Histerotix votre blog coquin !
Chantal m’avait particulièrement surpris pendant cette soirée avec
le représentant EDF. Je ne voulais pas laisser passer trop de temps avant de voir jusqu’où elle pouvait aller. Je savais qu’il me faudrait anéantir ses principes bourgeois étriqués pour la faire
se libérer.
Sur une idée de lecture d’un texte érotique, j’ai voulu faire vivre à Chantal la même aventure. En allant plus loin.
Ma femme aime beaucoup les arabes. A chacun de nos voyages dans le Maghreb, elle a toujours répondu avec chaleur aux dragues un peu grossières parfois des hommes de là bas. Se faire traiter de «
gazelle » la faisait sincèrement rire. Moi cela m’excitait, mélange de voyeurisme et de jalousie. Les séances de thé servi assis par terre pour se faire fourguer un tapis, étaient surtout pour
moi l’occasion de m’exciter à la voir faire bander de jeunes vendeurs convaincus que la belle étrangère était à deux doigts de succomber à leurs charmes.
Près de chez nous habite un marocain que je trouve très sympa. Je sais que Chantal ne lui ferme jamais la porte quand il vient lui rendre visite. Pourtant, il n’est plus très jeune (50 ans), ni
très beau. Je me suis aperçu qu’il ne manquait jamais de mater une partie du corps de Chantal et même qu’elle se laissait regarder avec comme qui dirait de la gentillesse et de la compassion
:
- « Le pauvre, si loin de sa femme ». Perverse Chantal !
J’ai donc imaginé l’emmener dans un bar du fin fond de quartier arabe de notre ville. Il y a là, près du port, tout un ensemble de bars, restaurants où la communauté arabe vit modestement mais
joyeusement. J’y vais une première fois dîner avec un copain pour mesurer l’ambiance et la fréquentation. Le patron, un algérien d’une soixantaine d’années est très sympathique et ne semble pas
trop à cheval sur les principes.
Je n’ai pas de mal à convaincre Chantal d’y aller un soir dîner d’un succulent couscous traditionnel. Je ne lui fais pas du tout part de mes intentions. Je la laisse s’habiller sobre même si
d’elle même elle met un chemisier blanc qui laisse voir sous une veste tailleur croisée, par moments, le soutien gorge par transparence. Un simple jean avec des chaussures à talons, complètent
son habillement.
Quand le patron, qui ne m’a pas reconnu, nous installe à la table au fond de la salle, Chantal a déjà été repérée par la plupart des clients présents.
Le repas se déroule simplement. Elle fait l’objet de regards mais tout ceci reste discret. Chantal est radieuse, heureuse de se trouver dans cette ambiance méditerranéenne. Fière je crois d’être
regardée par des maghrébins. Le patron est avenant, plein de prévenance, et à la fin du repas il nous offre un petit digestif de là-bas. Chantal est un peu pompette et rit facilement. Elle ne
fait plus du tout attention à sa veste ouverte qui laisse voir maintenant son chemisier transparent et son soutien gorge blanc. Le patron reste bien longtemps penché sur la table à mater sans
vergogne ce que Chantal lui dévoile. L’ambiance est chaude et elle rit de plus en plus fort. Toute la salle maintenant a les yeux braqués sur notre couple. Je reste discret mais je sens ma bite
qui me fait mal dans mon pantalon. Je décide de rentrer et en payant l’addition j’entends le patron dire à Chantal qu’elle sera toujours la bienvenue. On quitte le restaurant sous les regards de
tous ces hommes dont on devine qu’ils sont déçus de notre départ. Dehors, elle m’avoue qu’elle a terriblement apprécié cette soirée. Je m’en doutais un peu.
Cette soirée m’a terriblement excité et je voulais encore aller plus loin.
Quelques semaines plus tard, je propose une soirée restau à Chantal. Je lui demande si elle a une idée où aller et là je ne suis qu’à moitié surpris quand elle me propose de retourner manger un
couscous dans ce même restaurant. Je suis aux anges, inconsciemment elle me tend la perche.
