Histerotix votre blog coquin !
Samedi me semblait être une sorte de faucheuse pour moi. Une sorte de guillotine sentimentale, ou du moins le fait que j’aurais une épée de Damoclès sur la tête. Car j’étais persuadé qu’il se
passerait quelque chose, au moins un baiser.
Les regards de Marie avaient changé. Ils étaient plus fréquents et insistants, plus sensuels aussi. Sa voix était aussi plus douce, féminine, chaleureuse. Ainsi que son comportement.
Devant son frère elle laissait ne rien paraître. Elle était comme d’habitude. Devant sa mère elle se laissait plus aller et me montrait son affection quand même avec une certaine retenue. Je craignais que sa mère soit jalouse et me prive de son corps. A table elle s’asseyait à coté de moi, devant la télé aussi. On parlait beaucoup par sms et au téléphone. Je la faisais beaucoup rire et j’aimais me montrer tendre avec elle. De plus elle était si belle et si bien faite pour son âge. Quand samedi arriva je me fiq beau et présentable. Il faisait beau, une journée rayonnante comme j’aimais. On devait se voir après le lycée. Moi je n’avais pas cours donc je suis allé l’attendre devant le sien.
En me voyant elle a accouru et s'est jetée ans mes bras. Elle me couvrait le visage de bisous, en me serrant fort contre elle. J’étais tout content, et elle aussi. Dans le bus on discutait avec ses copines de classe. On devait se rendre au cinéma. Ses copines m’ont tout de suite demandé si j’étais son petit ami etc. et les allusions coquines dans le bus fusaient. J’étais quand même mal à l’aise, Marie elle, rigolait.
Au cinéma enfin le film commença, dans la queue de file d’attente, elle me racontait sa journée, m’embrassait dans le cou et me tenait la main de temps en temps. Avec ça il était clair que un : Je lui plaisais, et de deux : Que notre relation était presque officielle. Depuis le temps qu’on fricotait ensemble de toute façon à l’abri des regards de sa famille. Elle adorait m’arracher des baisers volés dans la maison. Elle avait le comportement de fille que j’adorais, mignonne et douce.
Le film commença, rapidement elle me prit la main, posa sa tête sur mon épaule. Des trucs de filles quoi. On était au fond, coté droit. Plus le temps passait, plus elle se blottissait contre moi, sa main se posait sur ma cuisse, et je sentais sa poitrine sur mon bras. On se parlait de temps à autre du film, et forcément à force de se regarder de près, se dire des blagues etc, ce qui devait arriver arriva. Nous nous sommes embrassés. Le bonheur total ! La fille qui me plaisait était enfin à moi. Ses lèvres étaient chaudes et en plus de ça, sa lèvre inférieure était très pulpeuse. C’était un délice de l’embrasser. La douceur de ses gestes buccaux et de ses lèvres me fit avoir une érection rapidement. Je caressais son visage d’une main, tandis que l’autre tenait la sienne. Elle me sourie après de longues minutes d’embrassade. Je lui rendais son sourire et me disais que j’étais trop chanceux d’avoir une petite amie si jolie et si idéale.
Mais bon…
Apres le film elle proposa qu’on aille chez elle. Je craignais le pire, voir mon autre « petite amie ». Elle me dit que Marc n’était pas là du week-end et que sa mère travaillait tard, donc qu’elle rentrerait pour dîner. Ce qui voulait dire qu’on seraient seuls chez elle pendant une bonne partie de l’après-midi. Je ne pouvais refuser. Donc nous fûmes chez elle. On fila dans sa chambre. Elle mit de la musique, comme par hasard de la guitare acoustique. Le genre de musique bien sentimentale et romantique. Ce que j’aimais dans sa chambre c’est qu’elle était accueillante et douillette, ça sentait bon, il faisait souvent chaud, en gros toujours la bonne ambiance pour se reposer. Ses volets étaient mi-clos, juste assez de lumière rentrait. Sa mezzanine avec son horrible lit en alu était en face de la porte, et en dessous il y avait un matelas, quand elle invitait des copines à dormir.
- Enfin touts les deux ! Elle m’enlaça jovialement et m’embrassa.
Je la serrais contre moi, mêlant le bout de ma langue à la sienne. Elle me rendait fou, avec son odeur et sa tendresse.
- Ferme la porte s’il te plait.
- Dit moi chérie, euh je voulais te parler d’un truc. Elle s’assit sur le matelas et feuilletais un magazine. Je retirais mes chaussures et la rejoignit.
