Laissez vos commentaires

Pour que nous proposions un contenu qui vous plaise, pensez à nous laisser des commentaires sur ce que vous aimez ou se que vous voudriez voir. Cela nous donnera plus de motivation.
A vous de jouer.

Vendredi 20 juin 5 20 /06 /Juin 15:58

L'histoire que je vais vous raconter m'est arrivé il y a plusieurs années. Mon copains de l'époque avait un fantasme. Voilà de quoi il s'agissait...

Il me dit un jour qu'il souhaitait faire un petit film porno dans lequel je jouerais. Un ami à lui jouerait le role de mon partenaire.

Bien evidemment je refusais tout net. L'idée qu'un autre homme puisse me toucher me repugnait.

Il insista, m'expliquant que je devais juste faire semblant et qu'il ne se passerait rien.

Je finis par accepter.

Le lendemain, la sonnette de l'entrée retenti. J'étais à moitié deshabillée. J'allais ouvrir. C'était bob un ami de mon copain.

J'étais génée qu'il me voye dans cette tenue. Lui au contraire prie le temps de me regarder. son oeil brillait.

Mon copain arriva avec une camera a la mains. Il nous invita à aller dans la chambre.

Il avait préparé un petit scénario.

Nous devions nous embrasser un peu. Puis Bob devait me deshabiller et me porter dans le lit.

Ca Tourne lanca il !

Bob m'attrappa et m'embrassa fougueusement.

Je me laissais faire.

Puis il me deshabilla comme s'était prévu. Il en profita pour me caresser les seins et il effleura mon sexe.

J'étais humide. J'espérait qu'il ne l'avait pas senti.

Ce n'était qu'un film ! J'avais honte d'etre autant exitée.

je commencais à regretter d'avoir accepter.

Une fois dans le lit, nous commencions à faire semblant de faire l'amour. Je sentais son sexe contre mon ventre.

Bob semblait prendre le rôle très à coeur.

C'est ce que je croyais jusqu'à ce que je sente son sexe me pénétrer. Sa verge était sensiblement plus grosse que celle de mon copain et il remplissait tout mon vagin.

J'allais protester quand il enfouit sa langue dans ma bouche...

Je ne savais trop quoi faire.

Il fit quelques aller retour pour voir ma réaction. Sa verge allait très profondement ce qui me procurait des sensations nouvelles.

Comme je ne protestais pas il augmenta la cadence.

J'étais tetanisé.

Bob était entrain de me baiser devant mon copain et je ne faisais rien pour l'en empecher.

Je sentais ma chatte mouillée comme jamais.

Son sexe allait et venait, me tirant un gemissement à chaque passage.

Ce n'était plus de la simulation.

Mon copain retira le drap tout en continuant à filmer. Il ne semblait pas surpris et encore moins faché. Je compris qu'ils avaient manigancé cela.

Je me détendis et commencait à trouver cela agréable.

Bob me pénétra profondement, envoyant de grands cooups de rein, puis me retourna et me sodomisa. Mon copain se rapprochait pour nous prendre en gros plan. J'adorais la sodomie. Sentir cette grosse queue prendre possession de mon si petit orifice...

Bob arreta un moment puis il me presenta sa queue. Je le sucais comme une on suce une glace. J'étais concentré et je ne vis pas que mon copain avait laissé sa camera sur un pied. Je sentis juste son sexe me penetrer pendant que je sucais Bob.

Après quelques minutes, Bob se lace derrière moi et il me sodomisa une fois de plus. J'avais maintenant deux queues au plus prrofond de moi. Les deux hommes me prenaient ensemble. Leurs couilles s'entrechoquaient. Leurs membres allaient et venaient sans cesse remplissant chacun de mes trous de plaisir. Je ne savais plus ce qui m'arrivait. J'avais perdu la tête et m'abandonnait à eux.

Ils resistèrent le plus longtemps possible. Aucun ne voulait ejaculer.

La scène dura un très long moment.

J'étais presque evanouie tellement je jouissais. C'est Bob qui explosa le premier. Il remplit mon anus de sa semance. Quelques instants plus tard ce fut au tour de mon copain d'éjaculer.

