets, elle pissa ainsi,
debout, dans sa robe et le long de ses jambes, qu'elle n'écarta qu'à peine un peu
plus, tant ce n'était pas son problème du moment.... Le liquide chaud arrivait sur le
carrelage avec un léger bruissement et de clapotis de fontaines alpestres et
s'étendait en nappes entre ses pieds. Elle riait de plus belle en disant
- " Voilà que je pisse maintenant !... Qu'est-ce que vous me faites faire là ! Ah !
Mais, vous êtes fou !... Retenez-moi, empêchez-moi !... Ah les salauds !! Regardez-
moi, je suis toute mouillée maintenant !... C'est comme ça que vous me vouliez ?! "
Son mari vint vers elle, plein de compréhension…
- " Voyons, Mireille arrête et tiens-toi tranquille, voyons !… Rentrons d’abord à la
maison aller viens, rentrons !... "
- " Ah non, salauds ! C'est ce que vous vouliez, hein, alors ne m'arrêtez pas !... Je
ne quitte rien et je ne bouge pas ! Dieu que c'est chaud ! C'est bon... " Et disant
cela, elle s'empoigne d'une main la cramouille à travers la robe et se frotte
énergiquement entre les jambes comme pour s'essuyer avec le tissu et s'astiquer
fortement. Son mari un moment interdit, s'approche d'elle vivement et l'empoignant aux
épaules et aux poignets lui dit sans ménagement :
- " Mais enfin Mireille tu es folle ? Te rends-tu compte de ce que tu fais ?
Je t'en prie, tiens-toi un peu ! Ca suffit maintenant !!... " Puis s'adressant à moi :
- " Faites-là entrer, s'il vous plaît… Je vais chercher de quoi nettoyer ça et de quoi
la couvrir."
Il disparaît dans la maison. Mireille qui riait toujours, un peu calmée il est
vrai, me passe les bras autour du cou me disant :
- " Ah mon chéri, j'ai le cul en feu ! J'ai la chatte qui me démange !... Passe-moi ta
main entre les cuisses, vite, j'ai besoin ! Et relevant sa robe devant, elle ajoute :
tiens, regarde ma chatte comme elle gonflée... Touche, elle est toute mouillée
maintenant qu'elle a pissé... Ah la salope !... Elle me démange, elle a très envie
d'être léchée et branlée !... Branle-là, je t'en prie, frotte-là moi fort ! "
Gardant la robe relevée, penchée en avant, elle regardait sa chatte,
s'écartant les lèvres d'une main de l'autre se caressant avec force et rapidité le
bord des petites lèvres, un doigt allant et venant dans la fente. Ce qu'elle se
faisait là, sur son perron à 5h 30 du matin, la faisait frémir de plaisir. Elle se
branlait fortement, me tendait sa langue pour que je lui suce...
Mais déjà j'entendais le mari revenir. Je lui rabaissais prestement le robe, et je mis
dans sa main son slip rouge et noir qu'elle n'avait pas dû avoir le temps de salir de
la soirée, pour faire comme si elle venait de le retirer après avoir pissé dedans.
Puis, la maintenant debout contre mon épaule, je la fis avancer doucement vers
l'entrée. Le mari lui passa un lourd manteau sur les épaules et alla mettre la
serpillière sur la flaque d'urine. Il nous rejoignit en disant :
- " Entrez, j'ai mis un café en route, je vais lui faire prendre un bain et
lui donner un café très fort ". Il l'entraîna vers la salle de bain, elle avait
toujours sa main droite qui pressait fortement son pubis à travers la robe et je suis
à peu près sûr qu'elle continuait à se branler à travers le tissu. Il poussa derrière
lui la porte de la salle de bain, j'entendis qu'il lui quittait sa robe, puis qu’il
faisait couler de l’eau dans la baignoire.
Je me disais pourvu qu'il ne remarque pas les marques sur les hanches et aux épaules
faites sur sa jolie peau fine et fragile de rousse, par ceux dont je fus, qui la
baisant par derrière, surtout en levrette, l'avaient empoignée vigoureusement aux
épaules et aux hanches.