Voilà tu vois, on est ensemble et c’est super mais…ton frère est très jaloux et il risque de faire en sorte qu’on se voit plus si il savait qu’on sort ensemble. Donc ce que j’aimerais c’est que quand on est avec lui, ou même chez toi et qu’il est pas loin , bah qu’on se comporte comme avant tu vois ?
- Oui t’inquiètes, je comprends.
- Et ça serais bien si ta mère aussi n’en savait rien. Elle pourrait le répéter a ton frère indirectement, ou nous mettre un peu dans la merde. Je craignais sa réponse, je sentais mon cœur battre.
- Oui t’inquiètes c’est entre nous, et puis ça sera plus excitant de se cacher !
Soulagé je me laissais aller et l’embrassais pour la remercier. La perte d’équilibre fit que nous tombâmes sur le matelas, moi sur elle comme par hasard en missionnaire. Elle me regardait tendrement et les accords tristes envahissaient la pièce. L’ambiance se prononçait. Ses cheveux étaient éparpillés sur le draps, son visage détendu, la bretelle de son soutien gorge tombée avec celle de son débardeur rose. Sa généreuse poitrine s’étalait. Mes mains étaient posées surs ses hanches. Elle enlaça ses jambes autour des miennes pour me ramener vers sa bouche que je goûtais. Humide et chaude, aussi bien l’état de sa bouche que d’elle même. Rapidement les hauts tombèrent, elle portait un joli petit soutien-gorge. Blanc avec des fleurs, de la dentelle beige tout autour, en coton, simple mais efficace pour moi. Elle rougissait quand je le dégrafai et baissait les yeux sur ma ceinture. Elle profitait de la gêne pour fuir mon regard et défaire ma ceinture.
Son soutien-gorge défait, je le jetai sur le coté et contemplai sa poitrine. Totalement différente de sa mère. Pour commencer elle avait la peau plus mate. Elle avait les seins bien rond tandis que sa mère tombait un peu plus, plus tard j’ai su que c’était du 95 B. Plus petit mais plus ferme. Ses mamelons étaient plus larges et légèrement brun-rosé. Elle semblait déjà pointée. Je me suis mis à les caresser du bout des doigts en la regardant. Elle déboutonnait mon jean avec un petit sourire sur le coté. Je me suis penché pour les embrasser, ils étaient chauds. Je m’amusais à battre ses tétons avec ma langue. Ca la faisait rire et j’en profitai pour les sucer et les malaxer, ils étaient vraiment fermes, quel bonheur. Cela la faisait soupirer. Elle se tortillait un peu en baissant mon jean pour caresser mon caleçon. Ses joues étaient rouges et brûlantes.
- Retire mon jean chéri… Me dit elle dans un halètement.
Je lui obéi, le déboutonnai en embrassant son nombril, je sentais ses abdos se contracter et son souffle s’accélérer. Quand je le retirai je fus surpris. Elle portait un string familier. Il était bleu foncé, et très petit. C’était le même string que portait sa mère mercredi dernier ! Je l’embrassais sans hésiter et retirai son jean en entier.
- Tu t’habilles chic chérie dis donc…
- Euh oui c’est… à ma mère. J’adore lui emprunter ses sous-vêtement. Elle rougit et sourit. Ce string était légèrement trop petit pour elle.
Je l’embrassais plus passionnément et vit qu’il était mouillé. Je me mis entre ses cuisses et commençai à le lécher lentement. Elle se cambra sous ma langue et caressait ma tête. L’idée que sa mère l’avait porté m’excitai encore plus. Elle respirait un peu plus vite et fort ce qui me donna l’envie de le lui retirer. Elle se souleva un peu, je le fis descendre le long de ses jambes. Je me remis en position : A genoux devant son sexe tondue de près. J’avais donc droit à deux choix différents. Ce qui me faisait peur c’est que c’était la première fois que je faisais un cunnilingus donc je ne savais vraiment pas comment faire.
- Léches-moi chéri…
Sans attendre je le fis, je me lançai. Je léchai tout son sexe de bas en haut lentement, mes mains posées sur ses cuisses. Dés que je la léchai, elle se cambra et poussa un gémissement. Elle mouillait énormément, ça glissait beaucoup. Sa mouille était légèrement salée et tiède, c’était pas désagréable à avaler. Elle tenait ma tête à deux mains pour m’empêcher d’arrêter et je continuais de lui administrer mes coups de langue maladroits. Elle gémissait au rythme de mes léchouilles et je décidai de lui enfoncer mon index lentement tout en la regardant.
Elle avait les yeux fermés et se mordait la lèvres. Je la trouvais trop mignonne avec les joues rouges. Je continuais donc mon mouvement en enfonçant un deuxième doigt. Progressivement j’allais un peu plus vite et plus profond au fil des minutes.