Jamais je n'oublierais ce moment de sexe intense. Je n'ai d'ailleurs jamais connu quelque chose de plus intense sexuellement et je garde précieusement la vidéo é portée de mains...

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 12:38

Je m'appelle Coralie, j'ai eut 18 ans le mois dernier, je suis pas très grande (1m72) et pèse 'que' 59kg. Je suis bisexuelle et je sors d'ailleurs avec ma copine depuis 1 an maintenant (ze t?aime fort ma puce). Je voulais vous raconter une histoire qui s?est passée il y?a 2 ans, qui, je le sais, va sûrement choquer quelques personnes ici… C?était donc l'été de mes 16 ans, je devais passée la journée chez une amie pour qui j?avais toujours eut de l?attirance, Cindy, une fille de presque 1 an plu jeune que moi. Je décidais donc de m?habillée assez… ? sexy ? pour pouvoir éventuellement la convaincre de ? changer de bord ? (j?étais loin de m?imaginée qui elle était réellement, vous aller le lire plus bas).

J ai donc mis une tite jupe noir légèrement et mon dos nu noir aussi, que je porte évidemment sans soutien gorge et qui met donc ma poitrine assez grosse pour mon age (90C à l?époque) (et avec mon ventre plat, ça la met encore plus en valeur). Mes petites chaussures noires a lanières grimpantes (jusque mi tibia). Je me rendis donc chez Cindy, évitant au maximum les gens dans la rue, car je sentais déjà les regards obscènes de pas mal de jeunes mecs de mon age. J?arrivais chez mon amie donc au bout de 20 minutes de marche, et je fut deja surprise (à ma grande joie) lorsqu?elle m?accueillis en serviette de bain, prétextant un manque de temps pour se préparer.
Elle avait un corps parfais, avec une poitrine assez importante comme la mienne, un ventre plat également et de plus elle était toute bronzée déjà grace à ses origines italiennes.
Elle me proposa de m?asseoire dans le canapé le tps qu?elle s?habillerais. J?accepta sans probleme, m?installant sur le sofa et j?alluma la télé pour patientée, et son chien , un trop beau labrador s?installa également à mes côtés. 15 minutes plus tard, elle revint habillée, superbe, avec un pantacourt taille basse , un debardeur blanc et des buffalo aux pieds. Je ne put me retenir de rougir, elle était trop belle (bien plus que moi ? ) . elle me proposa à boire, j?accepta volontiers car il faisait horriblement chaud. Elle s?assis près de moi, tout en me disant qu?elle venait d?oublier qu?elle devait laver son chien aujourd?hui car son odeur était accentuée par la chaleur. Je lui dis qu?il n?y avait pas de probleme si je pouvais l?aider, mais seulement apres avoir bu ce verre de jus d?orange car j?avais vraiment trop soif.
Une fois fini, elle appela krips (le chien) qui ne vint pas tout de suite, sachant très certainement qu?il allait avoir droit a un bon bain, ce que les chiens n?aiment pas trop en général. Après quelques rapports de force avec le labrador on finit quand meme par le mettre dans la baignoire. Je devait le tenir, pendant que Cindy, elle, faisais couler l?eau à la bonne température. Une fois la baignoire remplie, la séance de frottage et de lavage commença. C?est après quelques minutes de ce shampooing énergétique, que l?on vit toutes deux en meme temps, le sexe de Krips grossir énormément. On se regarda toutes les deux en rigolant. Cindy n?hésitait pas à passer sa main dessus pour bien le nettoyer aussi.C?était vraiment très gros, et le chien avait l?air d?apprécier beaucoup nos caresses. Une fois rincer, on l?essuya énergiquement et il courut aussitôt finir se sécher sur le canapé. Cindy nettoya la baignoire… penchée comme elle était , je pouvait voir ses superbes seins balotter dans son débardeur, et je ne me rendis meme pas compte que un de mes seins , lui , était sortit de mon dos-nu pendant que moi-même je m?étais penchée. Cindy me le fit alors remarqué, je rougis de honte, et à ma plu grande surprise, elle s?approcha de moi, me regarda dans les yeux et me dit :
? ce n?est pas grave, tu as une superbe poitrine ? et à ce moment-là, elle pris mon sein dans ses mains et me l?a remit en place. J?étais toute rouge, moi la fille qui d?habitude adore me faire plottée, je ne savais plu ou me mettre… elle me troubla, je ne la savais pas comme ca.
On regagna alors le salon après s?etre bien entendu lavées les mains.
La chaleur était étouffante dans le salon, alors elle prétexta cette chaleur pour otée son debardeur, laissant apparaître son soutien-gorge et ses magnifiques seins. Elle me dit alors :
? tu sais,tu peux faire pareil, ne te gene pas….
J?en crevait d?envie, mais pour faire ma tite fille toute sage je dis :
- oui mais moi je n?ai pas de soutif en dessous, je suis seins nus après
- mais pas de problème ma puce, attend on est entre nous, je sais ce que c?est une poitrine quand meme…
alors a mon plus grand étonnement, elle ota le noeud arriere de mon dos nu, et celui-ci tomba tout doucement le long de mon corps, laissant apparaître ma poitrine face à elle