- « Tu leur avais fait de l’effet l’autre soir, dis-je »
- « Je les aime bien, ils sont toujours joyeux »
Je lui demande de s’habiller sexy, plus pour moi que pour les voyeurs. Me connaissant, elle refuse, hésite et se laisse aller à des vêtements stricts mais un peu sexe. Chantal n’est jamais
partante d’emblée pour mes fantasmes. A chaque fois elle refuse, j’insiste et même parfois j’utilise des stratagèmes pour arriver à mes fins. Mais je ne suis jamais déçu car une fois dans
l’action elle participe pleinement. Il faut simplement la soumettre car elle est peu docile.
Jupe portefeuille fendue sur le côté, évasée, longue, elle arrive juste sous les genoux, veste tailleur boutonnée par deux boutons cachant à peine un chemisier transparent sous lequel elle porte
un soutien gorge de la même couleur, comme la première fois. Je sais que c’est une tenue bonne à l’exhibe. Mais elle pense surtout à la convivialité de ces endroits et à me faire plaisir.
En réservant, je me fais reconnaître. Je me lâche :
- « Le couple avec la jeune femme qui aime bien les ambiances chaudes et être regardée ». Il comprend tout de suite.
- « Je te réserve la table au fond face à la salle. C’est un plaisir de vous revoir et profiter de la beauté de ta femme ». Le tutoiement me fait plaisir.
Entrée dans la salle de restaurant. Il y a ce soir là une dizaine de personnes. Essentiellement des hommes. Les femmes sont à la maison. Ils discutent bruyamment et joyeusement. L’entrée de
Chantal ne passe pas inaperçue. Une femme d’abord, belle et habillée sexy comme on le voit quand je lui enlève son manteau. Un silence…
Rapidement les conversations reprennent de plus belle mais les regards sont souvent dirigés vers elle. Le patron nous a bien reconnus et il vient rapidement nous placer. Table du fond, face à la
salle, tous les deux sur la banquette.
Il ne manque pas de regarder dans l’ouverture de la veste si par hasard, le chemisier était ouvert. Le souvenir de la première fois est tenace. Il s’y prend d’ailleurs à plusieurs reprises ce qui
n’échappe pas à Chantal et la fait sourire. Elle est déjà dans le bain. Notre table est exposée face aux autres dans la salle. On est visibles de tous.
Le coucous qu’on nous sert est Royal ! Le vin qui l’accompagne est un peu lourd et visiblement il monte à la tête de Chantal qui est maintenant vraiment gaie. Le patron vient souvent nous voir et
à chaque fois il s’arrange pour remplir nos verres. Une bouteille puis deux.
Le dîner se termine vers minuit. Le restaurant est encore plein, bruyant. Soudain, le patron met la musique un peu plus fort. Une jeune femme arabe, la seule, se lève et se met à danser au centre
de la salle. Autour, on frappe des mains pour accompagner la danse. L’ambiance est joyeuse. Deux jeunes arabes superbes ont rejoint la danseuse et l’accompagnent dans des mouvements très
sensuels. Chantal, de sa place regarde et bas des mains au rythme de la musique. Elle est radieuse.
Une des jeunes s’approche de notre table et l’invitent à les rejoindre. Sans hésiter une seconde, Chantal se lève et se met à danser sous les applaudissements des spectateurs qui petit à petit
vont devenir voyeurs. L’atmosphère se charge de sensualité. La jeune arabe, fatiguée regagne sa place laissant Chantal seule danser avec ses deux cavaliers. Elle ondule ses hanches, cambre son
ventre en avant, en arrière, elle projette ses fesses, balance ses épaules. Elle secoue sa tête pour faire danser ses cheveux. Ses cavaliers se font de plus en plus proches, à la toucher. Elle
rit, les provoque, affrontant leurs ventres, leurs sexes. Autour, on frappe toujours des mains. Un des jeunes s’approche d’elle et en riant, lui enlève sa veste de tailleur. Quand elle se penche,
maintenant, secouant ses épaules, son chemisier baille laissant voir son soutien gorge. Les deux jeunes peuvent mater les seins à peine cachés qui ballottent au rythme de la musique. Chantal à
cet instant est partie dans son trip de danse. Je la connais, elle ne se rend pas compte de l’effet sexe qu’elle exhale, diffuse. Autour, plus personne maintenant est dupe. Elle s’exhibe.
