Histerotix votre blog coquin !

Nous allons à la campagne, j’avais dit à Bruno, mon ami officiel, que j’étais débordée de travail et que je travaillais samedi toute la journée. Nous faisons la route, je suis habillée classique, jupe noir plissée ( Didier adore les jupes plissées et les jupes portefeuille : meilleure accessibilité) chemisier, bas, veste, manteau. Je me fais caresser pendant le trajet et jouis comme il se doit en bonne salope que je suis. Nous entrons dans le garage avec la voiture et descendons. Nous passons par un petit couloir qui longe les garages, Didier essaie d’allumer la lumière sans succès, et dit « il faut que je remplace l’ampoule » je marche devant à la lueur de l’éclairage de la porte automatique du garage, ouvre la porte d’une autre pièce qui nous permet de prendre l’escalier, il fait noir, en appuyant sur un autre bouton la lumière ne vient pas, Didier « décidément » je marche à petits pas car je ne connais pas bien les lieux, Didier me dit « tout droit ma chérie, j’ai avancé d’un mètre, je sens une grosse main venir sur mon épaule, une autre me pousser dans le dos, il y a plusieurs hommes. Je suis emmenée de force dans une direction que je ne connais pas, j’ai peur, j’entends comme des coups assenés à Didier et « toi tu montes avec nous, tu vas nous montrer ce qu’il y a en haut ». Il fait noir, je suis emmenée dans une autre pièce, encadrée par deux hommes qui me tiennent par le bras en me portant à moitié. Ils me poussent dans une autre pièce, très peu éclairée, je tombe à terre. Je suis relevée et assise sur une chaise, je crie « laissez-nous, prenez tout ce que vous voulez, mais ne nous faites pas de mal. Ils m’attachent les mains derrière le dos puis sur la chaise et ensuite me bâillonnent. Je suis en face de 2 hommes cagoulés. L’un d’eux me dit « tiens-toi tranquille, on s’occupera de toi après si on ne trouve pas ce qu’on cherche ». Ils sortent et m’enferment dans cette pièce froide et très très peu éclairée. Je peux entendre des bruits sourds au dessus, comme quelque chose qui tombe ou quelqu’un. Il y a beaucoup de bruits à l’étage. Je suis terrorisée. Je me demande ce qu’il se passe : des cambrioleurs que l’on a dérangés. J’espère qu’ils ne s’en prennent pas à Didier ou qu’il ne résiste pas trop. Le temps me semble très long. Je les entends marcher, faire du bruit. Je perçois des pas qui se rapprochent de l’endroit où je suis. La porte s’ouvre d’un coup, je sursaute. Ils entrent à trois dans la pièce et tournent autour de moi, celui qui parle depuis le début me dit « on attend les 2 autres pour savoir ce qu’on va faire de toi. On s’est déjà occupé de ton mec » J’ai peur, je me demande ce qu’ils ont fait à Didier avec tous les bruits que j’ai pu entendre. Les 3 autres descendent et les rejoignent en disant à l’oreille de celui qui est devant moi et qui vient de me parler des mots à l’oreille que je ne peux percevoir. Ce dernier dit « là-haut ,on a tout vu, il n’y a plus rien d’intéressant » un autre lui parle de nouveau à voix basse lui disant « qu’est ce qu’on fait d’elle » Celui qui s’adresse à moi « on la laisse ici », Ils parlent entre eux et reviennent vers moi. Le même dit « qu’est ce tu veux qu’on en fasse » un autre « on pourrait s’indemniser pour le déplacement » ; lui reprenant « oui c’est une bonne idée ». Ils tournèrent autour de moi en me regardant comme une proie. L’un d’eux sort un couteau, dont la lame jaillit automatiquement, il s’approche de moi, me passe la lame froide sur le cou, descend sur mon chemisier, me le remonte en faisant sauter les boutons un par un jusqu’en haut. Je suis terrifiée, j’essaie de crier mais je suis bâillonnée. Celui qui parle depuis le début dit « tu as raison, ça aurait été dommage de ne pas en profiter » Je sais à ce moment que je vais y passer. Il passe ensuite son couteau entre ma peau et le devant de mon soutien gorge et le coupe. J’ai les seins qui tombent « regardez cette paires de petits seins, j’espère que ton mec s’en occupe ».Il coupe ensuite le lien qui me maintenait sur la chaise, me prend par le bras et me jette pour me mettre à plat ventre sur la petite table, j’essaie de crier mais je suis bâillonnée , je me débats , ma jupe est levée, je sens des doigts qui me fouille des deux cotés, il retire ses doigt en disant « salope tu es bien ouverte, t’as baisé comme une pute y a pas longtemps, des 2 cotés en plus » un autre lui répond « comme ça on va lui faire une totale c’est encore mieux » il m’écarte les fesses et les lèvres en disant « regardez les trous sont bien ouverts » il me crache sur le cul en me serrant et m’écartant les fesses « en plus elle a le cul qui boit »il étale la salive avec ses doigts qui glissent dans mes trous. J’entends « elle est prête la salope elle va prendre » Je suis débâillonnée, une grosse bite se présente à l’entrée de mon vagin et entre d’un coup, je crie encore plus fort, il tape au fond de moi, je me fais pilonner, labourer par des sexes énormes à la chaine, j’essaie de mettre mes mains attachées derrière pour limiter la pénétration, il me les saisit et me les maintient dans le dos. Je finis par avoir des orgasmes en me faisant violer, une première. Ils disent « regarde la salope elle aime ça, elle jouit » un autre « les putes comme ça c’est des grosses bites bien dures qu’il leur faut » celui qui me parle depuis le début me prend par les cheveux en me disant « c’est bon salope des grosses bites » je me prends une claque sur la figure car je ne réponds pas. Il me prend la mâchoire entre ses doigt et me dit « dit que c’est bon les grosses bites »
je réponds « oui c’est bon »
Un matelas est mis à même le sol, il me relève, j’ai les jambes tremblantes, mon chemisier pend arraché, mon soutien gorge aussi, je reçois des claques sur mes seins et mon cul, j’ai mal. L’un d’eux dit « tu n’as encore rien vu, maintenant on va te défoncer »il me pousse et je tombe sur le matelas, un homme s’allonge, me lève les jambes et me pénètre vaginalement, il me défonce sans aucun ménagement les autres disent « vas-y ,donnes lui à cette salope »il est allongé sur moi, il est de taille imposante. Ensuite nous nous retournons, il me ceinture, je sens des doigts me fouiller le cul, je reçois plusieurs crachats, Je vais être défoncée en double par des bites énormes. Une se présente à l’entrée de mon petit trou, à la surface du gland, je sais qu’elle est très large. Il entre, j’ai beau crier « non non », il pousse et entre complètement; ils me martèlent.

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Je me fais prendre de la sorte à la chaine, cela me parait une éternité, le pire est que je jouis. Je suis libérée de cette position, moitié nue sur le matelas, un homme s’allonge, me retourne et me sodomise. Il m’assoit sur lui sa bite longue et large est complètement en moi. Il me maintient assise avec ses bras dans le dos. Les autres se présentent dans ma chatte et ma bouche en disant « on va te terminer » Ils me prennent par les cheveux et enfoncent leurs grosses bites de force dans ma bouche. Je me fais besogner de tous les cotés. Ils me libèrent, mettent à genoux, je suis en face 5 hommes qui se branlent pour m’arroser. Je reçois des giclées de spermes sur le visage et dans la bouche. Ils me détachent les mains et partent en disant « c’est bon comme extra une pute ». Je suis complètement vidée, recouverte de sperme. J’essaie de retrouver mes esprits et assez d’énergie pour monter et aller voir Didier, dont je ne sais dans quel état il est avec tout ce que j’ai entendu comme bruit. Je m’essuie la figure avec la manche de ma veste, j’en ai partout. Je monte l’escalier et voit de la lumière dans l’entrée, la cuisine et le salon. Je regarde partout et j’arrive dans le salon, stupéfaction. Didier est assis sur le canapé et train de lire le journal. Moi « tu n’as rien mon chéri ? » Didier « non » Moi « mais ils ne t’ont rien fait » Didier « non, c’était un scénario pour te violer, je viens de recevoir un sms pour me dire que tu as jouis, j’ai même une bande sonore » Moi « mais pourquoi tu m’as fait ça, j’ai eu très peur » 
Didier « tu as jouis, je t’ai entendue en live, tu gueulais comme une chienne » . Moi « mais quand même j’aurais pu être traumatisée, faire un malaise, tu aurais pu me prévenir » Didier « je savais que l’effet de surprise et de peur passés, tu aurais du plaisir. Te prévenir ça n’aurait eu aucun sens »
Moi « comment pouvais-tu connaitre mes réactions dans une situation pareille » Didier « j’ai pu t’observer lorsque nous allons en soirée et lorsque tu fais l’amour avec plusieurs hommes alors que tu ne t’y attendais pas » 
En me douchant, je lui en veux mais quel pied. Le mélange de peur et d’excitation. Nous dinons ensuite, je suis en peignoir et je passe la nuit à faire l’amour. Lorsque je me lève j’ai un peu mal partout surtout au cul, qui a pris des gabarits exceptionnels. Didier m’avouera que c’était Sylvain, Harry, deux potes et Claude. Avec lui je ne m’ennuie jamais aussi bien dans la vie qu’au lit.

Jeu 13 fév 2014 Aucun commentaire