 

Retour en images sur cette soirée débridée :

8-copie-2.jpg9-copie-1.jpg

15-copie-4.jpg24.jpg

17.jpg

19-copie-1.jpg

18-copie-1.jpg


 Pour bien la connaître (j’étais son amant depuis de nombreux mois), je savais que sa
chatte était caractéristique de son état d'excitation. Là, au cours de la soirée,
masturbée, léchée, écartée, branlée, sucée, engodée, enfilée, baisée..., pendant une
bonne partie de la nuit, la chatte était rouge, très ouverte avec les grandes lèvres,
déjà bien épaisses et larges, devenues très turgescentes et gonflées. Ses petites
lèvres d'ordinaire très discrètes, roses et peu marquées chez elle, sont dans ces
moments là très pendantes, faisant saillie entre les grandes lèvres, très ridées et
d'un rose violacé dû à l’afflux de sang. Le clitoris, lui aussi très bandé, était
magnifiquement érectile sous mes pointes de langue, et ce soir là, je m'en étais pas
privé. Quand elle est excitée ainsi et un peu " allumée " par le champagne, son "
clito " fait très nettement sailli hors du capuchon, la hampe très relevée, pointant
très haut, nettement hors des poils qu'il dépasse largement dans ces occasions. Les
poils de rousse, sont eux aussi très caractéristiques : très fins et peu fournis, ils
deviennent sous l'effet des frottements divers, des mouillages, des décharges de bites
ou de cyprine et des léchages variés, soyeux, beaucoup plus souples et bouclés,
rejetés largement sur les côtés des cuisses et du pubis, dégageant bien alors la
fente, le trou du cul et l'entrée du con.... Oui, pas besoin d'être un grand expert,
il faut seulement bien connaître Mireille, pour s'apercevoir qu'elle n'avait pas fait
que boire et danser cette nuit là !...
J'entendais qu'il la douchait et la frictionnait au gant de crin. Ce
traitement, sans doute donné avec attention mais très fermement, la rendait tour à
tour hilare et gémissante... Deux ou trois fois, elle entrecoupa ses rires de chansons
du style de : " Il était un petit navire " et " C'est la danse des canards "... Je
craignais qu'elle n'entonne : " Le curé de Camaret" ou " Jeanneton " chanson de corps
de garde, qui avaient animé une bonne partie de notre soirée. Non pour mes chastes
oreilles, mais parce que cela aurait trop donné le ton de notre équipée nocturne à son
mari. Il faut dire que nos soirées d’entreprise sont toujours très corsées. Nous
sommes une bonne douzaine de collègues hommes et femmes qui s’entendent bien pour
organiser de temps en temps ce genre de soirée, où la baise et la partouse, sous
toutes ses formes, est toujours au rendez-vous…
Je remarquais alors, que Bernard, son mari donc, avait posé la robe du soir de
Mireille à la porte de la salle de bain, dans le couloir, puis avait repoussé la
porte. Je me souvins que vers l’heure du départ, j’avais ramassé sous une table le
slip et le soutien-gorge de la belle Mireille. Il me revint à cet instant que j’avais
gardé sur moi le soutien-gorge. Je le sortis de la poche intérieure de mon veston et
allais rapidement le poser sous la robe, espérant que le mari ne se souviendrait pas
qu'il ne le lui avait pas enlevé...
D'avoir dans la main ce soutien-gorge me fit quelque chose et je me remémorais le
moment où un grand gaillard de mes collègues, qui se tenait dans son dos, lui avait
dégrafé, libérant ses deux très jolis seins dont elle est très fière... Avant de
dissimuler le soutien-gorge sous la robe, je le portais furtivement à mes lèvres. Les
effluves du parfum subtil de Mireille m'enivrèrent un instant, et mes sens
chavirèrent. Je fus violemment transporté deux ou trois heures auparavant : au moment
précis où j'avais mon visage dans son cou et qu'elle, allongée sur moi, son dos sur
mon corps, je la prenais avec vigueur dans sa jolie fente, tandis que la Duval, lui
léchait et lui titillait le clitoris de la pointe de sa langue. Elle avait joui très
fortement à ce moment là, de façon presque obscène, en proférant et criant des mots
