Histerotix votre blog coquin !
Nous avions décidé d’aller faire un squash.
Comme d’habitude, j’avais enfilé ma tenue de sport : tee-shirt moulant, short court (sans petite culotte) afin d’être à l’aise dans mes déplacements.
A peine sur le cour, j’entendis dans un murmure : « Tu es sexy comme ça, j’ai très envie de toi. »
Nos échanges commencèrent.
Chaque fois que nous nous frôlions, je sentais son excitation grandir.
L’effleurement du tissu de mon short sur mon sexe provoquait des ondes de désir. Je sentais mes lèvres gonfler.
Nous continuions cependant à jouer.
Je sentais mon short s’humidifier à mesure que je renvoyais la balle.
Enfin, un dernier rebond…
J’allais ramasser la petite balle en prenant soin de me baisser dans le champ de vision de mon partenaire de jeu afin qu’il puisse profiter de la vue puis me dirigeais vers le vainqueur afin de
l’embrasser.
J’en profitais pour me coller contre lui et je sentis qu’il n’était effectivement pas de marbre. Ma main descendit alors le long de son short jusqu’à effleurer son sexe.
Nous sortîmes du cour laissant ainsi la place aux deux hommes qui attendaient de l’autre côté de la vitre et qui n’avaient rien manqué de nos dernières minutes de présence sur le terrain.
Nous prîmes quelques minutes pour nous désaltérer puis pour nous étirer.
Mon short était maintenant orné d’une auréole mouillée.
Nous nous rendîmes enfin aux vestiaires. Il y avait deux sacs dans celui des hommes. Quant à celui des femmes, il était vide.
C’est là que nous posâmes nos affaires.
Je me suis dévêtue pendant que mon partenaire me regardait.
Ses yeux en disaient long sur son désir.
J’allais sous la douche sans lui laisser le temps de m’approcher.
L’eau était froide et mes seins pointèrent encore plus.
Je frissonnais de désir moi aussi.
Il arriva enfin. Son sexe était érigé, gonflé de sang et d’envie.
Il tendit les mains vers moi. Je fermais les yeux sous ses caresses.
Des frissons me parcouraient de la tête aux pieds.
Une envie d’abandon.
Il vint derrière moi, se coller tout contre moi. Je sentais son sexe. Il me couvrait de petits bisous, me pinçait les seins.
Dans le lointain, des rires, un bruit de porte.
Je profitais de ces moments avec intensité.
Nous risquions d’être découverts mais le danger était excitant.
Ses mains parcourent mon corps, mes mains dans mon dos caressent son sexe. Je bascule ma tête en arrière et nous nous embrassons sauvagement. Nos langues se mélangent.
Alors que nous nous tenons ainsi, je sens ses mains qui viennent jouer avec mon sexe. Pourtant je réalise que ses mains sont déjà très occupées à me titiller les seins.
Surprise, j’ouvre les yeux et mon regard tombe sur la sublime femme qui était à l’accueil. Mon ami la regardait à chaque fois avec gourmandise. Et maintenant le fruit inaccessible se joignait à
nous.
Elle est nue.
Elle nous offre le splendide tableau de ses seins ronds en avant, de ses jambes légèrement écartées, de son sexe totalement épilé. Je ne suis pas insensible.
« J’ai fermé la porte à clef, dit-elle simplement en se baissant pour jouer avec mon sexe. »
Je la regarde et la laisse faire.
Je la vois approcher sa bouche de mon sexe. Elle commence avec sa langue de petits ronds savants autour de mon clitoris.
Mon ami s’est un peu reculé.
D’une main, il continue son petit jeu avec mes seins ; de l’autre, il a entrepris de se caresser le sexe. Ses yeux ne nous quittent pas.
Ils expriment de la gourmandise.
C’est alors que je me sens partir.
Une vague intense de plaisir vient me submerger.
Quel plaisir !
J’ouvre les yeux.
La jeune femme a quitté mon sexe pour s’emparer de celui de mon ami comme s’il s’agissait d’une délicieuse friandise. Il faut avouer que ce membre est bien bon, bien dur…
Un coup d’œil à mon ami, un petit signe d’assentiment et je me baisse à mon tour. J’ai très envie de jouer avec le sexe de notre nouvelle camarade de jeux.
D’abord, mes doigts, de façon à découvrir son intimité. Doucement, je tourne, je frotte, je roule. C’est doux, mouillé, chaud.
Je la sens vibrer sous mes caresses et moi, j’aime ça !
Je me baisse un peu plus et approche ma langue de ce fruit qui s’offre. Ma langue joue, écarte, fouille… Mes doigts pincent maintenant le bout de ses seins et de petits gémissements se font
entendre.
Elle continue la succion du sexe masculin bien raide devant elle. Je fais durer le plaisir et alors qu’un gémissement significatif m’indique que mon ami vient de jouir dans la bouche de la belle,
je donne un dernier coup de langue qui l’emmène dans les profondeurs du plaisir.
Je me relève. Elle m’embrasse goulûment. Nous partageons le sperme qu’elle n’avait pas avalé.
Debout, pudiquement, sans trop oser nous regarder après cette nouvelle expérience, nous prenons notre douche.
Elle se rhabille rapidement.
« A bientôt, dit-elle en refermant la porte derrière elle. »
Nous sommes à nouveau tous les deux.
Mon ami sourit.
« Quand rejouons-nous ? lui dis-je l’œil pétillant. »