- Viens là mon amour, me gémissait t-elle. J’obéis. Elle me tira vers elle et m’embrassa fougueusement. Puis comme j’étais à genoux près d’elle, elle en profita pour caresser mon caleçon et mon sexe qui bandait à mort. Je me rapprochais de son visage pour l’aider.
Sors là, mon cœur…
Je sortis mon sexe de mon caleçon. Rapidement en souriant et poussant un petit gémissement coquin, elle le saisit et me masturba lentement. Elle ne la quitta pas du regard.
- Chéri, une fille t’a déjà sucé ? Elle rougit et baissait les yeux.
- Eh bien oui pourquoi ? Tu aurais voulu être la première ?
- C’est pas ça mais…tu vois moi j’ai jamais fait ça…Ni ça, ni rien d ‘autre avant.
- Tu veux dire que…tu ne t’es jamais masturbé ?
- Doigté non, mais frotté oui sur une peluche.
- Laquelle ?
- Bah là je l’ai pu. C’était un gros nounours que j’avais eu pour mes 13 ans et depuis que j’ai 16 j’utilise un pingouin.
- Et maintenant que tu as eu 18 à peu de temps, tu utilises un garçon. Elle me sourit.
- Approches…
Je m’approchais conquis par sa douceur. Confiant de sa gêne je posais mon sexe sur ses lèvres souriante.
- Ecoutes chérie je m’en fiche si t’es une pro ou non. On est obligé de commencer un jour ou un autre. Donc fais de ton mieux, l’important pour moi c’est que tu prennes autant de plaisir à le faire que moi à recevoir.
Elle me fit un grand sourire et absorba mon gland pour le téter. Pour l’aider, je me penchais au dessus de son visage. Elle me regardait pendant que je sentais sa langue tourner autour de mon gland. Elle commença ensuite a faire de petits mouvements de succions. Puis de plus en plus profond jusqu'à la moitié de mon sexe. Elle me suçait lentement et prenait plaisir de temps en temps à appuyer sur mes fesses quand elle ne les caressait pas. Les bruits de succions m’excitaient terriblement et encore plus quand je la vis avaler la salive en trop. Un bon quart d’heure passait dans cette position peu confortable. Elle la ressortit baveuse de sa bouche essoufflée.
- Mmmh j’en peux plus. Elle continua à me sourire, je m’allongeais près d’elle et caressais son ventre.
- Tu as aimé alors ?
- Oui, c’est vraiment doux, j’adore. Elle m’enlaça la nuque pour m’embrasser et passa une jambe sur moi.
Pour continuer mes caresses je passais ma main derrière sa cuisse et commence à la doigter avec deux doigts le plus profondément que je pouvais, vu la position. Le bonheur de l’entendre gémir dans ma bouche.
- J’ai trop envie de toi mon cœur, me gémissait t-elle.
Mmmh ! Continue avec tes doigts ! Je la sentais se tortiller et je me suis dit qu’elle était prête.
Il n’était pas question que je couche sans préservatif, pour des questions de sécurité, vis à vis de nous déjà, et surtout que je couchais avec une autre femme ! Elle prit un préservatif dans la petite table de chevet qui était à coté du matelas et me le tendit. Elle caressait mon torse et mes épaules tandis que je luttais à déjà ouvrir l’emballage avec les doigts mouillés et surtout à le dérouler sur mon sexe, moi qui ai eu toujours du mal. Elle rigolait et me demanda si je voulais de l’aide. Finalement je réussis et m’allongeai sur elle. Toujours souriante de désir elle me tenait et me dit tout doucement d’y aller doucement. Elle écartait bien les jambes, elle semblait vraiment me vouloir. Je pointais et frottais mon gland sur son sexe pour l’exciter un peu, puis tout doucement enfonçai mon gland à l’aide de mes doigts, puis quand il fût introduit correctement je poussais sur mes genoux et avançais mon bassin pour la pénétrer. Rapidement elle poussa un long soupir.
- Si je te fais le moindre mal chérie, dis le moi.
- Mmmmh non t’inquiètes chérie, continues, continues.
Elle avait les yeux fermés et la tête en arrière, bouche mi-ouverte. Je commençai donc à enfoncer mon sexe toujours avec précaution jusqu’au fond. Le soucis est que je n’avais jamais dépucelé une fille et ne savais pas quoi faire quand je tomberai sur l’hymen. Rapidement je sentis que quelque chose m’empêchait d’aller plus loin, je suivais donc mon instinct et exerçais une pression constante mais lente sur l’hymen. Dans un petit cri, il craqua. Elle s’agrippa à moi très fort et poussa de petits soupirs. Je continuais ma progression en l’embrassant et caressant ses cheveux pour tenter de la rassurer. Arrivé au fond, je m’arrêtais et ne bougeais plus.