crus et très osés comme elle en avait l’habitude, renversant sa tête en arrière vers
moi, me donnant sa bouche et sa langue, m'embrassant fougueusement, agitée de
soubresauts... Les trois autres collègues en face la regardaient jouir et décharger,
empalée sur mon sexe, qu'elle inondait de flots de cyprine qu'elle lâchait sans
regret, les cuisses bien relevées et maintenues haut par la Duval…
La garce aimait tellement être matée dans ces moments là, que souvent la situation
seule suffisait à lui donner des orgasmes... Le visage enfoui dans le soutien gorge,
imprégné de l'odeur merveilleuse de Mireille, je revivais toute la scène... Y compris
le moment où à la fin de la jouissance de Mireille, la Duval, sentant venir mon heure,
sortit prestement ma bite du con ruisselant de la belle rousse, et la déconnant ainsi,
elle lui mit immédiatement trois doigts dans le trou pour remplacer mon engin. Mais
surtout la Duval, se plaçant entre les jambes de Mireille me pris le sexe en bouche,
et le branla avec une légèreté et une sensualité que j’avais rarement vues, puis elle
me suça complètement tout aussi divinement... Je ne fus pas long à partir et à lancer
alentour de longues giclées qui atteignait la Duval, tantôt dans les cheveux, sur le
visage, le cou, les seins, au fur et à mesure de la diminution de la puissance des
jets successifs... Elle reprit le gland en bouche et finit de le pomper en aspirant le
foutre qui s'échappait aux commissures de ses lèvres... Dieu quel pied, ce fut !
J'en étais là de mes pensées et détachant péniblement mon visage de ce tissu
odorant, je me penchais pour glisser le soutien-gorge sous la robe, la porte s'ouvrit
à ce moment là. Bernard, me voyant à demi baissé, le soutien-gorge à la main, me dit :
- " Mais non laissez ! Laissez !, je rangerai tout cela bientôt, ne vous
donnez pas cette peine, et puis, tout est sale, alors par terre où ailleurs, cela n'a
plus d'importance. Venez, elle va prendre un café très fort ".
Mireille était là derrière lui, les cheveux défaits cette fois, dans un
peignoir rouge, très ouvert sur le haut des cuisses et très décolleté sur ces jolis
seins... Elle était un peu calmée, mais moi qui la connaissais bien, je voyais qu'elle
était encore dans les vapeurs de l'ivresse. La soutenant chacun sous un bras nous
l'amenons jusqu'à la cuisine où nous la faisons asseoir au bout de la table.
Le jour pointait par la fenêtre. Nous prîmes ensemble le café. Mireille
semblait un peu abattue, comme assommée sans doute par le bain très chaud. D’ailleurs
malgré le café fort, elle s’endormit rapidement sur le bout de la table de la cuisine,
la tête posée sur son bras. Bernard se releva de sa chaise et me fit signe de lui
prendre les pieds. Il la prit lui-même sous les aisselles et nous allâmes la poser
délicatement, endormie, sur le canapé du salon… Durant ce court trajet le peignoir
s’était ouvert en haut laissant passer un sein magnifique dont le téton était toujours
bien dressé. Le peignoir s’était aussi ouvert en bas et j’aperçus furtivement, pour la
dernière fois de la soirée, la touffe couleur fauve de la belle Mireille, avec au
milieu, la naissance de sa fente…
Il était juste 6 heures du matin quand nous remontâmes dans ma voiture. Comme
convenu, je conduisis Bernard jusqu’à celle de Mireille où nous fûmes 10 minutes plus
tard. Je lui devais bien cela ! Avant de descendre et de prendre congé, il me remercia
vivement :
- " Vraiment merci, me dit-il, heureusement que vous avez été là pour vous
occuper d’elle… Et merci d’avoir veillé sur elle pour qu’il ne lui arrive rien… Je ne
sais comment vous remercier… ". Je n’eu que l’aplomb d’ajouter :
- " Laisser, ce n’est rien… Rien que de très normal ! Vous savez, cela ne m’a
pas coûté… L’essentiel c’est que tout ce soit bien passé…"
Et je ne mentais pas ! Mais non, en disant cela, je ne mentais pas !... Qu’auriez-
vous dit, vous, à ma place… ? 

