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A vous de jouer.
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- Tu aimes embrasser les filles ?
- Voici ce qu’elle me dit quand elle est étalée sur le dos, les jambes ouvertes. Elle est excitante avec ses longs cheveux bruns sa petite touffe de poils sur le pubis et ses seins. Ah ses seins
! A les prendre dans la main pour ne plus les lâcher, avec leurs pointes sombres surmontées de mamelons aussi beaux à voir qu’à sucer.
- Nous nous sommes rencontrés dans un bistro, un soir assez tard : je cherchais moi à boire et à bavarder, elle un homme. Nous nous sommes vite mis ensemble, même si elle était un peu petite.
Nous nous sommes embrassés à la sortie du bar. Ses lèvres étaient plus qu’accueillantes.
Nos langues ont vite fait connaissance. Je n’avais pas besoin de la forcer pour me suivre dans ma chambre. Je savais ce qu’elle cherchait, j’étais prêt à lui donner ma queue.
- Dans ma chambre d’hôtel de luxe je pouvais lui faire tout, encore plus que je prévoyais. Sacrée Gladys. J’allais l’embrasser encore et la caresser comme j’en avais envie. Elle voulait baiser
simplement, vite fait, bien fait. C’était pour moi une première de trouver une fille si chaude, si, empressée. Elle s’est vite déshabillée, est venue contre moi pour encore un baiser, cette fois
plus longue que les premiers. Sa langue fouillait ma bouche. J’en bandais.
Mes bras l’entouraient, mes mains caressaient son dos. Je les mettais sur ses fesses. Elle se serrait contre moi, son pubis contre mes cuisses.
J’avais la bite bandée contre son ventre. Mon envie d’elle était des plus fortes.
Je l’ai poussé sur l’autre lit, je suis venu sur elle. Elle écartait les jambes pour m’inviter à la prendre. J’étais dur comme rarement. Je sentais ma queue s’allonger. Il semblait que mes
couilles remontaient dans mon ventre. Elle passe un bras sur ma taille, l’autre sur les épaules. Je ne la tiens pas, sauf peut être son cou. Gladys passe ses jambes sur les miennes. Je sens ses
cuisses s’ouvrir encore un peu. Sa vulve n’est pas loin de ma pine. Elle va pour me guider, je refuse sa main. Elle le pose sur mes fesses, et moi doucement je glisse en elle.
Gladys est chaude à l’intérieur. Ma queue coulisse en elle facilement tellement elle est humide. Le gland accompagne en éclaireur la bite. Elle est très agréable à baiser. Nos pubis se
séparent pour mieux se retrouver. Je la lui mets à fond. Elle gémit doucement en murmurant des merci de me baiser, j’en avais envie. C’est moi qui devrais le lui dire tellement elle baise
bien.
Elle se laisse aller vers l’orgasme. Je la sens jouir. Je vais moi lui donner ma sauce quand elle s’arrange pour que je sorte d’elle. Si je me relève un peu étonné, c’est là qu’elle me demande si
j’aime embrasser les filles. Je le lui ai montré pourtant quand nos lèvres étaient jointes.
Non pour elle embrasser veut dire simplement sucer. Bien sur que j’aime sucer une file dans ce qu’elle a de plus secret. J’aime avoir cette sensation de douceur d’un bouton sur ma langue comme,
le gout de la cyprine. Elle s’offre ainsi. Je ne vais pas me gêner. Je suis à plat ventre entre ses jambes. Je prends les cuisses pour les mettre sur mes épaules. Gladys se laisse manipuler.
J’embrasse d’abord les lèvres douces sous les quelques poils. Je dévie un peu vers l’entrée de son vagin. Qu’elle bonne odeur entre dans mes narines. J’en bande toujours. Mon bas ventre
commence se frotter contre les draps. Mon nez se bloque contre le haut de sa chatte.
Enfin ma langue commence le travail de sape pour lui donner ce qu’elle veut. Je la lèche lentement, longuement. Son bas ventre suit son rythme de jouissance en allant et venant vers ma
bouche.
Elle murmure des choses incompréhensibles sans doute des oui, encore, je n’en sais plus rien. Elle pousse un cri en partant vers l’infini des amantes. Il ne faut pas qu’elle me fasse trop
trainer, j’ai envie moi aussi de me laisser aller vers l’orgasme. Je patiente encore un peu, juste le temps pour elle de jouir encore une fois.
J’allais me mettre sur elle à nouveau quand elle se retourne sur le ventre. Elle m’entraine à sa suite. Je suis sur le dos, elle sur moi. Elle se penche sur ma queue. Gladys me branle un
peu, manière de me tenir dans sa main agile. Elle sait bien branler. Sa main s’agite autour de ma pine. Le prépuce monte et descend. Le gland se découvre pour se recouvrir encore. Je vais lui
donner mon jus dans la main si elle continue.
Gladys fais parti de ses femmes qui savent ce que baiser veut dire tant pour elle que pour le partenaire. Elle se tourne en 69 sa bouche avec ma queue et son con sur ma bouche. Il me semble
qu’elle a une meilleure odeur, sans doute sa jouissance. Sa langue lèche le fût de ma colonne avec ardeur, à croire que je suis une friandise. Elle sait que je vais jouir. Elle me lâche en pleine
ascension : j’allais lui fournir mon sperme. Elle m’oublie le temps de se retourner. Elle vient me donner ses fesses. Je suis un peu étonné de voir avec quelle vitesse elle me donne son cul, oui
son cul !
Elle aime se faire enculer, comme moi j’aime enculer les filles. C’est beau à la voir, ses fesses, sa raie sur ma queue, ses mouvements lents pour que j’entre. Je vois ma queue pénétrer
doucement selon ses vœux Quand je suis bien au fond, elle passe sa main sur son clitoris. Ses mouvements de mains sont rapides. De temps en temps elle entre un ou deux doigts dans son
intimité.
Gladys continue ses murmures sans que je sache ce qu’elle dit : des insanités sans doute. Elle accentue ses aller et venues autour de ma queue et là je gicle au fond de ses reins. Je la sens elle
aussi jouir longuement.
Elle se relève lentement, se tourne encore pour prendre ma bite dans la bouche. Je m’étonne un peu qu’ellle me suce après que je l’ai enculée. Si elle aime ça, pourquoi l’en priver.
Nous nous endormons rompus par ce que nous venons de faire, surtout Gladys. Au petit matin j’entends un drôle de bruit, elle est étendue sur le lit : elle se branle. Je l’ai aidé en léchant
le cul encore une dernière fois.
Je ne l’ai plus jamais revu.
Ce masseur ne neglige aucune partie. Il fait le maximum pour detendre cette patiente...
Salut tous, suite au succès de mes premiers récits, je poursuis en vous racontant toujours une histoire vraie qui comme la précédente a commencé dans le train. Cela date de 3 ans maintenant, je
rentrais chez moi et révisais mes partiels dans le train. Je n’avais pas de PC portable à l’époque et je relisais mes notes tellement bien écrites que je devais en faire des fiches plus lisibles.
Comme j’avais pas mal de feuilles, je me suis installé sur la grande table avec 4 places autour. Une magnifique beurette vient alors s’installer en face de moi. Elle faisait 28-30 ans (en fait
elle n’avait que 27 ans), assez grande, les cheveux brun long et les yeux marron. On était en été donc elle portait une robe débardeur moulante noire, laissant voir ses formes généreuses. Sa peau
était encore magnifique et sa poitrine affirmée.
J’avais du mal à me concentrer face à une telle beauté, d’autant qu’elle n’arrêtait de se tortiller les cheveux. Je m’imaginer la prendre en levrette dans les toilettes en lui tirant les cheveux.
Après plusieurs minutes, elle me demande « vous corrigez les copies de vos élèves ? ». Je me fais aborder par une magnifique femme plus mature (je n’avais alors que 21 ans) donc comme tout homme
dans cette situation je décide courageusement de mentir et de me faire passer pour un prof et reprend la conversation. On discute pendant tout le voyage et je vois bien qu’elle me lance des
signes d’intérêt. A l’arrivée, je lui demande son numéro pour sortir un soir.
Nous prenons rendez vous un samedi soir. Je l’invite au restaurant puis en attendant que la boite ouvre de venir boire un verre chez moi. Samiha portait encore une robe noir moulante encore plus
sexy. On s’assoit sur le canapé et discute. Durant cette conversation, je m’approche de sa main puis commence à lui caresser. Venant où je voulais en venir, elle s’approche de moi pour
m’embrasser. Je lui caresse les cuisses à travers sa robe.
-Je voulais faire ça dès que je t’ai vu dans le train.
Elle ne dit rien et m’embrasse à nouveau en me caressant le cou et la tête de ses douces mains. On se roule tendrement des pelles pendant un long moment rempli de caresses et de douceurs. Je
prends alors le risque et lui demander.
-Tu as envie d’y aller ?
-Non, je suis bien ici.
Son sourire coquin était aussi parlant. Je la soulève et l’amène sur le lit où on reprend nos batifolages. Elle se met rapidement sur moi, ce qui me permet de lui soulever sa robe pour découvrir
des fesses bien fermes dont la fente était masquée d’un simple string ficelle. Voyant cela, Samiha soulève sa robe pour l’enlever et laisser voir dessous de magnifiques.sous vetements roses
-Tu devrais faire attention avec une aussi belle fille que toi, on a d’avantage envie de l’arracher que de l’admirer.
-Non je vais te faire languir avec et tu vas adorer ça.
-Je n’en doute pas une seule minute.
On reprend nos doux baisers, mes mains restant fixer sur ses fesses fermes. Samiha se retire alors et me plaque au lit pour commencer à me déboutonner la chemise puis passe ses mains sur mon
ventre, avant de s’allonger sur moi en reprenant nos torrides baisers associés à des caresses. Alors que nos langues restent entremêlées, je remonte mes mains sur son corset pour lui retirer.
Elle m’aide à l’abaisser pour découvrir ses seins sans le retirer.
- Va-y mon bébé, mes seins sont tout à toi.
Je ne réponds pas et m’empresse sur un de ses tétons. Sa poitrine est très généreuse, un beau 90C, mais ses tétons sont assez gros. C’est un régale à téter et ses gémissements me laissent
entendre qu’elle aime ça aussi.
-Ils te plaisent ?
-Autant que ta bouche.
Je lui pelote ses seins alors qu’elle enlève son corset avec difficulté. Je finis par l’aider afin de retourner à ses tétons. Elle s’affale sur moi, posant ses seins sur ma bouche qui les déguste
alors que mes mains retournent sur ses fesses. Après quelques minutes, mes doigts rentrent dans son string. Mais elle m’arrête.
-Non, c’est encore trop tôt. Elle commence à déboutonner mon pantalon.
-C’est toi qui a faim ma cochonne. Elle ne répond et m’enlève mon pantalon. Je l’arrête à mon tour.
-Hé, il est trop aussi. Je me redresse pour l’embrasser à nouveau, frottant ses seins contre mon torse. Elle me demande : on peut passer aux choses sérieuses ? Elle enlève mon pantalon. Elle est
en string et moi en boxer. Je la soulève pour la plaquer sur le lit.
-Hum, j’aime cette initiative.
Je l’embrasse à nouveau frottant mon boxer contre son string. Ses mains se posent sur mes fesses. Je me penche vers son string que j’écarte pour découvrir sa chatte épilée dans laquelle s’enfonce
ma langue sans plus attendre. Après quelques minutes je commence à sentir sa mouille. Je me retire pour lui enfourcher 2 doigts. Elle commence à gesticuler alors que j’accélère. La coquine
commence à crier, ce qui me pousse à rentre 4 doigts et à poursuivre. La cochonne crie et mouille comme une diablesse. Ma main est remplie de sa mouille.
-Regarde ce que tu as fais ma cochonne. Elle prend ma main et suce sa propre mouille.
- Hum petite coquine, tu ne veux pas sucer autre chose. J’enlève mon boxer et m’allonge. Allons viens te faire plaisir. Samiha me surprend en sautant dessus. La coquine devait avoir l’habitude
car elle l’avalera intégralement du premier cout. Sa langue parvient à s’enrouleront le long de ma tige. Alors quelle l’avale entièrement, je bloque sa tête. Lèche mes couilles ma cochonne ! La
petite ne bronche pas, je suis retire la tête en lui tirant mes cheveux.
-Tu veux que je te baise ta bouche
- Va-y mon cochon, j’en ai connu des plus grosses.
- Petite insolente tu vas voir.
Je lui plaque la tête contre la couette ;
-Allez enfourche moi ta bite.
-N’hésite pas à me prévenir si j’y vais trop fort.
-Ne t’en fait pas j’ai l’habitude
La cochonne avait bien plus d’expérience que moi, ce qui rendait plus bestial. Je lui fais avaler mon sexe et commence à lui baiser la bouche. Sa tête prisonnière entre mes mains, elle m’est
totalement soumise à mon fantasme. Sa langue fait tout ce qu’elle peut à chaque coup de bite. Je n’avais jamais fait ça avec une telle bestialité. Je dois m’arrêter avant de jouir.
On enchaine directement sur un 69. Samiha semble inépuisable. Lors du 69 sur pénètre sa chatte de ma langue, essayant de lui rendre le plaisir donné, mais elle continue vigoureusement à
s’attarder sur ma bite. Je finis par lui enlever son string et l’embrasse affectueusement.
-Tu es divine
-Ca ne fait que commencer, laisse moi mettre ta capote. Samiha la place avec la bouche sur mon sexe me faisant plusieurs gâteries en même temps. La belle empale rapidement sa chatte dessus. Je
lui laisse prendre du plaisir sur ma bite. La belle sait si prendre et elle aime ça. Elle commence à gémir comme une folle. Je la laisse faire pelotant ses seins. Elle commence à faire claquer
ses fesses sur mon corps.
Après plusieurs minutes, elle me laisse la prendre ne main. Je lui demande de se mettre à 4 pattes pour enfin la prendre en levrette.
-Tu sais que j’en rêve depuis le train
-Je suis toute à toi maintenant
Je lui enfonce mon sexe sans problème dans sa chatte déjà bien dilatée. Je lui agrippe les fesses en même temps. Alors que j’accélère, je commence à lui mettre une fessée. Son gémissement me
pousse à continuer. Je lui fais aussi claquer mes couilles puis la prend par les cheveux. Je réalise alors mon fantasme du train. Samiha y ajoute ses cris de plaisirs de plus en plus
bruyants.
-Tu aimes ça ?
-Ho oui va y défonce moi.
Ces mots me poussent à être plus bestial. Je lui soulève les jambes et reprend la pénétration intensive. Ses jambes sont collées sur ses épaules, en plus d’être cochonne, Samiha est très souple.
Son regard ne cessant de criant laisse transparaitre son plaisir. Pris dans le mouvement, je lui enfonce un doigt dans l’anus, Samiha se laisse faire. Je poursuis avec 2 puis 3 doigts.
-Va y, tu peux y aller.
J’approche mon sexe de son anus. Ce dernier devait avoir l’habitude car je m’y enfonce assez facilement. Son anus se dilate s’en problème et en à peine 1 minute, mon sexe est entièrement
rentré.
Je commence le va et vient. Samiha se met à gémir comme une folle, me poussant à accélérer. « Continue c’est bon ». Je reste dedans de longues minutes. Il est très agréable à pénétrer. Je
m’allonge à nouveau et Samiha vient à nouveau empaler son anus sur mon sexe. Je la laisse gérer et elle s’empale dessus sans problème ne cessant d’hurler. J’en profite pour lui enfourcher mes
doigts dans la chatte, face à l’excitation je lui enfonce ma main entière dedans. Nous continuons sur la sodomie dans plusieurs positions jusqu’à être en sueur. Je finis par éjaculer dedans,
Samiha s’empresse alors d’enlever ma capote pour avaler ma semence.
Je suis totalement sous le charme, nous continuons nos embrassades sous une bonne douche, avant de refaire 2 fois l’amours dans la soirée. Ce fut l'une de mes plus belles aventures avec une fille
magnifique, très cochonne et infatigable
Janvier 2025 | ||||||||||
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