- Oh je t’en prie chéri, doucement !
- Chérie je peux pas aller plus doucement que ça.
Quand elle me fit signe que je pouvais y aller, je commençai donc un long va et vient le plus lent possible. Rapidement elle se décrispa et se laissait faire sans continuellement repousser mon torse. Une vingtaine de minutes plus tard, elle se comportait comme une femme normale et gémissait au rythme de mes coups que j’accélérais progressivement. Elle me regardait de temps en temps et se levait un peu pour voir ce qui se passait. J’adorais voir sa poitrine onduler et tourner sur elle-même à chaque coup de reins. Je pris donc la décision de soulever ses jambes pour les placer sur mes épaules. Quelle position ! Je pris un véritable pied ! Elle gémissait de plus en plus fort durant le câlin. Comme mon sexe faisait de grands va et viens, je vis sur le préservatif qu’il y avait un peu de sang. Heureusement il ne coulait pas.
Nous fîmes l’amour encore pendant une bonne demi-heure en missionnaire et levrette. Et je me confirmais que cette position est magique. Je la tenais doucement par les hanches et exerçait une pénétration profonde tout en en admirant son petit trou brun. Dans cette position et vu le temps passé, je ne pouvais tenir plus longtemps et dans un grand moment bestial où les cris envahissent sa chambre, je me agrippais brusquement à ses hanches, et lâchai plusieurs jets de sperme.
Epuisé et en sueur, je m’affalai sur elle qui tomba elle aussi sur le matelas. Elle respirait fort, moi aussi. Elle tourna sa tête vers moi pour que nous échangeâmes un baiser passionné. Son visage rouge de sueur me plaisait. Pour rigoler je pris un ton à la Jean Gabin :
- Alors, heureuse ? Elle rigola.
- Trop…je ne te savais pas si physique.
- Eh bien comme tu vois.
- Merci mon ange…
- De quoi donc ?
- M’avoir offert ce moment. Je savais qu’il n’y avait que toi qui aurait pu rendre ma première fois inoubliable.
- Tant que ça ?
- Eh bien oui, la musique, le plaisir, les circonstances, tout…
- C’était magique pour moi aussi.
- C’est ta première fois ?
Je ne su quoi répondre à ce moment, j’avais l’impression que le temps s’arrêtait. Ou je lui disais oui et atteindrais les sommets de son cœur, ou je lui disais que non sans bien-sûr mentionner que ma première fois avec une femme n’était tout simplement qu’avec sa mère.
- Eh bien oui c’est ma première fois. Mais j’ai fait déjà quelques petites choses avant.
- Hé hé je suis la première femme que tu investis alors.
- Au moins on se disputera jamais sur les comparaisons avec les ex.
Nous fîmes un petit câlin des plus romantiques. La musique continuait, et un petit filet de lumière réchauffait mes fesses, il faisait chaud. J’aurais voulu que ce moment ne finissent jamais. Le genre de moment où à l’impression d’être seul au monde . Nous prirent une douche coquine ensemble.
Elle cacha avec soin le préservatif usagé. Nous nous quittâmes. Son frère allait bientôt rentrer et je devais aussi rentrer chez moi. Sur le pas de la porte qui donnait sur la rue, nous n’osions pas nous séparer, et l’éternel dernier bisou de la journée se refit encore et encore.
Fatigué et heureux je rentrais chez moi. Le soir après dîner j’étais dans mon lit à écouter de la musique et me repassait tout ça en tête.
J’avais une relation amoureuse secrète avec la petite sœur de mon meilleur ami, déjà cela me perturbait.
Ensuite j’avais couché avec elle, bon ça encore ça pouvait passer. Et de plus je relativisais mon mensonge car je n’ai couché qu’avec une seule femme avant elle, et donc coté sentiment c’était bien la première fois.
Mais le plus grave c’est que je couchais aussi avec leur mère. Outre la relation d’amant qu’il y avait entre elle et moi, il y avait aussi cette relation que je ne trouvais pas chez Marie.
Catherine m’offrait non seulement un apprentissage sexuel certain, mais aussi une relation sexuelle malsaine qui m’excitait énormément. Et pour finir une relation sentimentale qui ne me déplaisait pas. On pouvait parler de tout librement, on rigolait, sincèrement la différence d’age ne se faisait pas sentir.
Je rêvais donc éveillé, à repenser à mes derniers jours comparant les deux femmes. Marie m’envoya un sms avant que je m’endorme.