 

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 13:36

File002.jpgFile004.jpgFile005

File006.jpg

File014.jpg

File013.jpg

Par Camille - Publié dans : Playmate
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 09:37

La belle Sarah se rend dans le bureau de son patron pour obtenir une promotion. Visiblement, elle a de bon arguments.

06-copie-4.jpg

10-copie-4.jpg14.jpg

 

 

15-copie-3.jpg

16-copie-3.jpg

 

Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 13:56

15-copie-5.jpg

Par Camille - Publié dans : Photo jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 13:18

040506080910

1213

15

Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 4 juillet 3 04 /07 /Juil 22:21

ExGF Hot Slut Fucking Her Man brought to you by PornHub
Par Camille - Publié dans : Best of video amateur
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 18:58

01-copie-2.jpg06-copie-5.jpg

03-copie-2.jpg07-copie-1.jpg

16-copie-5.jpg

Par Camille - Publié dans : Playmate
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 22:12


Cet été je suis parti avec des potes dans un camping dans le sud de la France. C’était vraiment un super endroit, avec une super plage et on à vraiment pu s’éclater. Nous étions répartis dans différentes tentes et nous avions évidemment des voisins et des voisines. Nous avions une voisine en particulier qui est visiblement venue seule, mais qui ne dormais jamais toute seule et donc les cris d’extases me donnais du mal à trouver le sommeil. Elle était d’ailleurs superbe : blonde, environ 1m70, des yeux vert, dans les 24 ans.

Un soir, le groupe est parti faire la fête. Nous avons dansé et bien bu, et comme je n’ai pas trop l’habitude, je suis rentrée, vers 2 h du matin, en direction de ma tente, au radar. Une fois à proximité, j’ai entendu le bruit distinctif de ma voisine en pleine action, et je n’ai pu m’empêcher de sourire en me demandant si elle essayait de se taper tous les mecs du camping.

Je m’approchais doucement de sa tente, en restant tant bien que mal dans l’ombre. Je pouvais désormais l’entendre haleter en plus de crier. J’avais envie de voir la tronche de son nouvel étalon et là surprise : elle est toute seule. Elle était nue, les jambes écartées, en train de se caresser le clitoris et de s’enfiler un sextoy dans la chatte. L’objet long et dur de couleur rouge allait et venait dans son sexe au rythme de ses cris. De mon coté, la situation m’excitait beaucoup, et je commençais à me caresser doucement à travers le short.

Elle accéléra la cadence, et se cambra en arrière dans un gémissement sourd, tandis que ça main s’agitait de plus en plus vite sur son clitoris. De mon coté j’avais tombé le short, et je me branlais allégrement devant se spectacle. Mon sexe était déjà bien dur quand je croisai son regard. Je restais paralyser quelques secondes, car j’étais repéré et je ne savais vraiment ni quoi dire ni quoi faire. Mais cela ne sembla pas l’arrêter, car elle continua de plus belle, non sans me faire un clin d’œil et un sourire des plus explicites.

Je ne savais plus quoi faire, car j’avais très envie de la rejoindre, mais en même temps je n’osais pas. Pourtant, elle n’attendait que ça et moi aussi. Mais au moment où je me décidais finalement à y aller, un type sorti d’un buisson et la rejoignit, la bite à la main et la pénétra directement. Elle se laissait faire, en hurlant de plus belle. Je pouvais toujours voir son visage et elle me fit un nouveau clin d’œil. Décidément…

Ils continuèrent ainsi durant environ 20 minutes, en alternant les positions. Elle me faisait régulièrement des clins d’œil, des sourires, mais je ne crois pas que le type c’est rendu compte de ma présence. A la fin, ils se mirent en 69. Elle le suçait goulument, jusqu'à ce qu’il jouisse dans sa bouche. Mais à ce moment précis, c’est moi qu’elle fixait en se délectant et j’ai ressenti un éclair dans mon dos.