Chacun mate la femme blanche qui danse sexy. Sa jupe, lâche, flotte au gré de ses mouvements. Par moments, elle s’ouvre sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au
niveau de la culotte. Sans vraiment s’en rendre compte, comme le ferait une danseuse espagnole, elle attrape le bas de sa jupe et la fait voler, découvrant volontairement cette fois ses cuisses
au regard de l’assistance.
D’autres clients se sont levés et entourent la danseuse. Chantal rit, heureuse. Les hommes sont devenus des voyeurs, ils deviennent peloteurs. Chantal toujours tout sourire, les écarte
gentiment.
On la fait danser, elle accepte de se montrer petit à petit. Je me lève et relève la jupe pour l’accrocher à sa ceinture et découvrir ses fesses. Elle refuse et la rabat. Toute la salle crie au
scandale, alors en riant, elle l’accroche à nouveau mais en plus elle défait un autre bouton de son chemisier, comme pour mieux respirer. A chaque fois qu’elle tourne sur elle même, la jupe
dévoile ses jambes et sa culotte blanche soulevant des cris de joies dans l’assemblée.
On la pousse à aller plus loin. Un jeune se détache qui s ‘est mis à danser à côté d’elle lui défait en riant l’autre bouton de son chemisier. Chantal le laisse faire. Il s’ouvre jusqu’à la
ceinture, dévoilant son ventre. Elle danse en rythme avec lui, ondulant des hanches et du ventre dans des mouvements de plus en plus sexy. Pour l’accompagner, il lui passe une main à la taille et
l’attire à lui. Dans la salle c’est la folie. Les uns crient, simples spectateurs, d’autres se sont levés et entourent en frappant des mains les deux danseurs. La température monte dans la pièce.
Chantal a chaud, elle est toute rouge. Tout en dansant, elle dégage le chemisier de sa jupe et l’ouvre complètement. Il vole, la laissant pratiquement en soutien gorge. Je pense qu’elle danse
encore dans sa tête même si elle sent bien l’effet qu’elle exhibe. Moi, je suis déjà en érection, tellement mon plan se déroule comme prévu. Le patron s’avance vers elle et en un clin d’œil, il
lui enlève le chemisier. Chantal ne proteste pas. Son soutien gorge est pigeonnant, donnant un relief de rêve à ses seins qui ballottent au rythme de la musique arabe. Par moment, une bretelle
tombe, dévoilant le côté d’un sein. Chantal la remet plusieurs fois en place. Puis lassée, elle laisse les deux bretelles tomber de ses épaules. Ses épaules nues donnent une vision encore plus
sexy de son corps. Elle transpire tant elle se donne en spectacle. Pour elle, si elle danse en soutien gorge, c’est qu’elle a chaud. Le soutien gorge descendu est à la limite des aréoles de ses
seins. On regarde, prêts à voir l’interdit.
Voilà plus de quinze minutes qu’elle danse maintenant. Plusieurs de ses cavaliers ont rejoint leur place. Deux l’accompagnent toujours, de plus en plus collants.
Et quand l’un d’eux se met à lui détacher sa jupe, elle refuse et vient me rejoindre complètement hors d’haleine. Le patron nous apporte à boire, de l’eau mais aussi un alcool fort de là-bas.
Chantal récupère. Elle remet sa veste oubliant son chemisier abandonné sur une chaise.
Pour beaucoup, le spectacle est fini et la salle se vide en partie. Seuls, les deux jeunes, un vieil homme bedonnant et le patron restent avec nous.
Le patron ferme discrètement le restaurant, comme je le lui ai soufflé, pervers. Il est tard. Il reste les deux jeunes, un vieux et le patron. Il s’approche de nous et nous sert un autre verre.
Chantal le boit d’un trait. Elle est un peu partie. L’ambiance, la danse et l’alcool tout pousse à l’abandon. Fatiguée, elle repose sa tête sur mon épaule. Doucement je tire vers le bas son
soutien gorge pour dévoiler ses seins. Elle se laisse faire.