« Merci mon amour pour cette merveilleuse après-midi, j’ai hâte qu’on recommence. »
J’avais touché le Jackpot…
Les regards de Marie avaient changé. Ils étaient plus fréquents et insistants, plus sensuels aussi. Sa voix était aussi plus douce, féminine, chaleureuse. Ainsi que son comportement.
Devant son frère elle laissait ne rien paraître. Elle était comme d’habitude. Devant sa mère elle se laissait plus aller et me montrait son affection quand même avec une certaine retenue. Je craignais que sa mère soit jalouse et me prive de son corps. A table elle s’asseyait à coté de moi, devant la télé aussi. On parlait beaucoup par sms et au téléphone. Je la faisais beaucoup rire et j’aimais me montrer tendre avec elle. De plus elle était si belle et si bien faite pour son âge. Quand samedi arriva je me fiq beau et présentable. Il faisait beau, une journée rayonnante comme j’aimais. On devait se voir après le lycée. Moi je n’avais pas cours donc je suis allé l’attendre devant le sien.
En me voyant elle a accouru et s'est jetée ans mes bras. Elle me couvrait le visage de bisous, en me serrant fort contre elle. J’étais tout content, et elle aussi. Dans le bus on discutait avec ses copines de classe. On devait se rendre au cinéma. Ses copines m’ont tout de suite demandé si j’étais son petit ami etc. et les allusions coquines dans le bus fusaient. J’étais quand même mal à l’aise, Marie elle, rigolait.
Au cinéma enfin le film commença, dans la queue de file d’attente, elle me racontait sa journée, m’embrassait dans le cou et me tenait la main de temps en temps. Avec ça il était clair que un : Je lui plaisais, et de deux : Que notre relation était presque officielle. Depuis le temps qu’on fricotait ensemble de toute façon à l’abri des regards de sa famille. Elle adorait m’arracher des baisers volés dans la maison. Elle avait le comportement de fille que j’adorais, mignonne et douce.
Le film commença, rapidement elle me prit la main, posa sa tête sur mon épaule. Des trucs de filles quoi. On était au fond, coté droit. Plus le temps passait, plus elle se blottissait contre moi, sa main se posait sur ma cuisse, et je sentais sa poitrine sur mon bras. On se parlait de temps à autre du film, et forcément à force de se regarder de près, se dire des blagues etc, ce qui devait arriver arriva. Nous nous sommes embrassés. Le bonheur total ! La fille qui me plaisait était enfin à moi. Ses lèvres étaient chaudes et en plus de ça, sa lèvre inférieure était très pulpeuse. C’était un délice de l’embrasser. La douceur de ses gestes buccaux et de ses lèvres me fit avoir une érection rapidement. Je caressais son visage d’une main, tandis que l’autre tenait la sienne. Elle me sourie après de longues minutes d’embrassade. Je lui rendais son sourire et me disais que j’étais trop chanceux d’avoir une petite amie si jolie et si idéale.
Mais bon…
Apres le film elle proposa qu’on aille chez elle. Je craignais le pire, voir mon autre « petite amie ». Elle me dit que Marc n’était pas là du week-end et que sa mère travaillait tard, donc qu’elle rentrerait pour dîner. Ce qui voulait dire qu’on seraient seuls chez elle pendant une bonne partie de l’après-midi. Je ne pouvais refuser. Donc nous fûmes chez elle. On fila dans sa chambre. Elle mit de la musique, comme par hasard de la guitare acoustique. Le genre de musique bien sentimentale et romantique. Ce que j’aimais dans sa chambre c’est qu’elle était accueillante et douillette, ça sentait bon, il faisait souvent chaud, en gros toujours la bonne ambiance pour se reposer. Ses volets étaient mi-clos, juste assez de lumière rentrait. Sa mezzanine avec son horrible lit en alu était en face de la porte, et en dessous il y avait un matelas, quand elle invitait des copines à dormir.
- Enfin touts les deux ! Elle m’enlaça jovialement et m’embrassa.
Je la serrais contre moi, mêlant le bout de ma langue à la sienne. Elle me rendait fou, avec son odeur et sa tendresse.
- Ferme la porte s’il te plait.
- Dit moi chérie, euh je voulais te parler d’un truc. Elle s’assit sur le matelas et feuilletais un magazine. Je retirais mes chaussures et la rejoignit.
Voilà tu vois, on est ensemble et c’est super mais…ton frère est très jaloux et il risque de faire en sorte qu’on se voit plus si il savait qu’on sort ensemble. Donc ce que j’aimerais c’est que quand on est avec lui, ou même chez toi et qu’il est pas loin , bah qu’on se comporte comme avant tu vois ?