- et bah !!! je ne regrette pas de t?avoir otée ton dos nu, tu es superbe ma puce.
- Merci c?est gentil, tu es superbe aussi… je pense que tu es au courant que je suis bi, et j?espere que ca te derange pas de me voir ainsi …
- Pas du tout me repondit-elle, moi aussi il faut que je t?avoue que j?ai une forte attirance pour les filles.
Alors, je ne pu m?empêchée de l?embrassée sur la bouche
Elle n?hésita pas à participée a ce baiser, et surtout a mettre sa main sur mon sein et commença à me plottée….je gémis tout doucement, c?était trop bon
Alors qu?on le croyais déjà en train de dormir, le labrador sauta sur le canapé près de nous, et on eut vite fait de voir que son sexe était toujours aussi gros que tout à l?heure, voir même encore plus. Cindy rigola et me dit :
- bah lui en tout cas il a la forme. Tu as vu son sexe… ??? c?est énorme ! tu crois que c?est comme celui d?un mec ?
- Je sais pas du tout… j?ai jamais goutée lui dis-je en rigolant
C?est alors qu?elle me dit :
- chiche ?
- chiche de quoi ?????
- bah de goutée !
JE fut énormément surprise de sa question. Il est vrai que pour ma part, même si je suis plus attirée par les filles en général, j?ai un péché-mignon avec les mecs, c?est la fellation, et surtout l?éjaculation. J?adore le sperme, en avoir partout, en avaler…
Je répondis :