Après quelques minutes, elle se lève et demande de la musique. Je suis fou. Elle enlève sa veste de tailleur, remonte son soutien gorge et quand la musique revient elle se remet à danser à
nouveau. Mais cette fois, le rythme est plus lent, langoureux. Chantal se fait plus chatte. Ses mouvements ne sont pas pour autant moins sensuels. Elle mime maintenant seule au milieu de la pièce
des mouvement d’amour. Je ne la reconnais plus. Très souvent je la vois qui adresse des regards appuyés aux deux jeunes qui la regardent assis à califourchon sur une chaise. Ils lui sourient,
complices. Je suis sûr maintenant que c’est pour eux qu’elle danse. Au fond de la salle, le petit vieux se caresse. Le patron lui, a franchi un cap. Il a sorti sa queue et lentement il se caresse
les yeux braqués sur la danseuse.
Chantal l’a vu. Très lentement, elle se rapproche de lui, regardant son sexe long mais encore tout mou. Ca y est, je réalise mon fantasme. Ma femme s’exhibe sans retenue à des hommes qu’elle ne
connaît pas depuis plus de quelques heures. Elle est prête à aller au bout, je le sais. Mon dieu qu’elle est belle. Soudain, elle dégrafe sa jupe et la fait voler sur une table. Elle danse en
slip et soutien gorge. En appui sur ses pieds, elle roule des hanches, puis la taille pour enfin faire ballotter ses seins, les bras tendus vers l’avant. Le petit vieux étire sa queue pour la
faire bander mais il n’y arrive pas.. Il ne bande pas mais son plaisir se voit dans ses yeux, rouge de sang. On a l’impression qu’ils vont lui sortir de la tête. Chantal s’approche et tendrement
elle lui prend sa bite et la branle doucement. Les deux jeunes se sont levés, un dégrafe le soutien gorge libérant les seins qui étaient déjà pratiquement nus. Par derrière il les caresse et les
malaxe sans douceur. Il est excité le bougre. Le second s’est emparé du slip et l’a fait descendre à mi cuisse. A son tour il caresse les fesses qu’il a vues danser tout à l’heure. Sans un mot,
il dégage le petit bout de tissus et Chantal lève ses pieds en signe d’accord. Elle est maintenant à poil dans la salle de restaurant.
On passe dans l’arrière salle pour continuer à danser nue, s’exhiber. Elle rit car tous les quatre ont sorti leur bite et se caressent en la regardant. Le petit vieux s’approche d’elle et la
touche quand elle passe près de lui. Chacun y va de sa main sur un sein, une cuisse, une fasse. Un des jeunes tente de s’emparer de sa bouche mais à chaque fois, elle s’échappe, perfide.
Et soudain, elle cesse de danser et s’approche du petit vieux. Elle lui prend sa queue dans la main et la caresse un peu. Il a une petite bite surmontée de poils blancs. Il ne bande pas, ses yeux
sont rouges et prêts à exploser en matant le corps dénudé de la jeune femme. Elle s‘accroupit devant lui et saisit le gland entre ses doigts. Délicatement elle le décalotte. Il ne doit pas le
faire souvent, ni en faire la toilette car une pâte blanche à forte odeur apparaît à la racine du gland juste aux abords de la collerette. Elle le fixe un instant puis, délicatement, presque
tendrement elle le nettoie avec ses doigts et petit à petit finit par lui donner la forme d’une queue vigoureuse. Elle le branle d’abord lentement, la crème s’étale maintenant sur la surface du
gland tout rouge violacé. Après quelques secondes d’hésitation, elle approche sa bouche et avec sa langue entreprend de débarrasser le gland de cette substance visqueuse, malodorante. Elle le
lèche carrément gardant dans sa bouche sa prise. Puis quand il est propre, elle l’introduit dans sa bouche entièrement et le branle avec ses lèvres. On est là tous les trois à la regarder faire,
la bite à la main. Le visage du petit vieux est congestionné. Il prend la tête devant lui et l’attire pour s’y introduire profondément. Quand il la sent plantée au fond de sa gorge, il la
maintient ainsi jusqu’à ce que la femme le repousse au bord de l’asphyxie. Il lui laisse le temps de reprendre son souffle et d’autorité il plante son dard encore plus au fond de la gorge, ses
couilles plaquées sur le visage. Soudain il se cambre, ferme les yeux et dans un rugissement on devine qu’il déverse sa semence dans la gorge violée. Il maintien la tête quelques secondes contre
son ventre obligeant Chantal à avaler tout son jus jusqu’à la derrière goutte. Chantal reprend son souffle, sur ses lèvres des gouttes de sperme s’échappent mais on devine qu’elle n’a pas laissé
s’échapper une goutte du précieux liquide. Ma femme adore le goût du sperme, et à plusieurs occasions elle m’avait fait part qu’elle avait reconnu des différences de goût, de consistance, de
chaleur des différents spermes que je lui avais donné à boire au cours de nos aventures.