- Oui t’inquiètes, je comprends.
- Et ça serais bien si ta mère aussi n’en savait rien. Elle pourrait le répéter a ton frère indirectement, ou nous mettre un peu dans la merde. Je craignais sa réponse, je sentais mon cœur battre.
- Oui t’inquiètes c’est entre nous, et puis ça sera plus excitant de se cacher !
Soulagé je me laissais aller et l’embrassais pour la remercier. La perte d’équilibre fit que nous tombâmes sur le matelas, moi sur elle comme par hasard en missionnaire. Elle me regardait tendrement et les accords tristes envahissaient la pièce. L’ambiance se prononçait. Ses cheveux étaient éparpillés sur le draps, son visage détendu, la bretelle de son soutien gorge tombée avec celle de son débardeur rose. Sa généreuse poitrine s’étalait. Mes mains étaient posées surs ses hanches. Elle enlaça ses jambes autour des miennes pour me ramener vers sa bouche que je goûtais. Humide et chaude, aussi bien l’état de sa bouche que d’elle même. Rapidement les hauts tombèrent, elle portait un joli petit soutien-gorge. Blanc avec des fleurs, de la dentelle beige tout autour, en coton, simple mais efficace pour moi. Elle rougissait quand je le dégrafai et baissait les yeux sur ma ceinture. Elle profitait de la gêne pour fuir mon regard et défaire ma ceinture.
Son soutien-gorge défait, je le jetai sur le coté et contemplai sa poitrine. Totalement différente de sa mère. Pour commencer elle avait la peau plus mate. Elle avait les seins bien rond tandis que sa mère tombait un peu plus, plus tard j’ai su que c’était du 95 B. Plus petit mais plus ferme. Ses mamelons étaient plus larges et légèrement brun-rosé. Elle semblait déjà pointée. Je me suis mis à les caresser du bout des doigts en la regardant. Elle déboutonnait mon jean avec un petit sourire sur le coté. Je me suis penché pour les embrasser, ils étaient chauds. Je m’amusais à battre ses tétons avec ma langue. Ca la faisait rire et j’en profitai pour les sucer et les malaxer, ils étaient vraiment fermes, quel bonheur. Cela la faisait soupirer. Elle se tortillait un peu en baissant mon jean pour caresser mon caleçon. Ses joues étaient rouges et brûlantes.
- Retire mon jean chéri… Me dit elle dans un halètement.
Je lui obéi, le déboutonnai en embrassant son nombril, je sentais ses abdos se contracter et son souffle s’accélérer. Quand je le retirai je fus surpris. Elle portait un string familier. Il était bleu foncé, et très petit. C’était le même string que portait sa mère mercredi dernier ! Je l’embrassais sans hésiter et retirai son jean en entier.
- Tu t’habilles chic chérie dis donc…
- Euh oui c’est… à ma mère. J’adore lui emprunter ses sous-vêtement. Elle rougit et sourit. Ce string était légèrement trop petit pour elle.
Je l’embrassais plus passionnément et vit qu’il était mouillé. Je me mis entre ses cuisses et commençai à le lécher lentement. Elle se cambra sous ma langue et caressait ma tête. L’idée que sa mère l’avait porté m’excitai encore plus. Elle respirait un peu plus vite et fort ce qui me donna l’envie de le lui retirer. Elle se souleva un peu, je le fis descendre le long de ses jambes. Je me remis en position : A genoux devant son sexe tondue de près. J’avais donc droit à deux choix différents. Ce qui me faisait peur c’est que c’était la première fois que je faisais un cunnilingus donc je ne savais vraiment pas comment faire.
- Léches-moi chéri…
Sans attendre je le fis, je me lançai. Je léchai tout son sexe de bas en haut lentement, mes mains posées sur ses cuisses. Dés que je la léchai, elle se cambra et poussa un gémissement. Elle mouillait énormément, ça glissait beaucoup. Sa mouille était légèrement salée et tiède, c’était pas désagréable à avaler. Elle tenait ma tête à deux mains pour m’empêcher d’arrêter et je continuais de lui administrer mes coups de langue maladroits. Elle gémissait au rythme de mes léchouilles et je décidai de lui enfoncer mon index lentement tout en la regardant.
Elle avait les yeux fermés et se mordait la lèvres. Je la trouvais trop mignonne avec les joues rouges. Je continuais donc mon mouvement en enfonçant un deuxième doigt. Progressivement j’allais un peu plus vite et plus profond au fil des minutes.
- Viens là mon amour, me gémissait t-elle. J’obéis. Elle me tira vers elle et m’embrassa fougueusement. Puis comme j’étais à genoux près d’elle, elle en profita pour caresser mon caleçon et mon sexe qui bandait à mort. Je me rapprochais de son visage pour l’aider.
Sors là, mon cœur…
Je sortis mon sexe de mon caleçon. Rapidement en souriant et poussant un petit gémissement coquin, elle le saisit et me masturba lentement. Elle ne la quitta pas du regard.
- Chéri, une fille t’a déjà sucé ? Elle rougit et baissait les yeux.
- Eh bien oui pourquoi ? Tu aurais voulu être la première ?
- C’est pas ça mais…tu vois moi j’ai jamais fait ça…Ni ça, ni rien d ‘autre avant.
- Tu veux dire que…tu ne t’es jamais masturbé ?
- Doigté non, mais frotté oui sur une peluche.
- Laquelle ?
- Bah là je l’ai pu. C’était un gros nounours que j’avais eu pour mes 13 ans et depuis que j’ai 16 j’utilise un pingouin.
- Et maintenant que tu as eu 18 à peu de temps, tu utilises un garçon. Elle me sourit.
- Approches…
Je m’approchais conquis par sa douceur. Confiant de sa gêne je posais mon sexe sur ses lèvres souriante.
- Ecoutes chérie je m’en fiche si t’es une pro ou non. On est obligé de commencer un jour ou un autre. Donc fais de ton mieux, l’important pour moi c’est que tu prennes autant de plaisir à le faire que moi à recevoir.
Elle me fit un grand sourire et absorba mon gland pour le téter. Pour l’aider, je me penchais au dessus de son visage. Elle me regardait pendant que je sentais sa langue tourner autour de mon gland. Elle commença ensuite a faire de petits mouvements de succions. Puis de plus en plus profond jusqu'à la moitié de mon sexe. Elle me suçait lentement et prenait plaisir de temps en temps à appuyer sur mes fesses quand elle ne les caressait pas. Les bruits de succions m’excitaient terriblement et encore plus quand je la vis avaler la salive en trop. Un bon quart d’heure passait dans cette position peu confortable. Elle la ressortit baveuse de sa bouche essoufflée.
- Mmmh j’en peux plus. Elle continua à me sourire, je m’allongeais près d’elle et caressais son ventre.
- Tu as aimé alors ?
- Oui, c’est vraiment doux, j’adore. Elle m’enlaça la nuque pour m’embrasser et passa une jambe sur moi.
Pour continuer mes caresses je passais ma main derrière sa cuisse et commence à la doigter avec deux doigts le plus profondément que je pouvais, vu la position. Le bonheur de l’entendre gémir dans ma bouche.
- J’ai trop envie de toi mon cœur, me gémissait t-elle.
Mmmh ! Continue avec tes doigts ! Je la sentais se tortiller et je me suis dit qu’elle était prête.
Il n’était pas question que je couche sans préservatif, pour des questions de sécurité, vis à vis de nous déjà, et surtout que je couchais avec une autre femme ! Elle prit un préservatif dans la petite table de chevet qui était à coté du matelas et me le tendit. Elle caressait mon torse et mes épaules tandis que je luttais à déjà ouvrir l’emballage avec les doigts mouillés et surtout à le dérouler sur mon sexe, moi qui ai eu toujours du mal. Elle rigolait et me demanda si je voulais de l’aide. Finalement je réussis et m’allongeai sur elle. Toujours souriante de désir elle me tenait et me dit tout doucement d’y aller doucement. Elle écartait bien les jambes, elle semblait vraiment me vouloir. Je pointais et frottais mon gland sur son sexe pour l’exciter un peu, puis tout doucement enfonçai mon gland à l’aide de mes doigts, puis quand il fût introduit correctement je poussais sur mes genoux et avançais mon bassin pour la pénétrer. Rapidement elle poussa un long soupir.
- Si je te fais le moindre mal chérie, dis le moi.
- Mmmmh non t’inquiètes chérie, continues, continues.
Elle avait les yeux fermés et la tête en arrière, bouche mi-ouverte. Je commençai donc à enfoncer mon sexe toujours avec précaution jusqu’au fond. Le soucis est que je n’avais jamais dépucelé une fille et ne savais pas quoi faire quand je tomberai sur l’hymen. Rapidement je sentis que quelque chose m’empêchait d’aller plus loin, je suivais donc mon instinct et exerçais une pression constante mais lente sur l’hymen. Dans un petit cri, il craqua. Elle s’agrippa à moi très fort et poussa de petits soupirs. Je continuais ma progression en l’embrassant et caressant ses cheveux pour tenter de la rassurer. Arrivé au fond, je m’arrêtais et ne bougeais plus.
- Oh je t’en prie chéri, doucement !
- Chérie je peux pas aller plus doucement que ça.
Quand elle me fit signe que je pouvais y aller, je commençai donc un long va et vient le plus lent possible. Rapidement elle se décrispa et se laissait faire sans continuellement repousser mon torse. Une vingtaine de minutes plus tard, elle se comportait comme une femme normale et gémissait au rythme de mes coups que j’accélérais progressivement. Elle me regardait de temps en temps et se levait un peu pour voir ce qui se passait. J’adorais voir sa poitrine onduler et tourner sur elle-même à chaque coup de reins. Je pris donc la décision de soulever ses jambes pour les placer sur mes épaules. Quelle position ! Je pris un véritable pied ! Elle gémissait de plus en plus fort durant le câlin. Comme mon sexe faisait de grands va et viens, je vis sur le préservatif qu’il y avait un peu de sang. Heureusement il ne coulait pas.
Nous fîmes l’amour encore pendant une bonne demi-heure en missionnaire et levrette. Et je me confirmais que cette position est magique. Je la tenais doucement par les hanches et exerçait une pénétration profonde tout en en admirant son petit trou brun. Dans cette position et vu le temps passé, je ne pouvais tenir plus longtemps et dans un grand moment bestial où les cris envahissent sa chambre, je me agrippais brusquement à ses hanches, et lâchai plusieurs jets de sperme.
Epuisé et en sueur, je m’affalai sur elle qui tomba elle aussi sur le matelas. Elle respirait fort, moi aussi. Elle tourna sa tête vers moi pour que nous échangeâmes un baiser passionné. Son visage rouge de sueur me plaisait. Pour rigoler je pris un ton à la Jean Gabin :
- Alors, heureuse ? Elle rigola.
- Trop…je ne te savais pas si physique.
- Eh bien comme tu vois.
- Merci mon ange…
- De quoi donc ?
- M’avoir offert ce moment. Je savais qu’il n’y avait que toi qui aurait pu rendre ma première fois inoubliable.
- Tant que ça ?
- Eh bien oui, la musique, le plaisir, les circonstances, tout…
- C’était magique pour moi aussi.
- C’est ta première fois ?
Je ne su quoi répondre à ce moment, j’avais l’impression que le temps s’arrêtait. Ou je lui disais oui et atteindrais les sommets de son cœur, ou je lui disais que non sans bien-sûr mentionner que ma première fois avec une femme n’était tout simplement qu’avec sa mère.
- Eh bien oui c’est ma première fois. Mais j’ai fait déjà quelques petites choses avant.
- Hé hé je suis la première femme que tu investis alors.
- Au moins on se disputera jamais sur les comparaisons avec les ex.
Nous fîmes un petit câlin des plus romantiques. La musique continuait, et un petit filet de lumière réchauffait mes fesses, il faisait chaud. J’aurais voulu que ce moment ne finissent jamais. Le genre de moment où à l’impression d’être seul au monde . Nous prirent une douche coquine ensemble.
Elle cacha avec soin le préservatif usagé. Nous nous quittâmes. Son frère allait bientôt rentrer et je devais aussi rentrer chez moi. Sur le pas de la porte qui donnait sur la rue, nous n’osions pas nous séparer, et l’éternel dernier bisou de la journée se refit encore et encore.
Fatigué et heureux je rentrais chez moi. Le soir après dîner j’étais dans mon lit à écouter de la musique et me repassait tout ça en tête.
J’avais une relation amoureuse secrète avec la petite sœur de mon meilleur ami, déjà cela me perturbait.
Ensuite j’avais couché avec elle, bon ça encore ça pouvait passer. Et de plus je relativisais mon mensonge car je n’ai couché qu’avec une seule femme avant elle, et donc coté sentiment c’était bien la première fois.
Mais le plus grave c’est que je couchais aussi avec leur mère. Outre la relation d’amant qu’il y avait entre elle et moi, il y avait aussi cette relation que je ne trouvais pas chez Marie.
Catherine m’offrait non seulement un apprentissage sexuel certain, mais aussi une relation sexuelle malsaine qui m’excitait énormément. Et pour finir une relation sentimentale qui ne me déplaisait pas. On pouvait parler de tout librement, on rigolait, sincèrement la différence d’age ne se faisait pas sentir.
Je rêvais donc éveillé, à repenser à mes derniers jours comparant les deux femmes. Marie m’envoya un sms avant que je m’endorme.
« Merci mon amour pour cette merveilleuse après-midi, j’ai hâte qu’on recommence. »
J’avais touché le Jackpot…
Mer 17 fév 2010
Aucun commentaire