- euh… bah… et toi ?
- bah je sais pas, répondit elle, si tu oses, j?oses aussi ; on pourrait déjà toucher son sexe pour voir non ?
J?hésita mais finie par acquiescée.
C?est alors qu?elle prit sa main et enroula le sexe de Krips, et commenca des va et viens, comme on fait pour masturber un homme.
Le chien qui était tout fou au début, eut vite fait de se calmer, savourant certainement cet instant
- waaaah il grossit encore, me dit-elle, vas-y, touche
alors je pris ma main et fit de meme qu?elle. En effet, c?etait gros et tres chaud.
- tu crois qu?il aime aussi la fellation un chien ?
Je fut super surprise de sa reponse…
- je sais pas, ca doit avoir un gout bizarre….
Sans hésitation, alors que j?avais encore la main sur le sexe de l?animal, elle approcha sa bouche de son sexe et y posa les lèvres. J?ota ma main illico, qu?elle remplaca sans attendre par sa bouche. Je voyais sa bouche remplie du sexe de Krips, je savais plus quoi faire.
Elle gémissais tout doucement , elle avait l?air d?aimée beaucoup
Elle ota sa bouche et me dit :
- HUMMMMM c?est super boooon. Ca n?a rien a voir avec les mecs. ohhhh essaye !!!
J?hésita longuement… puis, je donna mon accord, mais je preférais avant qu?on se mette par terre, car ce n?étais pas confortable sur le sofa et surtout pas pratique.
Elle descendit le labrador et je me mit à 4 pattes, la tête sous le chien, et apres quelques secondes encore d?hésitation, je finit enfin par faire glisser le sexe de l?animal dans ma bouche. Elle fut vite remplie, son sexe était très gros. Je commenca alors à le sucer, faisant des va et viens avec ma bouche. Cindy elle, se mis sous moi et me plotta fort tout en les léchant également.
C?était trop bon…. Comme une petite salope, je sucais le chien, et la vision de me voire ainsi offerte et soumise m?excitait d?avantage…
Elle me dit alors :
- Attend, ote toi, je vais essayée un truc
J'obeis. Elle allongea le Labrador par terre, le sexe tendu vers le haut…
- j'ai trop envie de me faire prendre dit-elle
Elle mis sa main a la bouche, lubrifia son sexe et s?empala presque d?un coup sur le chien. JE savais plus quoi dire ou faire… mais mon instinct lesbienne me fis aussitôt m?occupée de ses seins sublimes qui balottaient dans l?air. Elle faisait des mouvement de va et viens sur son sexe, engloutissant entièrement celui-ci.
Au bout de 5 minutes, elle se retira, se mis à 4 pattes. Le chien se redressa, se mis debout et d?un coup, s?étala sur Cindy, les pattes en avant, et la pris sans ménagement. Cindy hurlais de plaisir :
- oh ouiiiii c?est trop bon… waf waf je suis une chienne.. oh ouiiiii il me baise a fond
J?étais sur-excitée de la voir ainsi offerte. Je crevais d?envie d?essayée moi aussi.
- à moi, à moi lui dis-je.
Elle me regarda en souriant, je cru qu'elle ne voulait pas et préferais jouir de suite. Mais il n'en fut pas ainsi, elle repoussa le chien, et je me mit aussitôt à 4 pattes. Mon sexe dégoulinait de mouille, j'étais trop excitée ; le chien n'eut aucun mal a venir sur moi à mon tour et a me pénétrer d'un coup. Je hurlai de bonheur. Son sexe était dur et chaud, il n'arrétais pas de me sauter. Le chien continua de me faire jouir plusieurs minutes. Je voulut me relever mais il m'obligea à rester ainsi. Son sexe me faisait un bien fou. Cindy revint vers nous avec un godemichet. Je ne compris pas tout de suite ce qu'elle voulait faire. Elle l'enfonca dans le derrière du Labrador qui étonné me lacha enfin. Je epris mes instants quelques minutes puis je poursuivit ma fellation de notre ami à poils. Il semblait apprécier ce que Cindy lui faisait. D'ailleurs il ne resista pas plus longtemps à ce traitement de choc et il deversa un flot de sperme dans ma bouche. Cela reste une expérience inoubliable pour moi et chaque fois que je revois le chien, je repense à ce moment.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 18 juin 3 18 /06 /Juin 13:06

Vous n'avez pas pu y échapper hier soir, c'était le Match : France - Italie. Et bien de notre côté nous avons aussi fait notre derby transalpin. Nous avions invité Carla, une amie italienne. Le début de soirée fut arrosé et Carla était d'humeur joueuse. Elle paria avec Camille sur le résultat du match. La gagnante pourrait disposer de moi à sa guise sous les yeux de l'autre qui filmerait la scène. Camille accepta pensant bien que la France l'emporterait. du moins jusqu'à la blessure de Ribéry... A peine le pénalty sifflé que Carla décida de prendre une avance et elle commencait à me caresser l'entre jambe. Puis lorsque le penalty fut transformé, elle le retira, sortit mon sexe et commenca à me sucer. Camille semblait ne pas être trop mauvaise perdante. Elle alla chercher le camescope et filma Carla dans sa fellation.
Inutile de vous dire que dès le deuxième but, Carla ota le reste de ses vêtement et elle s'empala sur mon sexe en erection. Je la baisais pendant vingt bonnes minutes, la prenant  fort pour la punir un peu de la victoire italienne. Elle criait mais semblait aimer cela. Je finis par une sodomie qui restera dans les anales ... Elle n'avait jamais été pris dans l'anus. Je crois que desornais elle ne pourra plus s'en passer. Toujours est il qu'elle rentra chez elle en marchant difficilement mais elle avait passé une très belle soirée de football... 