Voyant qu’ils avaient terminés, je m’éclipsais discrètement jusqu'à la plage pour prendre un bain de minuit et calmer mes ardeurs par de l’eau bien fraiche. Au bout de 15 minutes de baignade, je suis allé me coucher, la tente voisine de la mienne ne produisant plus aucun bruit.

Le lendemain matin, je me suis réveillé encore tout engourdit de la veille, et surtout encore émoustillé de ce que j’ai vu. Je partage ma tente avec une amie qui dort toujours. Elle a du revenir bien bourrée, car elle ne porte qu’un mini string qui ne cache rien, et j’ai une vision parfaite sur ça généreuse poitrine qui monte et descend au rythme de sa respiration. C’est avec cette merveilleuse vision que je me dirige vers les douches, en notant au passage que la tente voisine est vide.

Une fois sous la douche, il me prend l’envie de me branler. Les images de la veille au soir, et de la poitrine de ma copine se mélangent tandis que mon sexe durcit doucement.
    11-copie-6.jpg

A ce moment là, ma charmante voisine fait irruption dans la douche, et sans dire un mot, se met à genou pour me sucer. Elle est totalement nue, je peux apercevoir ses seins magnifiques sur lesquels glisse l’eau chaude, ainsi que ça chatte si accueillante, tandis que sa bouche va et vient sur mon sexe. Elle est vraiment douée, c’est super bon et je commence à gémir doucement quand elle donne de petits coups de langue sur le bout de mon gland. Puis elle accélère le rythme, et je peux apercevoir ses doigts s’activer sur son sexe.

Apres 5 (courtes) minutes, elle se relève, et se tourne vers le mur, offerte. Cette fois ci je ne fait pas l’erreur d’hésiter… Je prends mon sexe et le présente vers le siens. Mais avant que j’ai pu entamer le mouvement, elle donne un coup de rein en arrière, et s’empale directement sur mon sexe, qui réagit par une décharge dans tout mon corps.
Je lui ai emboité le pas et j’ai commencé un va et viens rapide. Je la tenais par les hanches, en donnant de puissant coup de rein, et elle criait son plaisir, ce qui avait pour effet de décupler le mien. Je profitais de la position pour lui caresser les seins. Ils étaient si doux et fermes, en plus de l’eau qui leur coulait dessus. Au bout de 10 minutes je n’en pouvais plus, j’allais jouir. Elle le sentit, et se rua sur ma bite, la suçant goulument, avec rapidité, jusqu'à ce que je me libère dans sa bouche dans un râle de plaisir. Je la vis avaler ma semence avec gourmandise. Elle se leva, me fit un ultime clin d’œil, et sortie. Je fini ma douche seule, encore un peu hébété, puis parti rejoindre mon groupe d’amis en me demandant si j’aurais d’autres occasions avec cette charmante jeune fille.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 13:28

16-copie-4.jpg11-copie-5.jpg

15-copie-6.jpg

Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 19:34

- Vous rendez compte Annie ? ça fait six mois que nous sommes mariés, j’ai tout juste vingt ans et cet imbécile vient de me mettre enceinte, je vais avoir le corps déformé a jamais sans compter les heures de jours et de nuits à m’occuper d’un môme - Chérie ce n’est pas entièrement de ma faute, tu n’aurais pas dû oublier ta pilule et surtout il fallait me dire avant que l’on se marie que tu n’aimais pas les enfants ! ne t’inquiète pas je m’occuperais bien de notre enfant - Je l’espère bien ! en tous cas tu n’es pas prêt de poser tes sales pattes sur moi ça me fait horreur ! Voilà la conversation que nous entendons invités chez nos jeunes voisins, a trente trois ans je suis moi-même enceinte de six mois, mon ventre est bien rond je vie une grossesse merveilleuse - Comment faites-vous Annie pour les rapports ? quand je vois votre ventre aussi gros ça me fait peur - Je me porte à merveille, j’aime le sentir bouger, avec mon mari nous avons des rapports très réguliers, il ne rentre que le samedi pendant quelques temps sinon nous le ferions tous les jours, j’adore faire l’amour, encore plus depuis mon état le petit doit m’apporter des hormones mâles !! vous avez tord de priver votre mari de sexe soyez cool le fœtus ne risque rien, le seul inconvénient pour moi c’est que je commence à peiner pour faire certains travaux a la maison en l’absence de Georges - Si ce n’est que ça Lionel peut vous rendre service - Bien sûr Annie avec grand plaisir je suis au chômage en ce moment - Je ne dis pas non alors …. C’est comme ça que Lionel vient tous les matins me demander si j’ai besoin de ses services … il me fait de la peine ce jeune de le savoir privé de sexe pour longtemps, il regarde toujours mon ventre avec envie, nous en avons longuement parlé avec mon mari qui m’a dit – tu devrais donner une bonne leçon a cette conne , je te laisse libre de tes actes ….voilà ce qu’il m’a confié avant de partir pour la semaine ,un matin Lionel vient me rendre visite je suis encore en robe de chambre, je le vois en admiration devant ‘ ma bosse ‘ ça me fais fondre - Lionel ça vous dirait de toucher mon ventre ? ça porte bonheur - Vous êtes gentille Annie, c’est vrai j’aimerais bien …mais …. - Alors approchez …. Il se penche sa main tremblante se pose sur mon vêtement, il caresse lentement - C’est beau … garçon ou fille ? - Nous voulons avoir la surprise ! Vous ne devez pas sentir grand chose par- dessus le tissu attendez Je dénoue la ceinture et écarte les pans sans réfléchir, je suis en slip dessous sans soutient gorge trop tard, il se penche, à nouveau la main douce décrit des cercles de plus en plus grands sur mon ventre, des frissons électrisent mon corps jamais un autre homme que Georges ne m’a touchée a cet endroit - Je crois que l’ai senti bouger ! c’est formidable Sa bouche se colle a mon ventre les doigts effleurent l’élastique de mon slip, instinctivement je me recule - Oh, excusez-moi Annie … - Ce n’est rien c’est ma faute - Vos seins sont magnifiques, au revoir - Merci, a demain Lionel je vous attends pour le café ! Le lendemain il revient j’en doutais un peu, en robe de chambre comme la veille je lui sers un café et comme par ‘ inadvertance ‘ ma ceinture se dénoue, mes seins sont a hauteur de ses yeux, légèrement pendants , je ne bouge plus comme pétrifiée , sa main vient vers un sein , je laisse faire et même je me penche davantage ,sa bouche approche , je ferme les yeux quand mon téton est aspiré, il cherche a faire jaillir du lait, l’autre main caresse mon ventre, je vais défaillir quand mon slip est repoussé vers le bas le bout de ses doigts grattent mon pubis poilu , une lueur de pudeur me ramène a la réalité je me redresse , il se lève pour m’enlacer je ne le repousse pas mais reste les bras ballants - Ooooooohhhhh Annie ! j’ai trop envie …..

 

04.jpg

 

Effectivement je sens sa virilité sur moi, c’est moi qui cherche sa braguette ? Je n’en reviens pas, la fermeture baissée je cherche nerveusement le membre de belle forme tendu à craquer, sa main me rend la pareille en passant dans ma culotte, les doigts fouilles mes poils pour écarter ma fente poisseuse, deux doigts s’enfoncent, ma main fait coulisser la peau de sa queue, le gland décalotté frémit au creux de ma main nos bouches s’unissent tandis que nous nous masturbons mutuellement , ma mouille abondante coule entre ses doigts comme si je perdais les eaux son sperme gicle dans ma main, nous restons collés l’un a l’autre très longtemps personne n’ose bouger , c’est lui qui met fin a notre étreinte en s’éclipsant comme un voleur Cette fois je n’espère plus sa visite il doit être trop honteux … j’ai espéré toute la journée il n’es pas venu je ne tiens plus tant pis je téléphone - Allo Annette ? Lionel pourrait il passer demain ? - Il n’est pas venu ce matin ? quel bon a rien celui là ! il viendra demain je vous le promets Le lendemain matin pour ne laisser aucun doutes sur mes intentions j’enfile un déshabillé en dentelle devenu trop étroit, je ne peux pas le fermer, mes seins et ma chatte sont à nu, doucement je caresse mon ventre …il arrive ! - Bonjours Lionel … - Bonjours Annie … excuse moi pour hier - Viens …… Comme une collégienne qui a envie de se faire sauter je l’entraine vers la chambre d’amis, je m’allonge lascivement au milieu du lit - Qu’attends-tu pour me rejoindre ? - Je t’admire… - Fais le de plus prés …vient dire bonjours a ton filleul - Mon filleul ? - Oui avec Georges nous avons décidés que tu serais le parrain ! il sait que tu viens régulièrement, c’est lui qui me l’a demandé, il n’y a pas de raison que tu sois privé de maternité et de sexe a cause d’une femme qui ne comprend rien a la vie Lionel vient a genoux a mon coté, il écarte le vêtement qui ne couvre qu’a moitié mon corps, sa main caresse un sein tandis que sa bouche couvre de mille baiser mon gros ventre - Bonjours toi … - Parle-lui de plus prés …. Il comprend de suite ce que ça veut dire, à poil en deux secondes il vient se positionner entre mes cuisses pour poser sa bouche sur ma chatte, je m’ouvre autant que ma condition me le permet, les lèvres en ventouse aspirent mes sécrétions, un doigt s’y joint précautionneusement, il râle de bonheur et moi je geins de satisfaction Un orgasme violent me submerge, il se redresse un large sourire éclaire son visage - Donne moi ta queue à lécher tu ne peux refuser c’est une envie de femme enceinte ! après tu planteras des cheveux a ton filleul ! - Planter des cheveux ? - Oui ! c’est ce que l’on dit quand on fait l’amour à une femme qui attend un heureux événement ! - Alors il naîtra avec une sacrée toison le tien ! le mien seras chauve …

06-copie-2.jpg

 

A genoux devant lui je prends sa bitte en bouche pendant que je malaxe ses couilles d’une dureté prometteuse je n’ai pas longtemps a attendre pour recevoir son foutre généreux sur la langue, en soutenant son regard j’avale la semence en déglutissant lentement - Huuuummmm ! merci mon envie est satisfaite au tour de ma chatte maintenant ! - Heuuuu ? comment ? - Allonge toi derrière moi je peux encore lever la jambe, comme ça mon ventre ne gêne pas ! face à la glace de l’armoire - Génial comme position ! on voit tout, je n’ai jamais pris ma femme ainsi ! - Ne me parle pas d’elle ! Baise-moi Lionel Sa queue tâtonne un instant avant de trouver mon trou pourtant bien ouvert, il savoure la pénétration - Va y, tu peux aller plus fort ça ne risque rien pour le bébé - Tu crois ? je n’ose pas … - Baise moi je te dis ! Lionel se met à me limer sans à-coups, a un rythme régulier, une main passe de mes seins a mon ventre, nos regards ne quittent pas l’image que nous renvois la glace, la queue luisante va et Vient dans mon fourreau gluant - Que c’est bon Annie - Hooo oui, ton gland passe exactement sur mon point G ce qui veux dire que je vais jouir bientôt, excite mon clitoris avec tes doigts ça va me finir - Jouis Annie jouis, je me retiens, dés que tu pars je me lâche dans ton vagin - Ooooooooohhhhhhh que c’est boooooonnnnnnnnnnnnn, je sens ta queue gonfler ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis - OUUUUUUUIIIIIIIIII ! moi aussi !

11-copie-2.jpg15-copie-2.jpg

TIIIIEEEENNNNNNNNN HAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Son sperme chaud fuse sur mes muqueuses à vif, le bébé donne des coups de pieds comme il le fait à chacun de mes orgasmes, blottie dans ses bras nous reprenons lentement notre souffle apaisés tous deux, un liquide poisseux coule entre mes cuisses la bitte collante et ramollie tombe sur ma cuisse, je crois que nous nous somment endormis …. Lionel vient dire ‘ bonjours ‘ a son futur filleul tous les jours en l’absence de mon mari ravi de faire plaisir a un homme frustré, sa femme n’en revient pas de la bonne humeur de son mari malgré les brimades qu’elle lui impose !!!!

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Video

Présentation

Derniers Commentaires

Recherche

Calendrier

Janvier 2025
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés