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Depuis nos années au secondaire, je rêvais de Florence, une fille plus âgée que moi d’un an au corps déjà bien développé pour ses 16 ans. Elle était menue d’une forte poitrine qui lui donnait une
allure plus mûre que les autres filles de la classe. Elle était métissée et portait un regard préoccupé, presque trop sérieux pour son âge. Pourtant Florence n’était pas très brillante en cours,
mais était extrêmement motivée car elle craignait plus que tout, les furies de son père, un ministre très sévère qui semblait préférer ses demi-sœurs, plus jeunes, métissées aux corps sveltes,
comparé à elle qui était plus ronde. Il arrivait à Florence de pleurer longtemps en classe quand elle recevait une mauvaise note, prévoyant déjà les remontrances de son paternel le soir venu.
Ceci dit, sa concentration en cours était donc imperturbable, et parfois, son chemisier légèrement entre ouvert laissait paraître sans qu’elle s’en rende compte, la belle chair claire d’un de ses
seins lourds qui se ballottait à l’étroit sous son uniforme. De même, l’air hébétée souhaitant tellement réussir ses cours, elle oubliait parfois le monde autour d’elle et ses jambes entre
ouvertes m’offraient à moi, son attentionné voisin, la vue de ses grosses cuisses jaunes qui me perturbaient durant toute l’année scolaire. Il était rare qu’elle bavarde en classe et encore moins
qu’elle montre un intérêt particulier pour les garçons. Toutefois, elle portait sur moi ce regard tendre, presque maternel, qui plus tard je le comprendrai, était un signe que je ne la laissais
pas indifférente.
Les années passèrent et je perdu de vue la pas très brillante, mais douce et voluptueuse Florence qui je l’appris quelques 10 ans plus tard, eu un enfant d’un premier mariage rapide qui se
termina mal. Je revis par un heureux hasard Florence un après-midi chaud à châteaubriant alors que j’avais rendez-vous pour visiter un appartement dans un quartier tranquille de la ville. Elle
était devenue commissionnaire en immobilier, et lorsqu’elle m’ouvrit la porte ce jour là pour accueillir son potentiel client à qui elle avait réservé un arsenal de charme pour la vente, je ne
pus m’empêcher de reconnaitre tout de suite sous sa blouse juste au corps, cette poitrine qui a si bien bercé mon adolescence. Avec le temps, elle avait encore pris du volume et maintenant
retombait un peu car Florence n’était plus une fille mais une femme expérimentée, une mère , avec un large bassin accueillant, des cuisses bien enveloppées dans sa mini-jupe et les épaules un peu
arrondies par le poids de toute cette masse de tendresse qu’elle portait maintenant mieux que jamais.
Elle fut aussi surprise que moi, et pris un moment à replacer mon nom et mon visage, car il faut le dire, j’avais mois aussi changé. Je n’étais plus un adolescent, mais un jeune homme soigneux de
sa personne, en bonne forme physique se tenant devant elle avec l’envie de rattraper le temps perdu.
Après nos retrouvailles et quelques échanges de souvenirs sur les années passées, elle m’invita à visiter le balcon qui donnait sur un jardin privé où le paysage était le seul voisin, et la
tranquillité à plaire à toute personne discrète. C’est là, toujours à parler de tout et de rien en sirotant du vin blanc, qu’elle s’assit sur une chaise relaxante croisant les jambes dans sa
jupe, et me plongeant instantanément dans mes souvenirs les plus tendres. Je ne tardât pas à la rejoindre, m’affaissant à mon tour sur la chaise à côté de la sienne. Si Florence était préoccupée
dans le temps, elle semblait aujourd’hui, dans cet espace réservé qu’à nous deux, beaucoup plus détendue et même qu’elle prenait un sournois plaisir à prendre les commandes. Elle se mit
soudainement à me questionner sur mes regards dévorant d’il y a 10 ans, qu’elle avoua avoir remarqué tout le long qu’on était voisins en classe. Je n’en croyais pas mes oreilles, d’entendre celle
que le moindre échec faisait sangloter, me parler avec tant de maîtrise, allant jusqu’à me défier d’avouer mon attirance pour elle, chose que je ne fis pas automatiquement, je le crois, par
hésitation. Mais rien ne semblait amuser plus Florence que ma gêne et ma surprise, elle continua donc à me titiller sur ce que j’aimais en elle et lorsque je me levai pour tenter subtilement
d’échapper à ce qui devenait un vrai assaut, je fis le plus surpris de sentir et voir se poser sur ma jambe, la cuisse si tendre de ma voisine qui me maintint assis. Elle ne tournait plus autour
du pot, elle voulait assumer le désir obsessionnel qu’elle avait créé il y a longtemps en un jeune adolescent que je fus. C’est alors que je compris quels étaient mes choix. Entre me venger de
toutes ces soirées passées à bander en pensant à elle et la prendre là en levrette sur ce balcon ou bien l’entrainer doucement dans la pièce semi-meublée qui servait de chambre. Je pencha pour
prendre mon temps et savourer chaque centimètre de peau soyeuse qui s’offrait à moi en caressant sa cuisse, remontant parfois lentement près de sa chaude intimité. Le temps me parût être suspendu
pendant que Florence qui m’avait maintenant suivi sagement jusqu’à la chambre, se couchait sur le lit m’offrant la vue si rêvée de son entrejambe. On ne parlait quasiment plus et elle avait
retroussé sa courte jupe jusqu’à ses hanches, m’invitant à retirer sa culotte en dentelle, que je retira avec soin avant de recevoir son doux parfum sur mon visage. Si je n’avais pas été fan de
cunni, je le serai devenu cet après-midi. Sans y mettre de doigt, presque pour ne pas déshonorer la chatte de mes rêves, je déposai des baisers profond au creux de son v, et elle n’était bientôt
plus la même, transportée par ce plaisir si longtemps refusé, elle s’abandonnait à ma bouche et mes lèvres contre ses lèvres toutes mouillées. L’entrée en scène de ma langue, lui fit un choc que
je pris sur le moment pour un orgasme précoce. En effet, j’étais passé au niveau supérieur en introduisant celle-ci au fond de sa cave avec douceur. Elle n’en pouvait plus et activa ses hanches
qui propulsaient maintenant toute sa chatte contre ma bouche et mon nez. A chaque violent coup de rein qu’elle me donnait, je dégustai son jus et elle finit rapidement par jouir, entièrement
secouée de spasmes, cherchant à s’agripper malgré elle aux draps pour calmer les décharges que son orgasme lui procurait. Sa chatte pétrifiée par le plaisir foudroyant qu’elle venait de recevoir,
tentait maintenant d’échapper à ma langue qui se posait quelques dernières fois sur son clitoris et produisait à chaque fois, une nouvelle décharge à Florence. Elle avait évacué tout le poids de
notre excitation d’adolescent dans cet orgasme et se retrouvait blottie dans mes bras, jouissant d’un sentiment de sécurité avant de réaliser à la vue de ma verge bandée sortie mon jeans, que les
retrouvailles ne faisait que débuter, elle était maintenant à ma merci.