Par Camille - Publié dans : Notre vie coquine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 12 juin 4 12 /06 /Juin 13:24
Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 10 juin 2 10 /06 /Juin 13:46
Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 juin 7 01 /06 /Juin 13:41
L'Euro sera chaud. Les supportrices aussi...
Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 13:43
Par Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 13:41

Je conduis ma voiture sur un chemin de campagne pourri, que la pluie d’hier a rendu vraiment impossible à parcourir. En fait, c’est un raccourci pour arriver chez mon cousin Marc, qui vient d’acheter une ferme qu’il pense aménager et transformer en manoir touristique.

  Il fait déjà nuit et même si j’ai envie de revenir en arrière pour prendre la route, je ne tiens aucunement à parcourir de nouveau ce chemin en sens inverse. Donc, je continue en avant. Il fait froid et je mets le chauffage au max.

  Je mets la radio et monte les vitres pour réchauffer l’intérieur de ma voiture. Tout est tranquille pour l’instant. J’espère que la ferme de Marc n’est pas trop loin.

  Soudain, je vois une grosse voiture qui bloque le chemin. Je klaxonne mais le chauffeur ne descend pas. Bordel!

  Juste au moment où je vais ouvrir ma portière pour descendre, une jolie femme s’approche de ma vitre et me sourit.

  «Bonjour, je suis en panne, pouvez-vous m’aider?»

  Elle est très belle, et porte une robe d’été qui moule ses courbes à merveille. Je trouve qu’elle a froid et l’invite à monter dans ma voiture, car je ne m’y connais pas en bagnoles et réparer sa voiture aurait été impossible pour moi.
«Montez, je vais vous reconduire en ville!» Ça y est, je laisse tomber ma visite à la sacrée ferme de mon cousin. Je lui envoie un sms pour lui dire que je ne serais finalement pas au rendez-vous ce soir. 
 Je veux me concentrer sur cette nana très mignonne que le destin a bien voulu mettre (littéralement) sur mon chemin. Elle monte sur le siège avant et je réalise qu’elle est raidie de froid. 
 Elle sourit toujours et me pose des questions tout le temps. J’ai l’impression qu’elle est nerveuse et que cela la pousse à parler sans cesse. Je ne peux m’empêcher de rire aux éclats…
«Qu’avez-vous?» me demande-t-elle d’un ton coquin.
«Rien, ça va mieux maintenant?» et, sans le vouloir, j’appuie ma main droite sur ses genoux pour la réconforter. À ma grande surprise elle rougit et, loin de s’inhiber, continue à rigoler.
Ah j’aimerais bien que cette autostoppeuse soit folle de bite et me suce dans la voiture! On pourrait pas mal s’éclater, en plein milieu de la campagne, sans que personne ne nous dérange.
Le feeling entre nous est évident et, à un moment donné, j’arrête ma voiture et la prends par la main. Je me dis que c’est maintenant ou jamais et, sans crier gare, je l’embrasse sur les lèvres, d’abord très doucement.
Louane (car elle s’appelle comme ça) est très chaude et, au fur et à mesure que je l’embrasse, elle gémit et me prie de ne pas lâcher prise.
Tout à coup, ses mains palpent mon entrejambe et sortent mon pénis, qu’elle se met à sucer avec une voracité inouïe, comme pour me remercier de l’avoir aidé. Finalement, cette autostoppeuse était folle de bite, comme je l’avais bien imaginé.
Pendant qu’elle astique mon dard avec des va-et-vient très vigoureux, je retrousse sa robe pour masser sa chatte, toute épilée, qui dégouline de mouille.
J’enfile trois doigts dans sa foune d’un seul coup, et la coquine laisse échapper un petit cri de plaisir, qui m’encourage à la doigter bien à fond.
«Ouiiii, ahhhhh, c’est si bon!» Louane écarte ses jambes pour faciliter les choses et je fais de mon mieux pour combler son sexe en feu, qu’elle a si généreusement mis à ma disposition.
Ensuite, ma belle autostoppeuse folle de bite, me prie de rester un moment sans bouger. Elle enlève sa robe et s’assied sur moi, en sorte que ma verge, raide comme un pieu, glisse bien au fond de sa foufoune, ce qu’elle approuve avec des gémissements incroyables.

  Je me laisse faire et cette magnifique brune se tord de plaisir, au milieu de mouvements de plus en plus saccadés. Elle se lève jusqu’au plafond de la voiture pour retomber après, et s’enfourcher elle-même, sur mon sexe.
La tension sexuelle entre nous est vraiment insupportable et je prie cette autostoppeuse folle de bite de me sucer encore une fois, pour me faire jouir. Sans rien dire, elle hoche de la tête, comme en disant : «j’aime bien ça» et, sans plus de manières, se met de nouveau à la besogne.
«Ahhhhhh» je suis au comble de l’extase et, en fermant les yeux j’atteins un orgasme bruyant qui me secoue très violemment. En rouvrant les yeux, je vois Louane, la gueule pleine de foutre, qui me sourit très lascivement.

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 23 mai 5 23 /05 /Mai 13:32

Par une belle journée de début de printemps, je me rendais chez mon ami Paolo qui habitait dans le quartier espagnol de Genève pour travailler sur un projet pour l’école. Tout en humant l’odeur du jasmin, je me frayais un chemin dans ces rues étroites. J’étais déjà venu quelques fois ; Paolo vivait dans un de ces vieux immeubles avec une lourde porte en fonte rouillée. Regardant les noms sur l’interphone nouvellement installé, je jetai un timide coup d’œil sur le nom des gens qui vivaient dans l’appartement d’à côté au sixième étage ; c’était la demeure de Melissa, une véritable bombe latine… Elle fréquentait le même établissement scolaire que nous mais je ne lui avais jamais parlé, je me contentais de la regarder passer ; ses longues jambes descendant de sa jupe et son cul qui se déplaçait au rythme de sa démarche chaloupée me rendaient fou, il arrivait que je doive aller me passer la tête sous le robinet d’eau froide avant de pouvoir suivre mes cours de manière convenable. En outre parfois je l’entendais quand elle délirait avec ses copines ; elle avait un rire clair et sonore presque indécent qui montrait qu’elle adorait exprimer ses émotions.. .Quand j’ai appris qu’elle vivait la porte en face de chez Paolo j’ai halluciné, il ne m’en avait jamais parlé le con. En plus il se la jouait genre «ouais je la connais, et alors ? » style il s’en foutait complètement. Pas possible, à mon avis c’est parce qu’il n’était arrivé à rien avec elle qu’il faisait le gars détaché, ou alors il devait être homosexuel…

Nous travaillâmes toute l’après midi sur cette recherche de mathématiques complètement inutile imposée par notre professeur M. Fleuri qui en tant que rare survivant de l’époque disco (sa coupe façon Jackson five était quand même bien dégarnie depuis le temps) enseignait d’une manière des plus funky. J’avais énormément de mal à me concentrer en pensant que derrière le mur de la cuisine se trouvait la plus chaude des filles de l’école qui à l’instant même était peut être nue et s’en allait prendre une douche… Heureusement Paolo était un grand travailleur et pour ma part j’avais parfois des éclairs d’intelligence, nous parvînmes finalement à terminer le rapport avant la nuit. J’aurais aimé aller boire un verre en ville pour fêter ça mais il prétextait avoir d’autres travaux à terminer. Je lui dis qu’il finirait par se tuer à être aussi appliqué pour des choses qui n’en valaient pas tant la peine que ça mais devant sa volonté je finis par lâcher prise, dommage mais je trouverais bien quelqu’un d’autre pour m’accompagner.

-Tu n’as qu’à y aller avec Melissa ! Me dit-il pour me narguer. Peut-être que tu vas la croiser en descendant !

-Ferme-là ! Lui dis-je énervé, tout en espérant qu’il ait raison.