En se relevant, elle lui adresse un sourire et lui donne un baiser sur ses lèvres.
Chantal mouille énormément quand elle est très excitée. Ce n’est pas toujours le cas. Ce qui l’excite le plus c’est de se sentir désirée, de s’entendre dire qu’elle est belle et désirable. Quand
cela arrive, elle délivre une mouille très odorante, celle qui excite le mâle. Cette sécrétion est tout à fait animale, primaire, foncièrement sexuelle. Ceux qui l’ont bue, car Chantal adore se
faire boire, l’ont trouvée avoir un goût très fort, lui aussi en accord avec la jouissance. Accompagnés de ses petits cris, très discrets et en même temps plein de signification, ma femme
entraine toujours ses amants dans des jouissances d’exception. La vraie femelle dans ce qu’elle a de plus animale et en même temps sensuelle.
Ses sécrétions abondantes, odorantes provoquent plaisirs fous chez les hommes les plus rustres et les plus sophistiqués ; C’est une bête de sexe qui excite tous les sens au service du plaisir
sexuel : odorat, goût, ouïe, vue et enfin toucher. Ce dernier sens est exacerbé par une douceur de peau sans égal. Tout son corps, dans les endroits les plus secrets, offre un contact de peau de
rêve. Les poils de son pubis fins et souples incitent, invitent à venir y plonger sa langue, son nez.
Le patron est maintenant bien à prendre son tour. Il s’est approché d’elle par derrière, la relève et la fait se baisser et se cambrer pour lui offrir sa croupe. Il lui écarte les fesses, porte
son majeur à sa bouche pour le lubrifier de salive et brutalement il l’introduit dans le petit trou noir devant lui. Chantal sous l’effet brutal de cette sodomie se cabre car elle est étroite de
cet orifice. Le patron n’en a cure et il se met rapidement à la doigter de plus en plus vite et nous, on se rend compte que petit à petit Chantal se relâche et s’ouvre à la branlette de son cul.
Elle halète de plus en plus vite et pousse un cri quand elle sent la queue du patron s’introduire dans sa chatte toute ruisselante de sécrétions. Deux ou trois allers et retours et le bonhomme se
vide dans le ventre de ma chère et tendre. Il l’a baisée.
Repus il se retire et aussitôt un des jeunes qui se sont contentés jusque là de regarder et peloter les seins qui ballottent sous Chantal, se présentent à l’entrée de la grotte. Il récolte du
foutre qui s’écoule sur la cuisse et avec son doigt il l’introduit dans le sexe déjà tout luisant. Une deuxième fois, il récolte du sperme mais cette fois il le porte dans la bouche de Chantal
qui suce le doigt pour avaler la semence du patron. L’autre jeune se place devant elle et lui plante sa queue énorme dans la bouche et entreprend de se branler à l’intérieur.
Les deux sont tellement excités que rapidement ils jouissent en même temps déversant leur semence l’un dans la bouche, l’autre dans le ventre de Chantal qui se met à pousser ses petits cris
caractéristiques de sa jouissance. Elle jouit longuement, hors d’haleine.
Le jeune qui s’est fait sucer, lui glisse un doigt dans la chatte pour récolter, au sortir des lèvres, le sperme abondant qui s ‘échappe du sexe encore brûlant, à peine la dernière goutte
échappée du gland cracheur de jute pour lui faire sucer le doigts, lécher et boire la semence de son copain. Il répète plusieurs fois ce geste pour donner à boire à Chantal tout le sperme libéré.
Et Chantal déguste, lèche et se nourrit de cette semence. Une dernière fois il recueille du sperme qu’il étale sur les seins nus.
Elle adore ce mélange de sperme qui la souille, la salit et en même temps lui procure un plaisir immense.
Fatiguée, elle s’affale sur une chaise, les hommes qui ont abusé d’elle, prévenants l’aident à se rhabiller et heureux, nous quittons le restaurant