Je quittai donc mon ami, il ferma la porte et je me retournai pour soudain me noyer dans un regard bleu comme l’océan ; Melissa venait juste de sortir de chez elle.

-Euuuuuuhh…. salut….

Je fus tellement surpris que je dus vraiment avoir l’air du dernier des imbéciles, immobile, la langue pendante.

A ma surprise elle me fit un grand sourire qui illumina son visage légèrement bronzé, ses cheveux fins aux reflets d’or flottaient au dessus de son décolleté plongeant.

-Salut Juan !

Mon Dieu, elle connaissait mon nom ! Je fus parcouru d’un frisson, mon cœur battait la chamade. Assez maladroitement j’ouvris la grille de l’ascenseur et les vieilles portes en bois pour la laisser passer.

-Merci !

Elle passa devant moi d’une manière des plus indécentes. Les effluves de son parfum vinrent me chatouiller les narines.

Dans l’ascenseur j’étais tellement tendu que je n’osais plus respirer. Je sentais l’érection me gagner je tentais de lutter contre en pensant à autre chose mais impossible, la sexualité qui émanait d’elle était impossible à masquer. Je ne respirais plus et forcement mon cœur finit par s’arrêter.

-Oh non, qu’est ce qui se passe ?

Là je me rendis compte que c’est l’ascenseur en fait qui venait de se bloquer brusquement. Seul la lumière du jour filtrait en haut par la seule vitre de la cabine.

-Ça doit être une panne de courant ! Dis-je et étrangement je me sentais moins tendu, quelque part en la voyant paniquer pour si peu je sentais que je reprenais le contrôle de la situation.

Mais ça ne dura pas longtemps, appuyant sur le bouton d’alarme je me dis que j’étais le plus grand abruti de la terre de ne pas avoir attendu un peu. Je me sentis encore plus bête en me rendant compte que ledit bouton ne fonctionnait évidemment pas.

-Qu’est-ce qu’on fait ? Me demanda-t-elle d’un air désespéré.

Mais je me rendis compte que cette détresse était feinte. Elle était devant moi, regardant la porte, faisant mine de vouloir que je la rassure. Sans trop réfléchir je m’approchais de son dos et lui enserrait la taille d’une main. Je me dis que quand ma seconde main qui s’approchait maintenant de sa cuisse la frôlerait elle se déciderait à me donner enfin la gifle que je méritais, tel ne fut pas le cas. Mes doigts remontèrent lentement le long de sa peau jusqu’à soulever sa jupe et quand ils entrèrent en contact avec le bord de sa petite culotte, elle prit une grande respiration involontaire tout en offrant son cou à mes lèvres. Tout en la léchant je passait délicatement la tranche de ma main entre ses cuisses, je sentais son string de coton rose s’humecter peu à peu. Mon excitation depuis que j’avais croisé son regard était trop forte et ne me demandant plus comment un tel miracle était en train de m’arriver je la mordis tout en lui empoignant la fesse. Elle se retourna et, s’appuyant contre la paroi, Melissa me tira vers elle pour m’embrasser sauvagement. Elle me caressa le sexe à travers le pantalon qui à force devenait vraiment trop étroit. Je descendis à nouveau vers son cou pour gentiment continuer vers on décolleté. Elle ne semblait pas avoir de soutien gorge, j’eus confirmation en lui enlevant son haut léger de soie, libérant ses seins généreux. Surexcité je les goûtai, les léchai d’abord pour me mettre à les manger littéralement, m’aidant de mes mains, je m’immergeais entre eux et j’aurai pu m’y blottir ainsi longtemps si le désir ne me pressait vers d’autres horizons. Je les léchai entièrement pour converger vers les tétons, tournant autour et les mordillant. Elle respirait très fortement et quand je lui enlevai sa petite culotte avec mes dents pour aborder son intimité elle se mit à gémir sans aucun complexe vis à vis des gens qui auraient pu se trouver dans l’allée. M’amusant de ma langue avec son clitoris je caressai ses lèvres gonflées du bout des doigts y pénétrant petit à petit. Elle avait remonté une jambe et passait ses ongles dans mes cheveux tout en levant la tête au ciel. Elle criait presque maintenant que mes doigts avaient pénétré son vagin. Avec ma langue je me mis à l’explorer de façon rythmée, descendant et remontant, faisant des détours sur ses cuisses ou ses fesses. Elle commençait à trembler, à ne plus contrôler son plaisir. Elle me repoussa alors contre l’autre mur et tout en m’immobilisant descendit vers ma ceinture. Le courant n’était toujours pas revenu, je nageais en plein rêve. A genoux devant moi elle ouvrit mon pantalon et en tira mon sexe tendu, commença à le branler. Elle me donnait juste quelques coups de langues pour me faire languir et quand je cru devenir fou elle se décida à me prendre dans sa bouche chaude et humide, goulûment, et à me sucer entre ses lèvres pulpeuses. Je passai ma main dans ses longs cheveux électriques, l’accompagnant dans ses allées et venues tandis qu’elle me pompait ardemment. Ce fût vraiment trop bon et arrivant au stade où je risquais de craquer prématurément si je la laissais faire encore je la tirai à mon tour vers moi et la retournai contre la paroi. Elle inclina sa croupe chaude, j’y laissai filer mes doigts un instant avant de remonter sa jupe et ne pouvant guère plus patienter je la pénétrai sans mal jusqu’au fond de son vagin accueillant. Je sentis un soulagement qui repoussa la sensation que j’avais depuis le début à savoir une explosion imminente pour maintenant goûter au plaisir ultime d’aller et venir à l’intérieur de Melissa et de transformer mon désir en son plaisir. J’agrippais ses seins et me mis à la baiser avec ardeur, rebondissant gaiement sur ses fesses fermes. La cage en bois grinçait, tanguait, je crus vaguement percevoir des voix de personnes extérieures mais je n’entendis très vite autre chose que la coquine en transe dont la cyprine me coulait le long des cuisses. Ses cris me plongeaient dans une profonde extase, nous montions tous deux vers les sommets de l’orgasme. J’embrassait tantôt sa nuque, tantôt sa bouche quand elle se tournait et me regardait de ses yeux de chienne possédée par le plaisir. J’observai la cambrure de son dos jusqu’aux fesses qu’elle m’avait confiées, je n’aurais jamais pensé qu’elle pu désirer ainsi mes caresses et jouir à ce point de mon corps. Au sommet de mon exaltation je finis par jouir moi-même, par remplir cette fille et son corps parfait de tout le désir qu’elle m’avait fait monter ; perdant le contrôle un instant je poussais un cri rauque que j’eus moi-même du mal à percevoir entre les gémissements de Melissa…

Sans crier gare l’ascenseur se remit en marche et fit céder mes jambes chancelantes ; je tombais et emportait la coquine avec moi. Alors que nous tremblions encore sous l’effet de l’orgasme nous fûmes forcés de nous réveiller comme sous l’effet d’une douche froide ; jamais je ne me rhabillai aussi vite. Heureusement ces vieux ascenseurs étaient très lents et nous fûmes presque présentables quand nous atteignîmes le rez de chaussé. Dans un état d’euphorie nous saluâmes une vieille qui venait d’entrer dans l’allée et qui heureusement n’avait donc rien entendu avant de sortir précipitamment. Nous nous dîmes au revoir de manière distraite tout en s’éloignant rapidement avant d’être découverts. Pour moi cela ne posait pas tant de problèmes mais elle vivait quand même là.

Je restai dans cet état de béatitude tout la journée et les jours qui suivirent. C’était le week-end passé. J’ai hâte de la revoir ; je me demande quelle sera sa réaction. Je vous tiendrai au courant.


Un récit tiré du site http://www.recit-erotique.fr/

Par Camille - Publié dans : Les récits de Camille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 21 mai 3 21 /05 /Mai 13:40

Voilà les deux seules contributions du mois. A vous de voter pour votre photo préférée. J'en profite pour vous inviter à nous envoyer vos photos.

Par Camille - Publié dans : Vos contributions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Video

Présentation

Derniers Commentaires

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés